20 réponses de 541 à 560 (sur un total de 582)
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  • #13425

    En réponse à: Expérience et questions…

    Theghosssst
    Participant

    Je reviens après de nombreuses semaines d’absence. Je n’avais pas de longs moments à moi, seul, pour continuer mon expérience. Mais hier soir, j’ai enfin pu me consacrer à une nouvelle session Helix. Cet été, j’ai découvert la charmante voix qui se dégage du CD HypnAerosession que j’ai utilisé hier soir. Mes 30 premières minutes (ou plus ou moins, je ne sais plus) m’ont littéralement basculé dans un état de détente agréable. Les 30 minutes suivantes (ou plus ou moins, je ne sais plus) ne m’ont rien apporté de plus. J’étais très déçu. J’ai vraiment passé de longues secondes à sentir mon corps – je fais régulièrement de la sophrologie -, à sentir la moindre étincelle, la moindre vibration au sein de mon ventre, des alentours de mon Aneros, mais rien de rien. J’ai quand même compris une chose qui je pense freine ma découverte: je n’arrive pratiquement pas à contracter doucement mon sphincter. Aussitôt mon corps a le réflexe de serrer fort. Je sais qu’avec le Vice, les vibrations ont déclenché une fois un phénomène plutôt brutal de fortes contractions que je ne maitrisais pas et cela quelques minutes après son insertion. L’insertion d’un plug assez long non vibrant m’a paru plaisant le printemps dernier lors d’un essai. En voiture, lors de mes exercices de contractions du périnée / sphincter, j’aime sentir cette “petit chose bizarre” dans mon ventre qui se diffuse très rapidement dans mon corps, comme un plaisir douloureux. Alors je ne comprends pas pourquoi je ne ressens rien avec un Hélix. Est-il possible que l’Helix ne me convienne pas morphologiquement ?
    A suivre …
    Merci pour vos réponses, merci pour ces forums si riches en informations et en expériences.

    #13012
    Andraneros
    Modérateur

    Bienvenue dans notre communauté @Sined,

    Ce pavé n’est pas indigeste, vous présentez avec précision votre expérience ce qui n’est pas toujours facile.

    Vous devez être inconsciemment très tendu, contracté ce qui fait remonter le peridise dans le rectum. Il me semble qu’il serait utile de travailler sur la relaxation de votre région pelvienne. L’objectif serait de vous permettre de ressentir consciemment la différence entre un état de contraction intense, votre état naturel et un état de détente approfondie.

    Pour cela il faudrait commencer vos sessions par une période de relaxation plus longue éventuellement avec l’aide de musique ou d’autres supports d’induction. Quand vous vous sentez bien détendu sur un plan général, vous concentrez votre attention sur ce que vous ressentez dans la région anale.

    A ce point vous faites des contractions anales variées et vous enregistrez les modifications de vos sensations. Si le Peridise est inséré vous ne vous occupez pas de son mouvement mais seulement de ce que vous ressentez.

    Puis vous faites des contractions rectales (“reverse Kegel”), c’est à dire que vous poussez plus ou moins légèrement. Cette contraction a pour effet instinctif de détendre l’anus. Vous enregistrez les modifications de vos sensations. Si le Peridise est inséré vouqs ne vous occupez pas de son mouvement mais seulement de ce que vous ressentez.

    Ces exercices, faits sans recherche de plaisir ni aucune autre attente, devraient vous permettre de mieux ressentir la tension musculaire inconsciente qui tend à bloquer le Peridise.

    L’utilisation des masseurs Aneros demande un apprentissage. Ceux ou celles d’entre nous qui sont naturellement détendus accèdent plus facilement aux plaisirs attendus. Les autres dont je fais partie ont besoin de prendre conscience de leur état de tension et d’apprendre à se laisser aller, à se détendre intimement et à accepter de perdre le contrôle. Ca m’a pris plus d’un an mais j’y suis parvenu. Si vous accepter de faire cette forme d’effort vous y parviendrez aussi !

    Je termine avec un dernier mot sur la frustration. Elle est causée par l’attente d’une récompense qui ne vient pas. Vous devez absolument renoncer à vos attentes lorsque vous commencez une session. Chaque session est un moment que vous consacrez à vous-même, à votre intimité, à votre apprentissage. Quand un athlète s’entraîne il ne bat pas de record pendant ses séances d’entraînement mais chaque séance bien menée le rapproche du moment où il battra un record. Votre objectif final est peut-être d’atteindre une intensité de jouissance très supérieure à celle que vous connaissez, mais vous devez l’oublier chaque fois que vous commencez une session. Soyez persuadé que vous l’atteindrez quand vous serez prêt.

    Bon cheminement @Sined.

    #12711
    staneros
    Participant

    Andraneros,

    Merci pour tes précisions sur le positionnement de l’Hélix.
    Lors de ma première session, mon Hélix était visiblement pas
    assez enfoncé. Ceci doit certainement expliquer que je n’ai pas
    eu de sensations sur ma prostate.
    Grâces à tes conseils et en relisant le traité, la prochaine fois
    je sais les points que je dois travailler:
    – mon excitation en début de séance.
    – le positionnement de l’helix.
    – la détente et le relâchement lors de la première phase.

    Je ne manquerai pas de vous dire mes ressentis, mes progrès
    lors des prchaines sessions.

    A bientôt

    #11879

    En réponse à: L'orgasme total du corps

    Hyménée
    Participant

    Sinon, je commence tout juste à me remettre de ma séance du week-end en huit.

    Je ne sais pas comment vous l’écrire, mais au sujet de l’orgasme du corps, on atteint un état orgasmique absolument délicieux, totalement détaché du corps, où l’on plane au-dessus du corps.

    Enfin, c’est ce que j’ai vécu.

    J’avais pas mal de temps (tout mon week-end en fait 😀 ), alors j’ai commencé par utiliser le Vice sans vibration pendant un long moment, jusqu’à devenir fournaise. C’est vraiment extra d’avoir tout son temps, et de le prendre 😀 très rare avec un enfant en bas âge. Donc très précieux quand cela se produit !

    Je trouve que ce que vit la fille en position orgasmique dans la vidéo “Orgasmic Meditation” est vraiment très représentatif : son orgasme coule le long de son corps, de son bassin jusqu’à ses doigts de pieds et jusqu’aux lèvres de son visage. Rien de spectaculaire. La blonde l’exprime parfaitement au début de la vidéo :

    Quand vous ressentez autant de plaisir, vous ne voulez plus bouger d’un pouce

    En fait, faut réussir par le moyen le plus approprié (fantasmes, méditation, respiration, bain chaud, bougies, musique, caresses sur tout le corps, etc, etc) à créer ce qu’ils appellent un “Climax” ; un protocole d’accord entre nerfs et cerveau pour fonctionner ensemble à la recherche de ce qu’on a tous imaginé : le pur plaisir issu d’une pure détente du corps tout entier.

    Ah ! Maintenant que j’écris ça, je me souviens d’un élément important et concret : avant de décoller complétement, je me souviens avoir ressenti comme si mon rectum s’illuminait totalement (hihi ! 😀 ). A force de laisser faire les contractions involontaires, à un moment, cela fait prendre conscience totalement de son rectum. Les contractions se taisent pour laisser place à la totalité.

    C’est un peu comme si tous les nerfs se mettaient d’accord pour s’abandonner ensemble dans le plaisir. Plutôt que de contracter les muscles les uns après les autres, tout le tapis muqueux s’illumine de plaisir, des sphincters anals jusqu’au sphincter en bout de rectum. Tout y passe, prostate incluse 😀

    Pouf ! Lumière !

    A partir de ce moment-là, c’est sûr : la manette du jackpot a été tirée. Si on continue à laisser faire, c’est le corps tout entier qui s’illumine de lui-même, sans qu’on comprenne vraiment ce qui se passe.

    Et puis, à un moment, on réalise qu’on est dedans, qu’on jouit totalement détaché du monde, qu’on rayonne, un peu comme une étoile dans le cosmos. Sans raison, ni but.

    Pouf ! Lumière !

    On se consume de partout. Partout dans le corps, les nerfs veulent leur part du plaisir total. Le plus étrange (enfin, ce qui est nouveau pour moi), c’est que ce sentiment de détachement dure longtemps. On regarde autour de soi. On est dans un plaisir pur sans violence (sans contractions), et on regarde hébété. Le plaisir coule de la tête au pied, dans les bras, les doigts. Ca coule, ça vibre. Et puis, ça disparait. Je me souviens plus si cela s’est produit plusieurs fois. En fait, je me souviens plus bien de la séquence des événements. Le temporel est finalement en second plan. Il y a dû y avoir une cause à l’embrasement du rectum, un fantasme, un truc déclencheur, une étincelle. Je ne sais pas.

    Ce sentiment de détachement s’est reproduit ce week-end en plein parc parisien, tranquillement installé à discuter. A un moment, j’ai été happé par les feuillages qui dansaient et ai voulu y mettre des étiquettes, une pensée, agripper tout cette beauté par des mots. Impossible. Je continuai ma discussion, avec devant moi le spectacle de la Nature inviolable, insaisissable. Une pure présence, impossible à capturer.

    C’est exactement le même ressenti que lors d’un orgasme total : on se sent inviolable, insaisissable, et pourtant ouvert de partout. Une pure présence.

    Ô Femmes ! Serait-ce cela votre secret ?

    Bonne nuit

    #11489
    Andraneros
    Modérateur

    Votre remarque @emeric est très juste. Je pense aussi qu’il y a certaines similitudes dans les deux exercices :
    – détente musculaire,
    – écoute de nos sensations internes,
    – concentration, travail sur la respiration,
    – perception d’une énergie interne,
    – circulation de cette énergie…

    L’environnement culturel, la pratique physique et le but visé sont évidemment très différents, au moins dans une première phase. Les forums spécialisés sur la pratique du massage de la prostate proposent de nombreux témoignages de pratiquants expérimentés qui disent atteindre des états de conscience modifiée ou au moins une modification significative de leur relation au monde à la suite de leurs expériences de jouissance extrême et répétée.

    La pratique réussie du massage prostatique est aussi présentée comme une forme de méditation qui produit des résultats similaires à ceux produits par les formes de méditations plus classiques.

    La dernière similitude que je vois est l’apprentissage qui peut être long, répétitif et difficile à gérer dans la mesure où l’on doit idéalement faire chaque session sans attente de résultat et que les progrès du cheminement vers l’orgasme sont très irréguliers.

    #11488
    Andraneros
    Modérateur

    Je recopie ci-dessous ce que nous dit @Theghosssst de ses toutes premières sessions.

    ” Bonsoir,
    Je vais vous conter ma toute petite expérience en Aneros. J’ai acheté le Helix il y a 6 mois environ. Il est resté longtemps rangé dans une petite housse dans mon tiroir. Tout simplement parce que lorsque l’on travaille dans la journée, que l’on rentre tard et que l’on est marié, il n’est pas simple de se réserver une heure de détente  » Découverte du plaisir par l’Aneros ». Lundi dernier, j’avais une heure et demi devant moi. j’ai donc tenté ma première expérience, muni du Traité que j’ai lu plusieurs fois auparavant. La lubrification et l’insertion ne m’ont pas posé de problèmes. J’ai un kit de pipettes Aneros. Une fois inséré, j’ai tenté de me détendre en écoutant de la musique calme. Mais impossible de stopper la forte contraction régulière des fesses due à cette sensation d’un objet au niveau de l’anus. Au bout de 30 minutes, je réussissais à tenir 30 secondes sans contractions. Au bout de 45 minutes, j’ai arrêté la session et décidé de m’inscrire sur ce merveilleux site pour en parler et partager ce début laborieux d’expérience. Est-ce normal pour une première fois ? sachant que ce n’est pas la première fois que j’essaie d’autres sex-toys par cette voie … Est-il possible les premières fois de ne faire que 30 minutes de session, sachant que ce début d’expérience nécessite déjà de nombreuses sessions pour la découverte du plaisir de la prostate ? Merci.
    Deuxième session Helix: Suite à vos conseils, j’ai commencé ce soir par l’insertion d’un Aneros peridise bien lubrifié pendant que je continuais mes occupations. Il me gênait au début puis la gêne a disparue. je ressentais une petite douceur de temps en temps. Puis je l’ai remplacé par le Helix, bien lubrifié aussi. J’ai continué mes occupations pendant 15 minutes. Je ne contrôlais pas les contractions de l’anus au début. J’ai eu la sensation que mon rectum et mon anus s’habituait. J’ai démarré ensuite une séance de sophrologie, que je pratique régulièrement. J’étais totalement détendue au bout de 10 minutes, je ne sentais qu’un petit peu la pastille plastique sur le périnée quand je contractais lentement les sphincters. La séance de sophrologie de 30 minutes est donc positive mais aucune sensation dans le rectum ou sur la prostate malgré les quelques contractions légères que j’ai appliqué. à suivre …
    Troisième session avec l’Aneros:
    je commence à trouver mes marques pour la préparation; aménagement du lit, serviette, lubrifiant, Aneros et lecteur MP3 avec séance de sophrologie. Je n’oublies pas de réduire la luminosité de la chambre et surtout me détendre malgré cette impression de me préparer pour, peut-être, un voyage fantastique. La session a duré 55 minutes. 55 minutes de détente liée à la séance de sophrologie. Au bout de 30 minutes, j’ai tenté les mini contractions de 15 à 30 secondes, toujours à l’écoute de la moindre petite sensation de bien-être. Sincèrement, la séance était très agréable mais sans aucune sensation autre. Mais une chose me surprend au sein de ces nouvelles expériences; Comme je l’ai déjà écrit, depuis que je procède à des entrainements quotidiens de contractions du muscle PC, en voiture ou au réveil le matin, sans Aneros bien sur, je m’aperçois, peu à peu, qu’en dosant les contractions, je ressens quelque chose d’agréable. Au début, c’était une vague furtive qui parcourt le corps, je ne sais pas expliquer la sensation. Maintenant, c’est comme une « chose » au bas du ventre qui se forme en 5 ou 10 secondes, puis il me semble que la chaleur s’ajoute à ça et une mini-explosion dans le corps me fait gémir. Je recommence et hop, même sensation. Alors, pourquoi puis-je ressentir cela et ne pas ressentir les mêmes vagues avec un Aneros inséré ? Est-ce un plaisir venant de la stimulation extérieure de la prostate ? Merci, je suis si curieux. ”

    #11487
    Andraneros
    Modérateur

    Voici l’expérience vécue par @rahonavis

    ” Bref, après avoir lu et étudier les sites, témoignages et informations disponibles, je me suis procuré un Aneros Hélix, réputé comme le plus efficace et surtout le plus adapté aux pratiquants débutant. J’ai calé dans mon agenda le soir où j’allais tester cet étrange petit objet et j’avoue que quelques heures avant la séance à proprement parlé, je me suis senti envahi d’une incroyable excitation (non sexuelle) et d’une grande fébrilité, un peu comparable à celle qui précède la première fois que l’on va sortir avec une fille ou faire l’amour avec pour la première fois : cette impatience de découvrir un nouveau plaisir.
    Pour ma séance, j’ai suivi les consignes, en tout cas j’ai eu ce sentiment. J’ai acheté un lubrifiant à base de silicone pour enduire l’Aneros et du lubrifiant à base d’eau (les petites poires Aneros de 5 ml) pour la lubrification de l’anus et de la cavité anale. J’ai introduit l’objet, me suis installé sur le dos, les jambes pliées et un coussin sous les fesses pour les surélever et ai commencé à me détendre. Après une dizaine de minutes, j’ai commencé les mouvements de contractions décrits dans le traité. Celui-ci décrit deux techniques de contraction : celle de comprimer les muscles périnéaux comme en serrant les fesses et celle d’obtenir une contraction en « poussant ». Personnellement, je n’ai pas trouvé le truc avec la poussée et me suis concentré sur la contraction. J’ai effectué des petites contractions pendant une durée de 30 secondes, ai fait une pause et ai recommencé ainsi de suite. Au bout de 20 à 30 minutes, j’ai clairement commencé à ressentir ce qu’il se passait, à sentir des tremblements apparaître et mon pouls s’accélérer. Après 40 minutes de pratique, j’ai vraiment eu le sentiment d’approcher un plaisir intense puis ai commencé à m’en éloigner. Rétrospectivement, j’attribue cette redescente à deux choses : l’alternance trop rapide et parfois trop forte des contractions, comme pour forcer le plaisir, ce qui a pour effet d’écraser les sensations prostatiques et de faire redescendre le plaisir. L’autre a été l’erreur de boire une heure avant. L’envie d’uriner est incompatible avec le plaisir prostatique qui l’accentue terriblement. Il est très dur de redémarrer la remontée vers le plaisir après avoir uriné. J’ai tenté de redémarrer pendant une bonne demie-heure sans succès, et ai fini par abandonner après une heure et quart de séance, lorsque j’ai senti mon anus commencer à se crisper autours de l’Aneros.
    J’avais lu qu’il était rare d’atteindre l’orgasme prostatique la première fois, et que de nombreuses tentatives étaient nécessaires pour apprendre à maitriser ces sensations. Cette première expérience a vraiment été divine, et le niveau de plaisir atteint m’a clairement laissé imaginer les sommets de jouissance potentiellement accessibles. J’ai fait plusieurs autres séances dans les semaines qui ont suivi. Toujours selon le même rituel : allongé sur le dos, les jambes ramenées vers moi et écartées, le bassin légèrement relevé par un coussin et l’alternance de contractions pendant des séquences de 20 à 30 secondes. Malheureusement, ces séances se sont vraiment révélées décevantes. Tout d’abord parce que la mauvaise gestion de mon hydratation a de nouveau fait avorter certaines séances par une pressante envie d’uriner écrasant toute sensation de plaisir, mais surtout par ma grande difficulté à trouver et surtout répéter la bonne contraction générant le bon mouvement du stimulateur en moi. Il m’arrivait de trouver pile le bon mouvement qui provoquait instantanément une montée en flèche du plaisir puis que ca stagne ou redescente parce que mon contraction était un peu trop appuyée ou mal positionnée. A chaque fois, j’interrompais mes séances au bout d’une heure environ, constatant que mon niveau d’excitation était totalement redescendu et que la zone anale commençait à présenter des signes d’irritation.
    Je crois avoir fais peut-être six ou huit séances comme cela, après ma première tentative. J’avoue avoir commencé à déchanter. J’ai essayé de changer de position en me mettant sur le côté, mais c’était encore moins bien. Je me suis alors replongé dans la lecture du traité d’Aneros pour finalement mettre le doigt sur un détail qui a fait toute la différence : il semblait ne pas falloir alterner les contractions pendant 20 à 30 secondes, mais plutôt rester contracter en continu pendant ce temps. Ayant le sentiment d’avoir mis le doigt sur un détail important, j’ai entamé une nouvelle séance en changeant ma manière de faire. Peut-être cela a-t-il été du au fait que mon cerveau était devenu plus sensible aux sensations issues de la stimulation prostatique, toujours est-il que contrairement à d’habitude, où il me fallait presque une demie heure de détente et de contractions alternées pour sentir le plaisir décoller, j’ai cette fois-là atteint un niveau de plaisir supérieur en à peine 10 à 15 minutes. En fait, je sentais en moi qu’en restant contracté, l’Aneros exerçait une pression constante, mais maitrisée sur ma prostate, produisant immédiatement des sensations délicieuses et allant crescendo. Par ailleurs, le maintien contracté a rapidement provoqué des contractions en rythme, au niveau de fesses, du périnée et de l’anus, induisant un mouvement du stimulateur qui augmentait encore le plaisir. J’ai commencé à atteindre des niveaux de plaisir et d’excitation assez conséquent, mais sans arriver à ce sentiment d’explosion ou d’orgasme. Il me fallait terminer par une masturbation classique, mais démultipliée en sensation par le mouvement de l’Aneros associé.
    J’ai ainsi fait deux ou trois séances comme cela, jusqu’à LA séance ! Etant seul chez moi ce soir là, j’avais fait une petite séance satisfaisante, approchant de l’Orgasme, mais sans y parvenir. Et puis (j’avais du lire quelque part que quelqu’un avait essayé cela avec succès), j’ai décidé de conserver l’Aneros en moi pour dormir. Je me suis ainsi retourné sur le ventre et me suis assoupi. Je me souviens m’être éveillé le ventre en fin quelques temps après. Installé ainsi sur le ventre, l’Aneros exerçait une pression constante sur ma prostate, qui a fait monter l’excitation, le tout associé à la détente provoquée par l’endormissement. Le plaisir est monté, monté, et chaque nouvelle contraction augmentait le plaisir. Tous les muscles de mon corps se sont retrouvé pris de spasmes jusqu’à un moment où chaque contraction s’est mise à provoquer une décharge de plaisir démente. Et plus de contractait et appuyait sur la prostate, plus le plaisir revenait, sans jamais éjaculer. Je crois que cette nuit-là, j’ai vécu ce grand « O » dont tant on témoigné à son sujet. Je confirme que seul l’épuisement physique et un épuisement sensoriel au niveau de la prostate met fin à la séance.
    J’avais découvert la position et la manière d’atteindre le septième ciel. J’ai depuis reproduit plusieurs fois l’expérience, avec chaque fois plus de maitrise et de plaisir. Le truc intéressant est que cela a décuplé les sensations de la prostate et la finesse avec laquelle on a conscience de ce qui se passe. Je sens depuis, lors de masturbations solitaires ou de rapports avec ma femme, nettement les variations de sensations au niveau de ma prostate (la montée du plaisir, la phase ou elle se rempli avant l’éjaculation, sa contraction au moment de celle-ci et surtout, ces vagues de plaisirs après avoir joui, en contractant subtilement certains muscles, comme un écho. “

    #11047

    En réponse à: Expérience et questions…

    Theghosssst
    Participant

    Troisième session avec l’Aneros:
    je commence à trouver mes marques pour la préparation; aménagement du lit, serviette, lubrifiant, Aneros et lecteur MP3 avec séance de sophrologie. Je n’oublies pas de réduire la luminosité de la chambre et surtout me détendre malgré cette impression de me préparer pour, peut-être, un voyage fantastique. La session a duré 55 minutes. 55 minutes de détente liée à la séance de sophrologie. Au bout de 30 minutes, j’ai tenté les mini contractions de 15 à 30 secondes, toujours à l’écoute de la moindre petite sensation de bien-être. Sincèrement, la séance était très agréable mais sans aucune sensation autre. Mais une chose me surprend au sein de ces nouvelles expériences; Comme je l’ai déjà écrit, depuis que je procède à des entrainements quotidiens de contractions du muscle PC, en voiture ou au réveil le matin, sans Aneros bien sur, je m’aperçois, peu à peu, qu’en dosant les contractions, je ressens quelque chose d’agréable. Au début, c’était une vague furtive qui parcourt le corps, je ne sais pas expliquer la sensation. Maintenant, c’est comme une “chose” au bas du ventre qui se forme en 5 ou 10 secondes, puis il me semble que la chaleur s’ajoute à ça et une mini-explosion dans le corps me fait gémir. Je recommence et hop, même sensation. Alors, pourquoi puis-je ressentir cela et ne pas ressentir les mêmes vagues avec un Aneros inséré ? Est-ce un plaisir venant de la stimulation extérieure de la prostate ? Merci, je suis si curieux 😉

    #11037
    logansan
    Participant

    Après plus de 2 mois d’interruption, j’ai fait une séance aujourd’hui.
    J’étais tellement excité mentalement que je n’ai pas pris beaucoup de temps de détente, après préparation de l’anus et insertion, le plaisir est monté assez vite, sur le dos, jambes repliées, pieds sur le lit.
    Après cette première vague de plaisir, je me suis retourné sur le ventre, et je me suis pris 5 ou 6 vagues de plus en plus intenses.
    Je ne sais pas si le frottement du pénis sur la serviette, ou la position qui mentalement impose plus de soumission, mes fesses offertes à la pénétration, ou les 2, mais j’ai pris mon pied plus d’une heure.

    Je ne sais toujours pas s’il s’agit du super-O en plus, car j’ai l’impression qu’il peut y avoir encore plus fort derrière ce plaisir que j’ai ressenti.

    Mais là, aujourd’hui, sur le ventre, j’ai adoré !

    #11014
    Andraneros
    Modérateur

    Merci @logansan et @Modjo pour toutes ces précieuses précisions.

    Ce glissement vers les contractions involontaires est un peu différent en ce qui me concerne.
    Je fais la plupart de mes sessions la nuit à partir d’un demi-sommeil. Ma position est alors allongé avec les jambes écartées allongées. Je sens des pulsations internes, vraisemblablement créées,sous la pression du masseur, par la circulation sanguine dans la région anale / prostatique / rectale, qui prennent de l’ampleur et commencent à lancer des vagues de plaisir le long de la colonne vertébrale. Puis ces pulsations basculent tantôt progressivement, tantôt brusquement en contractions anales qui déclenchent les explosions de jouissance que j’accompagne en m’enfonçant encore plus dans la détente, quand je le peux.

    Dans mon expérience tout est pratiquement involontaire dès les premières sensations. Mon principal effort consiste à me concentrer sur mes sensations pour amplifier ce que je ressens et à rester aussi détendu que possible.

    Mes sessions diurnes progressent peu à peu et m’ont conduit très récemment aussi à un orgasme prostatique en reproduisant plus ou moins le même schéma avec cependant un démarrage beaucoup plus laborieux. Preuve que je ne maîtrise pas encore le processus. Ma position est alors allongé sur le dos, jambes repliées et pieds à plat sur le lit.

    Par contre la position couché sur le côté me bloque. La respiration abdominale est trop laborieuse, je ne ressens pas bien les pulsations et micro-contractions ni aucun effet favorisant la montée vers l’orgasme. Chacun est différent.

    Pour information j’utilise un Helix classique dont j’ai coupé la poignée à 4 cm du pied du corps principal pour faciliter son mouvement en position couchée.

    #11012
    nicolas775
    Participant

    @modjo. Ce que tu rapportes m’interpelle. Ma position était souvent allongé sur le dos et les jambes à plat écartées. Celà favorise la détente. Lors de ma dernière session, j’ai adopté la position que tu décris et comme toi, cela a fini par des tremblements ininterrompus du bassin favorisant Les contractions internes involontaires. Cela m’ a beaucoup surpris sans toutefois que cela ne me procure des sensations extraordinaires. Comme cela faisait plus de 2 heures que j’avais commencé, je n’ ai pas persévéré longtemps, mais j’ ai réalisé que j’ avais atteint une étape importante. A l’avenir, je vais procéder comme suggéré: sur le côté pendant la phase de detente et sur le dos, jambes relevées en phase “ascendante”

    #11005
    Modjo
    Participant

    @Theghosssst, J’ai rencontré un peu le même problème au départ, peut-être que ce qui suit aidera ?

    Au début, j’utilisais la position la plus confortable et la plus relaxante : celle du chien de fusil.
    En effet, cette posture me permettait de me détendre et d’accepter plus facilement l’insertion de l’hélix.
    Cependant je n’ai obtenu aucun tremblement et très peu de sensation dans cette position (même au bout de 5-6 séances).
    Par pur hasard – j’ai alors adopté la position suivante : sur le dos, les jambes repliées, les genoux en l’air et les pieds à plats. Et la, ça a été radical ! Au bout d’une vingtaine de minutes, j’étais envahi de convulsions, de spasmes et de contractions incontrôlables. La transition entre les deux positions a été très marquante et ce n’était que ma 7ème session. J’ai essayé de comprendre pourquoi :
    Je pense que la relaxation ne doit pas forcément être interprété comme une totale détente du corps(*)
    (* je parle d’un point vue purement physique et non psychologique). Mais pour moi il n’a pas été utile de relâcher tous les muscles, j’explique :

    Le problème qui s’est posé, lorsque je commençais les contractions (et que l’insertion de l’helix ne constituait plus une gêne), c’est que je n’avais aucun “pont” pour faire l’intermédiaire entre la phase “relâchement” et la phase “spasmes”.
    De ce que j’ai vu, les tremblements constituent une étape clef dans l’établissement de l’orgasme prostatique.
    Or je crois qu’il est difficile de trembler lorsque la totalité de nos muscles sont détendu et que nous sommes étendus de tout notre poids sur le lit.

    En ce sens, je pense que la position à adopter pour favoriser le développement des premières contractions involontaires (du moins au début), doit être une position légèrement instable qui nécessite un peu d’effort.
    La position décrite un peu plus haut (contrairement à celle du chien de fusil) crée une tension légère et constante dans le bassin (on contracte pour garder les genoux en l’air). C’est cette sensation d’inconfort qui – paradoxalement – m’a aidé à trouver les premières convulsions.
    Visiblement, cette position m’a permis de transmettre directement les premiers frissons à la prostate (via le masseur) et sans avoir d’effort supplémentaire à faire. Progressivement, la sensation d’incommodité s’est transformée en “chatouilles”. Ces chatouilles étaient liées aux vibrations provoquées par mes convulsions, elles mêmes véhiculées par le masseur, faisant ainsi monter l’excitation et le plaisir par la même occasion.

    Depuis, je réalise la relaxation en position chien de fusil et lorsque je souhaite lancer les contractions, je prends la position décrite plus haut. J’ai obtenu mes premières contractions involontaires de cette manière, depuis ma sensibilité a considérablement évolué. Ma dernière séance était incroyable…
    Je ne connais pas la position que tu utilises, mais peut-être pourrais-tu essayer celle la ? En espérant avoir été utile 🙂

    #10996
    jojodiscret
    Participant

    Évidemment comme tout le monde nicolas. J en fait partie. Quand je fait une seance je me dis que ce sera la bonne. Ca finira par etre vrai

    Pour l’excitation ce que je trouve formidable c’est quand ma femme participe a ma seance. La je n ai plus qu a penser à la detente et a tous ce qui se passe autour de ma prostate. Cote excitation ca marche tout seul avec ses caresses et tous ce qu elle me dit. Quand je suis tout seul c est vrai c est un peu plus complique. Alors je vous donne un conseil : partagez partagez….

    #10992
    nicolas775
    Participant

    Andraneros, vous tapez dans le mille. Les mots nous trahissent. Évidemment que (comme tout le monde, je suppose), j’espere -esperare/attendre- le SuperO. C’est donc un fait que j’ai abordé chaque session comme un premier de la classe qui attend sa bonne note comme le juste retour de son effort. Cela ne fonctionne pas comme ainsi. Je parviens facilement à un état de detente aussi poussé que mon excitation s’ amenuise. Cela ne me décourage pas car j’ai eu plusieurs fois des vagues successives qui ressemblaient à des mini O. Mes dernières sessions ne me procurent pas d’ extase, mais le déclenchement des contractions involontaires et des tremblements de la zone du bassin. En tout cas, ca “chauffe” à différents endroits et je sens que c’ est potentiellement explosif. Toute la difficulté est de gérer la détente, l’ excitation et le lâcher prise. Je comprends pourquoi l’auteur de la vidéo que j’ avais citée repetay ” plus facile à dire qu’ à faire” or ca parait tellement facile sur les videos! Encore merci de vos conseils

    #10935
    Andraneros
    Modérateur

    @Theghosssst vous posez une question qui concerne presque tous les débutants.
    Je n’ai pas trouvé LA réponse alors je me suis débrouillé en utilisant les propositions faites ici ou là sur les forums spécialisés et en les adaptant selon mon état d’esprit et mes progrès.

    Lors de mes toutes premières sessions, la seule insertion de l’Aneros était en soi extrêmement excitante. Je n’avais donc qu’à me concentrer sur la relaxation.
    Ensuite, quand mon corps s’est habitué à sa présence, j’ai dû chercher des relais pour retrouver mon excitation. J’ai regardé des videos pornographiques surtout celles qui montraient des orgasmes prostatiques ; mais la répétition conduit à l’usure. J’ai donc évolué en visualisant des scènes qui avaient l’avantage de correspondre très précisément à MES fantasmes du moment. Quand j’ai commencé à ressentir un plaisir nouveau et fort, mon désir est redevenu suffisant pour nourrir naturellement mon excitation.

    La difficulté d’associer consciemment relaxation et excitation est que l’une tend à tuer l’autre.
    Mon expérience m’a appris qu’il est plus facile de me concentrer d’abord sur la relaxation (exercice difficile pour moi) pour préparer le corps et l’esprit à ressentir ces nouveaux stimuli. Ensuite, quand je me sens bien détendu, je bascule sur la visualisation d’un fantasme, si possible centré sur l’Aneros, pour accompagner les premières sensations.
    Si de temps en temps la détente m’enfonce dans le sommeil, en court-circuitant la session, ce n’est pas un problème soit parce que j’avais peut-être besoin de sommeil, soit parce que la récompense me réveille un peu plus tard sous la forme de vagues de plaisir.
    Cette dernière expérience tend à montrer que la relaxation et l’attention portée à ses sensations intimes (même inconsciemment en dormant) sont plus importantes que l’excitation formelle qui n’est que la conséquence du désir.

    C’est le DESIR qui est le grand moteur de mon excitation. Au commencement la promesse de l’Aneros est suffisante pour alimenter le désir. Plus tard (un peu ou beaucoup) quand on sent approcher l’orgasme prostatique, les progrès réalisés dans l’intensité du plaisir sont suffisants pour renouveler la promesse initiale et raviver le désir.
    La difficulté concerne ceux qui ont besoin de temps pour progresser. C’est entre promesse et frustration que se pose la question de l’excitation. C’est pourquoi il est important de ne pas sombrer dans la frustration et de capitaliser au contraire sur les plus petites sensations porteuses des progrès à venir car la frustration tue le désir. Cette constatation confirme aussi l’utilité d’espacer ses sessions pour que l’attente accentue le désir.

    En conclusion le meilleur moyen selon mon expérience d’associer relaxation et excitation est de ressentir un grand désir de l’Aneros comme on peut désirer une compagne ou un compagnon de sorte que l’excitation soit naturelle. Au niveau de chaque session chacun est différent et la méthode qui a fonctionné dans mon cas, priorité à la relaxation et au développement du désir, peut ne pas donner de résultats pour une autre personne.

    En tout cas @Theghosssst votre état d’esprit est parfait et devrait vous permettre d’atteindre très vite le paradis des anérosiens.

    #10933
    Theghosssst
    Participant

    Je comprends bien le principe nécessaire d’associer la détente et l’excitation et surtout de profiter d’une session tout simplement. Mes deux sessions étaient agréables pour leur temps de détente et de relaxation. Je ne suis pas pressé. L’aventure ne fait que commencer. Mais auriez-vous des techniques pour associer la relaxation à l’excitation ? Je ne vois pas trop comment faire. Merci.

    #10931
    Andraneros
    Modérateur

    @Theghosssst il y a idéalement plusieurs éléments à assembler pour réussir à bien lancer une session de massage prostatique. Le détente, l’excitation, la focalisation et les contractions d’amorçage. Telle que vous nous décrivez votre session, je ne sens pas la présence de l’excitation ce qui explique peut-être que vous n’ayez rien ressenti de “spécial”. Il a été difficile aussi pour moi d’associer relaxation et excitation. En outre vous n’en êtes qu’au tout début de votre cheminement et votre cerveau doit encore apprendre qu’il existe d’autres voies du plaisir. J’ajouterai enfin “le cinquième élément” de cette recette : ne rien attendre d’autre que de passer un moment agréable.

    @nicolas775 vous avez parfaitement raison. Mais vous employez les mots “tentatives” et “essais” qui laissent entendre que vous avez un objectif pour chaque session. Or si vous avez un objectif ultime, accéder à l’orgasme multiple de la prostate, le fantasque Super O’, vous ne devez rien attendre de chaque session. Les progrès vers le Super O’ se font quand votre cerveau et votre corps sont prêts, ensemble. Votre ressenti montre que vous êtes bien parti mais êtes-vous suffisamment excité quand vous commencez votre séance ? .

    #10913
    nicolas775
    Participant

    Theghosssst, il ne faut pas se decourager.je dois en etre a plus de 10 tentatives. Seule l’avant-derniere m’avait procure une serie de micro-orgasmes avec des sensations aussi diverses qu’inconnues. Apres une pause de 8 jours, j’ai fait UN nouvel essai en effectuant au prealable les respirations qu l’on fait en sophrologie sur de la musique classique aux oreilles. (Allegri- Miserere). En fait de relaxation, j’avais rarement atteint un tel etat de detente. Apres, j’ai eu une heure agreable, mais sans aucune vague de plaisir, seulement le ressenti a divers endroits de stimuler des bombes a retardement, de jouer avec des goupilles, mais rien de plus. J’ai decide de ne pas insister. Satisfait neanmoins du potentiel suggere par ces sensations diffuses, j’ ai dormi comme un nourisson et je suis tout excite a l’idee de mon prochain essai.

    #10910
    Theghosssst
    Participant

    Pour ma 2ème session, j’ai fait une séance de sophrologie à partir de CD que j’avais acheté il y a longtemps. Le principe de la visualisation me calme et me détend beaucoup. La séance permet de vivre 30 minutes de voyage dans une forêt ou à la montagne et de visualiser chaque détail du paysage. Malgré ça, je n’ai pas obtenu de sensation de plaisir au niveau de la prostate mais je compte bien continuer dans le sens de la détente par la sophrologie.

    #10820

    En réponse à: Expérience et questions…

    Andraneros
    Modérateur

    Bonsoir @Theghosssst,

    S ‘agit-il d’une contraction des fesses, c’est à dire du muscle fessier, ou d’une contraction de l’anus ressentie dans les fesses ?

    Je suggérerais de commencer par une période de détente avant l’insertion du masseur. Vous pouvez aussi porter le masseur sans faire une session proprement dite en vaquant à d’autres occupations afin d’accoutumer votre corps à la présence de votre Helix.
    La lubrification est-elle suffisante ? Je lubrifie l’intérieur du rectum avant insertion et je mets une couche de lubrifiant sur le masseur.

    Cet apprentissage de l’orgasme prostatique est personnel. Vous pouvez parfaitement commencer par des sessions courtes si c’est ce qui vous convient. Vous augmenterez progressivement la durée des séances en fonction de votre confort. Il n’y a pas de plaisir si vous n’êtes pas parfaitement à l’aise et confortable dans votre session.

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