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Sujet: Il etait une fois…
Bonjour à tous et toutes car je pense que certaine femmes sont aussi inscrite ou lisent nos expériences…
Pour l’occasion j’ai crée ce pseudo pour rester dans l’anonymat.
Je vais vous expliquer comment je procède dans ma découverte de se nouveau plaisir qu’est le massage prostatique.
J’ai 41 ans je suis en couple avec ma compagne depuis plus de 10ans,et tout ce passe pour le mieux.
Bien avant de connaitre ma femme quand j’avais 20 ans j’ai commencé à découvrir le plaisir anal d’abord avec un doigt et très vite avec différent objets de différente taille (pas forcément des sextoys) j’ai donc appris la pratique de ce plaisir par moi même qui ma permis de mieux me connaitre de se coté qui rebute pas mal d’homme.
Pour information supplémentaire je n’ai jamais eu de relation avec un homme seulement avec des jouets et moi-même.Dans le meme temps j’ai commencer à avoir des hémorroïdes à cause de deux facteur,mon nouveau plaisir mais surtout à cause du travail qui m’obligeais à rester debout tout le temps, du coup j’ai du prendre soins de mon anus, en mettant des crèmes et autre suppo pour me soigner cela à duré longtemps, et d’ailleurs de temps à autre il m’arrive d’avoir encore quelques crises mais bien moins violente qu’avant car j’arrive à décelé tout départ (en gros je sent quand il faut se soigner).
Bref, tout ca pour vous dire que quand on souffre de ces désagréments on à “déjà” une hygiène de l’endroit qui est classé “hors jeux” par pas mal d’homme, il faut être super propre en permanence c’est une des clefs du trousseau qui vous permettra de connaitre le plaisir prostatique (j’ai aussi ma méthode pour cela).
Donc, ayant quand même une bonne analyse et connaissance de “mon corps” et jouant “souvent” avec cette zone qui aujourd’hui est bien devenu une zone érogène je me suis lancé dans le traité d’anéros avec en parallèle un entrainement des muscles du périnée pendant deux semaines (env), et dans le même temps de deux achats un anéros progasm et par la suite un duke de fun factory…(sextoy spécial prostate).
En ce qui me concerne je n’ai pas de problème de taille au niveau de l’insertion sur l’un ou sur l’autre sachant que les 2 jouets ont des matières différentes et aussi surement à cause de mon expérience anal qui date maintenant.
En suivant presque à la lettre “le traité” mes deux premières séances ont été un fiasco (un peu dégouté sur le coup), aucunes sensations aucun plaisir, juste celui de se sentir un peu rempli si je peux me permettre cette description, mais vraiment rien d’autre, j’ai ensuite compris qu’une des autres clefs était de se détendre corporellement mais aussi intellectuellement, on a tendance à attendre quelques choses à la moindre petite sensations ce qui fait l’inverse du plaisir recherché.
Du coup j’ai opté (pendant une période courte) de lâcher les jouets spécial prostate et continué à faire mes exercices du périnée au quotidien (à table, devant la TV, en voiture ect) de manière régulière (je me suis crée ma propre technique) pour muscler cette parti de mon corps ainsi que quelques exercice de relaxation (respiration) sans pour autant que cela prenne un temps fou…(je vois parfois dans les commentaires certaine personnes qui font des séances de 1H voir 2H c’est le choix de chacun et le ressenti qui compte).
Et un soir en allant me coucher je n’avais pas trop envie de dormir mais je voulais être allongé (pour info c’était sur le coté), donc j’étais un peu crevé mais super détendu et j’ai fait ces exercices devant la tv de manière habituel avec une respiration par le nez et une expiration par la bouche en gonflant le ventre (comme le spécifie le traité) et ce soir la j’ai ressenti comme une chaleur qui se diffusait dans tout le bas ventre ainsi que quelques contractions involontaire après 30mn/40mn…j’ai compris à ce moment que nous étions tous possiblement apte à avoir ces plaisirs caché (quand je dis caché je veux dire enfoui)
Depuis cette trouvaille je m’efforce de continuer en alternant avec et sans les jouets, pour moi c’est une manière d’habituer son corps à s’éveiller doucement car l’aboutissement ne se fera pas si vous n’êtes pas à l’écoute de votre corps (sensations nouvelle).
Pour finir et pour que vous puissiez ne pas vous découragé aidez vous par des choses qui vous excites en amont (vidéo, photo, ou autres) afin d’éveillé le plaisir, évitez tout contact avec votre sexe au début du moins, car la jouissance prostatique n’est pas du tout la même que la jouissance classique la mécanique est plus interne et les deux couplés ne permette pas l’aboutissement prostatique au début.
A ce jour ma sexualité est plus épanoui car je joue et découvre encore aujourd’hui à plus de 40 balai mon corps, je n’ai pas fini cette quête car je n’ai pas encore atteint le 7eme ciel (SUPER-O) mais en alternant les plaisirs j’ai atteint en peu de temps quelques mini-O (tremblement, spasmes, difficulté à maintenir la respiration alterné, gémissement).
Si certain veulent des conseils ou ont juste des questions je m’efforcerais de répondre simplement.
Et encore une fois soyez à l”écoute de votre corps et pas a la recherche de l’orgasme absolu.à Bientôt.
TL
Sujet: Le Duke
Bonjour,
J’ouvre ce sujet sur le jouet dénommé Duke chez Fun Factory. Adam l’avait testé il y a maintenant cinq ans : http://www.nouveauxplaisirs.fr/test-du-vibromasseur-prostatique-fun-factory-duke/2186
Des témoignages comme celui de Mikel m’ont décidé à acquérir l’engin en ce début d’année :
Cela fait plus de trois mois que j´ai commencer mon experience avec le massage prostatique. J´ai tres bien developpé la technique avec ou sans Duke. Avec le Duke les orgasmes sont plus intenses. J´arrive sans aucun probleme a des orgasmes consecutifs dans tout le coprs avec perte de concience transitoire. .
J’avais posté un commentaire suite à ma première expérience :
Bonsoir,
A mon tour d’avoir craqué pour le Duke. Je sors juste de ma première fois, et cela a été vraiment spectaculaire. Franchement, je trouve que les vibrations sont beaucoup beaucoup beaucoup trop fortes, pour commencer par lui.
Alors, intuitivement, je me suis d’abord fait jouir avec l’aneros Vice, que je connais maintenant par coeur. En position lente, c’est absolument parfait pour se retrouver en soi, après une semaine mouvementée. Je ne sais si vous ressentez les choses ainsi, mais j’aime retrouver ce refuge : c’est un état où mon corps tout entier est révulsé, comme des yeux en plein orgasme. Il ne peut être atteint sans ce retournement (rewiring ?)
Les contractions internes lors des orgasmes successifs « aspirent » le corps et l’esprit et les positionnent « retournés » sur eux-mêmes. Le premier orgasme apaise et atteste d’une ouverture totale du corps. L’attention porte alors sur les fluctuations sourdes et profondes, qui sont les origines mêmes des orgasmes à venir. Délicieux : cela commence avant même qu’on en ait conscience : « c’est pas vrai, je jouis … »
Pour en revenir au Duke, la texture et la forme sont parfaites. Le Duke permet d’aller chercher le dernier sphincter interne, ce que l’aneros ne fait pas. C’est vraiment incroyable d’orgasmer en tenant le duke par ce sphincter, et en laissant ce dernier palpiter. Là, je trouve que les vibrations sont pile-poil adaptées 🙂 C’est vraiment bestial. Pour le coup, on est en contact direct avec l’animal qui est (en) nous. Belle rencontre.
Je n’ai pas joué avec les différentes positions vibratoires, la première était suffisamment vaste à explorer 🙂
Cela m’ouvre un tout nouveau champs d’investigation, et me fait définitivement abandonner l’illusion que notre intime est accessible à un autre que nous. Nous sommes hors d’atteinte. Les caresses n’y suffiront pas.
Bonne nuit
Récemment, je suis tombé sur une scène Fucking Machines qui m’a fait comprendre comment utiliser pleinement le Duke. Je vous invite à voir la scène en question, afin de saisir au mieux ce que je vais maladroitement tenter d’écrire
Bonsoir,
Je ne suis pourtant pas fan de sa plastique car siliconée, mais traversons les apparences : la dernière scène de Veronica Avluv chez Fucking Machines montre l’exemple à suivre.
Pas de sado masochisme, le spectateur se trouve face à la quête sans limite et sans contraintes de l’orgasme total du corps. Et on le voit de multiple fois : Veronica est multi-orgasmique. Je ne sais combien de fois elle jouit dans cette scène, mais je vous invite à admirer ses orgasmes autour de la 28ème minute.
Notez que plus les orgasmes s’enchainent, plus ils sont foudroyants : c’est étincelant ! Qu’elle est belle bien baisée !
Les orgasmes de la 28ème minute sont la manifestation de cette envie instinctive de se sentir totalement remplie, et de chercher à vivre l’orgasme terrassant encore et encore. Et d’oser aller le vivre.
Observez le relachement des épaules, les bras qui partent on ne sait où, les abdos contractés, la poussée du bassin, la cambrure totale du Cobra, le tortillement du corps qui se propage comme des vagues, la tête qui ne dirige plus et se laisse emporter là où le reste du corps lui dicte d’aller, l’hystérie totale, l’électricité, l’envie d’y retourner, les doigts qui ne tiennent plus rien, les mains qui n’agrippent plus rien, les caresses qu’elle s’octroie épisodiquement, la pleine conscience de son corps à fleur de peau, les doigts qui effleurent les chairs en plein épanouissement, l’envie de se sentir remplie (et de l’être), les frissons qui parcourent tout le corps jusqu’aux pieds qui tremblent … et l’expression de soulagement incroyable quand Veronica réussit à s’embrocher à nouveau, et les contractions involontaires du corps tout de suite après … et puis le bassin qui recommence sa danse d’amour et désire à nouveau le va-et-vient.
Ce corps/esprit est le mien quand mes jouets m’emportent. Il aspire, recherche, vibre et vit les mêmes extases.
Quel cadeau ! 🙂
J’invite @Hector à nous faire part de ses premières expériences 🙂
Bonsoir,
La phase après décharge est souvent décrite comme mélancolique : post coïtum animal triste.
Les éjac’ provoquées de l’intérieur par stimulation prostatique montrent qu’on peut les vivre autrement : il y a une vraie plénitude à tendre jusqu’à l’abandon après avoir tant et tant orgasmés. La phase plateau est plutôt euphorique.
Pourtant ce soir, le pur plaisir de se suffire à soi-même ne m’habitait pas : une rencontre et des regards posés avec une belle inconnue ce week-end ravivent les désirs de chaleurs partagées.
Alors, plutôt que de me satisfaire de cette belle décharge habituelle de fin de séance, un nouveau désir a germé soudainement :
Et si je continuais ?
La séance avait été bonne et dans les règles de l’art : pas d’attouchements, les entrailles en fournaise. Le Vice dans la position vibreur la plus basse avait sourdement oeuvré.
Après une courte pause, le désir étant encore là, je me décide à enfourner le Duke, curieux et en même temps chargé d’une évidence : si des orgasmes sans éjaculation arrivent à se déclencher en début de séance, ils doivent pouvoir se déclencher après décharge. 🙂
Surprises : même si les chairs commençaient logiquement à s’assoupir, la furie du Duke fait ses ravages et me revoilà reparti pour un tour, ce coup-ci en me branlant généreusemeent (geste sans préméditation).
Joie ! quelques mini-orgasmes vont se chercher profonds et explosent, alors que je m’astique. Mes caresses n’empêchent pas la quiétude du déroulé, et mon corps est ravi de se voir à nouveau entrepris par la verge.
Joie ! Je me mets à rêver d’un coît endiablé et réalise que je ne perdrai pas vigueur entre ses reins. Le temps psychologique s’est dissous dans la première, et il peut y avoir pure présence jusqu’à la deuxième.
Joie ! Le sublime devient partageable ! Les corps peuvent se briquer à vif sans épanchement fatal ! 🙂
Peut-être l’ai-je trouvé ce week-end la partenaire avec qui ?
Bonne nuit