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  • #15867

    En réponse à: Stronic Drei

    Hyménée
    Participant

    Bonjour Hector,

    Je conçois, mais personnellement quand j’ai envie de sentir un jouet en moi, c’est maintenant et pas plus tard après moult préparatifs. Déjà que souvent il a fallu que j’attende de rentrer chez moi, d’avoir du temps tranquille devant moi, il me faut alors de l’action. Mais commencer par le zwei, c’est obligatoirement passer pas une étape de dilatation préalable pour moi, et donc attendre encore 🙁

    Il me serait possible d’utiliser un zwei après avoir jouer avec un drei, le drei servant alors de préparatifs, le corps en demandant plus…

    C’est tout à fait ça ! 🙂

    Je ne peux commencer par le Zwei. Il me faut auparavant pratiquer le Vice et le Duke. Une bonne une heure de préparatifs, qui en fait n’en sont pas. Disons que les préparatifs se suffisent à eux-mêmes. Actuellement, il y a deux issues : soit une sortie bienheureuse, active et **très** intense avec le Zwei, soit la quête également bienheureuse du super o’ dans l’immobilité et le souffle.

    J’aimerais bien intégrer l’intensité du Zwei dans la quiétude passive.

    Actuellement, je fais face à des intuitions, que je n’arrive pas à concrétiser. Ce sont des pistes qui se dessinent quand j’investigue là où les plaisirs me poussent. Je ne sais pas comment vous dire : une voie à explorer entre l’épuisement des chairs et la tonicité des muscles : la capacité à “tenir” son corps sans crispation, à laisser les muscles se tendre comme pour accrocher une masse sphérique en face de soi et la porter : une unité dans la contraction de tous les muscles (fessiers, cuisses, abdos, puis totalité de la jambe, buste, épaules), le plaisir de laisser tous ces muscles se darder puis se relacher comme ils le souhaitent, et se surprendre à s’évanouir de plaisir dans la détente. Sans crispation ni tension provenant du mental, et pour moi, c’était hors de portée.

    J’ai l’intuition qu’il y a un au-delà à la phase de contraction : que si le corps se contracte ainsi, c’est parce qu’il tente d’agripper un état de félicité. Ou quelque chose comme ça. Je ne sais pas 🙂

    C’est le Zwei et sa capacité à me faire passer à l’acte, qui m’a ouvert à cela : en clair, je prends un grand plaisir assumé à me baiser et à le faire bien. Je ne l’assume que dans mon for intérieur, et c’est bien suffisant.

    #15018
    lucky
    Participant

    Hyménée,

    Vous présenter Julie ? Alors là, c’est trop chaud bouillant. La seule idée vient de me mettre à moitié en transe. C’est impossible pour l’instant en tout cas. Mais purée, j’aimerais…..
    J’aurais bien envie un jour ou l’autre de participer à une soirée demonia et si cela se fait un jour, ce n’est pas moi qui y serai mais bien Julie.
    Julie est porteuse et surgissante de l’aneros. Pas seulement ! J’ai eu une envie subite à vous lire aussi, il faut dire, hein… M’enfin ! J’ai eu une envie de plénitude, de sensations. Et me suis promené un peu avec un rosebud S. C’était trop bon, trop bien.
    Je sais vers où je me dirige désormais.
    Je ne veux pas de dilatation ++, je veux des caresses ++. Alors, l’eupho et le tempo. Je garde malgré tout le billy et le rosebud L, mais c’est pour le cas où…. Au-delà de 3, j’ai beaucoup de mal.
    J’ai regardé les caractéristiques du duke et du pulsateur, pour moi c’est beaucoup trop.
    Je raconterai dans mon post, mais hier ma session n’était pas tellement réussie. J’étai trop énervé. Mais aujourd’hui par contre j’ai l’impression que je suis en phase. D’où les délicieuses choses ressenties avec le rosebud. Et ce soir, je crois que ça va être…. waouh !
    On verra !
    Je raconterai.
    A plus
    Lucky

    #15008
    Hyménée
    Participant

    Bonsoir,

    Je vais prendre ce soir pas mal de temps, pour vous écrire. Il se trouve que je suis en pleine exploration en ce début d’année, et j’aimerais partager cela. Il me semble que je dois à @Songe de livrer tout cela ici ce soir. Ce que tu écris résonne en moi. Merci

    Cela fait maintenant quelque temps que j’enchaine Super O’ sur Super O’, grâce à l’aneros Vice. J’ai fini par connaitre mon corps par coeur, et à force de rewiring (déconnexion/reconnexion des nerfs des zones érogènes), j’en suis arrivé finalement à oublier ma condition déterminée d’homme, et à avoir mis la lumière sur mon vagin 🙂

    Cela peut paraitre assez fou de l’extérieur, mais à force d’observation du sexe féminin, de sa capacité à orgasmer, à accueillir, à s’épanouir, à force d’exploration tactile sur mon corps, j’en suis arrivé à la conclusion que je ressens la même chose. C’est sûrement ce que doit vivre quelqu’un qui tombe aveugle : à force d’écouter et toucher, il finit par visualiser à nouveau l’espace, et trouver son autonomie. Infinie capacité et plasticité du cerveau humain !

    Pour aller plus loin, et sûrement rejoindre @Songe dans son interrogation sur ses désirs de double pénétrations, à force d’observer ces femmes ayant des orgasmes puissants tant vaginaux que par voie anale, des capacités de squirts tant par stimulations vaginales qu’anales, j’en suis arrivé à la conclusion que tout cela était pareil, et servait une seule cause : l’incontrôle, le lâcher prise, l’éclate.

    Autant il doit y avoir des différences physiologiques, autant le vécu intérieur est le même : on a envie de se sentir rempli(e), pris par l’altérité, envie de perdre les pédales pour de vrai, de s’abandonner pour de vrai, de sombrer dans une transe libératrice.

    Tout cela, je le vis grâce à l’aneros, et de nouveaux désirs ont montré le bout de leur nez. J’ai eu envie d’aller plus loin.

    En ce début d’année, j’ai voulu passer à l’acte, et ai trouvé l’inspiration dans les tests de sextoys sur NXPL (merci encore Adam 🙂 )

    J’ai finalement jeté mon dévolu sur le Duke car la promesse de Fun Factory était d’éprouver la sensation de plénitude (fullness), mais aussi sur le pulsateur Stronic Zwei.

    Nous y voilà : comme j’ai pu le raconter dans le fil de discussion dédié aux vibrations anérosiennes, il me faut créer un climax avant de pouvoir profiter des bienfaits de ces jouets très puissants.

    En fait, tout simplement, l’aneros Vice me sert de préliminaires :D, et me prépare les chaires, les nerfs, l’esprit, la conscience, pour m’aventurer dans une expérience plus profonde.

    En tous points : sacrée.

    Je comprends bien maintenant cette folie féminine, ce désir d’accueillir un oblong.

    Il y a je crois, deux façons de se sentir rempli(e?) :

    D’abord le frottement mécanique et la sensation d’écartelement des chaires. Le pulsateur est parfait pour cela. Enfin … j’imagine qu’un amant au sexe adapté l’est encore plus ! 😀 Mais j’ai pas envie d’être pris par un homme. Alors, le pulsateur est parfait pour moi.

    De mon vécu intérieur en état de transe, totalement habité par la trace de ces sourires illuminés qui se font entreprendre l’arrière-train, j’y trouve une certaine lutte pour l’orgasme : il faut se faire frotter, malaxer pour que le brasier survienne.

    Et puis de l’autre, l’extase qui explose sans crier gare au coeur des entrailles et qui laboure le corps par propagation. Le Duke est peut-être meilleur que le Vice pour ce travail, car il arrive à exciter le fond de l’intimité en constante contraction. Le sphincter du fond sort de sa tétanie, et … comment dire … fiou ! 🙂

    Les conséquences sur l’orgasme sont assez importantes. Pour l’instant, je donne une prime à l’extase plutôt que l’écartelement. Et c’est assez étrange, car c’est finalement le sextoy le plus fin qui donne la sensation d’être rempli la plus probante.

    Mais les deux fournissent cette certitude d’être dépossédé de soi-même, d’être hors de soi par l’action d’un autre. Et c’est pas forcément évident à vivre pour un homme. Certes, la pipe peut donner ce sentiment, mais je sais pas comment dire : l’orgasme s’envole sans qu’il soit la conséquence d’un réflexe attendu et follement désiré.

    Je ne sais si un vagin fournit les mêmes sensations, mais j’ose le croire : contrairement à l’anus, il n’y a pas ce sphincter dominant en entrée de course. En cela, les orgasmes profonds doivent se rapprocher des orgasmes prostatiques. Les frottements d’un braquemart doivent courir sur l’intériorité en son entier.

    En fait, le fait d’explorer les bénéfices de ces deux nouveaux sextoys, me font réfléchir aux origines de ces orgasmes qui me parcourent le corps.

    En vous écrivant, je me demande si tout simplement, l’envie de me sentir écartelé ne joue pas sur certains nerfs sympathiquement connectés au fantasme plus qu’excitant que je me fais d’être pris, plutôt que l’envie de me sentir rempli. Pour dire les choses autrement, j’ai l’impression que le pulsateur m’arrache des orgasmes transgressifs (être pris comme une femme accueillante et désireuse d’être prise – comme une femme qui aime la bite et se fait fourager – ce qui n’est pas désagréable), alors que l’aneros Vice et le Duke me fournissent des extases irresistibles et douces à m’en cramer l’ego.

    J’ai jalousé depuis mon adolescence les femmes fatales. J’aurais aimé naitre femme au pouvoir attractif absolu. Oser en incarner une par fantasme, est étrangement transgressif : cela me fait sortir du jeu de la fascination/répulsion. Bon bref !

    Le pulsateur me semble fournir des orgasmes par résistance et écartelement, alors que le Vice et le Duke m’amènent à une réconciliation intérieure.

    En terme d’éjaculation, la différence aujourd’hui est assez cinglante :

    en mode “orgasmes profonds”, je laisse mes Super O’ déclencher l’éjaculation comme et quand ils le souhaitent, telle une femme fontaine se surprend à exploser de partout.

    en mode “pilonnage viril”, je ne peux m’empêcher de me finir en me branlant, ce que je trouve décevant, même si c’est quand même très bien. Disons plutôt que j’y vois là une marge de progression. Cela pourrait aller plus loin. D’ailleurs, en écrivant cela, je me rappelle que je suis passé par là avant qu’un aneros ne me fasse vivre un super O’ incontrôlé. Faut pas trop impatient. Cela vient quand le corps et l’esprit sont mûrs pour le vivre 🙂

    Voilà. J’ai l’intuition d’avoir trouvé le début d’un nouveau sentier de plaisirs pas du tout balisé. Il a peut-être à voir avec celui des femmes, guidées par ce désir furieux d’être introduites. Si une main douce pouvait tapoter son clavier pour converser à ce sujet, j’en serai ravi. Après tout, un forum de discussion sert à cela.

    Bonne nuit

    #14737
    Hyménée
    Participant

    Bonjour Andraneros et très bonne année également !

    Après réflexion, il me semble que il s’agit du même processus d’apprentissage que l’écriture : on apprend le crayon à la main, on s’éclate avec le clavier. Mais sans l’apprentissage au crayon, impossible de s’éclater au clavier.

    Il faut se donner le temps d’intérioriser la pratique prostatique, comme on s’accorde des années pour apprendre à écrire. Cela se fait minutieusement, avec beaucoup de tatonnements et de fautes. La recherche de son propre style se fait sans l’apport technologique.

    Et puis, on oublie tout cela, et on se concentre sur ce qui est écrit.

    Pour les orgasmes prostatiques, la pratique sans vibrations me parait indispensable. C’est fastidieux, long, par moments décourageant. Et puis, la conscience du corps finit par émerger.

    On “sait” ce qu’on cherche, tout simplement parce qu’on l’a vu s’épanouir mille fois dans le corps des femmes. Et puis, on finit par intérioriser l’orgasme féminin, celui qui laboure le corps en son entier. Et c’est l’éclate ! Une libération absolument radicale ! Le plus étonnant est l’évolution de la relation avec ma femme, ma fille et les femmes : il n’y a plus de résistance. Il n’y a plus de jalousie, plus de projection, plus d’attente de solutions. On est à égalité. On se sent connecté.

    Le plus agréable est l’évolution de la relation avec les hommes : on s’en fout ! 😀

    Pour répondre à votre question Andraneros, je ne pourrais plus vous dire la différence entre orgasmes avec ou sans vibrations. J’ai oublié les sensations sans vibrations. Je n’utilise plus mon Progasm, même s’il est toujours à portée de main. Ah si ! Je regrette les sensations que procuraient les gels à base de silicone (incompatibles avec le Vice ou le Duke). Un vrai délice !

    Par contre, après un orgasme profond, j’éprouve un grand plaisir à couper les vibrations pour me retrouver en état de béatitude totale, sans stimulation, avec la certitude que je peux/vais y retourner et que donc j’ai le temps. J’aime bien me toucher à ce moment-là, et laisser les chairs se reposer, retrouver une nouvelle vigueur. C’est en fait très physique. L’orgasme dure, et prend tout le corps.

    Pendant ces moments-là, c’est un vagin que je touche et rien d’autre. Une exploration totale. Et puis, l’envie renait et j’y retourne. C’est très très intense. Je ne connais rien de meilleur.

    Et c’est là où le Duke est magique, car il permet d’aller explorer plus profondément son intimité. C’est assez génial, car je commençais à tourner en rond avec le Vice. Il me manquait quelque chose, que j’arrive maintenant à nommer :

    l’envie de se sentir totalement rempli. Je pense que les femmes à la recherche de sexes de gros calibres ou de pénétrations multiples en simultané, doivent comprendre cela. Je serai d’ailleurs ravi de les entendre à ce sujet. La sensation est vertigineuse. Un vrai jeu d’équilibrisme, pour oser s’abandonner à autant de puissance. Un vrai régal quand on ose se laisser submerger.

    Fiou ! Rien que d’écrire cela remet le désir en mouvement. J’ai envie.

    #14668
    Andraneros
    Modérateur

    Bonne Annéros 2015 et bon retour sur notre forum @Hyménée.

    Je suis heureux de lire que vous poursuivez votre cheminement toujours plus haut, toujours plus intense. Il y a donc encore beaucoup à découvrir après les premiers Super O’.

    Votre dernier commentaire sur le duke de Fun Factory (ici) alimente ma réflexion sur les nouvelles découvertes que je pourrais faire avec les masseurs vibrants et me conduit à réactiver ce sujet sur les vibrations. Vous semblez dire si je comprends bien que le Duke apporte une forme de jouissance qui va au delà de ce que vous apporte le Vice.

    Je sais bien à quel point le vécu des orgasmes prostatiques est profondément (sans jeu de mots) personnel. Cependant pour m’aider à me faire une idée claire de votre expérience et à basculer à mon tour dans la jouissance vibratoire, pourriez vous nous dire comment se situent les uns par rapport aux autres les orgasmes sans vibration, les orgasmes procurés par le Vice et ceux procurés par le Duke ?

    J’ai hâte de retrouver votre approche poétique rafraîchissante et enthousiasmante.

    #11662
    progasmjoy
    Participant

    Bonjour,
    Je vais essayer de décrire mon expérience,
    Cela fait 6 mois que j’ai découvert cette expérience complétement inconnue de moi jusqu’alors. J’ai 54 ans.
    J’ai commencé par utiliser le duke de fun factory. J’utilise maintenant le progasm aneros car j’ai lu sur ce site et le site aneros le caractère extraordinaire possible des expériences avec ce stimulateur.
    J’ai lu le traité et je suis à la lettre les conseils. préparation anale, lubrification de l’aneros avec un lubrifiant à base de silicone, 5 ml de lubrifiant aqueux pour le canal anal. Je n’ai aucun problème pour introduire le progasm. Je me relaxe 10 minutes en respirant doucement avec le ventre. La sensation est déjà agréable. Puis je réalise des contractions rectales douces d’environ 15 secondes alternées par une pause de 2 respirations. Je suis sur le dos avec un traversin sous les fesses. Au bout d’une quinzaine de contractions je commence à sentir des vibrations dans les fesses et des contractions involontaires. Du liquide séminal sort de ma verge. Au bout d’une trentaine de contractions régulières je passe à des contractions plus longues pas forcement plus fortes. C’est à ce moment que les choses commencent vraiment. J’ai les jambes pliées. Je commence à ressentir des contractions fortes des fesses, des jambes, des mouvements du bassin. Je fais des poses et je continue les contractions. A ce moment j’ai des contractions de plus en violentes de tous le corps avec le bassin qui remonte. A certains moments je ne peux m’empêcher de gémir. J’ai le souffle haletant. Je caresse l’intérieur de mes cuisses et mes mamelons, le plaisir est plus intense. Je ne touche pas ma verge . Mon sexe est en érection à certains moments. J’alterne des contractions anales et du rectum. Je sens bien le contact du progasm contre la prostate. Et puis soudain au bout d’une heure le plaisir devient extraordinaire et j’éjacule. A ce moment là j’arrête. C’est la deuxième fois que cela m’arrive. Je suis déçu car je pensais que cela n’arriverait pas.
    Quels sont vos conseils pour éviter l’éjaculation ?
    MErci d’avance.

    #10278
    analorgasm
    Participant

    Bonjour,
    Il y a quelques semaines que je me suis offert un Fun Factory Duke. Je commence à y trouver du plaisir, mais un petit problème m’ennuie vraiment beaucoup…
    Lorsque je ressorts l’outil, il est, disons… souillé !
    Existe-t’il un moyen d’éviter cela ?

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