20 réponses de 21 à 40 (sur un total de 500)
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  • #44015

    En réponse à: Débutant en progression

    sensual
    Participant

    Hello,

    chacun a sa façon de progresser. L’essentiel est de partir de quelque part (tes expériences actuelles), de se mettre en chemin (ta présence ici) et de persister…

    Si apparemment beaucoup trouvent l’orgasme prostatique avec l’Aneros, d’autres passent par d’autres sentiers, personnellement je me reconnais plutôt dans ton cheminement. Mais encore une fois, au-delà des spécificités corporelles de chacun (comment les différentes parties du corps réagissent à la stimulation) c’est aussi une question de sensibilité psychique. On parle ici de plaisir, et c’est le plaisir qui doit nous mener. C’est lui qui nous amène à expérimenter, et je pense qu’il ne faut surtout pas se bloquer sur des concepts, des idées, des techniques, découlant d’une pure approche cérébrale. L’essentiel est de savoir accueillir le plaisir que  ton corps peut te donner, et qui est très grand, mais parfois difficile à comprendre.

    Bonne route !!!

    #43900

    En réponse à: besoin de conseils

    persevere
    Participant

    @Andraneros, merci pour tes commentaires

    Pour répondre à tes questions, je préfère toujours l’après midi. Jusqu’à présent, mes meilleurs moments sont toujours arrivés l’après midi. Le matin ne semble pas propice à la pratique. (mais j’essaie quand même )

    Quand au soir ou à la nuit, je ne peux pas m’isoler, donc c’est exclus.

    J’espère que mes prochaines sessions vont s’enrichir chaque fois un peu plus.

    En tous cas merci à vous qui prenez le temps de nous conseiller, de nous commenter, et de partager vos expériences. C’est grâce à tout ce que j’ai lu sur ce forum et aux conseils de certains que j’ai pu me faire une idée de l’obstacle et de la façon de l’aborder. Je sais que rien n’est acquis, mais je me reconnais partiellement ici et là dans certains de vos commentaires qui m’ont énormément aidé et qui continueront encore à m’aider

    Chacun commence par un cheminement à l’aveuglette, aussi chacun peut éclairer quelqu’un d’autre à un moment ou à un autre pour l’aider à trouver la bonne voie.

    C’est pour cette raison que je partage également mon cheminement ici.

    Bonne semaine à tous

    #43765

    En réponse à: Questions pratico-pratiques

    curieuxjj24
    Participant

    Bonjour Andraneros,

    Pas de problème, je sais que chacun vient sur le forum quand il trouve le temps (moi le premier) et comme je passe régulièrement, je découvre avec plaisir de nouvelles réponses. C’est le cas aujourd’hui et je viens de te lire.

    Je suis désolé mais la lueur d’espoir n’a pas duré. Je continue avec assiduité mes séances, certaines pourtant dans de très bonnes conditions, mais quelque chose ne va pas chez moi : je suis quelqu’un de compliqué, cérébral, calculateur au sens de chercher à tout anticiper, “comptable”, enfin tout ce qui ne faudrait pas pour que ça marche. Au bout de 80 séances environ, je suis maintenant relativement à l’aise avec les masseurs mais j’éprouve une terrible sensation, une sorte de cercle vicieux : je me rends compte que j’analyse de plus en plus mes sessions avec froideur, comme une sorte d’examen gynécologique. Je me dis dans ma tête à peu près ça : “bon, il faut entre 10 et 20 mn de détente, ça y est c’est fait, maintenant, on passe aux caresses et on accentue la respiration abdominale, alors : qu’est ce que ça fait ? bof, pas de vague à l’horizon, ah oui, l’arme fatale : je caresse mes tétons, ouais, c’est agréable mais ça ne vient toujours  pas, il n’y a pas cette étincelle qui va me déclencher une sensation nette qui va aller en s’amplifiant et me donner raison d’avoir continué, qui va balayer le “comptable” pour laisser place au lâcher prise, au bien-être. Au lieu de ça, au bout d’1h30-2h, j’ai fait le tour des trucs et astuces et la séance se termine me laissant frustré, j’ai envie de dire, une fois de plus.

    Voilà où j’en suis. Demain je vais pouvoir faire une bonne séance encore une fois. Je vais peut-être ensuite faire une pause, histoire de passer à autre chose quelques temps et reprendre avec plus de spontanéité. Il ne faut pas croire que je veuille abandonner, bien au contraire. Je suis malgré tout convaincu que le plaisir est là, qu’il ne demande qu’à s’exprimer, il faut juste que je trouve comment lui ouvrir la porte. J’ai l’impression d’être dans une pièce noire, l’antichambre du plaisir, et de chercher à tâtons l’entrée. Le pire c’est que j’ai lu et relu vos conseils et commentaires et que je sais très bien ce qu’il faut faire, que le secret est de pratiquer sans rien attendre, tout le contraire de ce que je fais quelque part, mais au bout d’autant de séances, comment ne pas se poser de questions, comment ne pas avoir envie de connaitre ce bien-être que vous décrivez tous et qui semble tellement libérateur et bienfaisant. Peut-être que j’en ai plus besoin que les autres et que du coup, je l’attends trop. Je me mets probablement inconsciemment trop de pression. Faire le vide dans sa tête est une abherration, c’est impossible. Il faut arriver par l’entrainement à la méditation arriver à naviguer dans ses pensées pour laisser de côté les mauvaises et encourager les bonnes mais ça, c’est pas simple.

    Comment ne pas douter aussi : pourquoi ça ne marche pas chez moi ? Je n’ai toujours pas ressenti les fameuses contractions involontaires et ça, ça m’intrigue. Pourtant j’ai parfois des tremblements impressionnants dans les jambes (parfois rien) mais ça ne va pas plus loin : comme si mon corps était divisé en deux, le bas qui s’exprime, qui vit et le haut qui analyse, qui s’interroge. J’ai tenté beaucoup de choses pour contourner ça. J’écoute sur mon téléphone des séances de méditation, de lâcher prise, je mets ensuite de la musique avec des bols tibétains ou des fréquences qui sont censées déclencher une “montée de kundalini” mais si ça me détend, je n’ai pas eu de signes de progression significatifs. J’arrive à un stade de pratique (pourtant intense, j’ai fait 4 séances rien que cette semaine) où j’ai l’impression d’être à un tournant. Il me faudrait un petit encouragement pour continuer. Mais je suis pugnace, persévère est déjà pris comme avatar mais j’aurais pu prendre abnégation !

    Bon, attention, je ne veux pas donner l’impression que je suis en dépression, tout ça n’est que la recherche du plaisir après tout, mais mon ressenti est cyclique. Par moment, j’y crois à fond et je suis excité (comme l’autre fois ou j’ai posté) et par moment comme aujourd’hui, le doute m’habite (sans jeu de mot) et je me pose vraiment des questions : suis-je un cas désespéré ? y’a t’il des hommes qui n’y arrivent pas ? Cette idée m’effraie et je la rejette en bloc pourtant. Je ne m’imagine pas privé du plaisir que vous connaissez, ce serait trop injuste. C’est terrible de penser en plus que vous cherchez tous à m’aider et vous êtes vraiment touchant d’empathie mais il n’y a pas de formule magique, pas de bouton où appuyer pour déclencher le truc. La réponse c’est moi qui l’ai et c’est à moi de la trouver.

    Le point positif est que j’ai ressenti (et je ressent encore par moments) avec ou sans masseur des sensations brèves, furtives dans le rectum qui me laisse penser que quelque chose se passe pourtant mais comment le développer alors que j’ai suivi tes conseils de pratiquer, pratiquer, pratiquer et que j’ai l’impression d’avoir fait le tour de l’entrainement. Et maintenant alors, on fait quoi ? Que puis-je faire de plus pour progresser ? Je crois que j’ai la réponse : rien. Il faut continuer, cultiver la douceur et le bien-être, se concentrer sur le moindre tressaillement pour essayer d’en provoquer un deuxième jusqu’à ce qu’un jour peut-être l’animal satori vienne à moi sans que je m’y attende comme il est dit dans les conseils d’Adam.

    J’ai voulu essayer de ne pas me masturber pour charger mon énergie mais j’ai du mal à résister. J’ai tenté de me masturber pour arriver à la limite et arrêter avant l’explosion afin de me donner envie de jouir pendant une séance mais hélas, je me suis trop approché du bord et j’ai éjaculé. Je vais continuer à chercher des astuces pour titiller ma libido, je pense que ça va dans le bon sens.

    C’était le point du jour, un peu mon journal intime quelque part mais je suis toujours dans le partage d’expérience et d’autres pourront surement se reconnaitre dans ce que je traverse. Si je trouve la clé ou du moins, ce qui m’aura permis d’atteindre le but, il y aura un historique de mon parcours.  Et ce jour là je vous le dis : Champomy pour tout le monde !

    Merci à vous tous pour votre accompagnement et votre patience à mon égard.

    #43650
    pascal44
    Participant

    Votre remarque met en évidence que vous semblez bien isoler les réactions des différents muscles de la zone périnéale alors que pour de nombreux débutants les sensations encore nouvelles sont difficiles à localiser. Selon vous d’où vient votre aptitude à percevoir aussi nettement les sensations qui vous conduisent à vos orgasmes ?

    Oui, je ressens des sensations (avec ma très modeste expérience !) dans deux zone très différentes :

    La zone anale, très sensible dès le début et très mobile, là où les mouvements involontaires peuvent arriver très vite.

    C’est cette zone que j’ai ressentie très fortement au début. C’est sa contraction qui vient faire bouger le masseur, qui lui-même va venir de fait appuyer de manière plus ou moins forte sur la zone interne de la prostate. Je pense qu’il faut essayer très vite de ne pas se focaliser seulement sur les sensations de cette zone.

    La zone de la prostate, parfois très peu sensible, mais parfois immensément réactive

    Pour moi, cette zone est essentiellement interne mais se prolonge néanmoins jusqu’au périnée.

    Une fois sensibilisée, j’ai l’impression que cette zone se contracte également, mais de manière beaucoup plus subtile que la zone anale.

    Chez moi, j’ai l’impression que la montée du plaisir et l’orgasme proviennent de ces deux contractions antagonistes, les contractions de la zone de la prostate venant peu à peu s’opposer aux mouvements induits par la contraction anale.

    Chez moi, l’orgasme survient lorsque cette contraction de la zone prostatique devient aussi puissante que celle de la zone anale et y répond en plaisirs successifs allant crescendo.

    Souvent, quand on dit qu’il faut contracter le périnée, on comprend “contracter tout le périnée, et notamment la zone anale”.

    L’inconvénient est que, pour quelqu’un qui découvre les sensations de ces zones, les sensations de la zone anale peuvent “écraser” totalement celles de la zone interne de la prostate.

    Pour ma part, comme exercice d’apprentissage, je pratique de la manière suivante (sans le masseur), et sans recherche particulière de plaisir à ce moment là :

    • Contracter l’ensemble “sphincter anal + totalité du périnée”
    • Commencer par de fortes contractions, puis aller en les diminuant, et rechercher les contractions minimum, à la limite de la non contraction.
    • Ensuite, passer au même exercice, en contractant uniquement le sphincter anal, mais sans contracter du tout le périnée.
    • Enfin, passer au même exercice, en contractant uniquement le périnée et les muscles internes qu’on sent autour de la prostate, mais sans contracter du tout le sphincter anal. Le problème est ici que notre cerveau ne “connait” pas ces muscles de manière fine et donc est en principe incapable de leur envoyer la “commande” de contraction de manière pertinente (c’était en tous cas mon cas au début !). C’est là que la pratique préalable avec masseur communique au cerveau l’information que “ces petits muscles peuvent se contracter”. Au début, ils le font de manière involontaire pendant l’orgasme. Tout l’enjeu de l’apprentissage de la sensibilité est de réussir à les contracter volontairement… et à ne contracter que ceux-là !

    Pour mon cas personnel, je pense que l’aptitude à percevoir ces petites sensations provient de l’habitude de rechercher des sensations musculaires fines qui ne sont habituellement perçues que dans leur globalité.

    Sans parler de la zone périnéale, notre cerveau n’a en général pas “appris” à reconnaitre ou à contracter certains muscles profonds, comme par exemple les muscles de maintien de la colonne vertébrale.

    L’aptitude générale à découvrir ces “parties de notre corps” est un résultat à la fois physique et mental de pratiques telles que la méditation, le tai chi chuan, etc…

    #43512
    Andraneros
    Modérateur

    Bonjour @sensual.
    Depuis de longues semaines plus aucun membres du forum n’a accès aux commandes d’édition de texte. Je subis la même restriction quand je publie mes messages directement sur le forum.
    J’ai signalé cette évolution à @Adam.

    En revanche quand je bascule en mode “modérateur / modératrice” j’accède à ces commandes. Quand je publie un message je le mets en forme à partir d’une fenêtre en mode “modérateur”.

    Je m’efforce de reprendre les messages des autres participants dans lesquels je reconnais des citations (présence de guillemets ou écriture en majuscule) et d’y incorporer les balises de mise en forme pour les citations. De même je m’efforce d’intégrer les liens à des mots quand cela est possible pour faciliter la lecture et l’ouverture de l’adresse ciblée.

    A tous les participants :
    N’hésitez pas à me laisser des appels pour la mise en forme de vos textes. Je ferai mon possible pour en améliorer la présentation et faciliter leur lecture.

    Pour ceux qui veulent gagner du temps, en attendant qu’une solution soit apportée, vous pouvez placer les balises
    < b l o c k q u o t e > et < / b l o c k q u o t e > (sans les espaces)
    avant et après la citation.

    #43455

    En réponse à: Reconnaitre un mini-O

    bzo
    Participant

    Le stress, la fatigue, le manque de temps, etc. Avec une famille très active, un horaire bien chargé, ce n’est pas facile de trouver un moment pour se détendre, de jouir et de gémir, avec tout le temps que ça demande!

    très certainement, il faut avoir du temps à consacrer à soi,
    c’est à peu près le seul matériau dont on a besoin en quantité,
    dans nos pratiques

    Avec ma prostate, j’apprivoise un plaisir différent, une relation différente avec mon corps. Je me reconnais beaucoup dans les propos de @BZO. C’est ma féminité qui s’exprime par ma prostate, par mon corps. Tout ça évolue à travers mon hétérosexualité, ouverte et enrichissante. Je crois sincèrement que la féminité chez l’homme est un pouvoir à découvrir, à apprivoiser, que ce n’est pas une menace à la virilité, mais bien une force complémentaire. Je trouve que c’est beau et enrichissant.

    je ne peux que concourir,
    la femme est l’avenir de l’homme, comme l’écrivait l’autre (Aragon)

    J’apprécie grandement échanger avec vous, me confier.
    Vous me faites du bien.

    c’est sûr qu’ici, ( et sans doute quelques autres forums du genre, s’ils atteignent un certain niveau d’écoute et de tolérance),
    on peut écrire et échanger sur des thèmes, des fantasmes, des pratiques,
    qu’on peut et l’on ose, très rarement exprimer ailleurs,
    même avec ses plus proches,
    surtout, peut-être, avec ses plus proches

    le plus intime, le plus troublant, le plus excessif,
    trouvent leur place par ici, sans jugements,
    peuvent monter à la surface,
    c’est si bon de pouvoir en parler,
    sans aucunes limitations,
    sans aucun tabou,
    faire monter tout cela pour l’aérer,
    le confronter à ce que d’autres portent en eux

    ce forum nous offre une chance de faire évoluer
    ce qu’il y a de plus intime en nous,
    d’en discuter avec d’autres,
    comme si on discutait de sport ou de livres

    #43443

    En réponse à: Reconnaitre un mini-O

    QCAnalBoy
    Participant

    Bonjour @Andraneros, @bzo et les autres!

    Bon j’ai pris un peu de temps pour répondre, mais j’avais besoin de bien articuler mes idées! 🙂

    Je suis doublement heureux de lire ton message d’hier. En premier lieu ta fidélité est une source de satisfaction pour nous après une bonne année sans message de ta part, mais surtout le sujet de ton message est un vrai bonheur pour moi.

    J’étais plus discret dans la dernière année, car j’évoluais de mon côté, lentement, pas à pas. Aussi, je n’avais pas le sentiment de pouvoir bien articuler ce qui évoluait. Je devais surement prendre du recul et gagné un peu de vécu pour revenir en force. 😉

    Tu étais déjà bien avancé dans ta progression vers l’orgasme prostatique après quelques mois d’expérience bien plus laborieux selon ce que je comprends. Je suis évidemment très curieux, tout comme nos lecteurs qui débutent ou ont du mal à vivre ce que tu vis, de savoir comment s’est passée la transition entre tes grosses vagues de plaisir / mini-Os de début 2021 et les orgasmes prostatiques pleinement assumés dont tu nous as donné la description hier.

    Oui, je pense que j’ai beaucoup progressé. Je sens que j’ai pris de l’expérience à écouter mon corps, à percevoir les sensations. Je ne dis pas que j’ai des bons résultats à tous les coups, mais je crois que je sais maintenant cibler les moments où mon corps est réceptif. Avec ma vie chargée et intense, c’est un défi de me donner un contexte idéal pour profiter au maximum d’une séance d’Aneros. Le stress, la fatigue, le manque de temps, etc. Avec une famille très active, un horaire bien chargé, ce n’est pas facile de trouver un moment pour se détendre, de jouir et de gémir, avec tout le temps que ça demande! Quand les occasions se présentent, on saute dessus! Avec le temps, j’apprends à préparer mon état d’esprit pour atteindre l’orgasme prostatique. J’essaie de cibler les moments où mon corps offre une belle énergie sexuelle. Par exemple, si mes séances sont tard le soir, je suis fatigué, les enfants sont couchés et je ne peux pas faire de bruit, je n’ai pas de bon résultats. Quand je sens que mon corps est excité, plein d’énergie, que je suis seul à la maison, que mon anus chatouille d’excitation, mes sessions d’Aneros sont parfaites! Je jouis!

    Pour ma part, le succès vient du fait que je comprends mieux mon corps et du contexte dont il a besoin pour jouir.

    Je ne crois pas avoir atteint le Super-O, du moins pas de la manière que certains le décrivent. C’est relatif à chaque individus je suppose. Pendant mes orgasmes prostatiques, je deviens un peu en transe, enfoui dans mes sensations et émotions, à l’intérieur. J’ai de puissants orgasmes prostatiques et je suis parfaitement heureux avec ça, même si ça ne devient pas démesuré. Je crois @BZO disait un jour, il faut surtout se laisser aller, dans le moment présent. Je crois qu’il a parfaitement raison. J’ai commencé à avoir des résultats quand j’ai vraiment pris le temps de savourer les sensations, juste être attentif aux sensations de mon corps. Qui sait… le Super-O va peut-être me surprendre un jour.
    Pour moi, une séance d’Aneros c’est une occasion de vivre une expérience sexuelle intime, un moment solitaire, un cadeau pour moi-même. C’est une expérience physique et émotionnelle.

    La jouissance que procurent tes orgasmes péniens a-t-elle suivi une évolution équivalente ?

    Oui certainement. C’est difficile à expliquer, mais je crois que ce sont mes orgasmes en général qui ont atteint un niveau supérieur. Que ça soit par la stimulation de mon pénis, ma prostate ou mon anus (ou une combinaison des trois), je sens que mon corps me donne plus de jouissance, des orgasmes plus puissants.
    Pour l’orgasme pénien, ma prostate est bien éveillée et je suis davantage conscient de toutes les sensations pendant l’éjaculation. Je note aussi un changement par rapport à mes réactions. Je gémis très fort, j’extériorise mon ressenti. Avec ma conjointe, quand j’éjacule dans son vagin ou sur son corps, je ne me gêne plus à partager l’intensité de mes orgasmes.

    Comment ta femme a-t-elle évolué de son côté ? Plus précisément a-t-elle poursuivi sa découverte de la stimulation anale qui paraissait prometteuse ? A-t-elle eu l’envie de développer sa capacité à vivre des orgasmes inspirée par ta transformation ? Ton développement sexuel, peut-être accompagné par celui de ta femme, a-t-il modifié vos jeux érotiques ?

    Ma conjointe et moi avions tenté quelques stimulations anales. Cependant, elle m’a partagé qu’elle n’éprouvait pas le même plaisir que moi. Je comprends simplement qu’elle n’a pas le désir d’explorer ce volet. Je crois que notre vie sexuelle la comble bien. Par contre, ce qui a changé (et qui évolue encore au fil des jours) c’est que mon plaisir anal est beaucoup plus assumé dans notre couple, il prend pleinement sa place dans nos pratiques sexuelles. Elle devient une complice de ce plaisir. Je pense qu’elle s’étonne encore de me voir jouir aussi intensément, de la façon que mon corps se crispe de plaisir et la puissance de mes gémissements.

    Bien qu’elle ne soit pas tant engagée dans une démarche plus exploratoire (je crois qu’elle n’en sent pas tant le besoin), je constante qu’elle a du plaisir a être complice à ma transformation. Elle aborde notre vie sexuelle avec beaucoup plus d’ouverture. Je crois que c’est grâce au dialogue que nous avons, c’est la clé.

    Dans nos jeux érotiques, nous avons surtout ajouté la pénétration anale (moi qui se fait pénétrer). Ma prostate en profite aussi, mais c’est surtout des caresses de mon anus et de l’utilisation de jouets. J’utilise un peu l’Aneros, pendant qu’on fait l’amour, mais ce n’est pas du tout comme une séance en solo. C’est vraiment pour bonifier mes orgasmes. L’Aneros est un jouet assez dur et je trouve qu’il pèse fort sur la prostate (un peu trop) avec des mouvements vigoureux de mes hanches pendant que je pénètre ma conjointe. Je crois que les muscles de mon anus/rectum sont très puissants, quand j’éjacule avec l’Aneros, dans certaines positions, c’est trop de pression sur ma prostate. Ma conjointe me disait d’ailleurs que mon anus serre très fort pendant l’orgasme. Elle me disait en blague : « Tu vas me casser le doigt avec ton anus! 🙂 ». Bref, je trouve que l’Aneros se savoure surtout dans la délicatesse.

    J’ai quand même le désir de vivre une séance d’Aneros avec ma conjointe, sans pénétration. dans l’idée qu’elle m’accompagne dans l’orgasme prostatique. Je l’imagine à côté de moi, avec des caresses douces, des baisers, sans toucher mon pénis, sentir l’odeur de sa vulve, toucher ses seins… Je veux lui faire vivre mes orgasmes prostatiques. J’aimerais qu’elle vive cette expérience avec moi, dans une forme de masturbation mutuelle.

    Malgré le fait que ma vie sexuelle s’enrichisse beaucoup avec ma conjointe, j’ai encore mon petit jardin secret. J’aime la pénétration anale, sentir mon anus étiré par un godemichet de bonne taille. C’est peut-être le seul jouet que j’ai encore de caché, dans le tiroir secret de la gêne. Je ne suis pas encore prêt à lui montrer cet énorme pénis mauve en caoutchouc, de lui dire que j’aime les jouets de cette taille. Mais bon, mon objectif est de lui avouer et d’introduire cette pratique dans notre couple. J’ai vraiment un fantasme qu’elle me pénètre avec un gode-ceinture, qu’elle me fasse l’amour, de me faire prendre et de me sentir pénétré. Mais bon, je crois que je vais y arriver, mais je nous laisse le temps d’évoluer, pas à pas, sans rien brusquer.

    La découverte de la jouissance prostatique a profondément modifié ma sexualité. L’exemple de ma transformation a encouragé ma femme à suivre une voie de même nature. Nos ébats sexuels sont beaucoup plus riches, beaucoup plus satisfaisants et beaucoup plus fréquents qu’ils ne l’ont jamais été précédemment

    Je suis vraiment content pour toi, c’est une belle richesse! Même si ma démarche a d’énorme effets positifs sur la sexualité de mon couple, je n’ai pas atteint ton niveau de symbiose sexuelle. Malgré tout, tout évolue de jour en jour. Je trouve que ta relation est inspirante elle me motive à continuer à m’investir dans cette voie.

    Au début de ta démarche, avec la découverte du plaisir prostatique, comment as-tu géré tout ça avec ta femme?
    Était-elle très ouverte sur le sujet?
    Comment a t-elle réagi?
    Elle a posé beaucoup de question?
    Est-ce que ta démarche vous a amené à explorer d’autres facettes de votre sexualité?

    Toute ma démarche avec l’Aneros et mon plaisir anal, ça fait partie de ma vie sexuelle qui s’épanouit dans ma relation de couple et dans la masturbation en solitaire. C’est un état d’équilibre assumé. Tout est parfaitement complémentaire. J’adore me masturber, sous toutes ses formes. J’aime sentir ma prostate exploser de plaisir, mon anus se contracter, mon pénis durcir entre mes mains. J’adore sentir le sperme chaud jaillir de mon pénis et éclabousser partout sur mon , sur mon visage. Ma conjointe le sait et c’est parfait comme ça. C’est mon moment à moi, un plaisir égoïste qui essentiel pour moi. C’est même un élément qui donne de la robustesse à mon couple.

    Avec ma prostate, j’apprivoise un plaisir différent, une relation différente avec mon corps. Je me reconnais beaucoup dans les propos de @BZO. C’est ma féminité qui s’exprime par ma prostate, par mon corps. Tout ça évolue à travers mon hétérosexualité, ouverte et enrichissante. Je crois sincèrement que la féminité chez l’homme est un pouvoir à découvrir, à apprivoiser, que ce n’est pas une menace à la virilité, mais bien une force complémentaire. Je trouve que c’est beau et enrichissant.

    Je trouve aussi que ces formes de plaisirs se manifestent davantage dans les médias. Malgré tout, je n’ai pas encore eu l’occasion (et le courage) d’en parler avec des amis. Je ne suis pas certain de leurs réactions. J’ai peur d’être jugé. Encore du chemin à faire. Heureusement vous êtes là!

    Petit sujet parallèle : Je suis aussi un grand fan du String masculin. J’adore sentir le bout de tissu entre mes fesses, caressant mon anus du même coup. Je me sens coquin. Mais bon, c’est aussi encore un tabou, je souhaite que ça se démocratise, que les normes sociales évolues encore. Pour l’instant juste ma conjointe est au courant. Quand pourrai-je me changer dans un vestiaire, porter mon string sans me sentir jugé? De me pencher et ne pas me soucier que l’on voit mon string dépasser de mes pantalons. Dois-je m’assumer et faire face au jugement des autres, de subir les dires des autres, affecté ma réputation dans mon milieu…? Je ne sais pas si je suis assez courageux pour défié l’opinion des autres et amener d’autres hommes à s’afficher… enfin, un enjeu différent.

    J’apprécie grandement échanger avec vous, me confier.

    Vous me faites du bien.

    #43332

    En réponse à: Reconnaitre un mini-O

    Andraneros
    Modérateur

    Bonjour @QcanalBoy,

    Je suis doublement heureux de lire ton message d’hier. En premier lieu ta fidélité est une source de satisfaction pour nous après une bonne année sans message de ta part, mais surtout le sujet de ton message est un vrai bonheur pour moi.

    Fin 2020 tu ouvrais ce sujet avec le titre « Reconnaitre un mini-O ». Hier tu as placé sans hésitation ton message dans le sujet « Description de l’orgasme prostatique » ouvert en son temps par notre maître @Adam. Ton cheminement est magnifique, Bienvenue au club des hommes multi-orgasmiques !

    Tu écrivais fin 2020 :

    J’ai maintenant des vagues de plaisirs assez fortes, peut-être pas encore des Super-O, mais je crois que c’est des mini-O ou P-Wave, j’ai de la difficulté à comprendre la différence (…) j’ai le sentiment que le Super-O n’est pas si loin. Quand ça arrivera, je crois que je vais perdre le contrôle de mon corps.

    Tu étais déjà bien avancé dans ta progression vers l’orgasme prostatique après quelques mois d’expérience bien plus laborieux selon ce que je comprends. Je suis évidemment très curieux, tout comme nos lecteurs qui débutent ou ont du mal à vivre ce que tu vis, de savoir comment s’est passée la transition entre tes grosses vagues de plaisir / mini-Os de début 2021 et les orgasmes prostatiques pleinement assumés dont tu nous as donné la description hier.

    Tu constatais il y a 1 an :

    Depuis que j’explore mon plaisir prostatique, j’ai l’impression que mes orgasmes péniens sont plus intenses.

    Je confirmais ton impression. Depuis ce message tes capacités orgasmiques n’ont fait que se développer pour te faire vivre des expériences de jouissance particulièrement intenses qui se répètent jusqu’à l’épuisement. La jouissance que procurent tes orgasmes péniens a-t-elle suivi une évolution équivalentes ?

    Tu écrivais aussi :

    dans le passé tu me demandais si ma démarche influençait ma conjointe… je crois que ça commence.

    Comment ta femme a-t-elle évolué de son côté ? Plus précisément a-t-elle poursuivi sa découverte de la stimulation anale qui paraissait prometteuse ? A-t-elle eu l’envie de développer sa capacité à vivre des orgasmes inspirée par ta transformation ? Ton développement sexuel, peut-être accompagné par celui de ta femme, a-t-il modifié vos jeux érotiques ?

    La découverte de la jouissance prostatique a profondément modifié ma sexualité. L’exemple de ma transformation a encouragé ma femme à suivre une voie de même nature. Nos ébats sexuels sont beaucoup plus riches, beaucoup plus satisfaisants et beaucoup plus fréquents qu’ils ne l’ont jamais été précédemment.

    Bon cheminement @QCanalBoy.

    #43326
    Andraneros
    Modérateur

    Bonjour @QcanalBoy,
    Je te remercie de nous apporter ta description de l’orgasme prostatique et d’enrichir ainsi la liste des témoignages présentés sur notre site. Je suis heureux de lire que tu es devenu un homme multi-orgasmique capable de t’abandonner à un enchaînement d’orgasmes prostatiques particulièrement puissants.

    Pour ne pas polluer ce fil de discussion je continue ma réponse sur le sujet que tu avais ouvert il y a un peu plus d’un an « Reconnaitre un mini-O ».

    Bon cheminement @QcanalBoy.

    #43289

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    aujourd’hui, au boulot, sur place, à mon entreprise,
    j’ai pu expérimenter ce que je décris juste au-dessus

    c’était à midi, je venais de terminer de manger devant mon ordinateur,
    je commençais à digérer tout en traînassant encore un peu sur des sites,
    avant de reprendre le travail,
    tout à coup je me suis souvenu que ces derniers jours,
    j’avais isolé une façon de contracter
    et tentait d’en faire une manière de pratiquer à part
    qui me permettrait de retrouver un plaisir prostatique à 100%

    les minutes qui suivirent,
    furent la parfaite illustration de tous les espoirs que je mettais en cette technique,
    la simplicité enfantine de mise en route, n’importe où, n’importe quand,
    qu’il y a des gens autour de moi ou pas,
    quoique je fasse, à condition de pouvoir détourner un peu de concentration

    tout ce que j’ai eu à faire,
    ce fut de rester bien immobile
    et de mettre en route cette façon de contracter ultra-localisée aux muscles du périnée,
    il y avait des gens tout autour de moi, des collègues
    mais je n’hésitais pas un instant, rien ne pouvait me trahir,
    aucune geste, aucun mouvement, aucune posture
    qui suggéreraient que je suis en train de me donner du plaisir

    la réaction instantanée de ma prostate à la première contraction, fut telle
    que j’ai été surpris et failli gémir tout haut,
    je me forçais à garder un visage impassible et à ne émettre aucun son,
    ainsi, malgré tout, le plaisir a rapidement envahi mon bassin

    c’était vraiment bizarre, c’est la première fois que je faisais cela,
    comme cela parmi des gens,
    cela n’a pas la même puissance, vu les conditions
    et le contrôle permanent que j’exerçais
    mais malgré tout, c’était là, en moi, de plus en plus,
    cela débordait de mon bassin,
    cela montait, cela se répandait

    je m’arrêtais après quelques instants,
    je n’ai pas l’habitude de pratiquer ainsi, parmi des gens
    et j’ai eu trop peur de perdre le contrôle, à partir d’un moment,
    tellement les vibrations commençaient à être omniprésentes
    et je sentais ma chair s’emballer,
    j’avais peur de partir en roue libre
    et de ne plus rien pouvoir contrôler

    je vais y aller progressivement, par étapes, m’y habituer,
    reconnaître les signes
    qui me permettront de ne pas dépasser certaines limites,
    en fonction de mon état d’excitation

    mais c’était vraiment une superbe surprise,
    à la première contraction, donc,
    j’ai senti ma prostate réagir du tac au tac,
    un bouquet d’ondes a apparu puis s’est évanoui,
    à chaque contraction,
    le bouquet suivant augmentait en taille et en envergure
    et disparaissait de plus en plus lentement

    j’ajustais aussi ma position un peu,
    très progressivement, centimètre par centimètre
    pour sentir ma prostate accessible au maximum,
    avoir le bon angle d’attaque, avec les contractions

    c’est génial comme méthode,
    premièrement parce que cela me permet de me reconnecter à ma prostate,
    je l’ai tellement habitué à travailler de concert avec les ondes génitales et anales,
    que cela me parait, pour l’instant, une redécouverte complète,
    de rester uniquement avec ses ondes à elle, en moi,
    de sentir ainsi l’excitation progresser

    sans aussi que le mode yin soit mis en éveil, un seul instant,
    et vienne se mêler à l’action, submergeant tout, prenant la direction des opérations,
    ne laissant la place à rien d’autre,
    c’est grâce au fait qu’avec mon bassin bien immobile,
    la danse, la houle langoureuse, du yin, ne se met pas en place

    aussi, aucun effleurement des cuisses avec les génitaux,
    donc en fait, j’ai trouvé là, une manière de solliciter ma prostate,
    de dialoguer avec elle,
    en gardant pour la première fois, à bonne distance, mon mode yin
    et peux espérer donc ainsi,
    retrouver un massage prostatique, avec tout ce qui va avec,
    son cortège joyeux d’orgasmes à la queue leu leu, de super O,
    d’extases interminables

    #43251
    Andraneros
    Modérateur

    …Suite et fin

    Du côté de la stimulation de ma prostate, j’en ai fait un peu ces derniers temps mais y était moins sensible que mon partenaire

    En lisant tes messages je constate que tu es déjà bien avancé sur la voie du plaisir prostatique. Je me demande à quel niveau se situe ton partenaire ! J’adorerais qu’il vienne nous présenter son propre témoignage.

    mieux comprendre sa sensibilité prostatique et évoluer ensemble. Pour moi, sans l’avoir prémédité c’est une progression importante dans nos rapports

    Je suis tout à fait d’accord avec toi. Je t’encourage non seulement à « mieux comprendre sa sensibilité » mais encore plus à partager vos expériences orgasmiques. Votre vie ne sera plus jamais la même.

    Je cite les étapes de la carte au trésor que tu mentionnes:

    45. Fortes contractions involontaires avec une sensation diffuse d’orgasme
    46. Fortes contractions involontaires avec une réelle sensation d’avoir un petit orgasme (Mini-O)

    Si ce ressenti est nouveau pour toi tu es vraisemblablement dans la phase où tu vis tes premiers orgasmes prostatiques. Mais, comme ils ne correspondent pas au schéma de tes orgasmes avec éjaculation, ton cerveau ne les reconnaît pas encore comme des orgasmes. Tes nouveaux orgasmes n’entraînent aucune chute de libido, aucune chute de désir. Au contraire dans le déroulement de ta session plus tu jouis plus tu as envie de jouir plus ta jouissance devient intense. Entre 2 orgasmes tu ne retombes pas au niveau 0 mais tu vis « une continuité de plaisir » dont l’intensité augmente après chaque nouveau «sommet de plaisir » (orgasme).

    plateau de plaisir fort et constant accompagné de tout ce qui pouvait déclencher un orgasme mais finalement sans le produire.

    C’est bien ce que tu décris sans les sommets. Mon explication est que ton cerveau bloque inconsciemment ces sommets parce qu’il ne supporte pas l’intensité annoncée du plaisir qu’ils vont te faire vivre. De mon point de vue quand tu atteins cet état particulier tu dois penser à te détendre encore plus et à ouvrir ton esprit pour accepter ce qui se prépare, pour recevoir ce tsunami de plaisir avec gratitude. Attention je dis bien ACCEPTER et RECEVOIR et en aucun cas forcer.

    Tu briseras ce plafond de verre avec de la pratique. Expérimente sans regret et suis la voie dans laquelle tu sentiras le mieux tes progrès. C’est un domaine d’expérience intime et non de dogmatisme. Je pense qu’en ce qui te concerne ça ne devrait pas prendre longtemps.

    Pour amoindrir l’effet afterglow, conseil tu une pause de quelques jours ou puis continuer chaque jour une session A less?

    De façon générale on apprend vite (et avec gourmandise) à gérer ces effets secondaires. Je pense que tu peux continuer tes sessions sans masseurs et si vraiment tu avais l’impression d’être un peu débordé par tes échos orgasmiques fais une pause ou masturbe toi après la fin de ta session.

    Bon cheminement @Buck.

    #43149

    En réponse à: A l’ écoute de mon corps

    bzo
    Participant

    en effet, on entre dans une autre dimension du désir,
    celui où l’on peut l’assouvir à la demande, à volonté,
    la chair est heureuse, la chair s’envole,
    la chair s’épanouit
    et nous avec, bien sûr

    chez moi, le désir parle, s’exprime en toute liberté,
    autant au féminin, qu’au masculin,
    quand il veut, comme il veut,
    pour quelques secondes ou plus longuement,
    que je sois en train de faire ma popotte à la cuisine
    ou étendre mon linge ou juste en marchant,
    partout, il est libre de jouer,
    de faire chanter ma chair, comme il veut

    je lui suis reconnaissant,
    j’en prends soin comme d’une belle plante qui a poussé partout en moi,
    dès que ses branches avec tout son feuillage luxuriant,
    se mettent à frémir,
    je sens comme un océan de nectar danser en moi

    ma bouche se remplit de sonorités gourmandes
    qui semblent, en sortant, encore faire l’amour brièvement à mes oreilles,
    tous les gestes, les mouvements, semblent des caresses soyeuses à l’intérieur

    ô comme ce corps nous gâte!
    on est divinement récompensé,
    tiens bien le cap,
    le cap du plaisir dévergondé, du plaisir luxuriant,
    le no limit attitude, en mode yin, nous va bien, très bien

    #42920

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    plus rien de très masculin dans la façon dont je me sers
    de ma bite et de mes couilles,
    même quand la première, se dresse fièrement,
    portant haut sa tête violacée

    mais ils ne s’en offusquent pas, mes très chers bijoux de famille,
    qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse, n’est-ce pas,
    je les trais inlassablement, comme les pies d’une vache,
    avec moultes pressions, effleurements, contacts divers, des cuisses,
    pour en extraire des flots délicieux d’ondes génitales
    et ils y trouvent leur compte, les bougres

    oh comme je m’en abreuve, comme je m’en délecte,
    mon mode yin y est comme un poisson dans l’eau,
    dans tous ces flots d’ondes génitales,
    s’en sert comme d’un combustible, pour son moteur suprêmement hybride

    idem, pour les ondes prostatiques et les ondes anales,
    mon mode yin est un champion du recyclage
    tout ce qui est susceptible dans le corps, de produire des vibrations,
    c’est-à-dire, tout en fait,
    y passe,
    qu’importe l’essence du bois,
    les flammes seront reconnaissantes

    tout est bon dans le cochon
    et j’en suis un, de la tête aux pieds,
    vous pouvez me croire sur parole,
    oh comme j’aime tout cela, toute cette ivresse soyeuse,
    rien que d’y penser, oh la la

    dans l’ombre, la jouissance et la volupté,
    se sont installées partout, dans le moindre recoin,
    ma chair est un de leurs camps avancés,
    toute une armée au complet, y campe,
    prête pour d’innombrables et délicieuses batailles

    juste, bouger les hanches, un soupçon langoureusement,
    serrer, desserrer, les fesses, caresser un bout de peau,
    tout cela, sont comme des signaux, pour elles,
    qu’elles peuvent venir, qu’elles peuvent accourir,
    que je les désire de tout mon être
    et elles déboulent, elles dévalent, elles investissent le terrain,
    en moins de temps qu’il faut pour l’écrire,
    sont là, partout, conquérantes hurlant et s’agitant férocement,
    armées jusqu’aux dents, de plaisir,
    n’épargnant aucune cellule de mon être,
    me massacrant de bonheur charnel, sans pitié et sans relâche

    **********************************************************************************

    la leçon de tout cela, de tout mon parcours jusqu’ici,
    puisque c’est la fin de l’année, tentons un bilan,
    c’est qu’il y a vraiment moyen de prendre possession de sa sexualité, comme on veut,
    lui donner la forme qu’on veut,
    elle est malléable sans fin, s’accommode de tout,
    si on s’investit suffisamment, si l’on ose suffisamment

    cependant, cela peut être un sacré parcours, tout de même,
    avant d’arriver aux résultats escomptés,
    notre corps ne devient pas notre complice sans faille,
    en lubricité en tous genres,
    comme cela, juste parce qu’une idée, un fantasme, nous a traversé l’esprit,
    non, il y aura, beaucoup, beaucoup de travail sur soi, en perspective

    une impression irrésistible d’avoir gagné le gros lot,
    à la loterie du plaisir en solitaire,
    sauf, en l’occurrence, qu’ici, cela ne doit rien au hasard
    mais vraiment rien, tout du contraire,
    c’est un coup monté par mes soins,
    patiemment élaboré au fil des années
    et mis en oeuvre,
    jusque dans les moindres détails

    jours ardents,
    désir florissant, dardant généreusement,
    épanouissement de la chair,
    éblouissement dans les synapses,
    les milles et une nuances de la volupté et de la jouissance,
    en kaléidoscope, tournant inlassablement en moi

    #42869

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    j’écrivais que je ne faisais plus de séance dédiée spécifiquement au plaisir,
    depuis quelques jours
    c’était vrai mais cela ne l’est plus depuis ce soir
    où j’ai bien passé 3 heures au lit
    à gémir et à râler, de tout mon être,
    j’en sors juste

    je me disais, il faut je me lève ,
    j’ai encore plein de choses à faire ce soir
    mais je ne me levais pas, c’était juste trop bon,
    le plaisir me tenait ligoté à ce lit,
    j’étais pris dans sa toile, gigotant, me tortillant, ondulant
    faisant tout pour qu’il me garde prisonnier ainsi le plus longtemps possible,
    c’était plus fort que moi,
    je n’arrivais plus à m’arrêter, c’est trop bon, il fallait que je continue,
    il fallait que cela continue de couler en moi,
    ce nectar qui avait envahi ma chair,
    le seul devoir que reconnaissait mon corps pour l’instant,
    c’était de jouir et encore de jouir

    et encore, je ne sais même pas si je jouissais vraiment,
    juste que c’était tellement bon
    qu’il fallait que je continue absolument, que cela ne s’arrête pas,
    que mon corps soit le plus possible empli de ce plaisir ineffable

    qui intervenait, prostate, génitaux, anus, peau,
    je n’en savais foutrement rien,
    juste que cela s’éveillait de partout,
    que les sensations se dessinaient en moi,
    comme si mes jambes, mes hanches, mes génitaux,
    ma prostate, ma peau, mes seins, mes doigts,
    étaient des crayons avec lesquels je dessinais le plaisir en moi

    la feuille redevenait toujours blanche,
    prêt pour un autre de mes griffonnages délicieux, dans ma chair,
    je changeais un peu la direction d’un mouvement d’une jambe
    et la sensation changeait immédiatement de nuance,
    je pressais quelque part, un peu moins ou un peu plus,
    là aussi, directement le dessin de la sensation, se modifiait

    ah mon corps chéri, comme nous avons décollé,
    comme nous avons vécu un moment divin

    #42858
    Andraneros
    Modérateur

    C’est excellent. Tu as tout bon. Tout ce que tu décris de ta session de cet après midi me paraît nettement indiquer que tu es au bord de l’orgasme prostatique. J’ai l’impression que tu a déverrouillé toutes les serrures. Tu n’as plus qu’à pousser une porte qui n’offrira aucune résistance pour te retrouver au paradis des orgasmes prostatiques.

    Il y a eu un moment où je ressentais que ça montait en intensité et hélas, les contractions involontaires augmentaient puis passaient d’un seul coup à un palier de contraction plus élevé.

    Je pense qu’à ce moment précis tu devrais te concentrer exclusivement sur ton relâchement musculaire, la détente la plu profonde possible, et sur le relâchement mental en t’ouvrant sans aucune résistance à cette nouvelle sensation, en l’acceptant, en remerciant ton corps de te faire ce cadeau. Tu dois reconnaître ce que j’ai souvent répété à nos amis qui t’ont précédé dans la découverte de l’orgasme prostatique. Je pense que tu e parvenu u stade où tu pressens un plaisir tellement puissant que ton inconscient le bloque par réflexe défensif.

    La localisation de ta « gêne » me fait penser à une forme de contracture de tes abdos ou de muscles abdominaux plus profonds. Je ne pense pas que ce soit dû à l’huile de coco. Cela dit tu peux changer momentanément de lubrifiant pour vérifier si cette gêne persiste ou disparaît. Selon mon expérience si tu mets « trop » d’huile de coco, elle est évacuée avec tes selles. Attention, je ne suis pas médecin.

    Bon cheminement @Gerardisson.

    #42779
    Andraneros
    Modérateur

    Bonjour @Mikyo,
    Merci pour ta fidélité qui nous encourage à faire vivre et à développer le site et notre forum.
    Tu dis « partager notre expérience » et « partage de cette expérience avec nos partenaires qui n’ont pas ou plus de prostate ». J’ajoute que ce partage me semble aussi difficile avec nos proches, amis et connaissances qui ont une prostate. C’est bien regrettable pour eux.

    Dès le début les « sages qui ont créé le « Wiki Aneros » ont bien rattaché la pratique du massage prostatique avec les objets proposés par la marque aux traditions orientales ancestrales telles que tao et tantra et dit que l’utilisation de nos masseurs n’est qu’une méthode destinée à faciliter l’initiation aux pratiques qui permettent de cultiver notre énergie sexuelle (ou vitale) pour atteindre des états de bien être physique et mental très supérieurs à ceux que nous connaissons spontanément dans notre vie quotidienne occidentale.

    Je suis tout à fait d’accord avec toi « l’étincelle est là » et « ce n’est pas la prostate ». La jouissance que nous sommes devenus capable de vivre est en nous et selon les circonstances et notre environnement culturel nous disposons d’autant de voies de découverte et de développement qu’il y a de personnes.

    Les méthodes proposées pour développer nos capacités orgasmiques peuvent s’appuyer sur des concepts religieux, ésotériques ou sur des constatations pragmatiques, elles partagent des règles de base qui conduisent à apprendre à détendre tous nos muscles, à établir une respiration libre et profonde, à éliminer les pensées parasites pour nous concentrer sur notre ressenti hors de toute contrainte morale ou sociale, à reconnaître et accepter sans aucune réserve des sensations nouvelles, à les faire grossir et à les faire circuler dans notre corps.

    Les techniques pour vivre des orgasmes détachés de toute stimulation sexuelle directe, de toute poussée éjaculatoire sont variées comme le rappelle @divine_oblivion dans son message d’ouverture. Certaines conviennent mieux que d’autres à chacun. A nous d’essayer et de choisir la voie la plus naturelle. Le traité d’aneros reprend celle proposée par le distributeur de la marque. Il y en a d’autres. Il est vrai que donner des conseils n’est pas aisé et qu’appliquer une méthode à la lettre ne garantit en rien le succès de la démarche.

    Comme tu le remarques passer de l’étincelle de plaisir au feu orgasmique est aussi difficile qu’allumer un feu l’a été pour l’humanité. Mais quand ce savoir faire s’est généralisé, le monde en a été changé. Nous n’en sommes qu’ au début.

    Bon cheminement @Mikyo.

    #42681

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    comme jouir, illumine cette chair,
    la transforme en quelque chose de radieux, de rayonnant,
    l’ineffable devient mon sang,
    des râles, des cris montent,
    comme une éjaculation, de mes entrailles

    le désir qui se libère, qui enchante un instant la chair,
    c’est une des plus belles des émancipations possible,
    on échappe à notre condition,
    on devient ce feu-follet, sans attaches qui lorgne vers le firmament,
    se voit déjà parmi les étoiles

    nous nous reconnaissons dans nos rêves,
    toute notre vie est là, mâchonnée, disloquée,
    irriguée entièrement par le désir,
    la jouissance appartient à l’envers du décor,
    à la sorcellerie que nous possédons au fond de nous,
    le plaisir nous va si bien

    #42664
    chatroux
    Participant

    Bonjour
    Eh bien, on peut dire que les choses ont progressé rapidement. Non seulement j’enregistre désormais des orgasmes prostatiques de plus en plus intenses à chaque session, mais mes contractions post-séance provoquent des Dry-O en chaine, ressentis de manière presqu’aussi forte et claire que pendant mes sessions avec le Helix Syn. C’est tout simplement extraordinaire comme expérience.

    Je réalise que je suis déjà bien avancé dans les étapes de la carte au trésor même si ça ne fait que quelques mois que je pratique, et je vous en suis très reconnaissant. Je tremble d’excitation à l’idée de poursuivre l’expérience.

    La prochaine étape sera définitivement le mythique super-O. Je pense que que la manière dont j’accueille les contractions de ma prostate ne me permet pas encore de profiter pleinement de la sensation, et tendent à freiner l’onde de plaisir au lieu de l’amplifier. Aller, hop! Retour à l’entrainement, mon gaillard!

    À bientôt

    #42583

    En réponse à: A l’ écoute de mon corps

    bzo
    Participant

    oui, la sursaturation en énergie de tout notre être
    semble commencer à avoir de très sérieux effets chez toi,
    je reconnais bien les “symptômes”, je les vis aussi,
    attends dans deux mois et dans 6,
    tu vas devenir fou de bonheur, au moindre mouvement, au moindre geste,
    tout se démultiplie, tout se décuple,
    notre chair devient de plus en plus capable de sortilèges

    mais pas juste une augmentation de l’intensité,
    comme tu as pu le remarquer,
    un gain en finesse aussi, en variété, en précision,
    bref, c’est plus un gain qualitatif que quantitatif

    #42376
    Andraneros
    Modérateur

    Bonsoir @dazzz,
    Selon ce que tu nous disais il y a un peu plus d’un an tu avais de très bonnes sensations. En relisant ton message je pense même que tu vivais déjà des orgasmes prostatiques qu’à ce moment tu ne reconnaissais pas comme tels.
    Tu écris aujourd’hui :

    j’ai facilement du plaisir avec un masseur, des contractions involontaires (très) puissantes, une irradiation totale dans le corps, du plaisir sans érection ni éjaculation, assez rapidement dans ma séance, je profite intensément de ces moments mais (il y a un mais) j’ai le sentiment de plafonner et de ne plus pouvoir avancer

    Cet extrait de ton message me conduit à la même conclusion. A mon avis, tu vis sans aucun doute des orgasmes prostatiques.

    je suis quasiment tout de suite à mon max ce qui est à la fois très excitant et en même temps frustrant

    Il me semble que le principal problème que tu dois résoudre à ce moment de ton cheminement c’est d’accepter l’idée que l’orgasme prostatique peut être très différent de l’orgasme pénien avec éjaculation. L’orgasme instinctif est défini ainsi dans les dictionnaires « point culminant du plaisir sexuel ». J’ai l’impression que ton esprit est encore dans ce cadre. Peut-être attends-tu un PIC suivi de sa période réfractaire qui te mettes dans un état de satisfaction (au sens état dans lequel tu es comblé, repu puisque tu n’as plus aucune envie pendant un certain temps).

    Or le plaisir prostatique est bien différent sur cet aspect.
    • D’une part il peut ne pas comporter un vrai sommet de plaisir. Particulièrement pendant la phase de découverte de tes nouveaux orgasmes les sensations orgasmiques que fait naître le masseur peuvent être plus faibles que celles que tu ressens à l’occasion de tes « vrais » orgasmes péniens avec éjaculation.
    • D’autre part quand, après quelques secondes ou minutes, les sensations perdent leur intensité tu as toujours aussi envie de jouir, sinon encore plus, qu’avant l’orgasme. La permanence de ton excitation te conduit à penser, en référence à ton cycle orgasmique instinctif, que tu n’as pas encore eu ton orgasme.

    j’ai parfois des sensations fortes à la suite de mes séances et ce sans aide d’un masseur

    C’est un signe de plus que tu es déjà bien avancé dans ton cheminement. Je t’invite à développer ton potentiel A-less soit en commençant certaines sessions sans masseur, soit en les terminant sans masseur.

    j’ai le sentiment qu’il faut que je chemine avec elle et en même temps par moi même.

    Selon ce que tu nous dit de ta relation je suis tout à fait d’accord avec toi. L’épanouissement de ta sexualité bénéficie de toutes tes activités, celles que tu fais seul, particulièrement dans ton effort de développement de ton potentiel orgasmique, comme celles que tu fais avec ton amie, particulièrement dans le soin qu’elle prend pour t’aider à découvrir que tout ton corps peut devenir source de plaisir, de jouissance et d’orgasmes.

    Tu ne nous dis pas si tu as pu parler avec ton amie de ta pratique du massage prostatique et des plaisirs que te procurent tes sessions et la stimulation directe de ta prostate. Si tu ne l’as pas encore fait je t’encourage à le faire dès que l’occasion s’y prêtera. Ce faisant tu pourras ajouter 2 nouvelles expériences pendant vos ébats, le massage de ta prostate avec ses doigts et ou avec un jouet adapté et la stimulation de ta prostate par l’un de tes masseurs pendant que ton pénis sera lui aussi stimulé soit en caresse soit en pénétration pour vivre un double orgasme (le super T du wiki Aneros).

    Je reviens sur ce point :

    j’ai le sentiment de plafonner et de ne plus pouvoir avancer

    je suis quasiment tout de suite à mon max ce qui est à la fois très excitant et en même temps frustrant : c’est comme si le chemin s’arrêtait rapidement (je dis ça mais en même temps c’est très très agréable de profiter de ces sensations !)

    Ce sentiment est régulièrement présent dans les témoignages de nos amis qui ont bien avancé dans leur cheminement. Il me semble correspondre à un moment charnière quand ils deviennent capables de vivre une jouissance prostatique intense mais qu’ils ne parviennent pas encore à se laisser complètement emporter par les orgasmes qu’ils vivent. Il y a 3 moyens de franchir cette porte :
    • Trouver le déclic qui va ouvrir la porte sans qu’on sache forcément pourquoi (mais on s’en fiche si ça marche !), par exemple incorporer le massage de tes pointes de sein, si tu ne fais pas déjà ou essayer l’écoute de fichiers d’hypnose ou…
    • Approfondir ton état de relaxation quand le plaisir monte, quitte à perdre momentanément tes sensations qui dans tous les cas reviennent. C’est le moyen d’effacer d’éventuelles résistances à un plaisir qui renverse tout sur son passage.
    • Multiplier les sessions à un rythme plus soutenu que le rythme habituel, par exemple tous les jours au lieu d’une fois par semaine.

    je pratique principalement seul mais très épisodiquement

    Je te conseille de faire régulièrement tes sessions. Plus tu pratiques, plus tu progresses. Ton apprentissage du plaisir prostatique est suffisamment important, à mes yeux bien sûr, et tu es suffisamment avancé pour intégrer ta pratique dans ta vie quotidienne comme tu le ferais pour toute activité importante. C’est d’ailleurs, indirectement, ce que à quoi tu commences à penser en nous demandant :

    peut être faudrait-il tout simplement davantage pratiquer tout seul plutôt que se procurer un 3ème ? 

    Et :

    se peut-il qu’une pratique régulière du Pilates (qui travaille énormément autour du périnée et de la respiration abdominale) ait des effets bénéfiques ?

    Oui et oui. Si le Pilates t’est familier et facile à pratiquer vas-y. Sinon d’autres disciplines peuvent aussi t’aider comme le yoga ou la méditation. Tout cela ne t’interdit en rien d’utiliser un 3ème masseur. Ton Vice2 est déjà un gros modèle ; tu peux chercher plus de diversification en essayant l’Eupho qui est plus mince que l’Helix. Ou si tu es très gourmand tu peux ajouter 2 masseurs à ta collection, si tu en as les moyens, un Eupho et un Prograsm Ice.

    Bon cheminement @Dazzz.

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