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19 avril 2024 à 8 h 35 min #49422
En réponse à: Journal du prostatomane
bzoParticipantpile ou face,
face visible
et face cachée de la lune
la douceur soyeuse sans limites de mon sexe,
ce rayonnement sans limites, de douceur, de soie chaude
dont il est capable en mode yin,
vague après vague
quand il est frotté, pressé, massé,
par mes cuisses,
rythmé par la houle langoureuse dans mes hanches
son autre aspect, si radicalement différent, étant,
quand se gorgeant de sang,
il commence à se lever et à durcir,
devenant cette petite tour de chair,
comme vibrante au moindre contact, au moindre effleurement,
prête à cracher sa petite giclée de jus laiteux
molle ou raide,
si capable, si capable,
de tempêtes radicalement différentes
dans ma chair
une sorte de caméléon, en fait,
prêt à toutes les couleurs
de l’arc en ciel du désir,
si on le sollicité comme il faut
8 avril 2024 à 17 h 10 min #49379En réponse à: Journal du prostatomane
bzoParticipantl’opulence incroyable dans cette chair, sous mes doigts,
je sens comme le cours d’un fleuve à la puissance illimitée,
charriant les sédiments du plaisir,
je sens ce flux irrésisitible sous ma peau,
le nectar de leur multitude passer et encore passer
dans mes cellulesoh, baigner dans cette caresse constante
de tout mon êtreje presse, je frotte, mes seins,
lentement, très lentement
tandis que mes hanches ondulent un peu,
sous l’action des cuisses
qui font frotti frotta avec les génitauxmes yeux sont fermés,
ma tête, rejetée en arrière,
quelle douce et constante sensation d’extase,
d’épanouissement splendide
mais en même temps, si animale, si animaleune contraction,
la faire monter bien au ralenti,
sentir chaque millimètre
de sa progression vers le haut,
ce lent bélier, comme il épouse ma chair
en même temps qu’il semble la fendremes gémissements,
semblent des marches vers le paradis,
je bande un peu,
ma queue est comme gonflée d’ondes,
en surpopulation massiveune turgescence de vibrations,
ma petite mini tour Eiffel émettrice,
avec sa grosse tête violacéeje la frotte, je la roule,
entre mes cuisses,
elle fuit de toutes parts comme une passoire,
semble pisser des jets de vibrations
dans toutes les directions,
sublime sensation- Cette réponse a été modifiée le il y a 1 semaine et 4 jours par bzo.
7 avril 2024 à 10 h 34 min #49373En réponse à: Journal du prostatomane
bzoParticipantle traité des caresses en solitaire,
ça mériterait d’être écrit,
tellement le sujet est vaste, subtil et riche
je veux dire par là
qu’il y a toute une technique à développer
car le désir s’exprime énormément par les doigts, les paumes
et qui de mon expérience de nombreuses années de plaisir en solitaire,
est au moins aussi riche qu’avec des partenaires
selon le type de plaisir, prostatique, anal, pénien,
ou ce que j’appelle le plaisir en mode yin,
vous ne devriez pas vous caresser de la même manière,
il y a un subtil équilibre à établir
entre ce qui monte comme ondes de votre bassin
et puis le travail des mains sur la peau
une chose est sûre,
quelque soit le type de plaisir dans lequel vous êtes engagé,
vous devriez octroyer une part belle aux caresses,
enflammer, enchanter, la peau,
faire réagir de plus en plus, tout le corps,
est une splendide source pour ensauvager, varier, intensifier,
les sensations
c’est une manière sure et inégalable d’enrichir votre pratique,
votre corps va devenir de plus en plus réactif sous vos caresses,
de partout, absolument de partout,
il y a un feu de paille à la surface à vivre sous les doigts
mais aussi une lave dans les profondeurs,
à canaliser, à libérer
tout va vouloir participer à la fête,
les mains agissent comme des aimants, des sourciers,
des chamans aux pouvoirs de réveiller toutes les zones endormies,
rendre tout le corps vibrant,
en combinaison avec les divers mouvements possible,
les contractions de muscles,
pas seulement ceux du périné mais de tous les muscles,
des doigts de pied jusqu’au sommet du crâne,
partout où il y a de la chair, du sang et des nerfs
et sur lequel il y a moyen d’agir dessus
les mains sont un facteur essentiel de progression,
pour que tout votre corps peu à peu,
réagisse comme un sexe,
n’importe où, où vos doigts se poseront,
vous aurez l’impression de les poser sur un sexe assoiffé d’exprimer le désir,
une puissance magistrale, splendide s’exprimera
vibrant kaleidoscope de l’instrument de musique du plaisir
dont la moindre cellule de notre être,
est une composante, une brique vivante, essentielle,
prête à apporter sa part à la construction du palais illuminé
où la fête résonne à tous les étages, dans toutes les pièces
6 avril 2024 à 18 h 19 min #49371En réponse à: Journal du prostatomane
bzoParticipantpremier jour de l’année, avec des 24,25°, ici à Bruxelles,
premier jour de l’année que je peux me promener nu comme un ver, chez moi,
comme c’est bon, comme c’est agréable,
quand il n’y a plus rien sur la peau, nulle part,
cela devient tout de suite spécial
ou plutot c’est quand il y a un peu de tissu quelque part,
que quelque chose perd de son intégrité
le tout du corps, le tout de l’être,
libéré de tout vêtement,
réagit différemment dans l’instant, en l’endroit où il se trouve,
l’air m’enveloppe de partout,
la lumière peut m’atteindre de partout,
le monde est tout contre moi,
je suis tout contre le monde,
plus facile d’entrer en contact avec tout, avec rien,
avec soi-même aussi,
des flux entre les êtres, entre les choses,
peuvent circuler plus librement
et puis mes mains , aussi,
peuvent aller se poser n’importe où, partout,
oh que de frissons , directement
comme j’aime me caresser lentement, lentement,
quelle ivresse, cette chair vivante
la réceptivité du corps,
semble décuplée, nu comme un ver,
les énergies peuvent circuler de tous côtés, sans aucun obstacle,
la chambre à échos de l’être, fonctionne à pleine puissance,
les ondes voltigent, sillonnent, comme des balles de ping pong,
lancées à toute allure, de tous les côtés,
quelle danse divine,
festoiement de vibration soyeuses
4 avril 2024 à 19 h 18 min #49369En réponse à: Orgasme du gland aneroless
bzoParticipantpeut-être associé parfois à un petit sentiment de supériorité (mais je peux me tromper) qui existe chez moi aussi
difficile d’y échapper, par moments quand tu vois à quel point,
les gens semblent ne pouvoir accéder au sexe que de quelques manières bien précises,
dans des circonstances bien précises et très ponctuellement
ne semblent pouvoir exploiter le potentiel sexuel de leur corps,
que de manière très limitée,
alors que je peux éveiller de la volupté, des sensations puissantes et riches, de la jouissance
où je veux, quand je veux, tout seul
en deux temps, trois mouvements,
en me caressant un peu, bougeant un peu les hanches ou autre chose,
enfin trois fois rien
On voit que tu es très satisfait de ta pratique et que tu n’en changerais pour rien au monde
ce n’est pas tout à fait vrai,
je regrette d’avoir perdu l’habitude de solliciter ma prostate toute seule,
les orgasmes prostatiques me manquent
et viendraient compléter idéalement mon mode yin
je ne veux plus, pour l’instant, en tout cas, retoucher à un accessoire externe,
mais aneroless,
je ne suis pas encore parvenu à retrouver toute cette félicité séismique à répétition
dont j’ai bénéficié pendant deux, trois ans,
durant ma période de massage 100% prostatique avec masseur
la faute en est, un peu, à ma pratique en mode yin,
le plaisir y vient tellement facilement, instantanément,
est tellement irrésistible, vécu dans tout le corps,
sensation constante de se faire l’amour, etc
que je ne parviens pas à résister au bout d’un certain temps,
5mn, 10, 15 à resserrer mes cuisses, à commencer à me caresser
et à basculer en mode yin
il suffisait d’une fois “que je tienne le coup”,
combien de temps je ne sais pas, 20mn, 30, une heure,
pour que cela se déclenche à nouveau,
cela, je le sais,
parce qu’il y a quelques années, à mes débuts avec masseur,
j’en suis passé par là
mes premiers orgasmes prostatiques, pendant tout un temps,
se déclenchaient pile après 45mn,
une précision étonnante qui a duré quelques semaines
après les délais se sont de plus en plus raccourcis,
jusqu’à qu’un jour,
il n’y en ait plus du tout
et je démarrais avec un orgasme, directement à l’insertion
mais là, en aneroless, après des années, à solliciter ma prostate,
en conjugaison avec tout le reste,
le corps comme un tout, un tout vibrant, un tout complice,
un tout capable aussi bien de générer que d’être réceptacle à ondes,
il faut que je réhabitue ma prostate,
enfin, plutôt, que je me réhabitue à la faire fonctionner à pleine puissance,
toute seule, sans aucune partie du corps, n’intervenant aussi
c’est vraiment pas facile
mais j’y arriverais,
quand j’aurai plus de temps, aussi,
je pratique beaucoup mon qu’avant et en beaucoup plus fractionné aussi
du temps du massage prostatique,
les séances de 2,3 heures, étaient la moyenne
et quasi tous les jours,
avec parfois certaines qui duraient 4, 5 heures
là, en mode yin, cela fait des années
que la moyenne de mes micro-séances, hors du lit,
l’essentiel de mon activité,
c’est une à deux minutes
au lit, un quart d’heure à une demie heure, à tout casser
c’est quelque chose de totalement différent,
de plaisir vécu totalement différemment
2 avril 2024 à 12 h 11 min #49365En réponse à: Journal du prostatomane
bzoParticipantl’amour intense, la volupté, produits,
sont comme une présence en chair et en os,
vivante, vibrante,
c’est moi et en même temps, c’est indépendant de moi
quelqu’un est tout contre moi,
je suis tout contre quelqu’un
je me caresse,
je suis caressé, je caresse,
dédoublement,
je me sens caressé par quelqu’un,
je sens que je caresse quelqu’un
1 avril 2024 à 10 h 32 min #49357En réponse à: Journal du prostatomane
bzoParticipanten massage 100% prostatique, aneroless,
j’ai adopté, pour l’instant, une simplicité, un dépouillement, absolus
couché sur le dos, les jambes écartées, en losange,
avec les plantes de pied, l’une contre l’autre,
les bras le long du corps sans le toucher,
plus de titillement des tétons, plus de mouvement du bassin
juste les contractions et moi
le dialogue avec le corps,
rien que par l’intermédiaire de la prostate,
des moments de silence dans la chair,
entre chaque contraction
qui semblent leur appartenir encore
comme des silex qui s’entrechoquent,
à la recherche des précieuses étincelles
des vibrations
la chair a de plus en plus soif
que le feu prenne , que le feu se répande,
que toute la maison soit en flammes,
que cela brûle à tous les étages,
patience, patience
27 mars 2024 à 11 h 37 min #49343En réponse à: Journal du prostatomane
bzoParticipantavec les années de pratique en solo,
une des choses les plus remarquables de ce qui s’est passée en moi,
de ce qui s’est développé splendidement,
c’est la réactivité de mon corps
à quel point, il réagit au quart de tour au moindre contact,
ne fusse qu’avec les objets les plus banals,
le contact des matériaux, le métal, le bois, le verre,
pas seulement leur grain, leur consistance,
leur température, aussi
m’asseoir le cul nu sur de la pierre froide,
d’abord pendant une fraction de seconde,
il y a le désagrément de la différence de température
mais après, oh après…
je suis empli de frissons des pieds à la tête
et une envie irrésisitible de me caresser,
s’empare de moi
frotter mon cul, mon dos, mes flancs, contre du bois poncé,
me fait un de ces effets,
oh là encore,
en quelques secondes, je suis tellement émoustillé,
tellement envahi de frissons délicieux
j’ai la prostate qui bat comme un coeur, par moments,
comme un coeur en bas, tout vibrant, battant le rythme,
tam tam sauvage dans mon bassin
et tout autour qui danse, qui danse
pas seulement les contacts divers et variés,
juste mes mouvements,
par moments, rien que le fait de bouger,
provoque des vagues de plaisir en moi,
je me mets alors à chalouper du cul,
à faire monter des contractions,
mes cuisses viennent se frotter contre mes génitaux
et je suis déjà dans une autre galaxie,
frotté de tous les côtés, par des étoiles chaudes et fondantes
l’envie d’être pénétré, ah l’envie d’être pénétré
j’ai cultivé cela,
je me suis tellement laissé aller à cela,
d’abord eu peur, suis en train de devenir homosexuel?
cela me travaillait quelque part malgré mes expériences bisexuelles du passé,
là cette envie d’être pénétré , me faisait tellement basculer dans un autre monde
pas sûr que j’ai envie de recevoir une vraie bite dans la cul, cependant
maintenant je m’en rends bien compte
et cela ne me fait plus peur , un seul instant,
je me laisse aller totalement, sans rien retenir,
tout seul, je parviens tellement à vivre la pénétration par les deux bouts,
tellement à me sentir femme et en même temps, homme
mes fesses qui se resserrent qui s’écartent,
avec au milieu la petite fente, le petit tunnel sombre,
comme ils s’enflamment, quelle éruption de volupté
je marche dans mon appartement
et en même temps je me caresse
ou juste je bouge un peu le cul,
le plaisir semble là, à côté de moi,
à tout instant, prêt à m’envahir, au moindre signal
inventivité, imagination,
maîtres mots,
faire travailler son imagination,
les possibilités sont infinies,
en interactions, avec le monde qui m’entoure ou pas
apprendre à se lâcher complètement pour un oui, pour un non,
juste même pour quelques secondes,
baigner constamment dans les énergies prêtes à s’enflammer
18 mars 2024 à 21 h 05 min #49308En réponse à: Journal du prostatomane
bzoParticipantmon sexe est devenu quelque chose,
de tellement totalement, sublimement, extravagant et indécent,
de l’extérieur, il n’a pas beaucoup changé,
un peu rétréci avec l’âge,
devenu plus sombre, plus rabougri
mais de l’intérieur,
si vous pouviez le voir, de l’intérieur,
ce petit pilier de la masculinité, symbole de virilité,
il semble se ramifier, fleurir, frémir, vibrer,
envahir tout l’espace existant,
offrir comme des pétales couleur rouge chair, charnues, au vent
et à tout ce qu’il transporte de remuant, de voletant qui possède un dard
imaginez ce sexe en érection
qui soit en même temps, un vagin entrouvert
dont les lèvres se développent à partir du gland,
l’enveloppant, l’entourant, le décorant,
poussant dessus comme une plante exotique
aux excroissances vibrantes, colorées, chatoyantes
qui l’élargissent, l’agrandissent, de tous les côtés
coiffe immense, fantaisiste, luxuriante,
lui donnant des parois élastiques, de la profondeur,
de la capacité à contenir, à accueillir, à réceptionner,
un vrai home pour bourdons de passage
désireux d’un peu de nectar
mon sexe est une fontaine chantante enfouie dans la chair,
je caresse avec délectation, sans me lasser, tout ce corps,
devenu si monstrueusement, mais dans le bon sens, réactif,
extension vibrante, globalisante, de mon sexe,
mon corps, hampe raidie, mon corps lèvres humides,
mon corps gland, mon corps clitoris
il y a , tantôt, une préciosité infinie, dans mes gestes,
tantôt, une telle animalité débridée,
mon cul semble respirer,
semble avoir un pouls bien à lui
comme je les chéris ces moments
où comme une puissance indépendante, autonome, énorme,
semble s’aimer à travers moi,
resplendir et me faire resplendir
j’aime à la folie, la vie, dans ces moment-là
car je sens son torrent brûlant, soyeux, épais,
comme un sperme resourçant, dans l’invisible,
s’injecter dans mes veines, comme un diamant liquide
31 janvier 2024 à 10 h 24 min #48858En réponse à: Journal du prostatomane
noustaParticipantBonjour Bz
Bonjour à tous
Je suis heureux de retrouvé le site NXPL que je ne voyais plus dans mes recherches
Aujourd’hui je vie une difficulté, je n’ai plus d’orgasme prostatique depuis 1 mois et plus de vibration de la prostate , plus rien depuis plus de un mois , comme le sait Bzo que je salue au passage, il m’arrivait d’être à cours d’orgasme pendant des périodes de 15 jours maxi mais là cela m’inquiète, je ne ressens plus rien du tout
est ce que quelqu’un peut m’expliquer et me rassurer à ce sujet
merci à bientôt et bon cheminement à tous
31 janvier 2024 à 10 h 19 min #48857En réponse à: Ma progression stimulation prostatique
noustaParticipantBonjour à tous
Je suis heureux de retrouvé le site NXPL que je ne voyais plus dans mes recherches
Aujourd’hui je vie une difficulté, je n’ai plus d’orgasme prostatique depuis 1 mois et plus de vibration de la prostate , plus rien depuis plus de un mois , comme le sait Bzo que je salue au passage, il m’arrivait d’être à cours d’orgasme pendant des périodes de 15 jours maxi mais là cela m’inquiète, je ne ressens plus rien du tout
est ce que quelqu’un peut m’expliquer et me rassurer à ce sujet
merci à bientôt et bon cheminement à tous
24 janvier 2024 à 9 h 56 min #48730En réponse à: Journal du prostatomane
bzoParticipantoffrir son cul,
le plaisir d’offrir son cul,
à personne
personne n’est nécessaire
pour avoir du plaisir à offrir son cul,
personne
personne n’est nécessaire,
pour avoir du plaisir à écarter ses fesses, à les resserrer,
à se sentir pénétré, pénétrant,
à se sentir chevaucheur, chevauché,
personne
le plaisir, de se sentir femme pénétrée
d’avoir des hanches dansantes,
des seins gonflés, des tétons durs,
vibrants sous des doigts
et en même temps,
le plaisir de se sentir une verge dressée, dure,
enfouie en elle,
qui fait chanter notre corps, actuellement,
personne est nécessaire
personne est nécessaire, tout le monde est nécessaire,
une femme est nécessaire, un homme est nécessaire,
mais pas forcément, dans deux corps,
un d’homme et un de femme,
miracle du désir,
miracles des ressources enfouies,
en chacun de nous
il et elle, entremêlés
forment un seul cercle immense,
au genre fluctuant,
de par le monde, dans les corps
j’ai rejoins le cercle, pour un instant
tu as rejoins le cercle, pour un instant
il a rejoint le cercle, pour un instant
elle a rejoint le cercle, pour un instant
personne n’est nécessaire,
tout le monde est nécessaire,
ode aux troubles infinis,
des vertiges éveillés par le désir,
qu’on peut percevoir dans le moment,
en dedans et par de-là,
les frontières du genre de son corps
ode à tous les capiteux jeux de miroir
dont notre chair est capable
pour nous entraîner sur le tobogan voluptueux,
d’une exquise dégustation animale
7 janvier 2024 à 10 h 58 min #48030En réponse à: Journal du prostatomane
bzoParticipantcase menuiserie, par terre, pour moi à nouveau,
mon cul qui frotte contre le plancher,
mes couilles, mon pénis, contre les cuisses
beaucoup de frotti frotta, quoi
créant un continuum d’excitation délicieux,
de temps à autre, j’y ajoute un mouvement langoureux,
d’une partie ou d’une autre, de mon corps,
une caresse furtive des seins, une contraction, etc
piano à quatre mains,
deux pour la petite armoire que je suis en train de monter
et deux pour le dialogue ardent avec mon corps
par moments, je me sens vraiment comme un animal,
tout à coup dont les fesses sont entrées en contact
avec quelque chose qui l’a excité
et qui se met, sans vergogne et sans chichi, à se frotter contre,
sans rien retenir
oh le torrent de volupté qui m’envahit,
quel volcan, en rut,
parfois je bande dur comme de la pierre,
pour accompagner tout cela,
c’est bien agréable , aussi,
de sentir son engin, gorgé de sang,
comme frémissant, comme vibrant
j’y rajoute toujours, alors, une contraction ou deux,
les ondes prostatiques envahissent mon sexe dressé,
s’y fraient un chemin en force,
conquérant la place instantanément,
s’agitant, remuant dans tous les sens,
comme un banc de poissons, pris dans un filet,
sublime comme sensation
1 janvier 2024 à 8 h 30 min #47985En réponse à: Journal du prostatomane
bzoParticipantle mélange, l’amalgame, le plus parfait,
d’ondes prostatiques et d’ondes génitales,
s’obtient aisément
cela peut s’effectuer n’importe où, au lit, assis, debout,
plus facile néanmoins, assis ou couché
on resserre les cuisses autour de ses bijoux de famille,
de façon à les envelopper délicatement,
avec une pression, uniformément répartie
on attend un peu ,
que tout cela forme un paquet compact,
à multiples strates, se pressant les unes contre les autres,
bien stabilisé, inerte
mais prêt à rayonner, latent, puissant, chargé
puis on fait monter lentement une contraction
mais rien que cela, aucun autre mouvement,
d’aucune autre partie du corps,
comme si on était parti dans un dialogue, un tête à tête exclusif,
avec sa prostate
tout le petit paquet de chair sensible, de peau, de nerfs,
entre les jambes,
se met ainsi, un peu, en mouvement,
une tension s’installe du fait de la contraction
le sexe, les couilles, le périné, la prostate,
semblent se mettre à vibrer, à l’unisson,
délicieux
comme un obus se forme,
comme pondu par la région,
qui directement,
semble chercher son chemin vers le haut,
essaimant la joie, sur son passage,
dans les entrailles,
provoquant une pluie d’étoiles,
dans le cerveau
maintenir , par moments, longuement la contraction,
sentir, comme toute la zone, se met à darder,
un soleil nain, s’embrasant de plus en plus,
entre nos reins,
quel foyer de volupté,
le coeur est noyé de bonheur charnel
ainsi, parfois,
je recouvre avec les paumes, les seins,
les presse vers le haut,
comme ils sont ronds, comme ils sont vibrants,
ils semblent tirer tout mon être vers le haut,
comme un ascenseur
oh ma première jouissance de 2024
18 décembre 2023 à 14 h 13 min #47814PetitsPlaisirs76ParticipantLe traité d’Aneros fait ressortir quatre points importants:
1) La relaxation de 20 minutes mini, dans le but de rompre avec le “je veux” et l’immédiateté qui sont nos drogues dures.
2) La respiration profonde et continue que l’on a tendance à “oublier” quand ça monte dans les tours.
3) Une lubrification généreuse afin que l’aneros puisse bouger pour caresser la prostate.
4) La prostate n’est pas un tambour , elle demande beaucoup de douceur et qu’on l’oublie un peu, ce n’est pas une “bite” interne.Nos expériences ne sont pas des leçons mais peuvent éclairer.
Beaucoup s’accorde à dire que le matériel vibrant n’est pas la bonne approche, j’ai commencé avec l’helix classique que j’ai abandonné
faute de “résultat”.
Avec le recul il n’y était pour pas grand chose, j’étais trop tendu durant les sessions l’anus bloquait l’anéros qui bougeait
très peu caressait très peu la prostate.
Déçu mais persévérant, j’ai repris l’expérience prostate sans trop y croire avec le aneros peredise 3 dont la tête n’est pas plus grosse qu’une olive,
en respectant les 4 points cités, et en manipulant doucement à la main l’objet, j’ai découvert la prostate (on sent qu’on y est).
Il y a peu lors d’une session mon corps mon anus ma prostate m’ont demandé “l ‘helix”, ayant bien progressé dans mes sessions ,
il a apporté un plus, avec sa forme, sur le périnée et la prostate et aussi une autonomie, les mains pouvant s’occuper ailleurs.Conclusion: Il faut chercher modestement ce qui marche, l’expérience de “bzo” est très intéressante et montre qu’il faut du temps,
j’ai commencé il y a 2 ou 3 ans je n’ai jamais atteint les sommets je suis autour de 51 dans “la carte aux trésors” et ça me convient.
Je passe de bons moments avec mon corps.18 décembre 2023 à 13 h 53 min #47812brotherParticipantPersonnellement je me suis posé la même question et j’ai acheté l’aneros helix syn v
son avantage c’est qu’il fait les deux
et surtout
dés le depart en mode vibratoire tu vas avoir des sensations qui vont t’encourager à faire le réveil de ta prostate.
aujoud’hui au bout de deux ans
ma prostate se révéille de plus en plus et le mode vibratire n’est que rarement employé mais les orgasmes sont puissants beaucoup plus qu’en mode auto…
le curseur maximimum du plaisir augmente de scéance en scénace et je pense que si j’avais acheté l’aneros classique j’aurais pu me décourager ou me dire que tout cela était des conneries .
je remercie Adam ne n’avoir fait découvrir tardivement (52 ans) le plaisir avec un grand P grâce à son traité
8 décembre 2023 à 22 h 31 min #47744En réponse à: Journal du prostatomane
bzoParticipantassis, je ferme les yeux,
croise les bras sur la poitrine,
maintiens la position, bien immobile,
la tête un peu rejetée en arrière
je me sens comme quelqu’un qui s’apprête à faire un plongeon,
quelqu’un qui se prépare, quelqu’un qui se concentre,
en faisant le vide en lui
ça y est, je saute, je fais monter une contraction,
oh, les vibrations arrivent,
les vibrations me remplissent déjà le bassin,
débordent, se ruent, montent, irradient ma chair ,
il commence à faire délicieusement chaud et dense, là-dedans
sensation d’expulsion,
quelque chose se désenclave, des fondations s’effritent plus en plus, des racines cèdent,
sensation presque de lévitation, par moments
ou d’ascenseur hydraulique, tiré vers le haut, comme par enchantement,
les ondes me pressent, les ondes me dérèglent,
une part de moi, se sent de plus en plus légère,
une autre, de plus en plus lourde et en feu
il y a de l’affolement délicieux, à tous les étages,
juste bien se laisser aller, juste laisser faire
et contracter en s’écoutant le mieux possible
je maintiens la contraction, autant que je peux,
cela darde dans la région, depuis la prostate,
la pression, dessus, semble comme une gâchette qui déclenche,
un canon à ondes capiteuses, un canon à ondes enivrantes
qui gicle sans relâche vers le haut
mais j’en veux toujours plus,
oh inonde-moi, occupe-moi,
rends-moi fou de plaisir, un instant
30 novembre 2023 à 22 h 52 min #47704En réponse à: Journal du prostatomane
bzoParticipantpas vraiment de la jouissance, au sens strict du terme
mais juste
que chaque sensation est devenue tellement intense, tellement riche,
tellement précise, tellement fine,
tellement ressentie, de fond en comble, dans la chair,
que je ne trouve pas d’autre terme pour la qualifier,
le plus justement possible
manège magique des nuances de sensations
comme un ouragan
qui se met à tournoyer au ralenti,
à la moindre caresse,
au moindre mouvement langoureux du bassin,
à la moindre contraction,
au moindre effleurement des génitaux,
par les cuisses
un ouragan de cristal et de lave,
de feu et de lumière
une forêt bruissante de soie,
à perte de vue,
tout un océan de vent,
habité par la vibration
le plaisir me rend immense, un instant,
je suis à perte de vue,
je n’ai plus de frontières
je n’ai plus de sexe, non plus
mais cela, vous le savez depuis longtemps,
si vous me lisez,
je suis tellement totalement,
tout en fusion, tout en communion ardente,
entre la femme et l’homme, en moi
le temps de l’action
les sensations éclatent les frontières,
rejoignent l’horizon,
est-ce l’arrière du décor, ici-bas, tout ce plaisir?
c’est tellement tentant de le croire,
tellement, il semble omniprésent,
omnipotent, infini, illimité,
dans cette autre dimension de nous-même,
où le désir nous transporte, un instant
20 novembre 2023 à 22 h 04 min #47637En réponse à: Journal du prostatomane
bzoParticipantfaire travailler son imagination,
la laisser courir librement, comme le vent,
engager le dialogue avec son corps
et obtenir des réponses,
obtenir de la volupté, des sensations
le sexe, cela devrait être comme jouer dans un bac à sable,
à deux, à trois, à dix
ou tout seul,
jouer, jouer, avec son corps,
jouer, jouer, avec le corps des autres
les orgasmes, c’est l’explosion, c’est l’illumination, de temps à autre
mais la véritable récompense, pour moi,
ce sont les sensations, la volupté,
l’infinie océan des nuances de sensations, possible
et puis la volupté, quand elle est de qualité,
elle est la fois si légère et si dense,
si volcanique et si soyeuse, si délicate
je jouis de me caresser, je jouis de bouger,
je jouis de sentir ma propre chair, sous mes paumes
tellement chaude, tellement vivante,
tellement vibrante
je jouis de mes seins,
je jouis de mes hanches, de leur danse lascive,
je jouis de ma prostate, ma petite reine des profondeurs,
je jouis de mon pénis, de mes couilles,
de leur capacité à être une fontaines à sensations, des heures durant
je jouis de mon anus, mon petit volcan privé
qui aime les doigts qui farfouillent,
qui aiment leur plongée remuante, dans ses ténèbres
11 novembre 2023 à 14 h 13 min #47472En réponse à: Journal du prostatomane
bzoParticipantla moindre caresse sur la peau,
me fait l’effet d’un bref tsunami qui passe dans la chair,
j’ai les tétons, durs comme de la pierre, sous les doigts,
comme ils pointent, comme ils pointent
mes hanches se mettent à danser, malgré moi,
c’est trop bon de les sentir remuer, ainsi,
si lascivement, si librement,
une telle volupté m’envahit,
mon anus me brûle,
les muscles tout autour, semblent remuer,
comme une chevelure de gorgone
j’ai le besoin irrépressible de faire monter des contractions,
cela me donne cette sensation
d’être pénétré, d’être envahi, d’être empli, de plus en plus,
je me sens tellement chaud bouillant, par en bas,
inondé d’une luxuriante luxure,
liquide, dense et soyeuse, vague qui progresse au ralenti
cela bouge, cela ondule, capiteusement
cela semble vibrer, frémir, de toutes parts,
cela me monte à la bouche, irrésistiblement
mes entrailles en furie, tout doucement
mais massivement, irrésistiblement,
se transformant en sonorités, comme acte final,
vibrant tellement grassement, entre mes lèvres,
glissant tout seul, sortant,
comme éjecté, né librement, du désir,
s’envolant
j’ai un ciel,
sillonné d’une pluie de météorites en feu,
derrière les yeux
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