20 réponses de 1 à 20 (sur un total de 1,243)
  • Auteur
    Résultats de la recherche
  • #49422

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    pile ou face,

    face visible

    et face cachée de la lune

     

    la douceur soyeuse sans limites de mon sexe,

    ce rayonnement sans limites, de douceur, de soie chaude

    dont il est capable en mode yin,

    vague après vague

    quand il est frotté, pressé, massé,

    par mes cuisses,

    rythmé par la houle langoureuse dans mes hanches

     

    son autre aspect, si radicalement différent, étant,

    quand se gorgeant de sang,

    il commence à se lever et à durcir,

    devenant cette petite tour de chair,

    comme vibrante au moindre contact, au moindre effleurement,

    prête à cracher sa petite giclée de jus laiteux

     

    molle ou raide,

    si capable, si capable,

    de tempêtes radicalement différentes

    dans ma chair

     

    une sorte de caméléon, en fait,

    prêt à toutes les couleurs

    de l’arc en ciel du désir,

    si on le sollicité comme il faut

     

    #49379

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    l’opulence incroyable dans cette chair, sous mes doigts,
    je sens comme le cours d’un fleuve à la puissance illimitée,
    charriant les sédiments du plaisir,
    je sens ce flux irrésisitible sous ma peau,
    le nectar de leur multitude passer et encore passer
    dans mes cellules

    oh, baigner dans cette caresse constante
    de tout mon être

    je presse, je frotte, mes seins,
    lentement, très lentement
    tandis que mes hanches ondulent un peu,
    sous l’action des cuisses
    qui font frotti frotta avec les génitaux

    mes yeux sont fermés,
    ma tête, rejetée en arrière,
    quelle douce et constante sensation d’extase,
    d’épanouissement splendide
    mais en même temps, si animale, si animale

    une contraction,
    la faire monter bien au ralenti,
    sentir chaque millimètre
    de sa progression vers le haut,
    ce lent bélier, comme il épouse ma chair
    en même temps qu’il semble la fendre

    mes gémissements,
    semblent des marches vers le paradis,
    je bande un peu,
    ma queue est comme gonflée d’ondes,
    en surpopulation massive

    une turgescence de vibrations,
    ma petite mini tour Eiffel émettrice,
    avec sa grosse tête violacée

    je la frotte, je la roule,
    entre mes cuisses,
    elle fuit de toutes parts comme une passoire,
    semble pisser des jets de vibrations
    dans toutes les directions,
    sublime sensation

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 1 semaine et 4 jours par bzo.
    #49373

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    le traité des caresses en solitaire,

    ça mériterait d’être écrit,

    tellement le sujet est vaste, subtil et riche

     

    je veux dire par là

    qu’il y a toute une technique à développer

    car le désir s’exprime énormément par les doigts, les paumes

    et qui de mon  expérience de nombreuses années de plaisir en solitaire,

    est au moins aussi riche qu’avec des partenaires

     

    selon le type de plaisir, prostatique, anal, pénien,

    ou ce que j’appelle le plaisir en mode yin,

    vous ne devriez pas vous caresser de la même manière,

    il y a un subtil équilibre à établir

    entre ce qui monte comme ondes de votre bassin

    et puis le travail des mains sur la peau

     

    une chose est sûre,

    quelque soit le type de plaisir dans lequel vous êtes engagé,

    vous devriez octroyer une part belle aux caresses,

    enflammer, enchanter, la peau,

    faire réagir de plus en plus, tout le corps,

    est une splendide source pour ensauvager, varier, intensifier,

    les sensations

     

    c’est une manière sure et inégalable d’enrichir votre pratique,

    votre corps va devenir de plus en plus réactif sous vos caresses,

    de partout, absolument de partout,

    il y a un feu de paille à la surface à vivre sous les doigts

    mais aussi une lave dans les profondeurs,

    à canaliser, à libérer

     

    tout va vouloir participer à la fête,

    les mains agissent comme des aimants, des sourciers,

    des chamans aux pouvoirs de réveiller toutes les zones endormies,

    rendre tout le corps vibrant,

    en combinaison avec les divers mouvements possible,

    les contractions de muscles,

    pas seulement ceux du périné mais de tous les muscles,

    des doigts de pied jusqu’au sommet du crâne,

    partout où il y a de la chair, du sang et des nerfs

    et sur lequel il y a moyen d’agir dessus

     

    les mains sont un facteur  essentiel de progression,

    pour que tout votre corps peu à peu,

    réagisse comme un sexe,

    n’importe où, où vos doigts se poseront,

    vous aurez l’impression de les poser sur un sexe assoiffé d’exprimer le désir,

    une puissance magistrale, splendide s’exprimera

     

    vibrant kaleidoscope de l’instrument de musique du plaisir

    dont la moindre cellule de notre être,

    est une composante, une brique vivante, essentielle,

    prête à apporter sa part à la construction du palais illuminé

    où la fête résonne à tous les étages, dans toutes les pièces

     

    #49371

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    premier jour de l’année, avec des 24,25°, ici à Bruxelles,

    premier jour de l’année que je peux me promener nu comme un ver, chez moi,

    comme c’est bon, comme c’est agréable,

    quand il n’y a plus rien sur la peau, nulle part,

    cela devient tout de suite spécial

    ou plutot c’est quand il y a un peu de tissu quelque part,

    que quelque chose perd de son intégrité

     

    le tout du corps, le tout de l’être,

    libéré de tout vêtement,

    réagit différemment dans l’instant, en l’endroit où il se trouve,

    l’air m’enveloppe de partout,

    la lumière peut m’atteindre de partout,

    le monde est tout contre moi,

    je suis tout contre le monde,

    plus facile d’entrer en contact avec tout, avec rien,

    avec soi-même aussi,

    des flux entre les êtres, entre les choses,

    peuvent circuler plus librement

     

    et puis mes mains , aussi,

    peuvent aller se poser n’importe où, partout,

    oh que de frissons , directement

    comme j’aime me caresser lentement, lentement,

    quelle ivresse, cette chair vivante

     

    la réceptivité du corps,

    semble décuplée, nu comme un ver,

    les énergies peuvent circuler de tous côtés, sans aucun obstacle,

    la chambre à échos de l’être, fonctionne à pleine puissance,

    les ondes voltigent, sillonnent, comme des balles de ping pong,

    lancées à toute allure, de tous les côtés,

    quelle danse divine,

    festoiement de vibration soyeuses

    #49369

    En réponse à: Orgasme du gland aneroless

    bzo
    Participant

    peut-être associé parfois à un petit sentiment de supériorité (mais je peux me tromper) qui existe chez moi aussi

    difficile d’y échapper, par moments quand tu vois à quel point,

    les gens semblent ne pouvoir accéder au sexe que de quelques manières bien précises,

    dans des circonstances bien précises et très ponctuellement

     

    ne semblent pouvoir exploiter le potentiel sexuel de leur corps,

    que de manière très limitée,

    alors que je peux éveiller de la volupté, des sensations puissantes et riches, de la jouissance

    où je veux, quand je veux, tout seul

    en deux temps, trois mouvements,

    en me caressant un peu, bougeant un peu les hanches ou autre chose,

    enfin trois fois rien

     

     

    On voit que tu es très satisfait de ta pratique et que tu n’en changerais pour rien au monde

    ce n’est pas tout à fait vrai,

    je regrette d’avoir perdu l’habitude de solliciter ma prostate toute seule,

    les orgasmes prostatiques me manquent

    et viendraient compléter idéalement mon mode yin

     

    je ne veux plus, pour l’instant, en tout cas, retoucher à un accessoire externe,

    mais aneroless,

    je ne suis pas encore parvenu à retrouver toute cette félicité séismique à répétition

    dont j’ai bénéficié pendant deux, trois ans,

    durant ma période de massage 100% prostatique avec masseur

     

    la faute en est, un peu,  à ma pratique en mode yin,

    le plaisir y vient tellement facilement, instantanément,

    est tellement irrésistible, vécu dans tout le corps,

    sensation constante de se faire l’amour, etc

    que je ne parviens  pas à résister au bout d’un certain temps,

    5mn, 10, 15 à resserrer mes cuisses, à commencer à me caresser

    et à basculer en mode yin

     

    il suffisait d’une fois “que je tienne le coup”,

    combien de temps je ne sais pas, 20mn, 30, une heure,

    pour que cela se déclenche à nouveau,

    cela, je le sais,

    parce qu’il y a quelques années, à mes débuts avec masseur,

    j’en suis passé par là

     

    mes premiers orgasmes prostatiques, pendant tout un temps,

    se déclenchaient pile après 45mn,

    une précision étonnante qui a duré quelques semaines

     

    après les délais se sont de plus en plus raccourcis,

    jusqu’à qu’un jour,

    il n’y en ait plus du tout

    et je démarrais avec un orgasme, directement à l’insertion

     

    mais là, en aneroless, après des années, à solliciter ma prostate,

    en conjugaison avec tout le reste,

    le corps comme un tout, un tout vibrant, un tout complice,

    un tout capable aussi bien de générer que d’être réceptacle à ondes,

    il faut que je réhabitue ma prostate,

    enfin, plutôt, que je me réhabitue à la faire fonctionner à pleine puissance,

    toute seule, sans aucune partie du corps, n’intervenant aussi

     

    c’est vraiment pas facile

    mais j’y arriverais,

    quand j’aurai plus de temps, aussi,

    je pratique beaucoup mon qu’avant et en beaucoup plus fractionné aussi

     

    du temps du massage prostatique,

    les séances de 2,3 heures, étaient la moyenne

    et quasi tous les jours,

    avec parfois certaines qui duraient 4, 5 heures

     

    là, en mode yin, cela fait des années

    que la moyenne de mes micro-séances, hors du lit,

    l’essentiel de mon activité,

    c’est une à deux minutes

     

    au lit, un quart d’heure à une demie heure, à tout casser

     

    c’est quelque chose de totalement différent,

    de plaisir vécu totalement différemment

     

    #49365

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    l’amour intense, la volupté, produits,

    sont comme une présence en chair et en os,

    vivante, vibrante,

    c’est moi et en même temps, c’est indépendant de moi

     

    quelqu’un est tout contre moi,

    je suis tout contre quelqu’un

     

    je me caresse,

    je suis caressé, je caresse,

    dédoublement,

    je me sens caressé par quelqu’un,

    je sens que je caresse quelqu’un

    #49357

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    en massage 100% prostatique, aneroless,

    j’ai adopté, pour l’instant,  une simplicité, un dépouillement, absolus

     

    couché sur le dos, les jambes écartées, en losange,

    avec les plantes de pied, l’une contre l’autre,

    les bras le long du corps sans le toucher,

    plus de titillement des tétons, plus de mouvement du bassin

    juste les contractions et moi

     

    le dialogue avec le corps,

    rien que par l’intermédiaire de la prostate,

    des moments de silence dans la chair,

    entre chaque contraction

    qui semblent leur appartenir encore

     

    comme des silex qui s’entrechoquent,

    à la recherche des précieuses étincelles

    des vibrations

     

    la chair a de plus en plus soif

    que le feu prenne , que le feu se répande,

    que toute la maison soit en flammes,

    que cela brûle à tous les étages,

    patience, patience

    #49343

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    avec les années de pratique en solo,

    une des choses les plus remarquables de ce qui s’est passée en moi,

    de ce qui s’est développé splendidement,

    c’est la réactivité de mon corps

     

    à quel point, il réagit au quart de tour au moindre contact,

    ne fusse qu’avec les objets les plus banals,

    le contact des matériaux, le métal, le bois, le verre,

    pas seulement leur grain, leur consistance,

    leur température, aussi

     

    m’asseoir le cul nu sur de la pierre froide,

    d’abord pendant une fraction de seconde,

    il y a le désagrément de la différence de température

    mais après,  oh après…

    je suis empli de frissons des pieds à la tête

    et une envie irrésisitible de me caresser,

    s’empare de moi

     

    frotter mon cul, mon dos, mes flancs,  contre du bois poncé,

    me fait un de ces effets,

    oh là encore,

    en quelques secondes, je suis tellement émoustillé,

    tellement envahi de frissons délicieux

     

    j’ai la prostate qui bat comme un coeur, par moments,

    comme un coeur en bas, tout vibrant, battant le rythme,

    tam tam sauvage dans mon bassin

    et tout autour qui danse, qui danse

     

    pas seulement les contacts divers et variés,

    juste mes mouvements,

    par moments, rien que le fait de bouger,

    provoque des vagues de plaisir en moi,

    je me mets alors à chalouper du cul,

    à faire monter des contractions,

    mes cuisses viennent se frotter contre mes génitaux

    et je suis déjà dans une autre galaxie,

    frotté de tous les côtés, par des étoiles chaudes et fondantes

     

    l’envie d’être pénétré, ah l’envie d’être pénétré

    j’ai cultivé cela,

    je me suis tellement laissé aller à cela,

    d’abord eu peur, suis en train de devenir homosexuel?

    cela me travaillait quelque part malgré mes expériences bisexuelles du passé,

    là cette envie d’être pénétré , me faisait tellement basculer dans un autre monde

     

    pas sûr que j’ai envie de recevoir une vraie bite dans la cul, cependant

    maintenant je m’en rends bien compte

    et cela ne me fait plus peur , un seul instant,

    je me laisse aller totalement, sans rien retenir,

    tout seul, je parviens tellement à vivre la pénétration par les deux bouts,

    tellement à me sentir femme et en même temps, homme

     

    mes fesses qui se resserrent qui s’écartent,

    avec au milieu la petite fente, le petit tunnel sombre,

    comme ils s’enflamment, quelle éruption de volupté

     

    je marche dans mon appartement

    et en même temps je me caresse

    ou juste je bouge un peu le cul,

    le plaisir semble là, à côté de moi,

    à tout instant, prêt à m’envahir, au moindre signal

     

    inventivité, imagination,

    maîtres mots,

    faire travailler son imagination,

    les possibilités sont infinies,

    en interactions, avec le monde qui m’entoure ou pas

     

    apprendre à se lâcher complètement pour un oui, pour un non,

    juste même pour quelques secondes,

    baigner constamment dans les énergies prêtes à s’enflammer

    #49308

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    mon sexe est devenu quelque chose,

    de tellement totalement, sublimement, extravagant et indécent,

    de l’extérieur, il n’a pas beaucoup changé,

    un peu rétréci avec l’âge,

    devenu plus sombre, plus rabougri

     

    mais de l’intérieur,

    si vous pouviez le voir, de l’intérieur,

    ce petit pilier de la masculinité, symbole de virilité,

    il semble se ramifier, fleurir, frémir, vibrer,

    envahir tout l’espace existant,

    offrir comme des pétales couleur rouge chair, charnues, au vent

    et à tout ce qu’il transporte de remuant, de voletant qui possède un dard

     

    imaginez ce sexe en érection

    qui soit en même temps, un vagin entrouvert

    dont les lèvres se développent à partir du gland,

    l’enveloppant, l’entourant, le décorant,

    poussant dessus comme une plante exotique

    aux excroissances vibrantes, colorées, chatoyantes

    qui l’élargissent, l’agrandissent, de tous les côtés

     

    coiffe immense, fantaisiste, luxuriante,

    lui donnant des parois élastiques, de la profondeur,

    de la capacité à contenir, à accueillir, à réceptionner,

    un vrai home pour bourdons de passage

    désireux d’un peu de nectar

     

    mon sexe est une fontaine chantante enfouie dans la chair,

    je caresse avec délectation, sans me lasser, tout ce corps,

    devenu si monstrueusement, mais dans le bon sens, réactif,

    extension vibrante, globalisante, de mon sexe,

    mon corps, hampe raidie, mon corps lèvres humides,

    mon corps gland, mon corps clitoris

     

    il y a , tantôt, une préciosité infinie, dans mes gestes,

    tantôt, une telle animalité débridée,

    mon cul semble respirer,

    semble avoir un pouls bien à lui

     

    comme je les chéris ces moments

    où comme une puissance indépendante, autonome, énorme,

    semble s’aimer à travers moi,

    resplendir et me faire resplendir

     

    j’aime à la folie, la vie, dans ces moment-là

    car je sens son torrent brûlant, soyeux, épais,

    comme un sperme resourçant, dans l’invisible,

    s’injecter dans mes veines, comme un diamant liquide

     

    #48858

    En réponse à: Journal du prostatomane

    nousta
    Participant

    Bonjour Bz

    Bonjour à tous

    Je suis heureux de retrouvé le site NXPL que je ne voyais plus dans mes recherches

    Aujourd’hui je vie une difficulté, je n’ai plus d’orgasme prostatique depuis 1 mois et plus de vibration de la prostate , plus rien depuis plus de un mois , comme le sait Bzo que je salue au passage, il m’arrivait d’être à cours d’orgasme pendant des périodes de 15 jours maxi mais là cela m’inquiète, je ne ressens plus rien du tout

    est ce que quelqu’un peut m’expliquer et me rassurer à ce sujet

    merci à bientôt et bon cheminement à tous

    #48857
    nousta
    Participant

    Bonjour à tous

    Je suis heureux de retrouvé le site NXPL que je ne voyais plus dans mes recherches

    Aujourd’hui je vie une difficulté, je n’ai plus d’orgasme prostatique depuis 1 mois et plus de vibration de la prostate , plus rien depuis plus de un mois , comme le sait Bzo que je salue au passage, il m’arrivait d’être à cours d’orgasme pendant des périodes de 15 jours maxi mais là cela m’inquiète, je ne ressens plus rien du tout

    est ce que quelqu’un peut m’expliquer et me rassurer à ce sujet

    merci à bientôt et bon cheminement à tous

    #48730

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    offrir son cul,

    le plaisir d’offrir son cul,

    à personne

     

    personne n’est nécessaire

    pour avoir du plaisir à offrir son cul,

    personne

     

    personne n’est nécessaire,

    pour avoir du plaisir à écarter ses fesses, à les resserrer,

    à se sentir pénétré, pénétrant,

    à se sentir chevaucheur, chevauché,

    personne

     

    le plaisir, de se sentir femme pénétrée

    d’avoir des hanches dansantes,

    des seins gonflés, des tétons durs,

    vibrants sous des doigts

     

    et  en même temps,

    le plaisir de se sentir une verge dressée, dure,

    enfouie en elle,

    qui fait chanter notre corps, actuellement,

    personne est nécessaire

     

    personne est nécessaire, tout le monde est nécessaire,

    une femme est nécessaire, un homme est nécessaire,

    mais pas forcément, dans deux corps,

    un d’homme et un de femme,

    miracle du désir,

    miracles des ressources enfouies,

    en chacun de nous

     

    il et elle, entremêlés

    forment un seul cercle immense,

    au genre fluctuant,

    de par le monde, dans les corps

     

    j’ai rejoins le cercle, pour un instant

    tu as rejoins le cercle, pour un instant

    il a rejoint le cercle, pour un instant

    elle a rejoint le cercle, pour un instant

     

    personne n’est nécessaire,

    tout le monde est nécessaire,

    ode aux troubles infinis,

    des vertiges éveillés par le désir,

    qu’on peut percevoir dans le moment,

    en dedans et par de-là,

    les frontières du genre de son corps

     

    ode à tous les capiteux jeux de miroir

    dont notre chair est capable

    pour nous entraîner sur le tobogan voluptueux,

    d’une exquise dégustation animale

     

     

    #48030

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    case menuiserie, par terre, pour moi à nouveau,

    mon cul qui frotte contre le plancher,

    mes couilles, mon pénis, contre les cuisses

     

    beaucoup de frotti frotta, quoi

    créant un continuum d’excitation délicieux,

    de temps à autre, j’y ajoute un mouvement langoureux,

    d’une partie ou d’une autre, de mon corps,

    une caresse furtive des seins, une contraction, etc

     

    piano à quatre mains,

    deux pour la petite armoire que je suis en train de monter

    et deux pour le dialogue ardent avec mon corps

     

    par moments, je me sens vraiment comme un animal,

    tout à coup dont les fesses sont entrées en contact

    avec quelque chose qui l’a excité

    et qui se met, sans vergogne et sans chichi,  à se frotter contre,

    sans rien retenir

     

    oh le torrent de volupté qui m’envahit,

    quel volcan, en rut,

    parfois je bande dur comme de la pierre,

    pour accompagner tout cela,

    c’est bien agréable , aussi,

    de sentir son engin, gorgé de sang,

    comme frémissant, comme vibrant

     

    j’y rajoute toujours, alors, une contraction ou deux,

    les ondes prostatiques envahissent mon sexe dressé,

    s’y fraient un chemin en force,

    conquérant la place instantanément,

    s’agitant, remuant dans tous les sens,

    comme un banc de poissons, pris dans un filet,

    sublime comme sensation

     

     

    #47985

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    le mélange, l’amalgame, le plus parfait,

    d’ondes prostatiques et d’ondes génitales,

    s’obtient aisément

     

    cela peut s’effectuer n’importe où, au lit, assis, debout,

    plus facile néanmoins, assis ou couché

     

    on resserre les cuisses autour de ses bijoux de famille,

    de façon à les envelopper délicatement,

    avec une pression, uniformément répartie

     

    on attend un peu ,

    que tout cela forme un paquet compact,

    à multiples strates, se pressant les unes contre les autres,

    bien stabilisé, inerte

    mais prêt à rayonner, latent, puissant, chargé

     

    puis on fait monter lentement une contraction

    mais rien que cela, aucun autre mouvement,

    d’aucune autre partie du corps,

    comme si on était parti dans un dialogue, un tête à tête exclusif,

    avec sa prostate

     

    tout le petit paquet de chair sensible, de peau, de nerfs,

    entre les jambes,

    se met ainsi, un peu, en mouvement,

    une tension s’installe du fait de la contraction

    le sexe, les couilles, le périné, la prostate,

    semblent se mettre à vibrer, à l’unisson,

    délicieux

     

    comme un obus se forme,

    comme pondu par la région,

    qui directement,

    semble chercher son chemin vers le haut,

    essaimant la joie, sur son passage,

    dans les entrailles,

    provoquant une pluie d’étoiles,

    dans le cerveau

     

    maintenir , par moments, longuement la contraction,

    sentir, comme toute la zone, se met à darder,

    un soleil nain, s’embrasant de plus en plus,

    entre nos reins,

    quel foyer de volupté,

    le coeur est noyé de bonheur charnel

     

    ainsi, parfois,

    je recouvre avec les paumes, les seins,

    les presse vers le haut,

    comme ils sont ronds, comme ils sont vibrants,

    ils semblent tirer tout mon être vers le haut,

    comme un ascenseur

     

    oh ma première jouissance de 2024

     

    #47814
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    Le traité d’Aneros fait ressortir quatre points importants:

    1) La relaxation de 20 minutes mini, dans le but de rompre avec le “je veux” et l’immédiateté qui sont nos drogues dures.
    2) La respiration profonde et continue que l’on a tendance à “oublier” quand ça monte dans les tours.
    3) Une lubrification généreuse afin que l’aneros puisse bouger pour caresser la prostate.
    4) La prostate n’est pas un tambour , elle demande beaucoup de douceur et qu’on l’oublie un peu, ce n’est pas une “bite” interne.

    Nos expériences ne sont pas des leçons mais peuvent éclairer.

    Beaucoup s’accorde à dire que le matériel vibrant n’est pas la bonne approche, j’ai commencé avec l’helix classique que j’ai abandonné
    faute de “résultat”.
    Avec le recul il n’y était pour pas grand chose, j’étais trop tendu durant les sessions l’anus bloquait l’anéros qui bougeait
    très peu caressait très peu la prostate.
    Déçu mais persévérant, j’ai repris l’expérience prostate sans trop y croire avec le aneros peredise 3 dont la tête n’est pas plus grosse qu’une olive,
    en respectant les 4 points cités, et en manipulant doucement à la main l’objet, j’ai découvert la prostate (on sent qu’on y est).
    Il y a peu lors d’une session mon corps mon anus ma prostate m’ont demandé “l ‘helix”, ayant bien progressé dans mes sessions ,
    il a apporté un plus, avec sa forme, sur le périnée et la prostate et aussi une autonomie, les mains pouvant s’occuper ailleurs.

    Conclusion: Il faut chercher modestement ce qui marche, l’expérience de “bzo” est très intéressante et montre qu’il faut du temps,
    j’ai commencé il y a 2 ou 3 ans je n’ai jamais atteint les sommets je suis autour de 51 dans “la carte aux trésors” et ça me convient.
    Je passe de bons moments avec mon corps.

    #47812
    brother
    Participant

    Personnellement je me suis posé la même question et j’ai acheté l’aneros helix syn v

    son avantage c’est qu’il fait les deux

    et surtout

    dés le depart en mode vibratoire tu vas avoir des sensations qui vont t’encourager à faire le réveil de ta prostate.

    aujoud’hui au bout de deux ans

    ma prostate se révéille de plus en plus et le mode vibratire n’est que rarement employé mais les orgasmes sont puissants beaucoup plus qu’en mode auto…

    le curseur maximimum du plaisir augmente de scéance en scénace et je pense que si j’avais acheté l’aneros classique j’aurais pu me décourager ou me dire que tout cela était des conneries .

    je remercie Adam ne n’avoir fait découvrir tardivement (52 ans) le plaisir avec un grand P grâce à son traité

     

     

    #47744

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    assis, je ferme les yeux,

    croise les bras sur la poitrine,

    maintiens la position, bien immobile,

    la tête un peu rejetée en arrière

     

    je me sens comme quelqu’un qui s’apprête à faire un plongeon,

    quelqu’un qui se prépare, quelqu’un qui se concentre,

    en faisant le vide en lui

     

    ça y est, je saute, je fais monter une contraction,

    oh, les vibrations arrivent,

    les vibrations me remplissent déjà le bassin,

    débordent, se ruent, montent, irradient ma chair ,

    il commence à faire délicieusement chaud et dense, là-dedans

     

    sensation d’expulsion,

    quelque chose se désenclave, des fondations s’effritent plus en plus, des racines cèdent,

    sensation presque de lévitation, par moments

    ou d’ascenseur hydraulique, tiré vers le haut, comme par enchantement,

    les ondes me pressent, les ondes me dérèglent,

    une part de moi, se sent de plus en plus légère,

    une autre, de plus en plus lourde et en feu

     

    il y a de l’affolement délicieux, à tous les étages,

    juste bien se laisser aller, juste laisser faire

    et contracter en s’écoutant le mieux possible

     

    je maintiens la contraction, autant que je peux,

    cela darde dans la région, depuis la prostate,

    la pression, dessus,  semble comme une gâchette qui déclenche,

    un canon à ondes capiteuses, un canon à ondes enivrantes

    qui gicle sans relâche vers le haut

     

    mais j’en veux toujours plus,

    oh inonde-moi, occupe-moi,

    rends-moi fou de plaisir, un instant

     

     

     

     

    #47704

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    pas vraiment de la jouissance, au sens strict du terme

    mais juste

    que chaque sensation est devenue tellement intense, tellement riche,

    tellement précise, tellement fine,

    tellement ressentie, de fond en comble, dans la chair,

    que je ne trouve pas d’autre terme pour la qualifier,

    le plus justement possible

     

    manège magique des nuances de sensations

    comme un ouragan

    qui se met à tournoyer au ralenti,

    à la moindre caresse,

    au moindre mouvement langoureux du bassin,

    à la moindre contraction,

    au moindre effleurement des génitaux,

    par les cuisses

     

    un ouragan de cristal et de lave,

    de feu et de lumière

     

    une forêt bruissante de soie,

    à perte de vue,

    tout un océan de vent,

    habité par la vibration

     

    le plaisir me rend immense, un instant,

    je suis à perte de vue,

    je n’ai plus de frontières

     

    je n’ai plus de sexe, non plus

    mais cela, vous le savez depuis longtemps,

    si vous me lisez,

    je suis tellement totalement,

    tout en fusion, tout en communion ardente,

    entre la femme et l’homme, en moi

    le temps de l’action

     

    les sensations éclatent les frontières,

    rejoignent l’horizon,

    est-ce l’arrière du décor, ici-bas, tout ce plaisir?

     

    c’est tellement tentant de le croire,

    tellement, il semble omniprésent,

    omnipotent, infini, illimité,

    dans cette autre dimension de nous-même,

    où le désir nous transporte, un instant

     

    #47637

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    faire travailler son imagination,

    la laisser courir librement, comme le vent,

    engager le dialogue avec son corps

    et obtenir des réponses,

    obtenir de la volupté, des sensations

     

    le sexe, cela devrait être comme jouer dans un bac à sable,

    à deux, à trois, à dix

    ou tout seul,

    jouer, jouer, avec son corps,

    jouer, jouer, avec le corps des autres

     

    les orgasmes, c’est l’explosion, c’est l’illumination, de temps à autre

    mais la véritable récompense, pour moi,

    ce sont les sensations, la volupté,

    l’infinie océan des  nuances de sensations, possible

     

    et puis la volupté, quand elle est de qualité,

    elle est la fois si légère et si dense,

    si volcanique et si soyeuse, si délicate

     

    je jouis de me caresser, je jouis de bouger,

    je jouis de sentir ma propre chair, sous mes paumes

    tellement chaude, tellement vivante,

    tellement vibrante

     

    je jouis de mes seins,

    je jouis de mes hanches, de leur danse lascive,

    je jouis de ma prostate,  ma petite reine des profondeurs,

    je jouis de mon pénis, de mes couilles,

    de leur capacité à être une fontaines à sensations, des heures durant

     

    je jouis de mon anus, mon petit volcan privé

    qui aime les doigts qui farfouillent,

    qui aiment leur plongée remuante, dans ses ténèbres

     

     

    #47472

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    la moindre caresse sur la peau,

    me fait l’effet d’un bref tsunami qui passe dans la chair,

    j’ai les tétons, durs comme de la pierre, sous les doigts,

    comme ils pointent, comme ils pointent

     

    mes hanches se mettent à danser, malgré moi,

    c’est trop bon de les sentir remuer, ainsi,

    si lascivement, si librement,

    une telle volupté m’envahit,

    mon anus me brûle,

    les muscles tout autour, semblent remuer,

    comme une chevelure de gorgone

     

    j’ai le besoin irrépressible de faire monter des contractions,

    cela me donne cette sensation

    d’être pénétré,  d’être envahi, d’être empli, de plus en plus,

    je me sens tellement chaud bouillant,  par en bas,

    inondé d’une luxuriante luxure,

    liquide, dense et soyeuse, vague qui progresse au ralenti

     

    cela bouge, cela ondule, capiteusement

    cela semble vibrer,  frémir,  de toutes parts,

    cela me monte à la bouche, irrésistiblement

    mes entrailles en furie, tout doucement

    mais massivement, irrésistiblement,

    se transformant en sonorités, comme acte final,

    vibrant tellement grassement, entre mes lèvres,

    glissant tout seul, sortant,

    comme éjecté, né librement, du désir,

    s’envolant

     

    j’ai un ciel,

    sillonné d’une pluie de météorites en feu,

    derrière les yeux

     

     

20 réponses de 1 à 20 (sur un total de 1,243)