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  • #13608
    anjou42
    Participant

    Bonjour,

    Et merci infiniment d’avoir pris le temps de répondre…

    Pour tout dire, je ne me remets toujours pas de notre expérience et j’y pense souvent dans la journée… J’ai hâte de recommencer…

    Je pense sincèrement que le fait d’avoir pu réellement commencer en couple m’a libéré de la “contrainte” des recherches en solo…
    Pour autant, ce qui est intéressant, c’est que du coup j’ai appris pas mal de choses en pratiquant en couple : Cela m’a permis d’abord de repérer cette petite boule magique.. Je crois en effet qu’avec les stimulations de Marie, avec son doigt, le Billy et le Share, que je saurais mieux maintenant où m’orienter pour aller directement au plaisir…

    Ensuite, il y a une chose aussi indéniable… C’est que lorsque je faisais mes tests en solo, ben… Je faisais des tests…
    Ce que je veux dire c’est que je n’étais pas du tout orienté Plaisir, mais plutôt expérience…
    Et j’ai pu me rendre compte avec Marie comme le fait de s’abandonner au plaisir, le fait de le pratiquer avec l’amour de ma femme, m’a permis d’immédiatement rentrer en condition…

    Alors qu’en solo, je n’étais pas en condition de “me faire l’amour”, mais vraiment dans l’expertise et la découverte pure et simple.
    Et là aussi, je crois que je vais rééssayer en solo, mais en y mettant de la sensualité, et surtout, en ayant envie de le faire, plutôt que de le faire pour le faire…
    Je pense que cela participera grandement à une certaine décontraction, plutôt que de m’énerver tout seul…

    Mais encore une fois, il faut visiblement du temps, ce dont je ne dispose pas énormément… Mais je vais gérer… Et surtout, je crois que je vais vite investir dans un aneros pour cela…

    Je rebondis sur un de vos commentaires… Oui, c’est vrai que depuis cette séance, je me sens pousser des ailes… J’ai la sensation d’avoir libéré quelque chose en moi et donc, j’ai la sensation d’être beaucoup plus souvent dans le désir, l’envie, tout au long de la journée, qu’auparavant…
    Cela en devient même un peu embêtant, car je passe de longues heures sur le net dans la journée à la recherche de produits, d’expériences, de témoignages, au lieu de bosser (Mais c’est moi le boss….:))

    J’ai la sensation que cela a eu un bienfait et à réveillé ma libido… En tous les cas, je me trouve beaucoup plus de vitalité… Est ce la découverte de ce type d’orgasme qui joue sur mes pensées? Est ce plus physiologique, et le fait que la purge de la prostate améliorerait la vitalité sexuelle?

    Je m’en suis rendu compte également au cours d’une masturbation en solo sous la douche, qui m’a procuré un plaisir plus important qu’auparavant…

    Nous avons continué à en parler avec Marie sur les jours suivant la séance… Il est vrai que ce qui nous bloque un peu, c’est la perte de spontanéité de l’acte, notamment du fait de la préparation nécessaire… Et dont il n’est pas question de se passer !

    Alors je réfléchis à ce souci… Je disais à Marie que ce qui pouvait être embêtant, c’est que moi je pratique un lavement un soir, et que elle ne soit pas du tout sur la même longueur d’onde… Je lui disais alors que je craignais un peu de me retrouver frustré si je pratique cette préparation, et qu’elle se mette à ronfler à mes côtés (nous sommes tous les deux chefs d’entreprise et je dois bien avouer que les journées sont longues, épuisantes, et que je comprends parfaitement Marie lorsqu’elle est exténuée le soir)…

    Aussi, je lui ai proposé la chose suivante : pratiquer un lavement assez régulièrement, pour ne pas dire quasiment tous les soirs… J’imagine qu’avec de la technique et une bonne organisation, je devrais pouvoir raccourcir le délai de préparation…
    Et tout en acceptant que des fois cela serve, et des fois non…. Mais je me dis qu’ainsi, j’intégrerais cette préparation dans mon hygiène quotidienne, et que si à un moment, l’envie commune se fait sentir, il n’y aura plus qu’à…

    Donc, pour vous, est il possible et sans contre indication que de pratiquer cette préparation là tous les jours?

    Bien sûr, nous pouvons continuer de “programmer” l’acte… Mais franchement, c’est un peu ce que nous trouvons gênant… Parce qu’il faut se trouver à deux dans les mêmes dispositions, et c’est pas toujours facile !

    Nous avons également échangé sur le fait que malgré cette découverte et ce plaisir intense, nous n’allions pas pour autant arrêter nos échanges plus “conventionnels”… Et notamment Marie, qui m’a donné 4 orgasmes sans que j’ai la moindre érection, m’a bien précisé qu’elle ne voulait surtout pas perdre le fait de me sentir fermement en elle… Ce que je comprends fort bien…

    Disons que nous allons peut-être devoir “programmer” quelques séances, tout en continuant nos jeux et notre sexualité habituelle, qui sont également de très bonne qualité…

    En ce qui concerne le lubrifiant, je vous remercie sincèrement de vos conseils…
    Mais je souris, car la préparation au beurre de Karité ressemble quand même bien à un laboratoire de chimie…
    Déjà que j’ai du mal avec le temps de ma propre préparation sur l’effet de spontanéité, mais m’imaginer réaliser cette chimie, avec en plus deux enfants à la maison qui ne cessent de se servir dans le frigo… 🙂

    Je connais le beurre de Karité et il est vrai que son odeur est agréable… Ceci étant, nous n’avons pas été gêné par celle du lubrifist, qui est totalement inodore, tout juste peut-être avec un petit goût sucré… Mais cela peu effectivement ajouter un peu plus de sensualité…

    Par contre, grâce à votre réponse, j’apprends du coup que vous insérez directement du lubrifiant dans le rectum…
    Et il est vrai que je n’ai pas du tout tenté cette technique, le lubrifiant ayant été juste “posé” à l’entrée, et sur les sex toy…

    Est ce que le fait d’insérer du lubrifiant dans le rectum améliore encore les choses?

    Votre description des suppositoires de lubrifiant me plait bien… Je vais donc aviser… Et je m’imagine aussi déjà avec ceux congelés, qui doivent sans doute créer un bel effet dans l’attente de leur fonte… L’idée me plait…

    En ce qui concerne le J-Lube, j’avais aussi vu les tests… Mais exactement pour les mêmes raisons de temps de préparation, j’avais abandonné l’idée du lub en poudre…
    Par contre, l’utiliser pour se masser le corps avec doit être très excitant et sensuel…

    Ceci m’amène une nouvelle question “technique”… Vous pratiquez vos séances de plaisir dans une baignoire? Ou une Piscine?

    Je plaisante, mais il est vrai qu’entre la jouissance de madame, et l’utilisation pour des massages, du J-Lube par exemple, plus du beurre de Karité et de l’huile de massage, il va falloir changer de matelas tous les 15 jours…

    Cela peut paraître tout bête, mais comment procédez vous pour régler ces désagréments “liquides” et que le confort reste agréable?
    Vous pratiquez en dehors du lit? Sur une alèse qui ne doit pas être très agréable?
    Vous pouvez me dire comment vous vous organisez à ce sujet “logistique” ?

    En ce qui concerne le Billy, je vous avoue ne pas avoir fait attention… D’abord parce qu’il a été quasi exclusivement utilisé par Marie sur moi…

    Ce que je peux dire, c’est que par deux fois, je me suis retrouvé à genoux, bien assis sur le Billy… Il reposait donc par son extrémité sur le matelas. Le Billy, contrairement aux toys dédiées aux femmes (Mono, Ina, etc…) dispose d’une “corolle” à sa base qui empêche son insertion totale par sécurité.

    Et ce Billy n’est pas très long… Donc, le fait de l’avoir appuyé par son extrémité sur le matelas (en position à genoux et assis dessus) et l’effet de la corolle qui vient s’appuyer fermement contre l’anus, évite à mon sens le désagrément que vous décrivez. En tous les cas, ni moi, ni Marie ne le tenions, et je n’ai pas eu ce souci de retournement… Il était bien en place… Et je n’avais qu’à faire de légers mouvements en avant, ou en arrière, pour positionner le Billy aux endroits les plus sensibles… J’avais choisi la vibration qui me convenait (notamment celle qui pulse à intervalle régulier, pas trop fort, qui me fait littéralement grimper au rideau) et n’ai pas eu à y toucher….

    Je me permettrais de tester, notamment sur mes découvertes en Solo, et vous ferais un retour à ce sujet…

    Merci encore pour ces échanges… Et les quelques réponses “techniques” que vous pourriez me fournir…

    Cordialement.

    anjou42
    Participant

    Bonjour à tous et à toutes…

    Et tout d’abord, une mention spéciale pour noouveauxplaisirs… C’est un site extraordinaire pour qui recherche de l’information, sans vulgarité, et sans tabou…
    La partie tests est très complète… Et je salue nos deux testeurs en chef pour leur dévotion… Quel dur métier 🙂

    Alors voilà… J’ai 45 ans, et suis en couple depuis 15 ans avec MArie et nous sommes très amoureux…
    Nous avons traversé de difficiles périodes dans notre couple, mais qui au final, nous ont permis de le rendre plus fort… Nous sommes très complices, toujours en manque l’un de l’autre dès que nous sommes séparés…

    Notre sexualité a toujours été assez bonne… Je veux dire que nous ne sommes pas des foudres de guerre dans la fréquence des rapports, je m’en suis souvent plaint, mais chacun de ceux-ci étant de qualité…

    On fait toujours la distinction entre une femme clitoridienne et vaginale… Je me plais à dire que je ne vois pas trop de différences à vrai dire… Marie atteint de puissants orgasmes par la stimulation de son clitoris, mais également, par celle de son vagin, et notamment, de son Point G, dont je sais toujours obtenir ce que je veux : ce précieux liquide chaud et sucré…

    Moi, j’ai toujours été très attentif au plaisir de mes partenaires, multipliant les expériences… JE dirais que j’aime le sexe, mais que j’ai besoin de donner du plaisir pour en avoir… C’est souvent de voir l’autre excité que cela m’excite…

    J’ai eu quelques expériences avec des hommes dans ma jeunesse, mais limitées à la fellation… Je voulais essayer, et mesdames je vous envie, j’ai trouvé cela très agréable…
    Aujourd’hui, je sais grâce à cela que je ne suis pas homo (je me posais pas mal de questions mais je ne supporterais jamais le contact d’une barbe sur moi :)), mais un hétéro endurci, toujours à la recherche de nouveaux plaisirs (il fallait bien le placer)…

    Pour en venir au sujet de mon post, je me permets un résumé assez complet de nos dernières expériences… Je le fais, car elles ont été suffisamment positives pour avoir envie d’en parler à la terre entière, mais aussi, parce que avant d’en arriver là, j’ai dû lire de très nombreux articles, témoignages, en français, en anglais…
    Et je raconte notre expérience pour partager avec les homme, les femmes, les couples, dans le cadre où cela pourrait répondre à certaines de leurs questions…

    Voilà une quinzaine de jours maintenant que je m’intéressais au plaisir prostatique masculin.. Et j’avoue que ce que j’en lisais m’attirais réellement et m’excitais profondément… Les promesses étaient belles… Notamment du fait de cette différence dans l’orgasme par rapport à l’éjaculation traditionnelle… C’est quelque chose que je voulais découvrir…

    J’ai donc fini par tenter l’expérience en solo… Fort de tous mes cours arithmétiques et géométriques, j’ai donc essayé de stimuler moi-même ma prostate… Et lire à droite et à gauche qu’il faut généralement de la patience est un faible mot…

    Position A, B, C, D, E… Le doigt plus ou moins loin… La “petite boule” était très difficile à localiser pour moi…

    Je dois bien dire que si je ressentais des choses, on était bien loin de ce que je pouvais lire sur ces fameux plaisirs…

    J’ai essayé également le sex toy de Marie, la chanceuse possesseuse du INA2, le Rabbit de Lelo… A ce sujet, je peux vous dire que nous avons aussi le Fairy Wand, mais que dès que Marie à connu le INA2, on a même plus touché le Fairy… En effet, le Lelo, par sa forme, sa douceur, son super silence, et certains de ces programmes vibratoires a très vite su s’imposer comme le troisième larron de nos ébats…
    Si sur moi, j’ai trouvé les sensations du INA2 intéressantes (finalement, la forme parait étudiée aussi pour le Point P), encore une fois, cela restait agréable, mais sans atteindre les sommets annoncés ici et là…

    Ayant lu qu’il fallait de la patience, ce qui est une vertu absente de mon mode de vie, j’ai souhaité parler à Marie de mon désir d’explorer ces nouveaux chemins…

    Si nous n’avons aucun mal à parler sexualité avec Marie, ce sujet me paraissait plus sensible que d’autres… Je lui ai donc fait part de mes envies par un mail amoureux et langoureux…
    Je lui ai dit que j’avais envie de tester cette stimulation prostatique, pour essayer d’obtenir les orgasmes qui étaient décrits… Je lui ai envoyé des articles (notamment ceux de NXPL !) qui expliquaient sans vulgarité ces techniques…

    Et elle a tout de suite été d’accord…

    Marie était jamais allé plus loin que jouer avec mon anus lors d’une fellation par exemple… Elle sentait bien que cela m’excitait, mais à vrai dire, elle avait totalement ignorance de ce qu’il pouvait se passer “a l’intérieur”…

    Et c’est lorsque notamment je lui ai décrit cette jouissance particulière, sans doute un peu semblable à celles des femmes, qu’elle a répondu :
    Je comprends tout a fait au vu de ces articles que tu aies envie de connaitre ça . Si c’est comme nous, quand on jouis et que vous par l’ejac vous ne ressentez pas ‘tout’ ça …. tu va adorer….
    Je suis open pour tenter avec toi !

    Autant vous dire que derrière, je lui ai envoyé toutes les techniques, tous les sex toy dédiés car je voulais aussi essayer avec des objets qui me semblaient adaptés…

    Comme précisé, je suis un impatient, mais également, je n’achète que ce qu’il se fait de mieux.. C’est comme quand j’achète des enceintes hifi, ou un ordinateur… Je ne souhaite prendre que le meilleur…

    Alors, j’ai procédé de la même façon pour nos nouveaux jouets…

    Et de nombreux articles m’ont orientés vers :

    – L’aneros
    – Le Lelo Billy
    – Le Share de Fun Factory…

    J’ai proposé les 3 à Marie en lui proposant de choisir… Elle m’a répondu qu’elle préférait le Billy, par ses actions vibratoires, mais qu’elle aimerait aussi bien tenter le Share, car cela l’excitait de l’imaginer me prendre avec…

    Donc, j’ai acheté le Billy de Lelo, et le Share, qui je dois bien le dire, me tentait également gravement, sans penser que Marie pourrait être excitée de cela….
    Pour ce dernier, j’ai pris le modèle standard. En effet, j’ai beaucoup lu que le modèle XS tenait mieux dans le vagin de madame, mais que la partie active destinée à monsieur était souvent jugée un peu petite…

    J’ai donc préféré le modèle un peu plus gros, me disant qu’il faudrait peut être plus de temps pour l’apprivoiser, mais en gros, qui peut le plus, peu le moins…

    L’aneros n’a pas été retenu, mais je pense que je vais craquer prochainement…

    J’ai également passé du temps à choisir le lubrifiant… Et je dois dire que c’est pas très simple car il y en a des des centaines… Mon choix après étude s’est porté sur le Lubrifist (a priori destiné à des dilatations anales extrêmes). J’ai complété également par de l’anal gel, et un petit spay Eros, visant à favoriser l’assouplissement de la zone….

    Mon impatience à voulu que je commande tout pour une réception en 24H…

    Le tout reçu impeccablement, le samedi à la maison…

    Alors bien évidemment, il a fallu aussi parler lavement… J’avais donc inclus dans le colis une poire à lavement…
    Et c’est Dimanche, en fin d’après midi, que j’ai fait mon lavement… Je l’ai dit à Marie qui en a profité aussi pour s’en faire un…

    Je dois préciser que cette histoire de lavement, très nécessaire au demeurant, est quand même un peu tue l’amour… en effet, cette préparation coupe quand même toute la spontanéité de l’acte d’amour…
    Le fait de devoir passer du temps à cette préparation nous a un peu déstabilisé, car nous n’avions pas l’habitude de “prévoir” dans l’agenda, notre rapport sexuel…
    Du coup, j’ai senti Marie un peu gêné par cela… Et tant qu’à faire que ce soit préparé, et donc prémédité, j’ai aussi installé des bougies dans la chambre, de la musique, et préparer l’huile de massage…

    Nous nous sommes enfin retrouvés dans notre lit, nus, et j’ai commencé par enduire Marie d’huile de massage… Petit fou rire, lorsque qu’on se rend compte que j’ai vidé la moitié de la bouteille sur elle, et qu’elle ressemble du coup plus à une sardine dans sa boîte… J’ai donc épongé avec une serviette, mais cet incident a permis de détendre l’atmosphère…

    J’ai repris de plus belle mes caresses sur sa poitrine, son cou, son ventre, ses fesses, ses jambes, ses pieds avant d’entamer les préliminaires avec ma langue sur son clitoris.. Je suis je crois assez expert, et cela ne rate jamais… Marie, au bout de quelques minutes, crie plus fort, et se cambre… Je sais qu’elle vient d’avoir son premier orgasme…

    Elle a alors pris mon sexe dans sa bouche et tout en me prodiguant ces soins, son doigt est venu caressé mon anus… Après tout, c’est bien ce que nous comptions essayer…

    La sentant un peu embarrassée par la situation, peut-être même un peu gauche, j’ai donc ouvert le pot de lubrifiant… Matière très douce, ce gel est très agréable… J’en mets donc sur son doigt et sur moi, et elle tente alors la première immersion…

    Et là… Oh…. Vache…. C’est vraiment bon…

    La sensation est radicalement différente lorsque c’est le doigt de sa partenaire que son propre doigt… C’est une certitude…
    Elle a avancé progressivement, avec mes conseils, pour tenter de trouver cette fameuse petite boule….

    A ses dires, elle ne sentait pas grand chose, mais on a vite identifié une zone plus sensible pour moi que les autres…

    Je lui ai vite demandé de ne plus touché mon sexe… Je ne voulais pas en effet que l’excitation de celui-ci m’empêche d’obtenir le vrai plaisir prostatique…
    Et autant vous dire que c’est très, mais alors très frustrant de sentir ce plaisir monter en soi, sans exciter comme on le fait habituellement le sexe de l’homme…

    Marie n’a pas été surprise de voir ma perte d’érection lorsque son doigt fouillait mon ventre car nous étions prévenu par les articles lus…

    Elle m’a donc caressé doucement… J’étais sur le dos, les fesses légèrement remontées, les jambes écartées, les pieds à plat, et elle, devant moi….
    Sous l’impulsion de ses caresses, j’ai commencé à sentir une chaleur m’envahir… Mais une chaleur au fond du ventre, qui se propage dans le bas du dos… Vraiment très agréable….
    Puis j’ai senti cette chaleur envahir mon sexe… C’était très étrange comme sensation… De voir mon sexe mou et flasque, et de ressentir une légère brûlure, très agréable, monter dans l’urètre…
    Première montée de liquide séminal… Je n’ai rien senti… En dehors de cette légère brûlure, je n’ai pas senti ce liquide couler alors qu’il sortait bien…

    Je décide de changer de position… Elle sur le dos, moi sur son côté, à genoux…. Elle remets son doigt, pendant que je lui pratique un nouveau cunnilingus… Et là, j’ai parfaitement senti l’excitation monter… Pendant que Marie me caressait, elle était excitée de voir ce liquide couler sur elle… Ma position sur le côté, à genoux, me permettant de placer mon sexe au dessus de son ventre pour que le liquide séminal puisse s’étaler sur sa peau….

    Après un nouvel orgasme de Marie, je me remets sur le dos…

    Là, toujours son doigt en moi me prodiguant de sublimes caresses, je ne pouvais pas m’empêcher de remonter mes fesses en cambrant mes reins…
    Mes pieds bien à plat sur le matelas, mes mains sous mes reins, mon sexe quasiment à protée de sa bouche… Elle avait très envie de le prendre en bouche, mais je ne l’ai pas souhaité…

    Et c’est là que tout s’est emballé… Je ne pouvais empêcher des râles sortir de ma bouche… Lui disant de continuer, que c’était bon… Mes yeux se fermaient, mes lèvres se pinçaient…
    La montée a été juste magique… Cette chaleur dans le ventre s’est propagée à tout mon corps… Mes jambes ont commencé à trembler, mes fesses aussi, mon ventre était brûlant… Jusqu’à ce moment de pure extase où je me suis envolé… Cela à duré de longues et interminables secondes, où j’étais les fesses en l’air, mon corps tremblant dans sa totalité… Avec un râle continu dans ma bouche, sans doute les yeux un peu exorbités par tant de plaisir… C’était divin de sentir ce orgasme me prendre sans pouvoir me contrôler…

    Je crois que je commençais à ressentir l’orgasme féminin… Celui qui vient de l’intérieur et monte doucement, jusqu’à cet extase qui a duré je pense près d’une minute….
    Ouahhh… Je viens de connaître mon premier orgasme prostatique de ma vie… Et que c’était bon…

    Nous nous reposons quelques minutes, tout en étant de plus en plus excités… Je me suis occupé de Marie et de son Point G… J’ai une technique assez particulière, qui permets de fortes pressions sur le point G, tout en lui emplissant le vagin de mes doigts, de manière à toucher ses parois internes… Le résultat ne s’est pas fait attendre… J’ai commencé à sentir de petits jets venir s’écouler le long de mon bras, puis, de plus en plus forts…

    J’adore voir Marie dans ces moments là car je sais qu’elle ne peut se contenir… Pour le détail également, le fait qu’elle est pratiqué un lavement anal, l’a aussi complètement libérée… Je me rendais souvent compte qu’elle était souvent sur la retenue au moment d’éjaculer jusqu’à ce qu’elle m’explique qu’au paroxysme de son plaisir, elle avait toujours la sensation qu’elle allait expulser par l’anus et que donc, elle se retenait légèrement…

    Alors, disons que d’habitude, sa jouissance lui prodiguait une éjaculation importante…

    Mais alors là, qu’elle s’était libérée de ses craintes d’expulsion grâce au lavement, elle ne s’arrêtait plus… Et c’est en criant qu’elle me disait que cela ne s’arrêtait plus… Elle a joui, elle a éjaculé tellement fort, tellement longtemps, que je crois qu’il faudra 1 semaine au moins au matelas pour sécher…

    Une fois remise, je suis allé cherché le Billy de Lelo et son Ina 2…
    J’ai recommencé immédiatement à jouer avec elle en lui introduisant son LELO… Et c’est reparti… Marie, lorsque j’utilise le INA2, jouit en permanence… C’est très étrange, mais il n’y a pas de période de repos pour elle… Lorsque je l’utilise, assez profondément, en jouant avec les différents programmes, avec des vas et viens, elle semble être dans une jouissance permanente… Cela ne s’arrête plus… Il n’y a plus de vague qui montent ou descendent… Son éjaculation est bien moins forte que par sollicitation directe du point G avec mes doigts, mais cela coule en permanence…. Je vois ses lèvres se crisper, ses yeux tourner dans tous les sens… Et j’adore cela…. Et elle semble jouir tant que je n’arrête pas… Elle est maintenant très excitée…

    Je prends alors le Billy, l’enduit de gel, et lui le tend…

    Elle tente directement de le faire pénétrer en moi, mais un peu difficilement… En effet, elle n’a pas du tout l’habitude et n’arrive pas à trouver l’entrée… Je la guide alors avec la main…

    Toujours à genoux à ses côtés, toujours en jouant avec son INA2 en elle, le Billy est maintenant bien introduit en moi… Il faut dire que son diamètre est idéal, et avec le gel, cela passe tout seul…

    Marie est un peu perturbée car elle continue de jouir en même temps et à du mal à se concentrer sur les actions à donner au Billy… Je freine donc l’utilisation de son Lelo, pour qu’on se concentre sur moi…

    Sous l’excitation, Marie a tendance à vouloir aller un peu fort… Je la freine et la guide avec ma voix… De temps en temps, elle va un peu trop profondément et je ressens de légères douleurs…
    Les vibrations du Billy sont exquises… Marie aurait tendance à vouloir pratiquer des vas et vient, en suivant le mouvement habituel… Mais c’est lorsqu’il est immobile en moi, et qu’elle joue avec les différents modes de vibration, que je ressens le plus de plaisir…

    Je sens cette fois parfaitement ma prostate contre le toy, car elle est enflée par l’excitation… Et cela ne tarde pas à se démontrer…

    De nouveau des brûlures dans le bas du dos… De nouveau à me cambrer… J’arrive même à complètement m’asseoir sur le Billy… Je suis à genoux, le Billy bien en moi, mon torse relevé, mes mains caressant fermement les seins de MArie… Mon sexe toujours flasque au dessus d’elle, et elle sent couler sur sa peau mon liquide séminal…
    JE ressens toujours cette légère brûlure dans l’urêtre, un peu comme si un liquide chaud était en train de monter, mais restant coincé au milieu, sans pouvoir sortir… C’est très agréable et surtout, permanent…

    C’est extrêmement bon… Voilà que les spasmes me reprennent… Les jambes, les fesses, tout le corps se raidit, mon souffle est fort, je décris à Marie chacune des sensations que je ressens, mes mots entrecoupés de râles, de reprise de souffle qui s’accélère, jusqu’à la tension extrême..

    Une nouvelle fois, une pure minute d’un bonheur intense… Un peu comme si j’éjaculais, mais pendant 1 minute, et à l’intérieur de mon ventre…

    Mes mains serrent tellement fort ses seins, sa peau, qu’elle me dit que je lui fais mal… Mais il faut que je serre quelque chose… C’est tellement bon….

    Encore Wouahoouuu…. Après ce nouvel orgasme, je tombe littéralement sur le dos… Je suis exténué, mais profondément heureux… Je reprends mon souffle….

    On fait un débrief avec ma chère et tendre et là, elle m’apprend que j’ai éjaculé sur elle… Qu’elle sentait et voyais mon sperme couler en flux continu sur elle… Et bien croyez moi… Moi je n’ai rien senti… !!

    Je n’arrive pas à savoir si c’est dû à l’excitation, à cette sensation de légère brûlure au niveau du sexe, mais elle ne me l’aurait pas dit, jamais j’aurais cru que j’avais éjaculé…

    C’est vraiment dingue… Et surtout, on se dit que cela correspond bien aux orgasmes prostatiques décrits ici et là, avec un sperme qui ne s’expulse pas par jets, mais de manière permanente…
    Et Marie aussi de préciser qu’il y avait pas mal de quantité…

    La sensation de l’orgasme est purement divine, mais ne pas se sentir éjaculer un peu déroutant…
    Autre sensation étrange, c’est que j’ai encore envie… Et ça, cela m’a beaucoup perturbé…
    Lorsqu’on éjacule de manière traditionnelle, on dirait que le cerveau se met alors au repos… J’ai fais mon taf, terminé…

    Alors que là, je sens que j’ai encore très envie dans mon ventre… Une sensation étrange… Un peu comme si j’avais envie d’éjaculer, mais que cela reste bloqué au milieu du sexe et ne vient pas… C’est très excitant…

    Je vais donc chercher le Share…

    Nous l’avons pris rose, c’est Marie qui a choisi la couleur… Et je dois dire que c’est vraiment très beau… D’abord incroyablement doux… Et surtout très souple… En effet, la jonction entre la partie destinée à la porteuse et la partie devant s’introduire dans l’anus est très très souple…

    Mais qu’est ce que c’est gros…!!

    En effet, j’appréhende un peu cette insertion, car là, on est loin du diamètre d’un Billy… Pour tout dire, ce membre, très beau au demeurant et bien réalisé, me parait impossible à pouvoir s’insérer dans sa destination… Ce n’est pas tant le gland représenté, qui parait gros, mais sans doute gérable bien lubrifié, mais la base est vraiment grosse… Et là, je me dis qu’on ne va pas pouvoir aller loin…

    J’enduis donc copieusement le Share du gel lubrifiant…

    Marie sur le dos, les jambes écartées, je m’occupe de lui introduire la partie qui lui est destinée…
    Cette partie aussi est grosse… Mais je sais que Marie est assez large, et surtout, nos ébats précédents l’ont mise dans un tel état d’excitation, que je n’ai pas besoin de lubrifier sa partie…

    Ce côté à insérer dans le vagin est composé de deux grosseurs… Marie apprécie déjà la pénétration de la première, mais lorsque je l’insère complètement, elle a un râle de plaisir… Son corps se tend et je la sens déjà prête à jouir de nouveau…

    Une fois bien en place, Marie toujours sur le dos, elle dispose maintenant d’un bon gros sexe d’homme entre les jambes.

    Et je dois bien avouer que c’est très excitant… Notamment par l’aspect naturel que propose ce Share… En effet, on dirait vraiment que Marie dispose d’un vrai sexe.. Ce que je veux dire, c’est que cela enlève le côté un peu “matériel” des harnais et godes ceintures… Cela garde un aspect très naturel…

    J’enjambe alors marie, tout en tenant son sexe (du coup!) entre mes doigts pour le placer devant mon anus….
    Je m’assois doucement dessus…. Bien lubrifié, je n’ai aucun mal à faire pénétrer le gland… Mais alors là, je me remets immédiatement en mode plaisir…

    Mon dieu que c’est bon… Même au delà…

    D’être à genoux, au dessus de Marie, assis sur son sexe qui me pénètre est une sensation encore une fois exquise….
    Marie commence de petits mouvements de va et vient… Mais le Share est vraiment gros… Je suis obligé de la retenir car cela me procure quelques douleurs…

    Alors que lorsque c’est moi qui m’active dessus, cela fait toute la différence… Je sens le Share me pénétrer longuement… Il est gros… C’est vraiment bon…. Les sensations éprouvées sont diverses… Le plaisir est intense de sentir ce sexe dans mon ventre, qui était déjà très excité par nos actions précédentes… Mais le plaisir aussi d’inverser les rôles et de voir Marie s’approprier ce nouveau sexe, en jouant dans mes entrailles est extraordinaire…

    Marie est très excitée et me le dit… Je lui demande ce qu’elle ressent de son côté et elle me dit bien sentir l’effet de la forme du Share au fond de son vagin…
    C’est vraiement très bon…

    Tellement, que je décide une nouvelle fois de changer de position… Plus pour accentuer l’excitation de voir Marie me prendre que pour le plaisir procuré par le Share en moi…
    Je me remets donc sur le dos… Les pieds à plat sur le lit, les jambes écartées…
    Marie se tient devant moi, et je dois dire que la voir avec ce sexe aussi imposant est très excitant….

    Je l’aide alors à la pénétration…
    Notre position précédente a permise de bien me dilater et le Share rentre beaucoup plus facilement…
    Mon excitation et mon plaisir sont tels, que rapidement, je plaque Marie contre moi… Son sexe emplit mon ventre… Je remonte encore mes jambes pour les mettre sur ses épaules, lui offrant alors complètement mon cul….

    Elle est vraiment très excitée et elle regarde beaucoup son sexe entrer en moi…
    Elle commence ses mouvements de va et viens, que je suis obligé de temps en temps de contenir un peu, toujours pour ces petites douleurs dans le ventre…

    Et très rapidement, je sens le gland du share de nouveau venir et aller sur ma prostate qui doit être vraiment très gonflée de plaisir, car je la sens frotter sur le Share…

    Marie va et viens doucement… Je la guide de ma voix pour lui dire où je la sens le mieux… Elle est très excitée… Elle me le dit… JE la vois monter aussi dans le plaisir et elle a un orgasme très violent en étant en moi… Je la vois se cambrer de plaisir, ses yeux fermés, sa bouche tendue, en criant… Je sens son liquide chaud me couler sur les fesses et je suis vraiment très excité…

    Marie dans son excitation voudrait bien aller plus vite et plus fort… Elle a des mouvements du bassin de plus en plus amples… Mais je suis obligé de la retenir car cela me fait mal de temps en temps… D’abord, j’ai la sensation que ce Share est un peu long, mais surtout, la base de celui-ci est vraiment importante… Et je pense que comme nous débutons, il faut sans doute le temps que mon corps accepte de tels diamètres…

    Mais la sensation est vraiment très très bonne… Voir Marie aller et venir… Me prendre comme je la prends d’habitude… La voir être très excitée, et surtout, sentir le gland de son sexe contre ma prostate m’amène encore à un truc incroyable;..
    Une sensation extraordinaire m’envahit… Je suis tellement excité et j’ai tellement de plaisir que je voudrais que Marie prenne mon sexe dans sa bouche, qu’elle l’avale entièrement, je commence à ne plus rien contrôler… Mes jambes sur ses épaules, mes fesses très offertes, la mette dans une position idéale et elle se sent vraiment bien… J’écarte même davantage mes fesses avec mes mains et je sens son sexe m’emplir complètement….

    Après quelques minutes, de nouveau des tremblements… Mes fesses se soulèvent, mon corps est pris de soubresauts… je voudrais que cela ne s’arrête jamais….
    Sans exciter mon sexe, Marie le tient simplement dans sa main… elle me dit qu’elle veut me sentir venir dans sa main…

    Mes râles sont de plus en plus forts… J’arrive à poser mes mains sur ses hanches et je sens chacun de ses mouvements… Ma respiration s’accélère, ma bouche est complètement sèche… Je sens monter le plaisir, je ferme les yeux et je crie… Non, je hurle de plaisir… Marie aussi est très excitée de me voir ainsi..

    Et je sens qu’à un moment elle joui… Pleinement… Sa main tient mon sexe et elle me dit que je suis en train de couler sur elle… Elle sent de nouveau mon sperme couler à flot dans ses mains… Elle me frotte avec… En met sur son ventre, sur ses seins…
    Cela dure au moins 2 ou 3 minutes où je ne sais plus ce qu’il m’arrive…Mes yeux sont fous, mon souffle rapide… J’ai chaud… De partout… Et je jouis comme je n’ai jamais joui auparavant… En me cambrant, ma tête tournant à droite et à gauche sur le matelas… Mes doigts s’enfonçant (de temps en temps un peu trop) dans sa chair….

    Je jouis violemment, mais encore une fois, si Marie ne me dit pas que je suis en train d’éjaculer, je ne le sens pas…
    Cela doit correspondre à ces ondes, ces contractions involontaires dont le rythme s’accélère à chaque fois… Mais je ne sens pas du tout mon éjaculation…

    WouaHHHH Encore !!!
    C’est juste énorme ce plaisir procuré….

    Nous sommes en sueur… Marie se retire (bizarre de dire ça) et vient s’allonger à mes côtés… Nous reprenons notre souffle… Nous nous enlaçons, nous disons que nous nous aimons…

    Nos gorges sont sèches… Et Marie me propose d’aller boire un petit rhum-miel bien frais(spécialité canarienne excellente)…

    Nous descendons donc dans le séjour… Nus… Nous servons ce verre et nous délectons…
    Marie me pose beaucoup de questions sur mes sensations et je lui explique tout… Elle me dit que cela ressemble vraiment à ce qu’elle ressent elle quand elle joui….
    On est fatigué… On bosse demain et il est tard… Je vois Marie vraiment exténuée…

    Mais c’est plus fort que moi… J’ai encore envie… Et là, cela devient complètement dingue…
    J’ai déjà eu 3 orgasmes très forts et éjaculé au moins deux fois en grosse quantité…
    Et mon cerveau et mon ventre ne se tarisse pas… J’ai encore très envie de Marie… Toujours sans avoir aucune érection…

    Je décide alors de me pencher sur elle, sur le canapé, et de lui prodiguer un nouveau cunnilingus pendant qu’elle boit son verre… Elle monte au quart de tour et joui dans ma bouche….

    On pose alors les verres et remontons dans la chambre…. Je continue de l’exciter avec mes doigts enfouis en elle… Elle éjacule encore en forte quantité…

    Plus excités que jamais, Marie reprends le Share et remets du gel… Elle se l’insère, avec toujours ce moment de plaisir intense lorsque il arrive au fond…
    Je me remets dans la même position que précédemment, et c’est reparti….

    Mais le share tient moins bien en elle… Il s’échappe de son vagin… Sans doute sous l’effet d’une trop grand lubrification à son niveau…

    Elle décide donc de le tenir à la main et me pénètre avec le Share…

    Les sensations sont toujours les mêmes…. Un grand plaisir à l’insertion, pas de possibilité de mouvement trop amples pour éviter les douleurs…

    Elle le maîtrise mieux avec sa main directement… Et notamment, elle fait faire au Share des petits mouvements circulaires en appuyant dessus… Ce qui fait que le gland du Share vient fermement me masser la prostate et la paroi de l’abdomen…

    Mon excitation revient de nouveau violemment… Je percute alors que son vagin est resté libre puisque le Share n’y est plus… Je récupère alors son INA2 que je lui insère avec des vibrations de plus en plus fortes…

    Elle ne tarde pas à jouir de nouveau de manière permanente… Son orgasme est long et elle est complètement dingue de plaisir… Elle regarde les vas et vient qu’elle prodigue au Share dans mon cul et cela l’excite vraiment…

    Combiné à l’action de l’INA2 dans son vagin, elle jouit fortement… Je sens son éjaculation couler sur ma main…

    Je crois que Marie a bien compris les mouvements qu’elle devait faire avec le Share et elle est en train de me faire grimper au rideau…
    Plus question de retenue… Je cris mon plaisir et ma jouissance…. Je sens des vagues très chaudes envahir mon corps… Nos deux corps sont trempés de sueur…. Je m’offre complètement à elle et me contracte de nouveau…

    Je sens ces ondes de plaisir incontrôlables revenir… Ces contractions et ces poussées du sphincter que je ne contrôle plus du tout…. Qui viennent toute seule… Et encore une fois, l’apothéose survient… Je dis à Marie de continuer, de ne pas s’arrêter… Elle joui une nouvelle fois en me voyant encore éjaculer entre ses mains, alors que je ne sens toujours pas cette éjaculation venir…

    C’est bon, c’est très bon, c’est violent, très violent, c’est… Je ne sais plus… C’est extraordinaire…

    Une fois terminé, et après avoir repris notre souffle, je décide de nettoyer tout notre matériel avec des lingettes désinfectantes dédiées, et de tout ranger…

    Mais vous savez quoi… Moi, dans l’absolu… Et bien j’ai encore envie de continuer…
    C’est vraiment dingue, j’ai l’impression que je pourrais encore continuer à jouir…
    C’est vraiment comme si mon cerveau n’avait pas reçu de message de satiété… En gros, c’est comme si je n’avais pas encore éjaculé, et que l’envie est toujours présente…

    Mais conscient de l’heure tardive, et Marie qui est exténuée, nous pousse à nous endormir l’un à côté de l’autre… Dans des draps trempés à divers endroits, mais super heureux…

    Voilà ce que je voulais témoigner sur cette première expérience en me permettant des petits résumés…

    Oui, l’orgasme prostatique est réellement bien plus fort et violent que l’éjaculation habituelle…

    C’est une sensation vraiment nouvelle, et compte tenu de ce que j’ai ressenti, de mon excitation, de la violence de mes orgasmes, c’est sans comparaison avec l’orgasme habituel des mecs, qui du coup, deviennent un peu fade…

    Je comprends maintenant mieux les orgasmes des femmes et ce qu’elles ressentent… Cette vague qui monte progressivement du fond du ventre…

    Nous n’avons eu aucun souci d’hygiène ou de “surprise” pendant nos actes… Les lavements ont été efficaces et ont rendu les choses très agréables…

    En ce qui concerne nos jouets, je ne reviendrais pas sur le INA2 qui produit toujours des effets spectaculaires sur Marie.

    Le Billy de Lelo, jouet spécialement étudié pour homme, procure de bonnes sensations et m’a fait jouir… Je préfère quand les vibrations restent faibles, car trop fortes, je les trouve désagréables… Le va et vient avec ce toy est agréable, car petit diamètre, mais les meilleurs sensations que j’ai pu éprouver sont lorsque le billy est quasi immobile en moi, sa tête incurvée bien posée sur ma prostate.

    Quand au Share… Wouahou….
    Plusieurs choses….
    D’abord, c’est vraiment un bel objet, très doux, et déjà très excitant je trouve visuellement…
    Ensuite, il y a toute l’excitation que procure l’idée de se faire prendre par sa partenaire…
    Le Share en place sur Marie ressemble quasiment à un sexe normal d’homme… En tous les cas, dans sa forme, puisqu’une fois en place, on ne voit plus que la partie destinée à la pénétration apparaître…

    C’est un peu comme si un sexe avait poussé sur Marie… Et il semble bien faire partie de son corps…
    Il tient plutôt bien pour permettre à Marie de se libérer de ses mains, même si elle doit le remettre en place de temps en temps, du fait de sa propre excitation et le fait qu’elle est vraiment très humide…

    Et la pénétration avec le Share est juste divine… On ressent chaque sensation, et sa forme, dans certaine position, vient parfaitement accomplir son rôle de masseur prostatique…

    Nous qui sommes plutôt habitués à avoir des rapports spontanés, nous avons pu être un peu gêné par toute la préparation, notamment, des lavements… Je pense qu’il nous restera sur cette partie à tenter de l’inclure dans nos jeux…

    Je pense avoir bien fait, tant qu’à faire que nous étions dans une préparation, de préparer aussi l’ambiance de notre chambre… La bougie parfumée a parfaitement remplie son rôle pour l’intimité et la chaleur de l’ambiance… Et la musique est agréable en fond, permettant de ne pas être concentrés que sur nos voix… Et l’odeur de l’huile de massage enivre les sens, et contribue aussi à la sensualité du moment…

    Nous avons vécu un moment inoubliable qui j’espère va se répéter souvent…Malgré la parfaite connaissance que nous avions l’un de l’autre, nous nous sommes découverts davantage… Nous avons encore appris l’un de l’autre…. Et une fois les premiers moments d’appréhension passés, nous nous sommes retrouvés dans notre amour, notre sensualité et nos plaisirs…

    Tout a été parfait, doux, sensuel, jamais vulgaire… Notre plaisir, et notamment le mien, a été décuplé au centuple….

    Nos ébats ont duré presque 3 heures… Donc là aussi, adieu la spontanéité pour prévoir ces moments là… Ce n’est pas le genre de moments que l’on peut passer à mon sens lorsqu’on à 30 minutes devant soi…

    Je crois aussi, et c’est un peu comme cela que j’avais prévu, que de commencer par la stimulation de la prostate par le doigt de Marie, puis de passer au Billy, puis au Share, a permis cette progression…
    Même si finalement, j’ai eu un orgasme à chaque fois, je crois que la progression dans les diamètres a largement facilité les choses…

    Je pense essayer d’autres choses la prochaine fois…

    Notamment, je souhaiterais terminer par une éjaculation “normale”, après plusieurs orgasmes prostatiques… Peut être par une fellation, ou un travail manuel de Marie…

    En effet, j’ai la sensation que tant que je n’ai pas eu cette éjaculation normale, mon cerveau et mon corps crient “encore…” Je vais donc tester…

    De même, je voudrais tester la position de levrette pour moi… J’ai pu voir que Marie était très excitée en me prenant, mais aussi, qu’elle regardait beaucoup les jouets entrer en moi, ce qui lui procure davantage d’excitation encore.

    Je pense que le rôle qu’elle tiendra avec moi en levrette devrait lui procurer beaucoup de plaisir, et moi, aussi… Nous avons bien essayé à un certain moment, mais je suis très grand, et cela n’a pas pu se faire… Il faut trouver la bonne position…

    Dernier petit point sur le lubrifiant… Nous n’avons rien eu à redire sur le lubrifist, même si nous avons dû relubrifier à plusieurs reprises au début… Notamment avec le Share…. Plus gros, et sa matière, font que je pense qu’il sèche davantage dans l’utilisation… 2 ou 3 fois j’ai demandé à Marie de rajouter du lubrifiant car cela glissait moins bien…

    J’ai aussi essayé avec le Anal Gel, pas de réel souci…

    Mais peut-être que certains d’entre vous ont des idées sur un lubrifiant encore plus efficace… Le nom lubrifist est sans équivoque, mais je n’ai pas réellement senti qu’il permettait une dilatation importante de l’anus… Il a été parfait pour la glisse, mais je ne l’ai pas trouvé très efficace sur le fait qu’il aurait pu faciliter davantage la pénétration par le Share, et notamment, permettant de dilater davantage pour pouvoir accueillir le diamètre de la base qui est assez important…

    En tous les cas, cette soirée restera inoubliable, à moins que d’autres viennent davantage nous donner de plaisir que celle-ci…

    Je suis très heureux d’avoir pu découvrir ces orgasmes prostatiques avec ma partenaire Marie… Je suis très heureux qu’elle se sente aussi excitée que moi pour cela…
    J’espère que mon témoignage pourra servir à quelques mecs à franchir le cap de ces expériences, notamment en couple…

    Je voudrais préciser certains points sur mes orgasmes…

    D’abord, chose que je n’avais pas identifiée, c’est qu’il me semble que l’orgasme prostatique est long à venir… Ma, célèbre maintenant, impatience, à sans doute fait que je me suis arrêté trop tôt en solo… En tous les cas pour moi, pour mon corps, je me suis rendu compte qu’il fallait vraiment être patient pour atteindre son but…
    Et il est vrai qu’en solo, ce n’est pas très facile pour moi, car j’ai du mal à pouvoir consacrer 45 minutes ou 1 heure au sujet… Mais par contre, le partager avec une partenaire (ou un partenaire du reste), ceci s’insérant dans les jeux de sensualité, on ne s’impatiente pas et cela monte progressivement…

    Pour moi, cela a été divin, alors que j’ai trouvé cela très bofbof en solo… Mais sans doute que je n’y ai pas consacré suffisamment de temps…

    N’hésitez pas si il y a questions, ou pour me prodiguer de nouveaux conseils : jouets, produits, positions, etc…
    Je suis preneur de toutes vos informations…

    #13431

    En réponse à: Expérience et questions…

    Theghosssst
    Participant

    Andraneros, je vous remercie pour votre analyse et pour votre aide.
    je pense effectivement que vous avez bien cadré mon fonctionnement.
    Oui, j’ai du mal à accepter que mon corps puisse prendre le contrôle. J’ai du mal à comprendre comment le Helix peut, par mécanisme statique ou presque, engendrer un plaisir naissant. Je suis très pratique et je comprends beaucoup plus facilement qu’en voiture, comme avec un Vice, les vibrations entrainent de délicieuses sensations.
    Je vais tenter de rapprocher mes sessions et surtout de transformer ses expériences “nouveau plaisir” en sophrologie sans rien attendre de plus qu’une détente maximale, tout en guettant la moindre nouvelle sensation. La lecture des divers sujets des forums m’ont apporté le mode d’emploi pour la réussite; Manque juste que la mèche s’allume, manque juste la toute première infime sensation pour que j’avance et la partie sera gagnée.
    Je suis persuadé aussi que le manque d’excitation est un facteur négatif. Mais il est assez laborieux de concilier détente et excitation.
    Je ne manquerai pas de vous écrire la suite de mes aventures.
    Merci

    #13430

    En réponse à: Expérience et questions…

    Andraneros
    Modérateur

    Bonsoir @Theghosssst,

    Je suis heureux de votre fidélité à notre forum. Je retiens de votre exposé plusieurs points qui pourraient être un frein à vos progrès :
    -1) le manque de régulatité de vos sessions,
    -2) le manque de sensations initiées par la présence de votre masseur,
    -3) la difficulté à effectuer des contractions anales « légères »,
    -4) le doute enfin qui influe négativement sur votre état d’esprit quand vous pouvez engager une session.

    -1) Le cheminement vers le Super O’ est pour une majorité d’entre nous un (long) apprentissage. Comme il s’agit d’un apprentissage neuromusculaire la fréquence des sessions et leur régularité me semble très importante pour commencer. Je comprends que vous n’avez pas pu bénéficier d’un vrai rythme d”apprentissage, à mon avis nécessaire pour programmer votre cerveau et votre corps à accepter une jouissance orgasmique différente de celle qu’ils connaissent depuis votre naissance. C’est à mon avis un point à travailler dans la mesure du possible. é à 3 fois par semaine me semble un bon rythme. Vous pouvez éventuellement vous inventer un temps de méditation sophrologique pendant lequel vous refuserez d’être dérangé comme pour toute méditation.

    -2) Lorsque vous faites des exercices de contractions vous nous dites « En voiture, lors de mes exercices de contractions du périnée / sphincter, j’aime sentir cette « petit chose bizarre » dans mon ventre qui se diffuse très rapidement dans mon corps ». Si vous ne ressentez rien avec l’Helix, cela peut être dû à une attente de sensations trop forte qui vous empêche de reconnaître les micro-stimuli produits par votre masseur. Pouvez-vous essayer avec plus de concentration de retrouver les sensations que vous connaissez en voiture ?

    -3) Vous nous dites « Je sais qu’avec le Vice, les vibrations ont déclenché une fois un phénomène plutôt brutal de fortes contractions que je ne maîtrisais pas ». Peut-on imaginer que consciemment ou non vous ayez peur de cette perte de contrôle et que cela vous conduise à ne faire que des contractions suffisamment « volontaires » pour être sûr de les contrôler dont le seul effet est de tuer toutes les sensations subtiles qui caractérisent le travail de l’Helix ? La réponse semblerait dans ce cas à travailler sur le « lâcher prise ».

    -4) Si vous ressentez un doute, je suis persuadé que votre excitation en souffre. Pour recevoir le plaisir suprême que le massage prostatique peut apporter il faut être disponible sur le plan physique et sur le plan émotionnel. Il faut le désirer de tout son corps et de tout son esprit. C’est pourquoi il faut être détendu, ouvert et confiant ce que le doute ne permet pas.

    En comparaison avec un pur débutant vous avez beaucoup d’éléments qui bien qu’encore en désordre devraient vous permettre de reprendre votre progression, l’expérience de la relaxation, l’expérience des vagues de plaisir (au moins avec le Vice), la pratique des exercices de Kegel. Il est fréquent dans le cheminement vers le Super O’ que les pratiquants aient provisoirement l’impression de stagner voire de régresser par rapport à leurs expériences précédentes. Cela n’empêche pas ceux qui persévèrent d’atteindre des niveaux de jouissance qu’ils ne soupçonnaient pas.

    Bon cheminement @Theghosssst

    #13425

    En réponse à: Expérience et questions…

    Theghosssst
    Participant

    Je reviens après de nombreuses semaines d’absence. Je n’avais pas de longs moments à moi, seul, pour continuer mon expérience. Mais hier soir, j’ai enfin pu me consacrer à une nouvelle session Helix. Cet été, j’ai découvert la charmante voix qui se dégage du CD HypnAerosession que j’ai utilisé hier soir. Mes 30 premières minutes (ou plus ou moins, je ne sais plus) m’ont littéralement basculé dans un état de détente agréable. Les 30 minutes suivantes (ou plus ou moins, je ne sais plus) ne m’ont rien apporté de plus. J’étais très déçu. J’ai vraiment passé de longues secondes à sentir mon corps – je fais régulièrement de la sophrologie -, à sentir la moindre étincelle, la moindre vibration au sein de mon ventre, des alentours de mon Aneros, mais rien de rien. J’ai quand même compris une chose qui je pense freine ma découverte: je n’arrive pratiquement pas à contracter doucement mon sphincter. Aussitôt mon corps a le réflexe de serrer fort. Je sais qu’avec le Vice, les vibrations ont déclenché une fois un phénomène plutôt brutal de fortes contractions que je ne maitrisais pas et cela quelques minutes après son insertion. L’insertion d’un plug assez long non vibrant m’a paru plaisant le printemps dernier lors d’un essai. En voiture, lors de mes exercices de contractions du périnée / sphincter, j’aime sentir cette “petit chose bizarre” dans mon ventre qui se diffuse très rapidement dans mon corps, comme un plaisir douloureux. Alors je ne comprends pas pourquoi je ne ressens rien avec un Hélix. Est-il possible que l’Helix ne me convienne pas morphologiquement ?
    A suivre …
    Merci pour vos réponses, merci pour ces forums si riches en informations et en expériences.

    #13377

    En réponse à: Plug anal homme

    toto92fr
    Participant

    Bonjour, en matière de plug anal il existe une chose démoniaque (qui si je ne me trompe pas n’a pas encore été tester sur NXPL) c’est la queue de chien visuel par exemple ici

    Alors je sais ça peu sembler hard, mais vous n’êtes pas obliger de rentrer dans le scénario “dog-training” qui va avec, et ce n’est pas non plus un plug que l’on peu porter discrètement en publique 😉

    Mais les sensations procurées par ce genre de jouet sont énormes, car en plus de la sensation de présence/pression/remplissage que procure les plugs “traditionnels”, ici les mouvements du corps, en particulier du bassin (et là messieurs je suis sur que vous connaissez quelques mouvements possible du bassin…) entraînent des mouvements/torsions/rotations/vibrations de la partie externe du plug, qui par effet de levier entraînent la partie interne du plug qui vient gentiment stimuler votre prostate… sensations fortes garanties.

    Et si en plus votre partenaire de jeux se décide à tapoter/tordre/tirer sur votre queue de chien… là vous allez hurler de plaisir.

    #13264
    nicolas775
    Participant

    Depuis le début de mon cheminement, j’alterne des phases neutres et frustrantes auxquelles succèdent des séries de séances assez riches en sensations. C’est comme si je montais d’un pallier à l’autre. En ce qui me concerne, je remarque que je dois maîtriser la fréquence des séances. Ni trop rapprochées, ni trop éloignées. De fait, c’est ma prostate qui décide. En général, 48 heures après une séance, même si cette dernière n’a rien eu d’extraordinaire, ma prostate se manifeste en vibrant toute seule et je ressens toute la journée comme une démangeaison qui m’oblige a me soulager avec l’Aneros. Mon cheminement a été je pense plus long que pour d’autres car, mes difficultés à maîtriser de concert la relaxation, la respiration et les contractions m’ont conduites a opter pour la méthode du “do nothing”. Ne rien faire d’autre que se relaxer et respirer. Les sensations ont fini par venir toutes seules en même temps que les contractions involontaires. Mes séances ne durent pas plus d’une heure. J’utilise comme lubrifiant un mélange de beurre de karaté et d’huile de coco que je prépare moi-même. Je trouve que c’est particulièrement efficace quand je m’excite tout seul tandis que je prépare mon lubrifiant en pensant au plaisir qui lui est associé. Je ne fais que m’étendre sur le dos, me relaxer en me concentrant sur la respiration abdominale. C’est la respiration qui génère les vibrations, les contractions involontaires et les sensations qui vont avec. Comme beaucoup de temoignages que j’ai pu lire la caresse des tétons accélère les sensation. Ma dernière séance, après une phase assez insipide m’a encore rapproche du Super O car j’ai ressenti jusque dans les bras des sortes de picotements et décharges directement synchronisés à ce qui se passait dans la région prostatique. Pour moi, la progression est très longue, mais la persévérance est gratifiante. Je continue donc.

    #12518
    helix47
    Participant

    bonsoir andraneros ,
    pour le remplacer le vice a il me semble une forme similaire au progasm , il est en silicone (incassable) , son originalité est le bâton vibrant très efficace que l on peut insérer . je l emploi de temps a autres avec et sans vibrations .

    #12071

    En réponse à: Comment vaincre sa pudeur

    Hyménée
    Participant

    Bonsoir,

    Fréquenter la même masseuse a un avantage indéniable : elle connait votre corps et sait rapidement le prendre en main, pour peu que vous la laissiez faire.

    Ce soir, je lui ai présenté mon Aneros Vice, que j’avais introduit la dernière fois dans la discussion. Mon secret désir était de voir des étincelles dans ses yeux. J’y ai lu une découverte totale, une incompréhension. Quel étonnement : elle a une telle intuition, que j’étais persuadé qu’elle “saurait” en le manipulant. Et bien non.

    C’est un beau moment : prenant l’objet dans ses mains, elle le soupèse, et instinctivement, comme un enfant sait immédiatement faire fonctionner un smartphone, appuie là où il faut pour lancer les vibrations.

    Dans ses mains, je les trouve très puissantes. Trop. Quasi agressives. C’est stupéfiant. Seul, je n’ai pas cette perception, car trop pris par la promesse de l’extase. Dans ses mains douces, le contraste est choquant.

    Je lui explique l’extase que cela provoque en moi, en tentant de faire un pont avec ce que je ressens lorsqu’elle me masse, pour qu’elle comprenne : les bouffées de plaisir qui partent du bassin pour remonter la colonne vertébrale et s’évanouir un peu partout. Elle m’écoute, réceptive, acquiesce de petits hochements de tête, puis pose l’objet à côté du matelas sur lequel nous sommes nus :

    Je m’attendais à de l’inattendu. Une réaction de sa part à mon endroit. Une idée, une émotion, une question, quelque chose. Rien. L’objet est écarté 🙂

    Cela fait quelque temps que l’envie de vous raconter une séance de massage est née en moi. Je le fais ce soir, sous l’emprise de ses bienfaits. Cela vous donnera, je l’espère, des idées, des intentions, des envies. De nouveaux désirs. 😀

    Le massage à commencé sur le ventre comme d’habitude. Les fesses, le dos, les épaules sont entrepris avec fermeté. Le contact de ses mains me sort d’une bonne semaine de boulot pleine de rebondissements. J’apprécie d’être chez elle avec elle, seuls au monde, petites bougies, musique douce, ambiance parfumée et tamisée.

    On est au clair tous les deux : j’aime qu’elle fasse monter le désir en moi, j’aime lui dire que je la désire, et elle sait que je ne la croquerai pas. Alors, elle sait qu’elle peut y aller franchement.

    C’est un peu comme une relation platonique basée sur le désir d’un amoureux (transis) à son aimée (flattée). Mais avec la grâce de la présence du corps de la bien-aimée, de ses massages, de ses caresses. Mais sans ses baisers. Sans le frottement des sexes. Sans éjaculation. Sans consommation de la pulsion.

    Mon corps se détend. Elle caresse furtivement l’entrejambe qui commence à s’ouvrir, puis poursuis son massage, prend mes fesses à pleines mains, les balance de gauche à droite, repart sur la colonne vertébrale, s’huile à nouveau les mains, reprend l’exploration.

    Elle sent que mon corps se réveille et accueille. Elle est douée, et sait qu’il faut se concentrer sur l’entrejambe pour ouvrir le corps, ne pas s’y attarder au début, mais plutôt décontracter le corps en son entier.

    Je me cambre sans le vouloir, signe évident de satisfaction : les muscles de mon dos, auparavant tassés par la gravité, s’expriment et se déploient. Aaah ! Les bras suivent le mouvement et s’étirent autant que les jambes.

    Nous y voilà ! Je ne sais si c’est le fait de la connaitre maintenant, ou de lui avoir présenté l’aneros, mais je ne pense plus à tout cela. Je suis au-delà. Je sais que la finalité est de m’abandonner à ses caresses.

    J’écarte, elle en profite pour masser les muscles fessiers, ce qui a pour effet de monter la croupe, qu’elle accueille à pleines mains. Elle facilite le mouvement par son massage, en encourageant le bas du dos à se cambrer. L’ouverture se propage dans tout le corps.

    Ses caresses fugaces se rapprochent des bourses que les ongles gratouillent, puis s’attardent sur le périnée. Régulièrement, l’énergie gonfle et remonte la colonne vertébrale. Je râle.

    Je sens que l’orgasme intérieur se prépare petit à petit. Elle le sent et le désire (car client satisfait, client qui revient), et arrive à trouver les gestes qu’il faut pour le faire monter. Toujours en partant du périnée qu’elle masse consciencieusement. S’attardant sur les muscles autour de l’anus qu’elle ne ménage pas et qui maintenant palpitent. S’étalant du bas du dos jusqu’au cou. Pour revenir ensuite en bas, et de tant en tant caresser ma verge, mais sans s’attarder, car elle sait sinon que le plaisir montra au gland. Variant massage pleines mains, avec effleurements, avec glissements de doigts, avec crissements d’ongles

    J’ai envie d’elle. Je lui murmure. Je sens qu’elle sourit intérieurement, et ne fait pas attention. J’imagine son regard. Elle s’oblige à le cacher, mais pourtant il m’est arrivé un court instant de le surprendre libre : alors que je levai la tête, il s’était déjà enfui derrière une nécessaire retenue, afin d’éviter tout débordement. Ce regard est absorbé, perçant, concentré. Elle regarde comment la peau réagit, comme les muscles palpitent, détend ce qui est inconsciemment tendu. C’est comme si elle était en incantation, ordonnant à l’extase de prendre ses aises.

    Elle aime ce qu’elle fait. Elle me l’a dit. Masser les hommes ainsi est un vrai plaisir. Je veux bien la croire. Mon métier me procure aussi beaucoup de plaisir !

    Une fois l’orgasme intérieur éparpillé et papillonnant, je me redresse, m’assied en tailleur à côté d’elle, et la remercie en la caressant, lui exprimant ma gratitude.

    Une gaule d’enfer ne me quitte pas, et c’est vraiment très agréable d’être encore noyé dans le désir, alors que le plaisir m’a submergé. On fait comme si je ne bandais pas. C’est finalement pas très important. L’important est de conserver l’état de désir.

    En début de séance, je lui avais demandé si je pouvais la masser aussi. Je la prends dans mes bras, mets un peu d’huile sur les mains, et lui masse le dos, les fesses. Je lui explique en prenant ses fesses à pleines mains, que j’aime quand elle le fait aussi. J’essaie de lui faire comprendre physiquement le plaisir qu’elle me procure. Elle me titille les seins, je lui rends la pareille et sent avec émotion qu’ils durcissent. On se regarde. Je cherche une finalité, que je ne trouve pas. Alors, je la prends dans mes bras, me rallonge, et nous poursuivons.

    Elle y met une ardeur renouvelée, et je prends petit à petit conscience qu’elle se concentre sur le périnée, qu’elle masse désormais vigoureusement, comme si elle voulait en faire sortir quelque chose.

    Je fantasme : est-elle en train de travailler ma kundalini ? Ce serait tout comme : elle ne me ménage pas, balançant mon bassin de gauche à droite, faisant jouer mes jambes afin de les détendre et qu’elles s’écartent naturellement. Que je suis raide ! On travaille ma faiblesse, en jouant sur cette belle énergie qui se promène maintenant dans mon corps. Elle revient sur les muscles intimes, insiste sur le périnée et ce qu’il y a autour. Je me laisse faire. Je DOIS me laisser faire. Je m’envole.

    Ce qui est étrange, c’est qu’elle n’a jamais fait état d’une quelconque connaissance des arts yogiques ou taoïstes, répondant toujours par un visage incrébule à mes interrogations. Je ne sais pas : elle doit suivre une intuition et lire le corps des autres.

    Une vraie leçon de vie

    Voilà. Il est temps pour moi d’abandonner.

    Bonne nuit

    #11879

    En réponse à: L'orgasme total du corps

    Hyménée
    Participant

    Sinon, je commence tout juste à me remettre de ma séance du week-end en huit.

    Je ne sais pas comment vous l’écrire, mais au sujet de l’orgasme du corps, on atteint un état orgasmique absolument délicieux, totalement détaché du corps, où l’on plane au-dessus du corps.

    Enfin, c’est ce que j’ai vécu.

    J’avais pas mal de temps (tout mon week-end en fait 😀 ), alors j’ai commencé par utiliser le Vice sans vibration pendant un long moment, jusqu’à devenir fournaise. C’est vraiment extra d’avoir tout son temps, et de le prendre 😀 très rare avec un enfant en bas âge. Donc très précieux quand cela se produit !

    Je trouve que ce que vit la fille en position orgasmique dans la vidéo “Orgasmic Meditation” est vraiment très représentatif : son orgasme coule le long de son corps, de son bassin jusqu’à ses doigts de pieds et jusqu’aux lèvres de son visage. Rien de spectaculaire. La blonde l’exprime parfaitement au début de la vidéo :

    Quand vous ressentez autant de plaisir, vous ne voulez plus bouger d’un pouce

    En fait, faut réussir par le moyen le plus approprié (fantasmes, méditation, respiration, bain chaud, bougies, musique, caresses sur tout le corps, etc, etc) à créer ce qu’ils appellent un “Climax” ; un protocole d’accord entre nerfs et cerveau pour fonctionner ensemble à la recherche de ce qu’on a tous imaginé : le pur plaisir issu d’une pure détente du corps tout entier.

    Ah ! Maintenant que j’écris ça, je me souviens d’un élément important et concret : avant de décoller complétement, je me souviens avoir ressenti comme si mon rectum s’illuminait totalement (hihi ! 😀 ). A force de laisser faire les contractions involontaires, à un moment, cela fait prendre conscience totalement de son rectum. Les contractions se taisent pour laisser place à la totalité.

    C’est un peu comme si tous les nerfs se mettaient d’accord pour s’abandonner ensemble dans le plaisir. Plutôt que de contracter les muscles les uns après les autres, tout le tapis muqueux s’illumine de plaisir, des sphincters anals jusqu’au sphincter en bout de rectum. Tout y passe, prostate incluse 😀

    Pouf ! Lumière !

    A partir de ce moment-là, c’est sûr : la manette du jackpot a été tirée. Si on continue à laisser faire, c’est le corps tout entier qui s’illumine de lui-même, sans qu’on comprenne vraiment ce qui se passe.

    Et puis, à un moment, on réalise qu’on est dedans, qu’on jouit totalement détaché du monde, qu’on rayonne, un peu comme une étoile dans le cosmos. Sans raison, ni but.

    Pouf ! Lumière !

    On se consume de partout. Partout dans le corps, les nerfs veulent leur part du plaisir total. Le plus étrange (enfin, ce qui est nouveau pour moi), c’est que ce sentiment de détachement dure longtemps. On regarde autour de soi. On est dans un plaisir pur sans violence (sans contractions), et on regarde hébété. Le plaisir coule de la tête au pied, dans les bras, les doigts. Ca coule, ça vibre. Et puis, ça disparait. Je me souviens plus si cela s’est produit plusieurs fois. En fait, je me souviens plus bien de la séquence des événements. Le temporel est finalement en second plan. Il y a dû y avoir une cause à l’embrasement du rectum, un fantasme, un truc déclencheur, une étincelle. Je ne sais pas.

    Ce sentiment de détachement s’est reproduit ce week-end en plein parc parisien, tranquillement installé à discuter. A un moment, j’ai été happé par les feuillages qui dansaient et ai voulu y mettre des étiquettes, une pensée, agripper tout cette beauté par des mots. Impossible. Je continuai ma discussion, avec devant moi le spectacle de la Nature inviolable, insaisissable. Une pure présence, impossible à capturer.

    C’est exactement le même ressenti que lors d’un orgasme total : on se sent inviolable, insaisissable, et pourtant ouvert de partout. Une pure présence.

    Ô Femmes ! Serait-ce cela votre secret ?

    Bonne nuit

    #11662
    progasmjoy
    Participant

    Bonjour,
    Je vais essayer de décrire mon expérience,
    Cela fait 6 mois que j’ai découvert cette expérience complétement inconnue de moi jusqu’alors. J’ai 54 ans.
    J’ai commencé par utiliser le duke de fun factory. J’utilise maintenant le progasm aneros car j’ai lu sur ce site et le site aneros le caractère extraordinaire possible des expériences avec ce stimulateur.
    J’ai lu le traité et je suis à la lettre les conseils. préparation anale, lubrification de l’aneros avec un lubrifiant à base de silicone, 5 ml de lubrifiant aqueux pour le canal anal. Je n’ai aucun problème pour introduire le progasm. Je me relaxe 10 minutes en respirant doucement avec le ventre. La sensation est déjà agréable. Puis je réalise des contractions rectales douces d’environ 15 secondes alternées par une pause de 2 respirations. Je suis sur le dos avec un traversin sous les fesses. Au bout d’une quinzaine de contractions je commence à sentir des vibrations dans les fesses et des contractions involontaires. Du liquide séminal sort de ma verge. Au bout d’une trentaine de contractions régulières je passe à des contractions plus longues pas forcement plus fortes. C’est à ce moment que les choses commencent vraiment. J’ai les jambes pliées. Je commence à ressentir des contractions fortes des fesses, des jambes, des mouvements du bassin. Je fais des poses et je continue les contractions. A ce moment j’ai des contractions de plus en violentes de tous le corps avec le bassin qui remonte. A certains moments je ne peux m’empêcher de gémir. J’ai le souffle haletant. Je caresse l’intérieur de mes cuisses et mes mamelons, le plaisir est plus intense. Je ne touche pas ma verge . Mon sexe est en érection à certains moments. J’alterne des contractions anales et du rectum. Je sens bien le contact du progasm contre la prostate. Et puis soudain au bout d’une heure le plaisir devient extraordinaire et j’éjacule. A ce moment là j’arrête. C’est la deuxième fois que cela m’arrive. Je suis déçu car je pensais que cela n’arriverait pas.
    Quels sont vos conseils pour éviter l’éjaculation ?
    MErci d’avance.

    #11304
    Hyménée
    Participant

    @Theghosssst, lors de votre prochaine session avec le Vice, je vous conseille d’augmenter progressivement la puissance plutôt que de vous finir en vous masturbant :

    Une éjac’ déclenchée intérieurement est un délice indescriptible. Il faut savoir la faire monter. Prendre le temps d’aller la chercher :

    Ma dernière séance s’est déroulée ainsi : une bonne heure (je crois, mais on s’en fiche) en position puissance faible, qui m’a amené à un pic orgasmique intérieur, qui m’a totalement mis à terre : le dernier orgasme a tenté de se frayer un chemin vers la sortie heureuse et éjaculatoire. Mais les muscles anaux et PC le maintenaient fermement. Lutte intérieur, tension indescriptible. Qui allait lacher ? Où ? Vers où ?

    Et puis, finalement, une espèce d’effondrement généralisé, où l’orgasme m’a fait lacher prise sur tout le corps, mais sans me répandre.

    Post coïtum animal triste. Tout comme lors d’une ejac’, plus besoin de rien. Plus de plaisir, plus de désir. On est satisfait, et non stimulable. On arrête. Je me suis touché

    J’ai attendu vingt minutes (je sais pas bien) que l’envie revienne, comme lorsqu’on souhaite recommencer à faire l’amour après une bonne éjac’.

    J’ai attendu d’avoir à nouveau vraiment envie de me faire prendre, de désirer l’amant.

    Pour être plus précis, j’essaie de trouver cet état d’être où l’alpha et l’omega s’embrassent : avant même de commencer, on s’est déjà projeté dans l’aboutissement du plaisir. On est déjà dans l’orgasme. Il est déjà bien présent, en germe. L’aneros n’est que souffle sur un feu qui a déjà pris.

    Voilà, c’est ça ! Il faut déjà avoir allumé son corps, l’aneros n’étant que caresses stimulantes et bienfaisantes. 🙂

    Position puissance faible à l’identique pendant un peu moins d’une heure. Et puis, à un moment, le corps est mûr pour monter en puissance. On le sent. Ce n’est pas la volonté qui exige, c’est le corps qui dicte la montée en puissance. Extase incroyable, car l’intimité réagit différemment à ces nouvelles vibrations. Le corps est pris autrement. Les jambes se lèvent pour accueillir. Le bassin est large ouvert.

    A chaque fois, des muscles intérieurs qui refusent de se laisser faire, résistent, résistent, résistent, ne veulent pas, résistent, … et finissent par lâcher, constatant leur impuissance face à la constance de l’amant de plastique.

    Et c’est à ce moment-là ù il faut avoir un esprit fort : rester ouvert, ne penser à rien, laisser les vibrations reprendre le dessus et prendre possession des muscles qui précédemment étaient en résistance.

    Orgasmes encore plus profonds : nos chairs sont en tension sans même le savoir et ne peuvent s’envoler avec l’orgasme, réduisant ce dernier à une simple génitalité.

    Petit à petit, l’intériorité s’ouvre totalement, sous la puissance du foret imperturbable.

    Tout au fond de ce processus, l’orgasme éjaculatoire incontrolable.

    C’est terrible, car à chaque nouvel émergence d’un orgasme, on ne sait pas si on va éjaculer ou pas. La situation est dramatique, totalement instable.

    J’aime

    #11298
    helix47
    Participant

    les sensations engendrées par l anéros vice en mode vibratoire sont très agréables et procurent des orgasmes extraordinaires , mais je ne pense pas que l apprentissage puisse se faire uniquement avec lui , pour moi , c est un complément que j’utilise de temps en temps après une séance faites avec l hélix pour obtenir un orgasme éjaculatoire .par contre on peut faire des sessions sans vibrations pour un apprentissage traditionnel . pour ma part je continu en majorité mes sessions avec l hélix ,je suis sur que je peut allez encore plus loin dans la quête au super O .

    #11297
    Andraneros
    Modérateur

    @Theghosssst votre question est courte, la réponse sera plus longue.

    La jouissance que génère vos orgasmes est au départ une réaction instinctive lancée par le cerveau sous l’influence de certains stimuli. Selon votre état physiologique (âge, santé, sexe), votre profil psychologique (analytique, émotionnel, extraverti ou non, bien dans votre corps ou non…) et votre environnement culturel votre réaction et les stimuli efficaces pour la déclencher peuvent varier.

    Les masseurs Aneros sont des supports de l’apprentissage de l’orgasme prostatique. Ils sont très efficaces mais ils ne sont pas les seuls. L’orgasme prostatique est une porte d’entrée du paradis des orgasmes qui embrassent toute la personnalité (le physique, le mental et le social) mais elle n’est pas la seule.

    Chacun est différent. Il est donc tout à fait possible que votre apprentissage passe par le Vice et ses vibrations. Nous avons des amis qui ont beaucoup de difficultés à se mettre à l’écoute de leur corps (ce fut mon cas), à reconnaître et accompagner les premières sensations jusqu’aux pulsations orgasmiques. C’est peut-être votre cas. La pression accentuée du Vice due à son grand diamètre et les réactions de votre corps aux vibrations peuvent très bien vous aider à atteindre ces fabuleuses pulsations internes plus facilement et plus rapidement.

    En particulier le Vice peut vous aider à prendre conscience de ce qui se passe en vous lors de la montée du plaisir. Si vous restez très concentré et attentif à toutes les micro sensations, contractions ou pulsations qui précèdent les vagues de plaisir intense, vous serez en mesure de les reconnaître, de les accompagner et de les laisser prendre de l’ampleur pendant vos séances engagées avec votre Helix.

    L’inconvénient du Vice par rapport à l’apprentissage sans les vibrations est triple :

    -1) Le plaisir obtenu sans contrôle conscient pour le déclencher risque d’être instable et moins régulier. (A vérifier auprès des utilisateurs réguliers du Vice, ce qui n’est pas mon cas)

    -2) L’utilisation des vibrations induit un nouveau stimulus orgasmique instinctif qui risque de devenir exclusif au détriment de tous les autres.

    -3) Les vibrations sont un stimulus exclusivement mécanique qui peut conduire l’organisme à s’adapter et à devenir de moins en moins sensible et donc à vous obliger à augmenter progressivement l’intensité de la stimulation avec les risques que cette évolution comporte.

    Votre expérience peut donc être très positive si vous faites en sorte que les progrès rapides obtenus avec le Vice soient très régulièrement réinvestis dans vos séances avec l’Helix. Cette discipline vous permettra d’avoir le meilleur des deux mondes. En outre les progrès que vous ferez avec votre Helix vous seront très utiles pour approfondir l’expérience orgasmique apportée par le Vice.

    Mes propres difficultés à atteindre l’orgasme de la prostate m’ont conduit à privilégier l’apprentissage laborieux qui me permettait de me mettre à l’écoute de mon corps et de découvrir de l’intérieur ma voie vers la jouissance. Ce fut long (1 an), frustrant parfois mais au bout du compte profondément enrichissant. Votre propre voie vers la jouissance sera différente et à ce titre très intéressante. J’espère que vous aurez de nombreuses autres réponses à votre question.

    En attendant, que votre cheminement vers les orgasmes prostatiques soit couronné de succès!

    #11295
    Theghosssst
    Participant

    J’ai profité d’une promotion pour acquérir l’Aneros Vice.
    Hier soir, je me suis confortablement installé sur mon lit. L’Aneros Vice, bien lubrifié, s’insère très facilement. Comme à chaque session, il faut être très détendu. J’ai sélectionné la première vitesse de vibration, la vitesse constante la plus douce. Les vibrations étaient très agréables. J’ai pris conscience des “chatouillis” que provoquait l’Aneros au fond de moi. Et puis, tout à coup, une vague a traversé mon corps. j’ai tremblé des jambes et crispé mes bras pendant 2 ou 3 secondes. Impossible de vous expliquer la nature de cette vague. C’était bon, mais sans aucune ressemblance avec le plaisir de la masturbation. C’était plus quelque chose d’incontrôlable. ET puis, de nouveau une vague puis une autre et encore une autre qui me secouaient les jambes, le corps, les bras, me faisait me redresser assis sur mon lit ou me tourner sur le coté tous muscles tendus. Et puis plus rien, juste cette sensation de “chatouillis” tout au fond de moi. Alors j’ai pensé à respirer et à me relaxer car ces quelques contractions m’avaient déjà fatigués. D’un coup, les vagues ont repris, toujours courtes mais assez violentes. Ma session a duré 15 minutes et j’ai terminé, épuisé, par une masturbation qui m’a envoyé au 7ème ciel. Je pense avoir découvert les premiers mini O. Cette expérience confirme que mon apprentissage passera par l’Aneros Vice avant de découvrir les sensations plus affutées que génère l’Aneros Helix. Qu’en pensez vous ?

    Hyménée
    Participant

    Bonsoir,

    L’aventure intérieure a ceci de particulier, qu’elle nous oblige à caboter d’île en île, tel Ulysse et son long voyage.

    Ce soir, je prends à nouveau le large, et me risque à atteindre une nouvelle île, peut-être la plus belle, la plus attendue, la plus désirée : celle des Muses.

    Je vais tenter un mariage extatique de deux sens, celui du toucher et de l’ouie. En fait, je le prépare depuis des années en pratiquant mes instruments de musique.

    Je le prépare aussi en affinant mes goûts musicaux, et décelant les sons, mélodies, rythmes qui me touchent au plus profond de l’âme.

    Je le prépare enfin par le sexe, le toucher des peaux, le ressenti de ma peau.

    De toute part, tout cela n’a qu’une destination : le lâcher de l’ego aux côtés de l’aimée.

    Beaucoup d’entre vous doivent être mes compagnons de voyage sans le savoir, chacun isolé dans sa bulle sensuelle.

    Le wiki officiel révèle quelques pratiques avancées pour déclencher et aiguiser les super O’. Cette discussion sur le forum m’a décidé à écouter les CDs de Kelly Howell.

    Voici donc ma première muse : Kelly Howell. J’aime beaucoup sa voix, sa façon de guider vers un espace intérieur. Tout ne me plait pas, mais je commence à avoir mes repères et le tri se fait au fur et à mesure. Quelques CDs sont dispo sur youtube. Je les ai tous choppés 🙂

    Les musiques sont chaudes, lentes, vibrantes, pleines de sonorités très denses, couvrant tout le spectre, très moelleuses. On s’y baignerait ! Selon la “science” (!!) derrière tout cela, les effets stéréos semblent fait pour stimuler les ondes théta du cerveau : http://fr.wikipedia.org/wiki/Rythme_c%C3%A9r%C3%A9bral

    Bon, je ne sais pas si c’est vrai ou pas, mais je me laisse faire.

    Et je suis très receptif. Ca aide vraiment à placer l’esprit dans un état, qui me parait très similaire, disons très compatible avec les états modifiés de conscience que je peux avoir, quand mes orgasmes prostatiques remontent à la tête par la colonne vertébrale.

    J’ai pas encore tenté l’expérience de suivre ces torrents musicaux pendant une séance. Pour tout vous dire, ça me fait un peu peur. J’attends d’avoir mes repères mais aussi un créneau de réelle solitude chez moi pour tenter l’aventure.

    L’un d’entre vous s’est-il aventuré sur cette Terra Incognita ?

    Cela serait bien de constituer la plus belle playlist pour session anérosienne.

    Merci, bonne nuit

    #11230
    Hyménée
    Participant

    Bonsoir,

    Pour ma part, les vibrations m’empêchent de ressentir ces différences. Ca doit varier.

    Je me demande si le fait de se cambrer n’amène pas le Vice à appuyer plutot que glisser

    #11096

    En réponse à: Orgasme du Coccyx

    Hyménée
    Participant

    Bonsoir,

    En parlant d’abandon de soi et d’homosexualité : j’aime aussi me baigner dans le fantasme lesbien. Je dis fantasme, parce que cela restera un fantasme. Je ne le vivrai jamais. Quoique …

    Il m’arrive en pleine fournaise, de faire s’aimer cette femme image-fantasme avec cette femme sacrée que j’incarne alors corporellement.

    Une espèce d’expérience ultime parmi d’autres, où le masculin n’est plus, s’est dissous, et où le couple pénétrant / pénétré se conjugue au féminin.

    Vous l’avez compris : la mécanique est toujours la même : visiter ses fantasmes et s’en aider pour dissoudre ce complexe MOI réducteur de plaisir.

    L’idée est de se baigner entièrement nu dans le principe féminin, de l’habiter totalement. Le principe féminin est vaste, et ne cesse de m’étonner par son évidence incontrôlable.

    Je suis en fait très excité à l’idée de le pénétrer, en incarnant deux lesbiennes : l’une, mon corps accueillant, et l’autre, mon esprit pénétrant (c’est une façon vraiment très approximative de transmettre l’expérience. En réalité, cela ne se vit pas de façon aussi tranchée, car tout est fournaise. Tout devient fusion).

    Regardez deux lesbiennes se faire l’amour : Quelle beauté !

    Mais si je m’observe, moi, alors que je contemple la scène, je réalise que mon désir est de pénétrer ces femmes, moi, homme. Elles m’excitent. C’est automatique : je les veux.

    Avec l’aneros, l’exercice est plus délicat : le décentrement de soi peut se vivre avec force d’évidence une fois qu’on y est, même s’il n’est pas évident de l’atteindre.

    Imaginez-vous ainsi : alors que l’aneros est désormais vibrant en vous, que le corps s’est relaché, vous êtes devenu féminin. Vous accueillez votre amant.

    Décentrez-vous légérement, et fantasmez (comme vous le pouvez 😀 mais en fait, c’est pas si compliqué 😀 ), que l’amant devient maîtresse. Vous savez, cette maitresse, cette femme idéale dont vous avez construit l’essence en vous tout au long de ces dernières années : ses cheveux (parfaits), ses doigts (parfaits), ses caresses (parfaites), son souffle (parfait), sa peau (parfaite), son sourire (sublime), ses soupirs, ses baisers, sa langue …

    Ainsi, vous, corps glorieux féminin, vous êtes offrande à la plus envouante des femmes, que vous attendiez depuis la nuit des temps, que vous désirez depuis le premier regard, et qui est là maintenant à vos côtés, nue, chaude comme vous l’êtes, qui se darde de vous, vous cajole, vous aime comme vous l’aimez, et vous baise désormais.

    Tendresse de l’aneros dans vos entrailles, fais ton ouvrage

    #11082

    En réponse à: Orgasme du Coccyx

    Hyménée
    Participant

    Tenez : un exemple d’élément extérieur dont je me défais en ce moment : la théorie de Mantak Chia

    Cela faisait quelques années qu’elle trottait dans mon esprit, et que je cherchai à vivre des expériences la validant.

    Dans cette théorie taoïste, il est expliqué que l’énergie sexuelle part du périné, se fraie un chemin vers le coccyx pour remonter jusqu’à la tête, deuxième foyer d’énergie, pour redescendre par le visage, la poitrine, le ventre, jusqu’au périné pour repartir encore. Une boucle de plaisir sans fin, où l’énergie circule en cercle dans tout le corps.

    Autant j’arrive bien à faire monter l’énergie sexuelle jusqu’à la tête, autant je me suis trouvé bien incapable de la redescendre ainsi.

    Lors d’une de mes dernières expériences avec le Vice, j’ai trouvé un nouveau chemin, absolument inattendu :

    C’était la fournaise dans mon bassin. Toutes les chairs étaient en incandescence. Les orgasmes fusaient dans tous les sens. La prostate vibrait comme pas possible. Et puis, je comprends pas pourquoi : un orgasme s’est préparé de très loin. Vous savez : ces orgasmes qui naissent dans la tranquilité, dans l’absence de mouvement, dans l’acceptation totale de l’amant, lorsque vous lui murmurez : “oh oui !”, le corps totalement offert à son ouvrage. Ces orgasmes féminins frémissants, où l’âme et l’esprit communient, où l’intérieur désire et reçoit l’extérieur. L’anima révèlé.

    Le corps s’est totalement relâché, attendant la délivrance … qui est venue 🙂 Plutôt que l’orgasme parte comme à son habitude par le coccyx, il a traversé mon sexe pour remonter par le ventre, pour se finir dans la poitrine trop nouée, mais se dénouant par là-même.

    Chemin totalement inapproprié selon Mantak Chia, ou tel que j’ai compris son enseignement !

    Et pourtant : ce vécu a fait voler en éclat cette théorie qui m’a guidé jusqu’à un certain point. J’ai finalement reconnu qu’elle m’encombrait.

    M’en voilà libéré, délivré

    Et puis, cet orgasme traversant mon sexe a conforté ma confiance dans l’abandon : j’aurais pu éjaculer, mais ce n’est pas ce qui s’est passé : les bienfaits énergétiques sont venus irriguer mon ventre, receptacle au stress environnant.

    Ce sont vraiment des moments de pure Joie, où je suis fille de Joie

    #11071
    Andraneros
    Modérateur

    Nous sommes désormais loin du 1er avril et il redevient possible de répondre sérieusement à une question qui a failli prendre l’eau…

    Inconvénients
    -1) La nature des sessions où l’idée dominante est de lâcher prise fait penser qu’un fauteuil confortable ou un lit sont plus adaptés qu’une baignoire.
    -2) Avoir des convulsions orgasmiques dans l’eau d’une baignoire étroite me paraît être source d’éclaboussures et de bleus.
    -3) Tous les lubrifiants à base d’eau sont interdits parce qu’ils sont solubles dans l’eau. Il faut donc utiliser des lubrifiants huileux de préférence épais.
    -4) Les masseurs vibrants qui ne sont pas rigoureusement étanches sont interdits.
    -5) La durée d’une session de massage prostatique impose que la baignoire soit équipée d’un système de réchauffage de l’eau pour éviter d’avoir à remettre régulièrement de l’eau chaude.

    Avantages
    -1) L’eau chaude est naturellement relaxante et favorise la montée des sensations de plaisir.
    -2) L’immersion efface une partie du poids du corps et peut apporter des variations dans les sensations de plaisir.
    -3) Si la baignoire est équipée d’un système de massage (air ou eau) l’expérience solo peut s’en trouver enrichie.

    La même expérience dans la douche peut être plus facile à gérer à condition de prendre bien soin d’éliminer les risques de glisser.

20 réponses de 1,181 à 1,200 (sur un total de 1,243)