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  • #15864

    En réponse à: Stronic Drei

    Hyménée
    Participant

    D’accord Hector, je comprends mieux:

    Je vais essayer d’être plus explicite :
    Pour moi, il est important de ne pas tenir/bloquer la partie externe du toy car l’effet est plus intense à se moment là. Cela se ressent aussi très bien si l’on prend les deux extrémités du jouet dans les mains ou une seule. La différence est nette, les pulsations sont plus faible lorsque l’on tient les deux extrémités du jouet.

    C’est vrai 🙂

    Cela me donne l’impression à l’utilisation que ce n’est pas la partie en silicone du jouet qui bouge mais le mécanisme à l’intérieur. J’ai l’impression que celui ci se rétracte dans le manche et puis repart de toute ses forces dans notre intimité.

    Ca, par contre, j’ai pas capté. Je tacherai la prochaine fois d’être plus attentif. C’est sûr, vous êtes dans le juste, et j’ai toujours pas compris comment utiliser pleinement cet engin. Ca va venir. Merci de me guider là où il faut, Hector. 🙂

    Par soucis de facilité d’entretien je ne compte pas l’utiliser sans préservatifs comme la majorité de mes jouets (sauf les anéros plastique/métal et le rosebud en gros).

    Alors, ça vous m’étonnez : le jouet est totalement submersible, alors il suffit de le passer à l’eau savonneuse et le tour est joué. C’est ce que je fais.

    Pour la lubrification j’étais en fait sur un mix lubrifiant à eau et lubrifiant silicone.

    Cela justifie le préservatif, c’est sûr. En ce qui me concerne, j’utilise toujours un mix gel à eau Toko Bio / crème émoliente. Ca marche très bien.

    Ah si ! Cet engin m’a amené à ajouter un nouvel élément au mix lubrifiant. A la réflexion, c’est quand même un peu bizarre, mais bon, vous me direz si ça l’est vraiment. Je dois trouver cela bizarre, car c’est venu sans que je ne le veuille vraiment, alors que j’étais en mode pilotage automatique, le corps et l’esprit totalement pris par les supers O’.

    En mode analyse comme je puis l’être en vous écrivant ce soir, je trouve cela assez sale, pas franchement moi, mais bon … c’est moi. 🙂

    D’ailleurs, à la relecture de mes messages sur nxpl, je peux dire quand cette idée saugrenue a germé :

    Lors de ma dernière séance, l’envie me tenait tellement le corps et l’esprit, que je me suis surpris à engloutir l’aneros jusqu’à la gorge. Je ne sais pas ce qui m’a poussé à faire cela.

    http://www.nouveauxplaisirs.fr/forums/topic/lenvie-de-se-sentir-pleine-lenvie-detre-remplie#post-15017

    Maintenant, j’ajoute de la salive au mix lubrifiant, et c’est franchement bien mieux. Je vous recommande la pratique. Par contre, je ne porte pas les jouets à la bouche, mais je crache à distance : j’arrive pas à avoir ce degré d’inconscience face à la menace bactérienne. 😉

    Je n’ai en tout cas pas sentie les bosses du jouet, peut être avec une utilisation manuelle cela changerait il, mais je n’en sens pas le besoin avec ce jouet pour le moment. Je pense cependant l’essayer dans le cadre d’une utilisation 100% manuelle à un moment ou un autre, je mettrais les commentaires à la suite si il y a lieu.

    Merci 🙂

    Je me souviens de pourquoi j’ai vite éliminé le zwei, 4.4cm de diamètre, c’est trop pour moi (ou alors il me faudrait une excellente détente et une très bonne préparation ce que je ne prend pas souvent la peine de faire.)

    Et pourtant, la préparatifs changent tout à l’explosion finale : mes meilleures séances sont celles qui commencent avant même toute action : le désir m’a déjà retourné les entrailles, le ventre est plein de papillons, quelques mini o’ m’ont écarté les doigts de pieds en éventail, et mon mental n’est plus qu’aux ordres d’un seul mantra : “j’ai envie de me faire baiser.” Alors là, je vous dis pas … non seulement la séance tout du long est un rare délice, mais sa résolution va se trouver à ses origines : au delà de toute action.

    Ca ne se produit pas à chaque fois, car c’est très dépendant du contexte dans lequel je me trouve.

    L’alpha et l’omega réconciliés. La béatitude. Et l’orgasme final dure, dure, dure après l’éjac’ au point où je me demande toujours si je ne vais pas trouver les ressources pour dépasser la période réfractaire. Et puis non. Toujours pas.

    Pour revenir au Drei, vous m’intriguez Hector. Je vous suis très reconnaissant de nous partager ici vos découvertes. Merci 🙂

    #15863

    En réponse à: Stronic Drei

    hector
    Participant

    Bonjour @Hyménée

    C’est votre retour d’expérience avec le zwei qui m’a fait passer le pas et acheter le drei qui m’attirait depuis longtemps 😉

    Pour ce qui est des sensations, j’ai l’impression que c’est la partie externe du toy qui s’éloigne et revient en force nous pénétrer, la partie interne restant quand à elle plutôt immobile

    Alors ça, je crois pas, ou j’ai pas saisi ce que vous avez voulu dire.

    Je vais essayer d’être plus explicite :
    Pour moi, il est important de ne pas tenir/bloquer la partie externe du toy car l’effet est plus intense à se moment là. Cela se ressent aussi très bien si l’on prend les deux extrémités du jouet dans les mains ou une seule. La différence est nette, les pulsations sont plus faible lorsque l’on tient les deux extrémités du jouet.
    Cela me donne l’impression à l’utilisation que ce n’est pas la partie en silicone du jouet qui bouge mais le mécanisme à l’intérieur. J’ai l’impression que celui ci se rétracte dans le manche et puis repart de toute ses forces dans notre intimité. C’est alors que le poids du jouet est prend son sens car c’est alors qu’il permet de générer cette énergie qui va venir nous secouer.

    Sinon, Hector, avez-vous essayé avec un lubrifiant à eau et sans préservatif ?

    Je l’ai reçu hier et testé une seule fois pour le moment. Par soucis de facilité d’entretien je ne compte pas l’utiliser sans préservatifs comme la majorité de mes jouets (sauf les anéros plastique/métal et le rosebud en gros). Pour la lubrification j’étais en fait sur un mix lubrifiant à eau et lubrifiant silicone.
    Je n’ai en tout cas pas sentie les bosses du jouet, peut être avec une utilisation manuelle cela changerait il, mais je n’en sens pas le besoin avec ce jouet pour le moment. Je pense cependant l’essayer dans le cadre d’une utilisation 100% manuelle à un moment ou un autre, je mettrais les commentaires à la suite si il y a lieu.

    — édit —
    Je me souvient de pourquoi j’ai vite éliminé le zwei, 4.4cm de diamètre, c’est trop pour moi (ou alors il me faudrait une excellente détente et une très bonne préparation ce que je ne prend pas souvent la peine de faire.)

    #15862

    En réponse à: Stronic Drei

    Hyménée
    Participant

    Bonsoir Hector et merci pour ce retour précis ! Pour tout dire, je suis tenté par le Drei depuis quelques semaines, car je reste interrogatif quant au Zwei que je pratique depuis quelques mois maintenant.

    Je sens bien qu’il me fait passer un cap, mais j’ai peine à discerner ce qu’il apporte précisement.

    Le Zwei a été conçu pour un usage anal certes, mais son diamètre est un poil trop large. J’aimerais bien comparer les sensations avec le Drei, pour voir ce que fait un pulsateur un peu moins imposant.

    La forme du Drei me fait aujourd’hui plus fantasmer que celle du Zwei.

    Le toy reste globalement en place sauf quand les vagues de plaisir et surtout les contractions de plaisir arrivent.

    Avantage au Zwei qui reste bien en place, mais les sensations d’écartelement sont difficiles à négocier. J’ai eu beaucoup de peine, car c’est **très** intense, et pas forcément ce que je cherchai. Mais en jouant avec et en laissant courir ses fantasmes, on finit par laisser épanouir de nouvelles sensations voluptueuses … mais pas vraiment connectés aux orgasmes prostatiques. Pour l’instant, j’ai pas trouvé la liaison.

    Pour ce qui est des sensations, j’ai l’impression que c’est la partie externe du toy qui s’éloigne et revient en force nous pénétrer, la partie interne restant quand à elle plutôt immobile.

    Alors ça, je crois pas, ou j’ai pas saisi ce que vous avez voulu dire.

    Cependant l’énergie de ce mouvement se ressent dans les chaires et c’est assez impressionnant. J’ai vraiment aimer cette sensation. Les différents rythmes sont sympa et permette de jouer avec notre désir 😉

    Oui, c’est épatant 🙂 et encore plus après quelques séances. Le va-et-vient est impitoyable, et on finit par prendre confiance dans cette mécanique imperturbable. Y’a un côté fucking machines pas désagréable, sans l’amplitude bien sûr.

    La lourdeur du jouet joue aussi beaucoup sur son efficacité, je trouve. Ca donne quelque chose d’imposant tant en volume qu’en poids.

    La stimulation au niveau des sphincters est très agréable, après quelques contractions de plaisir, le toy ressort un peut, la prostate se trouve alors mieux stimulée,ce n’est plus seulement l’intensité du mouvement la secoue et le mouvement « rotatif » qui fini tout doucement est alors exquis. Cependant, la longueur du toy ne le rend pas idéal pour la stimulation de la prostate (à voir si ça change avec l’expérience), et je me demande si je n’aurais pas du prendre un zwei.

    Bonne question 🙂

    Ce que je trouve assez fascinant dans le Drei, ce sont les renflements de tout son long : ça doit être assez exceptionnel de les sentir glisser en soi. Ca doit faire comme un chapelet. Enfin, c’est ce que j’imagine.

    Et donc, j’ai l’impression que le Drei est plutôt fait pour l’action, c’est-à-dire que son mouvement de va-et-vient naturel se doit d’être accompagné par un geste de la main, sans que ce soit la volonté qui ordonne. Juste la nécessité.

    Alors que le Zwei me parait avoir été conçu, tel un gros pépère qui trouve sa place soit après la première bosse introduite, soit après la deuxième. Ensuite, il “suffirait” de laisser les vas-et-vients internes faire leur ouvrage. Disons que je comprends le Zwei comme un aneros, qui est fait pour agir seul sans manipulation.

    Pour ma part (de plaisir), je ne peux m’empêcher de me fourager comme si j’utilisais un Drei. Ca vient tout seul, mais sans savoir pourquoi, cela ne me parait pas adapté : est-ce parce que je n’ai pas encore apprivoisé l’engin, ou est-ce que ce n’est pas le bon ?

    J’aimerais bien faire la jonction entre les super o’ prostatiques et ce que le Zwei m’apporte de neuf. Je fantasme le jour où j’arriverai à faire rentrer ces chairs dans la danse des spasmes anérosiens. Ca va être un truc incroyable à vivre 🙂

    Sinon, Hector, avez-vous essayé avec un lubrifiant à eau et sans préservatif ?

    #15859

    En réponse à: Stronic Drei

    hector
    Participant

    Bon, j’ai craqué et je l’ai commandé non sans avant être tomber sur un site anglophone qui disait qu’il commençait à un peut moins de 4cm de diamètre pour finir à un peut plus.
    Et ça soit être le cas, le début est souple, et plus fin que le milieu lui même plus fin que la fin de la partie insérable.
    Le début du toy est dans un silicone agréable au touché (à l’utilisation je l’ai couvert d’un préservatif afin de ne pas avoir de problème avec un lubrifiant au silicone donc je ne sais pas si il reste autant agréable) puis le silicone recouvre le mécanisme qui lui est rigide et dont le diamètre est régulier.
    La fin de la partie insérable d’élargie de manière à éviter toute insertion totale.
    Je n’ai pas de problème avec la réception d’un share en générale pourvu que je sois suffisamment excité/préparé. Je n’ai pas eu de problème avec ce stronic drei, mais j’étais bien excité à la réception.

    Je l’ai donc essayé et grand bien m’en a fait, j’ai joué avec les différentes intensités qu’il propose pendant au moins une grosse demi heure. Le toy reste globalement en place sauf quand les vagues de plaisir et surtout les contractions de plaisir arrivent.

    Pour ce qui est des sensations, j’ai l’impression que c’est la partie externe du toy qui s’éloigne et revient en force nous pénétrer, la partie interne restant quand à elle plutôt immobile. Cependant l’énergie de ce mouvement se ressent dans les chaires et c’est assez impressionnant. J’ai vraiment aimer cette sensation. Les différents rythmes sont sympa et permette de jouer avec notre désir 😉

    La stimulation au niveau des sphincters est très agréable, après quelques contractions de plaisir, le toy ressort un peut, la prostate se trouve alors mieux stimulée,ce n’est plus seulement l’intensité du mouvement la secoue et le mouvement “rotatif” qui fini tout doucement est alors exquis. Cependant, la longueur du toy ne le rend pas idéal pour la stimulation de la prostate (à voir si ça change avec l’expérience), et je me demande si je n’aurais pas du prendre un zwei.

    Il n’en reste pas moins que ce stronic dry est assez épatant et très agréable. A mon avis, il ne faut pas bloquer la partie externe car c’est son mouvement qui fait tout l’effet de ce jouet.
    Les meilleurs positions sont sur le ventre et sur le coté à mon avis, jambes serrées. Sur le dos, je trouve que le toy à plus tendance à sortir.

    #15008
    Hyménée
    Participant

    Bonsoir,

    Je vais prendre ce soir pas mal de temps, pour vous écrire. Il se trouve que je suis en pleine exploration en ce début d’année, et j’aimerais partager cela. Il me semble que je dois à @Songe de livrer tout cela ici ce soir. Ce que tu écris résonne en moi. Merci

    Cela fait maintenant quelque temps que j’enchaine Super O’ sur Super O’, grâce à l’aneros Vice. J’ai fini par connaitre mon corps par coeur, et à force de rewiring (déconnexion/reconnexion des nerfs des zones érogènes), j’en suis arrivé finalement à oublier ma condition déterminée d’homme, et à avoir mis la lumière sur mon vagin 🙂

    Cela peut paraitre assez fou de l’extérieur, mais à force d’observation du sexe féminin, de sa capacité à orgasmer, à accueillir, à s’épanouir, à force d’exploration tactile sur mon corps, j’en suis arrivé à la conclusion que je ressens la même chose. C’est sûrement ce que doit vivre quelqu’un qui tombe aveugle : à force d’écouter et toucher, il finit par visualiser à nouveau l’espace, et trouver son autonomie. Infinie capacité et plasticité du cerveau humain !

    Pour aller plus loin, et sûrement rejoindre @Songe dans son interrogation sur ses désirs de double pénétrations, à force d’observer ces femmes ayant des orgasmes puissants tant vaginaux que par voie anale, des capacités de squirts tant par stimulations vaginales qu’anales, j’en suis arrivé à la conclusion que tout cela était pareil, et servait une seule cause : l’incontrôle, le lâcher prise, l’éclate.

    Autant il doit y avoir des différences physiologiques, autant le vécu intérieur est le même : on a envie de se sentir rempli(e), pris par l’altérité, envie de perdre les pédales pour de vrai, de s’abandonner pour de vrai, de sombrer dans une transe libératrice.

    Tout cela, je le vis grâce à l’aneros, et de nouveaux désirs ont montré le bout de leur nez. J’ai eu envie d’aller plus loin.

    En ce début d’année, j’ai voulu passer à l’acte, et ai trouvé l’inspiration dans les tests de sextoys sur NXPL (merci encore Adam 🙂 )

    J’ai finalement jeté mon dévolu sur le Duke car la promesse de Fun Factory était d’éprouver la sensation de plénitude (fullness), mais aussi sur le pulsateur Stronic Zwei.

    Nous y voilà : comme j’ai pu le raconter dans le fil de discussion dédié aux vibrations anérosiennes, il me faut créer un climax avant de pouvoir profiter des bienfaits de ces jouets très puissants.

    En fait, tout simplement, l’aneros Vice me sert de préliminaires :D, et me prépare les chaires, les nerfs, l’esprit, la conscience, pour m’aventurer dans une expérience plus profonde.

    En tous points : sacrée.

    Je comprends bien maintenant cette folie féminine, ce désir d’accueillir un oblong.

    Il y a je crois, deux façons de se sentir rempli(e?) :

    D’abord le frottement mécanique et la sensation d’écartelement des chaires. Le pulsateur est parfait pour cela. Enfin … j’imagine qu’un amant au sexe adapté l’est encore plus ! 😀 Mais j’ai pas envie d’être pris par un homme. Alors, le pulsateur est parfait pour moi.

    De mon vécu intérieur en état de transe, totalement habité par la trace de ces sourires illuminés qui se font entreprendre l’arrière-train, j’y trouve une certaine lutte pour l’orgasme : il faut se faire frotter, malaxer pour que le brasier survienne.

    Et puis de l’autre, l’extase qui explose sans crier gare au coeur des entrailles et qui laboure le corps par propagation. Le Duke est peut-être meilleur que le Vice pour ce travail, car il arrive à exciter le fond de l’intimité en constante contraction. Le sphincter du fond sort de sa tétanie, et … comment dire … fiou ! 🙂

    Les conséquences sur l’orgasme sont assez importantes. Pour l’instant, je donne une prime à l’extase plutôt que l’écartelement. Et c’est assez étrange, car c’est finalement le sextoy le plus fin qui donne la sensation d’être rempli la plus probante.

    Mais les deux fournissent cette certitude d’être dépossédé de soi-même, d’être hors de soi par l’action d’un autre. Et c’est pas forcément évident à vivre pour un homme. Certes, la pipe peut donner ce sentiment, mais je sais pas comment dire : l’orgasme s’envole sans qu’il soit la conséquence d’un réflexe attendu et follement désiré.

    Je ne sais si un vagin fournit les mêmes sensations, mais j’ose le croire : contrairement à l’anus, il n’y a pas ce sphincter dominant en entrée de course. En cela, les orgasmes profonds doivent se rapprocher des orgasmes prostatiques. Les frottements d’un braquemart doivent courir sur l’intériorité en son entier.

    En fait, le fait d’explorer les bénéfices de ces deux nouveaux sextoys, me font réfléchir aux origines de ces orgasmes qui me parcourent le corps.

    En vous écrivant, je me demande si tout simplement, l’envie de me sentir écartelé ne joue pas sur certains nerfs sympathiquement connectés au fantasme plus qu’excitant que je me fais d’être pris, plutôt que l’envie de me sentir rempli. Pour dire les choses autrement, j’ai l’impression que le pulsateur m’arrache des orgasmes transgressifs (être pris comme une femme accueillante et désireuse d’être prise – comme une femme qui aime la bite et se fait fourager – ce qui n’est pas désagréable), alors que l’aneros Vice et le Duke me fournissent des extases irresistibles et douces à m’en cramer l’ego.

    J’ai jalousé depuis mon adolescence les femmes fatales. J’aurais aimé naitre femme au pouvoir attractif absolu. Oser en incarner une par fantasme, est étrangement transgressif : cela me fait sortir du jeu de la fascination/répulsion. Bon bref !

    Le pulsateur me semble fournir des orgasmes par résistance et écartelement, alors que le Vice et le Duke m’amènent à une réconciliation intérieure.

    En terme d’éjaculation, la différence aujourd’hui est assez cinglante :

    en mode “orgasmes profonds”, je laisse mes Super O’ déclencher l’éjaculation comme et quand ils le souhaitent, telle une femme fontaine se surprend à exploser de partout.

    en mode “pilonnage viril”, je ne peux m’empêcher de me finir en me branlant, ce que je trouve décevant, même si c’est quand même très bien. Disons plutôt que j’y vois là une marge de progression. Cela pourrait aller plus loin. D’ailleurs, en écrivant cela, je me rappelle que je suis passé par là avant qu’un aneros ne me fasse vivre un super O’ incontrôlé. Faut pas trop impatient. Cela vient quand le corps et l’esprit sont mûrs pour le vivre 🙂

    Voilà. J’ai l’intuition d’avoir trouvé le début d’un nouveau sentier de plaisirs pas du tout balisé. Il a peut-être à voir avec celui des femmes, guidées par ce désir furieux d’être introduites. Si une main douce pouvait tapoter son clavier pour converser à ce sujet, j’en serai ravi. Après tout, un forum de discussion sert à cela.

    Bonne nuit

    #13629
    Andraneros
    Modérateur

    Je rebondis sur cette réflexion à la fois très sensible et très juste faite par dadou en commentaire du test du pulsateur Stronic Zwei de Fun Factory.

    L’aneros hélix me rebute un peu car il faut apparemment beaucoup de temps pour arrivé à ses fins. je recherche du plaisir même si se n’est pas le grand ô.mais tout de même de bonnes sensations

    Il est vrai que l’usage des masseurs prostatiques peut demander un apprentissage long, très long voire trop long. Existe-t-il des systèmes presse-bouton qui fassent basculer facilement et à coup sûr tous leurs utilisateurs dans des orgasmes aussi intenses, aussi interminables et aussi nombreux que ce qu’ils demandent ? Il me semble à la lecture de ce site et d’autres que ce ne soit pas encore le cas. Si je me trompe qu’on me le dise.

    La recherche du plaisir fait partie de la personnalité humaine. La difficulté éventuelle pour accéder au Super O’ ne doit conduire à aucune forme de renoncement à cette quête ni interdire aucune expérience tant qu’elle reste respectueuse de la santé physique et morale. Chacun est différent ; chacun peut donc accéder à des plaisirs plus intenses que ce qu’il ou elle connaît en suivant sa propre voie. En conséquence les moyens et les règles qui sont présentées sur ce site et dans ce forum ne valent que par la somme d’expériences qu’ils résument. Ils représentent ce qui apporte les meilleurs résultats au plus grand nombre mais non à tout le monde.

    Dadou votre impatience naturelle, qui rejoint celle exprimée par d’autres membres de notre communauté, est normale mais ne doit pas vous écarter de cette logique d’apprentissage. Il sera peut-être aussi bref pour vous que pour certains utilisateurs qui basculent dans les orgasmes prostatiques en quelques sessions. Si votre apprentissage se révèle un peu ou beaucoup plus long rien ne vous empêche de faire des expériences si vous prenez soin de bien les séparer de vos sessions « normales » et de rester à l’écoute de votre corps. Dans ce cas vous enrichirez la perception de vos sensations internes ce qui ne peut qu’accélérer vos progrès.

    L’orgasme naturel est le résultat de l’interaction entre un réflexe physiologique et une programmation psycho-sociale. Vos progrès seront d’autant plus importants que vous accepterez l’idée d’apprendre à modifier ce réflexe et cette programmation. J’espère, Dadou , que vous viendrez vite en parler avec nous et nous faire part de votre expérience.

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