20 sujets de 1 à 20 (sur un total de 81)
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  • #29839
    SophiAir
    Participant

    Bonjour à tous les heureux utilisateurs d’un Aneros,
    j’ai personnellement commencé mon expérience avec un Aneros classique pendant quelques mois, avec beaucoup de longues interruptions entre chaque session. Je sentais de réelles stimulations, j’étais sujet à de grosses contractions musculaires et des tremblements, voire convulsions que je n’arrivais pas à maîtriser. Les sensations augmentant au cours des sessions, mais ressentant toujours une petite frustration, j’ai essayé l’Eupho.
    Dans le même temps, j’ai changé ma pratique. J’ai tenté de ne plus chercher la jouissance à tout prix. Je me suis concentré sur ma respiration et j’ai laissé faire. Petit à petit, le temps de réaction entre le moment de l’introduction de l’Eupho dans mon anus et les premières sensations s’est considérablement réduit. Aujourd’hui, dans les 10 mn, les premières sensations apparaissent, et montent rapidement jusqu’à des paroxysmes bluffants. J’ai parfois même l’impression de « sortir » de mon corps, ou plutôt de décoller de mon corps. Ma respiration s’accélère, les contractions sont maintenant uniquement en interne, dans toute la zone du périnée, et l’Eupho vit sa propre vie… En général, des fourmillements commencent à se faire ressentir dans la région du périnée, s’étendent au scortum, à l’anus, se répandent ensuite sur toute la largeur du bassin. Puis, la sensation de chaleur et « d’électricité » s’élargit, et se généralise. Mon pénis est parfois en érection, avec une forte sensation du gonflement du gland, mais pas tout le temps. Il reste parfois complètement inerte. En revanche, mes testicules sont souvent pris de mouvement de yoyo.
    Il y a des moments de redescente et de calme (heureusement), qui me permettent de reprendre mon souffle, puis tout redémarre sans que je n’ai rien eu à y faire. C’est fantastique. Jusqu’à aujourd’hui, je ne suis allé plus loin que des sessions de 2 heures, avec plusieurs orgasmes prostatiques, ou ce que je pense être des orgasmes prostatiques. Et entre, plein de pics de plaisirs.
    A côté de cette pratique est apparu un phénomène génial. En prenant conscience de cette zone de plaisir inconnue jusqu’alors, j’arrive maintenant à avoir d’excellentes sensations SANS Aneros. Quel que soit l’endroit, dans le métro, en voiture (passager), en regardant la TV…, je calme ma respiration, je détend complétement mon abdomen, et un phénomène équivalent à ma description au-dessus commence, en beaucoup moins fort, mais néanmoins très intense. Très vite des contractions de l’anus, du rectum et d’une petite zone tout en bas des abdos entrent en jeu et se succèdent, comme des massages internes de ma prostate avec toujours des petits fourmillements dans toute la zone. Je n’ai pas encore testé pendant des réunions de travail, mais ça risquerait d’être drôle, à condition de ne pas être perceptible…
    Voilà ! Je voulais témoigner de cette magnifique expérience, que je compte bien continuer à approfondir. Et surtout encourager tous les pratiquants. Détendez-vous et laissez-faire. Et ne cherchez pas à jouir. Ca va venir tout seul et façon parfois inattendue et toujours surprenante.
    Bises à tous

    #29853
    Jieffe
    Participant

    Bonjour pcommep

    Et bien je vois que tu n’as eu besoin de personne pour atteindre le plaisir prostatique 🙂
    C’est formidable. Ton enthousiasme et ta joie font plaisir à lire. Merci pour ce témoignage.

    Je relève quelques uns de tes mots qui me paraissent très importants, et qui pourraient aider ceux qui sont toujours en apprentissage:

    Dans le même temps, j’ai changé ma pratique. J’ai tenté de ne plus chercher la jouissance à tout prix. Je me suis concentré sur ma respiration et j’ai laissé faire

    Et ne cherchez pas à jouir. Ca va venir tout seul et façon parfois inattendue

    Merci à toi pour ce partage, et reviens nous raconter la suite de ton cheminement.

    #29875
    bzo
    Participant

    cela fait toujours plaisir de lire le témoignage d’un happy prostateur

    avec masseur, sans masseur, en tout lieu, à toute heure,
    voilà qui est mener son affaire

    et tu as fait tout cela tout seul, petit cachottier, va
    mais tu es là, tu as fini par pondre un message,
    vaut mieux tard que jamais

    #30086
    Andraneros
    Modérateur

    Bonjour @pcommep.
    Grand merci de nous apporter votre témoignage. J’espère que nous aurons l’occasion de lire les conditions dans lesquelles vous avez découvert cette forme de plaisir et les étapes qui ont marqué votre apprentissage et votre premièe expérience de l’orgasme prostatique.

    Bon cheminement @pcommep.

    #30408
    SophiAir
    Participant

    Je copie un commentaire que j’ai écrit sur le forum de ch313, afin d’enrichir mon forum de cette nouvelle expérience :
    Quel plaisir de lire ce forum ch313 !
    J’ai expliqué dans un forum « Ca marche » mon expérience du massage prostatique avec simulateur, et la découverte que le plaisir prostatique peut exister également SANS simulateur.
    Mais effectivement, une des plus belles découvertes, depuis, c’est cette sensation d’être doté d’un vagin, d’être une personne qui s’ouvre et qui accueille en soi. Très étrange sensation de devenir une femme pendant ces « voyages ». Et le travail du cerveau qui fait ressentir la pénétration d’un pénis, comme si les contractions accompagnaient, ou formaient ce pénis pénétrant. Le va-et-vient de ce pénis en moi jusqu’à son éjaculation, qui correspond à mon plaisir interne.
    Moi non plus, je n’ai plus d’érection durant ces expériences. Et pendant la journée, au bureau, ou n’importe où, si je suis assis(e), mes cuisses peuvent se resserrer et se frotter l’une à l’autre, provoquant des ondes de chaleur, et des début de contractions dans mon abdomen, en même temps qu’une sensation d’ouverture de… je ne sais quoi sous mon scrotum. Parfois, l’impression, qu’effectivement des lèvres se forment et que mon vagin se creuse.
    En écrivant ces lignes, je me demande si je reste sain d’esprit tellement cela me semble étrange.
    J’ai hâte de continuer à vous lire, et à trouver d’autres expériences « féminines » comme celles que je vis maintenant.
    L’Aneros, en fait, a été un magnifique déclencheur vers quelque chose d’autre, de plus profond, plus interne. Et oui, même si je suis indubitablement un homme, je me sens tellement femme dans ces moments-là.
    Merci à toutes et tous.

    #30409
    bzo
    Participant

    hé hé
    tu devrais jeter un coup d’oeil à mon fil, à mon journal,
    cela devrait t’être très familier

    cela me fait grand plaisir de te lire,
    certains par ici pourrait croire que je me suis inscrit sous un autre pseudo pour écrire ces lignes au-dessus,
    ce n’est pas le cas

    je suis très heureux de lire sous la plume de quelqu’un d’autre
    qu’il vit quelque chose de très similaire à ce que je vis

    au plaisir de lire plus en détails ton expérience,
    cela m’intéresse au plus haut point

    #30471
    Andraneros
    Modérateur

    Vous nous dites le 11 septembre :

    En écrivant ces lignes, je me demande si je reste sain d’esprit tellement cela me semble étrange.

    Je pense que vous n’êtes pas le seul. Je pense que tous nos amis dont le cheminement vers l’orgasme prostatique est très avancé se sont posé la même question ou se la posent peut-être même encore. Un cheminement réussi nous fait découvrir et encore mieux vivre notre intériorité, alors que notre éducation nous limite à notre extériorité.
    Selon notre psychologie et nos fantasmes cette découverte prend des formes très différentes mais toutes riches et gratifiantes.

    L’Aneros, en fait, a été un magnifique déclencheur vers quelque chose d’autre, de plus profond, plus interne. Et oui, même si je suis indubitablement un homme, je me sens tellement femme dans ces moments-là.

    Même si, en ce qui me concerne, je ne me sens pas (encore ?) femme je partage votre émotion.

    Bon cheminement @pcommep.

    #30473
    SophiAir
    Participant

    Bonjour toutes et tous,
    une petite précision concernant le fait de se sentir femme.
    Je suis homosexuel et lorsque mon compagnon me fait l’amour, qu’il me pénètre je ne ressens pas du tout la même chose. Dans ce cas, je me sens homme, pris et comblé par un homme. Le plaisir est intense, mais pas de même nature. J’utilise bien mon anus, et je n’ai pas de doute là-dessus (ce serait difficile de ne pas s’en rendre compte ;)). Ca renforce l’étrangeté de mes nouvelles sensations.
    Après cela, il faut que je vous raconte ce qui m’est arrivé ce matin.
    Vers 6h, mon ami se retourne et se place en cuillère dans mon dos. Ça m’éveille légèrement, je sens la chaleur de son sexe contre mes fesses, de son ventre contre mon dos, et là, sans rien vouloir provoquer, ma respiration s’accélère, l’électricité envahit mon bassin, et pendant une heure, jusqu’à ce que mon réveil sonne, j’ai eu des vagues merveilleuses de plaisir. Parfois douces et “mouvantes”, je ne sais pas comment dire, comme si elles se déplaçaient à travers et autour de mon corps, et parfois intenses et violentes, “spasmiques”, dans mon abdomen, et avec de nouveau, cette claire (ou trouble) sensation de cette vulve qui se forme et qui est pénétrée. Et tout cela en faisant tout pour ne pas réveiller mon compagnon.
    En vous décrivant la scène, mes cuisses se croisent, et il faut que je me contrôle… je suis au bureau !
    Bref, mon réveil sonne, je me lève avec une pêche fantastique (vive les énergies). Avec toujours des petits fourmillements dans le ventre (les fameux papillons ?). Je prépare mon petit déj, m’installe sur le balcon. Et là, à peine assis, bam, une nouvelle vague s’empare de moi. J’en ai presque lâché ma tasse, et réfréner un petit cri. Je pose ma tasse, et je laisse mon corps s’exprimer. Je suis tout(e) retourné(e). Vague après vague, toujours assis(e) sur ma chaise, mes jambes se croisent, se décroisent, mes tétons pointent et j’ai du mal à ne pas me caresser. C’est très fort. Mais progressivement, j’arrive à reprendre le contrôle, je calme ma respiration et termine mon petit déj. Je finis de me préparer et pars prendre le métro.
    Et pour la première fois, le phénomène se reproduit alors que je suis assis dans une rame. Je suis effrayé à l’idée que des personnes se rendent compte de quelque chose. Je ferme les yeux. Après tout, un passager qui dort n’a rien d’exceptionnel, et je cherche à faire en sorte que ma respiration semble régulière. De nouveau, les vagues se succèdent, la femme s’empare de moi. J’ai toujours eu l’habitude de regarder les beaux garçons. Mais ce matin, la vue d’un beau mec est beaucoup plus forte. Il faut refermer les yeux. La claire sensation d’être pris(e). Rester calme. Se laisser aller tout en contrôlant mon aspect. Très difficile, mais apparemment faisable. Même si la femme assise en face de moi a eu un drôle de petit sourire… Est-ce que les “vraies” femmes ont des orgasmes, ou du plaisir comme j’ai pu en avoir ce matin… En tout cas, mon trajet m’a semblé très court et tellement bon.
    Voilà ! Au plaisir de vous lire, et encore merci pour cet espace d’expression. Je ne sais à qui je pourrais raconter ça sinon. Je pense que mon compagnon serait un peu jaloux de ce plaisir sans lui.

    #30475
    SophiAir
    Participant

    Pour répondre au message d’Andraneros du 28/08 :

    Bonjour @pcommep.
    Grand merci de nous apporter votre témoignage. J’espère que nous aurons l’occasion de lire les conditions dans lesquelles vous avez découvert cette forme de plaisir et les étapes qui ont marqué votre apprentissage et votre premièe expérience de l’orgasme prostatique.
    Bon cheminement @pcommep.

    J’ai connu l’existence des simulateurs prostatiques par une blague salace de collègues, sur une vidéo à ce sujet. Il s’agissait d’une émission matinale je crois où un homme parlait du plaisir qu’il en retirait.
    Peut-être parce que je ressentais déjà des petites choses de ce côté-là, j’ai voulu en savoir plus. C’est là que j’ai découvert le site NXPL. J’ai lu le traité Aneros et j’ai acheté l’Hélix fin 2016, dans la foulée. Les premiers essais n’ont pas été concluants, même si ils n’étaient pas vides de légères sensations. Je manquais souvent de temps, et je pense que j’étais aussi trop tendu. Petit à petit, je me suis détendu. Mais sans jamais arrivé à quelques choses de très fort. Mes séances étaient très espacées. Je suis alors passé à l’Eupho, et comme je l’ai écrit dans mon premier post, c’est là que tout a vraiment commencé. J’ai alterné, en revenant de temps en temps à l’Hélix, avec lequel j’ai eu de très belles sensations, même si différentes.
    Récemment, j’ai également acquis un Progasm, mais pour l’instant, il n’a pas été très efficace avec moi, même parfois douloureux.
    Compte tenu du développement et des proportions que prend ma pratique SANS, j’ai laissé mes joyeux compagnons de côté, pour me concentrer sur cette nouvelle pratique.
    Je n’exclue cependant pas un petit retour de temps en temps, histoire de vérifier si de nouvelles sensations pourraient voir le jour, hé hé !
    A très bientôt

    #30477
    bzo
    Participant

    c’est merveilleux, n’est-ce pas ce plaisir prostatique vécu ainsi, vécu au féminin,
    c’est tellement totalement dépaysant, l’impression d’être avec un autre corps
    (vagin, seins, bassin large, chute de reins),
    l’impression d’être avec les sensations d’une femme, les mouvements d’une femme

    c’est mon cas aussi totalement et je dois dire que je ne regrette pas un instant mon évolution,
    cela n’a pas toujours été comme cela,
    la première année, j’avais un plaisir prostatique plus classique,
    tel que décrit habituellement
    mais peu à peu cela a évolué, peu à peu je l’ai fait évoluer
    car j’étais irrésistiblement attiré vers un plaisir au féminin que je sentais en germe en moi
    et que j’ai fait pousser, grandir,
    jusqu’à occuper désormais toute la place durant mes séances

    personnellement je n’ai jamais ces accès quasi incontrôlables,
    cela se déclenche très vite et très fort
    mais uniquement si je me caresse,
    si je fais des contractions qui reproduisent les mouvements d’un pénis en moi,
    d’autres mouvements du corps, principalement le bassin,
    me manipule aussi beaucoup les parties génitales désormais
    mais sans érection,
    tout est directement injecté dans mon plaisir au féminin,
    venant renforcer et enrichir celui-ci

    bien qu’en restant parfaitement immobile, rien qu’avec les contractions,
    je pourrais aussi obtenir un plaisir très intense,
    à tester un jour, au bureau parmi mes collègues
    ou bien dans un bus,
    jusqu’où je peux aller comme cela,
    si je l’essaie chez moi, je suis pris de frissons directement des pieds à la tête
    et je sens des vagues de plaisir se lever en moi

    donc tu n’est pas fou,
    enfin si tu l’es, on est quelques uns à être sous l’emprise de la même douce, rayonnante folie,
    tellement enrichissante, tellement épanouissante

    #30491
    Andraneros
    Modérateur

    Bien qu’unique et tout à fait personnel votre cheminement présente des caractéristiques très souvent présentes dans les témoignages présentés par de nombreux anéronautes :
    • Une découverte faite par hasard
    • Un début un peu laborieux
    • Une accélération (l’Eupho qui remplace l’Helix et changement de l’état d’esprit)
    • Un saut qualitatif significatif avec la découverte progressive des sensations sans masseur (A-less)
    • Une pratique clandestine
    Votre cheminement est magnifique et je suis très heureux de lire votre témoignage. Il n’y a qu’un point qui me chagrine. C’est bien entendu le dernier que j’ai mentionné, votre pratique clandestine. Dans votre situation cela me paraît triplement malheureux parce que : .
    1. D’une part cette clandestinité vous prive du partage des émotions et de la liberté d’exprimer spontanément votre jouissance.
    2. D’autre part votre cheminement vers le super O’ vous transforme et que votre évolution deviendra de plus en plus visible dans l’intimité de vos ébats, ce qui va déséquilibrer vos relations.
    3. Enfin votre compagnon serait en mesure de partager votre découverte et votre évolution en entamant lui aussi son propre cheminement à vos côtés, éventuellement avec votre aide ou vos conseils. En tant qu’homme il est capable de vivre la même expérience à sa manière, à son rythme. (chaque cheminement est unique)
    Bien entendu je ne connais pas votre histoire ; si l’absence de partage et de communauté relative à votre pratique du plaisir prostatique me fait exprimer un regret en me basant sur vos premiers messages, ce n’est en rien un jugement. Votre aventure est si belle que j’aimerais qu’elle soit complète !

    Bon cheminement @pcommep.

    #30492
    SophiAir
    Participant

    Merci beaucoup pour vos messages bzo et andraneros.
    Pour ce qui est de ma relation avec mon partenaire, il sait que j’utilise un aneros. Je lui en ai parlé. J’ai tenté de le convaincre d’essayer, mais il n’est vraiment pas chaud. D’où ma pratique solitaire. Ce qui ne nous empêche pas d’avoir des relations plus classiques.
    Il est vrai qu’il y a des transformations déjà visibles. Même si nous avons des relations d’homme à homme comme j’expliquais dans un post précédent, il est vrai que je me donne encore plus qu’avant, encore plus ouvert. Mais pour le coup je ne mets pas de (e), parce qu’avec lui je me sens homme.
    Si vous connaissez d’autres témoignages de pratiquants se sentant femme dans leurs expériences, je suis preneur. Par curiosité, mais aussi, c’est vrai, pour me rassurer.
    Je vous embrasse

    #30494
    bzo
    Participant

    sur ce forum, il y a moi et @ch313 pour l’instant
    mais d’autres vivant leur plaisir prostatique au féminin
    ont été présents sur ce forum,
    ça va et ça vient

    pourquoi tu sens le besoin encore d’être rassuré?
    qu’est-ce qui t’inquiète dans cette histoire?

    n’est-ce pas délicieux, n’est pas extraordinaire?
    alors pourquoi ne pas en profiter sans appréhension et en se donnant entièrement
    à cette façon si spéciale de se procurer du plaisir

    j’avais qualifié cela dans mon fil à un moment donné
    de changement d’identité sexuelle durant la séance,
    difficile d’imaginer aventure plus radicale,
    exploration en territoire inconnu plus singulière

    c’est une chance rare,
    enfin personnellement je considère cela comme une chance rare
    de pouvoir explorer un pan tellement mystérieux et enfoui de mon être

    avant la naissance,
    au début nous n’avions pas de sexe, nous étions masculin et féminin,
    après on est devenu homme
    mais l’autre part est là encore quelque part enfoui tout au fond de nous,
    parvenir à faire monter cela à la surface,
    vivre une séance à travers ce féminin enfoui au fond de nous,
    jouir à travers elle, ressentir à travers elle,
    c’est donné à peu de personne de pouvoir vivre aventure pareille

    #30501
    SophiAir
    Participant

    Tu as raison bzo. Simplement, c’est tellement nouveau et fort, que cela reste très troublant.
    Peut-être est-ce lié, ce matin, je retente mon helix, et il y a bien une différence. Avec un Aneros dans l’anus, je ne me sens pas femme. Plus proche de l’homme se faisant pénétré. D’ailleurs, ce matin, jouissance très différente, car la séance, après de nombreux tremblements et spasmes, s’est terminée par un spasme énorme, tétanisant, cambré complétement en arrière, jambes tendues, et une éjaculation, alors que je ne bandais pas. Très fort ! Mais moins épanouissant que mes orgasmes de femme.
    Du coup, après déjeuner, je m’installe dans mon canapé, cuisses croisées, et là après 30 secondes, je sens se creuser mon précieux sillon, et un sexe brulant et ferme me pénètre. J’enchaîne les orgasmes. Je me sens humide, remplie. Les va-et-vient de mon étalon sont puissants et profonds. Sa queue élargit les parois de mon vagin, avant de se retirer, et recommencer. Je suis ouverte et les vagues de plaisirs passent les unes par dessus les autres. J’ai arrété pour pouvoir vous écrire. Mais j’y retourne tout de suite. Je vous aime

    #30510
    bzo
    Participant

    Avec un Aneros dans l’anus, je ne me sens pas femme.

    intéressant ce que tu écris,
    ça c’est parce que tu utilises un Aneros classique, à une butée donc
    mais si tu utilisais un Device ou alors si tu es habitué à des joujoux très gros, au Nexus G-Rider,
    tu parviendrais à vivre tes séances avec masseur aussi au féminin

    ils sont deux butées qui permettent d’obtenir des sensations tout à fait différentes,
    ils permettent de reproduire un va et vient en soi,
    d’obtenir une sensation de pénétration, comme si on se faisait baiser

    donc avec ceux-là, le type de mouvements à exécuter,
    c’est d’essayer de reproduire aussi fidèlement que possible
    le mouvement d’un sexe en érection en cours de pénétration
    ainsi, si tu peux aussi vivre tes séances au féminin avec masseur

    #30538
    SophiAir
    Participant

    Salut bzo, et à toute la communauté,
    en fait ce n’est pas une question de taille. C’est vraiment le fait d’avoir un Aneros dans l’anus qui me fait vivre mon plaisir comme un homme. Et je prends beaucoup de plaisir avec mon anus quand mon ami me fait l’amour et me pénètre. Et ces deux types de plaisirs, même si différents, se rejoignent par leur localisation.
    Je ne sais pas si c’est le fruit de notre discussion, mais je vais te raconter ce qui m’est arrivé ce matin.
    Après une nuit agitée, où mon sommeil était entrecoupé de micro-réveils pleins de lascivité, de désir et de plaisirs, la chaleur à l’intérieur des cuisses, les mouvements de “liane” du corps, et de belles sensations de pénétrations par un gros pénis de ma petite chatte, je me réveille à 7 h. Petit déj, toujours à me tortiller sur ma chaise, avec un désir ondulant sur mon corps. Je me maîtrise, termine mon repas. Direction salle de bain, et là nu(e) devant la glace, je cache mes testicules et pénis entre mes cuisses, et un joli petit sillon se forme en bas de mon ventre.
    Je n’y tiens plus. Tant pis si je suis en retard, j’attrape mon Eupho, à peine le temps de le lubrifier et il se retrouve bien au chaud.
    Et c’est là que je reviens au début de notre discussion, car pour la première fois, j’ai eu deux gammes de plaisirs simultanément. Celui procuré par les Aneros, très masculin pour moi, avec les mouvements de l’Eupho, les stimulations diverses et variées, les spasmes intérieurs et les fortes vibrations extérieures, et celui très féminin, où je sens clairement mon vagin s’ouvrir à l’invasion d’un beau braquemard, où je sens un épanouissement invasif de ma jouissance. Ach, c’est vraiment difficile de décrire ces deux sources de plaisir tellement différentes pour moi.
    Toujours est-il que l’Aneros faisant son effet, j’ai réitéré une pratique pour la deuxième fois : ma main droite est venu s’écraser sur mon pubis, et mon majeur a masturbé mon périnée d’un geste hyper rapide, genre marteau-piqueur, mais avec une pression très légère. Et mon sperme s’est écoulé, sans que je bande. Et ça, c’est un truc qui m’arrive quand je me fais prendre, mais sans que j’ai besoin de me masturber. C’est dans ce sens que c’est très masculin.
    Mon plaisir féminin a bien entendu, été stoppé net.
    Cependant, sous la douche, et ensuite dans le métro, quelle merveille d’être envahi(e) de vagues de chaleur, les tétons pointant sous ma chemise. Je me trouvais très désirable. Et je n’étais pas le seul, car il y a eu quelques petits rapprochements insistants de voyageurs, ce qui ne m’arrive pas si souvent. Est-ce que l’on dégagerait des phéromones dans ces moments-là ???
    Bises à tous, et prenez un max de plaisir

    #30561
    Andraneros
    Modérateur

    Tu nous dis le 16 septembre @pcommep :

    je m’installe dans mon canapé, cuisses croisées, et là après 30 secondes, je sens se creuser mon précieux sillon, et un sexe brulant et ferme me pénètre. J’enchaîne les orgasmes. Je me sens humide, remplie. Les va-et-vient de mon étalon sont puissants et profonds. Sa queue élargit les parois de mon vagin, avant de se retirer, et recommencer. Je suis ouverte et les vagues de plaisirs passent les unes par dessus les autres. 

    Tu nous dis hier @pcommep :

    en fait ce n’est pas une question de taille. C’est vraiment le fait d’avoir un Aneros dans l’anus qui me fait vivre mon plaisir comme un homme. Et je prends beaucoup de plaisir avec mon anus quand mon ami me fait l’amour et me pénètre. Et ces deux types de plaisirs, même si différents, se rejoignent par leur localisation.

    Ton propos illustre ce que peut signifier l’affirmation que le principal organe du plaisir sexuel est bien le cerveau.

    Bon cheminement @pcommep.

    #30564
    SophiAir
    Participant

    Bonjour Andraneros, merci de ton message. je suis complètement d’accord. Le principal organe sexuel est certainement le cerveau, encore plus lorsque je me sens femme et sans Aneros.
    Avec un Aneros, il y a une partie mécanique avec les contractions et les différents contacts (anus, rectum, prostate…) qui, comme je le disais, me rapproche de mon plaisir en tant qu’homme avec mon compagnon lors de pénétrations.
    Sans Aneros, la sensation de sentir mon vagin se creuser, de sentir un pénis me pénétrer, sont clairement des “vues de l’esprit”.
    Une petite question concernant ces sessions féminines, il y a toujours deux phénomènes liés :
    – la sensation d’avoir deux flux électriques entre d’une part, mon pénis et mes testicules, et mes cuisses d’autre part, un peu dans la pliure entre pubis et cuisses, en gros ;
    – la sensation d’avoir (j’ai un peu de mal à les situer) des muscles de chaque côté de mon pubis, près de mon bassin, qui m’ouvrent…
    Les deux sensations sont simultanées. Et sont principalement à la base de mes orgasmes féminins.
    As-tu connaissance de quelque chose à ce sujet ?
    Encore merci pour ta lecture si attentive.
    A bientôt

    #30566
    bzo
    Participant

    en fait ce n’est pas une question de taille.

    bien sûr que ce n’est pas une question de taille,
    c’est une question de type de mouvements,
    avec deux butées type g-rider ou device,
    on peut reproduire les mouvements d’une pénétration et ainsi éveiller le féminin,
    je sais de quoi je parle, j’ai pratiqué ainsi pendant des mois
    et pratique toujours d’ailleurs quand je reprends de temps à autre un masseur

    mais en fait je suis tellement mieux en A-less, sans rien donc que mon propre corps

    #30571
    SophiAir
    Participant

    C’est vraiment le fait d’avoir un Aneros dans l’anus qui me fait vivre mon plaisir comme un homme. Et je prends beaucoup de plaisir avec mon anus quand mon ami me fait l’amour et me pénètre. Et ces deux types de plaisirs, même si différents, se rejoignent par leur localisation.

    Bzo, en fait c’est surtout les phrases au-dessus qui étaient importantes dans mon post. Pour moi, la pénétration anale est une pratique masculine que je pratique avec mon compagnon. Par ailleurs, j’ai un Progasm, avec deux butées.
    D’où la différenciation avec mon plaisir féminin qui est beaucoup plus cérébral, puisque mon vagin n’existe pas physiologiquement parlant. Et c’est ce qui était très troublant dans la dernière séance que je décrivais

    Et c’est là que je reviens au début de notre discussion, car pour la première fois, j’ai eu deux gammes de plaisirs simultanément. Celui procuré par les Aneros, très masculin pour moi, avec les mouvements de l’Eupho, les stimulations diverses et variées, les spasmes intérieurs et les fortes vibrations extérieures, et celui très féminin, où je sens clairement mon vagin s’ouvrir à l’invasion d’un beau braquemard, où je sens un épanouissement invasif de ma jouissance.

    Mais comme tu dis, moi aussi, je me sens tellement mieux sans, et tellement plus pénétré profondément.
    A très bientôt

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