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bzo, le il y a 2 années et 7 mois.
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- 24 juin 2020 à 1 h 10 min #37862
bzo
Participantpassé de tellement bons moments au lit,
avec ma nouvelle façon de pratiquer qui se dessine,
je prend mes aises, je m’installe dedans,
mon corps commencent à trouver des nouveaux automatismes,
commence à bien adapter les mouvements, les gestes,
l’immobilité plus présente, tout cela commence à bien s’enchaînercar forcément il y a un chambardement en cours,
les ondes prostatiques en tellement plus grande quantité,
exigent d’autres mouvements, d’autres gestes, d’autres rythmes,
plus de moments d’immobilité ou avec avec peu d’action apparente,
oh cela n’a encore rien à voir avec le fameux “do nothing”
mais comparer à avant, c’est beaucoup plus minimaliste déjàen tout cas, avec cette séance d’une bonne demie heure au lit,
j’ai eu des preuves tangibles que ma pratique va prendre un sérieux tournant,
vers beaucoup plus de prostatique à nouveau,
j’ai connu quelques moments absolument uniques, comme j’en ai encore jamais connus,
assis, m’appuyant sur les bras derrière,
ce fut un tel flux d’ondes qui montait en moi tout de suite depuis mon bassin,
c’était confondant de finesse, de nuances subtiles et changeantes, tout en étant très très puissant,
cela avait la puissance d’un geyser tranquille, harmonieux et sensuel, vers le haut
la contraction provoquait d’abord la sensation de pénétration dans le bassin
mais elle se prolongeait immédiatement vers le haut, monter irrésistiblement en moi,
un flux persistant s’établissait ainsi, soutenu par les contractions,
comme une fontaine publique depuis mon bassin,
je dois dire que j’ai rarement connu des moments aussi délicieux,
c’était tellement ineffable ce flux,
mon mode yin s’est épanoui comme rarement, en quelques instants,
dans ma chair battait un papillon immense aux ailes déployées, chamarrées, luisantesj’ai bien senti aussi les prémices d’orgasmes prostatiques en moi ainsi,
il me faut juste gagner en persistance,
les ondes prostatiques requièrent plus de temps pour bien éclore en tempête, pour bien faire décollermais en tout cas, ces moments assis, ont été uniques,
la pertinence de ma marche présente m’a été démontrée à 100%24 juin 2020 à 11 h 38 min #37868bzo
Participantje suis le plus heureux des hommes pour l’instant,
c’est tellement bon d’avoir quelque chose d’aussi intense, d’aussi riche,
qui permet de s’envoyer en l’air d’une façon aussi totale, à sa portée constamment,
aussi disponible, à tout instant, pour quelques instants ou pour de plus longues période,
assis aux toilettes, au lit, en train de pendre mon linge, cuisant ma viande, les patates,
devant mon ordinateur, etc
enfin partout, partout, partout, à tout heurecela vous change un homme cela, un plaisir comme cela, à sa disposition,
pas juste un plaisir mais une aventure, une exploration de soi-même,
certains ont besoin d’aller jusqu’à dans la jungle ou en haut des montagnes
pour trouver le grand frisson,
moi je l’ai là dans ma chair,
et des territoires inconnus , sans cesse à explorer
et puis cette complicité avec mon corps, cette sensation d’être à l’unisson avec luipour en revenir au temps présent, je suis heureux donc
car en un temps record, je suis en train de réussir à faire faire un sérieux virage à ma pratique,
désormais redevenue essentiellement prostatique
mais malgré cela, les ondes des génitaux sont là aussi
et les deux dialoguent merveilleusement, s’allient splendidement,
j’espérais avec cette découverte, il y a quelque temps, le meilleur des deux mondes,
désormais il est vraiment à ma portée, je commence à y goûterles orgasmes prostatiques se rapprochent, je le sens,
je suis plus statique mais en même temps, le mode liane lascive est toujours là,
plus efficace que jamais, désormais que je l’alterne avec des moments plus immobiles
où je travaille les ondes prostatiques plutôt
mais les amalgames entre les deux types d’ondes apportent une telle richesse complémentaire,
je suis ébloui quand je perçois toutes les nouvelles possibilités et perspectives qui s’ouvrent à moi,
finalement après plus d’un an de pratique essentiellement aneroless,
c’est maintenant seulement que je vais pouvoir commencer à goûter à du plaisir massivement prostatique,
ce que j’avais développé, c’était avant tout grâce aux génitaux,
même si la prostate collaborait aussi intensément
mais là ça va être différent, la prostate redevient le principal moteur
je suis très excité de voir en mode yin la forme ce que ces orgasmes prostatiques vont prendre26 juin 2020 à 8 h 41 min #37890bzo
Participantce matin, une fois n’est pas coutume, je me suis réveillé avant mon réveil,
plutôt que d’essayer de me rendormir encore pour une petite heure,
je me suis payé un peu de bon temps dans la semi-obscuritéd’abord, j’ai remis un peu au point les choses en moi,
me suis fait rappeler par mon corps un des principes de base de ma pratique,
sans doute un peu trop obnubilé par mon envie d’orgasmes prostatiques comme au bon vieux temps,
j’avais un peu perdu de vue que c’est aux ondes prostatiques de se plier, de s’adapter, au mode yin
et non l’inverse,
ainsi l’église a été remise au milieu du village,
j’ai pu reprendre ma progression en avant
et ô boy, comme j’ai passé de moments mémorables, divins, quel enchantement dans ma chair
ce matin, en bougeant moins, comme je le fais depuis quelques jours,
n’étant plus constamment en mode liane lascive, me tordant délicieusement,
l’énergie semblait se concentrer à un point tel,
qu’au bout d’un moment, j’ai commencé à avoir mes premiers orgasmes prostatiquesils se sont installés différemment que dans mon souvenir,
avec moins de fracas, moins explosifs qu’en mode yang
mais néanmoins j’étais bien au centre d’un astre qui explose,
il n’arrêtait plus en fait, à chaque contraction , chaque mise sous tension, cela repartait de plus belle,
la densité d’un soleil qui explose tout autour de moi
et une infinité d’atomes qui semblaient voyager dans tous les sens,
il n’y avait plus de chair, plus de moi, plus de monde, plus rien,
juste cette densité incroyable formée par des trilliards et des trilliards
de petites particules serrées, serrées et virevoltant follement dans toutes les directionsmon réveil m’a tiré de là, comme on saisit quelqu’un par les cheveux
et on se met à le traîner de toutes ses forces contre sa volonté26 juin 2020 à 23 h 48 min #37891bzo
Participantl’interaction entre les deux types d’ondes, génitales et prostatiques
devient de plus en plus incroyable,
générant tellement de nouvelles nuances, de nouveaux coloris, sans cesse,
c’est comme si j’injectais tour à tour de puissants jets, tantôt de l’un, tantôt de l’autre,
il y a un moment, des sensations uniquement génitales ou prostatiques,
puis comme le jet suivant de l’autre type arrive,
il y a un amalgame entre les deux qui se fait
et là, alors plein de trucs sortent du chapeau du magicien dans ma chair,
quand les deux types d’ondes, désormais à jets puissants, précis, se mélangent,
cela donne toutes sortes d’alliages momentanés tellement délicieux à vivreah oui, je voulais des orgasmes prostatiques,
eh bien maintenant j’en ai, oh pas vraiment la même chose
que ceux que j’avais dans le temps, en mode yang,
néanmoins ils sont là, de plus en plus puissants, de plus en plus submergeantcomme ma pratique a pris un nouvel essor, en quelques jours à peine,
maintenant que dans ma pratique aneroless, je peux y injecter autant d’ondes prostatiques que je veux,
c’était déjà le cas avec les ondes génitales,
cela donne tellement de possibilités à chaque instantc’est nouveau pour moi de fonctionner plutôt de manière nettement plus minimaliste,
j’ai l’impression de stocker des énergies, de les compresser au maximum
et puis soudain de les libérer,
cela part de tous les côtés,
cela rebondit dans toutes les directions comme des boules de billard follesplus que jamais je peux faire cela de plus en plus n’importe où
en bougeant à peine par moments ou imperceptiblement,
juste un petit mouvement de balancement langoureux du bassin
que personne ne peut remarquer, ajoutée à une contraction du périnée
et déjà il y a le feu partout en moi,
comme c’est bon tout çà, divinement bon tout çà27 juin 2020 à 9 h 39 min #37893bzo
Participantune chose que les débutants
qui en sont au stade encore où ils ont toutes les peines du monde,
à obtenir la moindre réaction de leur corps,
auront du mal à entendre,
c’est que celui-ci, ne demande que cela,
ne demande qu’à être entraîné hors des sentiers battus, sur des pentes de folie douce,
car son miel favori n’existe pour un instant que dans les dérèglements les plus intimes provoquésau fond, si pour survivre au quotidien,
notre corps a besoin d’être nourri, hydraté, reposé, soigné, entretenu, de mille manières,
dans l’absolu, la seule vraie nourriture qui compte pour elle,
aussi éphémère, aussi fugace, aussi volatile, aussi immatérielle, soit-elle,
c’est celle qui provient de cette source dans nos profondeurs
où l’on peut puiser de bien des manièresy puiser sexuellement, est sans doute une des plus immédiatement à notre portée,
même si le chemin là aussi, sera long et ardu,
et plus particulièrement pour certains
mais hé, rien n’est donné ici bas,
dans la très grande majorité des cas, tout doit se mériter, tout a un prixsortir hors des sentiers battus, notre corps n’attend que cela, donc
car le plaisir pré-formaté, pré-programmé qui nous est proposé comme option de base,
n’occupe qu’un tout petit territoire, qu’une toute petite partie du continent en nousune des clefs pour y arriver, je l’ai déjà évoqué maintes fois,
c’est de parvenir à restreindre ses pensées, son intellect
qui la plupart du temps, sont aux commandes de la machinerie,
enfin plus ou moins, qui essaient en tout cas, tant bien que mal
et de parvenir à penser-agir avec son corps, parvenir à vivre l’instant avec lui,
plongé dans l’action avec celui-ci, vivre une totale complicité avec,
c’est la manière la plus efficace pour explorer les territoires lointains qu’il y a au fond de nousj’ai utilisé le mot restreindre , restreindre ses pensées, son intellect,
c’est les laisser s’éteindre momentanément le plus possible,
il ne s’agit pas de forcer, n’essayez jamais de forcer
mais il s’agit de se laisser envahir, de s’ouvrir, le plus possible,
d’essayer d’écouter son instinct, d’écouter son corps, faire confiance à celui-ci,
de façon à ce que toutes les forces qui sont éveillées en nous,
viennent d’elles-même balayer tout ce qui peut parasiter la communication,
tout ce qui peut polluer le fluxquand nous agissons en conjonction avec notre corps,
quand nous parvenons à nous fusionner à celui-ci,
à être avec celui-ci pleinement dans l’instant,
vivant les gestes, vivant les mouvements, vivant le sang, vivant les organes,
vivant les sensations au plus près, vivant au plus près,
notre tête semble faire partie d’un ensemble, ne plus être séparée de tout le reste
apportant ses moyens, collaborant pleinement, humblement, recevant, donnant,
agissant en parfaite coordination avec tout le reste,
faisant partie de celui-ci, non plus comme poste de commande
mais comme un relais puissantne plus être poste de commande
mais relais puissant au service de tout le reste
sillonné de mille messages, mille stimulations, de toutes parts,
comme un flux, entrant, sortant,
vivre tout le reste comme si on y était,
être son pied, être son bassin, être ses seins, être ses jambes, être son torse,
être ses cheveux, être ses ongles, être son sexe, être son anus, être sa prostate29 juin 2020 à 0 h 06 min #37906bzo
Participantje continue mon apprentissage,
j’arrive désormais à m’installer tranquillement pendant de longues minutes dans un orgasme prostatique,
comme on s’installe dans un nid
mais un nid qui serait dans la bouche d’un volcan en activitéune fois le flux d’ondes prostatiques bien établi dans ma chair,
il s’agit en quelque sorte de le décorer massivement sans cesse d’ondes génitales
sans l’interrompre, sans en perdre le fil
mais lui rajouter toutes sortes de nuances, de colorations
et puis aussi délaisser régulièrement quelques instants le flux prostatique,
passer en full mode liane lascive, goûter un instant aux vagues de volupté dans ma chair
comme on laisserait tomber une assiette
puis qu’on rattraperait avant qu’elle n’ait touché terrepour l’instant encore, cela me donne régulièrement l’impression d’un exercice d’équilibriste,
un peu comme une stéréo d’ondes prostatiques et d’ondes génitales, à régler
tout en créant et écoutant la musique29 juin 2020 à 1 h 00 min #37907bzo
Participantje parviens désormais tellement à exploiter chaque geste,
chaque mouvement, chaque position, chaque immobilité
depuis que j’injecte dans ma chair des doses massives d’ondes prostatiques,
elles semblent tout ralentir, tout densifier, désormais,
le moindre micro-mouvement, la peau d’une couille qui se rétracte,
l’effleurement d’un doigt sur la peau,
me font s’envoler comme une fusée,
je n’arrête pas de jouir
et les nuances changent constamment du tout au toutj’ai l’impression de me presser à chaque instant
comme un citron jusqu’à la dernière goutte,
il s’agit juste de ne pas trop bouger à la fois, pas trop de choses à la fois,
pour que cela ne se dilue pas,
garder tout bien concentré, tournoyant lentement,
le volcan ne doit pas entrer en éruption,
juste rester à bouillonner sur place, à digérer de la terre en fusion, à danser sur placeainsi je suis bien ancré entre mes deux ailes géantes battant tranquillement
comme une marmite d’explosifs transportée
comme c’est à fois tellement calme et tellement explosif, tout cela,
tellement doux et tellement brutal,
quel carrousel dans ma chair, mes amis
je n’ai jamais vécu des moments pareils, c’est glorieux1 juillet 2020 à 1 h 53 min #37917bzo
Participantpour ce que je recherche, pour ce que j’espère achever,
un plaisir aneroless en mode yin, penchant nettement du côté de la prostate
et de ce qu’elle peut délivrer dans les moments les plus paroxystiques,
tout en goûtant pleinement aussi aux vagues de volupté
que l’on peut obtenir avec les ondes génitales,
essayant de déguster toute la richesse, sans cesse changeante, de leurs nuances soyeuses,
m’imbibant jusqu’au plus profond de l’âme
de la sensation d’épanouissement et de plénitude dans l’instant
qu’elles peuvent générer dans la chairpour ce faire, il m’apparaît avec de plus en plus d’évidence
qu’une balance délicate est à obtenir dans le bassin en action à tout instant,
en adaptant constamment le dosage des deux types d’ondesil y a une émulation réciproque dans leur interaction
qui résulte en une augmentation rapide et puissante de la tension sexuelle
qui exige d’être à l’écoute plus que jamais des réactions du corps
pour que le flux d’ondes prostatiques ne soit jamais interrompu trop longtemps
mais néanmoins très régulièrement
pour qu’une alternance efficace des ondes puisse avoir lieuon arrête quelques instants la génération d’ondes prostatiques
délai qu’on doit bien apprendre à estimer, de plus en plus spontanément,
pour aller frotter, presser, cajoler, les bijoux de famille, avec les genoux,
avant de reprendre déjà la production d’ondes prostatiques dans le bassinun phénomène que j’ai pu constater qui en même temps brouille les cartes
mais contribue magnifiquement à l’augmentation de la tension sexuelle
c’est qu’à partir d’un moment donné,
l’alternance régulière, rythmique, des ondes d’une sorte puis de l’autre, comme en vagues,
provoque leur renforcement mutuel, toujours plus,
elles semblent toujours plus se mélanger, se dissoudre dans l’une dans l’autre
mais néanmoins, il ne faut jamais oublier d’accorder toujours malgré tout
la prépondérance aux ondes prostatiques,
en renforçant automatiquement leur injection, après une séquence orientée ondes génitales
si on ne veut rester tout de même du côté de la prostate pour atteindre les buts recherchésle flux prostatique dans le contexte d’un mélange de différents types d’ondes,
dans le courant de la séance, des ondes anales venant parfois aussi se mêler à l’action,
doit pouvoir réagir comme un roseau qui penche, qui penche, parfois très fort
mais jamais ne se rompt, toujours se redresse1 juillet 2020 à 20 h 10 min #37922bzo
Participantj’écrivais au-dessus que j’essayais de maintenir la balance du côté du prostatique
mais ce n’est plus le cas déjà, je laisse le désir gérer cela,
c’était présomptueux de ma part de vouloir le faireoh j’ai contribué à ma petite révolution de palais,
désormais les ondes prostatiques sont là massivement dans ma pratique,
j’ai expérimenté, j’ai mis au point la technique, toutes sortes de nouvelles contractions,
plein, plein d’ondes prostatiques désormaismais je ne cherche plus à les privilégier, ainsi c’est bien mieux,
ce qu’il y a dans ma chair, cette corne d’abondance sexuelle, à ma disposition,
il faut être malin et juste laisser faire les choses,
ne pas essayer d’imposer quoique ce soit,
aller avec le courant2 juillet 2020 à 23 h 00 min #37932bzo
Participantje dois accepter que ces orgasmes prostatique que j’ai vécu par le passé
et dont la lecture de messages par ici, a éveillé en moi la mélancolie,
sont définitivement derrière moi
et peu probable que j’arriverai jamais à les revivre, en tout cas sous la même formej’ai pris une autre voie radicalement, je vis ce corps durant les séances sur un autre versant,
un versant plus secret, plus tabou mais que notre chair a en elle,
ce mode yin que je suis parvenu à éveiller progressivementcependant désormais je parviens à injecter des doses massives d’ondes prostatiques à volonté,
j’ai déjà vécu des sortes d’orgasmes grâce à elles
mais ils ne sont pas accompagnés de la même explosivité, c’est très différent en fait,
ce sont des sortes de bulles à la densité incroyable qui semblent croître autour de moi
qui rayonnent comme des soleils,
dardant de plus en plus dans toutes les directions les énergies montant en moi
cependant la gestation de cet épisode n’est pas finie,
il y a encore des choses en route,
mais peu probable, encore une fois, qu’elles auront la forme de ces orgasmes que j’ai connusil y a quelques jours quand j’ai intensément expérimenté dans toutes les directions,
j’ai eu le temps au passage d’esquisser une façon de pratiquer aneroless en mode yang,
probablement en persévérant,
je pourrais retrouver des sensations assez proches d’un massage prostatique plus classique
comme ceux dans mon souvenir
mais pour l’instant, cela me semble totalement au-dessus de mes forces,
les deux, trois fois que j’ai essayé,
je n’ai pas résisté bien longtemps avant de me remettre en mode yin,
accepter le vide dans mon bassin durant la pratique plus de quelques minutes, je n’y arrive pas,
j’ai l’impression de suffoquer comme un poisson jeté sur le rivage,
en mode yin, ma chair est tellement facilement, tellement instantanément, envahie
alors qu’avec le mode yang, il faut être patient et attendre, attendre que cela se mette en route,
bon, une fois que ça l’est, ça déménage, ça déménage même sacrément,
avec cette idée en tête obstinément, peut-être y arriverais-je peu à peu si je m’y metsc’est tellement bon d’avoir son corps envahi par cette volupté généré par les génitaux
3 juillet 2020 à 8 h 58 min #37938bzo
Participantdepuis hier soir tard dans la nuit,
je suis en train d’expérimenter sans les mains, sans les bras
ou plutôt ceux-ci faisant partie du corps,
faisant partie, étendant le territoire de celui-civaut la peine de tester pour l’instant j’ai jugé,
laissant ceux-ci inertes, comme s’ils n’existaient pas , séparés du corps,
je semble augmenter la capacité aux vibrations de circuler de façon très intéressantele corps comme entité répondant au travail dans le bassin,
le corps comme entité résonnant, change radicalement ainsi,
peut-être est-ce juste une option, une attitude momentanée selon les moments,
puis les mains, les bras, reprennent une participation plus active,
à voir, j’expérimente3 juillet 2020 à 9 h 13 min #37939bzo
Participantce que je perçois bien ainsi,
c’est à quel point le plaisir prostatique,
c’est une mise en circulation des énergies, transitant par la prostate,
dans tout le corpsalors que le plaisir avec les ondes génitales en mode yin,
il y a tout un travail tout en frictions, effleurements, mouvements et gestes de toutes sortes
pour transformer ces ondes et les déguster3 juillet 2020 à 22 h 23 min #37944bzo
Participantc’est vraiment intéressant
car c’est la première fois que j’expérimente de garder les bras et les mains nettement plus statiques
depuis que je peux injecter à volonté aussi des ondes prostatiques, comme pour les ondes génitales
et je perçois avec tellement d’acuité ainsi,
leur façon différente de fonctionner, de se déplacer, en moiles prostatiques, semblent être des pures énergies des profondeurs,
grâce aux contractions remontant à travers la prostate, sortant d’elle
puis semblant circuler à toute vitesse dans le corps,
poursuivant sur leur lancée, plus ou moins bien, plus ou moins longtemps,
plutôt grâce à des capacités mentales, une fois que la contraction les a catapultée,
capacité de se lâcher, capacité de s’ouvrir, capacité de s’abandonner, capacité de s’offriralors que les ondes génitales, elles semblent imbiber comme une éponge les bijoux de famille
mais de là, il faut les extraire en frottant, pressant, effleurant, cajolant,
le sexe, les couilles, avec les cuisses
et ainsi, ces ondes se transforment en sensations qui se diffusent comme du liquide dense dans de l’eaules mains, les bras, je les garde à nouveau statiques donc,
je prends conscience que leur positionnement par rapport au corps,
affine la posture, la complète en l’enrichissant,
lui faisant acquérir de la richesse dans la perception du mode yin,
dans la perception aussi, des ondes qui circulent en moi, en mode yinla position du corps, sa posture dans l’espace, est tellement importante pour le mode yin,
j’en prends pleinement conscience aussi,
à chaque fois que je change de position
et que je immobilise plus ou moins pour la circulation des ondes prostatiques,
le yin en moi se réajuste par rapport à cette nouvelle position dans l’espace,
plus ou moins rapidement, avec une délicieuse progressivité
si tout va bien, si je lui laisse bien le temps, les deux s’ajustant l’un par rapport à l’autre,
le yin va reprendre possession de mon corps, se mouler dedans, comme dans un gant
tout en changeant imperceptiblement la forme de celui-ci, surtout ma perception de celui-ci,
le corps va refléter de plus en plus le yin qui lui colle de plus en plus désormais par dedansles courbes intérieures, les rondeurs, se dessinent un peu vers l’extérieur
mais ce sont dans mes sens, dans ma perception surtout, qu’elles sont entièrement là,
des arabesques dansantes, le mode liane lascive,
en même temps un corps intérieur et mon corps réel qui semblent fusionner à mi-chemin,
plusieurs strates de corps pour quelques instants,
comme un terreau riche, mouvant, comme en perpétuel réformation,
dans lequel naissent et meurent les sensationsje m’offre à la pénétration des ondes, je m’offre, j’ai une petite fente chaude par en-dessous
je me laisse aller, je me laisse empaler par elles, je m’ouvre, je les enveloppe dans ma chair
elles remontent en moi, en même temps avec puissance et avec douceur,
bientôt elles semblent former un arbre en moi,
elles montent et en même temps se déploient dans toutes les directions,
formant une frondaison bruissante, joyeuse, un instant,
vertige de la lumière, vertige du ciel, vertige des oiseaux,
vertige d’être,
vertige d’être dans de la chair,
vertige d’être dans de la chair en fête7 juillet 2020 à 0 h 59 min #37964bzo
Participant–
7 juillet 2020 à 1 h 33 min #37965bzo
Participantdeux, trois choses comptent au fond réellement dans cette histoire, pour moi
-d’abord, avec de plus en plus accès aux énergies en nous,
parvenir à les libérer et à les faire monter-ces énergies, peuvent être vécues de trente six mille manières,
certaines sexuelles, d’autres pas, des tas de voies,
sexuellement, rien que dans le bassin déjà,
des ondes prostatiques, anales, génitales, un peu emmêlées, beaucoup emmêlées, pas du tout,
le tout c’est de bien maîtriser au moins d’un de ces types,
de pouvoir jouer avec de plus en plus de consistance,
ainsi ces énergies que nous faisons monter, sont transformées, deviennent consommables, dégustables,
perçues dans notre chair en sensations de volupté, de jouissance, nous font vivre des orgasmes-et puis un dernier facteur tellement tellement important,
c’est à quel point, nous parvenons à être là dans l’instant,
à être dans l’instant présent, présent dans notre chair, à notre chair,
à quel point nous parvenons à vivre en osmose avec notre corps,
la recette n’est vraiment pas compliquée, je l’ai déjà maintes fois répétée,
il faut parvenir le plus possible et le plus longtemps possible
à éteindre notre moi pensant, notre intellectce que nous avons dans notre tête, notre puissance réelle, à nous autres, humains,
ce qui à fait que nous sommes devenus, en tout cas momentanément, les maîtres absolus de cette planète,
ce avec quoi nous avons bâti des civilisations et des civilisations qui recouvrent tout,
ici dans ce jeu sexuel, au moins il est présent, au plus on parvient à se connecter à son corps,
au plus on parvient à être en osmose avec lui,
au plus on parvient à vivre l’instant présent avec luiêtre là dans l’instant présent, avec une dynamo dans notre bassin, éructant des torrents d’ondes,
un corps avec toute sa chair, son sang, ses os, ses organes, ses membres,
bougeant, travaillant, à vivre ces ondes,
à en extirper jusqu’à la dernière once d’ivresse, d’extase, de jouissance, de volupté,
être là dans l’instant présent, fusionné à son corps,
vivant chaque seconde avec lui en intense communion,
formant comme une boule de feu doux, soyeux, de tout son être,
avec le monde aussi, avec toutjuste là dans l’instant, une boule de feu doux et soyeux
formé de tout son être, formé du monde entier
qui grossit et qui grossit puis qui éclate
puis qui se remet à grossir encore plus et à éclater encore plusincandescence de vivre, incandescence d’aimer,incandescence d’être,
incandescence d’être là dans l’instant,
incandescence de jouir de tout son être7 juillet 2020 à 18 h 23 min #37971bzo
Participantaujourd’hui j’étais en télé-travail
mais différence notable par rapport à ces dernières semaines,
première fois que j’étais tout seul chez moi,
cela fait bizarredu coup, je suis resté tout nu,
cela aurait été gênant, très très gênant si accidentellement durant une de nos réunions virtuelles,
j’avais allumé par accident la webcam au lieu de juste le son
mais je ne le ferais plus de rester tout nu,
c’est bien agréable mais j’étais trop sollicité à tout bout de champ par mon corps,
rien ne s’opposait à ce que je m’offre des moments de plaisir
et ils ont été bien plus nombreux que les moments, plongé dans le code,
je dois garder un minimum de discipline et d’éthique professionnelle
par rapport aux gens qui me paientdonc la prochaine fois, ce sera slip et t-shirt, ainsi je suis déjà nettement calmé,
il n’y a plus les contacts entre mes cuisses et mes bijoux de famille
ou bien le simple fait de me sentir nu, ma chair toute à ma disposition,
je me sens tout de suite tout chose10 juillet 2020 à 0 h 37 min #38025bzo
Participantpratiquer, c’est progresser
pas avoir peur de régresser,
plutôt craindre comme la peste l’immobilité10 juillet 2020 à 19 h 26 min #38037bzo
Participantaujourd’hui , autre jour de télétravail, commencé à poil,
j’ai tellement l’habitude quand je suis seul chez moi, d’être dans la tenue d’Adam
mais après une bonne demie heure,
je me suis rendu compte que je ne boulottais pas vraiment,
que je n’arrêtais pas de répondre aux appels de mon corpsje me suis souvenu de ma résolution de l’autre jour
et mis un short,
cela a coupé net l’effet excitation permanente
bien que de temps à autre, je m’offrais tout de même quelques instants de bon temps
car en fait, même habillé, je peux pratiquer aneroless,
cependant les ondes ne se propagent pas de la même façon,
le tissu du short est stratégiquement parfaitement placé
pour tempérer mon excitation, l’empêcher de se diffuser à pleine puissanceainsi, j’ai pu nettement plus me concentrer sur mon travail
10 juillet 2020 à 22 h 40 min #38043Andraneros
Modérateurjour de télétravail, commencé à poil,
j’ai tellement l’habitude quand je suis seul chez moi, d’être dans la tenue d’Adam
mais après une bonne demie heure,
je me suis rendu compte que je ne boulottais pas vraiment,
que je n’arrêtais pas de répondre aux appels de mon corpsJe commence à comprendre pourquoi il y a maintenant tant de bugs et de failles de sécurité dans les applications… Ça codait bien plus sérieusement dans ma jeunesse, avant internet et le télétravail !
10 juillet 2020 à 23 h 48 min #38044bzo
ParticipantJe commence à comprendre pourquoi il y a maintenant tant de bugs et de failles de sécurité dans les applications… Ça codait bien plus sérieusement dans ma jeunesse, avant internet et le télétravail !
hé hé, j’ai perdu le feu sacré aussi entre temps
ou plutôt il est descendu plus bas… - AuteurArticles
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