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bzo, le il y a 3 années et 1 mois.
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- 11 juillet 2020 à 0 h 22 min #38045
bzo
Participantdans une pratique où il y a un minimum d’action,
je ne pense pas donc à des pratiques du genre “do nothing”
où tout est dans la détente si j’ai bien compris
où de temps à autre, on bouge vaguement,
là d’autres dynamiques sont sans doute à l’oeuvre
mais bien une pratique où il y a de l’action très régulièrement, même si minimalistequand on est dans ce genre de cas de figure,
il est vraiment important de bien mettre le corps en tension comme il faut,
lui faire acquérir une unité,
pour toute notre chair devient alors comme une gigantesque piste de danse pour les ondes,
pour qu’elles puissent circuler le plus librement possible,
valser follement dans toutes les directionsc’est la raison pour laquelle désormais
mes bras et mes mains ne participent plus indépendamment à l’action,
plus de caresses, de pressions tendres des doigts, de frottements, d’effleurements,
ils font pour l’instant totalement partie du corps,
en agrandissant l’espace, en renforçant l’unité, l’intégritécouché, mes bras sont généralement derrière moi, plus ou moins tendus,
mes mains se rejoignent, ainsi je m’étire, me mets en tension, relache les hanches,
laisse la houle les prendre,
les postures semblent s’optimiser d’elles-même ainsi
où la circulation des vibrations peut être maximale,
je les sens courir en moi partout dans tous les sens follementle yin prend aussi encore plus puissamment possession de mon corps ainsi,
toute ma chair semble former comme un arc, un pont délicieux, fin,
plein de courbes, de rondeurs, de suavité, de finesse, d’arabesques,
mes hanches dansent, mes cuisses frottent, les contractions montent,
tout mon bassin est comme une dynamo produisant follement
un mix d’ondes génitales et prostatiques
qui montent, qui descendent, se répandent partoutje me sens féminin, je me sens masculin, je me sens uni à moi-même,
moments de volupté débridée à l’extrême, moments de communion absolue,
la jouissance ne me lâche plus, court en moi sans discontinuité
de temps en temps, cela explose en un orgasme prostatique qui vient se sur-ajouter,
j’en pleurerai tellement c’est bon,
tellement ma chair me convie à une liesse divine11 juillet 2020 à 11 h 10 min #38049bzo
Participantle texte au-dessus est sans doute un peu brouillon
et n’exprime pas avec suffisamment de clarté et de précision
ce que je suis en train d’expérimenter pour l’instant
et qui donne des résultats vraiment très très intéressantsressentir l’entièreté du corps comme un bloc, comme une unité,
voici l’idée derrière essentiellement,
ainsi on favorise, on optimise, la circulation des ondes,
aussi bien prostatiques que génitales
puisque chez moi, il y a constamment les deux types durant l’action
en proportion variables selon les momentspour percevoir mieux donc le corps comme un bloc, comme une unité,
j’ai détaché les bras du tronc, les mains sont devenus inertes,
assis sur le lit ou couché, je m’en sers comme points d’appui
mais pour l’instant, ils ne participent plus autrement à l’action,
ainsi j’obtiens une superbe mise en tension de tout le corps,
la sensation d’ensemble est fortement renforcée,
la circulation des ondes est optimale à chaque instantaussi, je ne bouge plus n’importe comment,
on n’est pas une montagne solitaire mais un massif avec de nombreux sommets plus ou moins hauts,
je ne me laisse plus aller à la tentation de sauter de l’un à l’autre comme un bouquetin surexcité,
je favorise des postures de base que j’ai repérées comme étant très prolifiques, très exploitablescouché sur le dos, les bras étendus derrière la tête, les mains se joignant,
on devient ainsi comme une fusée longiligne vibrant sur place,
le bassin produisant des masses et des masses d’ondesje ne reste pas immobile, c’est une posture de base à partir de laquelle je varie,
bouge les jambes, le bassin danse tout le temps,
les cuisses frottent, pressent, les contractions montent,
je suis souvent en full mode liane lascivequand je décide de changer de posture de base,
j’en ai déjà repéré trois aussi, que j’ai rajoutée à mon catalogue:-couché mais le tronc relevé en appui sur les coudes,
les jambes pliées, genoux en l’air, ou pas,
ça c’est aussi une splendide posture de base qu’on peut bien tenir sans fatigue sur de longues périodes
et qui délivrent un kaléidoscope de splendides sensations aux nuances riches et fines-assis, appuyé sur mes bras en arrière, une autre de mes postures d’élection, pour l’instant,
plus fatigante néanmoins mais on est capable de sensations tellement spécifiques,
le yin ainsi est comme une fontaine, une verticalité fertile au plus haut point-et puis la dernière posture de base que j’ai déjà repérée,
c’est à nouveau couché mais sur le flanc, appuyé sur un coude,
la jambe du dessus, venant croiser et décroiser régulièrement,
les contractions sont très puissantes ainsi,
l’autre bras est derrière, allongé, permet d’équilibrer, mettre sous tension,
la sensation de coït est tellement puissante dans cette variété de posture,
les sensations sont très animales, très brutes11 juillet 2020 à 11 h 36 min #38056bzo
Participantet puis la dernière posture de base que j’ai déjà repérée,
c’est à nouveau couché mais sur le flanc, appuyé sur un coude,plutôt pour être plus précis,
semi-couché puisque en appui sur un coude12 juillet 2020 à 10 h 19 min #38102bzo
Participantune chose est sûre,
les mains, les bras, bougeaient trop, étaient trop actives,
c’est mieux ainsi, que je ne les utilisent plus du tout pour l’instant,
comme je l’ai écrit, perception du corps comme un bloc, comme un ensemble,
amélioration de la perception de la circulation des ondes, etccependant ne pas les utiliser du tout, j’y perds quelque chose, définitivement,
depuis ce matin, je les laisse venir de temps à autre,
passionnément caresser mes seins, mon torse,
cela éveille en moi de telles bouffées de chaleur, un tel maelstrom de sensations délicieuses
qui viennent accroître incontestablement la tension sexuelleje cherche donc une voie médiane
où j’alterne des moments où les mains sont inertes, passives,
juste éventuellement servant de support quand je me mets sur les coudes ou assis
et puis d’autres moments où pendant quelques instants elles se remettent en action,
se remettent à caresser, à effleurer, à presser, à frotter, avec ardeur, avec tendressetrouver le bon rythme, les bons déclencheurs pour alterner,
que ce soit le plus “naturel” possible,
de façon à ce que le corps puisse gérer cela tout seul,
que cela devienne un automatisme12 juillet 2020 à 13 h 26 min #38154bzo
Participantc’est étonnant parce que l’instant d’après que j’ai terminé mon précédent message,
je suis retourné au lit
et cette problématique décrite, mise en mots dans le texte,
était comme résolue, tout simplement, tout naturellement,
il semble que le simple fait d’avoir fait le point précisément
sur ce que j’étais en train d’expérimenter, de tester,
a provoqué une sorte de déclic dès que je me suis remis en actionla solution comme toujours, à partir d’un certain moment,
c’est de laisser faire le corps bien sûr, de le laisser lui-même gérer cela,
cependant j’ai instillé une petite nouveauté dans ma pratique,
j’ai travaillé dans une direction pour cela avec ma tête, j’ai fait fonctionner mon cerveau
puis quand la chose était prête, à peu près au point, eh bien ma tête s’est effacée,
elle a joué son rôle, mon corps a pris le relais,
a apporté sa touche finale et gère cela tout seul maintenantcomme cela se passe désormais?
c’est encore tout chaud, tout fumant, sorti du four,
donc cela va sans doute encore évoluer,
cependant j’ai comme pris conscience que quand je laissais mes mains s’aventurer sur mon corps,
essentiellement les seins, le tronc, les flancs, donc,
il y avait comme une suite de vagues bien spécifiques qui se levaient dans ma poitrine,
qui se répandaient rapidement,
se mêlant avec tout ce qui montait de mon bassin ou qui était déjà là
mais qu’au bout d’un temps,
il y avait comme une sorte de fin de cycle de ces vagues occasionnées par mes doigts
et là au lieu d’enchaîner machinalement avec d’autres caresses,
désormais mes mains retournent s’immobiliser de part et d’autre du corps,
les bras simplement étalés sur le matelas ou étendus derrière ma tête, les mains se joignant,
en serrant ceux-ci un peu et tirant aussi un peu sur les bras,
tout mon corps semble comme former un arc, créant une délicieuse tension yin
et les ondes s’accélèrent, sont perçues avec une finesse de détail remarquableainsi donc j’alterne,
je sens en moi une envie de me caresser,
mes mains s’élancent avec passion, avec tendresse, pendant quelques instants
et quand je sens que le cycle arrive à son terme,
les bras retournent se poser sur le lit bien sagement
et ainsi de suite,
cela provoque de telles brusques variations dans les sensations,
soudainement ces mains qui courent sur ma poitrine,
provoquent de délicieuses bouffées de chaleur,
des feux de paille tout le long du parcours des doigts qui embrasent ma peauquelle mer de volupté partout en moi, ah mes amis,
comme c’est bon, tous ces flots de nectar dans sa chair,
si dense et en même temps, si léger, si soyeux, si onctueux, si chaud
et puis la prostate aussi qui pousse, elle,
ses ondes si cristallines, si fines, si frémissantes, si rapide et sveltes14 juillet 2020 à 20 h 32 min #38182bzo
Participantla recette semble tellement simple une fois que tous les éléments sont bien en place,
comme en vélo, cela semble tellement naturel de pédaler et d’avancer ainsi,
qu’on aurait parfois tendance à oublier les semaines, voire les mois, les années, pour certains,
d’hésitations, de résultats vagues, de frustrations, de régressions, d’incertitudes,
de recherche fiévreuse de conseils, de tâtonnements,
de secrets espoirs allumés brièvement, fiévreusement, dans notre chair
puis s’éteignant presque aussi viteen acquérant il y a quelques semaines
la capacité d’injecter des doses massives d’ondes prostatiques dans ma pratique aneroless en mode yin,
j’ai déclenché chez moi une série de mutations, de transformations
le rythme et la synchronisation des différents acteurs de mon plaisir se sont complètement réorganisés,
mais surtout une remise en question de fond en comble du rôle de mes mains durant l’actionil y avait une version 1.0 de ma pratique,
caractérisée par une majorité d’ondes génitales, 70% grosso modo, le reste venant de la prostate
et puis de temps à autre une injection , plus ou moins bien intégrée, plus ou moins réussie, d’ondes anales
et puis les mains qui allaient et venaient à peu près constammentlà désormais, c’est la version 2.0 de ma pratique qui est en train de se mettre en place,
avec une injection à volonté et parfaitement intégrée
d’ondes aussi bien prostatiques, qu’anales, que génitales
grâce essentiellement à une redéfinition du rôle des mains
qui m’a permis de gagner en précision, en finesse et en puissance
dans la perception des sensations naissant dans tout le corps
et ainsi de beaucoup mieux faire cohabiter
tout ce qui s’éveille en moi, tout ce que je provoque en moice qui a été décisif dans une utilisation à la fois plus parcimonieuse et plus efficace des mains,
c’est d’avoir pris conscience qu’il y avait un cycle des sensations déclenchées par elles
et qu’arrivé à la fin de celui-ci,
au lieu de recommencer machinalement à me caresser, désormais mes mains s’arrêtent,
s’immobilisent là où elles sont, attendent que le désir les ranime
et passent le relais ailleurs, à d’autres acteurs de mon plaisir en action
ou qui se remettent en action dans le bassin ou ailleurs,
le corps se remettant à onduler par exemple, le bassin à danser
ou juste de petits, quasi imperceptibles mouvements, de frottements, de pressions, d’effleurements
il y a tellement de choses qu’on peut déclencher, une telle palette
et puis les contractions aussi, il y a tellement moyen de les varierainsi, j’ai gagné cette sensation d’ensemble, de bloc, de tout le corps
et une perception beaucoup plus puissante et beaucoup plus fine de tout ce qui y circule,
l’alternance et la synchronisation entre les différents acteurs travaillant à mon plaisir,
se fait ainsi avec beaucoup plus de fluidité et de précision,
je peux désormais injecter des doses massives des trois types d’ondes
avec de parfaits enchaînements, les entremêler à volonté
ou les percevoir séparément pendant un temps, selon mon envie du momentles détails, leur variété, leur finesse, se sont encore grandement accrues,
le fait que les mains n’aillent plus par monts et par vaux, souvent machinalement,
a énormément contribué à améliorer mon écoute
et ainsi à tirer de chaque événement, de chaque micro-événement, leur quintessence,
je parviens encore plus à percevoir la multitude de nuances en variant les gestes, les mouvements,
la puissance et le type des contractions,
tantôt par petite touches bougeant à peine, pointilliste, minimaliste,
tantôt avec plus de déplacements, plus d’engagement, plus de parties du corps concernéesmême avec masseur, cela m’a fait faire un sacré bond en avant,
je parviens désormais à rester complètement en massage prostatique,
sans aucun autre type d’ondes,
c’est de bonne augure pour développer une pratique parallèle
pour varier les plaisir15 juillet 2020 à 14 h 14 min #38183bzo
Participantle rôle des mains, des bras, est encore en train d’évoluer,
dans les grandes lignes, c’est fixé
mais il y a encore un peu d’ajustement à faire
avant de lâcher tous les chevaux à nouveau sans plus penser à rienla vérité, c’est que tout mouvement des mains, des bras, trouble le miroir
mais en même temps, c’est bénéfique si cela ne brise pas l’élan principal et sa perception,
cela apporte quelque chose, cela injecte quelque chose quelques instants,
le temps de la caresse, des frottements, des effleurements, des pressions,
mais surtout le ou les, bras et mains, se déplaçant, bougeant,
ainsi font évoluer la posture, plus ou moins fortement,
le positionnement du corps dans l’espace, notre perception de l’ensemble, change
et ainsi les ondes circulent différemment, les sensations se modifientl’effet de l’action des mains, est double donc,
d’une part, des sensations propres, comme des feux de paille à fleur de peau,
entraînant des petits tourbillons sous la surface
et puis les bras et les mains faisant partie du corps,
la posture de celui-ci évolue, modifiant notre perception de l’ensemble,
les ondes circulent différemment, le réseau se reconfigure,
sa géographie peut changer du tout au tout en une fraction de seconde
avec à peine quelques gestes, quelques centimètres de déplacement16 juillet 2020 à 0 h 16 min #38188bzo
Participantje n’arrive pas à finaliser cette histoire,
je crois de plus en plus en fait qu’il n’y a pas à la finaliserl’important étant que j’ai découvert que lorsque je me caressais,
il s’agissait de bien sentir quand un cycle de sensations générées par les mains, s’achevait
et qu’alors au lieu de continuer de me caresser machinalement,
il valait mieux s’arrêter net
et laisser d’autres parties de mon corps prendre le relais,
ainsi j’ai beaucoup gagnémais peut-être ne faut-il pas aller plus loin,
essayer d’établir une synchronisation et un rythme de mise en action des mains,
là aussi, juste laisser faire,
rester parfois de longues minutes, voire des pans entiers de la séance,
sans aucun mouvement des bras,
juste le reste du corps et le bassin oeuvrant
puis à d’autres moments, les mains intervenant de temps à autre,
voire plus fréquemmentl’important donc ici, c’est que dans le feu de l’action
quand l’excitation générale est montée,
ne plus laisser mes mains machinalement aller de-ci, de-là,
cela n’apporte rien, tout du contraire,
cela brouille quelque peu la perception, la rend moins précise,
on perçoit moins les parties du corps en action,
en divertissant une partie de l’écoute inutilement sur les mains,
on ressent moins l’ensemble du réseau des ondes circulantfourmi du plaisir,
optimisons, optimisons17 juillet 2020 à 0 h 09 min #38203bzo
Participantune suite de mutations vers une version 2.0 de ma pratique aneroless en mode yin
a été démarrée par ma capacité acquise, il y a quelques semaines,
d’injecter des grosses quantités d’ondes prostatiques à tout instant durant l’actionaprès, j’ai passé une autre étape importante récemment, en remettant en question
les constantes allées et venues de mes mains,
prenant conscience que quand une suite de vagues de sensations arrivaient en bout de cycle,
il ne fallait pas machinalement embrayer par d’autres
mais plutôt s’arrêter net avec les mains où qu’elles se trouvaient
et attendre que le désir les raniment à nouveauainsi, une perception beaucoup plus aiguë de ce qui se passait un peu partout dans mon corps,
aussi la sensation d’ensemble, de bloc, considérablement renforcéel’étape suivante, semble-t-il, que j’expérimente depuis hier soir,
est directement inspirée de cette progression de l’action de mes mains,
à présent plus minimaliste, plus économe, plus efficace,
consiste à laisser chaque groupe de vagues, n’importe où dans mon corps, terminer son cycle,
de laisser chaque sensation aller à son terme,
plutôt que de tout laisser s’entre-chevaucher anarchiquement,
ainsi chaque d’elle peut exprimer les différentes nuances, les différentes subtilités, de son parcoursc’est fondamentalement un changement de rythme et une synchronisation différente
entre les différents acteurs de mon plaisir,
j’attends que chaque groupe de sensations aillent jusqu’au bout de son cycle,
laissant le corps même un instant comme s’enfoncer
dans le silence d’un hangar qui résonnait très fort, il y a encore quelques instantsle corps en état de réceptivité maximale, les sens en alerte, exacerbés,
la tension sexuelle en croissance constante, les énergies montant en abondance des profondeurs,
le corps devient comme une cathédrale de chair d’où s’élève un hymne païen, un hymne à la vielaisser les sensations se développer jusqu’au bout de leur course,
leur permettant d’exprimer tous les coloris de leurs nuances
et plonger à la suite un instant dans le silence de la chair en émoi, transformée en autel ardent,
l’on sent comme un coeur battre dans nos abysses, la vie pulse en nous comme une perle à l’état brut,
avant qu’à nouveau s’élèvent de toutes parts les sensations comme des choeurs onctueux de nectar,
se répandant partout sous les voûtes, entre les colonnes et les nefs,
entre les nerfs et la viande, les os et les musclesc’est un ralentissement certain, au début un peu décousue,
c’est un autre rythme à prendre, avec d’autres synchronisations, d’autres enchaînements,
ne plus se précipiter, laisser les choses suivre leur cours,
une forme de respect pour ce qui est en train de d’exprimer,
pour que l’ivresse soit encore meilleure, plus subtile, plus riche,
que les décollages mènent encore plus hautun chant 2.0 dans le sang, prend peu à peu, semble-t-il, forme
18 juillet 2020 à 0 h 33 min #38219bzo
Participantma pratique 2.0 prend bien forme
et je l’adore, comme je l’adore déjà,
éveiller ce corps, en faire une fontaine, un bouquet, plus resplendissant que jamais
comme j’adore, comme j’adorele rythme s’est considérablement ralenti, cela s’est fait tout naturellement,
ce qui a été décisif ici, pour son adoption,
c’est que je laisse bien chaque groupe de sensations qui s’élancent en moi, aller à son terme
et comme je l’écris déjà,
je me laisse dans la continuité envahir par le silence qui suit, parfois longuement,
il semble entraîné dans le sillage écumeux des vagues,
nageant lentement au milieu d’elles, s’éteignant progressivement, en livrant leurs dernières nuances
comme on dit en musique, “le silence qui suit la musique de Mozart, appartient encore à Mozart,
cela fait partie constamment de mon élan, de mon rythme, désormais,
les vagues dansent un instant ou deux puis meurent, ont accompli leur tache,
ce moment, où le doux fracas, le délicieux fracas, dans ma chair retombe,
est comme un moment de recueillement en moi-même, de béance tranquille,
avant de me relancer dans l’actionil se prépare, il se manigance, quelque chose,
je vais offrir ma chair à de l’inconnu en moi, je suis sur l’autel déjà,
étendu, bras en croix, toutes baies ouvertes,
la jungle magique prête à repousser, prête se redéployer instantanément,
pour m’offrir une nouvelle faune et une nouvelle flore, grouillantesle rythme donc est nettement plus lent,
au début il semblait saccadé, décousu
mais depuis, j’ai bien intégré ces moments de pause, d’interlude, entre chaque série de sensations,
ils font totalement partie du rythme, de l’élan, ils le ponctuent,
leur restituent toute leur puissance de résonance
et c’est devenu fluide, des pas de danse, une chorégraphie voluptueuseces moments de silence, d’inaction, sont tellement importants,
l’immensité de l’hangar, semble se reconstituer
et les vagues suivantes s’élancent avec une précision, une intensité et une finesse, renouveléesplus lent donc,
les grands fonds sont là avec toute leur densité,
il n’y a plus de distance jusqu’à mes abysses, ils semblent partout, jusqu’à fleur de peau,
rien n’échappe à la grande oreille, la plus petite sensation trace son parcours unique,
je suis une éponge de la tête aux pieds,
je suis imbibé de la tête aux pieds18 juillet 2020 à 10 h 23 min #38220bzo
Participantd’un côté, je chante les louanges de ce corps,
les ressources tellement magiques de ce corps,
qui semble vraiment comme un chapeau de prestidigitateur par moments
d’où sortent toutes sortes de bestioles qui vont faire leur course délicieuse dans notre chairmais d’un autre côté, je me dois de pester contre son usure,
cela me soulage de mettre cela en mots,
une posture au lit qui ces derniers jours, retrouvait un franc succès chez moi,
à savoir couché mais la partie supérieure du corps relevée, m’appuyant sur les deux coudes,
ainsi on est dans une position vraiment confortable, bien en équilibre
malgré les mouvements, les gestes et le tangage qui peut être assez accentuée
qui peut être tenue bien longtemps sans aucune fatigueon peut aussi relever un peu les jambes en faisant monter les genoux,
le bassin est libre de bouger, de danser, on est bien calé sur les coudes
qui offrent un soutien sans failleavec masseur, cette posture offre des angles de frottement à la prostate, tout à fait délicieux
et qu’on peut varier à l’infini,
le bassin est vraiment bien placé pour effectuer des mouvements de va et vient,
à la fois puissant mais qu’on peut aussi varier avec délicatesse et finesseaneroless, les cuisses peuvent venir frotter les bijoux de famille
avec une grande variété de mouvements,
les contractions peuvent aussi s’effectuer avec toutes sortes de nuances
qu’on n’a pas, couchéun des bras peut momentanément s’arrêter de soutenir
et venir caresser un sein, une poitrine,
voire plus bas, descendre le long d’une jambe,
venir derrière, titiller dans la fente, chipoter dans l’orificemais voilà, depuis hier, ma tendinite du coude droit, s’est réveillée,
est très douloureuse par moments,
je ne peux plus prendre appui dessus,
j’essaie de trouver des alternatives,
continuant de m’appuyer sur le coude gauche et restant avec l’autre bras tendu
mais l’appui n’est pas aussi efficace, on n’est pas aussi stable
et c’est plus fatiguantje vais continuer de chercher mais la voie la plus simple et la plus optimale,
semble dorénavant exclue malheureusement19 juillet 2020 à 23 h 14 min #38227bzo
Participantil n’y a rien à faire dès que j’écarte les cuisses un peu longuement
et que les ondes prostatiques se retrouvent seules en piste,
il y a quelque chose qui ne fonctionne plus,
comme une sensation de vide dans le bassin
qui m’est vite intolérableje suis trop habitué au délicieux, à l’ineffable, amalgame
des ondes génitales aux ondes prostatiques,
l’une sans l’autre, j’ai totalement perdu l’habitude,
autant dire qu’il y a du rewiring en l’air,
il va falloir se retrousser les manches, si je puis me permettre cette expressionje vais m’attaquer à ce défi, je le veux,
avec masseur, retrouver les orgasmes prostatiques, retrouver les super O,
ils me manquent trop, il faut varier,
j’ai désormais trop d’expérience,
je sais qu’il n’y a pas de plaisir aussi puissant, aussi splendide, soit-il
qui peut résister à la routine,
pourtant je n’arrête pas d’expérimenter, de progresser
mais ce n’est pas assez,
je pratique quotidiennement, en moyenne 45mn , je dirai
et je dois pouvoir avoir plusieurs cordes à mon arc
si je veux continuer à décocher des flèches dans le ciel, bien haut, bien loinmais je comme je l’écris plus haut,
mes orgasmes prostatiques me manquent,
je me rappelle avec nostalgie ces orgasmes que j’enchaînais pendant des heures,
qui me faisaient ruer dans toutes les directions
comme un kangourou qui aurait perdu la tête,
me faisant même parfois tomber du lit
et où je continuais par terre, me cognant aux meubles,
arf, cela vous laisse des souvenirs dans la chair, des moments comme cela,
où une folie orgasmique totale s’empare de vous
et votre corps se lâche complètement, s’abolit de toute règle, de toute disciplinepas ce soir, je m’en sens pas le courage,
j’ai essayé quelques minutes, juste pour prendre la mesure de l’ampleur de la tache,
bah en fait, cela peut ne durer que quelques minutes, comme plusieurs heures,
le temps d’accepter avec humilité, de faire s’évaporer toute trace d’impatience et d’attente,
me replonger dans l’écoute de mon corps sans préjugé et sans énervement ,
m’habituer à ce vide dans mon bassin pour un certain temps,
me réhabituer à ce que les ondes agissent différemmentpas évident mais un beau défi
et le jeu en vaut la chandelle,
après j’aurai déjà cette pratique tellement développée, tellement aboutie
et puis pour varier, j’aurai une pratique prostatique à nouveauj’ai d’ailleurs décidé de me lancer toute une série de défi,
je veux pouvoir beaucoup plus varier,
je vais m’attaquer au “do nothing” classique tel que décrit dans le traité, entre autres,
j’avance trop centré que sur une seule façon de pratiquer,
aussi riche, aussi consistante, soit-elle,
il faut se montrer intelligent, proactif, devancer les risques de lassitude,
diversifier, diversifier21 juillet 2020 à 0 h 15 min #38233bzo
Participantma pratique 2.0 se met en place tout doucement,
comme c’est bon tout cela, comme c’est appétissant tout cela,
c’est comme un gros gâteau qui se révèle, dans toute sa splendeur pâtissière,
se goinfrer de toute cette volupté, se goinfrer de toute cette jouissancecette capacité que j’ai désormais de mixer ondes prostatiques, génitales et anales, à volonté,
leur amalgame se faisant parfaitement à tout instant,
cela crée une telle richesse de nuances, de tels changements constamment dans les sensationscependant ce n’est pas le fruit du hasard si je parviens à tellement bien les marier,
il y a une raison bien précise à cela,
elle se dénomme le mode yin,
il faut bien comprendre que ce n’est pas du plaisir prostatique
ou du plaisir anal ou du plaisir génital que je ressens, que je mélange
mais bien du plaisir en mode yin que j’enrichis, que je diversifie, que j’intensifie
avec des ondes prostatiques, des ondes génitales et des ondes anales,
la nuance est énorme,
je l’ai bien compris désormais,
maintenant que cela s’est encore bien amplifié, bien enrichid’où mon texte au-dessus de celui-ci,
si je veux revivre des orgasmes prostatiques,
je le comprends à présent, il va falloir m’y prendre définitivement autrement,
il y a quelques semaines, quand j’ai commencé à pouvoir injecter des grosses quantités d’ondes prostatiques,
j’ai pu me donner l’illusion que je pourrais revivre des orgasmes prostatiques ainsi
mais non, cela y ressemblait un peu par moments, j’ai surtout voulu y croire très fort
mais depuis j’ai pu me rendre compte que c’est fondamentalement différentce corps peut se vivre de deux manières totalement différentes dans le plaisir,
en mode yang et puis en mode yin,
les choses ne sont pas noir ou blanche, bien sûr,
ces deux modes ne sont pas imperméables l’un par rapport à l’autre,
entre les deux, une infinité de passerelles possible ponctuellement
mais fondamentalement, vous allez être soit en mode yang, soit en mode yin,
avec essentiellement les règles, les frontières
et puis surtout les sensations, la jouissance et la façon de percevoir le corps, de l’un ou de l’autrepersonnellement j’ai choisi le mode yin, j’ai été attiré irrésistiblement par cela
et suis allé aussi loin que possible dans cette direction,
j’y bascule automatiquement désormais à 100% ou à peu près,
et je ne le regrette pas un instant d’avoir pris ce chemin,
j’aime tellement cela, cette volupté qui vous prend dès le premier instant
et qui se perçoit dans tout le corps,
ce bain de lascivité dans lequel on est submergé,
cette extraordinaire sensation de se faire l’amourcependant je regrette d’avoir totalement abandonné le massage prostatique
et toutes ses spécificités, ses orgasmes à la chaîne, ses super O
mais peut-être fallait-il que je casse tous les ponts complètement
pour pouvoir y arriver à ce point en mode yin?cependant à présent, je veux retrouver mes capacités à vivre des moments purement prostatiques,
c’est un défi que je veux relever, j’en ai profondément envie,
néanmoins je suis pas mal découragé devant l’ampleur de la tache pour l’instant,
enfin cela me parait immense mais peut-être que ce sera résolu en quelques minutes ou quelques heuresmais l’idée me retrouver impuissant pendant de longues minutes, voire des jours, des semaines,
comme un débutant face à une chair qui ne réagit plus comme je voudrais
alors qu’avec ma pratique, tout est tellement bien en place,
qu’instantanément les sensations délicieuses démarrent,
que je peux me laisser mener par le désir,
que le moindre geste, le moindre mouvement, provoquent des vagues en moi,
à l’idée d’abandonner tout cela, même ne fusse que pour une seconde,
faire face à une chair muette, désespéramment muette, désespéramment inerte,
ne réagissant plus à mes sollicitations,
en tout cas dans un premier tempsbref, il s’agit de retrouver la bonne attitude face à un niveau d’adversité
auquel je ne suis plus habitué,
humilité, ne rien attendre de ses séances, patience, etc,
tout le monde par ici, connait cette litanie par coeur
mais moi, cela fait longtemps que je ne la pratique plus trop
parce que je trouve tout naturel que tout soit là dès le premier instant,
je respire, je mange et puis je me procure du plaisir aussi d’une certaine manière,
c’est totalement ancré dans ma chair et dans mon esprit
une nourriture sexuelle constamment à ma portée quand je suis chez moi, cela va de soi,
alors me retrouver tout d’un coup avec une chair qui ne réagit plus à mes sollicitations?tout m’est-il devenu trop facile?
très certainement pas, je mérite tout ce que j’obtiens durant mes séances,
j’ai travaillé dur et longtemps pour cela
mais temps d’assumer d’autres défis dans un esprit de diversification proactive
pour avoir par-devant soi une palette plus complète de façons de s’émoustiller
et de s’envoyer en l’air en solitairene pas risque un instant l’usure, l’habitude, la routine,
la seule façon, c’est d’avoir plein de cordes à son arc,
même s’il y en a une qu’on préfère aux autres21 juillet 2020 à 19 h 37 min #38237bzo
Participanthier soir vers 01h du matin,
j’ai fais un premier quart d’heure en prostatique uniquement, avec masseur15mn, c’est pas grand chose dans l’absolu mais je suis déjà très content,
je commençais à être fatigué mais je tenais absolument à entamer ma croisade
et ma foi, le résultat a été très satisfaisant pour une première foisles sensations étaient là, elles étaient bonnes, pas d’orgasme encore
mais l’important c’est que quelque chose se soit passé,
comme je me doutais la sensation de vide m’a accompagné tout le long
et ce fut vraiment très dur par moments de résister à l’envie de juste serrer les cuisses
et commencer à presser, à frotter, mes bijoux de famille
et ainsi, avoir le bassin envahi en un clin d’oeil d’ondes génitalesmais j’ai résisté, bon il faut dire que même avec les cuisses écartées,
il y a tout de même des petits contacts, ce qui avait passait tout à fait inaperçu,
désormais m’envoyait à chaque fois des petits éclairs de douceur,
mes couilles, mon sexe, sont devenus tellement sensibles au moindre contact de mes cuisses,
enfin j’ai tenu,
je vais continuer ainsi, on va voir où cela va menerune observation,
j’ai vraiment l’impression que les ondes génitales circulent tout à fait différemment,
elles se diffusent beaucoup plus facilement,
je crois que quand il y a un amalgame qui se fait entre ondes prostatiques et ondes génitales,
comme cela se fait quasi constamment durant mes séances,
eh bien les prostatiques bénéficient des propriétés de diffusion des ondes génitales
et ainsi se répandent beaucoup plus facilement dans le bassin et plus loinalors que toutes seules, les ondes prostatiques, j’ai pu le constater,
semblent se diffuser différemment, plus difficilement ,
elles semblent plus omni-directionnelles, moins capable de se répandre,
aussi elles durent moins longtemps,
les ondes génitales, j’ai l’impression durent plus longtemps,
peuvent donc plus rapidement se diffuser plus loin et dans toutes les directionsmais encore une fois quand il y a mélange,
les ondes prostatiques bénéficient des propriétés des ondes génitales
et ainsi se répandent aussi plus loin, plus rapidementles ondes prostatiques sont plus concentrées, plus en faisceau dense,
cependant quand l’excitation montera, en prostatique pure,
les capacités de projection de ces ondes vont notablement s’amplifier22 juillet 2020 à 9 h 17 min #38241bzo
Participanthier soir, trop fatigué pour m’envoyer en l’air dans le bac à sable,
aussi pas de nouvelle séance en pur prostatique avec masseurcependant hier au matin, dès le réveil, les yeux à peine ouverts,
eu quelques délicieux moments où j’ai bien progressé avec ma 2.0,
plus de vitesse lente, de ralenti systématique dans le rythme,
les caresses et les mouvements de bras, aussi ont retrouvé leur placequelle différence alors par rapport à avant, par rapport à ma 1.0?
la synchronisation est fondamentalement différente
grâce au fait que la série de vagues générées par chaque contraction
peuvent courir jusqu’à leur terme, sont laissées jusqu’au boutcela semble pas grand chose mais ça l’est,
ça change toute la face de ma pratique, ce détail, tout seul, opère toute la mutation,
enfin avec aussi bien sûr, ce qui a déclenché toutes ces expérimentations:
à savoir, ma capacité à injecter des doses massives d’ondes prostatiques quand je veux, comme je veuxcela change toute le rythme, toute la synchronisation, entre les différents acteurs de mon plaisir,
la qualité d’écoute surtout est constamment restaurée
avec ces moments de silence, de calme méditatif, de calme après la tempête
qui suivent la cavalcade puissante de vagues, à chaque contraction
le corps perçu comme un bloc, comme un hangar résonnant tout d’une pièce,
s’est bien renforcé ainsibon, j’éteins ma machine personnelle
et allume le costaud avec son Xeon et ses 64 gigas de RAM pour la programmation,
au travail!
(pas oublier de mettre un short et un tee-shirt sinon
mon corps ne va pas me laisser me concentrer sur mon code-source,
les invites constantes seront trop tentantes)23 juillet 2020 à 0 h 50 min #38267bzo
Participantce soir, je me suis mis au lit avec l’idée fixe
d’enfoncer le masseur aussi vite que possible dans mon arrière-trainma foi, j’ai bien progressé, je suis content,
oh bien sûr, je pouvais toujours espérer un miracle
et que déjà après quelques minutes, je sauterai au plafond
mais en étant un peu réaliste, je n’ai aucune raison de ne pas être satisfait,
les progrès sont là, tout cela va dans la bonne direction, à bonne allureles points positifs:
les petits contacts de mes cuisses, avec mes couilles, mon sexe,
je m’y habitue de plus en plus, j’y fais de moins en moins attention,
à condition qu’ils ne soient pas trop appuyé, bien sûr
parce qu’alors il y a quelque chose qui se déclenche immédiatement dans mon bassin,
qui commence à être envahi de nectar danseles sensations sont là, constamment,
bien sûr, rien à voir avec l’intensité de ce que je vis habituellement
mais objectivement, je peux qualifier cela très agréable, de très très agréable même par moments,
difficile de juger objectivement le niveau de plaisir réel
quand on vient d’une autre pratique où l’on a constamment un plaisir tellement intense,
tellement généralisé à tout le corps,
où l’on jouit quasi constamment, en faitquestion technique, le rythme, l’amplitude des mouvements,
n’ont rien à voir avec ma pratique aneroless en mode yin,
je dois ré-apprendre tout cela,
la présence du masseur déjà limite les mouvements, on peut pas changer de position comme on veut,
il faut toujours faire attention que le masseur reste efficace quand on commence à bouger,
qu’il aille frotter, presser, là où il faut, comme il fautil faut aussi modifier l’écoute, c’est la dernière chose que j’ai apprise durant la séance
et que j’ai essayer de mettre en oeuvre,
là aussi, une plus grande économie, une moins grande amplitude, des mouvements, des gestes,
m’aidait à rester mieux concentrer sur mon bassin
car oui, j’ai au bout d’un certain temps, focaliser mon attention plus sur le bassin,
alors que dans ma pratique aneroless,
j’ai pris l’habitude de me focaliser sur rien de particulier dans mon corps,
cela se faisait tout seul,
mon écoute semblait attiré automatiquement là où il fallait, là où cela se passait,
l’écoute semblait suivre à la trace les sensations comme un télescope qui bougeait tout seul,
en pilotage automatique en quelque sortedonc pour résumé, une fois que j’ai commencé à me concentrer plus sur la bassin
et plus particulièrement sur la zone de la prostate,
que j’ai bouger avec plus d’économie,
tout en continuant malgré tout de me caresser passionnément, par moments
et donc aussi de bouger moins et avec moins amplitude,
en mode liane lascif minimaliste, disons,
j’ai pu commencer à avoir de vraiment bonnes sensations en pur prostatique,
une piste sérieuse à exploiterje dois aussi encore m’habituer à avoir des séances plus longues,
là après une demie heure, j’en ai eu assez,
là aussi, avec ma pratique habituelle aneroless,
j’ai tellement pris l’habitude que cela commence dès la première seconde avec une intensité maximale,
qu’il est rare que je fasse des séances de plus d’une demie heure,
tellement je suis rassasié, comblé, repu, au moins momentanément
car après, avec un peu de repos, je suis à nouveau d’attaque23 juillet 2020 à 20 h 47 min #38274bzo
Participantce soir, je vais remettre cela avec le masseur,
je suis excité comme un débutant qui espère son premier orgasme prostatiquebah en fait, je ne pas compte pas trop dessus,
et avant, je m’en serais plein le baba avec ma pratique aneroless
sur laquelle je peux me fier sans faille
pour m’envoyer en l’air en deux temps, trois mouvements23 juillet 2020 à 22 h 29 min #38277bzo
Participantune première séance au lit,
un bon quart d’heure pour m’échauffer, me mettre en train,
dans ma pratique en mode yin aneroless, avec mix d’ondes anales, génitales et prostatiques
qui est sur le feu, à cuisson lent, vers sa version 2.0,
ses spécificités ces derniers temps, se sont tellement accentuées,
la variété des nuances tellement encore plus riche,
la volupté toujours plus ineffable, tellement emplissant de soie chaude tout mon êtrecependant ainsi, j’ai du aussi me rendre à l’évidence,
autant une infinité de variantes, de richesse à déguster, semblent s’offrir à moi à chaque instant
avec cette nouvelle version de ma pratique qui se met peu à peu au point,
autant je sais désormais avec certitude aussi ce qu’elle ne pourra jamais m’offrir,
les orgasmes prostatiques, les super O, ne me viendront jamais ainsi,
quand bien même, je pratiquerai 100 ans,
or j’ai envie, moi, de retrouver cette manière d’aller chercher du plaisir extrême en moi,
cette nostalgie s’est éveillée irrésistiblement
et puis c’est un magnifique défi aussi,
de raviver et d’exploiter durablement une compétence si riche, si puissantej’ai envie de développer en fait toute une palette de pratiques avancées en solitaire,
bien sûr ma pratique en mode yin avec mix des trois types d’ondes dans le bassin
plus tout le corps contribuant généreusement aussi,
restera toujours ma pratique principale,
cependant je veux avoir à côté des autres façons de m’explorer,
d’aller chercher des sensations superbes avec la complicité de mon corps,
la montagne a toutes sortes de versants,
pourquoi ne pas aller l’explorer par d’autres aussi?avec cette idée en tête,
j’allais sortir le masseur de sa boîte quand mû par une soudaine inspiration,
j’ai juste arrêté de bouger, écarté les cuisses et ai commencé des contractions en aneroless,
j’ai tout de suite eu beaucoup, beaucoup, de plaisir, de très très bonnes sensations
ça c’est en fait bien mieux passé qu’avec le masseur, bien bien mieux,
je me suis tout de suite dit, que c’est ainsi que je devais d’abord y aller,
que c’était très très prometteurdonc pour l’instant je vais laisser le masseur dans sa boîte
et me lancer en pur prostatique en aneroless,
je suis tellement excité à cette perspective,
avanti, full speed ahead, adelante!24 juillet 2020 à 0 h 31 min #38282bzo
Participantj’aurai mieux fait de continuer cette séance aneroless en prostatique pure de tout à l’heure
mais je croyais que ce que j’avais réussi à éprouver, était acquis
comme dans ma pratique habituelle
mais j’avais tord,
je ne suis plus parvenu après à revivre les mêmes sensations splendides, très intenses,
qui fleuraient bon déjà l’orgasme prostatique
c’est resté cette fois juste dans la fourchette de l’agréable au très agréable,
niveaux pour lesquels je ne parviens pas à m’enthousiasmer comme le ferait sans doute un débutant,
vu ce que je vis habituellement de l’autre côté avec ma pratique mixte en mode yinalors j’ai quand même sorti le masseur,
là aussi , rien de bien bouleversant mais je m’exerce, je m’exerce,
il finira bien par en sortir quelque choseje me rappelle , j’ai eu une période comme cela à mes débuts en massage prostatique il y a longtemps
où il fallait que je chipote pendant une heure en moyenne ma prostate
et puis soudainement, ça démarrait,
les orgasmes arrivaient en rang plus ou moins serré, encore assez aléatoires néanmoinsc’est un peu comme de mettre de l’eau à chauffer sur un feu très bas,
alors l’eau se met à bouillir très lentement,
c’est même assez interminablebon, je vais persévérer quand même,
il me faut une pratique en pure prostatique, parfaitement efficace, avant la fin de l’année,
aussi bien avec masseur que sans,
je m’y investirais le temps qu’il faudra24 juillet 2020 à 8 h 49 min #38283bzo
Participantpour l’instant, j’essaie en pur prostatique d’éveiller la pratique de deux manières,
aussi bien avec masseur qu’aneroless,
une manière en mode yang,
l’autre en mode yindans la première manière, je suis couché dans une position confortable,
j’essaie de me détendre autant que possible,
d’être à l’écoute de mon corps, de ce qui s’y passe, autant que possible,
les mains posées sur le lit ou alors quelque part sur mon corps mais ne bougeant pas,
de temps à autre je change de position,
je suis constamment les cuisses écartées,
évitant les contacts entre mes bijoux de famille et les cuisses,
ceux-ci ayant comme effet d’éveiller des éclairs de douceur chaude dans mon bassin
mais j’y fais de moins en moins attention,
je m’habitue bien ainsi à ne plus leur répondre par plus d’action entre les cuisses et mes génitaux
pour enflammer mon bassinet puis bien sûr, j’effectue des contractions, j’essaie de les varier, de bien les ressentir,
d’essayer de percevoir ceux qui seraient le plus efficace,
à rythme plus ou moins soutenu, selon mon inspiration,
je tâtonne, j’expérimente, quoi, avec euxcette manière de m’y essayer, je l’effectue sous le patronage du souvenir
de ma première période de pratique au début, il y a quelques années,
ma première année de pratique en fait, avec masseur uniquement, cependant, je le précise,
quand il fallait que j’attende systématiquement 30 à 45 minutes avant que cela ne démarre,
tout d’un coup, un premier orgasme venait puis un second, etc
c’était plus ou moins comme cela que je procédais, il me semblel’autre manière, en mode yin, elle est nettement plus active,
elle correspond à la période qui a suivi celle que je viens de décrire,
aussi avec masseur, où j’ai basculé peu à peu en mode yin,
après bien des tâtonnements et une lente progression, suivant mon intuition et une envie profondeune fois que c’était plus ou moins au point, le plaisir était là dès le premier instant,
j’avais même en fait, je me souviens,
toujours mon orgasme de bienvenu qui durait en moyenne une minute
qui se déclenchait dès le premier contact du masseur,
une fois même j’ai eu un super O comme cela qui a duré plus de 5 minutescette manière et que j’essaie donc de reproduire aussi pour l’instant,
aussi bien aneroless qu’avec masseur,
était caractérisée par des caresses passionné, tendres, les bras vont et viennent beaucoup,
le bassin bouge, le bassin danse, le corps est en mode liane lascive la plupart du temps
et puis avec les contractions ou le masseur,
j’essaie autant que possible de reproduire des mouvements de pénétrations, les va et vient,
tantôt en mode bûcheron y allant à rythme soutenu, in, out, in, out, in, out,
tantôt en essayant de varier autant que possible possiblele principe étant que j’essaie de me faire l’amour,
d’ activer le pôle féminin et le pôle masculin dans ma chair
qu’ils s’ébattent , qu’ils me fassent vivre le plaisir androgyne
mais là uniquement en prostatique,
sans les ondes anales et surtout les ondes génitales en plus, dans le mixje m’y essaie donc des deux manières pour l’instant
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