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  • #38019
    Andraneros
    Modérateur

    Bonjour @Ncls0,
    Tu utilises le même matériel que moi. La différence est que j’ai coupé l’extrémité de la seringue de telle sorte que l’ouverture ait le diamètre du cylindre. Ainsi je peux l’enfoncer dans de l’huile de coco figée ou du beurre de karité pour remplir le cylindre et en faire un suppositoire après passage au freezer ou au congélateur pour le rendre assez rigide pour être enfoncé facilement dans le rectum.

    Avant de passer au beurre de karité j’ai utilisé peu de temps une seringue en plastique à bout rond pour déposer un lubrifiant liquide dans le rectum. J’ai vite abandonné pour le beurre de karité.

    Bon cheminement @Ncls0.

    #38021
    Caktil
    Participant

    Bonjour @Ncls0,
    As-tu essayé le beurre de karité? Quand tu dis que tu injectes du lubrifiant, est-ce le beurre de karité?
    J’ai vu une bonne amélioration dans la qualité de mes séances quand je suis passé du lubrifiant silicone au beurre de karité. J’ai aussi essayé l’huile de coco, mais elle me convient moins bien (transit perturbé le jour de la séance…).
    Bravo pour tes progrès, tu es vraiment sur la bonne voie.
    Bon cheminement @Ncls0 !

    #38022
    Ncls0
    Participant

    Bonjour @Andraneros et @Caktil

    Concernant le lubrifiant, j’utilise actuellement du lubrifiant classique à base d’eau mais je vais essayer dans le week-end le beurre de karité pour voir la différence.

    Nouvelle séance : exactement la même que la précédente, j’arrive à attiser des braises à plusieurs reprise mais ne parvient pas à allumer le feu. Je précise que je ne suis pas déçu car ce n’est plus mon but principal, j’ai enfin compris que ça viendra quand ça viendra. Quand bien même, ces séances m’apportent relaxation et me permettent de m’accorder un moment de repos, déconnecté pour moi et moi seul.

    Cependant, plusieurs questions me viennent en tête, j’imagine que la réponse dépend de tout un chacun mais vous pourrez peut-être m’aiguiller.

    1)
    D’abord concernant le focus de mon esprit. Dois-je réellement ne penser à rien ( je m’endors 1 fois sur 3 en faisant ça c’est terrible) ou bien essayer de connecter mon esprit aux sensations afin de les “attiser” par le fait d’y penser et de s’y connecter. J’avoue ne pas savoir vers quelle voie m’orienter.
    Les sensations sont de toute façon très fouillies pour le moment : des fourmis dans les mains et les pieds, une chaleur au niveau de la tête et du bas ventre, des légères chatouilles au niveau de la prostate, de petits tapotements au niveau des testicules et picotements au niveau du gland, le battement de mon coeur qui envahit mon corps etc etc … Je reçois des signaux de partout en même temps c’est compliqué à démêler tout ça.
    Dois-je concentrer ma pensée sur une sensation particulière, toutes en même temps ou aucune ?
    2)
    Les contractions involontaires :
    Très difficiles à identifier. Parfois j’ai l’impression d’effectuer les contractions alors que pas du tout. Parfois j’ai l’impression qu’elles sont involontaires alors que je les provoque.
    J’essaie d’oublier ces contractions dès lors qu’elles semblent involontaires pour libérer mon esprit de cette contrainte mais pas facile. Ou alors je les oublie, puis l’instant d’une demi-seconde j’y repense contracte les bloque et les arrête. Ca me coupe à chaque fois dans mon élan.
    3)
    Il peut m’arriver d’avoir des montées graduelles de chaleur et de vagues de plaisir sans sentir que je contracte. Mais je peux également ne pas sentir grand chose et pourtant avoir des contractions involontaires très puissantes et des gémissements qui sortent sans demander l’autorisation.
    Est-ce plusieurs types d’expression du plaisir ou à terme les deux vont se mélanger ? COntractions fortes et cris + sensation de chaleur et plaisir diffus, les deux mélangées ?
    Cela dépendrait-il du niveau d’excitation au moment de la séance ?

    J’espère ne pas être parti dans tous les sens et vous remercie par avance.
    Bon cheminement à tous

    #38026
    Caktil
    Participant

    Bonjour @Ncls0,
    Il m’est aussi arrivé de m’endormir au cours d’une séance, surtout s’il ne se passe pas grand chose 🙂. Mon attention est généralement tournée vers les sensations physiques qui se manifestent dans la région périnéale. Maintenant, les sensations commencent à arriver très rapidement en ce qui me concerne. A peine une ou deux minutes après le début de la séance, une fois que le masseur s’est un peu réchauffé. Les respirations contrôlées provoquent les premières manifestations de plaisir. Tant à l’inspiration qu’à l’expiration qui doivent être très profondes. Une fois que les vagues de plaisir commencent à se propager, quelques images érotiques me traversant l’esprit font augmenter les sensations physiques. Plus les scènes sont torrides… Plus le plaisir augmente… En principe, si la séance marche bien, la machine est en route à ce moment-là et les orgasmes vont s’enchaîner, de plus en plus intenses. Dès qu’un orgasme pointe le bout de son nez, les caresses sur les seins et, surtout, sur les tétons vont me permettre de moduler le plaisir et de le faire durer presque aussi longtemps que j’en ai envie.
    C’est à ce moment que les contractions involontaires vont se déclencher chez moi. Mais ce n’est pas systématique, et très souvent je n’ai pas d’involontaire. Ce qui n’empêche pas les vagues d’orgasmes d’arriver.
    Mais parfois, il m’arrive aussi de ne pas arriver à avoir des orgasmes. J’ai aussi des sessions ratées. De moins en moins avec le temps, mais ça peut arriver. La séance « d’après », celle qui suit une séance particulièrement réussie, est parfois ratée car il est difficile de ne pas avoir d’attentes après avoir vécu les meilleurs orgasmes de sa vie…
    Bon cheminement @Ncls0, tu as l’air d’être sur la bonne voie !

    #38027
    Andraneros
    Modérateur

    Ce que je peux répondre à tes questions @Ncls0 :
    1)
    Je pense qu’il vaudrait mieux essayer de connecter ton esprit à tes sensations et particulièrement à celles qui proviennent de la zone prostatique (anus, rectum, prostate, périnée, bas ventre). Les autres sensations qui apparaissent ailleurs dans le corps ne sont que des conséquences de ce que tu vis, au mieux sympathiques, au pire parasites. Celles qui viennent de la zone stimulée par le masseur sont soit la source de ton plaisir, soit ses premières manifestations. A mon humble avis ce sont les plus importantes.
    2)

    Les contractions involontaires
    Très difficiles à identifier.

    Plutôt que des « faire l’effort » de les oublier, essaie de les suivre, de les accompagner en pensée.

    Parfois j’ai l’impression d’effectuer les contractions alors que pas du tout. Parfois j’ai l’impression qu’elles sont involontaires alors que je les provoque.

    Ta remarque est très intéressante. Je me fais la même de temps en temps. Au stade où tu en es est-ce que cette différence est importante ? Si tu en étais à avoir des contractions involontaires, donc échappant totalement à ton contrôle, puissantes, profondes te propulsant sur des pics orgasmiques insoutenables, les renouvelant sans fin apparente, la différence serait importante car c’est la perte de contrôle qui ouvre la voie aux tsunamis orgasmiques.

    Pour toi maintenant c’est l’apparition des vagues de plaisir qui est importante. Ce dont tu dois seulement prendre soin c’est d’évoluer vers des contractions volontaires de plus en plus légères qui peu à peu ne doivent plus générer ton plaisir mais seulement l’accompagner pour s’effacer et laisser la place aux contractions involontaires qui vont le faire durer et s’intensifier.
    3)

    Est-ce plusieurs types d’expression du plaisir ou à terme les deux vont se mélanger ?

    Chaque cheminement est différent. Tu n’échappes pas à cette règle. Ton expérience évolue constamment et continuera de le faire même après des années de pratique. Si tu cherches à contrôler la nature du plaisir que tu vis, tu cours le risque de l’éteindre. Si tu as l’impression que ça part dans tous les sens sans te permettre d’avancer nettement, tu peux toujours essayer de privilégier les conditions qui t’ouvrent à la forme de plaisir qui te paraît apporter la meilleure progression semaine après semaine.

    Bon cheminement @Ncls0.

    #38029
    Ncls0
    Participant

    Bonjour,

    Si tu cherches à contrôler la nature du plaisir que tu vis, tu cours le risque de l’éteindre

    Chassez le naturel, il revient au galop. Je ne peux pas m’en empêcher.
    D’ailleurs @Andraneros, j’ai pu lire l’article que tu avais écrit concernant ton expérience et les différentes étapes de ton cheminement. Je l’ai trouvé très intéressant et ai reconnu beaucoup de similarités au niveau des étapes franchies.

    Je me suis procuré du beurre de Karité mais j’avoue ne pas comprendre ce que je dois en faire et comment m’en servir …

    Bonne journée et bon cheminement.

    #38030
    Andraneros
    Modérateur

    Pour éclairer ta lanterne @Ncls0,
    Le beurre de karité peut servir d’une part à faire des suppositoires à glisser dans le rectum pour une lubrification interne et d’autre part à enduire le masseur de façon plus traditionnelle, pour une double lubrification destinée à des sessions qui peuvent durer beaucoup, beaucoup plus longtemps qu’une simple masturbation à but éjaculatoire.
    1. Lubrification du rectum
    Deux possibilités :
    • Faire fondre le beurre de karité (30 à 35 degrés) et l’injecter dans le rectum à l’aide d’une seringue adaptée,
    • Ma méthode : utiliser une seringue plastique de 5 ml sans aiguille, en couper l’extrémité côté embout pour l’aiguille, l’enfoncer dans le beurre de karité à température ambiante pour en retirer une « carotte », la refroidir quelques minutes au freezer ou congélateur pour qu’elle devienne suffisamment ferme pour être enfoncée dans le rectum à travers l’anus. J’utilise un petit pot en verre dont la profondeur correspond à la longueur de la seringue raccourcie.
    2. Lubrification du masseur
    Ma méthode consiste à liquéfier à basse température (au four à micro ondes réglage 350 w entre 2 et 4 minutes selon quantité), le beurre de karité contenu dans un pot en verre (type pot à confitures) suffisamment profond pour y tremper le masseur sorti du congélateur. Le beurre de karité se fige en couche régulière sur le masseur. Remettre la masseur quelques minutes au congélateur. Pour épaissir la couche de lubrifiant renouveler l’opération.

    A partir de ces exemples tu peux imaginer des variantes avec l’huile de coco, un peu plus liquide que le beurre de karité à température identique. Tu peux aussi utiliser d’autres méthodes que celles que je présente. Par exemple un de nos membres forme des suppositoires directement à la main.

    Le beurre de karité, comme l’huile de coco, se conserve sans problème au congélateur pour de longues périodes et au réfrigérateur voire à température ambiante dans des pots en verre avec couvercle.

    Acheté au kilo sur Internet ce n’est pas cher. Le produit est sain pour notre organisme. En ce qui me concerne la double lubrification est suffisante pour plusieurs heures. Comme les huiles végétales il peut tâcher les tissus. On peut l’utiliser pour adoucir la peau, pour des massages…

    #38039
    Ncls0
    Participant

    Bonjour,

    Petit retour sur l’utilisation du beurre de karité :
    j’ai fait une forme de suppositoire avec deux cuillères comme une petite quenelle et quelques minutes au freezer comme tu m’as dit. La mise en place est assez complexe : j’avais peur que le froid me brûle mais en meme temps si on attend trop ben quand on presse pour l’insérer elle s’écrase …
    J’ai aussi enduit l’Aneros de beurre de Karité à la main (attention très gras) et ben jamais eu autant de facilité à l’insérer …

    Points positifs :
    Aucune gêne à l’intérieur du corps, je n’ai pas de sensation de corps étranger, d’ailleurs je n’ai pas senti le beurre de Karité
    Dure “plus longtemps”, très pratique pour des longues séances
    Points négatifs :
    J’ai eu moins de sensations que d’habitude : peut-être que j’en avais trop mis et comme c’est très gras ça crée une “pellicule” ?
    Le beurre de Karité, c’est trèeees gras.

    Retour sur la dernière séance :
    Respiration allongé sur le dos pendant 15minutes. Puis démarrage de minuscules contractions en stimulant mes tétons pour induire la sensation de plaisir (c’est fou de voir d’ailleurs à quel point mes tétons deviennent sensibles, ils ne l’étaient pas du tout avant que je commence avec l’Aneros)
    Je décide suite à la suggestion de @Caktil d’entretenir tout ça par des “images mentales érotiques” : positif et négatif à la fois. Une très forte excitation amplifiée par l’Aneros mais centrée autour de mon pénis, aucune sensation au niveau de la prostate zéro. Par contre, une très forte érection et j’ai failli éjaculer sans me toucher.
    Je ressentais le plaisir phallique classique donc pas un grand intêret mis à part de m’éloigner du but (malheureusement, les “images érotiques” me concernant sont toutes centrées autour de mon pénis. N’ayant jamais pratiqué autre chose que le “sexe hétéro classique” même si je n’aime pas ce terme).

    J’en conclue que l’excitation sexuelle est un tremplin mais qu’il faut arriver à la diriger au bon endroit.
    Je vais faire une pause demain car je ne suis pas du tout dans le bon état d’esprit en ce moment (focus sur le but, impatient) j’enchaine trop les séances.
    J’ai vu @Andraneros que tu disais que l’apprentissage entre les séances est aussi important que pendant les séances : je te rejoins sur ce point.
    Je vais essayer de rester abstinent sexuellement et ne pas me toucher pour augmenter l’excitation au moment de la prochaine séance.

    La suite au prochain épisode, bon cheminement.

    #38042
    Andraneros
    Modérateur

    Tu écris @Ncls0 :

    j’avais peur que le froid me brûle

    Selon mon expérience pour les petites quantités que nous utilisons ce risque est infime voire inexistant. En insérant un suppo à la sortie du congélateur j’ai ressenti au maximum une gêne pendant 1 minute ou deux. En revanche il est vrai que si on attend trop longtemps après la sortie il se ramollit vite.

    Selon mon expérience il se crée en effet une pellicule qui doit se répandre sur les parois du rectum. Il m’arrive de retrouver des selles partiellement enrobées d’une fine pellicule blanchâtre le lendemain d’une session. Je ne pense pas que cette très fine pellicule huileuse puisse modifier beaucoup les sensations. Parmi les méthodes de lubrification proposées sur le forum officiel Aneros il y la méthode du préservatif qui consiste à enfiler un préservatif sur le masseur et à lubrifier l’intérieur du préservatif. La pellicule du préservatif sera toujours moins glissante que la pellicule huileuse du beurre de karité fondu.

    Tu peux ajuster la quantité de beurre de karité en raccoorcissant ton suppositoire, ce qui est facile à faire si tu utilise une petite seringue.

    C’est super de faire ainsi des expériences pour varier les conditions de tes sessions et vérifier ce qui te convient le mieux.

    Bon cheminement @Ncls0.

    #38137
    Caktil
    Participant

    Bonjour à tous,

    En insérant un suppo à la sortie du congélateur j’ai ressenti au maximum une gêne pendant 1 minute ou deux. En revanche il est vrai que si on attend trop longtemps après la sortie il se ramollit vite.

    Quand j’y pense… je sors un suppositoire du congélateur et le laisse au frigo entre 30 et 60 minutes avant ma séance. Il reste bien ferme et n’est pas trop froid comme ça.
    Quand j’y pense…🙂

    #38404
    Ncls0
    Participant

    Bonjour à tous,
    Je reviens après plusieurs semaines de vacances et la possibilité de pratiquer à nouveau.
    J’espère que ce temps à permis à chacun de progresser.

    J’ai l’impresion de stagner depuis quelques semaines. Je ne sais pas si je suis dans une phase de rewiring qui prend du temps mais c’est assez frustrant.

    Cependant, je ressens désormais des vagues de plaisir et des sensations de bien-être à toutes les séances. Je commence à sentir ces vagues émaner de ma prostate donc les localiser et non pas ressentir quelquechose de plus abstrait et général.
    De plus en plus, lors de chaque séance il se passe quelquechose que je ne comprends pas mais vous pourrez peut-être m’éclairer.

    Je construis les différentes vagues de plaisir au travers de la relaxation et de la respiration et cette “chose” se produit.
    Les vagues de plaisir s’arrêtent pour laisser place à quelquechose de plus explosif qui ne prévient pas : des contractions internes très très fortes comme si j’essayais d’éjaculer et des cris/gémissements que je ne contrôle pas. Ces contractions sont si fortes qu’il m’arrive souvent d”‘expulser l’Aneros”
    Toute cette phase accompagnée de révulsion des yeux …
    Je me demande ce que j’expérimente à ce moment-là : serait-ce ce qu’on appelle le Dry Orgasm ou bien juste que je me crispe. Pendant ces phases, je ne ressens plus les vagues de plaisir mais en même temps je n’en ressens pas non plus lorsque j’ai un orgasme traditionnel.
    Celà s’y apparente plus d’ailleurs au niveau de la forme.

    J’arrive également à recommencer ces phases en me calmant à nouveau avec relaxation etc …

    Je n’arrive pas à analyser et comprendre ces moments, j’espère que vous pourrez m’éclaire ou m’aider.
    Bon cheminement à tous.

    #38405
    bzo
    Participant

    je ne comprends pas très bien ton attitude,
    tu commences à avoir de sérieuses sensations, tout cela semble plutôt bien prendre forme,
    pourquoi tu te poses ce genre de questions
    et pourquoi tu ne te laisses pas simplement aller, simplement emporter

    pour moi, le noeud du problème est là chez toi,
    ton corps a envie juste de plaisir, d’ivresse, de grands moments d’égarement voluptueux
    mais toi, tu ne te laisses pas faire,
    tu t’accroches

    juste dans ces moments, fais le vide dans ta tête
    et laisse tout venir comme le désir le présente en toi,
    ne te pose plus de questions, juste essaie de goûte l’instant,
    laisse-toi faire, laisse-toi immerger dans ta chair dans ce flot délicieux
    sans te demander ce qui t’arrive

    #38408
    Andraneros
    Modérateur

    Bonjour @Ncls0, tu demandes :

    Je me demande ce que j’expérimente à ce moment-là : serait-ce ce qu’on appelle le Dry Orgasm

    Je suis tenté de te répondre oui et de compléter ma réponse en ajoutant avant que tu ne te crispes pour bloquer instinctivement une réaction de ton corps qui te fait peur. Si tu peux exprimer ton plaisir en toute liberté, cris, gémissements, contractions, convulsions, si tu n’es pas contraint à la discrétion absolue, lâche toi, accepte de te laisser dominer par les réactions de ton corps. Accepte de lâcher prise. Notre ami @jieffe a pu faire de gros progrès quand il a pu lui aussi se « lâcher ». Tu peux relire son « petit journal » et la suite « rewired ».

    Si tu ne peux pas te laisser complètement et librement aller, tu peux t’orienter sur le renforcement de ta relaxation, chaque fois que tu sens des tensions s’annoncer, avant qu’elles ne se traduisent par des contractions incontrôlables.

    Bon cheminement @Ncls0.

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