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bzo, le il y a 22 heures et 47 minutes.
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- 19 juin 2021 à 13 h 46 min #41579
bzo
Participantqui connait Jacques Tati?
sa trilogie avec le personnage de Mr Hulot, interprété par lui-même,
Les Vacances de Mr Hulot, Mon Oncle et le sublissime Playtime
sont des chefs d’oeuvre immortels du cinéma,
à voir absolument19 juin 2021 à 18 h 41 min #41582bzo
Participantce qui est extraordinaire avec ce forum,
une des raisons pour laquelle il est assez unique,
enfin il y en a sans doute quelques autres du même genre tout de même,
c’est que quand on joue le jeu,
on peut y partager ce qui est de l’ordre du plus intime, du plus personnel, du plus inavouable, sans rien retenir
des choses qu’on vit dans sa chair ou qu’on essaie de vivre dans sa chair,
des pratiques plus ou moins à part, pas forcément bien méchantes,
des secrets qu’on ne partageraient jamais avec nos plus proches,
ceux qui nous entourent, ceux que l’on aime,
enfin assez rarement,
les secrets les plus intimes, des aveux de désirs, de fantasmes, pas très catholiques,
des passages à l’acte hors des sentiers battusmoi, ici, je joue le jeu à fond, j’avoue tout,
peut-être une forme d’exhibitionnisme,
ce que j’écris par ici, jamais vous ne l’imagineriez de moi si vous me croisiez dans la rue,
ce que j’écris par ici, jamais même je ne l’imagine de moi
car après, j’oublie tout, cela n’existe plus, je n’y pense jamais
sauf quand je viens écrire par icicela vient tout seul, je laisse venir, juste je m’ouvre, je me délie, je ne retiens rien,
je laisse tout monter, je me laisse entraîner, sachant pertinemment où cela va me mener
et cela me va, cela me va, ô combien,
plus aucune honte, aucun tabou, aucune appréhension,
j’ose tout, je remue mon cul, je me dandine, je me caresse, j’ondule lascivement,
je me laisse aller entièrement à ce plaisir au féminin, ce mode yinpeu probable que je partage jamais cela avec quelqu’un,
est-ce seulement partageable?
c’est mon jardin secret, mon délire à moi, tout seul dans mon alcôve,
un plaisir XXL à mon usage très très personnel,
je déguste cela, tous les jours, jusqu’à la dernière miette,
petit miracle qui se joue dans ma chair dont je suis le seul témoin
et encore une fois, c’est bien ainsisi je partageais ma vie avec quelqu’un, une compagne,
est-ce que j’aurais été si loin? sans doute pas
mais voilà c’est là maintenant
et même si je me remettais en couple, cela resterait sans doute, probablement je continuerai,
moins souvent et c’est normal,
c’est juste trop bon, trop ineffable, pour laisser tomber
comment résister à pareil volupté et jouissance dans tout le corps à chaque instant?je m’imaginerai bien partager une pratique prostatique
pour essayer de vivre en commun des moments exceptionnels de transe sexuelle
mais mon mode yin, c’est définitivement mon jardin secret à moi,
aux délices très spéciaux, incomparables
où je me déambulerais jamais en compagnie de quelqu’un d’autre19 juin 2021 à 23 h 43 min #41593bzo
Participantfaire l’amour,
tout seul ou à plusieurs,
c’est essayer de former un cercle parfait
où le masculin et le féminin se rejoignentpeu importe que ce soient deux hommes ou deux femmes
ou bien que les deux sexes s’entremêlent,
c’est toujours le même principel’homme et la femme libèrent le masculin et le féminin, en eux,
le féminin et le masculin dans le corps de la femme,
le masculin et le féminin dans le corps de l’hommequand l’homme ne libère quasiment que le masculin en lui
et la femme que le féminin en elle,
les nuances des différentes combinaisons étant exponentielles,
ce sont potentiellement les plus pauvres, les plus limitéesa contrario,
quand l’homme et la femme libèrent les deux pôles sexuels en chacun,
par le jeu des miroirs réfléchissants dans le dialogue des corps,
les possibilités deviennent infinies22 juin 2021 à 9 h 07 min #41659bzo
Participantchaque geste, chaque mouvement, fait partie du chant
et quand je bouge quelque chose, un membre, le tronc, le bassin, que je me caresse,
je fais juste attention aux notes,
qu’une mélodie se dessine,
que le désir soit de plus en plus comme un élan montant de partoutl’harmonie dans la chair est sauvage, tellurique, indomptable,
elle est aussi tellement douce, soyeuse, caressante,
oh comme tout participe,
chaque cellule de mon être, vibrele chant est une danse vibratoire,
un choeur très ancien paraissant aussi neuf qu’au premier jour22 juin 2021 à 23 h 55 min #41666bzo
Participantje me caresse,
juste en bougeant lentement et langoureusement,
chacun de mes mouvements ainsi,
semble comme une caresse ineffablechaque contraction,
comme un ascenseur hydraulique depuis la zone de l’anus
tout se soulève dans mon bassin,
les entrailles sont arrachées en douceur au passage,
le tout remonte en fondant, débouchant dans la têteje ferme les yeux un instant,
plein de petites vibrations semblent nager soyeusement
maintenant derrière mes paupièresun moment d’émerveillement et d’unisson dans la chair,
d’absolu et de finesse, de désir à tire-d’aile23 juin 2021 à 23 h 35 min #41668bzo
Participantdans la forêt, très régulièrement, j’ai cette impression de me retrouver devant un tableau
une envie irrésistible de m’arrêter,
comme on s’arrête dans une exposition devant une peinture pour l’étudier, plonger le regard dedans,
en inspecter longuement les détailsje me suis acheté ce soir même, en ligne, un tabouret pliable ultra-léger,
avec une lanière pour pouvoir le transporter sur le dos, c’est pliable et dépliable, en quelques secondes,
cela va me permettre de m’asseoir à peu près partout, pour admirer quand je veux, où je veux,
au bord des étangs aussi,
avec tous ces canards paisibles, ces cygnes, ces hérons,
je vais m’incruster parmi euxce bien-être qui m’a envahi directement, dès que je me suis retrouvé, entouré par les arbres de la forêt,
il y a quelque chose de matriciel là-dedans, on est là comme dans un ventre maternel,
on est en train de naître ou du moins, de renaître un peula vie et la mort, par ici, sont tellement entrelacés et ce n’est pas triste pour un sou,
tout ce qui gît par ici, de tous les côtés, a vécu un instant,
cela semble un relai éternel, on est dans l’ordre immuable des choses jusqu’au cou,
les canards vaquent tranquillement au fil de l’eau,
leur temps viendra de se tordre quelques instants en quête encore d’un peu d’air qui n’arrive plus,
qui n’arrivera plus jamais pour eux,
en attendant, ils vaquent tranquillement à leurs affaires sans se soucier de quoi que ce soitdans nos cités, on a éloigné la mort, on ne marche plus parmi elle,
elle ne côtoie plus la vie au plus près comme dans la forêt,
on est entouré que d’objets manufacturés, artificiels, ni vivantes, ni mortes,
mais de retour parmi les arbres, on est frappé à quel point la mort est présente par ici,
c’est un immense palais avec des briques constituées de deux matériaux différents,
la vie et la mort
et je déambule avec délice dans ses couloirs,
comme ils résonnent mystérieusementpar moments, dans le silence quand je m’immobilise un peu longuement,
quelque chose semble prêt à me happer,
un jour, cela arrivera, ce sera une fête,
je festoierai avec les arbres, les oiseaux, les plantes, le soleil, la lumière, le ventje me suis immobilisé sur un chemin car un minuscule écureuil s’approchait,
je restais bien immobile comme une statue, l’adorable bestiole, s’est rapproché à un mètre à peine,
quelle grâce, tous ces animaux,
j’ai vu un pivert aussi, il tapait contre le tronc d’un grand pin, à quelques mètres à peine du sol,
j’ai voulu me rapprocher un peu mais il s’est directement envolé,
du coup, ce soir, je me suis commandé des jumelles aussi,
faut s’équiper, faire tout cela sérieusement25 juin 2021 à 21 h 36 min #41670bzo
Participantle plaisir,
c’est toujours une affaire d’angle, d’inclinaison, de pente
et de mise en mouvementécoutez la vague intérieure,
c’est la faire naître, la façonner, la renouveler, la recréer,
constamment, avec patienceécoutez la vague intérieure,
et jouez de vous-même comme d’un instrument de musiqueécoutez la vague intérieure,
et sculptez-vous, un instant, comme un monument festif et joyeux, au plaisir26 juin 2021 à 10 h 11 min #41671bzo
Participantje m’impose souvent ces derniers temps une brûlante restriction,
je me force à ne pas utiliser mes mains pendant quelque tempsmon bassin se met danser, à onduler, mes cuisses à frotter langoureusement mes génitaux,
je fais monter des contractions doucement, doucement,
je prends une pose alanguie
mais je laisse mes bras dans la position où ils étaient, inertes, immobilesje commence à sentir des picotements au bout des doigts, je fais comme si de rien n’était,
je continue mon manège, le reste est en mode liane lascive,
cela ondule de partout en moi,
sauf les bras qui restes muets, ballantsje continue, je continue, les picotements au bout des doigts reviennent,
je sens aussi ma peau qui commence à brûler, elle a envie de frottements, d’effleurements, de caresse
je sens comme un arc de manque, se dessiner entre mes mains et toute ma peau,
toujours je reste sourd à cette supplique, je fais monter la tension,
je me concentre sur tout le reste, j’écoute mon bassin,
j’écoute ma prostate, j’écoute mes génitaux, je me projette dans mes cuisses, dans la danse de mes hanches
tout en sentant de plus en plus ma peau comme devenir brûlante de désir, comme me supplier
et mes doigts, comme des chevaux enfermés, qui piaffent leur frustration de ne pas pouvoir se gambader librementet puis soudainement, zou, lentement, lentement, je monte une main vers un sein,
mais vraiment tranquillement, au ralenti,
les doigts devinent que bientôt, enfin, ils vont pouvoir se mettre en action,
la peau aussi, semblent déjà frémir du contact bientôt de ma paume,
là encore je fais traîner l’opération de rapprochement
pour que la tension monte encore de quelques cranset puis tout de même…
la paume entre en contact avec le sein,
j’y place toute mon expertise que l’effleurement soit le plus exquis possible,
ils semblent couler l’un dans l’autre, les doigts semblent fondre dans la peau comme dans un pot de miel
tout en se mouvant lentement dessus,
je sursaute, quel sublime succession de feus de paille, de légères nuancesje ne laisse plus que le bout de mes doigts en contact,
ils semblent errer au hasard, une chorégraphie improvisée
restant tout de même dans la région du bout du sein, du mamelon,
ils effleurent le petit bout de chair bien durci maintenant encore et encore,
le gratouillent tout légèrement, repartent, reviennent à la charge sans relâche,
ne lui laissent pas une seconde de répit, le font pencher dans toutes les directionsdans mon bassin, cela continue , bien sûr,
juste bien se coordonner avec ces doigts mutins qui s’activent là-haut, toujours dialoguer,
les deux mains désormais sont en action, l’un caresse l’autre sein,
la première main est partie en vadrouille, sur le torse, les hanches, effleure mon troutrou derrière,
un doigt s’enfonce, de plus en plus, quelle chaleur dense nouvelle, soudainement dans mes entrailles,
une grosse mare de chaleur lourde, orageuse,
je lie l’intrus directement à des contractions en rafale,
le doigt semble être enveloppé, emmailloté, ainsi, là-dedans,
ils semblent comme danser ensemble, totalement synchronisés, ne faisant plus qu’unj’ai plusieurs synchronisations, plusieurs dialogues parfaits, de complicité forte, qui se sont établies, au fil du temps,
mes cuisses avec mes génitaux, un ou deux doigts dans mon anus avec les contractions
et puis aussi, les doigts, encore, avec le bout de mes seinscomme je suis envahi du yin,
le féminin peut tellement se réveiller en nous,
nous faire vivre notre chair autrement,
c’est juste magique, indescriptiblement magique,
d’avoir ce corps d’homme mais de le sentir vibrer au féminin complètement26 juin 2021 à 10 h 27 min #41672bzo
Participantma chère galaxie, ma chair galaxie
29 juin 2021 à 0 h 57 min #41673bzo
Participantun peu de tension dans le sexe,
permet de pousser encore plus fort, plus juste, avec son périnée au moment vouludonc, je laisse mon pénis se raidir un peu et puis je contracte, je contracte
et je le sens qui m’aide à pousser, je prends appui dessus, je m’arc-boute contre
et je sens la contraction qui remonte comme dans du beurre, irrésistiblement, avec un angle délicieux
qui semble m’empaler jusqu’au fin fond de l’âme,
les ondes prostatiques m’emportent sur leur escalator fulgurant, vers le ciel30 juin 2021 à 22 h 18 min #41680bzo
Participantla pluie dans la forêt,
ce sont des millions et des millions de gouttes d’eau
à travers des millions et des millions de feuilles,
la pluie dans la forêt,
c’est comme s’il y avait un torrent qui passait, partout là-haut, parmi les frondaisonsmoi qui suis allergique au bruit, qui hait le bruit,
c’est néanmoins une musique douce à mes oreilles,
tout comme des enfants qui jouent, des oiseaux qui chantent, le vent, les vaguesje me suis acheté un petit siège repliable, avec une lanière, qu’on peut transporter sur l’épaule,
rendre opérationnel en quelques instants,
du coup, chaque fois que j’avais devant les yeux, un paysage qui me plaisait, je m’arrêtais,
autant dire que j’ai beaucoup moins marché que d’habitudeil va falloir équilibrer mes moments de pérégrination et contemplatifs
mais c’est si agréable de s’installer comme cela en plein milieu de la forêt,
à la moindre envie, face à une belle clairière, au bord d’un étang,
n’importe où du moment que cela nous a tapé dans l’oeil,
ces petits sièges, en tout cas, celui que j’ai acheté, sont étonnement confortables,
on s’y assoit comme si on était dans son jardin sur une chaise,
on est à l’aise, on se détend, on s’ouvre, la nature en profite pour se rapprocher,
je m’attardais sans effort ainsi, à contempler longuement ce que j’avais en face de moi,
je me sentais m’incruster de plus en plus dans le paysageles énergies au fond de moi, sont titillées, par ici,
je l’ai senti très distinctement aujourd’hui,
ça monte sourdement, ça a envie d’aller se répandre parmi les arbres, les plantes, le ciel,
je me suis rendu compte d’une chose importante,
c’est qu’elles leur appartenait au moins autant, qu’à moi,
ça m’a profondément ému qu’il y avait quelque chose en moi
que toute cette nature autour, était prête à réceptionner, à reconnaitre,
à assimiler un instant,
je me suis senti capable de devenir plante parmi les plantes,
arbres parmi les arbres, bout de ciel parmi d’autres bouts de cielquelque chose m’attend là-dehors, par ici,
il y a une fête intime là-dehors qui n’attend que moi,
je me sens comme un invité qui doit se rendre chez des gens,
j’ai reçu un carton d’invitation, j’ai acheté une bouteille de vin à prendre avec moi,
je n’ai pas encore l’adresse de la fête, ni le moyen de locomotion
mais je sais que je suis sur la liste des invités3 juillet 2021 à 0 h 59 min #41682bzo
Participantcela fait maintenant des semaines que je n’ai plus éjaculé,
c’est comme un investissement à haut rendement, cette histoire
et cela rapporte de plus en plus,
les actions de ma libido grimpent en flèche, au fil des joursje reste de longues secondes, debout,
juste à me frotter lentement les bijoux de famille avec les cuisses,
tout en ondulant un peu latéralement,
jusqu’à ce que je sois envahi d’une volupté indicible un peu partout,
alors j’écarte les cuisses et fais monter une première contraction,
de la prostatique, cent pour cent pure, ainsi,
en contraste avec toutes ces ondes génitales qui vibraient partout en moi,
cela fait comme un engin très dense, très têtu, qui s’élance depuis la zone de mon anus,
droit vers le haut, cela devient de plus en plus chaud,
la chair semble se mettre à fondre sur son passageje maintiens la contraction longuement, juste jouant un peu sur la pression,
pour provoquer des effets, des nuances, je bouge un peu le cul, très indécemment,
je crois que j’aime plus que tout, cette sensation de me pénétrer moi-même,
elle est devenue tellement réaliste, j’en jouis presque, rien que d’y penser,
j’ai l’impression de sentir immédiatement en moi ce délicieux empalement
autour duquel se forme comme un bouquet immense dans ma chairje m’ouvre vers le ciel, je m’étale sur l’horizon,
je me sens butiné de toutes parts,
quel capital et qui gonfle jour après jour,
toutes ces énergies qui s’amplifient,
c’est mon trésor, je le fais fructifierles ondes deviennent tellement fines et précises ainsi,
si je pouvais glisser un doigt en moi, je pourrais les suivre à la trace,
tellement je les sens localisées en moi, tellement je sens leur déplacement,
leurs changements de direction, leur montée en puissancele sexe, ce sont des ailes, la viande devient des ailes,
mon coeur bat à leur rythme, dans ces moments-là,
il me reste une plume ou deux, duveteuses, tombées, quelque part au fond de l’oeil,
qui témoignent de leur passage, de la sublime transmutation,
du chant du vent dans mon sang,
l’air le plus libre est passé par là, un instant, m’a porté, m’a emporté3 juillet 2021 à 11 h 56 min #41683bzo
Participantc’est tout à fait délicieux cette façon que j’ai de bander ces derniers temps,
pratiquant debout ou assisc’est durant les contractions, cuisses bien écartées, pas ou peu d’ondes génitales donc
mais les contractions partent bien du périnée
et peu à peu la tension dans celui-ci semble se prolonger de plus en plus dans mon sexe,
poussant celui-ci à se raidir de plus en plusun arc semble s’établir depuis mon périnée jusqu’à dans mon pénis,
je m’appuie dessus, relâche bien tout le reste de la zone
et puis je pousse, je presse, fais monter les contractions les unes après les autres,
mon braquemart devient turgescent, pas raide , raide, mais tout de mêmec’est une sensation étonnante car il y a un réel plaisir à le sentir se dresser plus ou moins
mais en même temps, il y a peu d’ondes génitales,
la place est occupé surtout par des ondes prostatiques,
cela me fait quelque chose de très exotique à percevoir,
car le yin est partout en moi,
cette tige quelque peu dressée, se rappelle à mes bons souvenirsun accessoire yang détourné jusqu’ici de son utilisation mâle
qui revient par la bande, si je puis dire,
mon petit bâtonnet de chair qui me fait signe
tandis qu’en mode yin, complètement malgré tout,
je continue à me faire l’amour passionnément,
c’est presque comme une sorte de clin d’oeil, de ma masculinité
qui semble me dire, “eh, ainsi, c’est encore mieux,
tu pousses encore mieux en toi, petit coquin, ainsi,
les va et vient sont encore plus délicieux
et puis je te fais vivre aussi, un peu du plaisir de sentir son braquemart se durcir, se dresser mâlement,
tu me vis aussi comme pénétrant, encore mieux ainsi”c’est gagnant sur toute la ligne, cette histoire
et comme il ne semble y avoir que des ondes prostatiques émises pratiquement,
je n’ai aucune crainte que cela dérive vers une éjaculation,
à aucun moment je sens cela monter en moi,
pour l’instant en tout cas
malgré déjà des semaines, sans émission de spermemon dieu que c’est bon ainsi, debout, bandant, dansant du bassin,
me sentant pénétré jusqu’au fond de l’âme
et sentant mon sexe raide pénétrant aussi3 juillet 2021 à 13 h 33 min #41684bzo
Participantrien ne s’opposait à ce que ma pratique devienne extrême
je veux dire, vivant sans compagne, n’ayant aucune interaction sexuelle avec personne,
des conditions matérielles plutôt favorables qui m’offre de nombreuses heures de liberté,
à consacrer à l’exploration d’une sexualité en solitairel’esprit aventureux de plus en plus, de plus en plus ouvert,
peu à peu, sans crainte d’aucun tabou, d’aucune limite,
la voie était grande ouverte, pour aller plus loin,
toujours plus loinsans même me rendre compte à quel point,
j’allais franchir certaines frontières,
plus particulièrement celles de mon identité sexuelle,
je peux à présent, par moments, dandiner mon cul, le bouger comme une femme,
me caresser, onduler,
cela ne me gêne pas une secondesuis-je devenu homosexuel avec mes pratiques?
certains en me lisant, doivent le penser,
l’envie de bite est là, par moments, sérieusement,
de toutes façons, a toujours été là,
j’en ai caressé quelques unes, plus jeune,
est-ce que j’ai plus envie d’en sentir une à proximité immédiate,
dénudée, dressée, prête à être happée par ma bouche, ma main, mon anus,
qu’avant?sans doute, peut-être, je ne sais pas,
pour cela il faudrait que je me confronte dans la réalité, à nouveau, avec le corps d’autres,
avec les gestes d’autres, avec leur odeur, la chaleur de leur chair, leur désirje ne sais pas
et au fond je m’en fous,
j’explore ce continent en moi, qui se révèle de plus en plus, dans toute sa splendeur
je saisi le moment, ce que le moment m’offre,
je libère mon désir, je me laisse entraîner,
c’est si bon, de se laisser entraîner sur cette pente, vers un ciel si personnel,
qui vivra, verra3 juillet 2021 à 13 h 51 min #41685bzo
Participantle désir nous entraine dans une réalité parallèle quelques instants
qui est comme une pâte à modeler quelque part4 juillet 2021 à 13 h 06 min #41686bzo
Participantchaque jour en plus, sans éjaculation,
mon corps devient plus sensible, au moindre contact, au moindre mouvement,
au moindre geste, à la moindre posture, au moindre acte, à connotation sexuelle,
ma prostate plus délicieusement explosive
et mes génitaux, well… mes génitaux aussi bien sûr, ô combien,
bien qu’avec eux, il faut faire de plus en plus attention aussi
car les frotter, les presser, un peu n’importe comment,
l’engin peut vite s’emballer et cracher son jusaussi, je serre juste mes cuisses un peu, comme pour former un nid à mes bijoux de famille,
je ne les bouge plus trop alors, ainsi déjà avec de très légers changements de pression,
de telles vagues d’ondes génitales naissent et s’en vont dans toutes les directions,
que c’est un bonheur jouissif de tous les instantsquant à ma chère prostate, ainsi pompé à bloc que je suis, saturé d’énergie dans tout le corps,
quelques minutes de contractions, cuisses écartées,
m’emmènent déjà au bord de l’orgasme prostatique,
j’insiste un peu, ils arrivent à la chaîne, comme dans le bon vieux temps,
je suis très content, bien sûr, c’était un de mes buts, de parvenir à nouveau à en obtenirc’est donc un capital précieux qui croit dans mon bassin,
un coffre à trésor rempli d’énergies qui déborde de tous les côtés désormais, pour mon plus grand bonheur,
les sensations sont tellement exacerbées, l’impression qu’elles sont à 300%, à 400% de leur potentiel,
en même temps, tellement fines, tellement précises, tellement riches de nuances, de détailsoh comme c’est bon ainsi, comme c’est bon dans cet état de surexcitation constante,
bien sûr j’évite plus que jamais le porno et puis les contacts de mes génitaux avec les mains,
ce sont vraiment les deux clefs
pour y arriver sans trop trop de difficultés, sur de plus longues périodes, sans éjaculer
et bien sûr, avoir déjà une pratique qui apporte beaucoup de satisfaction, qui rassasie la chair
sinon, c’est plus compliqué
mais c’est possible, je l’ai fait à l’époque où j’étais loin d’avoir le niveau que j’ai à présentsi on est en couple ou si on a de l’interaction sexuelle à gauche et à droite,
c’est plus facile, bien sûr,
on échange constamment ses énergies avec le ou les autres, on les renouvelle ainsi,
c’est plus sain, on n’a pas besoin d’accumuler, on renouvelle
et c’est reparti pour un tour sur des bases neuves
mais enfin si on est tout seul, pendant une période plus ou moins longue,
pour une raison ou pour une autre,
laisser ses réserves d’énergie s’accumuler, c’est définitivement une très bonne idée
pour optimiser sa pratique,
pour mettre un turbo de plus en plus puissant dans son moteurje marche, le moindre effleurement de mes cuisses sur mes parties, m’arrachent des gémissements,
je fais monter une contraction, je jouis quasi instantanément,
oh oui, ça vaut vraiment la peine!
enfin, il faut nuancer, sans doute parce que la sensibilité de mon corps s’est adaptée avec les années de pratique,
je l’ai rendu ultra-sensible sur toute sa surface,
mes génitaux aussi, avec mes cuisses, depuis le temps qu’ils sont leurs interlocuteurs privilégiés
qui viennent les titiller, les presser, les frotter, les effleurer, depuis des années,
cela vous fait des génitaux, très spécialement sensibilisés
vous avez rewiré votre cerveau pour ressentir du plaisir, beaucoup de plaisir,
rien qu’avec vos cuisses venant jouer avec vos bijoux de famillel’image la plus parlante pour exprimer comment je ressens cela, ce petit manège, là en bas,
c’est celle que j’utilise assez régulièrement, d’une éponge imbibée de volupté
qui au moindre effleurement, au moindre contact,
dégorge des vagues soyeuses, chaudes, frémissantes, dans toutes les directions,
c’est comme cela qu’ils réagissent chez moiet puis ma prostate aussi, bien sur, tellement éveillée,
tellement participant à la moindre contraction de muscle dans la région,
lâchant des ondes vers le hautcela fonctionne si miraculeusement au quart de tour chez moi, pour l’instant,
peut-être, sans doute même, ce sera moins le cas, pour quelqu’un
qui n’aurait pas tout toutes ces heures de séances derrière lui
mais enfin, il se met en d’excellentes conditions
pour réussir plus vite dans des pratiques hors des sentiers battus qui font appel à la prostate
ou au corps en général
mais différemment des exercices habituels centrés autour du pénis dresséje suis donc en train d’adapter ma technique par rapport à tout ce qui m’arrive
grâce aux d’énergies en train de s’accumuler,
tout remettre en question, en fait même, pour être plus exact, depuis hier soir,dans quelques textes au-dessus, j’évoquais les excès dans lesquels ma pratique m’a entraînés,
c’est assez drôle car je suis déjà en train de remettre tout cela en question depuis hier soir,
un jour à peine après que j’en ai chanté les louanges
mais donc pour l’instant, je ne fais quasi plus du tout danser mes hanches,
je me caresse nettement moins, je n’ondule plus, plus de mode liane lascive,
en fait pour l’instant, j’obtiens de meilleurs résultats
en ayant des actions beaucoup plus minimalistes,
c’est plus concentré, plus efficace,
je n’essaie même plus pour l’instant,
j’ai l’impression de me disperser, chaque fois que j’essaie de m’y remettrec’est toujours le mode yin, je m’en rends compte mais en plus concentré,
plus de gestes inutiles, de mouvements et d’attitudes plus ou moins féminisés qui, je croyais,
me permettaient de mieux laisser le yin s’exprimer en moi
j’en rajoutais juste, je me rends compte, j’en faisais trop, inutilement
même si cela venait avec un plaisir bien spécifique, assez délicieux, il faut bien l’avoueravec ma volonté à tout prix de libérer le désir, de me laisser entraîner par lui partout,
peut-être je me piégeais moi-même
et a fini par freiner ma croissance, en fin de compte, plus qu’autre chose,
même si le plaisir, encore une fois, était au rendez-vous
mais cela, ce n’est plus un problème chez moi, depuis longtemps, il est toujours au rendez-vous,
c’est sa qualité, sa richesse, sa diversité, sa progression régulière qui sont chez moi, le baromètre
et là, il faut être honnête, cela ne progressait plus trop,
même si cela restait extrêmement délicieux
mais sentir qu’on n’est plus en route, que cela ne progresse plus vraiment,
c’est signe qu’il y a quelque chose qui ne va pas,
qu’il faut essayer de réagiror, je me suis rendu compte hier soir,
que je ne progressais plus vraiment depuis longtemps,
que les seuls changements venaient du fait que je pouvais me lâcher de plus en plus,
de plus en plus faire monter mes énergies,
c’est aussi du progrès, cela, bien sûr
cela apporte de l’amélioration, cela accroit le potentiel à chaque instant
mais ce n’est pas ce type d’ évolution à laquelle je pense,
ce n’est pas assez de compter uniquement là-dessus5 juillet 2021 à 22 h 22 min #41691bzo
Participantle mode yin 2.0 est bien sur les rails chez moi,
je me suis exercé avec cette nouvelle manière, tout le week-end,
oh comme je l’aime déjà, inconditionnellement, passionnémentpar contre, le terme cul de sac que j’ai utilisé au-dessus,
pour décrire mon cheminement de ces derniers mois, est injuste, dénigrant,
il faut évoquer plutôt qu’une nouvelle étape qui a été franchiedans ma volonté de laisser s’exprimer
autant que possible, sans concessions, le yin en moi,
j’apprenais tant bien que mal,
le plaisir au féminin, dans un corps d’homme,
c’est comme si on se retrouvait soudainement catapulté dans un pays lointain,
avec sa langue, ses règles, ses lois, différentes, ses us et ses coutumes, propres
je découvrais de nouveaux gestes, une nouvelle façon de bouger,
des postures alanguies, des caresses sur tout le corps,
les hanches dansantes, le jeu langoureux des ondes dans le bassin,
le frotti frotta voluptueux des cuisses sur les bijoux de familletout cela étant radicalement nouveau,
tellement au-delà des frontières de mon identité sexuelle,
que je hésitais, que je tâtonnais, bien sûr,
dans l’incertitude et le flou qui régnaient au fil des jours,
j’ai choisi d’en faire plutôt plus, beaucoup plus même, autant que possible, en fait,
que pas assezil était temps à présent, après de nombreux mois, ainsi,
de faire de sérieux réajustements, des réglages plus en finesse, plus optimisés
de bouger, de me déplacer, plus juste,
de prendre des postures, d’effectuer des contractions, de manière plus précise, plus économe,
j’étais prêt, cela pouvait se mettre en route, semble-t-ilrésultat, plus de mode liane lascive quasiment, me caresse peu,
enfin tout cela, a à peu près complètement disparu, en un temps record,
pourtant le yin est bien là, plus que jamais,
et puis comme je l’écris au-dessus, je suis désormais capable d’orgasme prostatique aussi
malgré que je continue de mélanger les types d’ondes dans le bassin,
cependant mes bijoux de famille sont beaucoup moins sollicités,
des pressions et des légers mouvements dessus, provoquent des mini-séismes
mais le flux est très majoritairement prostatiquepar exemple, j’ai réalisé qu’avec un micro-mouvement, à peine perceptible, des hanches,
le yin réagissait beaucoup plus que quand j’effectuais de plus amples mouvements
ou plutôt que je le ressentais avec plus de précision et plus longtemps,
la vérité, c’est que les réactions à l’intérieur peuvent être noyés, dispersés, plus ou moins,
trop de mouvements, trop de gestes, trop de force, trop d’amplitude,
provoquent du bruit inutile en nous, qu’on confond avec des sensations
mais ils les diluent plutôtbon, je n’en suis pas encore au “do nothing”,
j’en suis très loin même, je suis toujours quasi continuellement en action
mais un très sérieux élagage tout de même, a eu lieu,
tout est une question d’équilibre, entre l’action et l’inaction,
entre le yin et le yang, entre la tension et le relâchement6 juillet 2021 à 9 h 25 min #41693bzo
Participantquelques minutes de plaisir intense avant de passer sur l’autre machine,
ma machine de travail,
le cul sur le bord de mon bureau, comme j’aime tellement,
j’ai les cuisses écartées et je fais monter lentement des contractions,à chacune, je gémis de plus en plus fort,
à chacune, mes paupières se referment,
je les rouvrent à chaque fois, j’aime me sentir les yeux ouverts
ou au moins, entrouverts,
j’aime que ma chambre puisse venir, comme laper le plaisir dans mes prunellesles yeux ouverts, je me sens exhibitionniste, indécent, face à mes meubles, face au mur, face à l’air
l’impression d’être, face à eux, avec un corps envahi de vibrations soyeuses, livré au plaisir
qui me rend tellement ouvert, offert, réceptif, sans tabou, indécent,
le monde entier dans l’invisible, pour l’instant,
semblent venir me pénétrer et j’aime cela7 juillet 2021 à 1 h 49 min #41696bzo
Participantune des choses que j’adore avec ce plaisir en mode yin,
c’est qu’il peut être tellement intégré à mon quotidien,
je peux bien sûr me mettre au lit pour une séance,
je peux aussi faire quelques minutes spécifiquement dédiées, interrompant toute autre activité
mais là où c’est le plus exaltant, le plus dépaysant, le plus comblant,
c’est quand c’est totalement mélangé à mes faits et gestes du quotidienje peux avoir dans une main la bouilloire électrique pour me chauffer de l’eau pour du thé,
bouger dans la cuisine et puis en même temps, juste changer quelques gestes, quelques mouvements,
les rendre plus lascifs, leur injecter une intention sexuelle
en les détournant juste assez de leur dessein originel que pour provoquer de l’effet en moi,
faire monter la tension ainsi, rapidement, emballer ma libido, me mettre en roue librecela peut être d’abord, juste un rapprochement insistant d’une cuisse sur mes bijoux de famille,
elle va commencer à les effleurer, à les frotter, ainsi, un peu
puis je peux croiser mon bras sur ma poitrine, saisir avec une main l’épaule opposée,
presser un sein ainsi, une sorte d’acte de demi enlacement de moi-même,
je suis l’amant et je suis l’amante, nous nous mettons en action,
l’autre main continue de porter la bouilloire,
allumant l’engin sur son socle, attendant que l’eau se réchauffe, je vais y ajouter quelques contractions
et puis aussi, un peu remuer le bassintous ces gestes et ces mouvements sont tellement intégrés à mon quotidien,
en font tellement partie,
il me parait tout aussi normal de gémir de plaisir, d’être envahi de volupté, à tout instant,
que de respirer, de me gratter le nez, que de faire n’importe quoi d’autre,
le plaisir sexuel en mode yin, se vit aussi comme cela, chez moi,
comme un acte qui m’accompagne à chaque instant,
le désir est là constamment allumé, dansant dans ma chair,
pour mon plus grand bonheurpourquoi le laisser s’éteindre, quand on peut si facilement l’assouvir,
le laisser errer librement, le laisser m’entraîner quand il le veut, quand je suis chez moi
quand on peut si facilement jouir et encore jouir, être empli de volupté ineffable
car c’est bien une des rares choses miraculeuses, ici bas,
l’incandescence dans la chairaller dans un musée et vibrer de tout mon être devant un Picasso,
rentrer chez moi, connaître des extases émotionnelles en lisant des pages de Balzac ou de Proust
et puis vivre la volupté et la jouissance, sans fin, dans tout le corps,
comme cela, au fil des instants, quand je veux, où je veux,
voilà bien, des moments qui valent vraiment leur pesant de nougat,
qui restituent à la vie, du sens, de l’épaisseur ,
en même temps qu’à moi-même7 juillet 2021 à 10 h 21 min #41697bzo
Participantj’ai repratiqué ce matin, au réveil, un peu au lit, dans ma manière mode yin 1.0,
c’est définitivement une toute autre dynamique qui est derrière moi,
c’était assez curieux car encore la semaine passée, je ne pratiquais que comme cela
mais là ce matin, j’avais l’impression que c’était déjà à des années-lumière de moi,
c’est du passé quoi, j’ai laissé cela dans mon sillage,
ce n’est plus devant moi, plus actifc’est une page que j’ai tournée, une étape qui est passée
mais là, ce matin, de m’être exercé ainsi pendant quelques minutes, m’a bien fait comprendre pourquoi,
quelle a été l’évolution et pourquoi elle était nécessairela 1.0 était vraiment beaucoup plus basée sur les ondes génitales,
une tempête voluptueuse et instantanée dans tout mon corps,
c’est très séduisant, assez irrésistible à vivre
mais j’en ai fais le tour, ça a ses limites, il fallait progresserdans l’état de surexcitabilité dans lequel je suis,
du fait que maintenant, cela fait au moins un mois que je n’ai plus éjaculé,
pratiquer ainsi intensément, en me lâchant complètement
et c’est garanti qu’en quelques minutes, le coquin entre mes jambes, va se raidir et cracher
et alors, pffiou, mon petit capital d’énergies, amassé, se sera envolé,
il faudrait tout recommencer à zéroor moi je veux que cela reste ainsi, que cela augmente encore, jour après jour,
c’est juste tellement extraordinaire, toutes ces énergies accumulées, prêtes à exploser à chaque instant,
mon corps est tellement électrifié, tellement prêt à réagir,
c’est du surf cosmique, au moindre contact, je suis envoyé dans la stratosphèreet de toutes façons, avec mon mode yin 2.0, je continue de produire beaucoup d’ondes génitales
mais c’est nettement plus contrôlé, je veux dire par là, que c’est noyé dans des ondes prostatiques,
donc bien contrebalancé, le risque est nettement moindre qu’une éjaculation accidentelle se produiseet puis c’est juste meilleur ainsi, la raréfaction des ondes génitales,
plus obtenues avec des petites pressions, de très légers déplacements de mes cuisses,
sur ma queue, mes couilles,
en contraste avec les beaucoup plus grands frottements et mouvements, sur eux, du 1.0,
mixées en plus, à de plus grandes quantités constamment, d’ondes prostatiques,
c’est juste meilleur, plus intense, plus riche,
cela me fait monter plus haut,
c’est une très nette amélioration dans la qualité générale, sans l’ombre d’un doutedisons, qu’il n’y a plus cette dispersion immédiate et maintenue, dans tout le corps,
des ondes génitales, en très grande quantité, comme dans le 1.0,
mais cela, comme je l’ai écris plus haut,
j’en ai fait le tour, il était temps d’évoluer, de progresser, vers quelque chose de plus fin, de plus varié
et qui me permette de monter plus haut, grâce aux ondes prostatiquesce matin sous la couverture, je me suis dit un moment,
peut-être qu’il y a moyen malgré tout, de récupérer quelque chose du 1.0
et l’injecter dans mon 2.0 actuel,
les caresses sur tout le corps, par exemple, les ondulations aussi
mais non,
c’est une toute autre dynamique,
les caresses amples, sur tout le corps, appellent les ondulations, qui appellent la danse du bassin,
qui entraîne les frottements plus marqués des cuisses sur les bijoux de famille,
cela s’enchaîne automatiquement, pas moyen d’en isoler une partie et laisser tomber le reste,
c’est vraiment une toute autre manière où tout est plus excessif, plus marqué,
j’ai un peu essayé mais non, c’est bien comme c’est devenu,
tout cela va rester au musée, tout cet arsenal est remisé désormaisje me suis rendu compte aussi, de toutes façons, que tout n’est pas blanc ou noir,
que dans ma nouvelle manière, il y avait un peu de caresses plus actives,
d’ondulations et même des très courts moments, de frottements et de pressions plus prononcées, des cuisses,
il n’y avait pas besoin d’en rajouteren fait, le 1.0 est inclus, incorporé, désormais dans le 2.0, à très petites doses,
juste ce qu’il faut, pas besoin d’en faire plus que cela, cela déséquilibrerait tout de suite
et puis mes ondes génitales, sont directement sensations péniennes, dans la 1.0,
avec des manipulations plus marquées, plus accentuées, sur mes bijoux de famille
qui ne peuvent aboutir qu’à une éjaculation, à courte échéance - AuteurArticles
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