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PetitsPlaisirs76, le il y a 1 jour et 21 heures.
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- 21 novembre 2021 à 13 h 21 min #42693
bzo
Participantau lit, désormais, je ne pratique plus qu’en prostatique pure,
des ondes, donc, 100% produites par la prostatela saturation de ma chair d’énergie des profondeurs,
grâce à la non-éjaculation, maintenant, depuis des mois,
est devenu telle,
que je sens que le moment est venu
pour retrouver les bons vieux chapelets d’orgasmes d’antan
et les super Oma pratique en mode yin, c’est dès que je suis hors du lit
ou alors la nuit quand je dors et que j’ai mes micro-réveils de quelques secondes
où je laisse mon corps faire ce qu’il veut et qu’il me met dans tous les états,
à tel point que quand je me réveille, j’ai l’impression d’avoir fait l’amour toute la nuit,
tellement ces moments de plaisir sont puissants et riches,
m’entraînent loin en quelques secondesmais donc dehors, c’est mon cher mode yin,
partout, tout le temps, il m’accompagne, c’est devenu un mode de vie,
de faire tout en plaisir, cuisiner, étendre mon linge,
je partage mon corps entre le plaisir et l’activité banale en cours,
cohabitation délicieuse, piano à quatre mainsmon mode yin est plus libre que jamais,
m’enchante plus que jamais,
le désir, quel cadeau des dieux22 novembre 2021 à 17 h 38 min #42697bzo
Participantslow sexe avec moi-même,
debout, nu, je me caresse partout,
lentement, très lentement,
ma peau est électrique,
réagit tellement au moindre contactmon corps est à l’abreuvoir,
à l’abreuvoir dans l’invisible,
à l’abreuvoir à nectar,
des deltas de sensations, naissent dans ma chair,
vont s’agrandissant,
se répandent dans toutes les directions,
des filets d’ineffable courant soyeusement,
faisant frémir tout sur leur passageje me sens comme une plante capiteuse,
ivre de moi-même,
chaque ondulation
me remplit toujours plus
de vagues soyeuses et chaudes,
quelle volupté jouissive,
le yin s’exprime sans retenue en moije me sens amant, je me sens amante,
je me sens enlaçant, je me sens enlacée,
mes hanches se sont dédoublées,
mes hanches vont et viennent,
mes hanches entrent en contact,
mes hanches s’incrustent, de plus en plus,
les unes dans les autres,
mes hanches fusionnent,
mes hanches repartent,
mes hanches se séparent,
mes hanches s’éloignent un peu,
mes hanches cherchent à se joindre à nouveau,
mes hanches tout à la fois, viriles et efféminées22 novembre 2021 à 22 h 48 min #42721bzo
Participantje réapprends à dialoguer en tête à tête exclusivement avec ma prostate,
un royaume à reconquérir
qui a été enfoui peu à peu sous les sables, chez moi, il y a quelques années
un tellement autre versant de la montagne que mon mode yinle plus dur, c’est retrouver la patience,
toute une discipline au début,
accepter que le plaisir n’est pas instantané,
ne se répand pas à tout le corps rapidement,
que les sensations ne varient pas constamment
comme avec mon mode yin,
qu’il n ‘y a pas cette sensation de complicité,
d’intimité fusionnelle,
avec mon corps,
qu’on ne ressent pas cette dualité masculin-féminin, à l’oeuvreles enjeux sont tellement différents, dans le massage prostatique,
les préliminaires n’ont de sens
que dans la mesure où ils aboutissent à des orgasmes, après un certain temps
sinon on reste insatisfaitalors que dans le mode yin, il n’y a pratiquement que des préliminaires,
je recherche les nuances de sensations, je recherche la volupté,
je recherche la communion avec mon corps
et la forme de jouissance qui s’installe,
je l’appelle jouissance
mais c’est peut-être juste de la volupté qui est devenue extrêmement intense et ineffable,
bah c’est déjà pas mal, tout cela,
de quoi satisfaire largementnéanmoins, retendre aussi la corde du plaisir prostatique sur mon arc,
ce sera encore mieux,
là ce sera complet, là j’occuperais vraiment tout le spectre possible,
du plaisir en solitaire, enfin celui qui m’intéressepourquoi je ne l’avouerais pas, cela me manque les orgasmes prostatiques,
si je devais choisir, je choisirais mon mode yin
mais s’il y a moyen d’avoir les deux, alors ce sera juste parfaitaprès c’est pas encore fini, bien sûr,
ce n’est jamais fini,
il me restera le tantrisme, cet autre royaume, à explorer plus sérieusement,
dans trois ans , je suis à la retraite,
plein de pain délicieux sur la planche,
qui m’attendcependant désormais le plaisir prostatique est là constamment, il monte en puissance,
l’autre jour dans la forêt, je l’ai conté, j’ai un délicieux petit orgasme,
ici chez moi, c’est autre chose, mon corps est en mode sans restriction, il en veut, le bougre,
il est affamé, je l’ai habitué à des plaisirs consistants, massifs et sans concessionsla piste est construite et m’invite constamment à décoller, à aller faire du vol plané en l’air,
à monter jouer avec les nuages,
je dois retrouver mes déclencheurs prostatiques, toute leur puissance,
comme je les avais à l’époque,
qui m’avaient permis même un jour d’avoir un super O de 5 bonnes minutes au premier contact du masseurbah, Rome ne s’est pas bâtie en un jour
et puis j’ai déjà Paris et ses mille et nuits, dans ma besace25 novembre 2021 à 23 h 38 min #42748bzo
Participantcela faisait quelques jours maintenant
que je n’avais pas pu un peu sérieusement m’appliquer à des moments intimes avec mon corps,
je ne sais pas comment je fais, pourtant je ne suis pas marié, je n’ai pas d’enfants,
je n’ai pas un boulot qui me dévore tout mon temps, loin de là
ou qui me vide de toute mon énergie, me laissant ivre de fatigue en fin de journée,
en télétravail, certains jours, je ne fous vraiment pas grand chose,
pratiquement rien en faitpourtant, voilà, je n’avais pu m’accorder que des petits moments à gauche, à droite,
tout en étant occupé à tout autre chose,
certes, moments délicieux de complicité avec mon corps,
de sensations riches et intenses qui viennent comme décorer mes faits et gestes du quotidien
mais ce n’est pas la même chose que d’avoir des moments entièrement dédiés
à faire chanter ma chair, à me laisser emporter sans rien retenirj’ai parfois l’impression de tricher,
tellement cela devient de plus en plus facile,
je n’ai vraiment rien à faire,
avec les mêmes gestes, les mêmes mouvements, la même façon de me caresser du bout des doigts,
les mêmes types de contractions, la même façon de faire danser mes cuisses contre mes génitaux,
la même façon d’onduler mes hanches,
j’obtiens de plus en plus d’effets, de plus en plus de nuances, de plus en plus de finesse, de plus en plus d’intensité,
de plus en plus de volupté, de plus en plus de jouissance, de plus en plus de sensation de communion avec mon corpsjuste je n’ai qu’à laisser passer les jours
en continuant cette forme d’abstinence, de ne pas éjaculer,
cette action elle-même, m’est devenu tellement facile, tellement naturelle,
mon corps a bien compris où était son intérêt, quels étaient les enjeux,
aussi il collabore totalement
et c’est vraiment plus compliqué pour un sou de rester ainsi,
mon trésor national croit de jour en jour,
je deviens de plus en plus une bombe de volupté et de jouissance sur pattesmais il faut pas imaginer que tout cela est accompagné d’une sorte de frénésie dans ma chair,
de désir qui explose à tout bout de champs ou que j’ai du mal à retenir,
bon, c’est vrai que ma peau est devenu incroyablement électrique,
si je me mets à me caresser ou si quelqu’un d’autre le faisait,
cela provoquerait directement une sorte de séisme sensoriel et des vagues de volupté, en moi
mais tant que je ne cherche pas à démarrer le moteur,
toute cette énergie accumulée, me rend plutôt,
de plus en plus serein, équilibré et calme
je me sens puissant, je sais les sortilèges dont ma chair est capable,
que je peux déclencher à tout instant
et cela me donne tellement de confiance, d’assuranceet puis rien que le fait que ma chair soit tellement imbibée de toutes ces énergies,
je la sens de plus en plus apaisée,
de l’excitation au repos mais ayant comme installé son nid, en permanence, en moi
qui m’infuse d’une sorte de bien-être constantje me sens, en fait, de plus en plus épanoui,
une simple caresse peut me rendre heureux pour des heures,
une cuisse frottée un instant contre mon sexe, m’emplit de joie,
jusqu’au plus profond de la moelle, pour de longues secondesparfois, au boulot,
je glisse discrètement un doigt ou deux, sous ma chemise,
juste les bouts
les posant sur ma peau nue,
le contact provoque toute de suite comme une telle onde de choc,
je dois me retenir de toutes mes forces de ne pas gémir,
je les tourne un peu en cercle, doucement, sur place,
les déplace un peu,
cela me fait comme un courant délicieux qui se met à circuler dans les directions,
mon corps me susurre des douceurs, répond immédiatement à mes sollicitations,
mon lien avec lui est devenu tellement fort,
je me sens comme un shaman ayant libre accès aux énergies de ses profondeurs,
déclenchant des tempêtes du bout de ses doigts26 novembre 2021 à 19 h 27 min #42752bzo
Participantle matin, avant d’allumer l’ordinateur de travail,
je satisfais toujours à un petit rituel, dans la cuisineassis sur mon tabouret haut, nu, bien sûr,
après avoir sorti d’un tiroir, une crème hydratante à l’Aloe Vera,
je commence à m’en enduire, lentement, très lentement,
le visage, la plante des pieds, les mains, les cuisses,
tout en croisant et en décroisant les jambes,
les frottant l’une contre l’autre,
un festival de poils de gambette et de peaux s’entremêlant
et puis bien sur, un peu plus haut,
les cuisses avec les génitaux,
leur habituel petit manège de frotti frotta, de pressi pressa,
je fais monter aussi de temps à autre, une contraction,
pour faire bonne mesurele tout ne dure que quelques minutes
mais quelle volupté à gogo,
des contacts tout en frottements, en effleurements,
en mouvements lascifs de jambes, de hanches,
j’en raffole! quelle ivresse, mes amis27 novembre 2021 à 10 h 10 min #42755bzo
Participanten mode yin,
le regard comme tout le reste, peut participer à l’actionje veux dire , je me surprends parfois à regarder mes seins,
les doigts qui les effleurent, les caressent,
les paumes qui les pressent, les enveloppent,
à fixer mes hanches lascivement en mouvement
avec mon sexe pressé, entre mes cuisses
et cela ajoute à mon excitation,
ainsi, se voir, fixer une partie de son corps durant l’action,
contribue positivement à la tension sexuelleparfois, m’offrant quelques bons moments dans la salle de bain,
je me surprends à me regarder dans la grande glace,
à suivre mes mouvements, mes caresses, mes gestes,
ça, par contre, est une chose que j’arrête très rapidement,
je romps le contact visuel et me détourne dans une autre direction,
pour ne plus voir le miroir qui capture mon refletsi au début, l’excitation semble sérieusement monter de plusieurs crans
quand je me regarde, ainsi, quelques instants en action, dans le miroir,
j’ai remarqué cependant que la nature de mon plaisir changeait complètement,
très vite, ce n’est plus moi en mode yin, emporté sans retenue par le désir
mais moi, homme, se regardant ainsi en action,
la tension sexuelle change du tout au toutce qui nait ainsi dans le regard,
me voyant bouger en mode yin, sans me soucier des limites de mon identité sexuelle,
avec des gestes, des mouvements, des postures, parfois qui se féminisent,
subit une accentuation caricaturale dans le faisceau de la vue,
sans plus la spontanéité du désir, derrière,
c’est un plaisir de voyeur à 100% et qui me met profondément mal à l’aise,
moi pourtant, qui ne me gêne pas pour d’aller dans certains extrêmes quotidiennement,
ici, devant le miroir, je me détourne, en ressentant un profond malaise,
qui apparait très rapidement en parallèle au plaisir qui est certes intense
mais qu’une partie de moi, rejette, n’en veut pasje me sens pervers, ainsi, c’est plus fort que moi,
que je m’aventure dans des territoires
qui ne font pas partie de ma “philosophie du plaisir”,
je me limite peut-être ainsi,
peut-être un jour, je briserai ce tabou
mais pour l’instant, je n’en veux absolument pas27 novembre 2021 à 11 h 37 min #42756bzo
Participantje bricole, je bricole,
enfin j’essaie
car mon corps et moi, on n’arrête pas de faire des polissonneriesj’ai deux bibliothèques à monter depuis des semaines,
j’ai déjà découpé tout le bois, il ne reste plus qu’à les monter
et les fixer au murplus qu’à…
tous ceux qui bricolent, savent que dans ce genre d’expression,
il y a beaucoup d’heures de travail en embuscade
si on veut obtenir un résultat bien satisfaisant,
à l’aspect à peu près professionnel,
pas juste un bricolage d’amateur qui accroche négativement le regard,
surtout chez moi, avec tous mes beaux meubles modernes, mes tableaux, mes sculptures, mes vases,
cela jurerait, une bibliothèque avec un air de montage amateurje devrais peut-être me revêtir un peu,
nu ainsi, à tout bout de champ, toute cette peau à portée de main,
la chaleur de cette chair, tous mes gestes, mes mouvements,
quand je me penche en avant, que j’écarte un peu les jambes,
tout m’invite à la gaudriole pour l’instant,
oh comme c’est délicieux tout cela
mais je n’avance pas beaucoupshit, si au moins, je pouvais arrêter de venir écrire ici,
cela me ferait gagner aussi pas mal de temps28 novembre 2021 à 23 h 47 min #42760bzo
Participantde la moindre sensation qui passe en moi,
mon corps semble en faire le maximum,
je la sens s’en imbiber avec gourmandise,
en extraire jusqu’à la dernière goutte d’ineffable,
la dernière goutte de voluptéc’est comme si je nourrissais un grand fauve
et le désir semble être comme un appel à nourriture, de sa part,
en retour, il me fait vivre son festin de l’intérieur,
je suis dans sa gueule avec lui,
avec ses papilles gustatives, avec ses dents, avec sa langue,
je vis son souffle, je vis son élan,
je vis sa mâchoire en action,
je vis sa digestion-éclairil me fait percevoir de plus en plus, sa double existence,
tant de sublime, à la fois si proche et si éloigné,
si saisissable et si insaisissable30 novembre 2021 à 22 h 40 min #42765bzo
Participantcela fait maintenant, six mois, grosso modo, que je n’ai plus éjaculé,
que j’accumule les énergies en moi,
quelle expérience passionnante, étonnante, unique,
je suis dans un état si spécial,
je me sens bien, merveilleux bien, puissant, calmeon pourrait imaginer que je suis constamment surexcité, que cela bouillonne en moi,
non, c’est tout le contraire,
bien sûr si je commence à me toucher, à me caresser, à me mettre en action,
un séisme délicieux s’empare directement de moi,
cela va si loin, cela m’envahit tellement de fond en comble,
une simple caresse suffit à me combler,
j’ai besoin de moins en moinsmais c’est juste ce calme qui m’impressionne le plus,
ma chair semble dans un état permanent de bien-être apaisant,
je la sens chargée, gorgée de vie, vibrante, je la sens avec une acuité, une précision,
on est en permanence ensemble, comme lié, notre dialogue est constant,
même en-dehors des moments d’actionje me sens tellement affuté, réactif, j’éprouve beaucoup plus puissamment les émotions aussi,
lorsque je regarde un film, lit ou contemple un tableau,
je suis tellement plus capable de m’émouvoir, de vibrer,
c’est magique de vibrer, d’être emporté par une oeuvre d’art ou un livre, comme celaune chose que je crois avoir compris ces derniers temps,
c’est que le corps a moins besoin de quantité mais de qualité,
au plus nos sensations deviennent d’une qualité extrême,
au moins on en a besoin de faire pour satisfaire sa chairchez moi, le plaisir est devenu un flux constant quoique je fasse chez moi,
il m’irrigue constamment, cela monte, cela descend en intensité mais c’est constamment là,
ce flux m’abreuve, me convient pour l’instant totalement,
rien besoin de plus,
que je pende mon linge, que je fasse la cuisine, que je vide ma poubelle,
que je travaille,
il y a toujours un fil de plaisir en train de couler en moi,
il est comme notre enfant entre mon corps et moi,
on lui tient la main, il sautille entre nous,
on ne le lâche pas, il nous relie,
il est le fruit de notre intimité extrêmej’ai rien besoin d’autre pour le moment,
me sentir uni à mon corps, capable à tout moment de vibrer à l’unisson avec lui,
pas besoin d’orgasme, ni même de jouir,
juste sentir cette proximité délicieuse,
me sentir pleinement au diapason avec ma chair1 décembre 2021 à 18 h 06 min #42767bzo
Participanten mode yin,
s’ouvrir, céder, ne pas résister,
se laisser emporter,
est tellement importantc’est quelque chose que je parviens
à particulièrement bien faire
et que j’affine toujours plus,
je sens une vague naître en moi,
je cède devant elle, de tout mon être,
je m’ouvre au maximum,
pour qu’elle puisse courir,
le plus librement possible,
dans mes fibrescela se fait avec la posture,
avec les gestes, avec les mouvements,
l’accompagner, lui faire comme un éc.rin délicat, une es.corte,
l’envelopper comme de tendresse, d’ardeur, d’attention,
pour qu’elle puisse, un instant, briller de mille feux,
en nous1 décembre 2021 à 18 h 11 min #42768bzo
Participantcomme j’aime les jeux coquins
tout en frottements, effleurement, pressions,
petits déplacements de toutes sortes,
de mes cuisses avec mes génitauxà chaque fois que je les serre,
les unes contre les autres,
dans les premiers instants,
c’est comme si elles fondaient ensemblecomme si mes couilles et mon sexe,
fusionnaient à la chair de mes cuisses
et s’introduisaient en elles instantanément
sous forme de masse, chaude, dense, soyeusela volupté,
comme une pieuvre ou une méduse,
selon les moments,
commence à se répandre dans mon bassin,
à en déborder peu à peu,
à remonter dans mon torse,
à redescendre dans mes jambes,
à m’envahir partoutl’ineffable,
comme des sables mouvants,
au mouvement lent,
me happe, m’entraîneune fois entièrement englouti,
je dérive là-dedans, au ralenti, au hasard,
tout en arabesques
et voiles de chaleur vibrante, dansantes1 décembre 2021 à 18 h 13 min #42769bzo
Participantma prostate,
en mode yin,
tu es ma brute chérie,
ta puissance me pénètre de fond en comble,
me fait trembler et danser jusqu’à dans les tréfondsma prostate ,
maître empaleur,
adulé par mes entrailles3 décembre 2021 à 1 h 25 min #42784bzo
Participantcela veut dire quoi, se donner les moyens?
cela veut dire développer un scénario dans sa chair
et le vivre à fondon l’enrichit de toujours plus de détails,
on le rend de plus en plus consistant,
il peut être dans une voie plus ou moins balisée
comme du total hors pistela vérité,
c’est que notre corps est prêt à toutes les extravagances,
aux histoires les plus folles,
si on les lui présente de façon suffisamment convaincante,
avec toute la patience et l’audace nécessairenotre sexualité est à réinventer
tout le long de notre parcours,
nous pouvons la faire aller dans la direction qu’on veut,
avec la complicité de notre corps4 décembre 2021 à 2 h 37 min #42787bzo
Participantmon sexe, est plus capable au repos,
plus puissant, plus persistant,
plus rayonnantil capte les énergies des profondeurs
et les redistribue, avec sa générosité habituelle,
il en asperge les alentours, inlassablement
d’abord dans mon bassin
puis plus loin,
partoutmon sexe capte les ondes,
il est comme le mât d’un bateau, dans l’invisible,
la voile gonflée par plein de ventsi vous pouviez le voir,
il est là, tout flasque, tout recroquevillé
mais moi je sens, à quel point,
il est en action, magnifiquement,
pas pour 5 minutes, non,
des heures durant si je le veux,
même pour un instant,
instantanément disponible,
nuit et jour,
inondant de volupté aux nuances sans cesse changeantes,
ma chairô, comme j’adore tes nouveaux types d’exploits,
mon cher pénis4 décembre 2021 à 11 h 06 min #42789bzo
Participantme connecter à mon corps par le yin,
oh, être uni à lui,
cette chair s’ouvre comme une fleur,
dardée des rayons d’un soleil intérieur,
butinée de toutes partsmes caresses, mes postures, mes gestes, mes mouvements,
sculpture dans le moment, l’échappée belle,
l’instant précieux, l’instant unique, l’instant magique,
offert, s’offrir, être cueilli, recueilli,
le refuge ardent de la communion intime,
boire aux ressources secrètes de son corps5 décembre 2021 à 0 h 29 min #42790bzo
Participantma peau s’embrase tellement au passage des doigts,
tout mon corps en tremble, en fait,
j’ai l’impression d’être un tambour,
comme je résonne, au moindre frôlement,
par moments, j’ai l’impression de ne plus être que vibrations
dansant dans l’espacemes bouts de doigts sont magiques, ils me font un de ces effets,
j’adore les laisser glisser au hasard,
j’écarte les cuisses, je fais monter une contraction
tandis que je me mets à chipoter un téton en même temps,
des petits mouvements circulaires dessusoh cette contraction,
comme ma chair se met à fondre entre mes jambes,
comme je la sens ma fente,
comme je la sens s’emplir d’une chaleur soyeuse
qui se répand vers le haut,
c’est indescriptiblement bon,
ce baume ineffable de plus en plus imbibant mes entrailles
qui monte vers le cerveauje me suis surpris à m’arrêter plusieurs fois de suite
tellement mes gémissements étaient devenus forts, tellement ils étaient yin,
j’ai eu un moment de honte, je l’avoue de gémir comme cela au féminin
mais cela n’a pas durer longtemps, je me suis lâché de plus belle
oh, j’en pleurerai, tellement tout mon corps était envahi de plaisirde temps à autre, j’arrête de me caresser et resserre les cuisses,
j’aime beaucoup cet équilibre,
ondes prostatiques + ondes de tout le corps, enflammées par mes caresses
et puis d’un autre côté,
cuisses serrées, juste ondes génitales accompagnées par un peu d’ondes du corps
telles que je peux les obtenir juste en bougeant, en ondulant, en dansant le bassin
mais sans les mainscela me fait un équilibre et une complémentarité parfaite, je le sens,
ma queue reste bien molle,
dans ce genre de pratique, c’est toujours bon signe,
cela veut dire qu’il n’y a aucune interférence de plaisir pénien,
je peux monter en puissance sans arrière-pensée
tout en continuant d’utiliser abondamment par moments
les ondes génitales qui éveillent tellement de volupté en moimais comme toujours, c’est la prostate qui mène le bal,
c’est elle, la reine du show,
en mode yin, sa puissance me procure la sensation sublime de pénétration
et permet à la tension sexuelle de décoller de plus en plus,
jusqu’aux orgasmes prostatiques en mode yinl’océan m’emporte, juste l’océan m’emporte,
je ne suis plus qu’un fétu de paille
balloté par les eaux,
ce corps abrite tout un océan, dans ses ténèbres,
prêt à nous danser jusqu’à l’horizon5 décembre 2021 à 12 h 01 min #42792bzo
Participantchez moi, je bricole entièrement nu,
c’est le plus confortable et puis bien sûr,
il y a les innombrables moments de complicité, d’intimité, avec mon corps,
tout le longmais je me suis rendu compte que vraiment totalement nu, plus de chaussettes , plus rien,
j’aimais vraiment bien cela,
que je me sentais particulièrement bien ainsi,
tout le corps dénudéil y a un rapport à l’espace, à l’environnement
qui est différent,
il y a une sorte de réceptivité,
comme si toute la peau nue, partout,
n’était plus entravée d’aucune sorte,
une sensation d’ouverture vers le monde,
difficile à expliquer
mais ,il y a définitivement quelque chose de différent, entièrement nusi jamais je retourne jamais en vacance quelque part,
ce sera impérativement dans un environnement nudiste,
il n’est jamais trop tard pour s’y mettre5 décembre 2021 à 18 h 10 min #42794Caktil
ParticipantIl est vrai que c’est très agréable d’être tout nu.
Je n’ai jamais vraiment pratiqué le naturisme, mais je me souviens de vacances dans les Cyclades où j’ai passé quelques après-midi entièrement nu sur la plage et le sentiment de liberté et de communion avec la nature était très présent. Ce sont de très bons souvenirs.6 décembre 2021 à 19 h 35 min #42809bzo
Participanton capte beaucoup plus qu’on pourrait croire, avec la peau,
nous, occidentaux, on est habitué à être constamment habillé
mais je suis sûr qu’avec notre peau nue ,
on serait comme avec un radar, détectant des tas de choses de ce monde
qu’on est plus du tout habitué à percevoir6 décembre 2021 à 19 h 40 min #42810bzo
Participantcomme j’aime faire de mes cuisses,
un berceau chaud, enveloppant,
pressant doucement les génitaux,
mon bassin se remplit immédiatement
de leurs ondes si velouteusesje reste ainsi debout, pendant de longues minutes,
quasi immobile, les yeux fermés,
je serre, je desserre, un peu, les jambes,
danse lascivement le bassin,
vers la gauche, vers la droite,
le moindre mouvement provoque en moi
de tels élancements de plaisirje me déhanche lentement
comme si une partie de mon corps dérivait langoureusement, latéralement
tandis que le reste, semble comme figé,
prêt à s’élancer sur une piste de danse dans l’invisible
le yin qui m’emplit,
me sculpte, avec de plus en plus de précision, de finessemon corps intérieur se confond tellement à ma chair, par moments,
je me pâme de me sentir ainsi,
tellement pleinement, tellement richement,
habité des deux sexes,
comme interagissant ardemmentles énergies s’élancent au ralenti,
tout en arabesques et en ondulations,
le mouvement semble à présent, entièrement intériorisé,
je ne me rends même plus compte si je bouge vraiment
ou si c’est juste mon intérieur tout en vagues
qui me donne l’impression, encore de bouger - AuteurArticles
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