Mots-clés : aneroless
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bzo, le il y a 2 jours et 1 heure.
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- 18 janvier 2022 à 19 h 34 min #43045
bzo
Participantma nudité est tellement affolante,
enfin pour moi, seul,
la sentir, sentir ma peau nue à l’air,
tellement de choses, immédiatement, se mettent en routecette machinerie délicieuse,
oh comme je l’ai perfectionnée
et comme je continue,
pas de raison de s’arrêter en si bon chemin,
on m’a grand ouvert, le magasin de bonbons,
on m’y a laissé seul,
avec autorisation de me servir sans limitesalors je me sers,
comme je me sers,
je me sers sur un plateau,
je m’offre, je me déguste,
rien à jeter, tout est bon,
de la tête aux pieds,
cette chair est ineffable, emplie de délices20 janvier 2022 à 1 h 18 min #43047bzo
Participantl’instant où je me mets à me caresser,
la vie devient belle, parfaite,
ma chair, infiniment habitable, infiniment plaisanteil ne reste plus rien d’autre au monde
que ce feu qui s’allume partout en moi, tellement soyeusement,
comme c’est là tout de suite, partout,
un nid vibrant qui m’enveloppe,
qui m’inonde, qui m’imbibe, qui m’envahitle plaisir est comme une planète éphémère à des années-lumière,
j’y débarque en un éclair,
je ne me lasse pas d’en explorer la surface,
sa faune et sa flore, magiquesce plaisir est tellement clair, lumineux, limpide,
tellement ressenti dans tout le corps,
divine harmonie dans ma chair
et en même temps, tellement sauvage, tellement animaleun chant, juste, un chant
mais provenant, en même temps, de toutes les cellules de mon être,
il passe à travers moi comme un rêve
et pourtant c’est une vibration tellement perçue, tellement ressentie,
qui enflamme tellement tous mes sensla volupté semble un océan
et je me baigne dedans, je me laisse couler dedans, emporter, dériver,
comme elle devient dense, comme elle devient ineffable, de plus en plus,
douceur enchanteresse dans mes fibres
parmi les crocs d’un tigrec’est son palais, dans la gueule, toute cette douceur, tout cet ineffable,
je veux qu’il me morde, aussi, de part en part,
je veux sentir les lames de sa mâchoire, arracher ma chair,
déchiqueter mes membres,
je veux en être tremblant, hoquetant, à bout de souffle,
au bout du rouleau,
oui, au bout du rouleauque le plaisir m’entraîne par là-bas,
où il n’y a plus d’issue,
où soudain, sans qu’on le veuille, il n’y a plus d’autre issue
que d’exploser, d’exploser de toutes ses forces,
de toutes les fibres de son êtreque les énergies s’évacuent soudainement en masse,
elles ont tourné, bouillonné, fait tout trembler, fait tout délirer,
il est temps de prendre la direction des étoiles, un instant21 janvier 2022 à 1 h 07 min #43048bzo
Participantcette chair est tellement malléable,
c’est les vibrations en mode yin qui l’a rendent ainsi,
chaude, souple, frémissante, soyeuseje la caresse,
de mes gestes, de mes mouvements, de mes changements de postures,
de mes contractions diverses et variées,
de mon souffle,
enfin, avec tout ce que j’ai à ma disposition,
c’est-à-dire, tout moi-mêmec’est comme si je me caressais intérieurement,
je dessinais les sensations,
avec une infinité de crayons,
c’est un festival de couleurs et de traits dansant
qui tournoient en moi, qui prennent vie, s’envolent21 janvier 2022 à 22 h 46 min #43059bzo
Participantje me suis acheté un splendide four,
ce qui le rend si spécial,
c’est qu’il peut fonctionner aussi bien,
en mode grill, qu’avec chaleur tournante,
ainsi que micro-ondes et à vapeur4 manières possible de cuisson, donc
mais là où cela devient vraiment intéressant,
c’est qu’il y a moyen de combiner les différents modes,
il a de plus un capteur qui détermine grâce à la vapeur qui s’échappe de l’aliment,
son degré de cuisson,
donc j’ai par exemple, un programme pizza,
je le choisi, enfourne la bête, indique juste son poids
et c’est parti,
il va combiner le grill, la chaleur tournante et le micro-onde
et la cuire,
chaque type de chaleur apportant ses spécificités
pour produire un résultat très très appétissanten moins de temps, en plus,
non pas que la cuisson d’une pizza exige tellement de temps
mais pour des plats qui en ont besoin de plus,
le gain peut devenir non négligeablec’est juste parfait pour moi qui suis un paresseux
et cuisiner m’ennuie
mais qui néanmoins, suis tout de même assez gourmand
et puis avec la vapeur,
bonjour les légumes plein de vitamines et bien croquantsje me demande si je me suis jeté avec un pareil enthousiasme, sur ce four,
ce n’est pas parce qu’il évoquait irrésistiblement ma pratique en mode yin,
elle a aussi 4 types d’ondes pour préparer de bons petits plats en moi,
les ondes génitales, prostatiques, anales et celles du reste du corpsje peux les utiliser séparément mais là où cela devient vraiment intéressant,
c’est quand je les combine, bien sûr,
en s’amalgamant dans ma chair,
chacune, elles apportent certaines de leurs spécificités les plus intéressantes
mais leur fusion semble acquérir des propriétés nouvellesil en est ainsi car la caractéristique principale du plaisir,
c’est sa capacité de se renouveler, de sans cesse se renouveler,
en même temps, de s’inscrire dans une continuité splendide,
elle semble débarquer dans notre chair,
directement depuis la nuit des temps, elle semble sans âge,
elle a traversé la préhistoire, l’Antiquité, le Moyen Age,
la Renaissance et tout d’un coup,
elle est là, dans notre chair,
comme neuve, comme n’ayant jamais existé22 janvier 2022 à 10 h 32 min #43061bzo
Participantmenuiserie again!
ma deuxième bibliothèque prend sérieusement forme,
en fait, elle est presque prête,
là, j’aurai de la place pour de nouveaux livres,
pour un bon bout de tempsmenuiserie galante
en compagnie de ma chair,
insatiable, tellement encline au plaisir,
elle est la parfaite illustration du dicton populaire,
donnez-lui la main, et elle veut tout le bras,
donnez-lui le bras et elle veut tout le reste
ou encore, l’appétit vient en mangeantcela évolue toujours plus dans le sens
où le plaisir est quasi constamment en moi,
je n’ai qu’à me mettre nu et cela se déclenche,
rien qu’en bougeant, me déplaçant,
en me baissant, me relevant, portant ceci, cela,
le bois et son contact si voluptueux,
je me frotte contre lui,
je m’assieds expressément sur une planche poncée,
sentir contre ma peau,
son grain en même temps, si rugueux et si douxsurtout mes couilles,
à chaque fois qu’elles entrent en contact, avec le bois,
avec quoi que ce soit, en fait,
c’est comme si un gros caillou, avait été lancé dans l’étang
et des vaguelettes se dispersent concentriquement en moi,
je ne peux m’empêcher de fermer les yeux
et un peu de me caresser tout lentementcomme cela s’allume sous ma peau immédiatement,
cela part dans tous les sens,
un feu tellement limpide, tellement doux
qui m’emplit des pieds à la tête,
je râle, ma bouche s’emplit de gémissements,
comme c’est bon de jouir à tout bout de champ22 janvier 2022 à 12 h 04 min #43069bzo
Participantcertains prennent des pause-cigarette,
régulièrement, durant leur travail,
moi, je prends des pause-plaisirje m’allume un instant,
j’entre en combustion, je me grille,
mon corps devient, rouge ardent, intérieurement,
les sensations, bientôt,
comme une fumée, m’emplissent
produisant leur ineffable effet,
avant de disparaître, pour toujours,
dans l’invisiblenectar dans les neurones,
miel chaud dans les fibres,
pluie d’étoiles soyeuses,
dans les cellules grises, plus si grises,
plutôt grisées et de toutes les couleurs,
pour l’instant- Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 8 mois par
bzo.
23 janvier 2022 à 10 h 56 min #43097bzo
Participanten mode yin, on a constamment,
une sensation de liberté extraordinaire dans sa chair,
de complicité absolue, aussi, avec
la mixité, dans l’intime, semble totale,
une sensation de mélange, de rapprochement,
de tout ce qui nous constitue,
jusqu’au plus profond de notre êtrele masculin comme le féminin, sont la bienvenue,
tous les types d’ondes, sont la bienvenue,
organes, gestes, mouvements, postures, membres, peau, cheveux,
tout peut participer, tout peut communier,
tout peut participer à la fusion ardenteen mode yin,
mon sexe n’est plus mon sexe,
ma prostate n’est plus ma prostate,
mon anus n’est plus mon anus,
néanmoins, leur complicité est totale,
ils pourvoient abondamment en ondesen mode yin, on pourrait dire,
notre chair devient un lieu communion,
entre le masculin et le féminin,
entre les différents types d’ondes,
le désir peut emporter, sans restrictions,
tout ce qui nous constitue,
dans sa joyeuse farandole31 janvier 2022 à 17 h 32 min #43147bzo
Participantils font l’amour
tellement, ils parviennent à s’unir,
que lui, il semble habité par elle,
elle, par lui,
leurs gestes se confondent,
leurs mouvements se confondent,
leurs corps semblent se confondre,
elle a son sexe dressé, durci, entièrement en elle,
qui voyage en elle,
qui fait fleurir en elle, de tous les côtés,
lui, semble entièrement imbibé d’elle, inondé d’elle,
habité par elle, habitée par luilà, il est tout seul, pour l’instant,
là, elle est toute seule, pour l’instant,
là, ils sont ensemble,
partout, ils vont et viennent, à chaque fois, entre eux
parvenant à se joindre,
ensemble ou séparéselle a toujours été dans sa chair, à lui,
lui, a toujours été, dans la sienne,
mais ils ne l’ont pas su, pendant longtemps,
à partir d’un moment,
ils ont creusé et encore creusé,
une légende courait,
d’un lieu en eux
où ils pourraient être ensemble,
où qu’ils soient,
avec quelqu’un d’autre ou paslongtemps, ils ont été séparés,
même ensemble, dans le même lit,
ils ne se cherchaient pas vraiment
ou pas assez,
leurs peaux ne fusionnaient pas,
leurs sexes ne fusionnaient pas,
leurs coeurs ne fusionnaient pas,
leurs reins ne fusionnaient pas,
leurs membres ne fusionnaient pasmais les choses ont changé,
à présent, elle sent son désir à lui,
couler en elle,
prendre possession de sa chair,
lui, il sent son désir à elle,
couler en lui,
prendre possession de la sienneils s’unissent, s’unissent vraiment,
ils sont ensemble, séparés ou pas,
il est en elle, elle est en lui,
dans le feu de l’action,
leurs frontières s’estompent,
ils tournoient dans les hauteurs,
il et elle, en elle, en lui, entremêlés2 février 2022 à 9 h 34 min #43150bzo
Participantquand on sent qu’on se fait l’amour,
c’est qu’on a réussi, au moins pour quelques instants,
à libérer le yin et le yang, en nous
et qu’ils s’en donnent à coeur joie, dans notre chairil n’y a plus qu’à les laisser faire,
sans avoir peur,
se laisser entraîner,
sur la piste de la soie chantante,
de la chair qui s’exprime, sans restrictions2 février 2022 à 9 h 54 min #43151bzo
Participantcomme je suis excité ce matin,
je me caresse à tout bout de champ, à la cuisine, en marchant, assis, partout,
je sens la houle dans mon bassin, bien chargée, prête à exploser, encore et encore,je sens en bas, un braquemart bien dur, à la tête chercheuse, gorgée de sang,
qui n’a qu’une hâte,
celle d’aller s’enfouir dans une petite cavité humide où fouiner et encore fouiner,
je sens des lèvres mouillées qui s’entrouvrent, tout palpite, tout frémit, entre elles,
une envie folle de sentir que cela racle, que cela laboure,
que les chairs se pressent, se frottent, se contractentle moindre mouvement ajoute à mon ivresse, si je bouge le cul, cela me fait râler,
oh comme j’aime écarter les fesses pour l’instant,
j’ai l’impression d’accomplir l’acte le plus indécent de la planète
et qu’une armée de bites et de chattes va s’engouffrer dedans,
commencer à galoper dans toutes les directionsmes tétons sont durs, je frotte les pointes,
comme je gémis,
comme c’est doux et enivrant à entendre,
cela semble un circuit où mes propres gémissements contribuent à renforcer mon plaisir,
au plus je gémis, au plus j’ai du plaisir,
au plus j’ai du plaisir, au plus je gémisça y est, mon bassin est parti,
un mouvement de va et vient lancinant, debout,
comme cela pénètre en bas, comme je jouis sans discontinuité6 février 2022 à 12 h 08 min #43183bzo
Participantsans doute, le mode yin,
c’est-à-dire, l’éveil du yin et du yang en nous
et la favorisation, au maximum, de leur interaction,
est-il une compensation de l’absence de présence féminine dans ma vie,
je l’ai voulu ainsi, à un moment donné
et après, c’est un piège qui s’est refermé peu à peu sur moi,
je ne connais plus la sortie, je l’ai oubliéele féminin qui manque au quotidien à mes côtés,
je vais le chercher en moi, désormais,
c’est toujours une question de vie ou de mort,
pour moi de vivre cela tous les jourscela ne remplace pas, bien sûr,
il y a tout un univers, une sensibilité, une imagination, une individualité,
une voix, une chaleur, une chair, des gestes, une grâce, une peau, dans le réel
qui ne sont pas là
mais néanmoins, sexuellement, cela comble, cela apporte ce dont on a besoin
et très largementcela fait vivre certaines chose, même, qu’on ne pourrait obtenir autrement,
une fois que c’est bien au point, une fois que le yin et le yang sont bien éveillé
et que leur interaction fonctionne,
on a l’opportunité de vivre des moments rares, uniques,
de vivre les sensations au féminin dans son corps d’hommema théorie, c’est que les sensation sont un matériau identique, aux hommes comme aux femmes,
juste, par défaut, nous en vivons un segment, une section différente, pour chaque sexe,
on nous a programmé à la naissance pour vivre, avant tout, certains parties des sensations,
la partie mâle pour les hommes, la partie femelle pour les femmes
mais l’autre segment est bien là, non visité ou si peu,
pour la pluparton peut dans nos pratiques amoureuses, par moments, par accident, sans même s’en rendre compte,
pour quelques instants se retrouver sur le segment inusité,
ainsi, quand avec le massage prostatique, tout à coup, vous avez l’impression de vous faire l’amour,
vous vous retrouvez essentiellement durant ces instants ardents, à nul autre pareil,
de l’autre côté des sensations,
leurs parties immergées, sous la ligne de flottaisonon peut aussi, bien sûr, en étant curieux, curieuse, ouvert, ouverte,
en explorant son corps et ceux de ses compagnons, compagnes,
en étant audacieux, audacieuse,
visiter toujours plus les sensations sur toute leur longueur,
goûter au féminin, en étant homme,
par exemple, le massage prostatique, favorise bien cela
et puis pour les femmes aussi,
une certaine exploration de la virilité, de la masculinité qui est enfouie en elles,
par exemple, les ceintures gode et un compagnon qui se laisse travailler par le fondement,
favorise bien cela
mais déjà certaines positions où la femme dirige, à l’initiative, vont en ce senson n’est jamais totalement de l’autre côté du segment pour de très longues périodes,
ce sont des allers-retours , en fait,
avec des moments plus ou moins longs, de chaque côté,
cette action de glisser de la partie mâle de la sensation à sa partie femelle,
est particulièrement délicieuse, avec toute la zone intermédiaire, au sexe indéterminé, entre,
ce basculement du masculin vers le féminin, très progressivement ou brusquement,
je ne connais rien de plus délicieusement trouble et ineffable à vivrele mode yin, c’est cela, c’est basculer constamment d’un côté à l’autre, sciemment,
c’est goûter le plus possible aux sensations sur toute la longueur de leur spectrevivre la sensation de pénétration ainsi,
oh mes amis, c’est quelque chose,
vous sentez que quelque chose de ineffablement dur monte en vous,
que vos entrailles commencent à fondre sur son passage,
vous êtes du côté du féminin
et puis soudain, vous sentez que le braquemart, vous le poussez,
vous sentez votre puissance mâle en action
les chairs se donnent, les chairs s’ouvrent à chacun de vos coups de rein,
vous avez un bélier gorgé de sang, c’est votre arme dressée, vous vous en servez,
puis, retour en une fraction de seconde,
vous êtes déjà à vous donner, à vous ouvrir, à vous laissez envahir,
cela coule en vous comme une marée montante, le ressac, les vagues,
les hanches larges qui dansent, qui tanguent merveilleusement,
tout est là en vous, les formes que vous semblez ressentir,
le galbe des seins sous les paumes, les pointes dures
et puis même, la petite fente magique, tout plissée à l’intérieur, labyrinthique,
l’océan dans toute sa splendeur
qui vous embarque sur son tapis volant6 février 2022 à 16 h 08 min #43184bzo
Participantil y a tellement de sensations de pénétration différentes
tant qu’on vit son plaisir dans ces moments-là,
en homme qui fait des va et vient avec son braquemart,
on ne sent pas trop celamais dès qu’on est capable de vivre son plaisir au féminin,
qu’on devient donc le réceptacle accueillant les allers et venues, les frottements, de l’engin,
chaque changement d’angle d’attaque, chaque changement dans la vitesse,
des accélérations, des ralentissements,
des pressions exercées un peu différemment, des variations dans les frottements
et la sensation change du tout au tout,
c’est quasi à chaque fois, comme si on entrait dans un autre univers,
tout semble se reconfigurer instantanément dans nos entrailles,
un autre réseau de sensations, aux caractéristiques différentes, semble se mettre en placec’est véritablement un kaléidoscope étourdissant
qui déborde rapidement du bassin pour se répandre à tout le corps,
chaque geste, chaque mouvement, chaque changement de position
influençant aussi leur cours,
changeant leurs nuances, leurs coloris, constamment,
rendant les instants encore plus affolants, encore plus irrésistibles,
la jouissance s’installe bien avant l’orgasme,
la volupté devenant tellement dense et ineffable,
un flot de nectar soyeux envahissant la moindre once de notre être11 février 2022 à 23 h 42 min #43207bzo
Participantmoulez patiemment, amoureusement, dans l’instant,
votre creux de vague,
c’est de là que s’envolera la crête suivante,
c’est de cette brève gestation
que dépendra la hauteur qu’elle atteindra,
la splendeur de sa courbe ascendante,
son iridescence dans la lumièrec’est comme un nid avec un oeuf dedans,
durant ce bref temps mort,
ce sera à vous de jouer, passionnément, ardemment
de ressourcer votre rythme,
de le retremper dans vos profondeurs,
pour favoriser au maximum, l’éclosion suivante,de l’énergie va monter,
de l’énergie va être consumée,
ce sera comme un relai, vous aurez une fraction de seconde
pour transformer l’essai
pour la transformer en papillon coloré dans votre chair
qui volera quelques instants13 février 2022 à 10 h 03 min #43217bzo
Participantle mode yin
qui, en fait, pour être plus exact,
est une interaction entre le yin et le yang,
je l’appelle ainsi, néanmoins, seulement, mode yin
car le yin occupe l’essentiel
de mon espace intérieur, de ma chair,
quand je suis en action,
que ce soit pour quelques secondes ou pour de longues minutespourquoi?
si on pouvait prendre un couple qui fait l’amour,
ils sont ardents, ils sont synchronisés, ils s’unissent splendidement
si soudainement, on pouvait les fusionner totalement,
qu’ils ne forment plus qu’un seul corps, un seul être,
avec tout ce qu’ils sont dans ces moments-là,
leur désir, leur excitation, leurs sens en feu,
mettre tout cela dans une seule chair, donc,
le yang se trouverait soudainement cantonné à, à peine, 5, 10%,
le yin occuperait tout le restetellement la femme est plus puissante, plus riche
que nous autres, hommes, dans l’action sexuelle,
voilà pourquoi, je l’appelle, le mode yin,
même si les 5, 10% du yang,
sont absolument indispensables aussile mode yin
est comme des flammes de soie qui dansent en moi,
le feu s’étend rapidement à tout mon intérieur,
le bucher semble immense, m’entourant de tous les côtés,
à l’intérieur comme à l’extérieur, cela brûle ineffablement,
ma chair semble fondre d’un peu partout, sous l’action de morsures délicieuses,
les nuances changent constamment, un kaléidoscope étourdissantle brasier est entretenu par n’importe lequel de mes mouvements,
de mes gestes, de mes changements de positions, de mes caresses, de mes ondulations,
de la danse de mes hanches, des frottements de mes cuisses sur les génitaux,
de mes contractions,
de mes doigts explorant derrière la petite fente, derrièretout cela permet au feu de rester entretenu en moi,
un seul petit geste du doigt suffit déjà,
pour un moment, à assurer une continuité des flammes
celle-ci doit être maintenue,
si j’arrête tout, plus de quelques secondes,
le feu ne semble plus être qu’un rêve au passé
mais je peux le rallumer immédiatementles combinaisons d’alimentation sont infinies,
c’est pour cela que les nuances changent constamment,
tout un corps à bouger, tout un corps à caresser,
infinies variétés des mouvements, des gestes,
infinies variétés des caresses, infinies variétés des positions,
de leur évolution, dans l’espace et le tempset puis il y a les ondes dans le bassin,
elles constituent l’artillerie principale, tout de même,
anales, prostatiques, génitales,
les premières, obtenues avec un ou plusieurs doigts
qui vont fouiller, explorer, la petite caverne,
les deuxièmes, avec les contractions
et puis les troisièmes,
avec les frottements, pressions, effleurements, divers et variés,
des cuisses sur les bijoux de familleleurs combinaisons aussi, n’ont pas de limites,
un peu plus d’anal, un peu plus de prostatique, un peu plus de génital,
du anal tout seul pour quelques instants,
ajoutons-y un peu de prostatique,
un zeste de génital, quelques secondes plus tard,
ce sont des cocktails préparés et bus instantanément, sans cesse, dans ma chairla communion, la complicité, totales,
avec le corps,
ne former plus qu’un avec lui,
être entier, pour quelques instants,
n’être plus qu’une immense danse intérieure,
un chant généralisé, de tout son êtrele désir, sans tabou, libéré,
s’exprimant sans restrictions,
nous grandit splendidement,
pour quelques instants,
nous sommes révélés à nous-même,
avec tout ce que nous portons en nous,
de forces mystérieuses et de splendeur,
le volcan de la terre éveillé, rugissant,
nous portant vers des nues irisées15 février 2022 à 1 h 09 min #43243bzo
Participantlibérer les énergies au bon moment
et tout devient possiblepar exemple, debout,
je commence à faire des mouvements,
comme de pénétration, avec le bassin
comme si je faisais l’amour,
à quelqu’un dans l’invisiblebien lubrique, le mouvement,
oui, il faut se donner à fond,
il faut se lâcher,
ne rien retenireh bien, si vous parvenez à coordonner ce mouvement
chaque fois,
avec des montées massives et de plus en plus ciblées,
d’énergie,
là, cela devient vraiment intéressant,
là, tout devient possible,
là, vous pouvez commencer à ressentir
ce mouvement que vous êtes en train d’effectuer
comme vous ne l’avez jamais ressenti,
même en faisant l’amour avec quelqu’uncar vous serez, en même temps, peu à peu,
comme aux deux extrémités du braquemart
en même temps, le pénétrant et le pénétré,
le yin et le yang se sont éveillés
et jouent entre eux, en vous,
vous vous faites l’amour,
le spectre complet du masculin au féminin,
en un seul coup de bite,
quel carrousel dans votre chair,
vos reins deviennent démoniaquement fertiles,
pour un moment16 février 2022 à 9 h 53 min #43262bzo
Participantje suis en train de tester quelque chose de nouveau,
enfin, de nouveau pour moi,
c’est très très prometteur,
en quelques instants,
j’arrive à obtenir un plaisir prostatique intense
mais je n’en suis qu’au stade de l’expérimentationle principe est simple,
dans n’importe quelle position, du moment que je suis assis
mais la position assise n’est peut-être même pas obligatoire,
peut-être que cela fonctionne aussi debout,
je n’ai pas encore essayé,
tellement tout cela est tout neufassis
mais bien immobile,
je commence à effectuer des contractions localisées au périnée,
donc, j’ai tout le reste du corps qui ne bouge absolument pas,
figé dans la position dans laquelle je suis,
la seule chose qui soit active en moi, qui se meut,
ce sont ces muscles du périnée que je tends et que je détendsje peux les effectuer cuisses écartées
mais même jambes croisées, compressant mes génitaux,
les contractions sont tellement précisément appliquées qu’au périnée,
qu’il ne semble y avoir pas un gramme d’onde génitale émise,
du prostatique 100% grâce à ces manipulations ultra-localiséesen effectuant ces contractions,
ne faisant bouger en moi,
rien d’autre que les muscles du périnée,
je me rends compte à quel point ils sont développés,
à quel point je suis capable d’agir dessus, d’agir avec,
d’aller titiller la prostate avec,
c’est comme si j’avais un petit bras mécanique,
avec plein de chevaux dans son moteur, là en bas
qui me permet d’aller cajoler, presser, la prostate, comme je veuxsuite au prochain épisode,
pour l’instant, je m’amuse avec mon nouveau jouet, à tout bout de champ,
les sensations sont délicieuses, prostatiques à 100%
et montent en intensité rapidement,
jusqu’à quel point, les prochains jours me le dirontc’est très reposant en tout cas, de ne rien bouger d’autre que quelques muscles bien précis,
de la micro-action avec maximum d’effet16 février 2022 à 10 h 20 min #43263bzo
Participantcela fonctionne aussi debout,
cela fonctionne vraiment dans n’importe quelle position et n’importe où,
du moment que j’applique bien le principe de m’immobiliser
et de n’agir que sur les muscles du périnée,
je parviens ainsi à me connecter instantanément à ma prostate,
cela fait longtemps que je ne l’ai plus ressenti, elle, elle seule, comme celaà chaque contraction,
je sens ses ondes se diffuser,
monter le long de ma colonne vertébrale,
au début, comme une ogive vibrante, fonçant
puis qui s’ouvre, se répand en faisceau vers le hautah, chère prostate, tu es vraiment la reine des lieux,
tu règnes dans mon corps,
là, je te fais entrer en scène, en solo,
sans aucun autre acteur,
personne d’autre que toi,
toi, toute seulecomme tu sais m’allumer en quelques instants,
me transformer en sapin de Noel clignotant anarchiquement
et vibrant de toutes ses branches17 février 2022 à 18 h 46 min #43289bzo
Participantaujourd’hui, au boulot, sur place, à mon entreprise,
j’ai pu expérimenter ce que je décris juste au-dessusc’était à midi, je venais de terminer de manger devant mon ordinateur,
je commençais à digérer tout en traînassant encore un peu sur des sites,
avant de reprendre le travail,
tout à coup je me suis souvenu que ces derniers jours,
j’avais isolé une façon de contracter
et tentait d’en faire une manière de pratiquer à part
qui me permettrait de retrouver un plaisir prostatique à 100%les minutes qui suivirent,
furent la parfaite illustration de tous les espoirs que je mettais en cette technique,
la simplicité enfantine de mise en route, n’importe où, n’importe quand,
qu’il y a des gens autour de moi ou pas,
quoique je fasse, à condition de pouvoir détourner un peu de concentrationtout ce que j’ai eu à faire,
ce fut de rester bien immobile
et de mettre en route cette façon de contracter ultra-localisée aux muscles du périnée,
il y avait des gens tout autour de moi, des collègues
mais je n’hésitais pas un instant, rien ne pouvait me trahir,
aucune geste, aucun mouvement, aucune posture
qui suggéreraient que je suis en train de me donner du plaisirla réaction instantanée de ma prostate à la première contraction, fut telle
que j’ai été surpris et failli gémir tout haut,
je me forçais à garder un visage impassible et à ne émettre aucun son,
ainsi, malgré tout, le plaisir a rapidement envahi mon bassinc’était vraiment bizarre, c’est la première fois que je faisais cela,
comme cela parmi des gens,
cela n’a pas la même puissance, vu les conditions
et le contrôle permanent que j’exerçais
mais malgré tout, c’était là, en moi, de plus en plus,
cela débordait de mon bassin,
cela montait, cela se répandaitje m’arrêtais après quelques instants,
je n’ai pas l’habitude de pratiquer ainsi, parmi des gens
et j’ai eu trop peur de perdre le contrôle, à partir d’un moment,
tellement les vibrations commençaient à être omniprésentes
et je sentais ma chair s’emballer,
j’avais peur de partir en roue libre
et de ne plus rien pouvoir contrôlerje vais y aller progressivement, par étapes, m’y habituer,
reconnaître les signes
qui me permettront de ne pas dépasser certaines limites,
en fonction de mon état d’excitationmais c’était vraiment une superbe surprise,
à la première contraction, donc,
j’ai senti ma prostate réagir du tac au tac,
un bouquet d’ondes a apparu puis s’est évanoui,
à chaque contraction,
le bouquet suivant augmentait en taille et en envergure
et disparaissait de plus en plus lentementj’ajustais aussi ma position un peu,
très progressivement, centimètre par centimètre
pour sentir ma prostate accessible au maximum,
avoir le bon angle d’attaque, avec les contractionsc’est génial comme méthode,
premièrement parce que cela me permet de me reconnecter à ma prostate,
je l’ai tellement habitué à travailler de concert avec les ondes génitales et anales,
que cela me parait, pour l’instant, une redécouverte complète,
de rester uniquement avec ses ondes à elle, en moi,
de sentir ainsi l’excitation progressersans aussi que le mode yin soit mis en éveil, un seul instant,
et vienne se mêler à l’action, submergeant tout, prenant la direction des opérations,
ne laissant la place à rien d’autre,
c’est grâce au fait qu’avec mon bassin bien immobile,
la danse, la houle langoureuse, du yin, ne se met pas en placeaussi, aucun effleurement des cuisses avec les génitaux,
donc en fait, j’ai trouvé là, une manière de solliciter ma prostate,
de dialoguer avec elle,
en gardant pour la première fois, à bonne distance, mon mode yin
et peux espérer donc ainsi,
retrouver un massage prostatique, avec tout ce qui va avec,
son cortège joyeux d’orgasmes à la queue leu leu, de super O,
d’extases interminables19 février 2022 à 22 h 47 min #43310bzo
Participantau fond, le vrai but, le seul,
derrière le mode yin,
c’est juste de se faire l’amour,
pleinement, à fond,
vivre cette sensation
de se faire l’amouron lit de temps à autre,
dans les témoignages de gens pratiquant le massage prostatique,
des phrases du genre
“et puis soudain, c’est comme si mon corps se faisait l’amour, ce fut fabuleux”,
eh bien, le mode yin, c’est à propos de cela, rien que de cela,
non pas juste le vivre une fois, de temps à autre, par accident
mais continuellement, du premier instant de l’action,
jusqu’au dernierdes préliminaires riches et variés,
de la montée en puissance
et puis, enfin,
de longs et fabuleux moments,
en roue libre,
les sens divaguant,
le désir, les pulsions, l’instinct,
totalement déchaînés, déferlant en nous,
le coeur débordant d’émotions brutes,
en même temps animales et célestes,
le bassin en feu,
une communion sublime dans la chairje l’ai déjà écrit,
ces moments-là,
c’est quand le yin et le yang, en nous,
soudainement, sont entièrement éveillés,
on est, un moment, spectateur privilégié,
de leurs ébats, dans notre chaireh bien, le mode yin,
c’est à propos de cela,
rien que de cela,
de A à Znotre corps est un sexe,
en même temps masculin et féminin,
apprendre à se faire l’amour,
c’est apprendre à faire l’amour à l’autre20 février 2022 à 3 h 06 min #43312bzo
Participantla nuit, je me réveille de nombreuses fois,
pour des laps de temps très courts
et à chaque fois, c’est le même scénario,
je me rends compte que je me suis réveillé,
immédiatement, mon corps se mets à onduler langoureusement,
ma main passionnément à caresser quelque part,
les cuisses se frottent contre mes génitaux
et quelques contractions se forment, pour faire bonne mesureinstantanément, je suis envahi d’un plaisir tellement intense
qu’on peut parler de jouissance,
suis emporté par des ailes irrésistiblement, dans un firmament très personnel,
celles-ci, quelques secondes après,
me redéposent déjà dans mes rêves,
je me suis rendormidonc, mes nuits, sont une succession de rêves géniaux (j’en ai toujours d’excellents)
entrecoupés de moments de jouissance,
que demander de plus
(si en plus mon compte en banque pouvait grossir tout seul, pendant que je dormais,
là ce serait parfait
mais bon, on ne peut pas non plus demander la lune, en plus, n’est-ce pas
j’ai les étoiles déjà, derrière les yeux, des étoiles de soie caressante
qui nagent en bancs, souvent, parmi mes cellules grises- Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 7 mois par
bzo.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 8 mois par
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