Mots-clés : aneroless
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17 décembre 2023 à 2 h 41 min #47779bzoParticipant
après, cette séance mémorable,
je sortis dans la cuisine,
me couper une tranche de bon pain au levain,
avec une croute bien épaisse et gouteuse
et je mettais dessus, un peu de beurre et beaucoup, beaucoup, de mortadelle italienne,
jamais pain et charcuterie,
n’ont eu un goût aussi pleinement, aussi finement,
apprécié, par mes papilles gustatives
mon niveau de perception, est étonnant,
jamais eu cela,
semblait s’être démultiplié, pour l’instant,
j’attribue cela, à la splendide connection que j’ai eu avec mon corps,
pendant un si long laps de temps,
durant cette séance décrite, juste au-dessus
17 décembre 2023 à 11 h 08 min #47780bzoParticipantmes couilles et mon sexe,
semblent chaud bouillant, ce matin
et quand je les enveloppe avec mes cuisses,
je sens leur chaleur tellement douce, se diffuser dans mes cuisses
et si j’y ajoute un mouvement des fesses,
façon déhanchement langoureux,
alors soudainement la chaleur semble se transformer en un essaim de velours,
explosant dans toutes les directions
je restais, ainsi, de longues secondes, juste penché au dessus de la baignoire,
goutant à cet envol de nid, dans mon bassin, de milliers d’oiseaux de chaleur soyeuse
ou encore dans la cuisine, devant le robinet ouvert,
immobile sauf pour les hanches,(la bouilloire a débordé),
enfin à tous bouts de champ
le désir de pratiquer, est revenu,
la journée va être consacré à la menuiserie,
terminer cette fichue bibliothèque qui couchée,
prend tellement de place, dans mon salon
et à me lutiner, à m’envoyer en l’air
puis en fin de journée, une petite virée chez un de mes bouquinistes
et après, et après, lecture et lutinage
ou bien lutinage et lecture, comme on veut
17 décembre 2023 à 13 h 11 min #47781bzoParticipantil faut vraiment être nu pour bricoler,
cela permet d’évacuer la chaleur générée par l’exercice,
d’être totalement à l’aise dans ses mouvements,
d’être plus efficace, donc
et puis cela permet à mon autre exercice, plus intime, plus ardent, celui-là,
de bien se mettre en place, automatiquement, sans effort,
généré sans que j’y pense un seul instant, au fur et à mesure
le moindre contact de mes fesses, de mes couilles, avec du bois, avec le parquet,
le moindre contact, en fait, de n’importe quelle partie de mon corps,
avec n’importe quoi,
génère immédiatement des sensations voluptueuses,
comme c’est agréable de travailler ainsi,
quelle ponctuation délicieuse
et puis je suis étonné, à quel point, désormais,
je peux pratiquer en parallèle, en faisant n’importe quoi,
il y a finalement, peu, très peu de tache avec laquelle on est occupé,
qui requiert 100% de notre attention
il y a presque toujours quelques pourcents de concentration qui peuvent être libérés
et détournés vers de la communion voluptueuse, avec mon corps,
alors je visse en plaisir, je scie en plaisir, je déplace ceci ou cela, en plaisir,
cela se fait automatiquement,
dès que 100% de ma concentration est exigée pour finir de visser ou de percer quelque part,
le manège sensuel, s’arrête, le temps qu’il faut
et reprend dès que cela redevient possible
et s’accentue de plus en plus quand la possibilité est là
du piano à quatre mains,
deux mains pour la conversation ardente, entre mon corps et mon esprit,
entre le masculin et le féminin , en moi
et deux mains pour ma bibliothèque
sinon, ma recommendation du jour,
travailler à poil,
vous ferez des économies de lessive, d’usure de vêtement
et vous serez bien mieux, bien plus à l’aise
pour effectuer votre tache
et si vous avez une pratique bien développée,
vous pourrez la faire cohabiter, beaucoup plus facilement,
avec ce que vous faites
17 décembre 2023 à 16 h 02 min #47786bzoParticipantau fond, le mode yin, le plaisir au féminin,
c’est enfantin, c’est simple comme bonjour
à condition d’oser
et c’est peut-être cela, le bloc le plus important,
de l’apprentissage, du parcours,
apprendre à oser de plus en plus
car pour un homme standard
(mais qui l’est vraiment, surtout parmi ceux qui s’attardent par ici?),
il s’agit de se faire violence, en tout cas au début,
d’oser transgresser, d’outrepasser
ce qui semblent les frontières de notre genre,
cela peut paraître contre nature, dans un premier temps
mais le fait est,
que notre chair,
que nous ayons le physique d’un homme, ou d’une femme,
peut réagir, indépendamment de cela,
au masculin , comme au féminin
et bien sûr, sur toutes les nuances de l’échelle, entre les deux
dès lors, oui, c’est simple comme bonjour, c’est enfantin,
il suffit d’agir, comme si notre corps
était celui d’une femme à qui on veut procurer beaucoup de plaisir,
la faire jouir , le plus possible
et notre corps va finir par comprendre ce que l’on attend de lui
et va donc réagir, de plus en plus, en ce sens
notre corps va comprendre de mieux en mieux ce qu’on attend de lui,
aussi au fur et à mesure que nous apprenons de mieux en mieux,
à exprimer, à chaque instant, ce qu’on attend de lui,
c’est un double apprentissage, un rapprochement, un dialogue,
entre notre corps et notre esprit,
pour que le masculin et le féminin, en nous,
puissent interagir de mieux en mieux,
s’entremêler de plus en plus ardemment,
avec de plus en plus d’intensité, de variété et de richesse
agissant, ainsi,
automatiquement nous percevrons le plaisir au féminin
car le plaisir est , avant tout du côté du féminin,
nous autres hommes, avec uniquement notre plaisir pénien,
nous sommes ridicules à côté,
nous ne jouons pas dans la même ligue
mais dès qu’on s’aventure du côté du plaisir prostatique et due plaisir anal,
là, cela devient autre chose,
nous nous rapprochons en qualité des résultats,
de ce que peuvent obtenir les femmes
mais pourquoi se refuser, à côté du plaisir anal et du plaisir prostatique,
si on peut encore obtenir une troisième variété de plaisir,
encore plus proche, au niveau de la qualité et de la richesse,
des sensations et de la jouissance,
de ce que peuvent éprouver les femmes?
en tout cas, pour certains d’entre nous,
c’est une tentation très forte, d’aller par là,
d’éprouver cela, de vivre cela, dans sa chair
17 décembre 2023 à 16 h 53 min #47792PetitsPlaisirs76ParticipantLe 16/12 bzo écrit
je pratique moins, je disais, donc,
va savoir pourquoi, je ne force pas,
je me sens bien,
le désir est un peu en sommeil
pas de porno,
pour le rallumer artificiellement,
cela joue, sans doute,
cycle naturel, cycle plein
Idem pour moi, je pense que la saison hivernale et son manque de soleil y est pour une part.
Je maintiens le niveau de la libido en me caressant, au sens premier, tous les jours, pas de masturbation pénienne et intellectuellement en m’intéressant au “cul”,
en consultant quelques sites ou blogs, toujours les mêmes, qui titillent mes petits fantasmes, pas de “porno” type “classique”.
Ensuite le corps décide, souvent en milieu de nuit lorsqu’il s’est reposé.ps:la notion de porno étant très large, je précise que pour moi ce sont les vidéos “classiques” avec de l’agressivité de la démesure, tout sauf du plaisir.
pour moi une personne seule, en photo, quoi qu’elle fasse n’entre pas dans la catégorie “porno”, le “porno” ne commence qu’à deux.17 décembre 2023 à 17 h 02 min #47794bzoParticipantle “porno” ne commence qu’à deux
hum, là, je ne suis pas du tout d’accord,
une vidéo de femme ou d’homme qui se masturbe en solo,
c’est aussi de la pornographie
dans le contexte d’un film, c’est différent,
si le scénario justifie une scène très dénudée, voire explicite, comme on dit,
là c’est autre chose,
cela peut aller très loin, aussi lojn que possible,
s’il y a un scénario, une action où cela a sa place
un homme ou une femme, peuvent se promener nu
et cela peut être de l’art, dans un film,
exprimant de la sensualité, voire autre chose,
juste de la beauté, la beauté du corps, de la vie
ou cela peut être juste pornographique, dans un autre,
tout dépend s’il y a un scénario, un contexte qui justifie la nudité
ou si elle est simplement là pour inciter le spectateur à se masturber
18 décembre 2023 à 23 h 42 min #47830bzoParticipantsans doute, pour une femme,
une fois qu’elle prend possession de son corps,
laissant son corps la posséder,
c’est juste naturel, cela va de soi
quand cela s’éveille en elle,
quand cela commence à l’emporter,
quand sa chair et son esprit,
se mettent à délirer, ensemble,
sur la monture ardente du désir
mais pour moi
qui suis un homme,
avoir réussi à aller aussi loin,
à l’éveiller en moi
dans cet apprentissage intime, ardent,
en parfaite connivence avec mon corps,
il y a à chaque fois,
comme une sensation de magie
en train de s’opérer
dans la spontanéité absolue,
sans frontières,
je suis ce que je ressens
l’élan vital, le cercle,
l’ardente pente du désir
mon sexe est entrebâillé,
immensément, des pieds à la tête,
je suis face à la mer,
je suis cette ouverture, cette offrande
que pénètrent les vagues,
que pénètre l’écume,
que pénètre le vent,
que pénètre la lumière
19 décembre 2023 à 18 h 14 min #47841bzoParticipantje viens de recevoir une publicité d’une grande surface dans ma boite mail,
“Répandre la magie de Noel”
je ne sais pas pourquoi (enfin, oui, je sais…)
mais j’ai tout de suite penser à ma prostate
19 décembre 2023 à 19 h 12 min #47842bzoParticipantma tête, là, dans l’instant,
avec mon corps,
oui, ensemble,
dans l’instant, réunis,
formant un grand circuit,
formant un grand réseau,
sillonné, parcouru,
festivement
se sentir sillonné,
se sentir parcouru,
de la tête aux pieds,
jusqu’au plus profond de ses fibres,
ébloui, oui, ému, oui,
de la tête aux pieds,
jusqu’au plus profond de ses fibres
traversé, de part en part,
comme par de la soie,
comme par une nuée de caresses,
de la tête aux pieds,
jusqu’au plus profond de ses fibres
20 décembre 2023 à 9 h 20 min #47848bzoParticipantil y a quelques instants, assis dans mon fauteuil,
en me caressant un peu, bougeant les hanches
pressant et frottant avec les cuisses, les génitaux,
je me suis fait la réflexion
que grâce à l’augmentation, jour après jour,
de l’accumulation des énergies,
je sentais toujours mieux ses formes,
je les vivais avec toujours plus d’intensité et de variété
le grain de sa peau, sous mes doigts,
est devenu tellement, tellement, précis
les courbes de ses seins, dans mes paumes,
se dessinent avec une telle netteté, un tel réalisme,
chaque mouvement de ses hanches,
est devenu tellement incroyablement capiteux,
ressenti avec une telle précision
et puis, et puis,
quelle souffle, quelle bouffée de chaleur enivrante,
qui remonte par la petite fente,
dès que j’applique une contraction,
cela me monte immédiatement au cerveau,
je suis pris d’un délicieux vertige
si je suis debout, je titube, je zigzague,
comme si j’étais ivre,
si je suis assis,
j’ai les yeux qui se referment,
la tête qui se rejette en arrière,
tout mon être,
est entraîné par un doux torrent de soie
comme elle est là,
comme elle est vécue,
comme elle se manifeste,
comme l’instant est plein, capiteux et riche,
comme un désir XXL m’emplit, des pieds à la tête,
comme tout mon corps chante,
sa complicité est une voluptueuse bénédiction,
de tous les instants
et comme ma prostate, joue le jeu, aussi,
mettant toute sa puissance,
au service de la danse de ses hanches
et du dard l’explorant avec ardeur
20 décembre 2023 à 9 h 28 min #47849bzoParticipantil y a quelques instants, assis dans mon fauteuil,
en me caressant un peu, bougeant les hanches
pressant et frottant avec les cuisses, les génitaux,
je me suis fait la réflexion
que grâce à l’augmentation, jour après jour,
de l’accumulation des énergies,
je sentais toujours mieux ses formes,
je les vivais avec toujours plus d’intensité et de variété
le grain de sa peau, sous mes doigts,
est devenu tellement, tellement, précis
les courbes de ses seins, dans mes paumes,
se dessinent avec une telle netteté, un tel réalisme,
chaque mouvement de ses hanches,
est devenu tellement incroyablement capiteux,
ressenti avec une telle précision
et puis, et puis,
quelle souffle, quelle bouffée de chaleur enivrante,
qui remonte par la petite fente,
dès que j’applique une contraction,
cela me monte immédiatement au cerveau,
je suis pris d’un délicieux vertige
si je suis debout, je titube, je zigzague,
comme si j’étais ivre,
si je suis assis,
j’ai les yeux qui se referment,
la tête qui se rejette en arrière,
tout mon être,
est entraîné par un doux torrent de soie
comme elle est là,
comme elle est vécue,
comme elle se manifeste,
comme l’instant est plein, capiteux et riche,
comme un désir XXL m’emplit, des pieds à la tête,
comme tout mon corps chante,
sa complicité est une voluptueuse bénédiction,
de tous les instants
et comme ma prostate, joue le jeu, aussi,
mettant toute sa puissance,
au service de la danse de ses hanches
et du dard l’explorant avec ardeur
oh, je suis en train de jouir,
en terminant ce texte,
mes hanches bougent, mes reins dansent,
mon sexe et ma prostate, émettent à tout va
et ma chair grésille, fond,
le bonheur est partout
21 décembre 2023 à 0 h 13 min #47875bzoParticipantallez, je vais me mettre au lit, plus tôt que d’habitude,
avec une petite idée coquine, en tête
m’offrir de longues, longues minutes, de plaisir anal,
avec mes doigts,
en mode petites souris curieuses, fouineuses, exploreuses
cela fait longtemps que je me promets de faire cela,
cette nuit, ce sera le moment,
je me beurre de karité, le petit tunnel sombre
et vogue la galère,
vers les cieux
vive les ananas!
euh non, vive le ananal
24 décembre 2023 à 12 h 12 min #47892bzoParticipanton ne pratique tellement pas de la même manière
quand on a derrière soi, 6 mois d’accumulation des énergies
que quand on éjacule régulièrement chaque semaine
toujours dans le contexte d’une pratique en solitaire,
sans interaction d’avec d’autres, bien sûr,
si vous avez un ou des partenaires,
avec qui vous faites l’amour, régulièrement,
on est dans une autre dynamique, fondamentalement,
il y a échange des énergies, entre les corps
quand ils sont entremêlés
le renouvellement de celles-ci,
a le même effet , plus ou moins,
que leur accumulation, en solitaire,
enfin, c’est ma théorie
donc, on ne pratique pas du tout de la même manière,
c’est un peu, comme on n’appuie pas de la même façon sur la pédale d’accélérateur,
avec une Ferrari ou une Porsche qu’avec une Opel ou une Citroen,
la différence de chevaux, à notre disposition, entre ces types de voitures,
doit emmener le conducteur a en tenir compte
et s’y habituer
pour optimiser tout cet engorgement d’énergies, dans la chair,
il faut donc apprendre à appuyer toujours plus différemment,
sur la pédale de gaz, en soi,
celle-ci étant, partout,
dans nos caresses, dans nos mouvements, nos postures,
nos contractions, nos contacts de toutes sortes, etc
le principe est assez simple, je l’ai déjà énoncé plusieurs fois,
en faire toujours moins, pour en obtenir toujours plus,
on déclenche juste un processus,
et on laisse les effets se développer,
effectuer leur course, en dérangeant le moins possible,
en se concentrant bien juste,
à déguster les nuances de sensations, de volupté, de jouissance
qui s’éveillent au fur et à mesure
mes caresses sont, donc, toujours plus légères ou plus lentes,
plus au ralenti, alternant avec des moments d’immobilité des mains,
rythme très zen, disons, donc,
l’aile du papillon bat quelques fois
et déjà on est tout entièrement en mode écoute
de ce qui va être déclenché comme séisme, quelque part en nous
les contractions montent aussi, à un rythme très lent, épars,
pour pouvoir bien goûter,
aux effets de plus en plus telluriques et prolongés de chaque
les mouvements des hanches, de tout le corps,
semblent, chez moi,
dans un tempo, disons, rêveur, contemplatif,
lancinant, indolent, la plupart du temps,
témoignant, cependant, d’un lâcher prise total et sans tabou,
entièrement guidé, mené par le désir,
laissant me féminiser, à l’intérieur, dans le ressenti,
comme à l’extérieur, dans mes gestes, mes mouvements, mes postures
mais les effets, sous ma peau,
en sont d’autant plus “tsunamiesques”
que l’écoute, sera plus facile, plus efficace,
à être plus économe, dans ses mouvements, ses déplacements, ses caresses, etc
il n’y a plus du tout la frénésie croissante du plaisir pénien
ou même du plaisir prostatique,
de tous les types de plaisir en mode yang, en fait
ou du moins, elle arrive beaucoup plus tard,
nettement plus ponctuellement,
quand la horde de chevaux sauvages, de l’orgasme,
commence à dévaler dans notre chair
déployer la grande oreille
pour capter le moindre détail de ce qui se passe en nous,
ainsi, en étant tout à l’écoute de son désir,
de ses mille et une variantes d’amplitude, de direction, de nuances
est nettement plus facile et optimal
que juste galoper comme un forcené derrière l’orgasme
le rythme du tango langoureux entre mes cuisses et mes génitaux,
aussi, bien sûr,
c’est même, sans doute, là que c’est le plus frappant,
à quel point, je suis , de plus en plus, en mode minimaliste,
étant donné qu’on parle de contact direct,
avec le pénis et les bouboules hirsutes,
zone ultra-sensible et excitable, s’il en est, chez un homme
le plaisir pénien,
après des mois d’abstinence d’éjaculation,
peut se déclencher beaucoup plus facilement et plus puissamment
peut se dérouler et arriver à son terme, une fois enclenché,
à un rythme accéléré,
si on ne fait pas attention
c’est donc, vraiment avec les interactions, avec les bijoux de famille,
qu’il faut s’adapter le plus efficacement possible, au fur et à mesure
si on veut pouvoir continuer de bien profiter d’eux,
de toutes les masses d’ondes génitales délicieuses, dont ils sont capables
sans devoir se freiner plus que nécessaire, de plus en plus,
pour pouvoir éveiller, donc,
des ondes entièrement au service du plaisir en mode yin
et non pas une majorité de péniennes
qui peuvent foncer très rapidement vers le petit jet laiteux,
si on leur laisse libre cours quelques instants de trop
ce qui dans le contexte d’une pratique en solitaire,
serait bien dommage
car on perd directement tous les vastes effets positifs
de l’accumulation des énergies,
pouf, envolés en fumée
ou plutôt,
avec les quelques gouttes de sperme qui ont giclé
je contre-équilibre beaucoup, aussi,
quand je sens que des ondes péniennes
commencent à être générées en un peu trop grand nombre
avec des ondes prostatiques,
celles-ci, en effet, tout aussi puissantes que les ondes péniennes,
ont la faculté de les calmer, de les annihiler, même,
un peu l’effet de l’eau d’une lance d’incendie
dirigée vers un départ de flammes non désirées
cependant je tiens à préciser,
comprenez-moi bien,
qu’il n’y ait pas de malentendu,
ralenti, lenteur, moments d’immobilité,
ne veut pas dire, non plus,
ne pas entretenir, un élan, une tension,
si on est bien à l’écoute,
alors il y a une dynamique active du désir
qui est en action,
qui reste constamment en action,
il ne faut pas laisser le feu s’éteindre,
il y a toujours en nous un élan qui se crée,
générée par l’union du corps et de l’esprit,
par l’union du masculin et du féminin
et cette dynamique doit continuer de nous mener,
sinon cela devient mou, lâche
et finalement s’éteint complètement
et nos sensations avec
27 décembre 2023 à 17 h 13 min #47897bzoParticipantc’est délicieusement indécent,
je peux me toucher n’importe où
et j’ai l’impression de me toucher le sexeet quel sexe,
immense, dressé, entrouvert,
à lèvres, raide, turgescent, mouillé, labyrinthique,
avec plein de recoins chauds et humides,
à clitoris, à glandun sexe fantaisie, dans les ténèbres,
un sexe ressenti, dans la lumière,
plus vrai que nature,
un sexe arc en cielmon sexe à moi quand tout seul, en action,
pas celui qui me pendouille entre les jambes
mais mon sexe à nous, tous,
qui collecte de la cave au grenier,
qui ratisse aussi large que possible,
qui taille un costume XXL au désir29 décembre 2023 à 0 h 16 min #47907bzoParticipanttout est vraiment dans le détail,
chercher la toute petite bête,
là et là et là et là
et vous avez déjà un ruisseau
et encore là et là et là et là et là et là
et vous avez la mer
des mailles minuscules et innombrables,
tissées ensemble
qui se mettent en mouvement,
à l’appel du désir
29 décembre 2023 à 8 h 23 min #47908bzoParticipantje m’éveille,
automatiquement, ma main se pose sur la peau,
se met à remonter lentement,
mes hanches, à bouger lascivement
et mes cuisses, à se frotter contre les génitaux
instantanément, je suis envahi d’une volupté,
tellement, tellement, délicieuse, tellement jouissive,
toute ma chair, en chœur,
toutes les particules, de mon être,
en délire, déjà
bon, j’arrête,
quelques secondes suffisent,
c’est un rituel, chaque matin, au réveil,
pour vérifier que tout est bien là,
que je n’avais pas rêvé que tout cela existait,
que tout cela, était à moi, était en moi,
que le petit miracle existe bien
le réveil-plaisir,
le réveil-désir,
le réveil-fusion,
le réveil-effusion,
le réveil-communion,
le réveil-réveil
30 décembre 2023 à 10 h 05 min #47932bzoParticipantle plaisir peut m’appeler à tout moment,
quoique soit mon occupation,
comme il peut ne pas me héler, désormais,
pendant des heures et des heures
mais les énergies ne sont jamais complètement inactives,
il y a une sorte de bien-être généralisé
qui s’est installée en moi,
je plane, comme on disait dans ma jeunesse,
doucement, tranquillement
mais à peu près constamment
une proximité, une complicité, avec mon corps
qui s’exprime par une sensation de bien-être,
il est là avec moi,
en rue, dehors, il redevient ce véhicule anonyme
mais chez moi, seul,
je suis avec lui,
il s’est intégré à mon moi pensant,
il participe, à ma vie de tous les instants
et puis quand le désir s’éveille,
alors là, alors là …
ce monde aux règles d’airain, bien établies,
soudainement s’effrite, se dérègle,
est envahi de feux d’artifice dans l’invisible,
ma chair devient, instantanément, une telle fête,
j’en pleure de bonheur, par moments,
tellement un nectar ineffable,
court dans mes veines
mon corps et moi,
avons ce double de splendeur, en nous,
ce double au sexe indéterminé
qui englobe le féminin et le masculin,
qui les laisse jouer,
qui les laisse batifoler à l’infini
parfois, juste, un seul geste, une seule position,
une fraction de seconde,
les frontières disparaissent,
tout un univers où règne le ressenti, où règne la volupté,
où règne la fusion, où règne l’effusion généralisée,
où règne une forme de mystère délicieux, aussi
un univers
qui semble avoir des complicités à l’extérieur,
tout un réseau, dans l’invisible,
je suis à l’écoute, je suis attentif,
dehors, en forêt, plus particulièrement,
le vent semble vouloir me dire des choses,
la lumière, les feuilles, les troncs,
tout, en fait
je travaille à me rapprocher des végétaux, des rocs, des animaux,
comme je me suis rapproché de ma chair,
comme je me suis vêtu d’elle,
comme je m’en suis fait un nid douillet,
en même temps, qu’un volcan superbe
ma retraite débute bientôt,
tant de choses m’attendent,
des galaxies s’attroupent autour de moi,
n’attendent que mes incursions, que mes explorations,
pour vibrer et se mettre à clignoter de mille couleurs
comme des sapins de noel
les sensations, aussi brève et fugaces, soient-elles,
sont hors de l’espace et du temps
1 janvier 2024 à 8 h 30 min #47985bzoParticipantle mélange, l’amalgame, le plus parfait,
d’ondes prostatiques et d’ondes génitales,
s’obtient aisément
cela peut s’effectuer n’importe où, au lit, assis, debout,
plus facile néanmoins, assis ou couché
on resserre les cuisses autour de ses bijoux de famille,
de façon à les envelopper délicatement,
avec une pression, uniformément répartie
on attend un peu ,
que tout cela forme un paquet compact,
à multiples strates, se pressant les unes contre les autres,
bien stabilisé, inerte
mais prêt à rayonner, latent, puissant, chargé
puis on fait monter lentement une contraction
mais rien que cela, aucun autre mouvement,
d’aucune autre partie du corps,
comme si on était parti dans un dialogue, un tête à tête exclusif,
avec sa prostate
tout le petit paquet de chair sensible, de peau, de nerfs,
entre les jambes,
se met ainsi, un peu, en mouvement,
une tension s’installe du fait de la contraction
le sexe, les couilles, le périné, la prostate,
semblent se mettre à vibrer, à l’unisson,
délicieux
comme un obus se forme,
comme pondu par la région,
qui directement,
semble chercher son chemin vers le haut,
essaimant la joie, sur son passage,
dans les entrailles,
provoquant une pluie d’étoiles,
dans le cerveau
maintenir , par moments, longuement la contraction,
sentir, comme toute la zone, se met à darder,
un soleil nain, s’embrasant de plus en plus,
entre nos reins,
quel foyer de volupté,
le coeur est noyé de bonheur charnel
ainsi, parfois,
je recouvre avec les paumes, les seins,
les presse vers le haut,
comme ils sont ronds, comme ils sont vibrants,
ils semblent tirer tout mon être vers le haut,
comme un ascenseur
oh ma première jouissance de 2024
2 janvier 2024 à 16 h 40 min #47991bzoParticipantc’est étonnant comme le corps est un tout,
un tout, un réseau,
je dirai, même
et avec la sur-sur-sur-saturation des énergies, dans ma chair,
grâce à l’abstinence d’éjaculation,
cela ressort avec une acuité de plus en plus étonnante,
cette sensation d’ensemble
dont tous les composants seraient, ponctuellement, reliés entre eux,
par les sens, aussi,
j’en ai fait l’expérience, il y a quelques minutes, de manière sublime,
dans la salle de bain, en me lavant les dents
j’étais penché au-dessus de l’évier,
avec la brosse allant et venant dans tous les recoins
quand soudain, je me suis dit
que la position devait être particulièrement favorable à des contractions
et j’ai tenté le coup
un peu serré les cuisses, pour envelopper mes génitaux,
pour qu’ils participent à la fête, aussi,
et vogue la galère,
j’ai fait monter une contraction
que j’ai maintenue, maintenue, maintenue,
desserrée un peu, resserrée,
jouant ainsi, avec, au fil des secondes
cela a commencé à irradier de plus en plus fort dans mon bassin,
un délicieux mélange d’ondes prostatiques et génitales,
je sentais que cela montait de plus en plus,
de la volupté qui s’installait un peu partout,
de plus en plus dense, de plus en plus chaude, de plus en plus soyeuse
puis je me suis rendu compte
que les mouvements de la brosse à dents, dans ma bouche,
participaient, aussi, à mon plaisir,
créant des nuances étonnantes, exotiques,
les cognements du plastique, sur les dents,
les frottements des poils de la brosse, sur l’émail,
le goût du dentifrice, sa mousse mêlée à un peu d’eau
tout participait, tout générait,
cela virevoltait de nuances, encore jamais ressenties,
dans ma bouche
je percevais, en même temps, à chacune, sa spécificité,
et en même temps, je la sentais courir se jeter, se mêler, au cours principal,
montant avec de plus en plus d’insistance, depuis mon bassin
je me suis mis à bouger un peu le cul
et à me cambrer de plus en plus,
je n’étais plus loin de jouir,
je me suis rendu compte, avec étonnement,
tout en continuant de manipuler
la brosse, dans ma bouche, machinalement,
m’imbibant de toutes ces sensations nouvelles,
dans un endroit tout à fait inhabituel, pour moi
oh comme c’était bon,
je crois que je n’ai jamais lavé aussi longtemps mes dents,
elles sont très certainement impeccables,
question, propreté, pour l’instant
4 janvier 2024 à 0 h 02 min #48000bzoParticipantil y a cette brûlure incroyable dans ma chair,
c’est presque comme une flamme sacrée
qui s’éveille sous ma main
la volupté,
c’est vraiment comme une escalade sans fin,
une ivresse des hauteurs,
mon territoire, mon royaume,
ma liberté,
mon instant d’éternité
4 janvier 2024 à 20 h 32 min #48005bzoParticipantce matin, dans mon lit,
avant de me lever pour aller travailler,
je m’étirais, je m’étirais,
me frottais contre les draps
et de fil en aiguille,
le mouvement est devenu de plus en plus langoureux,
me suis mis à me caresser,
à bouger le cul et les hanches,
de plus en plus, en rythme
c’était splendide,
je pouvais contracter n’importe quel muscle du corps,
ma prostate réagissait, se mettait à vibrer
comme si la contraction était partie du périné
je me mis à jouer avec moi-même,
à m’explorer avidement,
j’enchaînais par groupe de muscles contiguës
qui prenaient le relais les uns des autres,
les sensations semblaient courir sous la peau,
semblaient suivre les muscles contractés,
comme une meute joyeuse
chaque contraction directe depuis le périné,
me faisait frissonner de la tête aux pieds
semblait mouler comme une délicieuse raideur voyageuse,
dans ma chair
sensation irrésisitible de se faire l’amour,
de féminin et de masculin, intensément entremêlés,
de fusion, de communion, de complicité totale, avec son corps
la volupté comme une grâce,
la grâce, comme une volupté
5 janvier 2024 à 1 h 39 min #48009bzoParticipanttout le corps,
je dis, tout le corps,
pas seulement la prostate,
pas seulement l’anus,
pas seulement les génitaux,
pas seulement les tétons
non, tout le corps,
vous devez vous occuper de tout le corps,
investir tout le territoire
on dit que l’homme ne se sert que d’une infime capacité de son cerveau
mais c’est vrai, aussi, pour sa sexualité,
tout son corps est un sexe,
deux sexes, en fait,
tout son corps est deux sexes,
deux sexes pour interagir,
deux sexes pour se sentir entier,
deux sexes pour se sentir, uni à soi-même
6 janvier 2024 à 1 h 36 min #48012bzoParticipantah, j’ai bien râlé, en début de soirée,
j’avais écrit un texte assez conséquent,
passé pas mal de temps dessus
et puis comme d’habitude, sans faire attention,
j’ai cliqué sur le bouton pour le publier,
sans me rendre compte qu’entretemps,
le forum m’avait fait le coup de la déconnexion mensuelle
tout le texte de plusieurs dizaines de lignes,
peaufiné amoureusement, perdu irrémédiablement,
fouchtre de bite de taureau et sperme de chauve souris naine,
ça fout la haine
6 janvier 2024 à 9 h 55 min #48013bzoParticipanten tant que hétérosexuel,
enfin, plus ou moins,
la plupart du temps,
avec toutes sortes d’envies
qu’on cherche à libérer, depuis toujours
et de fantasmes qu’on cherche à tester
commencer à progresser très sérieusement,
dans le plaisir en mode yin,
c’est être confronté à un moment donné,
à un profond tabou en nous,
à certaines limites de notre masculinité, malgré tout,
celui de se laisser aller complètement et sans restrictions,
à la sensation de pénétration
embrasser de tout son être, cette sensation,
en demander et redemander,
durant l’action, de toutes ses entrailles,
il faudra briser la glace, à un moment donné,
la réduire en poussière à jamais
et en perdre les éclats, aux quatre vents
il faudra bien s’y abandonner, sans rien retenir,
se laisser emporter comme un fétu de paille,
si on veut que ce continent apparaisse,
en toute sa majesté, en nous,
qu’on puisse y prendre pied,
qu’il devienne notre territoire à explorer,
pour un moment
c’est plus facile à dire qu’à faire,
je suis passé par là,
sentir comme un pieu d’ondes
qui va et qui vient, par moments, en nous,
comme une chose réelle, oh combien réelle,
en devenir fou de plaisir,
écarter, resserrer et encore écarter ses cuisses,
pour mieux l’accueillir, mieux le ressentir,
s’ouvrir, s’offrir,
oh oui, s’offrir sans rien retenir, à cette sensation,
se mettre comme en selle dessus,
se coller de tout son être au pur sang sauvage,
se laisser emmener vers des plaines à l’horizon en feu
en commencer à bouger son cul,
en commencer à bouger ses bras,
en commencer à se presser, à se frotter les seins,
en commencer à se presser, à se frotter, partout,
sentir des formes nous pousser
danser autour du totem de la volupté,
le cajoler, lui offrir son corps et son âme,
qu’on devienne lui, entièrement, des pieds à la tête,
jusqu’au plus profond de notre être,
accepter de devenir son jouet, son pantin,
pour quelques instants
6 janvier 2024 à 10 h 15 min #48014bzoParticipantpas eu le temps de corriger le dernier paragraphe,
voici
danser autour du totem de la volupté
qui s’est dressé en soi
le cajoler, lui offrir son corps et son âme,
qu’on lui appartienne entièrement,
des pieds à la tête,
jusqu’au plus profond de notre être,
accepter de devenir son jouet, son pantin,
sans conditions,
pour quelques instants
6 janvier 2024 à 22 h 05 min #48024bzoParticipantmon sexe s’est mis à couler,
comme un robinet qui fuit,
suis étonné car je ne faisais rien de spécial,
il me semble,
juste je mangeai une tartine avec du jambon, dessus
et puis je me rends compte
que c’était une femme que j’ai entendu, à la radio,
sa voix sensuelle
qui a fait couler mon petit robinet, pendant quelques instants
en même temps que j’avais été parcouru de frissons,
comme c’est agréable, d’être devenu si réactif, de toutes parts
si capable de résonner,
d’être tellement à l’écoute, avec tout mon corps,
d’être tellement à fleur de peau, avec mon désir
6 janvier 2024 à 22 h 15 min #48025bzoParticipantj’ai joui en pelant une orange,
au-dessus de la poubelle
je l’avais dans les mains,
j’étais affairé avec,
j’ai fait monter une contraction,
une seule,
immédiatement,
comme un soleil a explosé dans ma tête,
projetant sa chaleur, par vagues serrées, aux alentours
oh, cela devient vraiment magique,
avec toute cette accumulation d’énergie dans ma chair,
tout peut vraiment arriver,
tout peut devenir opportunité
pour passer un moment extraordinaire
7 janvier 2024 à 10 h 58 min #48030bzoParticipantcase menuiserie, par terre, pour moi à nouveau,
mon cul qui frotte contre le plancher,
mes couilles, mon pénis, contre les cuisses
beaucoup de frotti frotta, quoi
créant un continuum d’excitation délicieux,
de temps à autre, j’y ajoute un mouvement langoureux,
d’une partie ou d’une autre, de mon corps,
une caresse furtive des seins, une contraction, etc
piano à quatre mains,
deux pour la petite armoire que je suis en train de monter
et deux pour le dialogue ardent avec mon corps
par moments, je me sens vraiment comme un animal,
tout à coup dont les fesses sont entrées en contact
avec quelque chose qui l’a excité
et qui se met, sans vergogne et sans chichi, à se frotter contre,
sans rien retenir
oh le torrent de volupté qui m’envahit,
quel volcan, en rut,
parfois je bande dur comme de la pierre,
pour accompagner tout cela,
c’est bien agréable , aussi,
de sentir son engin, gorgé de sang,
comme frémissant, comme vibrant
j’y rajoute toujours, alors, une contraction ou deux,
les ondes prostatiques envahissent mon sexe dressé,
s’y fraient un chemin en force,
conquérant la place instantanément,
s’agitant, remuant dans tous les sens,
comme un banc de poissons, pris dans un filet,
sublime comme sensation
7 janvier 2024 à 11 h 54 min #48031bzoParticipantje perçois deux types de pôles,
en moi, au travail,
quand je suis en action
dont je cherche à joindre les forces,
en les libérant le plus possible
d’une part, l’instinct, l’animalité,
les forces telluriques, sans âge, du corps
et puis d’autre part,
les capacités illimitées d’extases,
diverses et variées, de l’esprit
et puis, et puis, d’une part,
le féminin qui constitue au fond de moi,
je le sens, plus que jamais,
comme une nappe phréatique, sans limites, d’énergie
et d’autre part, le masculin,
que je vois , désormais, surtout,
comme une énergie détonatrice, pour le féminin,
se mêlant, ainsi à celui-ci, fusionnant à celui-ci
qui peut profiter, ainsi, en se mettant totalement sous son aile,
de son envol beaucoup plus puissant et riche
7 janvier 2024 à 14 h 02 min #48032PetitsPlaisirs76Participantle 6/1/2024 bzo écrit
écarter, resserrer et encore écarter ses cuisses,
pour mieux l’accueillir, mieux le ressentir,
s’ouvrir, s’offrir,
oh oui, s’offrir sans rien retenir, à cette sensation,
J’aime onduler le bassin, me caresser les fesses et les écarter, offrant mon anus, qui ne demande que ça, la sensation d’offrande est excitante.
Par contre avoir un vrai gland qui me dilate, casserait le plaisir et ma petite rondelle avec.
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