Mots-clés : aneroless
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7 août 2024 à 8 h 52 min #50407bzoParticipant
le mode yin,
c’est vraiment une façon de s’abandonner,
une façon de s’abandonner
à la volupté dans sa chair
une façon de ne plus être mu
que par la vague intérieure,
elle envahit la moindre parcelle,
de notre être,
elle nous agit, elle nous meut,
elle nous donne vie,
elle nous moule,
elle nous tord et nous détord,
nous sommes son pantin consentant,
pantelant, ahanant,
gémissant de tous nos fibres
nos membres, notre bassin, nos mains,
tout danse de plus en plus langoureusement,
sans aucune retenue
sans aucun tabou,
sans aucune frontière de genre
la moindre mise en tension de groupe de muscles,
le moindre frottement, le moindre effleurement,
le moindre geste, le moindre mouvement,
tout génère ses propres nuances de sensations
qui viennent se joindre au flux général
on est illuminé d’ondes dans l’invisible,
on est ce delta joyeux,
sous un ciel immense,
nourrit de toutes les ondes
qui s’éveillent de partout
qui arrivent de partout
notre corps et notre esprit,
sont tellement capables,
recèlent tellement de réservoirs secrets
qui se révèlent un instant
dans toute leur splendeur
8 août 2024 à 19 h 55 min #50417bzoParticipanttellement de vide entre nos continents
les chairs peuvent se toucher,
se frotter, se pénétrer
mais plus rarement,
nos continents se rejoignent
pour un instant
pour cela,
il faut plus que du frotti-frotta,
aussi énergique,
aussi savant, soit-il
il faut une réelle envie de communier,
te ressentir en moi,
être ressenti en l’autre
que chacun et chacun ,
veuillent l’autre
plus que soi-même,
pour un moment
un certain sens commun
du sacrifice et l’abnégation,
au moins momentanément,
le temps que nos ailes s’accordent,
le temps que nos corps et nos esprits
pirouettent de concert
10 août 2024 à 1 h 41 min #50419bzoParticipantmon corps me propose
de pousser l’aventure
toujours plus loin
oh,
tout ce qui peut se passer
le temps d’une caresse
la galaxie de la volupté,
chercher dans le moment,
la complicité, sans limites,
avec son corps
le geste parfait
est celui
qui nous fait toucher
l’horizon,
un moment
comme un tir à l’arc,
les yeux fermés,
en plein milieu de la cible
le fait est
qu’il ne faut pas viser,
juste se donner entièrement
tout le long de la trajectoire
la magie de sentir,
sous ses doigts,
les énergies s’éveiller de partout,
se transformer en une volupté
ineffable
ma récompense ultime,
c’est ce corps
qui répond du tac au tac,
c’est ce corps qui dialogue,
c’est ce corps qui s’unit,
c’est ce corps, berceau
de tous les feux d’artifice
10 août 2024 à 2 h 15 min #50420bzoParticipantla femme
que je suis aussi,
par moments,
aime tellement sentir
ce sexe se durcir
mes cuisses dansent autour
passionnément
comme autour d’un totem
le feu qui court
dans la hampe tendue,
fait de plus en plus
onduler mes hanches,
fait mes mains
frotter inlassablement
les épaules, les seins,
le cul, les fesses,
la raie derrière
allumer la peau,
oh, allumer la peau,
de tous ces délicieux feux de paille,
en série
ma bouche entrouverte
extatiquement,
est emplie des sonorités
de mes entrailles,
elles sortent dégoulinantes
de plaisir
se répandent aux alentours,
comme des coulées épaisses
lentement,
dans toutes les directions
10 août 2024 à 11 h 32 min #50421bzoParticipanthier, au milieu de la nuit,
cloué sur mon lit, ahanant encore,
il y a eu un moment
où je fus empli
d’une telle gratitude, d’une telle reconnaissance
envers mon corps
de m’avoir encore offert
de pareils moments,
si magiques, si ineffables
mon imagination a couru un peu,
si je n’avais découvert tous ces plaisirs alternatifs,
où j’en serai,
moi, qui depuis plusieurs années maintenant,
s’est éloigné des autres,
de leur corps
et de ce qu’ils pouvaient offrir érotiquement
je ne serai qu’un désert,
sans points d’eau,
une terre brûlée, infertile
et un esprit amer, cynique
qui de temps à autre,
se secoue le cocotier
devant des images pornographiques,
devant son écran
pour se soulager
au lieu de cela,
j’ai ce parcours de plus en plus fructueux,
de plus en plus épanouissant,
cette complicité incroyable
avec mon corps
et même , dans moins de deux mois,
quand je serai à la retraite,
je me sens capable
et en ai vraiment envie
de retourner vers les autres,
vers la glorieuse incertitude
des rencontres
d’être à l’écoute,
de m’offrir à l’autre,
de chercher à m’unir,
de partager
10 août 2024 à 16 h 51 min #50428bzoParticipantpour pouvoir exploiter votre potentiel,
une seule chose est vraiment nécessaire,
la connexion à votre corps
tout le reste, techniques, masseurs,
comptent aussi
mais le plus important,
c’est vraiment la connexion à votre corps
si votre approche est tout entièrement intellectuelle,
vous vous heurterez toujours à un mur,
tellement de gens qui débarquent par ici
et se plaignant que cela fait des années qu’ils essaient,
qu’ils suivent les instructions
mais que voulez-vous,
tant que vous n’établissez pas cette connexion,
un minimum,
il y a aucune chance d’y arriver
alors comment faire?
eh bien, malheureusement
ou plutôt heureusement,
il n’y aura jamais un pas à pas,
genre instructions Ikea, pour y arriver
non, vous devez arriver à faire parler votre instinct,
vous devez acquérir une certaine forme d’humilité
pour accepter de vous mettre à l’écoute de votre corps,
diriger votre attention vers l’intérieur,
vers la grande muette,
espérer le dialogue,
souhaiter de toute votre âme et de tout votre coeur,
le dialogue
difficile de décrire autrement,
mon attention se porte vers l’intérieur, vers ma chair
et une connexion se fait instantanément,
je semble former plus qu’une seule entité avec elle
c’est comme le vélo,
c’est à la fois la chose la plus simple du monde
et la plus compliquée,
tant que vous n’avez pas saisi avec votre corps,
le truc de l’équilibre
11 août 2024 à 9 h 05 min #50429bzoParticipantles masseurs,
c’est quand même pas mal aussi
hier soir, j’ai ressorti mon G-Rider du tiroir de la table de nuit,
cela faisait plusieurs semaines, voire plusieurs mois
et puis le petit pot de beurre de karité,
en ai enduit généreusement l’engin
et l’intérieur de mon trou de balle
et c’est parti
quel méga-pied j’ai pris pendant une heure,
vers la fin, j’appuyais comme une brute,
de toutes mes forces,
du coup, j’ai un peu mal au cul ce matin
mais cela valait vraiment la peine
au début, je me caressais de tous les côtés
mais après une demie heure,
je ne tournicotais plus que sur les tétons,
synchronisant le titillement,
avec les allers et venues du masseur, en bas,
cela provoquait de telles explosions en chaîne,
que je râlais et que je geignais comme un possédé,
avec toutes les fenêtres grandes ouvertes,
j’ai du garder tout le voisinage éveillé,
à pester contre moi,
j’ai eu de la chance de ne pas voir la police
débarquer pour tapage nocturne
c’était un peu (un peu beaucoup…) un plaisir de brute,
sans grande subtilité,
c’était assez répétitif,
mais cela fait du bien de temps à autre,
une explosion après une autre,
la grosse artillerie,
ça canonnait sans discontinuité,
on tire dans le tas sans viser,
on bombarde large,
on bombarde généreusement,
j’étais réduit en bouillie consentante,
j’avais les tripes aux quatre coins de la pièces,
voletant comme des moucherons heureux, ravis
15 août 2024 à 12 h 21 min #50472bzoParticipantj’ai découvert l’huile de noix de coco
c’est une huile qui se solidifie ,
au plus la température descend,
au frigo, par exemple,
elle devient dure comme de la pierre
pourquoi l’ai-je achetée?
j’utilise toutes une série de beurres et d’huiles,
à des fins cosmétiques, sanitaires et sexuelles,
beurre de karité, huile d’argan, de jojoba,
beurre de cacao, d’avocat ou de mangue,
d’autres encore, j’en oublie
à quelles fins, plus exactement,
avant d’éteindre la lumière dans mon lit,
j’ai un petit rituel,
je m’applique un mélange d’huile de jojoba et d’argan, sur le visage
et puis à l’intérieur des cuisses,
là où cela frotte beaucoup avec mes génitaux
quand je pratique en mode yin,
pour réparer la peau, par là, qui chez moi,
s’irrite assez facilement et devient rougeâtre,
j’applique des beurres,
dernièrement beurre de karité
mais je n’aime pas son odeur, vaguement, de purain
et qui perdure
et puis comme lubrifiant, le beurre de karité,
quand je pratique de temps à autre, avec un masseur
ou bien que j’ai envie de m’offrir du plaisir anal, avec les doigts
l’huile de noix de coco, bio, vierge, pressée à froid
que j’ai acquise,
a été une superbe surprise,
à s’en servir comme d’une huile,
en tout cas, en cette saison où il fait chaud
et où elle fond complètement hors du frigo,
je m’en suis enduite l’intérieur des cuisses
puis je me suis mis à pratiquer,
à faire frotti frotta avec mes cuisses sur les génitaux,
tout en me caressant
et en laissant mes hanches danser, se balancer,
debout
oh comme cela glissait, comme cela dérapait, divinement,
jamais , avec aucun autre produit,
cela ne m’a procuré des sensations plus délicieuses,
mon pénis, mes couilles,
comme des anguilles entre mes cuisses
qui les pressaient, les frottaient, les mâchouillaient,
inlassablement,
semblaient du nectar ensoleillé, vibrant, chaud
et puis cela durait, durait,
l’effet lubrifiant ne s’estompait pas
et puis aussi, l’effet thérapeutique,
par rapport à la peau de mes couilles irritées
que j’avais un peu trop grattées en journée,
a été radical,
je ne sentais rien, je pouvais y aller,
les frotter comme je voulais avec mes cuisses,
alors que d’habitude,
quand j’avais la peau des couilles dans cet état d’irritation,
le moindre contact un peu insistant, était à éviter
l’effet hydratant, aussi, était très puissant,
dès que je m’en était enduit un peu,
la sensation était tellement agréable,
n’avais jamais vécu cela avant,
ma peau qui se dessèche si rapidement
qui semblait immédiatement restaurée,
bien souple, vivante, saine,
agréable à vivre
bon, je n’ai pas encore essayé comme lubrifiant,
avec le masseur
puisque je ne pratique que de temps à autre, avec un engin,
on verra
mais jusqu’ici, c’est adopté
pas chère, en plus,
une des moins chère,
avec l’huile d’amande douce
17 août 2024 à 9 h 07 min #50501bzoParticipantmes grosses couilles hirsutes
sont comme des boules de velours chaud,
douces, douces,
je ne me lasse pas de les rouler
entre les cuisses
je laisse le mouvement
prendre de plus en plus d’amplitude,
une houle lascive
s’empare de mes hanches
je compresse le sexe contre le ventre,
le frotte méticuleusement, méthodiquement,
millimètre par millimètre,
il est pris en étau, le bougre,
la volupté
comme d’irrésistibles sables mouvants
l’a saisi,
ne le lâche plus,
l’engloutissant sans relâche
pendant ce temps, aussi,
d’un peu plus en arrière,
de la zone du périné,
une contraction décolle lentement, lentement,
toute puissance de l’onde prostatique
qui s’ouvre un chemin parmi les chairs,
oh le labour, oh la charrue,
en train de s’enfoncer
dans les terres les plus intimes de mon ventre,
divine sensation de pénétration,
mon bassin en est tout envahi,
fourmillant d’ondes véloces et vigoureuses
cela me fait bander directement, aussi sec,
de la mollesse absolue,
à la hampe dure comme une pierre
qui se fraie un chemin entre les chairs compressées
ma verge semble inondée d’ondes prostatiques,
le gland devient tellement sensible ainsi,
mes cuisses se concentrent dessus, maintenant,
en alternance avec les couilles
les doigts, pendant ce temps,
courent un peu partout,
montent, descendent,
accélèrent, ralentissent,
se synchronisent
avec le rythme langoureux dans mon ventre
de temps à autre, semblent debout
comme sur la pointe des pieds,
à d’autres, les paumes à plat,
comme des chaluts de pêche,
cherchant à amasser
le plus de peau possible,
à frotter
insistance toute particulière,
bien sûr, cela va de soi,
sur les seins,
ces petits globes,
tout raplapla chez moi,
avec leurs pointes bien dures,
qui semblent avoir pris leur essor dans l’invisible,
comme des danseuses
sous les doigts,
planant, ondoyant, délicatement, de-ci de-là,
basculant soudainement massivement, au hasard,
comme des fleurs sur leur frêle tige,
retournées par le vent
17 août 2024 à 12 h 31 min #50508bzoParticipantle plaisir prostatique,
c’est l’exploration de l’extraordinaire variété
du potentiel d’explosivité,
de notre corps et de notre esprit
qui communient
le plaisir en mode yin,
c’est le chant,
le chant généralisé,
le chant des genres qui s’unissent en nous,
constitué de l’infinie variété des nuances
du potentiel de volupté
de la moindre, de la plus infime partie
de notre être
le plaisir en mode anal,
c’est le tellurique,
le volcan réveillé,
la lave traversant les entrailles,
les soubresauts du noyau de la terre,
jusqu’à dans nos os
18 août 2024 à 10 h 21 min #50518bzoParticipantles pointes de mes seins
sont devenues tellement sensibles,
au fil des années,
à force de les chipoter, de les titiller,
de les frotter, de les malaxer
elles deviennent dures,
deux petites érections, au milieu de la poitrine,
deux antennes qui se mettent à émettre des ondes délicieuses,
au moindre effleurement
deux petites manettes de chair pour s’allumer,
se mettre en route vers un ciel de volupté à soi
pas pour éteindre,
juste pour allumer, toujours allumer,
elles ne fonctionnent que dans un sens
mes petites chéries,
mes petites protubérances d’amour,
comme vous pointez fièrement,
plus sombres, bien visibles,
au milieu de toute cette peau pâle,
deux petits phares
qui servent de guides aux doigts voyageurs ,
pour qu’ils se retrouvent à bon port
dans le porc, tout est bon,
dans notre chair, aussi,
tout est comestible sexuellement, oh combien,
des pieds à la tête,
il n’y a rien à jeter, tout est bon à déguster,
tout est bon à allumer, tout est prêt à s’enflammer
19 août 2024 à 8 h 46 min #50526bzoParticipantavec chaque jour qui passe,
j’apprends de plus en plus à goûter à ce corps,
à déguster de plus en plus notre complicité
avec chaque jour qui passe,
mon plaisir est de plus en plus plaisir,
de plus en plus onctueux,
de plus en plus soyeux,
de plus en plus nectar ineffable
quelques expressions
pour caractériser ma pratique:
épanouissement dans l’instant,
infinie variété des sensations,
cisellement soyeux, sans fin,
par vagues, dans la chair et l’esprit
19 août 2024 à 17 h 35 min #50527bzoParticipantlaisser la femme s’exprimer en moi,
lui laisser prendre les rennes durant l’action,
n’est pas une nécessité existentielle pour moije veux dire par là,
je ne suis pas né femme
dans un corps d’hommenon, c’est juste plutôt
une délicieuse perversion que j’assume,
un moyen de vivre un plaisir XXL en solitaire
car c’est bien de cela qu’il s’agit,
si on veut se payer le grand frisson,
tout seul dans son coin,
il faut faire preuve de beaucoup beaucoup d’imagination,
il faut y aller,
ne pas hésiter à franchir certaines frontièreset puis l’appétit vient en mangeant,
on en veut toujours plus,
on est insatiable,
le fait est que de découvrir
qu’en pratiquant de cette manière,
j’acquérais une complicité de plus en plus grande
avec mon corps,
qu’il y avait de plus en plus, à tout instant,
une telle sensation d’épanouissement,
eh bien, je me suis complètement laissé aller,
complètement laissé entraînerà partir d’un moment de ma vie en isolé,
sans contact sexuel avec d’autres, depuis quelques années,
je ne voulus plus juste satisfaire mes besoins sexuels, à minima,
genre masturbation devant écran
ou même plus élaborées,
genre électrostimulation
ou autres formules plus avancées d’onanisme,
c’est un cul de sac dans toutes ces allées,
on finit par le découvrir,
aussi nombreuses soient-ellesdès qu’il y a eu la découverte du plaisir prostatique,
qui donne accès à un univers tellement plus riche et plus puissant,
quelque chose peu à peu, s’est débloqué en moi
j’ai compris que les perspectives de plaisir en nous,
étaient vraiment sans limites,
dépendaient vraiment que de notre désir,
de nos explorations, de notre audace,
pas du monde extérieur,
pas des règles préétablies de la sexualitéque celles-ci
n’étaient que des constructions sociétales, morales,
que notre genre, nos penchants même,
n’étaient pas des obstacles infranchissables,
que le piment réel, le piment majeur, était dans la transgression
que la félicité avec un grand F,
était dans l’audace d’aller vers ses tripes, sans rien retenirà partir du moment
où l’on se met à l’écoute de son corps,
qu’on se met à expérimenter, qu’on libère les forces en nous,
tout devient possible,le féminin me faisait des clins d’oeil depuis mes profondeurs
“eh, c’est par ici que cela se passe,
si tu veux un autre genre de grand frisson,
quelque chose de radicalement différent,
quelque chose de radicalement en rupture
avec ce que tu avais vécu jusqu’ici”cela s’est construit peu à peu,
c’est comme de découvrir une langue étrangère en soi,
qu’il y avait moyen de s’exprimer avec elle,
de vivre du plaisir avec elle
mais qu’on avait aucun lexique, sans manuel de grammaire,
à notre disposition pour nous guider21 août 2024 à 10 h 26 min #50558bzoParticipantles énergies m’invitent,
je les sens m’appeler en moi,
elles me susurrent
de partir à la rencontre de moi-même,
par le biais du désir, de la volupté
je frissonne de fond en comble,
de leur appel,
par moments, durant la journée,
une envie irrésisitible
de sentir la main sur la peau
peau sur peau,
chaleur contre chaleur,
consistance contre consistance
le désir
comme une présence mystique
en nous
une envie irrésistible
de mouvement, de langueur ,
entre les reins
une envie de femme,
d’homme,
indifféremment,
une envie dans le plaisir,
d’être femme, homme,
en même temps
danse, danse, danse,
que la mer s’éveille,
que la mer me porte,
que la mer me transporte
une chaleur dansante,
une chaleur jubilatoire,
une fête dans le sang,
et dans les os,
derrière les yeux
derrière l’horizon
des yeux,
le paysage immense,
enfoui dans la chair,
entré en ébullition
21 août 2024 à 19 h 59 min #50565bzoParticipantserrez vos cuisses,
faites-les enveloppant, faites les cajolant,
sentez vos génitaux
être comme dans un nid chaud et doux,
un nid doucement remuant,
frôlant, pressant, malaxant,
sentez comme ils vont se mettre à ronronner
maintenant,
mettez à bouger plus sérieusement tout cela,
mais toujours assez lentement, assez lentement,
essayer de bien sentir ce que vous faites,
de vous connecter à votre corps
accélérez de temps à autre,
devenez violent, déchaîné même,
si l’envie vous en prend, ne retenez rien,
soyez un tyran, ultra-pressant,
tordant sans pitié, rouleau-compresseur,
pour quelques instants
surtout, surtout,
laissez vos hanches
se mettre à bouger de plus en plus,
elles vont se mettre à danser d’elles-mêmes,
si vous les laissez faire
laissez-les imprimer le rythme,
laissez le désir s’emparer de votre bassin
laissez-le vous emporter
hors de vos balises habituelles
rythme de plus en plus capiteux
dans vos hanches
et vos cuisses qui font frotti frotta
avec votre pénis, vos couilles,
tango langoureux d’en bas
vos mains ne doivent pas être en reste,
qu’elles deviennent curieuses, baladeuses, fouineuses
qu’elles explorent chaque centimètre de peau,
chaque plat, chaque courbe,
chaque monticule, chaque crevasse,
qu’elles insistent sur les tétons,
ils sont fait pour s’entendre à merveille,
ceux-là
sentez, sentez,
comme vos génitaux semblent irradier de plus en plus,
sentez comme vos génitaux ne semblent plus vos génitaux
mais juste une sorte d’éponge
incroyablement douce, à presser, à malaxer,
à triturer avec les cuisses,
dégorgeant de volupté
qui se répand de plus en plus partout
sentez toutes ces vibrations voluptueuses
entre vos reins,
comme cela gicle comme des petits torrents,
dans toutes les directions,
cela semble déborder, même, hors de vous,
cela irrigue tout votre être
comme vous vous sentez capiteux
des pieds à la tête
et jusqu’au plus profond de vous-même
langueur océanique,
nique, nique,
sensation de jouissance
en continu
comme vous avez envie de vous ouvrir de plus en plus,
comme vous avez envie de rendre vos reins accueillants, réceptifs,
comme vous avez envie de vous sentir empli,
temps de faire intervenir la prostate
en mode yin,
ses ondes sont une irrésisitible
sensation de pénétration,
à chaque contraction
apprenez à déclencher et à déguster son va et vient,
tant d’ondulations et d’arabesques lancinantes en vous,
la volupté est une pieuvre géante
qui vous a entre ses tentacules baladeuses
abdiquer donc cette volonté mâle,
pour quelques instants,
apprenez à vous laissez faire par le plaisir
apprenez à vous offrir entièrement à lui
22 août 2024 à 8 h 51 min #50575bzoParticipantencore une de ces nuits splendides,
emplie de rêves aux tribulations à faire pâlir Indiana Jones
mais un Indiana Jones sous acide
et puis entrecoupée, chez moi, bien sûr,
de moments où je me suis éveillé
et où la machinerie s’est automatiquement mise en route,
parfois juste pour quelques secondes, d’autres, un peu plus
mais jamais plus d’une minute ou deux
brefs moments, donc mais tellement tellement intenses
et puis surtout une telle liberté,
la réceptivité semble être totale,
l’accord entre mon corps et mon esprit,
atteignant en un temps record,
des hauteurs rares, délicieuses
une sorte d’élan de tout mon être
baignée dans la volupté la plus exquise
je n’étais qu’aile s’ouvrant, se refermant, s’ouvrant,
bref, se taillant son chemin dans les airs
quelle ivresse rare
et puis replongeon dans des rêves
qui m’emportaient dans des aventures tellement étonnantes,
sans aucunes règles, sans aucunes lois
sinon de la fantaisie la plus débridée qu’on puisse imaginer
bref, une nuit de valse des énergies, tous azimuths,
dans le sommeil et hors du sommeil,
comme je les aime
22 août 2024 à 13 h 11 min #50576PetitsPlaisirs76ParticipantTrès beau texte le 19 Août
laisser la femme s’exprimer en moi,
……….
J’y adhère totalement.
22 août 2024 à 20 h 36 min #50599bzoParticipantles meilleurs amis de l’orgasme,
en tout cas chez l’homme,
chez la femme, je ne sais pas,
ce sont les tétons
c’est incroyable
l’effet turbo, l’effet démultiplicateur qu’ils ont,
les sensations s’endiablent tout de suite,
deviennent tout feu tout flamme
23 août 2024 à 19 h 18 min #50609bzoParticipantc’est quoi la sensation de complicité avec son corps?
c’est une sensation de ne plus faire qu’un avec lui,
d’être fondu à lui, vibrant avec lui, respirant avec lui,
plongé dans l’effort avec luila sensation, donc,
de ne plus être qu’un cavalier
faisant un avec sa monture,
lui faisant aveuglément confiance,
le laissant diriger la plupart du temps,
de temps à autre,
semblant lui transmettre des instructions
comme par télépathiec’est de percevoir tout ce qui passe,
dans la moindre région de notre corps,
comme si on y était,
en contact direct avec notre chair, nos os,
nos muscles, nos nerfs, notre sang,
cela réagit de toutes parts
et nous réagissons
avec émoi, avec trouble,
à toutc’est une sensation d’épanouissement ,
d’être extraordinairement bien dans sa peau,
extraordinairement bien dans l’instant
comme dans un nid chaud, douillet,
une sensation de plénitude, d’accomplissement,
d’être en parfaite accord avec quelque chose, quoi, on ne sait pas exactement
quelque chose, en même temps d’extraordinairement harmonieux
et d’extraordinairement sauvagec’est donc , aussi, sentir la présence impériale, impérieuse, du corps,
de toute sa masse, de toute sa faune et sa flore, grouillantes, magiques, mystérieuses,
ressentir la fusion à lui,
pas juste éprouver du plaisir, beaucoup de plaisir24 août 2024 à 10 h 19 min #50611bzoParticipantquelles moments divins, hier, dans la nuit, encore,
une relativement longue séance,
enfin pour moi qui est plutôt habitué aux micro-séances
de 30 secondes à deux, trois minutes,
là, hier, vers 02h du matin,
au moins une heure et demie
spécificité de cette séance,
une constante présence des contractions
mais accompagnés aussi constamment de pressions, de frottements,
d’effleurement des cuisses sur les génitaux
un parfait mélange des deux
mais donc, dans des proportions qui privilégiaient la prostate,
des mouvements très naturels, très harmonieux,
comme de lents va et vient de pénétrations,
avec en moyenne, 75% d’ondes prostatiques et 25% de génitales,
provenant du bassin,
plus le reste du corps générant aussi, bien sûr
suis resté longtemps, les mains inertes, passives
pour goûter plus spécifiquement à ce mélange montant du bassin,
tellement il est puissant et riche, dans ces proportions,
d’habitude je pratique plutôt avec l’inverse,
25% de prostatique et 75 de génitales
ah, je me suis échauffé pendant un long moment,
avec du 100% prostatique, cuisses écartées donc,
cela m’a permit de bien travailler le mouvement,
de bien mettre en route ma prostate
et donc quand j’ai resserré les cuisses et que les génitaux se sont mis en action, aussi,
ce fut vraiment divin,
mes entrailles chantaient, chantaient, chantaient
j’ai beaucoup joui,
enfin chez moi, cette expression signifie
que ma volupté a atteint une telle intensité
que j’avais l’impression de jouir en continu,
pas vraiment que j’ai eu des orgasmes
enfin si, j’ai eu un orgasme éjaculatoire à la fin,
quand je me suis mis à triturer en continuité mes tétons,
ce fut trop,
en quelques secondes, je devins un volcan entré en éruption
ce furent des moments de feu,
mes entrailles semblaient se liquéfier
et sortir par ma verge durcie
suis resté après,
de longues minutes, immobile,
incapable de bouger,
cloué sur le matelas,
les portes vers l’Eden, étaient encore entrouvertes,
toutes mes cellules baignaient encore dans le petit courant d’air ineffable
que cela générait
25 août 2024 à 11 h 03 min #50557bzoParticipantL’orgasme est un événement complexe qui implique une interaction synergique entre le corps et l’esprit.
L’orgasme, une symphonie cérébrale parfaitement orchestrée
une communion entre le corps et l’esprit, dans mes termes
26 août 2024 à 17 h 18 min #50624bzoParticipantj’écris quand même beaucoup de conneries,
il faut bien l’avouer
mais c’est toujours de bonne foi,
sans malicevous me direz,
cela reste des conneries tout de même,
eh oui, je le concède
mais c’est comme cela,
que voulez-vous,
je suis brut de décoffrage, je ne retiens rien,
je relate mon itinéraire au fil des jours,
sans rien filtrer de mes expérimentations,
de mes hésitations, de mes enthousiasmes,
de mes convictionsces conneries,
je me les raconte d’abord,
à moi-même aussi,
j’y crois dur comme fer,
pendant un tempsmais l’important, je trouve,
c’est d’en sortir,
d’évoluer, de progresser,
commettre toutes les bêtises imaginables,
dans le contexte d’une quête individuelle,
basée sur les ressources du désir
et de la puissance magnifique des émotions,
il n’y a pas trop de mode d’emploi,
de manuel à consulterenfin si, il y en a plein
mais moi, j’ai choisi de ne pas m’y fier
et de faire confiance à mes tripes, avant tout,
depuis que j’ai pu expérimenter la puissance
de ce qu’il y avait moyen de vivre en soi,
la puissance de ce qu’il y a moyen de libérer en soirechercher sans rien discriminer, sans rien écarter
ne pas avoir peur de s’engager dans une direction
qui éventuellement,
s’avèrera un cul de sacun cul de sac, rétrospectivement,
même assez ridicule, assez idiot,
on s’en est rendu compteil n’a qu’à de rebrousser chemin, alors,
la queue entre les jambes, un temps,
et continuer
en ayant l’honnêteté d’admettre
qu’on s’est trompépourquoi j’écris ce long préambule?
mais parce que je dois admettre
que tout ce que j’ai écris sur l’abstinence d’éjaculation,
ce sont des vastes conneriesvoilà,
éjaculons tant qu’on peut, autant qu’on peut
dedans, dehors,
jusqu’au plafond si vous le pouvez,
dans des bouches, des vagins, des anus,
sur des doigts, des ventres,
des dos, des fesses, des cheveux,
lâchez votre salve tant que vous le pouvez
sur qui vous voulez et qui a consenti
ou dans votre coin, tout seul, c’est bien aussicependant essayons toujours d’avoir une certaine qualité
dans nos émois, nos extases, notre volupté,
une constante évolution, une progression qualitative, jour après jour,
en quête continuelle de toujours plus de richesse et d’intensité,
de moyen de s’épanouir, de communier,
tant de manières qui permettent cela
qui demandent juste de l’audace,
de l’esprit de curiosité,
de la recherche et de la patienceet puis surtout,
de faire confiance à son corps, avant tout,
de se fier à lui, de le respecter, de l’écouter,
de refuser la facilité juste de se secouer la tige
devant des images pornographiques,
explorer ses ressources, exploiter son potentiel,
même en solitaire,
les possibilités sont magnifiques,
le désir peut s’épanouir,
le plaisir atteindre des dimensions splendides
pour qui ose aller à la rencontre de soi-même,
sans rien retenir et faisant fi des barrièresbien sûr, me direz-vous,
difficile d’associer désir et patience,
pourtant il faudra bien y passer,
si on a une quelconque ambition d’élever les enjeux
dans sa sexualité27 août 2024 à 17 h 32 min #50625bzoParticipantfantasme un peu acrobatique
mais pas trop,
ne devrait pas être impossible
pour quelqu’un
qui a de la maîtrise de ce qu’il ou elle, fait
et puis un minimum de souplesse
me faire massivement plaisir,
d’une main, allez me titiller la prostate,
de l’autre, les tétons,
avec la bouche et la langue,
s’occuper de mon dard,
de mes bourses
mais déjà la prostate et les tétons,
c’est bien, très bien,
ce serait l’essentiel,
les gâteries orales, en plus,
ce serait la cerise sur le gâteau
28 août 2024 à 1 h 09 min #50626bzoParticipantla puissance du titillement des tétons,
en association à de contractions
ou de quelques doigts dans le derrière pour du plaisir anal
ou encore avec des frottements , des pressions, des cuisses
sur les génitaux,
m’étonnera toujours
c’est quand même assez mystérieux
mais c’est là et c’est magique,
ces derniers jours, je ne me caresse quasi plus que comme cela,
m’en allant de temps à autre en vadrouille ailleurs
mais revenant assez vite,
tellement les sensations deviennent plus fines, plus ciselées,
plus précises, plus riches et juste plus intenses
cuisses écartées pour quelques moments,
en 100% prostatique, en mode yin,
l’incroyable intensité, la variété possible, le rythme lancinant de va et vient,
de la sensation de pénétration, créée avec des contractions
est juste incroyable
si un jour, je parviens à vivre des orgasmes 100% prostatiques
mais en mode yin,
c’est très certainement comme cela,
d’ailleurs je ne dois pas en être trop loin, par moments, j’ai l’impression,
tellement cela devient incroyablement intense,
tellement c’est un crescendo qui me coupe de plus en plus le souffle,
je commence à hurler,
je m’arrête parfois, aussi sec, tellement cela me surprend
à quel point je crie fort et ne peux me retenir de le faire,
cela me gêne par rapport aux voisins,
mais c’est plus fort que moi,
la sensation d’emplissement, la sensation du va et vient dans mon ventre,
est tellement irrésisitible, délicieuse, ineffable,
la sensation d’ouverture, de légèreté, d’agrandissement,
le flot continu de volupté qui déferle dans mes entrailles, qui se répand partout,
je ne peux m’empêcher de hurler
28 août 2024 à 9 h 15 min #50627bzoParticipantenfin, ce n’est pas tout à fait exact ce que j’écris au-dessus,
à certains moments,
j’éprouve le besoin d’envoyer mes mains se balader un peu partout,
ma peau les appellent de partout,
elle éprouve le désir de chanter de partout
la nuit quand je me réveille pour de courts moments,
et que la machinerie se met en route toute seule
pour quelques secondes,
c’est systématiquement, par exemple,
là, il y a toujours quelque chose de total,
d’optimisé à 100%
et ma peau chante avec la même force où que je la touche
que si j’étais uniquement stationnaire sur les tétons
d’ailleurs, à certains moments,
je suis en vadrouille uniquement avec la pointe des doigts,
rien que d’assez légers effleurements, donc,
à d’autres, à pleines paumes,
d’une manière ou de l’autre, les nuances de sensations changent du tout au tout,
cela semble presque des pratiques différentes,
selon que mes mains n’utilisent que le bout des doigts ou bien à plat
ou alors fricotant rien que les tétons
ou encore pas de main du tout, les bras non actifs
ce sont des palettes de sensations tellement différentes
et au fond c’est mon corps qui décide de ce qu’il a envie
mais c’est vrai que ces derniers temps,
je reste beaucoup plus à cercler autour des tétons,
peut-être est-ce parce que j’éjacule beaucoup ces derniers temps,
quasi tous les jours
et qu’en restant autour des tétons ,
comme c’est la manière la plus puissante, la plus efficace,
ainsi je m’assure des sensations optimales à 100%
28 août 2024 à 12 h 50 min #50628bzoParticipantla fabrique, la construction, le moulage sur mesure,
de l’orgasme prostatique en mode yin
suis occupé avec,
l’apprentissage se précise, s’accélère,
suis en plein dedans,
c’est tellement excitant
c’est comme si à coups de sensations lentement reconnues, cartographiées,
se formait peu à peu comme des balises pour une piste de décollage prostatique,
grâce aux contractions, cuisses écartées
et titillement des tétons,
synchronisé au mouvement lascif de va et vient en bas
c’est comme si j’avançais dans une direction
totalement inconnue jusqu’ici,
je suis en terra incognita,
cela faisait un certain temps que cela ne m’était plus arrivé
un type d’orgasme prostatique
mais en mode yin
se dessinant, se formant lentement, se rapprochant,
je le sens de plus en plus près de moi,
c’est tellement neuf comme type d’orgasme,
curieux d’être emporté, pour la première fois,
comme cela
à sentir déjà sa puissance incroyable ,
cela semble vraiment avoir la démesure des super O
que j’ai connus en massage prostatique classique
la digue est proche de céder,
je sens le bouillonnement déjà de l’autre côté,
prêt à déferler,
prêt à tout emporter sur son passage
seul hic ,
je hurle vraiment très très fort,
peux pas m’en empêcher pour l’instant,
c’est gênant par rapport aux voisins
mais peut-être que je me fais des idées,
peut-être qu’ils n’entendent rien,
les murs sont tellement épais, après tout,
juste celui du côté du couloir entre les appartements
qui est vraiment fin,
si quelqu’un passe là, il doit vraiment tout entendre
29 août 2024 à 19 h 39 min #50629bzoParticipantceux qui aiment se faire emplir avec un gode
ou chevaucher par madame avec un harnais ad hoc,
devraient essayer la contraction prostatique
pour obtenir le même genre d’effets
ils seraient étonnés des résultats qu’il y a moyen d’obtenir,
la qualité de la sensation de pénétration,
je dis, n’a pas d’équivalent,
richesse, intensité, possibilité de varier,
il y a là toute une pratique absolument délicieuse
à mettre en route
comment faire?
si votre prostate est déjà bien éveillée,
c’est bien sûr nettement plus facile,
c’est même une condition préalable,
absolument nécessaire
il faut bien sûr effectuer les contractions
tout à fait différemment de la manière du Traité d’Aneros,
il faut parvenir à les accomplir
comme si c’étaient des va et vient de pénétration
imaginez que vous faites l’amour à quelqu’un,
imaginez le mouvement de vos hanches,
eh bien c’est ce mouvement-là
mais dans un sens inversé,
au lieu d’effectuer le mouvement vers l’extérieur,
vous le faites vers l’intérieur
et en contractant les muscles du périnée, en plus
c’est comme le vélo,
une fois qu’on a compris le truc,
ça va tout seul, c’est tout simple!
à vos périnées,
un, deux, trois, top départ,
à vous, une volupté exquise
et une sensation de pénétration
ineffablement puissante et riche
30 août 2024 à 8 h 25 min #50630bzoParticipantc’est comme si je disais à mon corps,
“débrouille-toi avec cela,
arrange-toi avec ce geste, ce mouvement,
le plus banal qui soit
pour qu’il se transforme en sensation de plaisir”
et il se débrouille, le bougre,
comme il se débrouille,
presque instantanément,
il l’injecte de velours chaud, rayonnant,
hautement contagieux
et je n’ai plus qu’à me laisser aller,
à me laisser envahir, à me laisser imbiber,
céder le terrain, de plus en plus, au plaisir,
au conquérant majeur,
en marche partout en moi
le secret derrière tout cela,
est un mécanisme, finalement, assez simple,
dès l’instant où je me mets en route,
ma chair n’a plus de genre,
a les deux
difficile d’imaginer cela, j’en conviens
tant qu’on n’y a pas goûté,
tant que l’on ne l’a pas vécu,
de sentir tout son être,
agir, réagir, se comporter,
autant au masculin qu’au féminin
sauvage équilibre,
harmonie dantesque,
dès lors, le geste, le mouvement
que vous étiez en train de faire,
devient comme un détonateur,
comme si vous introduisiez du feu
dans un baril de poudre
car le masculin et le féminin
tout contre l’un, l’autre,
à nu, sans limite, sans frein,
n’attendent plus que cela,
le plus infime détonateur,
pour pouvoir fusionner, s’unir,
encore et encore, encore et encore,
toujours plus fusionner,
toujours plus s’unir
sentir sa chair,
fusionner, s’unir, à elle-même,
la sentir se faire l’amour,
il n’y a rien de plus épanouissant, de plus coloré, comme sensation
car c’est comme si vous étiez à deux, unis,
dans un seul corps, dans deux corps,
vous ne savez plus
30 août 2024 à 14 h 02 min #50631PetitsPlaisirs76Participantbzo écrit
à vos périnées,
un, deux, trois, top départ,
à vous, une volupté exquise
et une sensation de pénétration
ineffablement puissante et riche
Tout à fait exact, tellement béat de volupté, que le bas est béant, il m’arrive d’attendre, de souhaiter, qu’ un sexe me pénètre…..
30 août 2024 à 19 h 00 min #50633bzoParticipantil m’arrive d’attendre, de souhaiter, qu’ un sexe me pénètre…..
hé, hé, je comprends cela, je vis cela aussi
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