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20 sujets de 1,041 à 1,060 (sur un total de 1,143)
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    Articles
  • #45264
    bzo
    Participant

    tellement de femme en moi, par moments,

    c’est absolument extraordinaire,

    quelle sensation splendide, d’avoir ce corps d’homme,

    ce pénis entre les jambes

    et puis de sentir un autre corps, en même temps,

    des hanches larges, des mouvements langoureux, ondulants,

    des seins gonflés, à caresser, à triturer,

    un sexe fendu, empli de va et vient délicieux

     

    vous ne vous imagineriez pas tout cela si vous me voyez dans la rue,

    je ne me dandine, avec des gestes efféminés, une perruque,

    je ne suis pas un homme-femme,

    comme quoi, il y a  la façade et puis tout ce qu’il y a derrière

     

    mais le plus extraordinaire, peut-être,

    c’est à quel point, c’est une cohabitation sans histoire,

    je suis un homme et je me suis toujours senti homme,

    n’ayant jamais mis en doute mon genre,

    je n’ai même jamais vraiment eu le fantasme de vivre mon plaisir au féminin,

    cela s’est présenté comme cela,

    j’ai sauté sur l’occasion quand j’ai senti le potentiel en moi

    et à quel point, cela pouvait être jouissif, épanouissant,

    riche, puissant, varié

     

    dès que l’action s’arrête,

    je redeviens un gars bien ordinaire, bien sage, en apparence,

    je n’y pense plus,

    dr. Jekill and mister Hyde

     

    mon seul vice en public,

    c’est que de temps à autre, je lorgne, en passant,

    vers des bosses de pantalons bien bombées,

    j’ouvre des braguettes et gobe des glands à la va vite,

    cela ne va pas plus loin

     

    je n’exerce pas avec les autres,

    cette liberté sexuelle absolue, totale, sans aucun tabou,

    qui est devenue la mienne,

    ce désir, autorisé à vagabonder dans la direction qu’il veut

     

    tout reste confiné dans mon jardin secret,

    ma vie secrète,

    ma douce et ardente vie secrète,

    mon plaisir profondément androgyne

     

    je n’évoquerai même pas,

    tellement c’est tout naturel pour un homme, de tout âge, n’est-ce pas,

    de s’abreuver aux corps des passantes, dans la rue,

    de déguster leurs hanches qui ondulent, leur allure féline,

    leurs seins qui se balancent sous les t-shirt et les chemisiers,

    d’imaginer des cochonneries avec leur bouche pulpeuse,

    tout cela, c’est moi aussi, bien sûr

    car j’aime profondément les femmes, tout ce qu’elles sont,

    de fond en comble, pas une miette à jeter,

    elles sont tellement mieux que nous

     

    les hommes, ce sont juste leur corps qui m’intéresse,

    leur dard et leur anus, tout particulièrement

    #45265
    bzo
    Participant

    comment obtenir toujours plus avec toujours moins,

    avec vos contractions, vos gestes, vos mouvements

     

    cette formulation un peu sensationnaliste, spectaculaire,

    “à l’américaine”,

    est celle qui correspond le mieux, je trouve,

    à l’effet que l’abstinence d’éjaculation, a sur moi

     

    toujours plus, avec toujours moins,

    chaque matin, en me levant,

    c’est devenu presque un automatisme,

    je croise une jambe sur l’autre, pressant au passage mes génitaux

    et la déportant, lentement, langoureusement, vers le côté opposé,

    c’est comme un moment baromètre,

    pour vérifier comment l’accumulation des énergies à évoluer,

    si l’effet s’est renforcé

     

    et chaque matin, ce simple mouvement de quelques secondes,

    est de plus en plus incroyablement délicieux,

    lève en moi, une vague qui balaie mon intérieur,

    toujours plus finement ciselée, plus détaillée,

    et en même temps, plus longue, plus ineffablement intense

    #45266
    bzo
    Participant

    enfin, le sorte de principe que j’énonce, juste au-dessus,

    est surtout vrai, de plus en plus vrai, pour être plus exact,

    au plus vous avez de l’expérience, au plus vous avez de parcours

     

    c’est injuste, sans doute mais c’est comme cela,

    au plus vous êtes capable déjà,

    au plus vous allez bénéficier de ce que pareille abstinence peut apporter,

    elle agit comme un démultiplicateur,

    donc si vous êtes un débutant total, avec presque rien dans votre banque,

    cela ne vous apportera pas grand chose,

    zéro multiplié par un chiffre qui s’accroit avec les jours,

    cela reste toujours zéro

    mais dès que vous avez déjà un petit quelque chose à démultiplier,

    là cela devient de plus en plus intéressant

    et au plus vous avez de capital expérience accumulé, de potentiel dans le bassin,

    au plus cela rapporte, ce genre de privation

    #45267
    bzo
    Participant

    les cuisses s’écartent en grand,

    laissant entrevoir,  l’obscènement magnifique passage,

    la fente dans la chair

     

    deux doigts s’y glissent,

    deux doigts avidement, y pénètrent,

    la rumeur de l’océan, déjà s’approchent de ses  lèvres,

    la houle arrive au galop,

    la houle infiltre son écume en elle,

    la houle monte,  imbibe tout sur son passage,

    la houle, maintenant, fait danser ses hanches,

    la houle, maintenant, gonfle ses seins

     

    des voiles se tendent,

    des voiles claquent maintenant au vent,

    la coque est frôlée de toutes parts, par des ondes,

    ses lèvres sont bien humides,

    la glisse et les frottements des doigts, parmi les vagues,

    peuvent démarrer, à pleine puissance

    #45268
    bzo
    Participant

    je lorgne du coin de l’oeil, mon sexe dressé

    et je me dis qu’il doit être bon de pouvoir gober son propre dard,

    de le léchouiller, de le presser avec ses lèvres,

    d’en baiser la hampe, ardemment,

    de passer la langue dessus, longuement, longuement,

    comme on lèche une glace

     

    mais c’est quasi impossible,

    je ne parle pas de ces vidéos où l’on voit des hommes se tordre tant bien que mal

    et après tant bien que mal, l’approcher de leur bouche,

    non,

    il faut pouvoir être à l’aise, détendu, prendre son temps,

    pour faire du bon job avec son braquemart,

    pas juste un petit numéro de cirque, avec éjaculation, à la fin

     

    donc, il faudrait pour cela, sans doute,

    un pénis de taille assez conséquente

    et puis une souplesse très, très, au-dessus de la moyenne

    ou encore un pénis de taille standard

    mais alors une souplesse tout à fait, hors normes

    ou encore un pénis gigantesque et une souplesse,

    dans la moyenne,

    enfin, vous voyez ce que je veux dire

     

    la nature est bien faite, finalement,

    qua la très grande majorité de nous, ne peuvent y arriver

    ou alors, en se contorsionnant avec de grands efforts

    et donc finalement, un résultat, juste pour l’esbrouffe,

    pour pouvoir s’en vanter, se filmer

     

    mais pas un réel plaisir taille XXL,

    comme je l’imagine qu’il serait,

    si on était dans de très bonnes conditions,

    parfaitement détendu et pouvant prendre son temps,

    pour se concentrer sur ses génitaux,

    se lécher longuement les couilles, aussi,

    jouer avec la pointe de la langue, dessus

    bref, du travail, d’orfèvre, bien minutieux, bien systématique,

    dans la philosophie, “on est jamais mieux servi que par soi-même”

     

    la nature est bien faite, je disais

    car si tous , on pouvait se faire des fellations, sans effort,

    avec des résultats à la hauteurs de nos attentes,

    on passerai pratiquement toutes nos journées à cela,

    on n’aurait plus trop envie de faire autre chose,

    de nos jours et de nos nuits

    #45270
    bzo
    Participant

    comme j’aime entendre ce lent gémissement de plaisir,

    trainant, trainant,

    presque comme une plainte,

    monter de mes entrailles,

    quand une contraction semble en train de les faire fondre,

    particulièrement ineffablement, sur son passage

     

    ce gémissement semble presque liquide et chaud,

    dans mes oreilles,

    une sorte d’éjaculation sonore,

    cela dégouline dans les canaux auditifs,

    cela descend dans mon cerveau,

    cela se répand, cela inonde, cela imbibe

     

    je suis trempé du plaisir de mes tripes,

    doublement, derrière les yeux,

    cela a voyagé  directement de mes entrailles, vers la tête

    mais c’est aussi sorti par la bouche

    et revenu par les oreilles, encore une fois

    pour venir me chatouiller les cellules de la cervelle,

    avec  de la soie

     

    vite, deux doigts dans le cul,

    j’ai envie que mes gémissements deviennent encore plus gras et lourds,

    encore plus plaintifs,

    fais les bouger là-dedans, frotte les parois, fouine, fouine

    et couine, couine, couine de plaisir,

    mon vieux salaud, comme tu jouis, tout seul dans ton coin

    #45271
    bzo
    Participant

    il faut le dire, le principal obstacle, paradoxalement,

    à retrouver mes pleines capacités en plaisir prostatique,

    c’est bien le niveau que j’ai atteint

    et qui s’accroit toujours,

    dans ma pratique principale, ce que j’appelle le mode yin,

    le couple intérieur activé, la chair vivant son plaisir au féminin,

    il est devenu tel,

    je veux dire,  mon plaisir y est tellement massivement instantané

    et tellement instantanément massif

    que je n’ai pas la patience qu’il faut,

    il faudrait que je la rebâtisse

    et pour l’instant, je n’y parviens pas

     

    pourtant les sensations sont là,

    hier soir, par exemple, j’ai fait une séance d’une demie heure

    et c’était constamment plaisant,

    des moments de plaisir très fins, très riches

    mais à côté de ce que je peux ressentir en mode yin, actuellement,

    ce serait comme de comparer une voiture pour enfants,

    en plastique, à pousser à la main,

    et puis une vraie Ferrari avec 800 chevaux dans le moteur

     

    et puis, cela m’est trop facile de passer en mode yin,

    il suffit de me laisser aller, de serrer un peu les cuisses,

    de laisser mes mains partir en balade sur ma peau,

    mon bassin se met à onduler

    et voilà, déjà, j’ai de la volupté, partout en moi, je gémis et encore je gémis,

    je suis déjà dans ma galaxie lointaine, avec ma chair comme véhicule,

    on est uni, on communie,

    c’est juste trop fort, trop riche,

    je ne parviens pas à y résister

     

    pourtant, en même temps, je suis un peu frustré, après,

    quand j’ai commencé une séance en mode prostatique,

    avec la ferme intention d’aller jusqu’au bout

    mais que j’ai switché, presque sans m’en rendre compte, au bout d’un certain temps

    car j’ai envie de retrouver un plaisir prostatique seul,

    comme je l’ai vécu mes deux premières années

    où je me suis éloigné du plaisir pénien

     

    tous ces merveilleux orgasmes, super O

    et surtout ces longues extases incroyables qui pouvaient durer plusieurs minutes

    où j’avais même des sortes d’hallucinations, parfois,

    cela me manque quelque part

    et j’en ressens un peu de frustration,

    pas beaucoup mais un peu, quand même

     

    bon, s’il faut choisir, je reste comme je suis,

    ce que j’ai, est trop massif, riche et épanouissant

    mais les deux cordes à mon arc,

    alors ce serait juste, parfait de chez parfait, idéal

     

    je voudrais pouvoir mixer les deux,

    commencer en mode yin

    et puis à un moment donné, switcher en mode prostatique

    mais si ce n’est pas possible,

    avoir des séances séparées, me va aussi

     

    la séance de hier soir, fut bien gratifiante, néanmoins,

    je sens que j’ai le plaisir prostatique , encore, en moi,

    juste que je dois rebâtir ma patience,

    ma capacité à me laisser aller, à rester concentrer sur mon corps, sur la durée,

    c’est tellement différent comme mécanisme, qu’avec mon mode yin,

    où il y a tellement aucun effort à faire, juste me laisser emporter par le désir

    et à me faire l’amour

     

    cela nécessite de la patience, je dois absolument la reconstruire, elle est en miettes en moi,

    pourtant ma prostate est bien éveillées, plus que jamais,

    avec cette abstinence d’éjaculation

    qui fait que tous les jours, tout mon corps est de plus en plus réactive

    et cela inclut ma prostate aussi

     

    mais voilà, elle est totalement habituée à travailler en conjonction avec les génitaux et l’anus,

    plus trop à se donner en solo,

    c’est la que la patience intervient,

    la réhabituer aussi à me répondre de cette façon

    #45272
    bzo
    Participant

    tiens, mon voisin italien, est dans le couloir de l’immeuble,

    je m’approche de lui,

    un exemplaire typique du mâle italien,

    bel homme, viril, félin,

    il me fait beaucoup fantasmer, à chaque fois que je le vois,

    j’ai toujours rêvé de le sucer,

    de sentir son sperme , couler sur mon visage

     

    j’arrive et sans mot dire,

    je m’agenouille devant lui, commence à lui ouvrir la braguette,

    il est surpris, choqué, paralysé pour l’instant, se demande quoi faire

    mais déjà, mes doigts ont sorti de son antre où il était tout recroquevillé,

    un pénis bien épais

    dont j’effleure le gland de la langue,

    il se met à grossir et à se raidir à toute vitesse,

    en quelques instants, il est au garde à vous

     

    magnifique spécimen,

    avec de grosses veines qui courent sur la hampe

    comme je les aime,

    celle-ci est arquée un peu, redressée magnifiquement,

    tendue comme un arc qui veut décocher sa flèche

    l’arme à faire jouir, parfaite

     

    je jette un coup d’oeil vers le haut, à son visage,

    il est devenu tout rouge mais il n’a plus vraiment envie de réagir,

    juste de me laisser faire, je vois cela,

    bien que son esprit lutte encore de toutes forces, contre cela, quelque part,

    en bon catholique romain, marié, avec des enfants

    mais c’est plus fort que lui,

    la volonté de son corps, pour l’instant, a le dessus,

    je le tiens,  cloué comme un papillon,

    par le braquemart, dressé dans ma main,

    le désir bat des ailes en lui, trop fortement,

    il ne peut plus rien faire contre

     

    je le gobe bien lentement, son gros gland violacé,

    tout son pénis n’est pas immense, immense mais fort épais,

    aussi mes lèvres  sont distendues, dessus

    j’ai du mal mais je me force,

    le voilà tout entier dans ma gorge, avec ma langue qui bouge contre,

    qui la frotte, qui la titille,

     

    il gémit, il a des soubresauts,

    ses mains viennent se poser à l’arrière de ma tête

    pour la forcer toujours plus contre lui,

    j’obtempère mais c’est dur,

    tellement il est épais, massif, maintenant,

    son pénis en érection

     

    il commence à faire des mouvements de va et vient, brutaux,

    le bougre, il a envie de plus en plus d’éjaculer entre mes lèvres,

    d’emplir ma gorge de son sperme,

    je le laisse faire, je le laisse violenter ma bouche, toujours plus,

    comme j’aime cela,

    je mets mes bras autour de ses reins pour accompagner ses mouvements,

    sentir la puissance dans son bassin,

    il pète, le bougre, tellement , il est déchaîné, à présent,

    et encore une fois

     

    soudainement, il presse très fort,

    cherche à aller aussi loin que possible dans ma gorge,

    je sens son pénis avoir des soubresauts, de plus en plus,

    il commence à éjaculer,

    fluide épais, chaud, en continu

    c’est interminable, il devait avoir des réserves, le bougre,

    plusieurs jours, sûrement qu’il n’a plus baisé

     

    #45273
    bzo
    Participant

    le comble de l’ironie,

    c’est qu’à peine, une demie heure que j’ai terminé ce texte,

    je suis sorti de chez moi

    et qui, j’ai rencontré dans le couloir,

    mon italien, bien  sûr

    et devinez ce qu’on a fait

     

    rien, bien sûr,

    on a parlé 5 bonnes minutes,

    de la pluie et du beau temps

    et puis de l’ascenseur qui tombait sans arrêt en panne, ces derniers mois

    et puis on est reparti, chacun de son côté

     

    comme quoi, les fantasmes, c’est un monde

    et la réalité, un autre,

    qui de temps à autre, se croisent

    mais assez peu, finalement, sans doute

     

    je lui ai parlé,

    sans même penser un seul instant,

    qu’un quart d’heure, plus tôt,

    j’étais agenouillé, dans ma tête, devant lui

    et gobais son braquemart, goulument,

    le léchouillais, le pressais des lèvres

    et accueillais avec une ferveur , toute religieuse,

    son sperme dans ma gorge et sur mon visage,

    comme s’il venait de m’asperger d’eau bénite

     

    cela me fait bander , tout cela,

    vite que je me déshabille, que je prenne ma douche

    puis que je vive quelques moments glorieux,

    de volupté et de jouissance

    #45274
    bzo
    Participant

    on pourrait imaginer que la suraccumulation d’énergie,

    grâce à l’abstinence d’éjaculation,

    aurait pour effet de me rendre de plus en plus surexcité, jour après jour,

    c’était vrai au début

    mais depuis un certain temps, c’est tout le contraire

     

    mon corps est devenu tellement réactif,

    par moments, cela semble totalement hors de contrôle

    tellement,  je semble devenu une caisse de résonnance,

    un tambour à la peau tendue à l’extrême

    sur lequel le moindre effleurement,

    provoque des vibrations en cascade, à ne plus en finir

     

    mais cela ne me fait pas peur, un seul instant,

    au pire des cas, je lâche une bordée de sperme

    et voilà, cela se calmera radicalement

    mais pour l’instant, je me régale , je suis sur mon nuage,

    rien qu’à sentir toute cette puissance, toute cette richesse, en moi,

    même sans rien faire

    tellement qu’il faut peu pour déclencher des doux séismes en moi,

    à ce rythme, bientôt, juste d’y penser,

    sera suffisant pour démarrer la machinerie

     

    non, c’est juste que les sensations,

    sont devenues tellement, tellement, nourrissantes,

    j’ai besoin de moins en moins et de moins en moins souvent,

    une simple caresse me suffit parfois comme viatique, pour des heures

    je me sens rassasié avec ce qu’elle a produit dans mes profondeurs,

    j’ai senti ses effets pénétrer au plus profond de mes cellules,

    répandre là, son nectar,

    m’en imbiber durablement,

    me nourrir au plus intime de moi-même

     

    chaque geste lascif, chaque contraction du périnée, chaque caresse,

    semble de plus en plus,

    comme une flèche qui atteint en plein milieu, une cible,

    oui, il y a cette épanouissante sensation,

    avec chaque action,

    chaque moment de complicité ardente avec mon corps,

    d’atteindre le milieu d’une cible

    et d’y sentir la flèche,  vibrer durablement

     

     

    #45275
    bzo
    Participant

    bon, c’est un peu exagéré, quand même, ce que j’écris au-dessus,

    mais en même temps, non,

    c’est vrai que de plus en plus souvent, pendant des heures,

    une petite caresse, à gauche, à droite, un mouvement des hanches, une contraction,

    me suffisent,

    apportent déjà une sorte de rassasiement dans ma chair,

    de contentement profond

     

    mais à d’autres moments, ponctuellement,

    j’adore déclencher de courtes tempêtes, en série,

    les enchaîner,

    le plus souvent , le soir, quand je fais ma gym,

    je ponctue ces moments de physicalité, de courts breaks ardents, intimes,

    ils les relient, leur forment comme des enchaînements,

    cela se s’emmêle délicieusement, gym, plaisir dans la chair,

    cela se fond ensemble,

    j’adore

     

    avant et après l’effort,

    dégustation de sensations,

    ouvrir en grand, un moment,

    le robinet à volupté,

    que cela éclabousse,

    que cela imbibe,

    partout

     

    la complicité avec mon corps,

    est devenue quelque chose de tellement fondamental,

    d’irremplaçable, de nécessaire,

    de moments essentiels à vivre,

    forme de respiration intime,

    le désir respire en moi, vit sa vie,

    est libre d’aller et venir où il veut,

    quand il veut

     

    le désir permet de nous réunir,

    à d’autres, à nous-même,

    à tout, à rien,

    au soleil, au vent, aux arbres, aux rivières,

    à la vie, à la mort

     

    le désir quand il retrouve,

    un moment, toute sa pureté,

    toute son potentiel d’unification,

    moments de cristal, en nous

    #45276
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    Bonjour

    bzo a écrit

    <h3>mais déjà, mes doigts ont sorti de son antre où il était tout recroquevillé,</h3>
    <h3>un pénis bien épais</h3>
    <h3>dont j’effleure le gland de la langue,</h3>
    <h3>il se met à grossir et à se raidir à toute vitesse,</h3>
    <h3>en quelques instants, il est au garde à vous</h3>

    En parodiant Michel Audiard : Les fantasmes ça osent tout, c’est même à ça qu’on les reconnait.

    Merci pour les textes.

    ps: j’ai un peu de mal avec les citations.

    #45279
    bzo
    Participant

    sa fleur écarlate, entre ses jambes, écartées en grand,

    était toute humide, toute gluante, toute chiffonnée,

    son petit bouton était  sous ma langue,

    je la fais tourner dessus, avec  insistance,

    la fait déraper, à gauche, à droite,

    la plonge aussi,  dans le petit puit, au milieu de sa chair,

    collant tout mon visage contre elle,

    appuyant fort pour essayer d’aller le plus loin possible,

    dans son adorable crevasse tout trempée,

    faisant tourner ma langue dans toutes les directions

     

    mes doigts viennent s’y mêler régulièrement,

    écartant un bout de peau, fouillant, frottant, s’enfonçant, effleurant,

    je la sens se cabrer de plus en plus, être prise de soubresauts,

    sous l’effet combiné de ma main et de ma langue,

    elle semble en selle, elle rue de plus en plus,

    je suis sa monture obéissante qui l’emmène au galop,

    je fais corps avec elle qui décolle de plus en plus

    et  j’ai l’odeur de sa chair, tellement capiteuse,  plein les narines,

    je la lèche, me sers de mon nez, aussi , de temps à autre,

    pour farfouiller dans sa chair ouverte, trempée, vibrante

     

    mais nous sommes trois dans le lit,

    je le sens maintenant qu’il vient placer son sexe sur le côté de mon visage,

    il essaie de le glisser vers elle, jusqu’à dans elle

    son braquemart durci frotte mes lèvres maintenant,

    il est presque là, son gland a déjà sa humidité sur lui,

    son dard, désormais, se mêle  à nos deux orifices collés l’un contre l’autre,

    s’y ai fait un peu de place

     

    c’est sa hampe qui est désormais tout contre ma bouche

    il est parvenu à enfouir, un peu de son sexe en elle,

    j’écarte un peu la tête,

    de façon à ce qu’il puisse bouger en elle,

    elle le sent, son gros gland,

    comme un bathyscaphe qui s’apprête à partir en plongée

    elle est prise de frissons, de plus belle,

    je me positionne de manière,

    à pouvoir leur donner des coups de langue, à tous les deux,

    quasi en même temps

     

    comme j’aime sentir leurs sexes entremêlées,

    avoir la tête pratiquement collée dessus,

    je n’en perds pas une miette, je suis aux premières loges,

    c’est le royaume de la sueur, du foutre féminin, du mucus,

    des muscles qui se contractent,

    des ahanements et des gémissements,

    cela pète même de temps à autre, un peu,

    des poils aussi, ils ont tous les deux des poils, pour mon plus grand bonheur,

    rien de glabre par ici,

    royaume animal qui s’assume

     

    il commence à faire des léger va et vient avec le gland, un peu en elle,

    j’essaie de placer ma bouche,

    de façon à ce qu’à chaque aller retour,

    sa hampe circule entre mes lèvres

    et que je puisse la frotter avec la langue

     

    comme il est très grand et très mince, avec des bras très longs,

    il parvient à glisser deux doigts dans mon cul,

    il commence à jouer avec dedans,

    on se contorsionne, on fond nos chairs tant bien que mal, ensemble,

    j’ai un sein à elle, dans une main,

    avec l’autre, je caresse son torse velu, à lui,

    j’ai deux coeurs, pratiquement,  sous les doigts,

    l’un comme l’autre, battant la chamade

     

    il arrête les mouvements avec sa bite,

    j’en profite pour approcher ma bouche de la chatte entrouverte,

    avec le gland comme au nid, dedans, à peu près,

    d’un même coup de langue, je parviens à lui lécher un peu la vulve et son gland à lui,

    je passe de l’un à l’autre, sans arrêt,

    ils gémissent de concert,

    lui a ses doigts toujours enfoncés en moi,

    il les bouge de temps à autre

    mais les retire pour se saisir de mon pénis,

    commence tantôt à le caresser doucement,

    tantôt à le serrer bien fort

     

    il enfonce, à nouveau, un peu plus son gland en elle,

    en réponse, elle frémit de la tête aux pieds,

    ma langue n’a plus accès au bout de son sexe

    mais je me rattrape sur la hampe durcie,

    je la lèche, centimètre par centimètre,

    elle est toute humide de ma salive et du foutre féminin,

    je l’entrevois qui brille,

    comme la peau de son sexe turgescent, est douce,

    on dirait du feutre chaud

     

    quelle fournaise, comme c’est gluant, par ici,

    comme c’est compressant, aussi, j’ai du mal à respirer,

    tellement ma tête est coincée entre ses cuisses écartées, son sexe grand ouvert

    et puis son bassin et son dard, à lui

     

    et  puis toujours ces incroyables odeurs d’excrétions fauves, animales

    qui me  prennent à la gorge, qui m’étourdissent,

    l’ai l’impression d’être dans l’antre d’un animal sauvage

     

    cela bouge de plus en plus,

    je retire  ma tête, cela commence à trop cogner et à trop serrer, là-dedans,

    je le vois éjaculer,

    son sperme ressort d’elle,

    il s’est un peu éloigné, je me rapproche à nouveau,

    je lape son vagin, le liquide laiteux, chaud qui en sort

    les poils sont tout entremêlés dessus, tout  gluant, collés ensemble

     

    je gobe son sexe à lui, maintenant,

    je le nettoie très consciencieusement, avec la langue,

    tandis qu’elle se retourne complètement soudainement

    et en un instant,

    j’ai la bouche en face, désormais, de son cul

    avec l’ouverture toute ridée concentriquement de son anus, tellement adorable

     

    il est passé , il y a pas longtemps, avec son braquemart, longuement, là-dedans,

    il en est encore tout élargi,

    je crois deviner la forme de sa pine à lui,

    avec ses nombreux  allers et retours qui a imprimé sa forme , momentanément

    comme j’aurai voulu me glisser là-dedans,

    en même temps que le dard qui s’y enfonce,

    le tenant comme si j’avais saisi la nageoire d’un dauphin

    et plonger, être entraîné, entre ces deux fesses magnifiques,

    balloté , en même temps, par ses coups de rein, à lui

    et par ses ruades, ses soubresauts, ses contractions, à elle

    #45280
    bzo
    Participant

    je suis assis à mon bureau, les pieds sur la table,

    couvert de mon immense peignoir, acheté récemment,

    il fait encore frisquet, j’éteins toujours les chauffages, complètement quand je dors

    et il a fait bien froid sur Bruxelles,

    des températures négatives,  dehors, tout le long de la nuit,

    et encore maintenant

    mais les radiateurs sont rallumés, à puissance maximale,

    cela devrait se réchauffer peu à peu

     

    un endroit, très certainement

    où la température est déjà bonne, actuellement, je le sens,

    c’est entre mes cuisses,

    mes génitaux sont comme au nid, bien enveloppés,

    je les sens comme des chatons heureux, ronronnant,

    mon sexe a légèrement durci,

    sous l’effet des mouvements des jambes que je provoque,

    en frottant les pieds, l’un contre l’autre

     

    et puis je lance de régulières contractions que je maintiens un peu,

    qui font réagir immédiatement ma prostate

    la tension dans les muscles du périnée,

    se propagent vers les couilles, la bite,

    provoquant un léger  déplacement de tout le paquet,

    compressé entre mes cuisses

    des ondes génitales, ainsi, générés,

    viennent se mêler, s’amalgamer, aux ondes prostatiques,

    nées, une fraction de seconde, avant

     

    sensation tellement délicieuse,

    l’impression d’avoir une éponge imbibée de soie, bien chaude, entre les cuisses

    qui au moindre mouvement, à la moindre pression,

    se met à dégouliner, à répandre sa chaleur soyeuse, ondulante, frémissante,

    aux alentours

     

    tout doucement, je suis de plus en plus excité,

    bien que je sois, en même temps, en train de faire ma consultation matinale d’internet,

    ça va, le monde est encore là,

    il n’a pas disparu pendant mon sommeil,

    toujours à feu et à sang, quelques massacres à gauche, à droite,

    des femmes en pleurs, des enfants affamés,

    des guerriers toujours convaincus de leur mission de tuer tout ce qui bouge,

    tout est bien là, ce cher monde,

    à la fois, tellement détestable et magnifique

     

    de temps à autre, je ferme les yeux,

    juste dégustant les ondes qui nagent en moi,

    je les sens qui sortent, par moments, de mon bassin,

    venant se répandre plus haut,

    imbibant d’ineffable, les cellules, au passage

     

    oh comme c’est jouissif,

    quel bien-être, quelle sensation épanouissante, instantanément,

    c’est le paradis, pour l’instant, en moi,

    la mort viendra un jour,

    c’est le plaisir qui me déposera entre ses bras, j’espère,

    qui sait, pendant un instant,

    je sentirai, peut-être, tout l’univers autour de moi,

    du fond des mers jusqu’au fin fond des galaxies

    et tout ce qu’il y a entre,

    comme se stabiliser ineffablement, se pacifier intégralement,

    flotter sur un océan majestueux de nectar,

    avant de m’éteindre complètement

     

    je ne vais pas encore me caresser,

    mes mains sont trop froides pour cela,

    je ne me sens pas encore vraiment en train,

    suis encore à moitié endormi,

    alors je reste ainsi,

    juste bougeant des hanches, des cuisses, des pieds,

    avec les doigts sur la souris et les yeux rivés à l’écran

    les jambes sur la table

    et le bassin baignant dans  de la volupté matinale

    #45281
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    Bonjour

    mais nous sommes trois dans le lit,

    Bigre une partie à trois !! ça en fait des doigts et des orifices.
    Pendant que tu farfouillais la chatte poilue et odorante de la Dame, il pouvait facilement dilater ta rondelle, tu as eu de la chance !! ou pas.
    Ce soir je vais me refaire le film avec un god lubrifié sur la table de nuit, on ne sait jamais…..

    Bonsoir

    #45283
    bzo
    Participant

    c’était un texte de fantasme, j’aurai peut-être du le préciser

    #45284
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    c’était un texte de fantasme, j’aurai peut-être du le préciser

    C’est bien comme ça que je l’ai pris, c’est tellement plus érotique que la réalité.

    A+

    #45285
    bzo
    Participant

    et hop , encore un texte

     

    il était en train de dormir,

    il faisait très chaud, c’était l’été,

    je le remarquais par la porte de la chambre à coucher, grande ouverte,

    couché sur le dos, une légère toile le couvrait,

    je le devinais nu, tout entièrement

     

    mon regard le parcourut lentement,

    il était jeune, grand , musclé, d’aspect sportif,

    il avait un  air décidé mais serein, perdu dans ses rêves,

    mon attention fut attirée par la bosse de la toile,

    à hauteur de ses reins,

    petit monticule, on devine le contour du sexe au repos,

    cela  a tout de suite commencé à m’attirer  irrésistiblement,

    il faut que j’aille évaluer tout cela, de plus près,

    malgré les risques,

    s’il se réveille,

    je pourrais toujours dire que je voulais jeter un coup d’oeil par la fenêtre,

    sans vouloir le déranger dans son sommeil

     

    le désir s’est allumé tout de suite en moi,

    à la vue de ce beau corps assoupi,

    je m’approche tout doucement,

    il a l’air très très profondément endormi,

    cela m’encourage dans mon périple, à me rapprocher toujours plus,

    le plancher craque fort jusqu’au lit

    mais ne provoque aucune réaction de sa part

     

    je suis près du bel affalé,  à présent,

    j’effleure son visage de la main, je passe un doigt entre ses lèvres,

    les entrouvre un peu, il ne bouge pas,

    je me penche au-dessus de lui,

    sors mon sexe du maillot de bain

    et le pose contre sa bouche,

    glisse un peu le gland, à l’intérieur,  tout doucement ,

    je sens sa langue râpeuse, à présent, contre ma peau,

    je bande de plus en plus fort,

    cela fait entrer de plus en plus mon sexe dans sa bouche

    même pas besoin de le bouger,

    il entre tout seul, il connait le chemin

     

    je suis surexcité de le voir ainsi, avec ma trique, enfouie entre ses lèvres,

    à tel point que j’éjacule quasi tout de suite,

    je ressors très lentement mon sexe,

    pas de geste, de mouvement, brusque,

    pas troubler son sommeil, il a l’air de faire de beaux rêves

     

    je descends plus bas,

    mon visage est désormais, à hauteur de ses reins,

    à hauteur, pour être plus exact de la protubérance que j’avais repérée depuis la porte,

    qui m’avait fait entrer, risquer l’aventure,

    avec des envies de pine au bois dormant

     

    je la frotte avec le bout des doigts, à travers le tissu léger ,

    je fais des petits mouvements concentriques dessus,

    je rebande de plus belle,

    la toile est si légère, si moulante,

    de près, on devine bien toute la masse de son pénis, au repos,

    sa forme se dessine si bien,

    j’approche ma bouche, je le lèche à travers le mince coton,

    le titille avec la langue,

    cela semble commencer à lui faire de l’effet,

    je vois les proportions de son pénis changer,

    s’agrandir , petit à petit,

    belle trique, j’avais deviner juste

     

    j’en suis le contour, avec la langue,

    maintenant qu’elle est bien raidie, sous la toile,

    celle-ci devient de plus en plus humide avec ma salive

    et lui colle au braquemart, de plus en plus,

    le tissu en devient, aussi, de plus en plus transparent

    et son sexe se devine toujours plus,

    comme j’ai envie de le happer, de l’engloutir,

    de le lécher, de le manipuler, sans me retenir

     

    mais pas le réveiller, je ne le connais pas,

    je ne sais pas quelle serait sa réaction,

    je soulève tout doucement, très lentement, la toile,

    pour dévoiler la bête,

    la voir, à la lumière de ce glorieux jour d’été, dans toute sa splendeur

    et lui donner quelques coups de langue,

    goûter à sa peau, bien lui nettoyer le sexe

    c’est risqué mais je ne peux y résister,

    advienne ce qui adviendra,

    si je vois qu’il ne réagit pas,

    je goberais même son gland, bien profond,

    le bercerais de ma chaleur et de ma salive, dans la bouche

     

    je jette un coup d’oeil à son visage,

    il a un vague sourire  béat qui se dessine sur ses traits

    mais il n’a pas l’air réveillé, pour un sou,

    toujours perdu dans ses rêves

     

    ça y est, j’ai réussi à enlever la toile de ses hanches,

    son sexe presque complètement raidi, remonte bien droit vers son nombril,

    j’approche mon visage,

    remonte lentement la langue sur la hampe, centimètre par centimètre,

    la parcourant sur toute sa longueur,

    goûtant à sa sueur, vague goût d’urine, aussi,

    atteint le gland, tourne un peu dessus,

    commence à lécher son méat,

    il est complètement raide, cette fois,

    belle pine, au garde à vous,

    comme j’aurai envie de ne plus retenir mes gestes

    mais prudence,

    n’éveillons pas la belle au bois dormant

    mais à la pine bien raidie

    goutons à sa gaule, avec mille précautions

     

    il ne bronche pas, sommeil de plomb,

    cela fait mon affaire,

    j’ai son gland à présent , bien au chaud, dans ma bouche

    et je joue avec la langue dessus, lentement,

    je n’ose pas le caresser, en plus, ce serait trop, je le sens,

    cela risquerait de le réveiller

     

    je me demande si ce que je suis en train de lui faire,

    influence ses rêves,

    clairement physiquement , cela lui fait de l’effet,

    mais est-ce que j’ai aussi une petite place dans ses rêves,

    sans qu’il s’en rende compte,

    peut-être a-t-il un rêve érotique?

    peut-être qu’il rêve que quelqu’un est en train de lui faire une fellation?

    peut-être qu’il rêve qu’il vole sur un tapis volant,

    que l’océan l’emporte

     

    sa queue a des soubresauts de plus en plus,

    il finit par éjaculer, trois longs jets que j’avale goulument,

    je repose tout doucement son sexe,

    encore complètement raide, sur son ventre,

    le soutenant des lèvres,

    puis m’éloigne un peu pour jeter un long coup d’oeil, dessus,

    encore deux jets de sperme en sortent à retardement,

    vont s’étaler sur son ventre,

    presque jusqu’à son nombril,

    je n’y résiste pas , je vais les laper consciencieusement,

    ne laisser aucune trace du cambriolage sexuel,

    ni vu, ni connu,

    Arsène Lupine

     

    je remets sur lui, la fine toile de coton,

    le recouvrant complètement, à nouveau

    et je m’éloigne,

    dans l’encadrement de la porte, je me retourne,

    plonge encore le regard sur lui,

    il bande ferme toujours, je le vois à travers le tissu,

    je me retiens d’y retourner pour recommencer mon manège

     

     

    #45286
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    Bonjour,

    bzo a écrit:

    je suis surexcité de le voir ainsi, avec ma trique, enfouie entre ses lèvres,
    à tel point que j’éjacule quasi tout de suite,

    ../..

    sa queue a des soubresauts de plus en plus,
    il finit par éjaculer, trois longs jets que j’avale goulument,

    Hummm!! Le sperme coule chaudement….
    L’ abstinence peut-être ???
    Perso, ce soir, me caresser le gland et m’arrêter juste avant l’écoulement si érotisé risque d’être plus difficile.
    Je ne te dis pas merci.

    A+

    #45287
    bzo
    Participant

    le sperme coule très chaudement avec l’abstinence,

    magnifiquement chaudement,

    je dirai même

     

    de fait, il n’arrête pas de couler,

    dans ma tête, dans mes veines, dans mes muscles, dans mon cul,

    dans mon sexe, même

     

    je le retiens, sans trop de problème, de sortir au grand jour

    puisque je ne regarde jamais de porno

    et que je me procure beaucoup de plaisir non pénien,

    mais pas d’exploser intérieurement

    d’exploser délicieusement, intérieurement, partout en moi

     

    j’en suis éclaboussé de partout, dans ma chair, dans ma tête,

    des jets invisibles de sperme qui font fontaine, de tous côtés, en moi,

    ça explose à répétions, ça explose en rafale, ça explose par vagues,

    dans les années 70, il y avait la révolution permanente,

    chez moi, en 2023, il y a l’éjaculation intérieure, permanente, instaurée

     

    il y a une colonne de chair raidie, constamment, quelque part en moi,

    le désir arrange cela pour moi, en moi,

    comme une lance d’incendie qui cherche à éteindre un feu

    et pour cela qui n’arrête pas d’éjaculer,

    une vraie fontaine

     

    faut dire, qu’elle croit être enfouie,

    dans la plus belle des chattes entrouvertes, humides,

    aux lèvres de soie chaude, frémissantes, enveloppantes,

    qui n’arrêtent de bouger, d’onduler, autour de sa hampe incandescente,

    de s’entrouvrir et de se refermer, avec des petits mouvements,

    ondulant lascivement sans fin,

    invitant  à la goûter, de plonger toujours plus profondément en elle,

    de goûter à ses sinuosités velouteuses qui dansent tellement langoureusement,

    pressant , caressant, frottant, imbibant, ses cellules turgescentes

     

    casse-noisette galactique, intersidéral, intersidérant,

    sur toute la longueur de sa hampe

    qui n’est plus qu’un tuyau de chair empli de lave circulant ineffablement,

    et qui  lâche bordée sur bordée,

    encore et encore, encore et encore, encore et encore,

    la vie dans la galaxie de la volupté,

    du nectar emplissant la chair, de ses vagues,

    roulant ses étoiles de soie, dans le sang

     

    couple intérieur, en action, le yin et le yang,

    énergies accumulées,

    il y en a dans toutes les armoires,

    tous les tiroirs en débordent, de plus en plus, jour après jour,

    ça dégouline de partout, ça déborde de partout,

    pas moyen de bouger le petit doigt un  peu lascivement,

    sans en mettre un océan en branle,

    qui se met à frotter les alentours, inlassablement

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