Mots-clés : aneroless
- Ce sujet contient 1,143 réponses, 15 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
RomPat33, le il y a 1 mois et 3 semaines.
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- 22 mars 2021 à 22 h 05 min #40661
bzo
Participantparfois, j’ai l’impression que ma pratique, pendant de longues minutes, n’a vraiment plus rien de sexuel,
parfois j’ai l’impression que ma pratique, pendant de longues minutes, n’est plus qu’un coït animal,
parfois j’ai l’impression que ma pratique, pendant de longues minutes, est un jeu érotique d’une sophistication extrême23 mars 2021 à 0 h 38 min #40664bzo
Participantje suis bien content ce soir,
j’ai fais des beaux progrès dans mon petit challenge à moi
de reconquérir une pratique, prostatique uniquement,
ce n’est pas encore le chapelet d’orgasmes, ponctué d’un super O ou deux,
comme dans le bon vieux temps
mais c’est en bonne voiemais j’ai eu de vraiment très bons moments,
mon corps sous moi, commence à accepter le jeu, commence à y voir son intérêt,
je manque juste de patience encore,
je suis tellement habitué à la forme courte, dépassant rarement le quart d’heure depuis bien longtemps,
alors qu’une séance de massage prostatique, avec masseur ou aneroless, s’inscrit beaucoup plus dans le temps long,
donc après un quart d’heure, je me suis lassé malgré des résultats plus qu’intéressants,
des sensations prostatiques comme je n’en avais plus eu depuis longtemps
et j’ai presque réussi à déclencher un orgasme, j’en étais vraiment pas loinc’est donc pas mal du tout, je retrouve aussi mes reflexes, mes automatismes,
c’est très encourageant tout cela, je suis contentje veux avoir ces deux pratiques en parallèle,
elles seront splendidement complémentaires23 mars 2021 à 0 h 59 min #40665bzo
Participantencore à propos de la question classique du débutant,
où faut-il que je me concentre, sur ma prostate?
dois-je me concentrer sur ma prostate puisque c’est elle que je veux allumer?eh bien, non, cent mille fois, non,
il ne faut pas se concentrer sur sa prostate,
c’est notre prostate qui doit se concentrer sur nousdonc, on fait le vide dans sa tête, on ne se pense à rien du tout,
on ne se concentre sur rien du tout, on se laisse bien aller
et puis on s’attelle à faire son petit show là en bas,
tel qu’on commence à obtenir des résultats, même s’ils sont encore plutôt mincesnous, le vide au milieu, nous ouvert, nous atteignable, nous réceptif, nous juste là dans l’instant,
c’est notre prostate qui se signalera à nous, c’est notre prostate qui viendra à nous,
c’est elle qui se concentrera sur nous,
le faisceau sera ainsi maximal, sans aucune perte23 mars 2021 à 21 h 32 min #40674bzo
Participantje suis sous la douche,
je me balance un peu, doucement,
pressant lentement entre mes cuisses, mes bijoux de famille
tandis que je promène distraitement le jet d’eau chaude au hasard sur ma peau
comme si je me caressais avecj’en fais très peu, très très peu
mais je me sens empli du yin, tout mon corps vibre ainsi,
sensation ineffable, juste être là dans l’instant,
tranquillement vivant la communion avec mon corps,
goûtant à cette exquisité dans ma chair
qui semble faire que chaque geste, chaque mouvement,
provoque en moi une vague de caresses soyeusesquelle douceur , quel épanouissement, des moments
24 mars 2021 à 0 h 03 min #40676bzo
Participantchaque geste, chaque mouvement, chaque contact, chaque contraction de muscle,
a un potentiel infini de sensation en nousvivre la grâce du moment dont le plaisir est une facette
un fleuve passera en nous,
il n’y aura plus d’avant, ni d’après, pendant son passage24 mars 2021 à 0 h 52 min #40678bzo
Participantapprendre à bien se caresser,
c’est apprendre à danser avec ses mains sur la peau,
tels deux patineurs qui s’élancent et effectuent une chorégraphie improviséejuste se lancer, être légers, ne pas chercher à faire ceci ou cela,
là encore, il faut laisser l’instinct parler autant que possible,
le corps sait mieux que notre esprit comment se caresser24 mars 2021 à 21 h 46 min #40689bzo
Participantvotre serviteur a été par ce beau temps se promener en forêt,
c’est devenu une habitude tous les mercredis après-midi quand il ne fait pas trop mauvais,
comme c’est ressourçant, excitant, d’être parmi ces grands arbres,
les oreilles emplies du chant des oiseauxde retour chez moi, après la douche,
au premier mouvement des hanches, à la première caresse sur la peau,
j’ai senti que la nature était aussi en moi, qu’elle avait déposé quelque chose dans mes profondeurs,
quelque chose de cette splendeur immémoriale parmi laquelle j’ai déambulé un peu avant,
quelque chose était là en moi, concentré, intact, dans les tréfonds obscurs de ma chairla danse, la musique, la grâce, l’ineffable
habiter l’instant, que le yin et le yang s’unissent,
l’incandescence, que la communion avec mon corps commence,
l’essence fragile, l’essence volatile, les vibrations, la vie,
quelque part, dans les profondeurs de la terre, les racines,
mes racines25 mars 2021 à 0 h 35 min #40703bzo
Participantmes mains, mes hanches, mon torse, mes seins, mon bassin,
forment un bouquet de vagues,
comme il grandit vers le ciel, comme il enlace le ciel,
je suis au milieu, dans une barque, chahutée, délicieusement chahutée,
quelle berceuse d’enferquand tout est bien accordé, que la note sort parfaite,
un baiser envahi tout mon corps,
mes gémissements forment comme un tapis volant qui tourne autour de moi,
qui effleure mes oreilles, effleure ma bouche,
ils sont si doux parfois, si légers, si fins,
que j’ai l’impression que c’est mon âme qui s’envole et qui danse dans l’airdouceur d’être, douceur d’être incandescent,
douceur d’être butiné, d’être fouillé, de partout,
jouissance de se sentir à la fois un et totalement éparpillé, parsemé, disséminé25 mars 2021 à 19 h 23 min #40710bzo
Participantà partir d’un certain stade de notre évolution,
les progrès ne sont plus obtenus qu’en travaillant sur la qualité des sensations,
quasi exclusivementje veux dire, qu’une fois que vous êtes capable d’enchaîner les orgasmes
pendant une demie heure, une heure, voire plus,
d’obtenir aussi de temps à autre un super O,
eh bien, vous avez atteint une sorte de plafond dans une certaine manière de pratiquer,
à savoir, la recherche avant tout, d’une fréquence, d’une intensité et d’une durée toujours plus grandes, dans les orgasmesil est temps à ce moment-là de commencer à découvrir les détails,
de sculpter amoureusement les sensations,
d’obtenir toujours plus de nuances, de finesse,
de tisser une vaste mer en soi,
faite d’une multitude de petits fils et de quelques plus gros26 mars 2021 à 0 h 14 min #40714bzo
Participantil y a un rythme, une cadence, en nous
qui délie tout, qui fait naître le chantla clef lente, la clef intime
qui fait de la chair de chacun de nous, une porte à ouvrirle souffle ouvre le chemin, les contractions l’empruntent,
l’artisanat du délire, se découvrir une vocation tempêtueuse,
écrire sa propre symphonie26 mars 2021 à 7 h 58 min #40715bzo
Participanthum, pas terrible mes deux textes de hier
26 mars 2021 à 8 h 11 min #40716bzo
Participantcertains se retirent dans un monastère pour méditer, prier,
moi je me suis retiré en plaisir pour vivre la communion avec mon corpsavec l’abstinence, maintenant depuis quelques semaines, 5,6,
ma puissance a augmenté de façon tellement incroyable
et chaque jour que je me lève, je sens que le potentiomètre a encore monté d’un cran,
c’est juste ineffable de chez ineffable,
chaque contraction, chaque effleurement des cuisses sur mes bijoux de famille,
éveillent directement une telle tempête de volupté,
je suis instantanément aux anges indescriptiblementhier, j’ai sorti mon linge de la machine et me suis à le pendre, en plaisir, constamment,
tous mes gestes, tous mes mouvements, effectuaient en même temps,
l’action de sortir le linge humide et le diriger vers les cordes tendues dans les hauteurs
mais en même temps, il y avait une danse langoureuse de tout mon corps,
avec de courtes caresses, contractions, effleurement de mes cuisses sur mes génitaux,
tout s’imbriquait tellement facilement, tellement naturellement, tellement sans effort,
mon dieu que c’était bon, je ne sais pas si j’ai joui,
ce type de terme ne veut plus dire grand chose chez moi,
juste c’est tellement délicieux, ineffable, partout en moi, à chaque instant
je vis tellement intensément la communion avec mon corps,
je sens tellement intensément le yin et le yang qui s’unissent ensemble en moi,
un chant général qui monte de partoutsublime polyphonie qui s’élève librement dans ma chair, à la moindre occasion,
quel délice de vivre, quelle aventure d’être, ainsi,
j’ai déjà connu des périodes d’abstinence bien plus longues ( largement plus d’un an, une fois)
mais rien de comparable à ce qui se passe maintenant27 mars 2021 à 9 h 07 min #40727bzo
Participantsous ma couverture, je commence à bouger, je me réveille peu à peu,
enfin plutôt, suis réveillé par des sensations agréables un peu partout,
mon petit robinet et mes deux boules hirsutes, légèrement compressés, par mes cuisses,
au moindre mouvement, diffusent de cette chaleur liquide, soyeuse, vibrante
qui semble se répandre de plus en plus si je persiste à me mouvoir,
je m’étire, je me laisse aller, je me cambre légèrement, je gémis,
ma petite musique toute personnelle, produite par mes entraillesmon dieu, comme c’est bon, le plus léger mouvement, provoque une inondation tellement délicieuse en moi,
je me caresse, j’ondule, je vibre, mes génitaux semblent ronronner, je gémis de plus belle,
suis ému, suis ému à chaque fois de tout cela, d’être capable de tout cela,
de communier ainsi avec mon corps,
de se sentir tout d’un coup plus vaste, beaucoup, beaucoup plus vaste,
de se sentir tout d’un coup, grouillant de vie, comme un immense bazar en moi, grouillant, vibrant, de vie,
on m’a téléporté sur un autre continent,
empli de chaleur, de vibrations, de mystère, d’exotisme,
tour à tour, de volupté raffinée, d’animalité la plus cruecomme j’ai appris à l’aimer, ce corps, ces dernières années
mais ça n’a pas toujours été comme cela,
je dois l’avoir détesté à certaines périodes de ma vie
mais la plupart du temps, il était juste mon véhicule que je menais sans ménagement et sans égards,
j’en paie le prix fort aujourd’hui,
plus de sport possible à cause d’une jambe gauche dont je peux être content qu’elle me porte encore
mais plus question de lui demander de courir, de sautiller
(sautiller, je pense ici à l’électro que j’ai découvert dernièrement,
j’aurai tant aimer vivre la transe par la danse que propose ce genre de musique,
je sens là une possibilité de communier autrement aussi avec ce corps)puis peu à peu, mon véhicule, j’ai commencé à en prendre soin
mais certains dégâts étaient déjà là, assez irréversibles,
après, le yoga, merveilleux, magique, yoga,
des premières tentatives de contact avec ce corps, de me rapprocher avec lui
mais j’ai du arrêter à cause de mes problèmes physiques multiplescependant, cela a vraiment pris une tournure sérieuse quand j’ai commencé à pratiquer le massage prostatique,
de découvrir qu’autour de cette petite cellule dans ma tête dans laquelle je vis,
dans cette masse de chair, de sang, d’os et de nerfs, il y avait tout un univers explorable
que j’y étais aussi, que c’était aussi moi,
que je pouvais le ressentir, le vivre, avec une totale proximité, au moins ponctuellement, durant les séances,
ça a été un immense cadeau, inespéré, une bouffée d’air frais comme un tapis magique,
c’est vraiment comme si on découvrait la caverne d’Ali Baba, en soià perte de vue, un territoire en moi, à perte de vue,
un territoire à moi mais aussi pas à moi, j’ai découvert depuis,
j’ai l’impression de plus en plus, de le partager avec des forces en moi,
qui sont en moi, à qui il appartient autant qu’à moi,
c’est de la copropriété, au fond, ce corpsfais partie aussi de la magie, le fait de sentir l’union entre le yin et le yang,
comme un coeur qui bat, comme un coeur qui pulse, dans mon bassin,
je sens comme un sexe de femme et un sexe d’homme, en moi
collés l’un à l’autre, se frottant, se pressant, l’un contre l’autre, l’un dans l’autre,
c’est là dans mes profondeurs, c’est mon noyau, mon petit noyau à moi,
vibrant, diffusant, répandant, comme une féminité rayonnante partout en moi,
là encore, la vastitude est éblouissante,
la vastitude des nuances forme comme une mer dansante en moi28 mars 2021 à 1 h 51 min #40728bzo
Participantcette montée en puissance exponentielle grâce à l’abstinence
me pousse de plus en plus à taquiner ma prostate exclusivement,
j’ai l’impression d’avoir un ascenseur hydraulique dans le bassin,
à la moindre contraction, il se met en route, il monte,
c’est irrésistible comme sensation, en même temps un peu, d’apesanteur, d’accélération, de puissanceau lit, je fais de plus en plus de séances, pas très longues cependant,
pour de courts moments, je presse mes cuisses, frottent un peu, je n’y puis résister régulièrement,
en une fraction de secondes, je suis envahi d’une volupté tellement enivrante, ineffable
mais immédiatement j’écarte les jambes et continue rien qu’avec la prostate,
des contractions lentes, précises, alternant avec des caresses sur tout le corps,
cela me fait beaucoup d’effets,
j’ai beaucoup de plaisir, c’est très graduel, c’est bon signe cela,
une montée très progressive, constante, c’est toujours bon signe, signe d’un bon cruje suis curieux de voir si ainsi, cela va me mener vers des orgasmes prostatiques,
pas sûr car je suis toujours en mode yin, malgré tout,
je sens le masculin et le féminin, emmêlés dans mon bassin
et puis tout le reste du corps, envahi du féminin,
en tout cas, c’est bien bon , j’ai beaucoup de plaisir, je persiste28 mars 2021 à 11 h 31 min #40732bzo
Participantje vais jouer un petit jeu ce dimanche matin,
je suis de bonne humeur, plein de désir et plein d’optimisme,
imaginer ce que pourrait être la sexualité du futur, celle du trentième siècle, par exempleje crois que la clef pour entrevoir à quoi elle pourrait ressembler,
l’évolution fondamentale qui se sera opérée très progressivement au cours des siècles,
c’est que sociétalement, l’acceptance de la part féminine qui est en tout homme,
sera devenue la norme,
il sera considéré comme sain, équilibrant, enrichissant, épanouissant, pour un homme
de développer sa part féminine, pour lui-même et pour sa relation avec les autrespour ce qui est de la sexualité, il sera donc aussi tout à fait rentré dans les normes
qu’un homme explore les plaisirs liés à sa prostate, à son anus,
l’éducation dans les écoles, encouragera cela, donnera des pistes, des jalons,
il existera toutes sortes de livres consacrés à ces sujets, en vente librecela aura, bien sûr, des répercussions sismiques,
que les hommes dans leur très grande majorité, acceptent leur part féminine,
cela aura tellement de conséquences à tous les niveaux,
le machisme sera relégué à des comportements d’homme du passé, mal dans leur peau, incapable de s’accepter,
l’habillement sera différent, les goûts et les couleurs auront profondément changé, grâce à cela,
la parité sera, bien entendu, la norme, partout, la politique, les entreprises, etcla sexualité des femmes aussi, aura beaucoup changé grâce à cela
celle-ci sera restée bloquée, ou du moins, aura été ralentie, pendant des siècles,
ne pouvant profiter de toute sa potentialité
parce que leurs compagnons étaient juste des bites sur pattes,
incapables pour la plupart de voir plus loin que leur sacro-sainte virilité,
une masculinité étriquée, définie par leur sexe turgescent
autour de laquelle ils couraient comme attachés par une laisse à elleépanouissement, curiosité et exploration seront les maître mots de la sexualité,
des notions comme hétérosexuel, homosexuel, bisexuel, appartiendront au passé,
les gens indifféremment, goûteront au plaisir là où le désir les pousse,
certains resteront fidèles à une seule personne toute leur vie,
d’autres papillonneront, passeront à des personnes d’un sexe à l’autre, personne n’y trouvera rien à redire,
ce sera devenu la norme, une liberté totale et plus aucun tabou, dans le respect de l’autreon pourra aussi, bien sûr, changer de sexe plus facilement,
ce sera beaucoup plus facile, la science aura fait d’énormes progrès dans le domaine
et comme les hommes et les femmes, exploreront beaucoup plus la part féminine et la part masculine, en eux,
il y aura beaucoup plus de demandes en ce sens,
en fantasmant encore un peu plus, on pourrait même imaginer
qu’il y aura moyen tellement facilement de changer de sexe, en profondeur, pas juste les organes
que beaucoup de gens le feront plusieurs fois durant leur vie28 mars 2021 à 12 h 43 min #40735bzo
Participantétonnant à quel point, je parviens de plus en plus
à intégrer une certaine forme de pratique à mes faits et gestes du quotidien
à peu près n’importe quelle occupation , désormais,
à condition que cela ne demande pas une trop trop grande concentration,
il me suffit d’un peu faire bifurquer les gestes, les mouvements,
d’y inclure quelques balancements de hanche, d’ondulations de tout le corps, des contractions
même les mains occupés, comme il y a quelques secondes à emballer des paquets
et c’est parti, je suis habité un plaisir substantiel, jouissif,
traversé de part en part par des flots de voluptéles deux occupations cohabitaient parfaitement,
d’une part, mes mains et une part de ma concentration, étaient sur la confection de quelque paquet
et puis tout le reste, eh bien, tout le reste,
jouissait tranquillement, dégustait des nuances sans cesse changeante de volupté,
mon corps et moi, baignant tout le temps, dans une complicité tellement délicieuse à vivre à chaque instant,
s’entendant parfaitement, jusqu’à dans les moindres détails,
pour mener de front les deux occupationsc’est comme du piano à quatre mains, deux mains jouaient la confection du paquet
et les deux autres, installaient un délire sexuel délicieux, dans ma chair28 mars 2021 à 13 h 00 min #40736bzo
Participantc’est étonnant comme d’être entièrement nu, semble amplifier mon désir à chaque instant,
là comme les températures sont printanières, je le suis à présent à nouveau,
jusqu’ici, j’écrivais que je l’étais mais je trichais,
en fait, j’étais dans un peignoir sans ceinture, nu en-dessous, pour l’hivermais là donc, complètement à poil,
cela me fait un effet boeuf, toute ma peau à l’air comme cela,
je suis surexcité à chaque instant, encore plus que d’habitude,
juste de ne plus sentir aucun vêtement sur moi, toute ma peau à l’air,
toute l’étendue de mon corps libre du contact d’un tissu quelconque,
l’impression que cela agissait un peu comme une capote,
cela amoindrissait ma sensibilitéil y a une logique quelque part, mon plaisir étant depuis longtemps perçue dans tout le corps,
avoir tout à coup tout ce corps à l’air libre,
c’est un peu comme si je promenais avec mon sexe entièrement à découvert,
même le contact de l’air m’excite, je sens un frisson me parcourir,
rien que de me sentir à l’air libre de partout comme cela29 mars 2021 à 20 h 01 min #40746bzo
Participantla pensée de ma chair, tellement prête à répondre à la moindre sollicitation,
m’excite déjà dans l’ascenseur qui m’élève vers mon nid sous les toits,
j’en ai un lent frisson qui descend le long de la colonne vertébrale,
dans quelques minutes, je me serai débarrassé de mes vêtements
et vais pouvoir me laisser emplir de volupté,
sentir mon corps chéri, vibrer,
sentir une passion ardente à l’oeuvre dans mon bassinje ne vais pas écrire que je ne vis que pour cela, loin de là, heureusement
mais c’est sûr que cela a pris une place très importante dans ma vie
et pourquoi pas, vous connaissez beaucoup de choses beaucoup plus intéressantes à faire dans la vie?30 mars 2021 à 2 h 01 min #40750bzo
Participantje bouge les hanches doucement latéralement,
mes couilles roulent sur elles-mêmes comme des billes bien rondes,
l’une de mes cuisses vient aussi se frotter, un peu en fin de course, à mon sexe,
je reste ainsi de longues secondes,
mes yeux se sont fermés, pour mieux gouter derrière mes paupières, dans l’obscure intimité,
ces flots de volupté ineffable qui ont envahi mon bassin,
qui commencent à déborder, à se répandrecomme un métronome, mes reins se balancent langoureusement de gauche à droite,
je gémis doucement, c’est tellement délicieux, toute cette soie vibrante en moi,
je prépare une contraction, d’abord légèrement les fesses,
mes entrailles devinent déjà la sensation de pénétration qui va suivre incessamment,
des frissons légers me remontent le long de la colonne vertébrale,
je ne contracte plus les fesses, suis passé à la zone plus centrale du périnée et de l’anus,
un objet solide commence à se former en moi, entre mes cuisses,
gestation rapide, il a poussé, pris de la taille, s’est formé,
il se fraie désormais son chemin vers le haut, enflammant tout sur son passage,
les ondes prostatiques se ruent en bande compacte vers le haut,
je continue encore légèrement, à me balancer tout en ralentissant toujours plus le mouvement,
pour bien laisser toute la place à la meute issue de ma prostatemes entrailles fondent, fondent, fondent, je maintiens la contraction,
je pousse de plus en plus fort dessus,
la puissance d’un bulldozer semble s’efforcer à essayer de me soulever,
tout mon bassin semble prêt à décoller comme une soucoupe volante,
tellement je pèse sur la contraction de toutes mes forces pour quelques longs instants,
cela déclenche un orgasme tout à fait charmant, un petit orage localisé,
je râle de plus belle,
les balancements de mes hanches, se sont arrêtés,
par contre j’effectue désormais des mouvements de va et vient frénétiquement, avec le bassin
tout en contractant rythmiquement,
c’est mon moment bûcheron tapant de toutes ses forces,
je garde les cuisses bien écartées pour qu’il n’y ait que des ondes prostatiques,
je plie graduellement les genoux,
fais toutes sortes de petits mouvements avec les muscles de la zone de l’anus,
tantôt comme rotatoires, tantôt comme si je déposais précautionneusement une cuillère emplie dans ma bouche,
je ne sais pas si l’image est très parlante mais c’est celle qui le vient immédiatement à l’espritc’est très effectif , tous ces petits mouvements très localisés
que je parviens à faire quand j’ai le bassin bien cambré, les cuisses écartées
et que je plie bien sur les genoux, je monte, je descend, je monte, je descends
magnifique moments orgiaques, splendide rut sans tabou, le yin déployé, à pleine puissance,
pamoison, le derrière en feu, comme enfilé frénétiquement,
je crie, je crie, beaucoup trop fort à présent,
il faut que je me calme, je vais rameuter tout l’étage30 mars 2021 à 8 h 16 min #40751bzo
Participantje rajoute un petit bout de phrase qui éclaircit le sens , au début:
je bouge les hanches doucement latéralement,
lovées entre mes cuisses, mes couilles roulent sur elles-mêmes comme des billes bien rondes,
l’une de mes cuisses vient aussi se frotter, un peu en fin de course, à mon sexe,
je reste ainsi de longues secondes,
mes yeux se sont fermés, pour mieux gouter derrière mes paupières, dans l’obscure intimité,
ces flots de volupté ineffable qui ont envahi mon bassin,
qui commencent à déborder, à se répandrecomme un métronome, mes reins se balancent langoureusement de gauche à droite,
je gémis doucement, c’est tellement délicieux, toute cette soie vibrante en moi,
je prépare une contraction, d’abord légèrement les fesses,
mes entrailles devinent déjà la sensation de pénétration qui va suivre incessamment,
des frissons légers me remontent le long de la colonne vertébrale,
je ne contracte plus les fesses, suis passé à la zone plus centrale du périnée et de l’anus,
un objet solide commence à se former en moi, entre mes cuisses,
gestation rapide, il a poussé, pris de la taille, s’est formé,
il se fraie désormais son chemin vers le haut, enflammant tout sur son passage,
les ondes prostatiques se ruent en bande compacte vers le haut,
je continue encore légèrement, à me balancer tout en ralentissant toujours plus le mouvement,
pour bien laisser toute la place à la meute issue de ma prostatemes entrailles fondent, fondent, fondent, je maintiens la contraction,
je pousse de plus en plus fort dessus,
la puissance d’un bulldozer semble s’efforcer à essayer de me soulever,
tout mon bassin semble prêt à décoller comme une soucoupe volante,
tellement je pèse sur la contraction de toutes mes forces pour quelques longs instants,
cela déclenche un orgasme tout à fait charmant, un petit orage localisé,
je râle de plus belle,
les balancements de mes hanches, se sont arrêtés,
par contre j’effectue désormais des mouvements de va et vient frénétiquement, avec le bassin
tout en contractant rythmiquement,
c’est mon moment bûcheron tapant de toutes ses forces,
je garde les cuisses bien écartées pour qu’il n’y ait que des ondes prostatiques,
je plie graduellement les genoux,
fais toutes sortes de petits mouvements avec les muscles de la zone de l’anus,
tantôt comme rotatoires, tantôt comme si je déposais précautionneusement une cuillère emplie dans ma bouche,
je ne sais pas si l’image est très parlante mais c’est celle qui le vient immédiatement à l’espritc’est très effectif , tous ces petits mouvements très localisés
que je parviens à faire quand j’ai le bassin bien cambré, les cuisses écartées
et que je plie bien sur les genoux, je monte, je descend, je monte, je descends
magnifique moments orgiaques, splendide rut sans tabou, le yin déployé, à pleine puissance,
pamoison, le derrière en feu, comme enfilé frénétiquement,
je crie, je crie, beaucoup trop fort à présent,
il faut que je me calme, je vais rameuter tout l’étage - AuteurArticles
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