- Ce sujet contient 340 réponses, 10 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Jieffe, le il y a 6 années et 6 mois.
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19 mars 2018 à 13 h 08 min #26682Ch313Participant
La peur, voilà bien un sujet intéressant.
Si je reviens sur mon réveil ce matin,
Si j’avais été seul je me serrais laisser aller
Mais il peut y avoir eu peur de ma part.
Peur de la réveiller en premier, je suis soucieux de son sommeil. Étant en convalescence, elle passe des nuits difficiles.
Peur de lui faire mal. Je pourrais avoir des mouvements incontrôlés qui, si je la touchais, lui seraient particulièrement douloureux.
Peur qu’elle s’inquiète, qu’elle-même ai peur. Des tremblements, j’ai déjà eu quand j’ai eu une appendicite, c’était déjà impressionnant, elle a eu peur. Des instants de tétanie pourraient lui faire croire à une épilepsie. Il me paraît impossible de lui faire subir pareille épreuve.tu n’as pas peur d’être débordé par la facilité avec laquelle tu parviens à obtenir du plaisir,
tu n’as pas peur que cela devienne totalement incontrôlé?Oui, sûrement. Par exemple le soir, quand je me couche, je ne peux pas me laisser aller. J’ai pourtant beaucoup de sensations qui pourraient me lancer.
Les envies ne manquent pas mais comme elle est ‘no sexe’ , la situation est particulièrement difficile. Je contrôle mon endormissement.
Simplement en me promenant, je peux atteindre un niveau intense. Je l’ai déjà vécu (et raconté ici) à la limite de la perte de contrôle.
Autre situation : en voiture, attendant sur un parking que le linge soit lavé. Un peu de musique (choisie pour), et . . .
Pour l’instant, j’évite de me laisser aller. Je n’ai pas les conditions idéales.19 mars 2018 à 19 h 24 min #26685bzoParticipantun petit historique de ce qui s’est passé pour moi
qui explique les inquiétudes que j’exprimais dans mon message au-dessushier j’ai placé un message expliquant que j’arrêtais pour un temps le massage prostatique
mais que je ne voulais en aucune façon prendre le risque
de perdre cette capacité désormais instantanée de faire monter le féminin,
de ressentir par elle, de bouger par elle, etc,
donc que je continuerai de faire contractions et caresses un peu chaque jour,
histoire de ne pas perdre la main en quelque sorte,
de sentir qu’elle est bien là directement quand je la solliciteje m’y suis tout de suite mis,
fais une série de micro-séances de quelques minutes, voire quelques dizaines de secondes
et me suis vite rendu compte que j’avais toujours envie de plaisir prostatique en fait
mais juste plus envie pour l’instant de m’enfoncer un masseur dans le fondement,
donc que j’avais envie de continuer en mode “aneroless” pour un tempspourquoi cela alors que j’avais enfin atteint tous mes objectifs au-delà de toutes mes espérances,
des séances d’une stabilité remarquable, un plaisir à puissance maximale du début à la fin
et un renouvellement total des sensations jour après jour?
Difficile de rêver de mieux, j’avais atteint mes objectifs bien au-delà de toutes mes espérances
Pourquoi? Difficile à répondre,
peut-être simplement mon corps voulait me faire comprendre
qu’il était temps, que le moment était venu, d’ajouter une corde à mon arc prostatique
maintenant que l’autre était bien tendue et pouvait m’envoyer au septième ciel à volontécependant ce qui s’est passé hier soir,
c’est que vu la facilité de mettre en route des petites sessions de massage sans masseur,
j’ai commencé à tout bout de champ dans n’importe quelle situation, dans la cuisine, sous la douche,
devant l’ordinateur, partout et à tout moment, à faire des contractions et à me caresser,
j’usais et abusais de cette possibilité de mettre si facilement en route le plaisir prostatique sans masseur
et les choses ont progressé très rapidement, le plaisir s’est intensifié d’une façon remarquable,
j’ai pu commencer aussi à sentir nettement les différences entre le “sans masseur” et le “avec masseur”,
n’ayant pas les sensations provoquées directement par les contacts du masseur avec la prostate,
on ressent pleinement, totalement le féminin au travail, avec masseur je le sentais déjà à 100%
mais là c’est à 200% que je le sentais, c’était incroyable
et je n’arrêtais plus en fait,
je cuisais mes pâtes et en même temps je me caressais d’une main, appliquais des contractions,
bougeait langoureusement comme si je me baisais devant la cuisinière,
gémissais de plus en plus fort et de l’autre main, je touillais les pâtes dans leur casseroleplus tard, un moment donné je me suis demandé, est-ce qu’il n’y avait pas le risque de perdre le contrôle?
Qu’ à la moindre contraction des fesses à partir d’un moment, même au travail,
je commencerais à ressentir un plaisir difficilement dissimulable?
Et quand continuant,
comme l’intensité du plaisir progressait d’une façon tellement spectaculaire,
que je risquais de plus en plus d’avoir de moins en moins le contrôle?En effet avec le massage avec masseur, il y a une nette séparation entre le quotidien et ses séances,
il faut se mettre au lit, lubrifier le masseur, enfoncer celui-ci
alors qu’avec le “aneroless”, il n’y a pas cette nette séparation,
c’est un de ses grands avantages,c’est qu’il ne faut aucun matériel
et qu’on peut si on en a envie, pratiquer à peu près n’importe où et à peu près n’importe quandd’où mon dernier message avant celui que j’écris présentement
qui reflétait cette inquiétude de perdre le contrôle sur mon plaisir prostatique
et que celui se déclenche indépendamment de ma volonté,
ce serait gênant au possible
car je gémis facilement et fort et je sais que le plaisir se lit aussi très fort sur mon visagemais depuis je suis rassuré, j’ai été au travail
et j’ai bien vu que ce n’était pas le cas et ce ne sera jamais le cas, enfin je crois
car en fait,
ce n’est pas juste une question d’appliquer des contractions et de se caresser éventuellement,
j’ai essayé cela discrètement sur mon lieu de travail
et cela ne m’a fait aucun effet, il manquait, je l’ai bien senti quelque chose d’essentiel
pour que tout se mette instantanément en route,
ce qui manquait et ce que je fais à la maison presque inconsciemment,
maintenant je m’en rends compte
pour laisser monter le féminin et la laisser se mettre en action,
c’est me lâcher complètement, ouvrir intérieurement quelque part des tas de portes en grand,
des tas de verrous qui sautent en moi
un mécanisme que j’ai peaufiné au cours des mois,
qui lui permette de monter et de prendre les commandes
et donc juste faire quelques contractions sans ce “lâcher tout”,
ne met pas en route le plaisir prostatiqueje suis donc tout à fait rassuré, il y a aussi une séparation
qui permet de garder le contrôle20 mars 2018 à 1 h 10 min #26688bzoParticipantarf le chemin sera long, je me rends compte
même si j’obtiens des résultats intéressants d’ors et déjà sans masseur,
si je veux progresser sérieusement et tutoyer des hauteurs supérieures de jouissance,
je dois apprendre à me servir différemment des contractions,
jusqu’ici en fait, je réalise
que j’essaye uniquement de reproduire les mouvements de va et vient du masseur avecil faut que je diversifie, que je trouve un système
qui permette de faire vibrer la prostate différemment, plus varié,
au fond qui reproduit d’une certaine façon l’extrême variété des contacts
que je parviens à obtenir avec mon g-rider,
constamment des angles de pression différents, des mouvements frottés, en dérapage contrôlé,
des lents mouvements latéraux, des petits mouvements concentriques,
le g-rider, c’est comme si je le manipulais avec la main,
tellement je fais ce que je veux avec pour aller câliner ma prostate,
eh bien je dois parvenir au même genre de résultats mais rien qu’avec des contractions
et pas seulement un mouvement de va et vient doncdes contractions plus en douceur aussi
qui me permettront d’avoir des séances sur de plus longues durées,
je suis très vite fatigué avec la force que j’y mets actuellement,
malgré le plaisir très intense que je ressens,
je sens que je ne peux pas aller beaucoup plus loin de cette manière20 mars 2018 à 21 h 48 min #26697bzoParticipantallons bon, l’envie de me remettre au lit
et de m’enfoncer un masseur dans le fondement, est revenuece soir, j’ai envie de JOUIR, de JOUIR A NE PLUS EN FINIR!!
ça chatouille, ça chatouille, cela vient de la prostate,
c’est son doigt mutin, son doigt coquin, qui m’invite
semble me dire
“viens-là toi, laisse-moi prendre les choses en main, tu ne vas pas le regretter,
on va bien s’amuser, on va s’envoyer en l’air, tu vas voir, je vais t’en faire voir de toutes les couleurs,
toi juste enfonce-le après l’avoir bien lubrifié
et je me charge du reste”21 mars 2018 à 1 h 01 min #26700bzoParticipantah, pour avoir joui,
j’ai jouiil faut vraiment que je fasse une vidéo un de ces jours,
je ne vois vraiment plus comment je peux témoigner avec des mots
de ce que je vis durant une séance comme celle de ce soirque pourrais-je écrire,
c’était super O après super O,
quatre ou cinq en un peu plus d’une demie heure?
les images parleront d’elles-même,
il n’y aura plus besoin d’essayer de trouver des motsj’ai beaucoup utilisé ce soir des postures diverses sur le ventre,
je n’avais encore jamais fais comme cela,
je me mets sur le ventre donc, je relève un peu les fesses en cambrant bien les reins,
me caresse les flancs, la croupe, enfonce bien le masseur,
la sensation de se faire prendre par derrière est délicieuse,
je crie de plaisir
et puis des sensations tout à fait inédites au niveau de la prostate,
des angles nouveaux de frottement contre elle,
le premier super O est arrivé très rapidement et a duré plusieurs minutes,
tant que j’ai pu presser bien fort le masseur contre, cela continuaitaprès les autres ont enchaînés à intervalle rapide
orgasmes très violents, j’ai beaucoup hurlé,
ces super O m’ont beaucoup fait pensé à l’orgasme accompagnant l’éjaculation
mais dans tout le corps et pendant plusieurs minutes pour les plus longsces postures sur le ventre ont quelque chose de très animal,
de très tellurique,
je suis complètement exténuéje suis décidément un “masseur” guy
même si je continuerai tous les jours à me faire des micro-séances “aneroless”
mais l’écart est trop grand,
il n’y a plus de limites à ce que je peux obtenir avec mon G-Rider,
vraiment plus aucune,
on peut pas résister à cela,
il n’y a pas de raison de résister à cela
et à chercher autre choseje l’ai compris maintenant
cependant faire quelques jours de pause,
cela pourrait être bénéfique
car quatre ou cinq super O sur une séance d’à peine une heure,
je n’avais pas encore connu cela21 mars 2018 à 11 h 34 min #26702bzoParticipantcongé aujourd’hui, comme souvent les mercredis
j’ai la prostate qui me démange terriblement dans son nid
mais je résiste, je me réserve pour ce soir,
un minimum de discipline
sinon je vais finir par ne faire que cela du matin au soir quand je ne suis pas au travailmais j’en ai tellement envie,
j’ai encore la jouissance de la séance d’hier soir qui me coule vaguement dans mes veines
et cela crée un désir assez irrésistiblemais bon, un peu se retenir, un peu beaucoup, faire monter la pression,
je sens aussi que cela peut être bénéfique,
ce soir quand je vais lâcher les chevaux et les chiens et que la chasse à courre va commencer,
la meute affamée va se ruer dans les sous-bois ombrageux,
cela va être un délice de carnage tout en gémissements et râles plaintifs ce soir,
ça va saigner, suer, suinter, pisser même peut-être après,
l’urine chaude dégoulinant sur son ventre
à quelques encablures de ma prostate encore dans tous ses états
les yeux chavirés dans l’au-delà du plaisir,
ça va hurler à la mort lente22 mars 2018 à 18 h 35 min #26711bzoParticipantaujourd’hui au boulot en fin de journée,
j’ai osé quelque chose que je n’aurai pas osé il y a encore encore quelque tempsà savoir, autour de moi il y avait des collègues partout en train de discuter, de travailler
moi devant mon ordi dans ma bulle,
je me suis offert un peu de plaisir prostatique en tout discrétion,
quelques contractions appliquées tout en me laissant aller juste ce qu’il faut
pour les ressentir sexuellementles ondes de plaisir se sont répandues un peu dans mon bassin,
j’ai joué ainsi que quelques secondes
mais c’était déjà délicieux et riche en enseignements,
me suis rendu compte que je pouvais aussi me permettre,
dans certains limites bien sûr, en gardant constamment le contrôle,
ce genre de petit jeu coquin au bureaupour aller plus loin, il faudrait que je fasse entrer en action les mains,
pas forcément des caresses, des coups de griffe, des ongles enfoncés passionnément dans la peau
mais même à travers les vêtements, toucher passivement mon corps,
me serrer un bras avec la main ou presser le haut de la cuisse, un flanc,
j’ai besoin de faire participer mon corps au plaisir prostatique,
là les bonnes vibrations se répandent, ne sont plus confinées à mon bassin
aux alentours immédiats de la prostate
mais se diffusent vers l’endroit de mon corps touché,
durent plus longtemps, se décuplent si j’insiste de plus en plus23 mars 2018 à 1 h 11 min #26734bzoParticipantah le plaisir prostatique n’en finira pas de m’étonner…
soir après soir depuis quelque temps,
c’est toujours le même éblouissement, le même étonnement,
“comment est-ce possible, je n’avais pas encore vécu cela,
je n’avais pas encore ressenti cela,
ai-je déjà joui si fort, oui peut-être mais pas sûr du tout en fait”ah ces positions sur le ventre, jambes en ciseau, croisant, décroisant,
bougeant sans aucune inhibition le bassin, cambrant,
le torse et la tête redressés, un peu comme un sphinx,
une main serrant fort le sein, tour à tour le tordant, le caressant,
l’autre tenant une fesse, la pressant et la griffant avec insistance,
comme pour indiquer au masseur s’enfonçant toujours plus en avant,
son chemin vers cette fleur dans la chair qu’il vise, qu’il compte bien aller fouiller, ébouriffer.
“va par là, c’est cela enfonce-toi bien fort par là, pas de quartier, sois impitoyable,
il et elle vont te supplier mais sois sans pitié, infatigable, obstiné à la tâche,
fouille ces entrailles sans relâche, fais-le gémir, fais-le te supplier d’en finir, achève-le,
les murs sont épais, fais-le crier et encore crier jusqu’à ce qu’il crache son âme vers le plafond
comme un noyau dont on a nettoyé toute la chair juteuse autour”j’étais coincé comme un papillon affolé de désir par un bélier contre le plaisir,
tous les deux étaient si durs, c’était délicieux,c’était beau,
mes ailes n’arrêtaient pas de battre et en voyaient de toutes les couleursle premier super O est arrivé, accompagné par des rafales de soubresauts et de tremblements,
j’étais pris dans la gueule fumante d’une mitraillette,
du soleil liquide dans les veines, le cerveau comme un big-bang prêt à pondre enfin l’universmon pénis qui n’arrêtait pas de bouger contre le lit,
restait pourtant tout flasque et tout recroquevillé sans l’ombre d’un durcissement
malgré les innombrables frottements et pressions
mais le torrent prostatique était tellement impérieux, tellement sans partage
qu’il n’y avait pas de place pour ce sexe dans ces jeux-là24 mars 2018 à 1 h 43 min #26748bzoParticipantje vais désormais tester un rythme d’une séance tous les deux, trois jours
hier, comme mon message au-dessus en témoigne, ça a été mémorable,
deux super O, beaucoup , beaucoup de plaisir extraordinairement intense
mais je suis à peu près sûr à présent
qu’une séance pareille, cela vous met les piles à plat
et qu’il vaut mieux après au moins un ou deux jours de repos
pour pouvoir retrouver une intensité maximale
et des possibilités infinies de renouvellement du plaisir24 mars 2018 à 10 h 37 min #26749bzoParticipantquand nous éprouvons du plaisir prostatique, même fugacement,
nous nous connectons à des abysses en nous
dont nous ne soupçonnions pas l’existencec’est pour cela que c’est toujours bouleversant,
même si cela ne dure qu’une fraction de seconde,
c’est un plaisir qui est monté de ténèbres inconnus,
nous consumons du mystère,
nous nous fusionnons à des gouffres nouveaux25 mars 2018 à 11 h 08 min #26767bzoParticipantvoilà, ma prostate est gonflée à bloc après 3 jours
sans autre activité qu’un peu de contractions et de caresses ici et làj’adore ces micro-séances aneroless qui durent souvent moins d’une minute,
jamais plus de quelques,
quelques caresses langoureuses et quelques contractions,
rien à voir avec le déchaînement d’orgasmes d’une séance avec masseur bien sûr
mais tout de même des sensations bien agréables à vivre
et dans n’importe quelle situation, à n’importe quel momentc’est surtout cela, la possibilité d’avoir du plaisir prostatique,
n’importe quand, n’importe où, instantanément,
même si actuellement c’est avant tout chez moi que je me permets ces petits moments,
des petites bouchées, des amuse-gueule de plaisir prostatique,
c’est vif, ce sont des moments lumineux, c’est délicieux à consommer sur le pouceces micro-séances sont intégrées à mon quotidien quand je suis à la maison,
tout d’un coup j’ai une petite envie, je m’arrête de faire ce que je fais,
je cambre un peu les reins, j’écarte et tends un peu les fesses,
je me mets à me caresses langoureusement
et puis lentement j’applique quelques contractions,
en quelques instants je gémis, je suis parcouru de vibrations de plaisircette capacité que j’ai désormais à avoir quasi instantanément du plaisir prostatique,
c’est une manne, un bain de jouvence, une corne d’abondance,
la caverne d’Ali baba à portée de main,
à portée de musclespour en revenir au thème initial ce ce message,
donc ce matin au lit avant de me lever , je me suis offert quelques petites micro-séances
et j’ai senti que ma prostate était gonflée à bloc,
que les batteries étaient débordantes d’énergie,
ce soir il va y avoir fiesta avec tir de feu d’artifices, orchestre de mariachis,
on va danser sous le volcan en éruption25 mars 2018 à 18 h 43 min #26777JieffeParticipantBonjour bzo,
Je trouve enfin un moment pour écrire un peu par ici.
moi devant mon ordi dans ma bulle,
je me suis offert un peu de plaisir prostatique en tout discrétion,Tu te rends compte de la puissance de cette pratique. Pouvoir vivre un plaisir intense dans presque n’importe quelle situation, sans accessoire aucun, sans être obligé d’être dans une position particulière, sans aucun artifice… C’est énorme.
Je m’y suis un peu essayé également au boulot, mais je suis seul dans mon bureau, c’est tout de même plus facile. Je me souviens d’une fois, j’ai stoppé le processus, j’avais peur qu’il prenne trop d’ampleur, et je ne suis pas aussi avancé que toi, imagines.
Je n’ai pas refait de séance depuis les dernières décrites sur mon journal, mais il y a eu des soirs cette semaine, comme je l’ai décrit, pendant lesquels je ressentais naturellement du plaisir, pas un plaisir immense, mais du plaisir, et ce sans rien chercher. Alors mes muscles, PC je diras, se contractaient tout seul et venaient masser ma prostate délicieusement. Ça a été même assez intense, Mercredi soir.ce soir il va y avoir fiesta avec tir de feu d’artifices, orchestre de mariachis,
on va danser sous le volcan en éruptionExcellente soirée alors :).
Je pense que je vais essayer de venir te rejoindre dans les nimbes du plaisir, quelques strates au dessous 🙂27 mars 2018 à 0 h 20 min #26793bzoParticipantce soir, 45mn,
essentiellement des positions sur le ventre ou un peu sur le flanc
à égrener les mille et une façons de se faire prendre par derrièrevous vous imaginez coups de boutoir?
c’est vrai que j’aime venir presser fort la prostate, même très fort,
c’est vrai que mon g-rider il a une grosse tête insistante, fouineuse, têtue
mais c’est lent, très lent même, c’est précis, c’est systématique, c’est méticuleux,
c’est feutré, c’est sinueux, c’est frottant, c’est insinuant, c’est caressant,
c’est la chair qui fond en miel sur le passage du masseur,
c’est la prostate comme du beurre qui se laisse traverser rêveusementcoup de boutoir, oui mais directement derrière
en vibrations de plaisir après dans tout le bassin
cela remonte comme une fusée, le premier étage est largué à toute vitesse puis le second,
et cela explose déjà dans la poitrine, le tronc, la tête
et se disperse comme un parachute de lumière chaude, d’or fondant, derrière mes yeux,
dans mes gémissements, dans mes râlesaprès le plop du masseur extirpé de son antre,
je me suis encore fouillé un peu avec les doigts, assez frénétiquement
puis suis resté de longues minutes, immobile , repu,
flottant entre deux eaux, léger, léger, légerquelle plus agréable sensation que d’être au milieu de cette chair qui vient de tant jouir,
animalité heureuse,
âme alitée heureuse27 mars 2018 à 21 h 11 min #26806bzoParticipantaujourd’hui au boulot j’ai été plus loin,
je me suis offert toute une série de micro-séances,
enfin le terme micro-séance est sans doute excessif,
disons que je me suis offert quelques contractions
avec une main discrètement caressant
ou plutôt pressant en se déplaçant lentement mon flanc, ma poitrine à travers la chemise
ou la cuisse à travers le pantalonet cela fonctionnait, je sentais les ondes plaisantes se diffuser dans mon bassin,
un peu monter dans mon corps grâce à la main
paumes, doigts au contact de la chair, même à travers le tissu
qui attirent et attisent les vibrations émises par la prostate,
une fois qu’on est parvenu à bien établir une complicité, une coordination
entre ces différents musiciens du “big band prostate orchestra”je ne’insisterai jamais assez à quel point la main est importante dans le massage prostatique,
il éveille le corps, le fait participer pleinement au plaisir prostatique
en fait un acteur à part entière,
aussi bien en tant que réceptacle du plaisir, prolongeant le rayonnement de la prostate partout
et pas seulement au bassin
mais aussi en tant que générateur du plaisir, prenant le relais de la prostate ,
une extension active de celle-cipour en revenir au bureau,
il fallait bien sûr ne pas se laisser déborder par le plaisir,
quand je sentais que cela devenait trop intense,
que je risquai de gémir ou que le plaisir commençait à se refléter sur mon visage
et que ma voisine risquait de se rendre compte qu’il se passait quelque chose là,
je m’interrompais un peudes petits breaks, où au lieu de rêvasser ou de traîner sur internet,
au lieu je m’offrais un peu de plaisir prostatiqueje n’en suis qu’à mes débuts, je vais être de plus en plus habile à ce jeu-là
et m’en permettre de plus en plusà quand mon premier orgasme au bureau?
ha, ha sans doute jamais tout de même
mais sait-on jamais…28 mars 2018 à 0 h 33 min #26809bzoParticipantce soir
j’ai continué d’explorer les riches variations des positions par derrière,
sur le ventre donc ou à peu prèsaprès mon orgasme au premier contact avec le masseur,
cela faisait quelques jours que je ne l’avais plus eu, celui-là, curieusement,
une bonne minute de frémissements heureux, la tête comme emplie de champagne,
me suis retourné sur le ventre, écarté une jambe, replié un peu l’autre pour soulever les fesses
puis suis venu presser bien fort la prostatele pur plaisir animal de se sentir possédé,
de sentir comme un gigantesque pylône à haute tension dans le ventre, prolongeant le masseur
et à chaque nouvelle pression de celui-ci,
des décharges qui partent de tous les côtés,
c’est Noella main serre voluptueusement le sein, celui-ci palpite, frémit,
ils communient totalement avec le masseur se pressant dans sa niche,
ils ne forment plus qu’un, comme un arc de tension sexuelle s’est formé, les unifiant
je suis resté ainsi beaucoup figé ce soir dans des postures de jouissance,
bougeant peu, goûtant beaucoup
et quand la main se remettait à glisser sur la peau,
accompagné plus bas pour un mouvement délicat du masseur
pour ponctuer les frémissements déjà qui naissaient sur le passage des doigts,
je bougeais juste quelques instants avant de me figer à nouveau
pour pouvoir sentir pleinement la nouvelle figure de style
que la jouissance formait en moivivre intensément, minutes glorieuses
29 mars 2018 à 0 h 55 min #26815bzoParticipantah mes amis, ah mes amis,
quelle séance encore ce soir!
je me suis radieux, heureux, détendu suprêmement
d’avoir éprouvé tant de plaisirau stade où j’en suis arrivé, qui sans me vanter, est très très avancé,
ce qui m’étonne encore le plus,
c’est à quel point j’apprends des choses nouvelles chaque jour maintenant,
à quel point j’éprouve des nouvelles sensations chaque jour
à quel point en fait il m’est devenu facile d’apprendre chaque jour,
à quel point mes séances sont différentes et se renouvellent chaque soiraujourd’hui j’ai connu des degrés d’intensité que je n’avais pas encore vécus,
il y a un moment où j’ai eu comme un déclic
et à partir de là c’est devenu faramineux à chaque instant,
j’étais parvenu à un tel degré de relâchement, de spontaneité et d’écoute,
le résultat était monstrueuxpour être dans un relâchement absolu, il y a juste un petit secret derrière, en fait,
il faut en fait s’en foutre comme de l’an 40 d’être relâché,
de ne pas y penser un instant, n’y accorder aucune pensée
et vous serez toujours aussi relâché qu’il le faut,
toujours aussi complètement relâché que la situation le nécessitedébutants, n’accordez plus un kopeck d’attention à votre relâchement
et vous serez toujours aussi relâché que nécessaire, ni plus, ni moinscomment être entièrement à l’écoute de soi, totalement spontané?
là aussi, il suffit de ne pas s’écouter du tout, nada, rien, basta
vos pensées, vous pouvez les oublier, n’y apporter plus aucune importance,
de quelque ordre qu’elles soient,
n’essayez pas de les supprimer, d’en changer le cours ou de les écouter,
rien de tout cela, laissez-les juste flotter dans votre esprit,
elles s’en iront toutes seules
quand elles se rendront compte que vous ne leur accordez aucune importance
et contentez-vous de continuer de laisser votre corps faire ce qu’il veut,
vous avez les yeux ouverts? parfait! ils sont fermés?parfait!
vous ne bougez plus?parfait! vous vous débattez comme un forcené?parfait!
vous tambourinez sur votre prostate comme un bélier? parfait!
vous la chatouillez comme avec une plume?parfait!
laissez tout venir, laissez tout faire, oser tout, ne vous retenez pas,
ne pensez pas à ce que vous allez faire, faites simplement, faites, faites sans réfléchir!
faites ce que votre instinct et vos pulsions vont vous inciter à fairequ’est-ce qu’il veut faire votre corps?
il veut éprouver du plaisir, autant de plaisir que possible!
et pour en obtenir, vous devez le laisser faire ce qu’il veut,
il sait mieux que quiconque, vous y compris, ce qu’il faut faire pour en obtenir,
n’essayez pas d’être plus malin que lui, c’est peine perdue,
plus tard vous vous rendrez compte un jour tout le temps que vous avez perdu
à essayer de diriger la séance à sa place,
apprenez simplement à le laisser faire ce qu’il veut,
cela veut dire qu’il faut tout le laisser faire
vous , vous devez simplement être prêt à accepter de le suivre
partout où il va vous entraîner, à tout oser,
tous les gestes, tous les mouvements, toutes les audacesvous me voyez déjà venir si vous m’avez suivi un peu dans mon journal ou ailleurs,
car là où votre corps va vous entraîner, bien sûr,
c’est vers le féminin, le plaisir prostatique est féminin
dès lors la meilleure façon d’aller cueillir ce plaisir,
c’est de laisser le féminin monter en vous et prendre les rennes,
bon je ne vais pas continuer sur ce thème, je l’ai déjà suffisamment développérassurez-vous, cela m’a pris des mois,
il y a des chaînes et des rigidités de la masculinité à briser
pour acquérir toute la souplesse, la fluidité, la langueur, l’impudeur, la lascivité, qu’il faut
pour bouger comme la féminité au fond de vous, va vous commander de le faireà la fin de ma séance,après avoir sorti le masseur,
je me suis encore fouillé 5 bonnes minutes avec les doigts
tantôt frénétiquement, tantôt langoureusement, lentement,
je continuai à gémir et à jouir, même sans le masseur,
c’était mi-prostatique, mi-analaprès, sentant ma vessie bien pleine
et pris d’une soudaine inspiration, je me suis remis à bouger lascivement
et me caresser passionnément
puis j’ai laissé l’urine chaude monter, elle a accouru pour participer à la fête,
j’ai recommencé à jouir furieusement,
quel type d’orgasme, je ne sais pas très bien
mais c’était puissant et cela a bien duré 10 mnbon en fait je sais quel type d’orgasmes c’étaient,
ma prostate encore en état d’excitation maximale
et avec les mouvements de mon corps et les caresses,
le féminin a immédiatement repris les commandes,
le liquide jaune qui coulait sur mon ventre, mon entre-jambe, mes cuisses, ma poitrine,
parfois montant avec un jet plus puissant jusqu’à mon visage,
était ressenti comme une éjaculation qui n’en finissait pas,
je râlais et je gémissais sans discontinuité ,
des moments incroyables29 mars 2018 à 9 h 33 min #26817JieffeParticipantBonjour bzo,
C’est très très intéressant ce que tu écris. Cela me rappelle beaucoup la méditation, dans laquelle on observe nos pensées et ce qui peut se passer dans notre corps sans jugement, sans les combattre ni les favoriser, juste les observer. Ce que je comprends lorsque tu écris:
laissez-les juste flotter dans votre esprit
Je vais essayer c’est certain.
C’est d’autant plus intéressant que si je me rappelle bien, tu as fait du Yoga, que je connais mal, mais qui me semble être une forme de méditation dans le sens où on se concentre sur une partie de son corps. C’est peut-être en partie pour cette raison que tu as si vite et autant progressé.
En tout cas, je trouve ça génial. Merci encore pour ce partage.29 mars 2018 à 19 h 54 min #26831bzoParticipantsi j’ai réussi à passer un nouveau seuil hier soir,
l’intensité semblant encore être monté d’un cran,
si j’ai pu après écrire quelque chose comme cela:j’étais parvenu à un tel degré de relâchement, de spontanéité et d’écoute
c’est que véritablement, j’ai senti le déclic en moi,
que je suis parvenu à faire une nette séparation
entre, disons, un moi pensant, un moi agissant et un moi percevant, ressentant.Le premier donc, le moi pensant, ne venant plus du tout parasiter par moments, le moi agissant.
Celui-ci, je le décrirai ainsi:
un moi agissant ne servant plus que d’intermédiaire, de complice totalement dévoué et consentant
au féminin que j’ai laissé monter,
le moi agissant se soumettant le plus scrupuleusement possible
aux incitations, aux injonctions de ce féminin
pour que ce corps agisse, réagisse, ressente, éprouve du plaisir le plus possible
comme si c’était elle qui le mouvait, elle qui vivait dedans
et non pas moi, hommele moi pensant, c’est mon esprit, on ne peut pas lui demander d’arrêter de penser,
d’avoir des idées et de vouloir intervenir et interagir avec le moi agissant,
c’est ce qu’il fait toute la journée dans ma vie au quotidien
mais là au lit durant ma séance,
il s’agit le plus possible de ne pas en tenir compte,
idéalement il faudrait pouvoir l’éteindre complètement durant la séance,
ne resteraient plus que le moi agissant aux ordres du féminin
et un moi percevant, réceptacle à sensations et au plaisir prostatiquemais ce n’est pas possible d’éteindre ce moi pensant, dès lors il faut faire avec
et c’est ce que je suis parvenu à faire complètement hier soir,
il faut faire comme s’il n’était pas là, laisser les pensées aller et venir,
ne pas s’en préoccuper, de quelque ordre qu’elles soient
de façon à ce que le moi agissant ne soit pas détourné de sa mission,
à savoir servir le plus fidèlement possible le féminin durant la séancece moi pensant entre en concurrence alors uniquement avec le moi percevant, ressentant,
mais dès lors que le moi agissant, peut accomplir pleinement sa mission,
les sensations sont fortes, le plaisir d’une intensité ahurissante,
dès lors le moi percevant reprend facilement constamment le dessus sur le moi pensant,
il n’y a pas à intervenir là, cela se fait tout seul,
même si le moi pesant revient constamment à la charge
mais c’est normaldonc il suffit juste d’empêcher ce moi pensant d’interférer avec le moi agissant
et le reste se fait tout seul, une balance subtile s’établit,
dès lors la sensation de connexion et de communion avec le féminin est totale,
le plaisir prostatique qui monte, a une acuité sidérante,
l’impression de ressentir dans un corps de femme, magiqueje ne sais pas si c’est plus clair,
si c’est suffisamment compréhensible,
ces notions de moi pensant, moi agissant, moi percevant,
je ne suis pas sûr qu’elles soient vraiment pertinentes,
elles reflètent juste ce que je perçois durant ma séance30 mars 2018 à 0 h 47 min #26837bzoParticipantce soir j’étais vraiment très fatigué et la tête plein de soucis,
cependant je voulais me prouver que ma pratique était devenue suffisamment consistante
pour surpasser tous ces obstacles,
que comme toute activité riche, passionnante, prenante où on peut s’investir corps et âme,
elle a le pouvoir de nous libérer de nos tracas, de notre fardeau quotidien,
de tout ce qui nous alourdit l’âme et le corps, de nous épanouir envers et contre toutet bien m’en a pris
car quand après je me sentais tout léger, heureux, calme, en pleine forme,
la tête et le corps pleins d’émotions et de sensations fortesje voulais aussi voir si ce que j’avais vécu hier,
cette histoire de moi pensant versus moi agissant, n’était pas quelque chose
qui était sorti de mon imagination débordante
mais quelque chose que je pouvais reproduire et vérifier
et là aussi, j’ai été confortéla vérité est que notre intellect par moments,
n’arrête pas de nous envoyer toutes sortes de suggestions, d’idées,
“tiens, tu devrais faire ceci, tu devrais faire cela, bouger comme ci, bouger comme cela”,
“tiens pourquoi pas te mettre comme ceci, pourquoi pas te mettre comme cela”,
il faut apprendre à reconnaître toutes ces émanations de ce que j’appelle le moi pensant
et ne pas y faire attention, ils nous détournent de notre désir,
il faut apprendre à écouter son plaisir, son instinct et ses pulsions,
quitte au début à bouger maladroitement, n’importe commentessayez, ne réfléchissez plus à ce que vous allez faire,
agissez, bougez, caressez-vous, griffez-vous, faites bouger le masseur sans réfléchir,
si vous ne parvenez pas encore à suivre votre désir, votre plaisir,
faites-le n’importe comment mais surtout ne réfléchissez pas à ce que vous allez faire!Vous allez être étonné comme rapidement vous obtiendrez des résultats,
bien sûr vous allez de plus en plus être confronté à la féminité du plaisir prostatique,
et tout ce que cette féminité va suggérer à votre corps de faire
pour accroître vos sensations, votre jouissance,
ce sera à vous de faire sauter les verrous et d’accepter de jouer le jeu,
de lui laisser de plus en plus prendre les commandes
si vous voulez aller plus loinil n’y a pas de limites au plaisir possible, à son intensité, à sa variété, à sa richesse,
à vous de vous libérer
et de mériter votre jouissance et jusqu’où vous désirez qu’elle vous entraîne30 mars 2018 à 8 h 26 min #26839JieffeParticipantBonjour bzo,
Ça me parle grandement ce que tu écris. J’ai trouvé cette page qui t’éclairera peut-être.
Je n’ai pas le temps maintenant, mais je reviendrais sur ce que tu écris.30 mars 2018 à 8 h 35 min #26840bzoParticipantj’ai jeté un coup d’oeil à ton lien
reptilien siège de l’instinct de survie, le limbique siège des émotions et le néocortex siège de la logique.
étonnant, c’est en effet cela, j
e vais lire plus attentivement ce qu’ils écrivent ce week-end,
cela semble bien correspondre à ce que j’ai ressenti avec beaucoup d’acuité
durant ma séance avec mes “trois moi”.cela m’intéresse beaucoup, je vais étudier cela,
cela pourrait m’aider à mettre des mots et à comprendre
ce que j’ai percu durant ma séanceil faut se laisser conduire par son cerveau reptilien,
cela sonne pas mal,
je vais chauffer google ce week-end de Paques,
cela m’intéresse fortement ton histoire30 mars 2018 à 13 h 45 min #26843JieffeParticipantoui, c’est intéressant, et on y apprend entre autres, sans rien te dévoiler, que c’est ce cerveau reptilien, que tu as appelé ton moi agissant, qui gère la sexualité. Etonnant n’est il pas???
« tiens, tu devrais faire ceci, tu devrais faire cela, bouger comme ci, bouger comme cela »,
« tiens pourquoi pas te mettre comme ceci, pourquoi pas te mettre comme cela »,Souvent, et c’est ce que tu écris, lorsque je suis ses pensées, le plaisir s’en va. Cela détourne mon attention des sensations, nécessaire en particulier aux débutants.
Mais attention, parce que nous allons perdre du monde, il ne faut pas perdre de vue queil faut apprendre à reconnaître toutes ces émanations de ce que j’appelle le moi pensant
et que
il faut apprendre à écouter son plaisir, son instinct et ses pulsions,
Et oui, il faut bien faire la distinction entre les pensées et les désirs, parce que sinon, plus personne ne va oser bouger. Il faut que les mouvements, caresses…etc soient instinctifs, et non réfléchis ni commandés par l’esprit de raison.
Tu l’écris, mais c’est très important de le souligner à mon sens.
Je pense que ma séance d’hier soir illustre assez bien ce que tu écris, à mon petit niveau bien sûr. Pour résumer, j’ai commencé en me posant plein de question alors que mon objectif était de suivre les conseils que tu décris dans ton message. Et ce n’est que lorsque j’ai abandonné, parce que je ne ressentais finalement pas grand chose, que tout est arrivé. Je me suis simplement orienté sur une séance relaxation/ bien être, avec le masseur que j’avais inséré, en pratiquant tout de même quelques contractions très légères. Mais à ce moment là je n’attendais plus grand chose de la séance.
Je suis bien conscient que je n’en suis pas où tu en es, mais je pense que c’est un début.
En tout cas, je vais explorer cette piste, elle me plait!!! 🙂30 mars 2018 à 19 h 07 min #26847bzoParticipantmerci encore pour ce article concernant le cerveau reptilien,
je ne connaissais pas du tout,
c’est tout à fait étonnant que durant mes séances,
j’ai plus ou moins”redécouvert” ces trois cerveaux
en leur donnant les noms de moi agissant, moi ressentant, moi pensant.
tout à fait passionnant et cela me conforte fortement dans mes expérimentations, mes découvertesj’ai déjà un peu étudié tout cela au boulot
mais durant ce week-end pascal, je vais approfondir le sujet,
tu penses bien que cela m’intéresse au plus haut pointdonc en synthétisant et reformulant,
il faut privilégier le cerveau reptilien durant la séance pour nous mener,
il faut aussi reprogrammer celui-ci pour se mettre au service entièrement du féminin en nous,
je vois et je ressens ce féminin comme une espèce
de mystérieuse, de providentielle nappe phréatique au fond de nous,
elle est là pour nous permettre de croître, de mûrir, de nous épanouir
et aussi pour accéder à un plaisir infinile cerveau pensant va sans cesse vouloir interférer avec ce que l’on fait,
c’est son job mais ici, il faudrait pouvoir l’éteindre,
comme cela n’est pas possible,
il faut apprendre à ne pas faire attention à tout son verbiage,
pas essayer de refouler ses pensées car c’est lui accorder de l’attention
et le lien avec le cerveau reptilien est immédiatement rompu,
non juste laisser les pensées aller et venir comme si de rien n’était
et ne leur payer aucune attention,, ne les prendre en compte en aucune façon,
même si parfois c’est tentant de les suivre,
forcément on est des êtres pensants
et il est normal de vouloir suivre les directives de notre intellect
mais justement durant la séance, il faut apprendre à faire tout le contraireEt oui, il faut bien faire la distinction entre les pensées et les désirs, parce que sinon, plus personne ne va oser bouger. Il faut que les mouvements, caresses…etc soient instinctifs, et non réfléchis ni commandés par l’esprit de raison.
la différence en fait est assez facile à faire, tout ce qui est clairement formulé,
“tiens, je devrais me mettre comme cela ou comme ceci”
ou encore “je devrais essayer de bouger le masseur comme ceci ou comme cela”,
eh bien c’est notre moi pensantle cerveau reptilien, c’est instinctif, c’est de la pulsion,
c’est non réfléchi, en aucune façon c’est réfléchi,
cela peut sembler déconcertant au début
mais c’est juste une question d’apprendre à écouter son désir, son plaisir
et plus précisément son désir et son plaisir fémininc’est pour cela que j’ai écris au-dessus,
qu’à présent au stade où j’en suis arrivé
et au vu de ce que je vis désormais durant mes séances
et mes découvertes par rapport au rôle du cerveau reptilien
et la façon dont je m’en sers exclusivement pour conduire mes séances,
je conseillerai aux débutants plutôt de bouger et de se caresser n’importe comment,
de manipuler le masseur maladroitement, sans préméditation
plutôt que de réfléchir leurs gestes, leurs caresses, les déplacements du masseurleur instinct, leurs pulsions vont vite venir à leur rescousse, à leur rencontre
parce que la place sera là, prête pour eux, pour qu’ils prennent les choses en main,
tandis que s’ils réfléchissent leurs actions,
ben ils n’y aura quasiment aucune place pour créer le lien avec le cerveau reptilien,
à laisser celui-ci prendre la direction des opérations30 mars 2018 à 22 h 26 min #26851bzoParticipantje voulais encore ajouter par rapport à cette spontanéité que je prône,
de faire tous les gestes, les mouvements, les caresses sans réfléchir,
se laisser guider par son instinct, par son cerveau reptilientout cela peut paraître compliqué, quoi faire, comment faire? Je suis perdu,
et pourtant cela ne l’est pas, c’est tout le contraire en fait,
c’est tellement plus simpleje vais prendre la comparaison de l’amour à deux,
au début quand vous débutez, vous êtes maladroit, vous ne savez pas comment caresser votre compagne,
quelles gestes faire, comment pratiquer, quelles postures prendre
mais avec un peu de pratique, tout devient naturel, fluide, spontané
et vous ne pensez plus aux gestes que vous faites, à la façon d’utiliser votre pénis,
comment lécher, quoi embrasser,
vous suivez votre désir, votre plaisir, vos instincts, vos pulsions
avec un minimum de technique acquis
et qui s’améliore et se diversifie en pratiquanteh bien c’est la façon dont je pratique, exactement cela, exactement la même chose,
il faut pratiquer de la même façon,
des différences fondamentales bien sûr,
c’est vous allez être en même temps la femme et l’homme dans cette histoiredonc, soyez maladroit, empressé, volontaire, embarrassé,
pas de problème vous en êtes à vos débuts
mais essayez de faire l’amour, de vous faire l’amour,
bougez, soyez passionné, faites travailler votre imagination
et ne restez surtout pas couché comme un piquet à réfléchir quel geste faire,
comment déplacer le masseur, etcn’essayez pas d’analyser durant, réservez tout cela pour après,
faites un bilan post-séance, disséquer tant que vous voulez,
cela vous servira peut-être ou pas…
mais pendant il faut y aller avec tout votre cœur, toute votre fougue,
toute votre âme,
sans rien retenir et tout oser
et puis peu à peu vous allez apprendre à écouter votre plaisir, votre instinct,
à laisser le cerveau reptilien manoeuvrer
et à faire monter le plaisir féminin31 mars 2018 à 1 h 59 min #26852bzoParticipantpour toi, j’ai fait particulièrement attention ce soir,
enfin en tout cas dans la première partie de ma séance,
comment distinguer, comment faire la différence
entre les signaux, les indications de notre cerveau reptilien
et puis ceux de notre moi pensant, de notre intellect,
ceux du néo-cortex comme ils l’appelent dans ton articleben en fait, c’est tout simple,
tout ce qui vient dans notre tête comme indications,suggestions,
fais ceci, fais cela, je dis bien absolument tout,
cela vient de notre moi pensant et sont donc à négliger, à ne pas suivrele fait est que le cerveau reptilien n’envoie aucune indication, jamais,
il se loge tout entièrement dans notre spontanéité,
dans nos gestes, nos mouvements, nos caresses, notre maniement du masseur,
sans réfléchir, sans aucune préméditationalors @Jieffe, jette-toi à l’eau,
le moment est parfait, tu commences à éprouver de sérieux orgasmes, tu es bien lancé désormais,
il est temps de te jeter dans l’eau profonde
là où il y a les sensations fortes et les abysses,
là où l’océan est soudainement à notre portéecomme je l’écris plus haut, ne craint pas d’être maladroit, de te sentir un peu ridicule
à vouloir essayer d’imiter les gestes de l’amour tout seul,
tu seras récompenséla fluidité de l’action viendra avec l’instinct se renforcant
qui s’exprimera de plus en plus dans tes mouvements, tes gestes, tes caresses
et ton maniement du masseur,
tu improvisant de plus en plus expertementdes extases animales par moments,
je me sentais comme écartelé sur l’autel du plaisir par mon masseur,
c’était délicieusement bestial,
toujours les positions par derrière la plupart du temps,
c’est fou comme cela me plait pour l’instant,
à chaque lente pression comme un bélier enragé qui viendrait pousser avec entêtement de toutes ses forces,
c’est comme si un gong se mettait à vibrer en moi, c’est d’une intensité à vous couper le souffle,
assez primaire mais irrésistiblemais le meilleur était encore à venir
le masseur sorti, j’ai continué aneroless,
en effet depuis hier il m’avait enfin semble trouver, à force de micro-séances
une manière de faire des contractions qui n’étaient juste une tentative grossière d’imiter un masseur
qui certes m’apportaient quelques sensations fortes
mais je sentais bien , que j’atteignais vite les limites du système,
surtout que c’était extrêmement fatiguant et je ne pouvais pas continuer de plus de quelques minuteshier j’ai enfin trouvé une façon spécifique et consistance de faire des contractions sans masseur,
je vais essayer de décrire le mouvement,
cela part des fesses, je tends les fesses, une sorte de mouvement de tractions
qui fait se soulever le plancher pelvien, mouvement renforcé et conduit par les muscles autour de l’anus, le périnéerésultat, un mouvement qui peut se reproduire sur de beaucoup plus longs délais
puisque là j’ai eu une séance de près d’une heure,
il a été intégré instantanément dans le reste de mon système,
à savoir laisser le féminin et mon cerveau reptilien mener le bal,
ce mouvement puissant, faisait vibrer la prostate, la massant dans tous les sens,
je le sentais bien au plaisir ressenti
et procurant aussi une très puissante sensation de pénétrationpour la première fois j’ai eu un très gros orgasme sans masseur,
une trentaine de secondes, je mordais les draps pour ne pas hurler trop fort
et des larmes me montaient aux yeux tellement la jouissance était fortesi j’avais déjà entrevu les potentialités du aneroless,
là pur la première fois je l’ai vécu
et je dois admettre que oui c’est probablement encore plus puissant
que le massage prostatique avec masseurne fusse que le fait qu’on est entièrement libre de ses mouvements,
que la féminité aux commandes chez moi
est libre de bouger comme elle, c’est assez incroable et tout à fait nouveau
parce qu’avec le masseur , on est quand même limité dans ses mouvements,
le masseur impose certaines limitations, on peut pas bouger comme on veut,
par exemple si je décolle mon cul du lit, les mouvements du masseur deviennent de moins en mois efficacealors que là, aneroless, je pouvais vraiment me mettre comme je voulais,
décoller complètement mon cul, les reins cambrés, une main serrant une fesse
et l’autre pressant un sein,
la tête enfoncé dans l’oreiller,
je pouvais appliquer une lente contraction qui me faisait jouir divinementbref je viens enfin de faire une percée significative dans l’aneroless aussi,
je vais alterner mes séances,
j’en suis pas encore à vouloir abandonner mon masseur, loin de là,
d’ailleurs cela m’étonnerait que cela arrive jamais,
d’abord je suis encore loin des super O que j’arrive à avoir avec,
des états de transe extatique ou animale qui perdurent de longues minutes
et puis le masseur en lui-même, ce sont des tas de bonnes sensations assez uniques
que sa présence physique, son contact avec la prostate,
ses frottements dans le fondement, le va et vient de son silicone duveteux, ses cognements, apportent31 mars 2018 à 11 h 41 min #26856JieffeParticipantBonjour bzo, et merci pour l’attention particulière que tu me montres. J’apprécie.
Tu définis ici
la différence en fait est assez facile à faire, tout ce qui est clairement formulé,
« tiens, je devrais me mettre comme cela ou comme ceci »
ou encore « je devrais essayer de bouger le masseur comme ceci ou comme cela »,
eh bien c’est notre moi pensantde façon assez claire à mon sens la différence entre les deux que tu redéfinis ici:
tout ce qui vient dans notre tête comme indications,suggestions,
fais ceci, fais cela, je dis bien absolument tout,
cela vient de notre moi pensant et sont donc à négliger, à ne pas suivrele fait est que le cerveau reptilien n’envoie aucune indication, jamais,
J’ai repris l’article, et si je comprends bien, voici comment cela se passe. Toutes les informations qui nous arrivent sont avant tout traitées par notre cerveau reptilien, siège des réflexes, de la gestion de l’urgence et des dangers. S’il n’y a pas d’urgences, cette information est transmise au cerveau limbique, siège des émotions. Il compare cette information avec ce qu’il a connu dans le passé et détermine si elle est agréable ou désagréable, puis la transmets au cerveau neocortex qui l’analyse.
Les informations peuvent être bloquées à un étage ou à un autre, mais elles suivent obligatoirement ce chemin dans cet ordre
Tout cela est bien entendu très schématique et simplifié, je ne suis pas neurologue.
Il faudrait alors pouvoir bloquer les actions au premier niveau, mais comment s’y prendre? Certainement comme tu le dis. C’est une piste que je vais m’empresser d’explorer, mais ça ne va pas être facile. Nous mettons des années à mettre en sourdine notre cerveau reptilien pour laisser la place à des actions réfléchies (donc dernier étage du traitement de l’information) et aujourd’hui il faudrait revenir en arrière… Pas simple.
Mais je vais m’y attacher sérieusement, c’est certain, parce que je suis tout à fait d’accord avec ce que tu écris dans tes derniers messages. Le sexe doit rester instinctif, en grande partie en tout cas. Et d’ailleurs, dans l’article que je t’ai transmis, il est écrit que c’est le cerveau reptilien qui gère la sexualité. Je vais suivre tes pistes pour tenter d’y parvenir.
En fait, il existe trois types de personnalité, et nous en connaissons tous. Les reptiliens, qui laissent plus de place à leur cerveau reptilien, les limbiques qui sont plus dans les émotions et les ressentis, et les cérébraux qui sont plus dans l’analyse et la réflexion. Malheureusement pour nous, je pense que la grande majorité d’entre nous fait partie de la dernière catégorie, et c’est ce qui nous a emmené sur ce site et à faire ces découvertes. Quoi qu’il en soit, je me définis clairement dans cette catégorie. Il nous faut alors apprendre à mettre cette partie de notre cerveau en sourdine pour laisser la place à notre cerveau animal.
C’est très certainement ce que veut dire le traité d’aneros en parlant de faire le vide dans sa tête, mais faire le vide et ne penser à rien est impossible. En revanche, ce que tu dis, ne pas y prêter attention et surtout ne pas les combattre est la meilleure façon. Enfin à mon sens.
Bref, merci encore bzo pour toutes ces indications. Je peux t’assurer que je vais dès aujourd’hui orienté ma pratique dans cette direction, et très certainement essayé au quotidien de laisser un peu plus de place à mon cerveau crocodile pour l’entrainer à s’exprimer.
Cette voie me plaît bien 🙂31 mars 2018 à 11 h 47 min #26857bzoParticipantIl faudrait alors pouvoir bloquer les actions au premier niveau, mais comment s’y prendre? Certainement comme tu le dis. C’est une piste que je vais m’empresser d’explorer, mais ça ne va pas être facile.
c’est beaucoup plus facile que tu le crois,
simplement ne réfléchis pas, n’écoute les consignes et les signaux,
agis, bouge, caresse-toi spontanément, laisse-toi aller, lâche-tout, sans préméditer tes actions
l’instinct, ton cerveau reptilien et le féminin te guideront peu à peu31 mars 2018 à 15 h 43 min #26859bzoParticipantj’ai été trop loin, je me rends compte, je m’en excuse @Jieffe
je ne veux pas imposer mes vues et ma façon de faire sur toi,
prends ton temps d’explorer ta sexualité prostatique maintenant bien en route,
prends ce qui t’intéresse dans mes divagations
et ne tiens pas compte que dans un excès d’enthousiasme,
je suis peut-être un peu trop affirmatif et envahissant1 avril 2018 à 10 h 47 min #26862JieffeParticipantPas de problème bzo, je ne l’ai pas pris comme un ordre.
Et j’aime de toute façon cet enthousiasme que tu montres, libre à moi ensuite d’appliquer ou non.
Et c’est une piste qui me plait vraiment, que je vais suivre. J’ai commencé d’ailleurs hier soir, je vais la décrire dans mon journal.1 avril 2018 à 22 h 54 min #26868bzoParticipantj’y parviens de mieux en mieux aneroless
là je réussis encore à affiner mes contractions,
je crois que j’ai saisi la manière qui me convient,
je parviens à avoir des effets délicieux, puissants, sans effort
et peut les répétant à l’enviassocier à des caresses, le plaisir est immédiat,
j’agrippe mes seins, les presse, les malaxe, cambre les reins,
laisse aller la tête vers l’arrière en fermant les yeux
et entame une contraction au creux de mes reins
que je fais remonter lentement jusqu’à ma prostate,
je la maintiens jusqu’à commencer à sentir vibrer celle-ci,
elles se répandent rapidement à tout mon corps,
je gémis de plus en plus fort, mon bassin se met à bouger rythmiquement
comme si une houle allait et venait entre mes flancsla sensation du féminin aux commandes, aneroless,
est encore plus forte qu’avec masseur, c’est incroyable,
c’est du que les mouvements sont totalement libres,
aucune des contraintes du au masseur,
comme je l’ai écrit un peu plus haut,
on est quand même limité dans ses mouvements et dans ses postures
à cause du masseur, pour que celui-ci reste efficace dans ses mouvements,
alors qu’aneroless, on peut vraiment bouger comme on veut,
le féminin peut s’exprimer encore plus pleinement et fortementla séance de toute à l’heure, je vais commencer vers minuit, ce sera ma séance de minuit,
ce sera fity-fifty, moitié avec masseur, moitié sans
avec un peu de chipotage avec les doigts entre,
j’aime cela aussi désormais, j’en fais toujours quelques minutes en fin de séance
ou comme la dernière fois en interlude entre la première partie avec masseur et la seconde, anerolessquand j’ai plein de lubrifiant dans le fondement et que je suis bien excité,
j’ai remarqué qu’il y avait moyen d’aller chercher la prostate avec les doigts aussi
et que j’arrivais à des sensations tout à fait intéressantes, différentes -
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