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Jieffe, le il y a 5 années et 5 mois.
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- 7 décembre 2017 à 9 h 47 min #24783
Jieffe
ParticipantToi aussi tu as en toi dans ta chair
quelque chose qui est prêt à prendre possession de toiEst ce que je pourrais traduire cette phrase comme ceci, d’une certaine façon?
Faire confiance au corps et à l’esprit et les laisser nous guider dans notre pratique. Agir sans pourquoi et surtout ne pas interférer dans ce pilotage automatique.
7 décembre 2017 à 21 h 59 min #24791bzo
ParticipantIl n’empêche que je suis un peu déçu aujourd’hui, je ne comprends pas pourquoi j’ai pu ressentir du plaisir la première fois, et que je ne parviens pas à ressentir aujourd’hui au moins une fois dans la séance un plaisir au moins égal.
tout d’abord la très grande majorité des hommes, avec la patience et la persévérance nécessaires,
arriveront à des résultats plus que satisfaisants
mais le chemin peut être plus ou moins long, semé d’embûches , de frustrations,
de reculade au lieu d’avancée, d’arrêt des progrès plus ou moins longtemps, etc.Il faut bien comprendre que malgré l’extraordinaire intensité du plaisir qui peut se produire durant les séances,
des nombres incalculables d’orgasmes, le chemin pour y arriver reste et restera toujours tenu
même pour des gens avec beaucoup d’expérience, c’est une voie étroite et il est facile de la perdre, il est facile de s’en égarer.
Le plaisir prostatique peut être qualifié de colosse aux pieds d’argile
à cause de ces caractéristiques que je viens de décrire,
un jour on va ressentir des orgasmes à la pelle, certains de plusieurs minutes
et quelques jours après c’est comme si on avait entamé la traversée d’un désert,
toute source de plaisir semble s’être tarie, heureusement cela ne dure généralement pas longtemps.J’ai par exemple identifié dernièrement qu’après un jour
où j’avais une séance particulièrement longue et fructueuse en orgasmes,
le lendemain il valait mieux m’abstenir pour laisser les batteries se rechargerdurant la séance aussi, c’est comme la captation d’une émission de radio en ondes courtes,
parfois on perd le contact, l’émission devient inaudible,
cela m’arrive régulièrement, heureusement cela ne dure que quelques instants,
souvent juste une seconde ou deux, ce genre de coupures sont normales, notre concentration n’est pas infaillible,
on peut pendant quelques instants penser à autre chose
et cela provoque ce genre de perte de contact avec nos sensations prostatiques,
le remède? faire comme si de rien n’était et continuer sans se troubler, s’en affoler,
on va reprendre contact avec ses sensations rapidement, elles vont à nouveau “être ressenties réellement”,
c’est un peu comme si on pédalait pendant quelques instants à vide, l’important c’est de ne pas se troubler
et de chercher à faire quelque chose de spécial pour y remédier qui nous déstabilisele plaisir prostatique est avant tout une construction mentale
et elle dépend beaucoup de notre disposition d’esprit.
Le fameux relâchement, pour moi ce n’est pas quelque chose de physique,
si on essaie de se relaxer physiquement trop,comme je l’ai déjà écrit,
cela nuit aux “bonnes tensions”, les tensions sexuelles.
Non, le relâchement c’est un processus mental,
c’est se laisser aller dans sa tête, faire plus ou moins le vide, ne pas avoir d’attente,
le plaisir prostatique peut devenir une diva capricieuse
si on la désire trop ou si on attend ceci ou cela,
la plupart des gens rêvent secrètement du super O durant leur séance et pour cela n’en connaîtront jamais
mais s’ils oublient même qu’il existe, le fameux super O, un jour il viendra à eux
et ce sera comme une ogive nucléaire de plaisir les éparpillant aux quatre coins de l’univers
pendant 30 secondes, une minute, deux minutes.Pour le reste, moi très rapidement, après les quelques premiers jours,
j’ai compris que l’attitude statique durant une séance n’était pas pour moi,
qu’il fallait que je bouge, qu’il fallait que je me fasse l’amour,
c’était maladroit au début, plutôt brutal, sans grande nuances
mais je me sentais plus sur ma voie
que si j’étais resté statiquement couché sur le dos ou sur le flanc
avec juste le masseur et quelques muscles aux alentours bougeant,
de cette façon, je ne comprends pas comment on peut arriver à la sensation de se faire l’amour,
il manque une dynamique amoureuse, c’est trop mécanique,
il n’y a pas assez d’emballement, l’instinct n’y a beaucoup d’espace pour s’exprimer
je crois vraiment que c’est deux conceptions différentes de la pratique,
j’ai choisi la mienne8 décembre 2017 à 8 h 44 min #24794bzo
ParticipantPour le reste, moi très rapidement, après les quelques premiers jours,
j’ai compris que l’attitude statique durant une séance n’était pas pour moibon j’ai un peu fouillé ma mémoire et par honnêteté, je me dois de rectifier ce que j’ai écris,
cela a pris tout de même quelques semaines durant lesquelles
comme tout le monde je restai longtemps dans la même position, assez statique donc.Mais ma pratique n’avançait plus, plafonnait, c’est comme cela peu à peu
que je suis passé d’une attitude statique durant la séance à une attitude de plus en plus active,
développant peu à peu une dynamique de lutte amoureuse
qui reflète assez bien le sexe à deux, en tout cas dans le ressenti8 décembre 2017 à 10 h 19 min #24795Jieffe
ParticipantBonjour et merci bzo pour ce message que je prends pour un message de réconfort et de soutien. Il me donne la confiance qui aurait tendance à me quitter. Je vais persévérer, il n’y a aucune raison que je ne sente plus de plaisir alors que j’en ai ressenti assez rapidement. En fait, je ne suis pas complètement découragé au 6 ème sous-sol, j’ai juste un peu d’incompréhension de ne pas ressentir au moins ce que j’ai déjà ressenti, alors que j’entame mes séances sans vraiment attendre quoi que ce soit… Paradoxal, mais ça veut dire que secrètement j’attends tout de même quelque chose.
des nombres incalculables d’orgasmes, le chemin pour y arriver reste et restera toujours tenu
même pour des gens avec beaucoup d’expérience, c’est une voie étroite et il est facile de la perdre, il est facile de s’en égarer.Oui, j’en ai bien l’impression. On ne trouve pas forcément le chemin à chaque fois…
Merci encore bzo.
9 décembre 2017 à 2 h 09 min #24850bzo
Participantcela fait maintenant trois jours que je n’ai plus pratiqué,
que je me suis pas mis au lit, en tout cas pour communier avec ma prostate (un peu pédant ça comme expression…)“pas encore le moment…”
il y a une petite voix en moi qui semble me murmurer:
“pas tout de suite, attends encore, cela en vaut la peine, pas encore le moment…”,
je vais voir si cela en vaut la peine de commencer à écouter en soi des semblants de voix
ou si c’est juste mon imagination qui me joue des tourspour passer du coq à l’âne,
il n’est pas question seulement de plaisir, d’orgasme, de jouissance dans notre parcours,
oh c’est bien sûr prioritaire, notre corps est insatiable et nous avec donc,
c’est une cave secrète, une grotte aux trésors que nous avons découverte,
et elle semble ne pas se désemplir malgré que nos fréquentes razzias en son sein
mais je me plais à croire au plus j’avance dans ma progression
qu’il y a aussi d’autres choses, beaucoup d’autres choses en jeu,
certaines frontières ont bougées en moi, je veux dire par là
que ces barrières que j’ai levées une à une pour arriver au résultat qui est le mien aujourd’hui,
me font jeter un regard différent sur pas mal de choses,
je suis en train de changer, le plaisir épanouit, le plaisir ouvre l’esprit, le plaisir fait sourire,
on sent la vie couler dans nos veines, le plaisir rend calme, le plaisir rend apaisé,
on se sent bien avec ce petit secret en soi,
cette flamme susceptible d’être allumé à tout moment au creux des reins10 décembre 2017 à 0 h 58 min #24869bzo
Participant“alors c’était comment la séance du samedi soir?
raconte-nous, tonton”bon, les enfants, le pitch, vous le connaissez, je n’ai pas besoin de vous le raconter,
ni de vous présenter les acteurs, ce sont toujours les mêmes,
par contre comme toujours dans le scénario et dans les dialogues,
il y a eu des tas de variations qui font qu’on ne s’ennuie jamais,
comme dirait le bon vieux Héraclite:”on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve.”je me suis mis un peu sur le flanc, bien en appui sur les coudes,
soulevé une jambe tout en cambrant mes reins,commencé à me caresser lentement le flanc, un sein,
fermant les yeux, m’abandonnant de plus en plus
et approchant de mes fesses maintenant bien écartées, le masseur,
je me sentais comme une courtisane allongée lascivement, impudiquement sur un canapé, sur le point d’être prise,
je laisse le masseur un peu jouer à l’entrée,
comme un patineur, il effectue quelques figures sur mon anus lubrifié,
puis je l’enfonce, quelques millimètres progressivement puis de plus en plus vite,
j’aime débuter ma séance avec cette sensation du masseur entrant dans ma chair sans ménagementj’attends toujours avec gourmandise et avidité le premier contact du masseur avec ma prostate,
ce sont comme deux vieilles relations qui se retrouvent
qui se serrent l’un contre l’autre chaleureusement,
se murmurant tout pleins de choses mystérieuses à l’oreille l’un de l’autreCe soir le masseur n’avait pas encore atteint ma prostate
que je sentais déjà que j’étais prêt à exploser
et quand le contact a été effectif, l’orgasme est immédiatement arrivé,
accompagné d’un râle guttural, rauque comme montant directement de mes entrailles,
j’ai des soubresauts, je me tortille, la tempête est là, majestueuse,
plus rien ne tient en place, tout bouge, tout est secoué, tout vole,
le vent et les vagues déchaînées sont partout,
j’essaie de maintenir tant bien que mal la pression du mufle en silicone sur ma prostate,
l’orgasme dure, dure, dure, je continue de me tortiller comme un ver de terre pris à l’hameçon du plaisirça a duré plus ou moins un quart d’heure, pratiquement sans discontinuité
après ces 15 minutes, j’étais complètement vidé,
je me suis mis en mode zen encore une dizaine de minutes, histoire d’atterrir en douceur
puis je me suis arrêté, repubon, c’était incroyablement intense mais un peu court tout de même,
je crois qu’après avoir terminé ce texte, je vais y retourner,
histoire de voir s’il reste encore un peu de jus dans le réservoir10 décembre 2017 à 13 h 11 min #24891bzo
Participanthum, je me suis relu
et je me rends compte que j’ai été un peu emporté par mon lyrisme,
cela n’a pas duré 15 minutes mais 5 bonne minutes tout au plus5 bonnes minutes mais qui m’ont complètement vidées
car orgasmes à enchaînement très rapide dès le premier instant jusqu’au dernier
avant que je ne ralentisse et que je passe en mode zen11 décembre 2017 à 9 h 42 min #24899Jieffe
ParticipantFinalement si je comprends bien, tu as bien fait d’écouter la petite voix 🙂
e suis en train de changer, le plaisir épanouit, le plaisir ouvre l’esprit, le plaisir fait sourire,
on sent la vie couler dans nos veines, le plaisir rend calme, le plaisir rend apaisé,
on se sent bien avec ce petit secret en soi,
cette flamme susceptible d’être allumé à tout moment au creux des reinsC’est un peu ce que j’espère, que la découverte du plaisir prostatique m’apaise, bien que je ne sois pas particulièrement ni inquiet, ni stressé, ni même dépressif. Mais j’ai comme l’impression que cette découverte peut nous permettre d’être plus serein dans la vie, plus ouvert, plus compréhensif et indulgent envers autrui. Il n’y a qu’à voir notre ami Andranéros qui fait preuve de tant de disponibilité et de bienveillance pour aider chacun de nous, cette dévotion qu’il affiche le long de nombreuses discussions. Il était peut-être déjà comme ça avant….mais il me plait de penser que comme tu le dis, le plaisir, ce plaisir, peut nous permettre de trouver une certaine paix et une certaine stabilité. Médicalement, je crois savoir que le plaisir, l’orgasme, est libérateur d’hormones excellentes pour le corps humain.
Il me plait également de penser que la pratique du massage prostatique a une dimension presque spirituelle. Et si l’on se réfère aux écrits de personnes telles que toi, et il y en a eu d’autres (je pense à Hyménée et Lucky entre autres), on ne peut s’empêcher de penser qu’il se passe quelque chose (de bien) dans la pratique de l’Aneros, qu’elle transforme les personnes qui atteignent un certain niveau. Cela va clairement au delà de la simple pratique sexuelle. On ne retrouve pas ça dans la pratique de la masturbation…
Bref, un peu de mal à m’exprimer ce matin, mais l’essentiel est là.
Dirais tu que cette pratique a changé tes rapports avec les autres?11 décembre 2017 à 20 h 44 min #24915bzo
ParticipantC’est un peu ce que j’espère, que la découverte du plaisir prostatique m’apaise, bien que je ne sois pas particulièrement ni inquiet, ni stressé, ni même dépressif. Mais j’ai comme l’impression que cette découverte peut nous permettre d’être plus serein dans la vie, plus ouvert, plus compréhensif et indulgent envers autrui.
alors en essayant d’être le plus objectif possible
-plus tolérant, plus ouvert , je le suis certainement depuis que j’ai commencé le massage prostatique,
non pas que j’ai été avant quelqu’un d’intolérant, de coincé, loin de là
ce que je veux dire que m’enfoncer régulièrement dans le fondement un masseur prostatique,
et puis de gémir et de bouger de plus en plus comme une femme durant mes séances,
d’avoir fait sauter beaucoup de barrières et de tabous,
ont fait bouger des lignes en moi, je sens une rare liberté en moi à présent
et qui se traduit par une beaucoup plus grande ouverture d’esprit,
c’est presque quelque chose de mécanique, un phénomène de vases communicantsil me plait également de penser que la pratique du massage prostatique a une dimension presque spirituelle. Et si l’on se réfère aux écrits de personnes telles que toi, et il y en a eu d’autres (je pense à Hyménée et Lucky entre autres), on ne peut s’empêcher de penser qu’il se passe quelque chose (de bien) dans la pratique de l’Aneros
certainement,
il y a eu des moments durant des orgasmes particulièrement longs
ou quand ils arrivent les uns après les autres, où le délire était devenu total,
où soudainement j’ai entrevu quelque chose à travers le rideau intense et brouillé du plaisir,
c’est comme si tu étais au fond d’une barque minuscule chahutée de toutes parts,
tu as les yeux fermés, tu es bercé, enivré par les sensations extraordinaires qui arrivent de tous côtés
mais tout d’un coup tu ouvres les yeux et tu regardes par dessus le bord
et là tu entrevois un horizon dantesque et ses couleurs magnifiques par-dessus les flots agités,
cela ne dure qu’un instant car déjà tu es emporté, entraîné, à nouveau par tes sensations
mais tu as vu quelque chose grâce à l’état dans lequel tu es
et qui était grandioseOn ne retrouve pas ça dans la pratique de la masturbation…
je ne me masturbes, cela n’a pas grand intérêt autre que le vide-couilles,
je n’en ressens pas le besoin, je ne regarde pas de pornole massage prostatique apporte un véritable épanouissement,
il enrichit quelque part contrairement à la masturbation qui appauvrit, je trouvecela doit être un complément merveilleux à un homme en couple,
le ou la compagne bénéficiant aussi de cet enrichissementaprès une séance très fructueuse, je me sens merveilleusement bien, détendu, épanoui,
j’adore cet état, on sent notre corps apaisé, satisfait, souple, délié, libre
on lui a procuré une nourriture rare qui est son besoin intime le plus nécessaire,
qui huile des rouages dans les profondeurs13 décembre 2017 à 22 h 00 min #24943bzo
Participantune de mes interrogations ces derniers jours
prostatiquement parlant, est la fréquence des séancesau début, pendant des mois j’ai eu une séance quotidienne, voire deux, voire trois,
l’intensité de celles-ci semblaient ne pas diminuer,
j’attendais avec excitation de pouvoir me mettre au lit et enfourcher mon masseurpuis peu à peu les choses ont changé, la vérité,
c’est qu’il n’y a pas un plaisir aussi exquis et aussi intense, soit-il
qui résiste à un traitement journalier
même en variant à l’extrême tout ce qu’il y a moyen de varier,
je m’en rends compte maintenantj’ai eu des crises de foi prostatique, le plaisir m’abandonnant complètement
d’avoir trop sollicité le trésor caché,
il faut respecter les cycles du corps,
il y a peut-être un temps pour le plaisir, un temps pour le reposdonc je cherche la bonne fréquence,
j’espère en fait que mon corps va me le dicter,
je suis à l’écoute de signaux, à l’affût de “petites voix”,j’ai déjà dit tout au début de ce journal que si j’ai recommencé après des semaines d’inaction,
c’est parce que j’ai senti des chatouillis impérieux dans le fondement
qui me pressaient de reprendre du service,
que le G.I. Prostate était requis sur le terrain pour de nouvelles missions aux confins de la jouissance,
avec pour seuls armes , un masseur en silicone et un tube de lubrifiant,
on attendait de lui qu’il conquiert de nouveaux sommets orgasmiquesdonc j’attends de nouveau, des chatouillis ou tout autre signal
qui me fasse reprendre le chemin du lit mes outils à la main,
en fait je suis sûr que mon corps va me signaler en temps voulu
quand une séance sera la bienvenue,
je lui fais entièrement confiance pour cela,
à moi d’être attentif et d’apprendre à bien écouter14 décembre 2017 à 9 h 52 min #24944Jieffe
ParticipantBonjour bzo,
Tes réflexions me font penser à ce qu’il peut se passer dans un couple. Tu sais ce que l’on dit de la fréquence des rapports au cours d’une vie de couple, c’est M M S. Quand tu es jeune, c’est Matin Midi et Soir, plus tard c’est Mardi, Mercredi et Samedi. Encore plus tard c’est Mars, Mai et Septembre, enfin, encore plus tard c’est Mes Meilleurs Souvenirs. Ça, c’est pour la petite histoire. Ce que je veux dire et que tu soulignes très bien , c’est
qu’il n’y a pas un plaisir aussi exquis et aussi intense, soit-il
qui résiste à un traitement journalierEffectivement, il semblerait que nous fonctionnons comme ça.
Je pense que tu as raisondonc j’attends de nouveau, des chatouillis ou tout autre signal
Attention toutefois à ne pas tomber dans une certaine torpeur. Je m’explique, à ne plus pratiquer, le risque est de ne plus avoir envie. C’est un peu ce qu’il m’arrive en ce moment. J’ai été contraint de laisser ma sexualité de côté depuis quelques mois. Au début, les envies et la frustration sont fortes, la masturbation calme un peu les ardeurs, mais est très largement insatisfaisante. Puis la libido se calme jusqu’à devenir presque inexistante. J’ai beaucoup de mal aujourd’hui à être excité, mais ma recherche du plaisir prostatique aujourd’hui me fait penser qu’il reste une étincelle que je vais m’empresser de transformer en brasier.
Il s’agit je pense de cas extrêmes, et tu n’iras j’en suis persuadé pas jusque là, mais un indien averti en vaut deux!!!
Je pense comme toi que de laisser un peu reposer ton désir va le raviver à un niveau supérieur que ce que tu connais maintenant. Fais toi languir, quand tu ressens l’envie, attends encore un peu. Il y a de grandes chances que le plaisir qui assouvira cette envie soit décuplé.
Mes réflexions à ce sujet m’ont mené à cette conclusion, qui vaut ce qu’elle vaut:
On fait souvent l’analogie entre le plaisir prostatique et le plaisir féminin. Les femmes, hors mis au début d’une relation, n’ont pas envie de faire l’amour tous les jours, à la différence des hommes qui bien souvent feraient l’amour tous les jours, voire plusieurs fois par jour, peut-être pas tout au long de leur vie, mais bien plus longtemps que les femmes. Je me suis dit que la cause de ce phénomène, c’est que leur plaisir est plus intense, plus plein, plus vaste, plus satisfaisant. Elles sont plus repues de plaisir que nous après une relation et ont besoin de recharger les batteries du désir. Notre plaisir pénien est à mon sens moins complet, et c’est pourquoi nous courrons toujours après une relation, comme pour terminer le travail, aller jusqu’au bout de notre plaisir. J’ai l’impression que nous sommes toujours en quête de quelque chose qui semble nous manquer et que nous ne trouvons jamais. Ce n’est peut-être qu’un ressenti personnel, mais les témoignages sur les orgasmes prostatiques que j’ai pu lire, dont les tiens, auraient tendance à confirmer ce que je pense. Vous parlez souvent d’être repu, que votre plaisir est pleinement assouvi, bien plus satisfaisant que le plaisir de l’éjaculation. Alors bien sûr, passé le stade de la découverte, un peu comme un jeune couple, le désir s’espace, mais ne disparaît pas.
Je ne sais pas si ma théorie tient la route ni si elle vous parle, mais pour le moment c’est un peu comme ça que je vois les choses.
Après il faut faire attention à une chose. Le désir des femmes peut s’émousser jusqu’à devenir presque inexistant. ALors il faut appliquer le proverbe “l’appétit vient en mangeant”. Celle qui sont passées par là le confirment. Il faut maintenir à mon sens une “hygiène” de vie….Bref, pour synthétiser, je pense que tu as raison, tout au moins d’essayer. Je pense que tu ne peux qu’y gagner. J’appuie totalement ta démarche 🙂
14 décembre 2017 à 9 h 53 min #24945Jieffe
ParticipantDe toute façon, il faut faire confiance à son instinct, et plus particulièrement dans ces domaines là. À mon avis.
14 décembre 2017 à 20 h 28 min #24956bzo
ParticipantNotre plaisir pénien est à mon sens moins complet, et c’est pourquoi nous courrons toujours après une relation, comme pour terminer le travail, aller jusqu’au bout de notre plaisir.
pauvre de nous, notre plaisir sexuel, pénien comme tu l’écris,
c’est à peine plus que la satisfaction d’un besoin physiologiquec’est que leur plaisir est plus intense, plus plein, plus vaste, plus satisfaisant.
Elles sont plus repues de plaisir que nous après une relationle plaisir sexuel chez la femme, il me semble,
va bien au-delà de la satisfaction juste de besoins physiologiques,
ceci explique peut-être celapersonnellement j’ai trouvé un équilibre sexuel, un certain épanouissement,
fragiles certes mais bien réels, je crois,
malgré que je n’ai plus de relations sexuelles depuis quelques années,
je ne me masturbe jamais, le désir “pénien” est mis en sommeil autant que possible, pas de porno
et même quand je regarde un film (et j’en regarde beaucoup car je suis cinéphile)
s’il y a une scène trop torride, trop suggestive,
je détourne le regard, je coupe le son, j’évite au maximum tout ce qui peut donner la trique
et éveiller le désirainsi mon énergie sexuelle est préservée au maximum pour le massage prostatique
et c’est sur lui que je compte entièrement pour le moment pour m’apporter toute ma nourriture sexuelle,
cela marche assez bien mais c’est fragile et c’est une voie étroite,
surtout depuis un certain temps où je dois apprendre à espacer mes séances
pour échapper au risque de perte de sensationsil n’y a pas grand choix, j’ai choisi cette voie,
elle me parait infiniment plus intéressante, plus riche,
que le cercle infernal du vide-couilles à la force du poignet
qui est une bien pauvre façon de dépenser son énergie sexuelle,
qui soulage momentanément mais creuse les frustrations, appauvrit tout son être intérieurc’est bien sûr autrement plus complet et plus facile
d’avoir une relation sexuelle avec un, une ou des partenaires
et à côté avoir une vie sexuelle prostatique, les deux se nourrissant et s’enrichissant mutuellementil faudrait que je m’y remette
mais ce n’est pas facile de se “remettre dans le circuit”
après plusieurs années d’absence dans le ring14 décembre 2017 à 23 h 50 min #24959bzo
Participantallons bon, je ne sais pas si j’ai vraiment répondu à un appel impérieux de mon fondement,
l’appel du grand large comme je l’écrivais dans le message initial de ce journal
mais je me suis mis au lit, les outils à la main
puis rapidement les outils au culj’ai été étonné après coup en regardant ma montre de me rendre compte
que cela n’aura duré qu’un bon quart d’heure en tout,
il y avait belle intensité du début à la fin,
3 ou 4 orgasmes bien vifs, belle puissance même si pas très longs,
suis pas parti en roue libre, pas de super O,
courte séance très agréableaprès quelques séances très longues, deux heures, trois heures,
je suis dans les formes courtes actuellement, semble-t-il,
orgasme quasiment à la première pression sur la prostate cette fois-ci aussi
mais pas en continu comme la dernière fois pendant 5 bonnes minutes,
c’était assez mémorable la dernière foisplus modeste donc aujourd’hui,
apprendre à estimer à sa juste valeur le plaisir
même quand il n’atteint pas des sommets stratosphériques,
est une tache qui m’attend peut-être,
retrouver une certaine patience aussiah notre parcours est un éternel apprentissage
motorisé par des questionnements et des remises en questionles mains, le corps ont eu un dialogue fort avec ma prostate,
celle-ci souvent se contentant de les accompagner
tandis qu’ils avaient le rôle principal dans la génération du plaisir
j’ai été enchanté de sentir cela,
toute cette coordination dans l’improvisation
comme les différents instruments d’un orchestre de jazz
jouant parfaitement ensemble tout en jouant chacun de leur côté
je l’ai rarement senti autant qu’aujourd’hui,
point très positif pour l’avenir15 décembre 2017 à 8 h 57 min #24960Jieffe
Participantpauvre de nous, notre plaisir sexuel, pénien comme tu l’écris,
c’est à peine plus que la satisfaction d’un besoin physiologiquePour toi qui connait des orgasmes tels que tu les décrit. Pour les autres, ça reste sympa, mais c’est vrai que ça me laisse toujours un peu un sentiment d’inassouvissement. Une impression qu’il manque quelque chose.
Il se peut tout de même que je te rejoigne dans quelques temps, c’est tout le mal que je me souhaite. 🙂e plaisir sexuel chez la femme, il me semble,
va bien au-delà de la satisfaction juste de besoins physiologiques,Et bien j’ai l’impression que le corps entier d’une femme qui jouit est un organe sexuel. Que tout son corps jouit. C’est un peu ce qui m’a emmené sur ce site, comment faire quand on est un homme pour approcher la jouissance féminine.
personnellement j’ai trouvé un équilibre sexuel, un certain épanouissement,
fragiles certes mais bien réels, je crois,Tu sembles avoir des doutes. À te lire, ça semble assez évident. C’est cool en tout cas.
et même quand je regarde un film (et j’en regarde beaucoup car je suis cinéphile)
s’il y a une scène trop torride, trop suggestive,
je détourne le regard, je coupe le son, j’évite au maximum tout ce qui peut donner la trique
et éveiller le désirC’est intéressant ce que tu dis. Il est conseillé maintes fois, et certains le racontent, qu’il leur faut des images érotiques, regarder du porno…etc pour arriver à l’orgasme prostatique. Cela signifie pour moi que tu es arrivé à un type de pratique complètement autonome, pleinement centré sur toi même, ton corps, tes sensations. Tu n’as pas besoin de te remémorer des souvenirs, tu n’as plus de contact avec d’autres corps, tu ne touches plus à ton pénis. Je dirais que c’est le graal, le sommet de la pratique, bien entendu pour ceux que cela satisferait. Je gage que certains n’ont aucune envie de renoncer aux plaisirs féminins. Je veux dire par là que ce n’est à mon sens pas une quête que chacun doit poursuivre, mais que chacun voit midi à sa porte, mais que c’est possible.
Je me souviens d’une conversation où l’un d’entre nous émettait l’hypothèse que par cette pratique nous pourrions devenir autonome dans le plaisir. Toi tu l’as fait.ainsi mon énergie sexuelle est préservée au maximum pour le massage prostatique
Il me semble que l’on retrouve ça dans le tantrisme, si je ne me trompe pas.
pour échapper au risque de perte de sensations
Ça n’est pas certain. Et quand bien même cela arriverait, je pense qu’il te suffirait de stopper ta pratique quelques temps pour retrouver tout le désir, l’énergie nécessaire. Si une fois de plus on fait l’analogie avec les femmes, puisque ce plaisir se rapprocherait du leur, je dirais que c’est comme ça qu’elles fonctionnent. Il m’est arrivé de faire l’amour avec ma femme qui a perdu toute libido, alors qu’elle aurait pu s’en passer mais à céder à mes avances pour accomplir son “devoir”, et qu’elle ait apprécié. Je te livre presque textuellement ce qu’elle m’a dit après: “c’est con, parce que qu’est ce que c’est bon”. Voilà quelqu’un qui n’a plus d’envie, qui n’a pas vraiment envi sur le moment, mais qui retrouve toutes ces sensations après plusieurs mois d’abstinence.
Je ne suis pas certain que tu dois craindre une perte de sensation en maintenant le rythme de tes sessions, ni en les espaçant. Si tu finis par te lasser, espaces les, mais comme je te l’ai écrit plus haut, fais confiance à ton instinct.elle me parait infiniment plus intéressante, plus riche,
que le cercle infernal du vide-couilles à la force du poignetPour la force du poignet, je te rejoins à 100%, en revanche, pour les rapports avec des femmes, je serais plus mitigé. Il y a le corps, la peau, les baisers…
mais ce n’est pas facile de se « remettre dans le circuit »
après plusieurs années d’absence dans le ringJe ne suis pas d’accord. Quand tu débutes ta sexualité, cela fait combien d’année que tu as abandonné le ring? C’est un peu comme le vélo, ça ne s’oublie pas. Et je pense que ta pratique t’a ouvert des portes sur une nouvelle sensualité que tu n’avais pas avant, qui ne peut qu’être bénéfique pour des rapports.
ah notre parcours est un éternel apprentissage
motorisé par des questionnements et des remises en questionPeut être aussi par un état d’esprit, la fatigue, les soucis…. Non?
15 décembre 2017 à 21 h 44 min #24986bzo
ParticipantPour toi qui connait des orgasmes tels que tu les décrit. Pour les autres, ça reste sympa, mais c’est vrai que ça me laisse toujours un peu un sentiment d’inassouvissement.
les orgasmes prostatiques les plus forts que j’ai connus, c’est bien sûr incomparable
mais il ne faut pas comparer
car comme tu disen revanche, pour les rapports avec des femmes, je serais plus mitigé. Il y a le corps, la peau, les baisers…
le corps de la femme me manque,
et aussi de temps à autre un sexe d’homme,
j’aimais bien faire des choses aussi avec un sexe d’homme parfois, j’écris exprès juste leur sexe
et pas leur corps en entiermême si dans l’absolu les sensations sont moins fortes et durent moins longtemps
que dans nos meilleurs moments en tête à tête avec le masseur,
c’est différent, c’est complémentaire, c’est un peu vain et même idiot en fait ce type de comparaison,
il ne faut chercher à comparer, c’est trop différent,
dans un cas il y a deux êtres (au moins deux) qui s’entremêlent, interagissent, etc
alors qu’avec le masseur, on est tout seul malgré tout
même si des choses très mystérieuses peuvent se passer durant une séance,
comme la sensation qu’une femme prend totalement les commandes de notre corps
et se donne du plaisir à ne plus en finir, c’est une sensation extraordinaire, crois-moi,
mais c’est malgré tout moi tout seul,
aussi mystérieux et puissant soit le processus à l’oeuvre durant la séanceun navire dort dans nos abysses, dans ses flancs des trésors inestimables
le petit miracle du massage prostatique,
c’est que tout cette cargaison précieuse remonte à la surface
quelques courts instants pour éblouir notre chairC’est intéressant ce que tu dis. Il est conseillé maintes fois, et certains le racontent, qu’il leur faut des images érotiques, regarder du porno…etc pour arriver à l’orgasme prostatique.
ce sont des très mauvais conseils, crois-moi,
je ne dis pas qu’on n’arrive pas à des résultats
mais c’est comme prendre un grand cru de Bordeaux et l’allonger avec de l’eautu n’as plus de contact avec d’autres corps
ça c’est forcé pour l’instant mais je fais de gros efforts pour que cela change,
j’ai envie de refaire l’amour, le plaisir prostatique m’a redonné envie de toucher d’autres corps ,
de les caresser mais on ne se défait pas facilement de ses habitudes de loup solitaire
pour reprendre le titre d’un livre d’Hermann Hessetu ne touches plus à ton pénis
c’est primordial, si par accident je l’effleure durant la séance, c’est frappant comme sensation,
c’est comme si tout mon bassin se vidait
comme un évier dont on a enlevé le bouchon à la vitesse de l’éclair
des sensations de plaisir prostatique dont il est inondé
et qu’à la place je commence à sentir que mon pénis est là, qu’il existe
bon, cela ne dure qu’un instant, c’est un curieux phénomène de vases communicants,
le phénomène est inversé aussi en une fraction de seconde, si je m’éloigne de la zone trop approchée
et que le jeu prostatique reprend son cours16 décembre 2017 à 2 h 52 min #24988bzo
Participantcomme la sensation qu’une femme prend totalement les commandes de notre corps
et se donne du plaisir à ne plus en finir, c’est une sensation extraordinaire, crois-moi,je ne résiste pas au plaisir de me citer,
je sors tout juste d’une séance commencée assez tard, encore tout ébloui, divinement assagi,
la mer se retire mais les traces de la lutte amoureuse sont encore partout
comme autant de témoignages de la délicieuse tempête qui a balayé ma chairdes orgasmes? des super O? je ne saurais le dire,
le fait est qu’à partir d’un moment j’étais tellement ivre de plaisir, tellement en roue libre
qu’à présent devant la page internet voulant faire un petit compte-rendu,
je me sens comme un ivrogne dessaoulé qui ne se souvient plus que de bribes de ce qui s’est passé,
j’étais trop hors de moi, trop absent de mes facultés habituelles d’observationelle se caressait, elle se tortillait, elle se cambrait langoureusement,
elle se fouillait méticuleusement, méthodiquement l’interstice humide,
je lui avais totalement abandonné mon corps,
ma prostate semblait être partout, sous ma peau, dans mes muscles, dans mes os,
dans mon visage, dans mes épaules, dans mes jambes
du coup le moindre effleurement de la main, le moindre mouvement du bassin, houlala,
je ne vous dis pas et ne saurais d’ailleurs pas vous dire…à un moment donné, j’ai cru que sans me rendre compte,
je m’étais uriné dessus mais en fait j’avais lâché une telle quantité de liquide séminal
que j’en avais le bas ventre tout trempédétail technique qui a son importance, o combien, o combien!
je me suis rendu compte que jusqu’ici j’appuyais trop souvent trop fort le masseur contre la prostate,
que c’était très contre-productif.
Il faut toujours se retenir un peu, jamais appuyer trop fort,
cela anesthésie la prostate, l’assomme momentanément,
aujourd’hui j’ai fait bien attention que même quand je faisais des petits galops, du ramonage à la hussarde,
je retenais toujours un peu mes coups de façon à ne pas étourdir ma prostate,
ne jamais presser trop fort dessus et cela a porté ses fruitscela a été vraiment une révélation,
un détail technique de la plus haute importance qui m’avait échappé jusqu’ici
et le résultat a été magnifique, splendide, au-delà de toute espéranceje vais recommencer à faire des séances quotidiennes,
je n’ai plus aucune crainte d’émoussement de mes sensations désormais16 décembre 2017 à 9 h 37 min #24989bzo
Participantle titre du bouquin d’Hermann Hesse, c’est Le Loup des Steppes,
pas le Loup Solitaire.
Lapsus16 décembre 2017 à 10 h 01 min #24991Jieffe
ParticipantBonjour bzo,
Je vais certainement avoir assez peu de temps pour vous écrire ce WE, mais je vous lirai très certainement.
J’entrevois une solution pour toi qui pourrait être bien. Pourquoi ne proposerais tu pas tes services à des couples qui ont envie de pimenter leur sexualité avec un deuxième homme, certains cherchent même des hommes bi?
Tu rendrais service à un couple, tu renouerais avec les corps, des femmes comme des hommes, et tu conserverais ta solitude à laquelle tu sembles attachée?
De plus, je pense que les couples qui font cette démarche ont un bon état d’esprit, ouvert, dans lequel tu pourrais exprimer ta sensibilité.Merci pour l’info des contractions qui doivent rester légères 🙂 et j’espère arriver à ce que tu décris!!!
16 décembre 2017 à 13 h 35 min #24992bzo
ParticipantMerci pour l’info des contractions qui doivent rester légères 🙂 et j’espère arriver à ce que tu décris!!!
légères, légères, je n’ai pas écrit cela,
commençant à te connaître, tu en a déduis très certainement, qu’il faut à peine effleurer sa prostate
comme si c’était un vase rare en vieux cristal prêt à se briser au moindre contactce qui n’est pas le cas bien sûr, on est un gros paquet de chair
qui aimons la tendresse et la délicatesse mais qui aimons aussi défoncer et nous faire défoncertout ce que j’entendais par mon petit paragraphe au-dessus,
c’est qu’il ne fallait pas presser la prostate trop fort,
au point de produire l’effet contraire de celui escompté,
il y a de la marge entre les deux, c’est-à-dire juste effleurer constamment la prostate
et puis s’appuyer dessus de toutes ses forces,
comme je le faisais trop souvent ces derniers moisentre les deux, il y a tout un monde de nuances de léger à fort, très fort même,
sans arriver jusqu’à être excessif dans un sens comme dans l’autrePourquoi ne proposerais tu pas tes services à des couples qui ont envie de pimenter leur sexualité avec un deuxième homme, certains cherchent même des hommes bi?
c’est cela, je vais mettre un petite annonce,
alors voyons voirex-partouzeur des années 70 mais n’ayant plus fait l’amour depuis pas mal d’années,
vieillissant mais plutôt bien conservé, beau à ce qu’on dit et plutôt aisé financièrement,
cultivé et poli mais ayant aussi un côté rêche, sauvage, mal dégrossicôté pratique, sexe de proportions plutôt modestes
mais dans l’action d’une ténacité et d’une endurance à toute épreuve,
de longues heures de foutrage garantis.vous bénéficierez en plus de l’imagination luxuriante, débordante, un brin perverse
du propriétaire de l’outil tout juste décrit,
qui a su conserver toute la délicatesse et l’attention nécessaires
pour contrebalancer ses instincts et ses pulsions débridés par des pratiques solitaires un peu extrêmescette personne mettra toutes ces caractéristiques
entièrement sans retenue et avec vigueur à votre service
pour vous procurer un plaisir riche et varié
après les premières hésitations et blocages, dus aux nombreuses années d’inactivité,
surmontésdernier obstacle mais non insurmontable, cette personne habite en province,
plus précisément dans le Nord, à Bruxelles - AuteurArticles
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