Mots-clés : a-less, anerosless, journal, orgasme
- Ce sujet contient 370 réponses, 8 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Jieffe, le il y a 6 années et 2 mois.
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13 juin 2018 à 1 h 49 min #28374bzoParticipant
nuit blanche sans doute pour moi,
le plaisir coule à flot, je ne peux pas m’arrêter, je suis trop excité pour aller dormir,
il faut que je jouisse et que je jouisse encore
jusqu’à ce que je tombe épuiséje visite la Tour Eiffel, elle est ouverte pour moi en nocturne,
enfin c’est plutôt moi qui suis ouvert et elle qui me visite,
elle est là, je la sens au fond de moi,
elle s’est déguisée en deux petits doigts bien élevés
qui ne bougent pas d’un yota comme on leur a appris à le faire,
mes muscles aux alentours sont tous mobilisés pour faire la pole dance
autour des deux petits chérubins plantés dans mon fondementet ma prostate à quelques centimètres comme un buvard
s’imbibe de tout cela, s’imbibe des bonnes vibrations,
exulte, rayonne,
je le sens, elle est comme un poisson dans l’eau,
it’s all good vibrations, it’s rock and roll, let’s dance,
let’s make sing the flesh, let’s make cry the flesh from pleasure,
increase the heat, baby, let it go, give it to me, baby, yeaahh!!13 juin 2018 à 8 h 58 min #28376EnvoleParticipantdans ce miel tendre, dans ce miel chaud, dans ce miel frissonnant, dans ce miel frémissant
qui nous enveloppe, qui nous accueille, qui nous enlace de toutes partsMmmmm comme j’aime ça… 😉
Belle pente 🙂
Naomi13 juin 2018 à 10 h 16 min #28379bzoParticipantbon, 10 heures passées, il est temps que j’arrête, que je fasse autre chose,
je suis debout depuis une heure et demie
et je n’ai fait que pratiquer,
me procurer des sensations délicieuses, jouir, jouirhier soir aussi, j’étais parti pour une soirée alternance de lecture, de séries et de plaisir prostatique
et finalement en parfait ogre, le plaisir prostatique a mangé tout mon temps,
en parfait ogre a occupé exclusivement mes mainsje n’arrivais pas à me retenir comme ce matin,
ce corps nu constamment
est une invitation au plaisir, à la débauche,
toute cette chair offerte à ma concupiscence, à portée de main,
il m’est si facile de toucher ma peau, de l’enflammer,
de porter un doigt ou deux au cul,
les enfoncer un petit peu puis commencer à bouger
et c’est parti, déjà en un instant je gémis, je râle
et je suis en roue libre, emporté par le plaisirtout mon corps envahi de chaleur et de frissons,
je suis comme sur le feu,les flammes me réchauffant par en-dessous,
je cuis et mes entrailles comme un plat mijotant,
exsudent toutes sortes de saveurs qui me monte à la tête,
qui rendent fous mes sens, mes nerfsarf, mes mains ne peuvent plus se retenir, ils parcourent tout mon corps,
en explorent chaque millimètre de peau,
caressant de temps à autre mon sexe, l’enveloppent,
cela fait comme un pétard de sensations explosant dans ma tête,
quelle déflagration, tout mon corps en frémit intérieurement
et mes gémissements s’envolent comme un millier de pigeons qu’on a dérangéset puis les contractions, ah les contractions,
ce sont les grosses stars du show, ils le restent malgré la concurrence
qui s’agitent de tous les côtés pour me procurer du plaisir
mais quand une contraction arrive, monte majestueusement dans mon fondement
avec son cortège enflammé de sensations,
tout le monde s’arrête et attend patiemment qu’elle termine son parcoursle sceptre est roi dans mon fondement,
il gratte, frotte et récure royalement,
il fait le ménage, il déménage,
il me fait monter au septième ciel,
dans mon petit lopin de nuage qui m’est alloué à l’année13 juin 2018 à 17 h 24 min #28418bzoParticipantle plaisir me va bien à toute heure du jour, de la nuit, en tout lieu
et spécialement chez moi bien sûr
où je me balade nu constamment, toujours prêt à tout moment à m’enlacer, à me caresser,
à appliquer quelques contractions, en quelques instants, je gémis et je suis déjà au bord de la jouissancecet après-midi, balade dans Bruxelles, dans le centre de Bruxelles
où ils sont en train d’installer un piétonnier dans l’extrême centre
et de tout rénover dans la foulée, cela va être divin pour les locaux comme moi,
s’y promener va être un déliceje flânais dans un ancien marché couvert transformé en café tendance, lieu de concert et d’expositions,
je m’y attardais devant les photos exposées d’étudiants des beaux-arts,
quand tout à coup ont retenti les Variations Goldberg de Jean-Sebastien Bach,
je m’y attendais vraiment pas, j’ai fondu en larmes,
elles me coulaient sans discontinuer pendant de longues minutes,
une des musiques les plus sublimes de tous les temps,
j’étais transporté, en extasequel moment intense,
dans la jungle urbaine, dans ce monde matérialiste et mercantile,
soudainement ces notes, si intenses, si pures, si éloignées de notre quotidien,
je les buvais, je m’en imbibais, je m’en purifiais,
j’étais transporté, j’étais au loin, au loinde retour,je les réécoutais dans l’interprétation si sublime de Glenn Gould,
il y a comme cela des moments qu’on aimerait qu’ils ne s’arrêtent jamais,
tout comme quelques instants après, quand je fermais les yeux,
que je me caressais, la tête et le coeur encore étourdis par les notes de Bach
et que je me laissais emporté par un plaisir plus charnel
mais non moins sublime quelque partpas moyen de les comparer, bien sûr,
ils agissent en moi en des niveaux tellement différents,
mais je les sens complémentaires, profondément complémentaires quelque part,
m’enrichissant, me comblant, m’éveillant, repoussant des frontières en moi,
éveillant des sensations qui me dépassent et qui m’agrandissentchacune de ces extases m’aidant à vivre plus pleinement, plus libre,
plus en accord avec un moi profond
et les quelques rares choses valables ici-bas,
les quelques rares choses qui ont réellement de la valeur ici-bas13 juin 2018 à 22 h 17 min #28434EnvoleParticipantMmmm…Variations Goldberg, Glenn Gould…Plaisir rare…Des larmes de joie…Je comprends 🙂
Tout le meilleur 🙂
Naomi13 juin 2018 à 22 h 32 min #28435bzoParticipantje viens de faire une courte séance de 5 à 6 minutes
dont une bonne minute d’orgasmeparticularité: tout le long j’avais mon sexe enveloppé dans ma main,
il est resté bien mou
mais dégageait des ondes sexuelles puissantes, délicieuses,
cela irradiait dans toutes les directions
et je gémissais très fort,
en fait c’est même plutôt crier que je faisais tout le temps vers la findans une perspective prostatique puisque je le répète, c’est le seul qui m’intéresse,
c’était vraiment très très optimisé, très maîtrisé,
je pratiquais des contractions à un rythme calme, relâché,
insistant avec chacune d’entre elles, à maintenir la pression variant les effets
plutôt que des allers et venues réguliers,
la bougeant un peu latéralement au fond de moi,
cela fait une sensation comme si un pénis dressé se frottait aux alentours en moij’appuyais tantôt un peu plus fort puis relâchait un zeste la pression,
appuyais à nouveau très fort en changeant d’angle plusieurs fois la contraction,
tout cela fait des sensations exquises, on se sent travailler de l’intérieur,
on gémit de plus en plus, on se sent empli, on se baisé par un maître-queueavec en plus comme je l’ai écris au début,
la main en coquille enveloppant le sexe, restant bien inerte,
à chaque contraction, le sexe bouge dans la main, se frotte aux doigts,
mais reste bien détendu, bien flasque tout en dégageant plein d’ondes de plaisir
ce qui est à mes yeux un très bon signe
que les sensations sont bien canalisées, sont bien assimilées au flux principal de sensations,
viennent bien renforcer mon plaisir prostatique
et ne sont pas juste des sensations péniennes classiques,
le plaisir mâle avec l’éjaculation au boutune sensation de pénétration aussi très puissante émane de mon sexe
pourtant il est tout mou sous ma main,
je ne suis pas sûr de ce qui se passe là
mais c’est bien agréableet puis j’ai jouis longuement , une bonne minute,
c’était très fort, très très fort, vif, différent d’un orgasme prostatique pur à 100%
et ceux que j’obtiens avec la main au cul,
bref de plus en plus de variété et de richesse des sensations, que du bonheuret puis je reconvertis mon sexe, il n’est plus au chômage,
il participe activement à mon plaisir prostatique,
l’expérience prend un tour très intéressant et bien maîtrisé,
je le sens bien car mon sexe reste tout mou
et je sens qu’il est satisfait de participer même de cette manière à une activité sexuelle
ou alors c’est juste moi qui est satisfait de le faire participer à mes activités sexuelles
où d’habitude il n’a pas voix au chapitrebon l’essentiel de toutes façon,
c’est que c’était excellent et j’ai joui délicieusementje vous embrasse
13 juin 2018 à 23 h 54 min #28439bzoParticipantquelques séances plus loin,
je viens soudain de comprendre ce que c’était cela:une sensation de pénétration aussi très puissante émane de mon sexe
pourtant il est tout mou sous ma main,
je ne suis pas sûr de ce qui se passe là
mais c’est bien agréableen fait, mon sexe avec la main en coquille
bougeant un peu à chaque contraction,
dégageant plein de bonnes ondes sexuelles , puissantes, délicieuses
qui viennent s’amalgamer aux sensations prostatiquesce qui se passe, je viens de le comprendre,
c’est que cela renforce la sensation de pénétration de la contraction,
la rendant encore plus irrésistible,
mon sexe tout mou dans ma main
mais irradiant, agissant quand même quelque part,
contribue à me baiser, à renforcer la sensation de pénétration entre mes jambesle coup de rein semble encore plus impérial,
encore plus de pouvoir pénétrant,
j’en ai les entrailles qui se gondolent et le cerveau en feu
à chaque fois que mes muscles se bandent, se réunissent et entrent en action,
semblant former une hampe avec son gland se frayant leur chemin en moi,
s’enfonçant en moi14 juin 2018 à 18 h 39 min #28448bzoParticipantaujourd’hui au boulot,
plein de micro-séances délicieuses, puissantes
dans les toilettes comme moments de détente très spéciaux
et puis à midi dans la petite salle de gym sous les toits
où il n’y a quasiment jamais personne d’autre que moisur le tapis de gym, chevauchant une main avec deux doigts bien entrés dans mon fondement
provoquant une explosion de sensations
à chaque fois qu’une contraction venait les happer, se frotter à eux,
l’autre pressant mon sein,
un bel orgasme au bout de quelques minutesbon dieu que c’était bon tout ça,
mon seul souci étant désormais, de ne pas me laisser trop emporter, de trop m’oublier, de partir en roue libre
et de ne pas me rendre compte que quelqu’un serait entré dans la salle de gym
ou dans les toilettes pas loin de moi,
cela serait assez gênant comme situationune grosse différence que j’ai remarquée entre ma pratique passée avec masseur
et puis ma pratique présente a-less
est qu’avec masseur, ma technique finalement était restée assez sommaire,
nul besoin de complexité technique très sophistiquée,
à partir du moment où je maîtrisais la manipulation du masseur
et que j’avais une panoplie étendue de postures différentes,
c’était tout ce dont j’avais besoin,
le reste je le confiais à mon instinct,
ma profession de foi était de laisser faire mon instinct et mes pulsions,
être aussi spontané que possible dans l’actionen aneroless, c’est tout à fait différent,
au début j’ai essayé comme cela, cela a donné quelques résultats assez intéressants
mais je me suis vite rendu compte que c’était assez limité ainsiquand je pratiquais avec masseur,
j’avais déjà essayé d’intégrer à ma pratique certains de mes gadgets, de mes accessoires
que j’ais découvert à l’époque,
l’alternance moments yeux ouverts et moments yeux fermés durant la séance
et puis les mains utilisées autrement que pour caresser, griffer, pincer essentiellement doncceux qui me lisaient déjà à l’époque, s’en souviendront,
je m’étais enthousiasmé quelques jours pour chacune de ces manières différentes de faire,
j’en percevais le potentiel
puis l’enthousiasme était retombé
car tout simplement avec masseur,
je me fiais exclusivement à mon instinct, à ma spontanéité, dans l’action
et ceux-ci s’accommodaient mal de ces tentatives d’intégration de techniques
qui ne venaient pas naturellement, spontanément,
aussi j’avais laissé tomberalors que là en a-less,
le plaisir a commencé à vraiment décoller
et de la consistance de mes séances à prendre forme,
à partir du moment où j’ai redécouvert ces accessoires et cherché à les intégrer à ma pratique en anerolesset quand en plus j’y ai rajouté ces autres trouvailles que sont
la main en coquille sur le sexe et puis la main par derrière autour et dans le fondement,
cela devenait de plus en plus explosif, de plus en plus puissant
mais encore cacophonique, désordonnéet puis il y a quelques jours j’ai trouvé un liant,
une façon de faire qui me permettait d’orchestrer tout cela,
d’intégrer dans mon action sans masseur toutes mes trouvailles
et de commencer à exploiter leur potentialité,
de les mélanger sans “qu’ils se marchent sur les pieds et les uns des autres” en quelque sorte
mais au contraire soient dans une saine et excitante émulation les uns par rapport aux autrestout cela est en route maintenant
et j’ai encore réussi à faire évoluer cet élément
qui me permet d’orchestrer mon action, de lier mes différentes techniques,
de le rendre beaucoup plus intuitif,
presque plus besoin d’intervenir directement désormais, cela roule tout seul,
d’où mes résultats spectaculaires, même au boulot,
c’est en train de venir monstrueux,
enfin monstrueusement bonj’y ai perdu en spontanéité certes,
mes séances en a-less sont moins instinctives,
font appel à une technique beaucoup plus élaborée
mais le résultat obtenu est aussi beaucoup plus riche, plus varié
et plus puissantâge d’or, j’arrive!
je vous embrasse, très chers et très chère
14 juin 2018 à 19 h 03 min #28449bzoParticipantj’ai remarqué quelque chose d’intéressant aujourd’hui
alors que quand j’applique une contraction,
j’aime fermer les yeux,
accompagnant en quelque sorte le plaisir issu de la contraction
en plongeant vers mes profondeurs à sa rencontre,
gambadant dans les abysses à l’unisson avec luiquand je me caresse et que j’ai arrêté la contraction,
j’aime avoir les yeux ouverts,
m’imbibant de la vision de mes mains caressant ma peau, mes membres,
m’imbibant de la vision de mon bassin bougeant lascivement, ondulant d’avant en arrière,
m’imbibant de la vision de mes mains agrippant mes seins, les pressant, les caressant,
m’imbibant de cette houle qui anime le moindre mouvement de mon corpscela contribue à mon excitation fortement de voir tout cela,
je me suis demandé pourquoi
et j’ai compris cela hier soir en fait, pas aujourd’huic’était parce que celui qui regarde, celui qui voit tout cela,
c’est moi, le mâle, c’est mon moi masculin,
alors que celui qui agit, celui qui caresse,
celui dont le bassin ondule, celui dont le corps lascivement est en mouvement,
c’est ce féminin qui s’est emparé de mon corps
et qui l’anime selon son désir et selon son plaisirdonc plaisir du mâle voyant la femme en action
et plaisir de la femme sentant le regard d’un homme sur elle
tandis qu’elle se caresse et laisse son corps en chaleur s’exprimerl’homme donc à ce moment-là,
observe, déguste du regard
et l’instant d’après quand la contraction reprend,
pénètre, enfonce son dard14 juin 2018 à 22 h 12 min #28464EnvoleParticipantHello @bzo,
en fait, mon sexe avec la main en coquille
bougeant un peu à chaque contraction,
dégageant plein de bonnes ondes sexuelles , puissantes, délicieuses
qui viennent s’amalgamer aux sensations prostatiquesce qui se passe, je viens de le comprendre,
c’est que cela renforce la sensation de pénétration de la contraction,
la rendant encore plus irrésistible,
mon sexe tout mou dans ma main
mais irradiant, agissant quand même quelque part,
contribue à me baiser, à renforcer la sensation de pénétration entre mes jambesle coup de rein semble encore plus impérial,
encore plus de pouvoir pénétrant,
j’en ai les entrailles qui se gondolent et le cerveau en feu
à chaque fois que mes muscles se bandent, se réunissent et entrent en action,
semblant former une hampe avec son gland se frayant leur chemin en moi,
s’enfonçant en moiEn fait j’ai remarqué ça aussi, quand je suis tuckée, avec le sexe courbé en dessous de moi, s’il arrive qu’il ait même une légère érection, il appuie aussi sur la prostate et la masse, de l’extérieur, mais aussi de l’intérieur…C’est extrêmement agréable je trouve… 🙂
mon seul souci étant désormais, de ne pas me laisser trop emporter, de trop m’oublier, de partir en roue libre
et de ne pas me rendre compte que quelqu’un serait entré dans la salle de gym
ou dans les toilettes pas loin de moi,
cela serait assez gênant comme situationHi hi c’est clair que des non-avertis pourraient ne pas trop comprendre ta pratique…
Ce que je fais dans ces cas, si j’ai des envies dans des endroits un peu risqué, je m’empêche de les assouvir en pensant à ce que je vais faire la prochaine fois que je serai en bonnes conditions…ça me permet de me mettre dans un état de tension sensuelle, un peu second, qui me porte jusqu’au moment propice !!! je trouve ça délicieux personnellement…tout cela est en route maintenant
et j’ai encore réussi à faire évoluer cet élément
qui me permet d’orchestrer mon action, de lier mes différentes techniques,
de le rendre beaucoup plus intuitif,
presque plus besoin d’intervenir directement désormais, cela roule tout seul,
d’où mes résultats spectaculaires, même au boulot,
c’est en train de venir monstrueux,
enfin monstrueusement bonj’y ai perdu en spontanéité certes,
mes séances en a-less sont moins instinctives,
font appel à une technique beaucoup plus élaborée
mais le résultat obtenu est aussi beaucoup plus riche, plus varié
et plus puissantBravo bravo, je pense que tu commences à toucher à une forme d’art…
’était parce que celui qui regarde, celui qui voit tout cela,
c’est moi, le mâle, c’est mon moi masculin,
alors que celui qui agit, celui qui caresse,
celui dont le bassin ondule, celui dont le corps lascivement est en mouvement,
c’est ce féminin qui s’est emparé de mon corps
et qui l’anime selon son désir et selon son plaisirMmmmm j’ai connu ça aussi…Aujourd’hui je suis passée à un autre stade, où je n’ai plus besoin de mon côté masculin qui regarde mon côté féminin…J’ai progressivement glissé à un état de femme qui a du plaisir, qui vit son plaisir de l’intérieur, sans le truchement du masculin. C’est délicieux…Pour moi ! Tout le monde n’appréciera peut-être pas de passer de l’autre côté de la sorte évidemment…
je vous embrasse, très chers et très chère
Vous en êtes un autre 🙂
A bientôt, belle nuit !
Naomi
15 juin 2018 à 0 h 29 min #28486bzoParticipantune danse pour terminer en beauté cette journée,
une danse sacrée,
le plaisir dansait en moi,j’étais une piste de danse,
des pieds légers en moi,
je n’étais plus qu’une bouche,
une bouche accrochée à un sexe,
une bouche accrochée à un volcan,
une bouche comme une cheminée sonore
pour exprimer le feu en moi, la lave en moile feu comme une belle gitane dansait,
ses jupons colorés partout en moi
voletaient, tournoyaient, effleuraient, frôlaient,
c’était une fête tout en voiles frissonnantes,
tout en voiles frémissantes,
dans mon sang, dans ma chairentre terre et ciel, une échelle un instant,
quelque chose est monté,
quelqu’un a monté15 juin 2018 à 7 h 31 min #28487bzoParticipantquelle meilleure façon de commencer une journée que par un orgasme?
quelle meilleure façon de s’éveiller
qu’en se surprenant à se caresser,à s’effleurer la raie du cul,
à se sentir une bien dure contraction remontant le fondement?oh je gémis comme dans un rêve, le plaisir est-il dans mon rêve,
est-ce un plaisir de rêve ou suis-je encore en train de rêver au plaisir?
non, non, ce doigt qui s’enfonce bien fort dans mon cul à sec
qui va à la rencontre de mes muscles se contractant,
provoquant des étincelles de plaisir dans tout mon corps,
il est bien réel, c’est ma chair
à la rencontre de ma chair,
c’est ma chair allant à la rencontre du plaisirbon dieu comme je gémis, oh c’est tellement bon,
ce miel ardent qui m’emplit, qui déborde dans mon cerveau,
ça y est, je jouis, des vagues et encore des vagues,
la chair est rafraîchie, la chair est légère, la chair est en fêtebonjour tout le monde, bonjour plaisir,
bonjour moi-mêmeje vous embrasse tous et toutes
15 juin 2018 à 9 h 28 min #28499JieffeParticipantBonjour bzo,
c’était parce que celui qui regarde, celui qui voit tout cela,
c’est moi, le mâle, c’est mon moi masculin,
alors que celui qui agit, celui qui caresse,
celui dont le bassin ondule, celui dont le corps lascivement est en mouvement,
c’est ce féminin qui s’est emparé de mon corps
et qui l’anime selon son désir et selon son plaisirC’est très intéressant ce que tu dis là. Oui, ce doit être très excitant, une belle expérience à vivre certainement.
j’y ai perdu en spontanéité certes,
mes séances en a-less sont moins instinctives,
font appel à une technique beaucoup plus élaboréeNe crois tu pas qu’à force de pratique, elle deviendront de nouveau spontanées, naturelles?
15 juin 2018 à 10 h 18 min #28504AndranerosParticipantj’y ai perdu en spontanéité certes, mes séances en a-less sont moins instinctives, font appel à une technique beaucoup plus élaborée
Je partage l’opinion de @jieffe. A force de pratique toute technique devient naturelle voire instinctive. Tous les débutants devraient avoir cette phrase en tête.
Patience, confiance et pratique, patience, confiance et pratique, patience, confiance et pratique…
Bon cheminement @bzo.
15 juin 2018 à 21 h 31 min #28525bzoParticipantterminé de manger, pris ma douche, réglé quelques affaires courantes,
temps d’aller me mettre un peu de crème au cul,
j’ai testé il y a quelques minutes avec le doigt,
mon anus est tellement sec qu’il n’y aurait pas moyen d’y enfoncer une allumettetemps aussi, je me suis rendu compte d’arrêter d’analyser ce que je fais,
de faire à présent confiance à mon corps, de laisser à nouveau parler mon instinct,
je lui ai donné quelques accessoires, quelques techniques supplémentaires,
les ai testé dans tous les sens, perçu leur potentialité, leurs limites,
contrairement à ma pratique avec masseur,
il y a définitivement moyen d’intégrer toutes sortes de manières différentes de se donner du plaisir,
le a-less est beaucoup plus souple, aucune limite d’aucune sorte en fait,
une fois que notre prostate est totalement éveillée,
c’est éclectique, protéiforme, au possible,
on peut faire pratiquement ce qu’on veutune de mes actions favorites actuellement
est une variation de cette position à mon bureau que j’aime tellement,
je mets les pieds sur la table, les jambes bien écartées,
je suis dans la position ainsi d’une femme chez son gyneco,
les pieds sur les étriers, grande ouvertela variation est que je m’enfonce un doigt bien loin dans le fondement,
et puis j’entre en action,
avec une main je caresse mon sein, mon flanc lentement
et puis les contractions font bouger le doigt dans mon anus,
la main est sous les couilles, appuie aussi sur le périnée,
toute cette zone est très érogène
et la main s’est étendu là pour pouvoir enfoncer le doigt dans le fondementavec chaque contraction, les doigts bougent,
celui enfoncé dans l’anus, est happé comme d’habitude par les muscles de la contraction,
semble en contact directement avec ma prostate,
tellement je la sens vibrer non loin de là
à chaque fois que le contact a lieu entre le doigt au nid et la contractionsous le scrotum cela frotte délicieusement aussi
et le périnée est pressé aussi,
très vite, en quelques secondes, le plaisir devient tellement intenseje ne peux me retenir de hurler de plus en plus fort, tant pis pour les voisins,
bon dieu de bon dieu,
ce doigt enfoncé dans mon cul, il va me rendre fou16 juin 2018 à 1 h 35 min #28529bzoParticipantj’adore me caresser les seins,
ce sont les ports d’attache de mes mainsil y a toujours un moment quand je les ai empoignés,
les pressant lentement vers le haut,
mes paumes glissant au ralenti dessus
en frottant au passage avec insistance les mamelons
où ils vont me faire sentir le féminin éveillé en moi
comme à nul autre moment“sens comme tu es femme là en ce moment, femme avec toutes ses courbes”
semblent me susurrer les pointes dures frottées lentement
et les globes de chair pressés, malaxésdes seins qui se balancent en rythme,
qui dialoguent harmonieusement avec la houle des hanches,
tu n’as pas cela
mais sens malgré tout comme tu es femme en ce moment,
malgré aussi cette paire de couilles qui se balancent plus bas
et ce petit tuyau de chair tout flasque
prêt à se gorger de sang et à se dresser16 juin 2018 à 4 h 00 min #28530bzoParticipant04h du matin
après une nouvelle nuit de luxure et de débauche solitaire
où je n’ai pas arrêté de me baiser et de jouir,
je me suis décidé dans un moment d’humeur rétro, vintage
à sortir mes deux masseurs préférés de leur boîte, le Vice et mon G-Riderd’abord le Vice, je me suis dit, il est moins gros,
avec le temps, débuter avec l’autre qui est plus volumineux,
c’est peut-être un peu risquédonc Vice d’abord puis G-Rider,
aussi dit, aussi fait, sorti aussi le lubrifiant,
me voilà avec le Vice dans le fondement,
pas grand chose comme sensations,
au bout de quelques minutes, dans une tentative déjà désespérée d’obtenir des résultats,
je passe au G-Rideril entre assez facilement finalement,
faut dire que ces derniers jours, j’y allais parfois avec tous les doigts,
alors pas de problème de taillecependant la déception a été énorme
et j’ai arrêté là aussi après 5 mn,
le fait de ressentir un corps étranger dans mon trou de balle,
me dérangeait vraiment,
j’y étais vraiment plus habituéet puis surtout,
si au début j’essayais de reproduire avec les contractions
le comportement d’un masseur,
cette nuit , cela a été le contraire,
avec le masseur j’ai essayé de reproduire les contractions
et cela n’a pas marché bien sûrce masseur, c’est un objet avec une forme fixe,
là j’ai compris que les contractions ne font pas seulement naître
une sensation de sexe me pénétrant,
reproduisant toutes sortes de variétés de mouvements
mais aussi que la forme était mouvante, sans cesse mouvante,
s’adaptant à mon désir et à mon anatomie à volontéalors que là, le masseur, ben il est forcément une forme fixe,
je le rentrais et je sentais cette forme qui remontait en moi
et qui restait obstinément la même tout le long de la trajectoire,
cela sidérait mon corps qui était habitué à autre chose ces dernières semaines
et qui a rejetait ce corps étranger à forme fixe
avec lequel j’essayais d’obtenir du plaisirpour me consoler, sur mon fauteuil bas après,
je me suis assis sur ma main, trois doigts bien enfoncés dans mon cul,
j’ai commencé les contractions,
les alliant avec des mouvements du bassin
et me caressant langoureusement de l’autre main,
gardant de temps à autre les yeux fermés
puis les ré-ouvrant pour déguster la houle tellement féminine qui animait mon corpsmon torse sur laquelle se déplaçait lentement ma main
était tout tendu, à l’écoute, le plaisir rejetait ma tête régulièrement vers l’arrièrede temps à autre je sortais la main de mon cul
et j’allais envelopper mon sexe , le presser,
serrer autour très fort les cuisses
puis faisait remonter des contractions
qui bougeaient tout celamon sexe bougeait un peu dans ma main, c’était délicieux,
des ondes de plaisir se répandaient dans tout mon corps,
c’est tellement intense,
ce pénis en cage, se frottant à ses barreaux,
contribuait à mon plaisir prostatique dans des proportions phénoménalesje remontais vers mes seins, comme c’est bon de les empoigner, de les serrer,
je redescendais vers mon cul,
restait aux abords de mon anus en feu,
passait et repassait dans la raie,
enfonçant juste le bout d’un doigt, cherchant à happer celui-ci avec une contraction bien forteje restais ainsi de longues minutes à divaguer de plaisir en roue libre,
temps d’aller dormir
mais j’ai encore envie de plaisir, de jouir,
je suis insatiable, ma chair est insatiable,
je pourrais faire cela 24h sur 24
tellement c’est bon, tellement c’est intense,
j’ai l’impression d’être incandescent de plaisir16 juin 2018 à 10 h 43 min #28531bzoParticipantma journée a recommencé sur les chapeaux de roue
je sors d’une délicieuse séance d’une vingtaine de minutes
(ce qui est particulièrement long pour moi en a-less),
j’étais sur mon fauteuil repose-pieds,
je vais l’utiliser plus souvent celui-là,
j’ai remarqué que j’avais toujours d’excellentes séances quand je l’utilisais,
que je prenais la peine de quitter mon bureauje suis resté la plupart du temps les yeux fermés
sauf quand je me concentrais exclusivement sur les caresses ,
alors j’adore ouvrir les yeux, voir mes mains parcourir mon corps,
je les suis du regard, je suis là avec elles sur la peau,
une sensation d’épanouissement dans toutes ces courbes que j’effectue sur ma peau,
je sens les formes du féminin sous mes doigts,
comme elle exulte, comme elle se cambre sous les caresses qui l’enflamme,
sous les caresses qui soulignent ses formes délicieuses
dansant sous les doigts, ondulant de plaisirle corps est dans l’océan, les vagues arrivent, je m’éloigne du rivage,
quelle puissance qui m’envahit, elle vient de toutes les parts du globe,
elle a fait le tour de l’univers depuis la nuit des temps
cette force qui m’a envahi, qui me submergede la sensation de sexe ouvert entre mes jambes jusqu’à ma bouche,
je sens une allée bienheureuse, une allée surpeuplée de sensations,
qui quand elles arrivent dans ma bouche,
s’envolent une à une en gémissements, en râles, en longs cris plaintifs,
et j’ai pensé un instant à toi là, Naomi,
car tu as évoqué ce genre d’image il y a pas longtemps dans un de tes textesflux exalté, flux mélodieux,
tantôt torrent déchaîné, tantôt fleuve large, fleuve majestueux
établi en moi
qui se termine en sons chauds, en sons d’entrailles heureuses,
en sons de chair enivréej’ai bien senti les doigts enfoncé dans mon fondement,
à quel point ils faisaient partie de la contraction,
ne formaient plus qu’une masse pénétrante, remonte, fouillante, remuante,
installée en moi pour générer des perturbations sans cessecela me rend dingue de sentir ce pal de chair dans mes entrailles,
cela n’arrête pas d’être insupportablement bon, insupportablement flamboyant,
on a envie qu’il monte jusqu’à la bouche,
qu’il continue, qu’il monte jusqu’au ciel, jusqu’aux étoileset puis quand je saisis mon sexe et mes couilles, que je mets la main dessus,
serrant plus ou moins fort, osant quelques changements de position même
pour changer le flux de sensations se dégageant d’eux,
là aussi je sens à quel point elles sont intégrées au flux principal émanant des contractions,
ils ne forment qu’une masse, renforcée délicieusement ainsi,
je me sens là aussi pénétré irrésistiblement,
quel va et vient, cela frotte,comme cela frotte divinement, cela enflamme
il va et vient comme un maître-queue, il manie son gourdin comme un dieu,
il me rend fou de plaisir, je suis en roue libre,
je dévale des pentes sur une collines verdoyantes au loin, sous un ciel ensoleilléje rouvre les yeux, je caresse lentement ma poitrine,
comme elle est gonflée, comme elle vient à la rencontre de mes doigts,
je déguste ses rondeurs, toutes ces courbes de mon corps,
toute cette houle sous mes doigts que je perçois,
océan, cher océan, mercije vous embrasse
17 juin 2018 à 9 h 39 min #28542bzoParticipantdans la semi-obscurité,
je n’étais pas encore sûr tout à fait qui j’étais,
ni quel jour on était
mais mon instinct comme premier acte au réveil,
entraînait déjà ma main vers la raie de mon culj’étais couché sur le ventre, les jambes en ciseau,
la paume de la main vint se poser sur le globe d’une fesse
tandis que les doigts bien serrés les uns contre les autres,
se frayaient déjà un chemin dans mon fondementhum, mon anus est distendu un peu du fait
que les doigts restaient bien alignés les uns contre les autres,
je sentais le gain en profondeur, je les sentais de plus en plus profond en moi,
je remuais lascivement un peu le bassin
comme une femme qui voulait faciliter
la progression du sexe en érection de son amant à l’intérieur d’ellecela rentrait doucement mais sûrement,
pas besoin de se presser, cela frotte mieux, cela se déguste mieux
quand c’est bien lent, au ralenti le mouvement est plus long,
on ressent chaque millimètre de chair frottée sur le parcourscela rentrait et cela descendait aussi,
tous les muscles de la région se sont tendus
et la contraction dans l’autre direction arrivait,
les doigts sont happés, enveloppés expertement par les muscles de la contraction,
le contact est fait, je sens ma prostate qui commence à vibrer,
comme une décharge électrique de chaleur et de frémissements,
cela se répand dans mon bassin, je bouge langoureusementj’essaie d’écarter autant que possible les jambes,
sentir les doigts de plus en plus profond en moi
tandis que je continue à appliquer la contraction,
tout mon corps maintenant est envahi par les vagues de plaisir,
je gémis et je continue à bouger lascivement,
à cambrer mon cul, les jambes bien écartées en ciseau sur le ventre,
à l’offrir sans réserve, je n’ai qu’une envie, c’est d’être pris, d’être baisé
“viens plus fort, plus profond, baise-moi, baise-moi”j’enlevai la main, la remonte en caressant au passage la fesse, le flanc,
m’attarde longuement sur le sein,
j’ouvre les yeux pour m’imbiber de la vision du mamelon enveloppé par les doigts,
pressé, malaxé et du mouvement langoureux qui anime tout mon corps,
tout son corps de femme en chaleur, de femme prise de bon matin,
les sens en éveil, envahie de sensations délicieuses de tous côtéscela ondule lascivement de partout, plein de courbes en action,
ma paume est chaude, ma paume est emplie,
ma main va et vient,
fait des allers-retours entre mon sein, mon fondement et puis mon sexe
qu’elle vient envelopper des doigts,
je resserre à ce moment les cuisses sur ce petit paquet empli d’explosifs
et je bouge du bassin, je ondule de plus en plus fort
tandis qu’un grand mouvement de pénétration est initié aussi par mes reins
en conjugaison avec une contractionje râle, une digue quelque part a éclaté en mille morceaux, je suis inondé de sensations,
spectre large, il y a de tout dans ce ressenti délicieux,
la sensation de pénétrer , la sensation d’être pénétré, sont délicieuses, puissantes
mon sexe dans ma main, renforce toutes ces ondesça y est, je me souviens quel jour on est,
on est dimanche, le jour du seigneur,
il est enfoncé bien profond en moi, le seigneur,
et je me souviens aussi qui je suis maintenant,
je suis le gars qui éprouve du plaisir prostatique à la pelleje vous embrasse tous
18 juin 2018 à 0 h 09 min #28578bzoParticipantma posture préférée encore, je ne m’en lasse pas,
rien que de me mettre dans cette position,
je suis déjà excité comme une puce lubriqueje mets les jambes sur le bureau bien écartées,
la position chez le gyneco donc, pieds sur les étriers,
je me retrouve ouvert de chez ouvert, je sens mon corps prêt à l’action,
mon cul est là à portée de main, comme il est à portée de main, tout est bien à portée de main en fait
je sens ma prostate toute excitée dans sa niche, prête à vibrer,
mon petit moteur chéri, ma petite pile atomique sexuelleje commence immanquablement par les seins,
je les prends à pleine mains,
je passe dessus avec les doigts, puis les paumes lentement,
dans la foulée ce sont les coudes maintenant qui viennent passer dessus en pressant,
frottant les mamelons avec leur pointe dure au passageje reste ainsi à serrer les bras devant ma poitrine
et je laisse une contraction remonter dans mon fondement,
je rouvre les yeux, je veux voir mes mains caressant,
je veux voir mes mains caressant
ce corps ondulant, ce corps balancé par une houle voluptueuse,
ce corps mu par le féminin, il devenu tellement gracieux,
tellement harmonieux dans la volupté,
il semble tout en courbes, tout en ondulations graciles,
souplesse animale, ballet de mes mains, chorégraphie sensuellelà, les choses sérieuses commencent, j’approche un doigt de mon fondement,
avec mes pieds sur le bureau, je suis presque à l’horizontale dans mon fauteuil de bureau,
et mon bassin avec d’un côté mon sexe
et de l’autre mon trou de balle légèrement lubrifié avec ma crème
semble un plateau de fruits offert à ma convoitiseça y est, le doigt s’enfonce, il glisse bien
mais ce n’est pas une patinoire comme avec du lubrifiant,
immédiatement un cri rauque s’échappe de ma gorge,
la contraction vient prendre contact avec l’intrus,
les muscles l’enveloppe, bientôt le doigt semble faire partie de la contraction,
ils ne font plus qu’un,
torche qui fouille dans mes entrailles avec sa flamme chaude, sa flamme dansantele doigt est bien enfoncé, aussi enfoncé qu’il peut l’être dans cette position,
pour cela la main vient prendre appui sur le périnée
et sous les couilles,
à chaque contraction, tout cela bouge, tout cela frotte,
je vous dis pas, hou la la, hou la la,
le bzo hurle comme une chatte en chaleur en train de se faire prendre par son matouce doigt, oh ce doigt diabolique, quel doigt mutin, quel doigt éveilleur d’entrailles,
il a le feu sacré, ce doigt, c’est le doigt de Superman au moins,
bon dieu de bon dieu, j’ai le fondement en feu
et puis les frottements sur les couilles et la pression sur le périnée,
quel ensemble! mais quel ensemble!
je suis en train de fondre de plaisir comme neige au soleilje n’ai jamais gémi comme cela,
ce n’était plus moi qui gémissais mais ma prostate et mon cul,
tous les deux étaient là tout entiers dans ces gémissements,
ce n’était plus ma voix, ce n’étaient plus des sonorités dont j’étais capable
c’était quelqu’un d’autre,
un animal en rut qui s’est installé en moi, qui parlait avec ses entrailles
et dès que j’ai entendu cette voix,
mon orgasme a décuplé de puissance,
je partais en roue libre d’entendre cette voix qui semblait plus mienne
et porteuse d’un plaisir qui semblait aussi , ne plus être le mien
mais une sorte d’orgasme surnaturel, extra-terrestreje me disais à m’entendre, “bon dieu, c’est moi qui est en train de jouir comme cela?
c’est moi cela, cet animal en rut en train d’hurler sans réserve le plaisir qui secoue ses entrailles?”oui c’était moi, comme c’était bon,
du transport en première classe,
merci la SNCF, la société nationale des coïts dans le fondementje vous embrasse et une toute particulièrement
à qui je dédie ce bel orgasme18 juin 2018 à 22 h 04 min #28584bzoParticipantterminé de manger, régler quelques affaires courantes,
aux loisirs et au plaisir maintenant,
me mets un peu de crème au cul, retourne vers mon bureaucomme ma prostate est de plus en plus réactive,
comme ma prostate est de plus en plus puissante,
je le sens immédiatement, à la première caresse, à la première contraction,
ma petite dynamo d’amour,
dans mes flancs tu ouvres des vannes secrètes,
tu ouvres des vannes tellement précieuses,
tellement vitales, tellement essentiellesje me sens inondé d’un miel chaleureux, d’un miel doux, d’un miel soyeux,
je le sens dans mes muscles, dans mes organes, dans mes os,
qui s’infiltre partout,
dans mes plaies, dans mes engrenages, dans ma fatigue, dans mes nerfs, dans mon cerveau,
la boxe, le ring, tout ce qui pèse, tout qui alourdit, tout ce qui assourdit, tout ce qui abrutit,
tout ce qui combat, tout ce qui s’abat, tout ce qui s’use, tout ce qui se perd,
tout cela est oublié, tout cela est ressuscité, tout cela est plein de vie comme au premier jour,
énergie primale, je baigne dans la source,
dans la source qui ne vieillit jamais,
dans la source qui reste aussi intacte, aussi jeune, à notre mort
qu’à notre premier jourtant de volupté, d’où me viennent toutes ces courbes, toutes ces ondulations?
tellement de feu dans le moindre effleurement,
tellement de houle frémissante dans le moindre mouvement,
mes mains éveillent tellement de lascivité, tellement de chaleurje presse un peu mon sexe, quelques contractions le bouge lentement sous mes doigts,
délicieux frottements, quelle puissante sensation de pénétration,
je rouvre les yeux pour voir mes seins pressés, mes seins caressés,
quelle fièvre, cela ondule de partout, cela frémit de partout,
comme c’est délicieux comme spectacle, ce corps déchaîné, ce corps à l’oeuvre,
ce corps en action, ce corps livré au féminin, ce corps délivré au féminin,
toute cette sensualité suave,
je me sens déchaîné, je me sens en chaleur, je me sens libéré, je me sens découplé,
l’impression de galoper comme un mustang sur des plaines sans finje m’assois sur ma main, les doigts s’enfoncent en moi,
remontent en moi, je bouge un peu pour qu’ils s’enfoncent bien,
comme ils glissent bien, comme ils sont plantés en moi,
comme cela frotte divinement,
mes muqueuses n’en peuvent plus en quelques instants,
elles sont en feuje commence à danser sur mes doigts bien à la verticale,
avec mon bassin qui ondule d’avant en arrière
et mes contractions qui semblent vouloir les aspirer,
les entraîner comme des sirènes tentatrices vers les profondeursje tremble de plus en plus fort, le plaisir devient d’une densité inouïe,
c’est tellurique, cela secoue dans tous les sens, la moindre fibre de mon être est en transe,
toute une série de secousses brèves s’enchaînent pendant une minute ou deux,
orgasmes en rafales18 juin 2018 à 23 h 08 min #28585bzoParticipant44 minutes très exactement que j’ai terminé mon message juste au-dessus
pourtant j’ai l’impression que c’était il y a une éternité déjà,
une éternité de plaisir et d’orgasmes,
ma pratique décolle toujours plus, il n’y a plus rien qui me retient,
plus rien qui me retient,
ma prostate est un moteur sur-puissant
qui se met en route à la moindre sollicitation,
qui m’envoie valdinguer dans la stratosphère en un clin d’oeilaprès la main enveloppant le sexe,
après la main par derrière avec quelques doigts enfoncés dans le fondement,
après un doigt bien enfoncé par-devant dans mon petit trou de balle
le reste de la main posé sur le périnée, sous le scrotum, enfin sur toute cette zone,
une nouvelle variation, j’élargis encore ma gamme
peut-être la meilleure de toutes mes trouvailles, je suis enthousiaste,
cela a l’air, en tout cas, très très prometteur,
je suis excité comme une pucela main posée juste à côté des couilles frottant vaguement contre l’une,
un doigt ou l’autre, de temps à autre changeant de position,
pressant un tout petit plus contre, voire pas du tout
tout en nuances, en léger appui, pression légère
mais dans cette zone tout autour des parties génitalesles effets sont tout simplement stupéfiants, je n’en revenais pas,
j’applique mes contractions, les sensations semblent être du pur aneroless à 100%
ou alors tellement proches que c’en est bluffant
et pourtant je sens clairement qu’il y a boostage, décuplement des sensations,
de par la position de la main à proximitéc’est subtil, sophistiqué et tellement progressif,
tellement tellement progressif dans l’augmentation de la tension sexuelle,
je retourne de ce pas explorer ce nouveau panet c’est valable aussi dans la zone anale,
la main donc plus directement enfoncée dans mon fondement
mais installée dans la zone , un ou deux doigts légèrement dans la raie,
parfois un peu plus enfoncée, parfois pas du tout,
on peut faire varier à l’infini en bougeant légèrement les doigtsje me rends compte qu’après avoir utilisé les mains comme je l’ai fait depuis quelque temps
dans la zone anale et de mon sexe,
directement en contact, fortement en contact même,
je découvre là peut-être la meilleure façon d’exploiter ces zones,
une façon tellement plus subtile, plus riche et plus variéeet où il y a moyen d’obtenir une progressive augmentation de la tension sexuelle
avec une facilité déconcertante19 juin 2018 à 8 h 01 min #28593bzoParticipantla façon dont j’utilisais jusqu’ici la main dans le bassin
la main en coquille sur les parties génitales,
pressant légèrement, mon petit paquet de chair bien passif
mais bougé par les contractions, activé par les contractionset puis la main par derrière,
quelques doigts enfoncés dans le fondement, bien plantés,
la paume embrassant une fesseces deux actions si puissantes, si délicieuses, donc,
n’étaient que la partie immergée de l’iceberg,
la partie immergée de la façon de les utiliser,
la façon extrême, le potentiomètre poussé à fondce que je viens de découvrir c’est qu’il y a mille manières plus subtiles,
plus nuancées,
les sensations sont beaucoup plus progressives, plus riches, plus variéesavec la main par devant,
les doigts effleurent juste la bourse, un doigt presse un peu plus fort
puis se retire,
la main va juste rester à côté, en appui en-dessous de l’aine,
pressant un peu, pas loin du sexe, des couilles, se rapprochant, effleurant,
c’est confondant à quel point ainsi
la qualité des sensation se diversifie et s’améliore encore,
une progression délicieuse de l’intensitéavec la main par derrière aussi,
juste s’asseoir déjà sur la main, celle-ci enveloppant une fesse,
on se met à bouger, à onduler avec les hanches,
à reproduire des va et vient, des ondulations du bassin,
la main boit les mouvements, s’imbibe, amplifie ce qu’on ressent,
les sensations de pénétration sont décuplées, irrésistibleles doigts maintenant vont un peu dans la raie,
en coordination avec les contractions toujours,
se déplacent un peu pour varier les effet,
à chaque changement d’emplacement des doigts,
c’est comme si le pénis en action en nous changeait son mouvement, changeait de direction,
les sensations changent de couleur,
quelle incroyable panoplie!les doigts entrent légèrement dans l’anus, cela fouille vaguement,
quel nid de chaleur, de frissons,
tout un nouveau continent de sensations19 juin 2018 à 22 h 12 min #28605bzoParticipanttantôt je m’apprêtai à prendre ma douche,
j’étais nu à côté de la baignoire,
je commençai à faire couler l’eau chaude,
enfin en principe chaude…
ces derniers temps, elle met parfois un temps fou à atteindre une température acceptable,
peut-être est-ce du au fait que dans l’appartement à côté, il y a maintenant une famille nombreuse,
quand ceux-là prennent leur douche l’un après l’autre,
ils doivent épuiser toutes les réserves d’eau chaude de la chaudière,
enfin c’est juste une suppositionen tout cas, j’étais donc à côté de la baignoire à m’impatienter
puis je me suis dit autant mettre à profit ce laps de temps
et me voilà déjà me caressant la poitrine avec passion et langueur,
ondulant du bassin, descendant les mains le long de mes flancs,
sentant leurs courbes sous mes doigts,
sentant la houle dans mes hanchesje descend la main vers mon cul
mais l’arrête sur la fesse, la paume vient se coller à elle,
se tapir contre elle, en épouser le globe,
j’effectue des lents mouvements de pénétration,
avec mes reins, avec tous mes muscles de région, engagés,
les contractions en éclaireursma main comme un buvard s’imbibe de tous ces mouvements,
de toutes ces ondulations, de toute cette langueur, de toute cette lascivité
qui ont envahi ma chair,
ma paume, mes doigts inertes sur ma fesse,
semble une caisse de résonance
bientôt emplie de toute cette chorégraphie sensuelle de mon bassin,
de toute cette houle délicieuse, suave, vibrante,
je la sens passer entièrement dans ma main, l’emplir,
elle devient grouillante d’ondes gracieuses, érotiques
de plus en plus décupléestout mon corps bientôt est empli par ce rythme,
par ces courbes en mouvement, par cette houle sexuelle,
je me laisse aller, j’abdique toute volonté,
je me laisse entraîner, le plaisir m’emporte,
je ne suis plus qu’un jouet emporté par les flots,
gémissant de plus en plus fortj’ai retrouvé grâce à cette façon plus subtile, plus nuancée
d’utiliser la main au derrière
toute la progressive augmentation de la tension sexuelle d’une vraie séance,
cela me manquait avec mes micro-séances
où le plaisir était maximal dès le premier instant mais n’augmentait que peu,
éclatait de temps à autre en un orgasme plus ou moins fort,
là il y a ce crescendo, cette intensité qui croît au fur et à mesure,
où le délire s’installe progressivement,
tout est encore plus possible ainsi, les limites semblent encore moins existeralleluia
19 juin 2018 à 22 h 32 min #28606bzoParticipantoù le plaisir était maximal dès le premier instant mais n’augmentait que peu,
maximal n’est pas le terme exact, très intense, disons
20 juin 2018 à 0 h 24 min #28640bzoParticipantquel long et merveilleux orgasme
j’étais juste assis sur ma main, les doigts parfois glissant un peu dans la raie
puis ressortant, jouant aux alentours,
je dansais dessus, mon bassin allait et venait, entamait des petits mouvements latéraux,
tournait par-ci, tournait par-là,
une vraie essoreuse tournoyant au ralenti lascivement
une croupe de plus en plus en feu
au rythme des contractionsles doigts maintenant s’aventuraient plus dans la raie, effleuraient l’entrée de l’anus,
l’agaçaient, s’enfonçaient un tout petit peu, ressortaient,
remuaient comme des petites souris, minaudaient
et moi je râlais de plus en plus fort,
et moi je n’en pouvais plus
ce plaisir qui montait progressivement, tonnerre de Brest, mille tonnerres de sabords,
c’était quelque chose qui vous retourne les tripes comme une crêpe,
mon tronc bougeait lentement, lentement,
j’étais comme traversé de longues vagues de chaleur, de de longs frissonslà, maintenant je me lève un peu
et je pèse de mon poids pour m’enfoncer cul sec de quelques centimètres,
quelle fournaise, quelle tempête, je crie maintenant, c’est trop,
je danse de plus belle avec mon bassin ,
embroché que je suis, délirant de plaisir que je suisj’aimerai rester ainsi pour l’éternité
avec ce plaisir si vif m’inondant de la tête aux pieds
et particulièrement la tête,
mon cerveau en ébullition, mille feux d’artifice éclatant,
un torrent, un raz de marée, que sais-je,
les mots ne sont plus que des mots, à partir d’un moment
et ce qu’on a vécu, tellement puissant, nous expulsant tellement hors de ce monde
dans une extase, une jouissance dans une autre dimension, une autre galaxie,
un autre espace-tempsben non, en fait on était là, quelque part au milieu de cette chair exultante,
au milieu de cette chair en fête
comme au fond d’une barque à la dérive, secouée par les flots,
j’étais en communion,
avec qui, avec quoi, je ne sais pas, avec moi-même seulement peut-être
mais j’étais en communion, j’étais recueilli, j’étais absorbé,
dévotion,adoration, béatitude,
païennes, orgiaques20 juin 2018 à 2 h 42 min #28641bzoParticipantje n’arrête pratiquement jamais chez moi,
pourquoi s’arrêter? comment s’empêcher?je vais m’acheter un kimono d’été et un kimono d’hiver,
cela s’ouvre facilement,
on a les parties intéressantes du corps à l’air en un instant,
les mains qui s’introduisent en-dessous et déjà cela s’ouvre automatiquement,
la poitrine est là, le bassin est là
et le sexe est là, les fesses sont là,
le tout à portée de main, à portée de plaisirorganisé le bzo, pas question que je sois plus habillé que cela chez moi,
je veux pouvoir m’adonner à mon vice, à mon addiction
comme cela me chante, comme cela m’enchanteje n’ai fais que cela donc ce soir,
avant j’avais mes occupations quotidiennes que je ponctuais de petites séances,
désormais c’est le contraire
je ponctue mes séances un peu d’occupations plus terre à terre,
évidemment cela n’aide pas à la gestion de la vie courante,
je commence à être en retard dans certains domaines,
j’ai une liste de tâches qui se ralonge,
il va falloir que je me secoue un peuenfin me secouer, je ne fais que cela, un peu trop même…
la vedette de la soirée a été les séances assis sur ma main,
bougeant beaucoup le bassin dans tous les sens langoureusement,
la paume buvant tous ces mouvements,
diffusant tout cela vers le reste du corps, décuplé,
je ressens ainsi la houle sensuelle de mon bassin dans tout mon corps,
c’est délicieux, on n’y résiste pas longtempssurtout que les doigts en plus,n’en font qu’à leur tête,
dans la raie de mon cul, vont, viennent, chatouillent, touillent,
vont s’enfoncer un peu dans l’anus,
parfois beaucoup, alors c’est une explosion à chaque fois,
ma tête se rejette complètement vers l’arrière,
tellement est forte la déflagration de plaisir
et je reste ainsi de longues secondes, jouissant, jouissant, jouissantje retire ma main, elle continue d’épouser le globe de la fesse,
je recommencer à bouger avec le bassin,
simulant les va et vient d’une pénétration,
je suis aux deux bouts, je sens l’engin turgescent s’enfoncer en moi,
enflammant tout sur son passage
et puis je manie l’engin, je le sens bien dur, je suis fier de lui,
comme il est conquérant, comme il est dressé, quel guerrier,
va, fraie-toi un chemin dans ses entrailles,
taille ton chemin sans ménagement, fais tressaillir tout sur ton passageje retire ma main de derrière
et je viens envelopper et presser pendant quelques secondes mon sexe et mes couilles,
grosse décharge de plaisir, cela explose dans mon cerveau,
cela pulse partout dans mon corps, des stroboscopes de sensations,
j’enlève ma main, je la mets sur le haut de ma cuisse,
un doigt venant effleurer une couille, un autre pressant un peu le périnéeje recommence ainsi des contractions, je les sens beaucoup plus puissantes,
les sensations sont décuplées de par la main qui repose pas loin du sexe,
effleurant ma bourse, pressant le périnée,
des ondes supplémentaires viennent corser les sensations issues des contractions
et de l’autre main qui caresse les flancs et les seins lentementje bouge un peu le doigt, je l’enfonce un peu plus dans la couille
et je presse plus fort sur la cuisse et le périnée,
l’effet immédiatement se fait ressentir à la contraction suivante,
mes gémissements redoublent d’intensité,
je ne suis plus loin de l’orgasmeje retire la main de la zone
et vient caresser avec langueur et suavité mes seins,
me concentre particulièrement sur mes contractions,
essaient de bien les sentir s’enfoncer en moi,
sentir chaque millimètre de la progression,
sentir comme cela frotte divinement en moi,
comme des frissons et des vagues de chaleur naissent sur leur passage
et se répandent dans tout mon corpsje redescends la main , passe à côté de mon sexe,
mets le bout d’un doigt légèrement dans l’anus
et laisse le reste de la main reposer comme elle a atterri,
je me concentre bien sur les sensations qui naissent,
la digue est prêt de se rompre, la cocote-minute d’exploser,
je rejette la tête en arrière, je laisse aller mes gémissements,
je me lâche, je lève toutes les défenses,
comme si je descendais un toboggan glissant en moi,
le plaisir me happe au passage comme sur un tapis volant,
je suis porté, je suis emporté, je m’envole, je m’élève,
je disparais, je ne suis plus là,
il n’ y a plus que de la jouissance là où j’étais encore il y a quelques instants,
disparaître de soi, être remplacé par l’orgasme qui explose dans sa chair
et empli notre tête20 juin 2018 à 8 h 43 min #28643JieffeParticipantBonjour bzo,
J’interviens peu en ce moment, mais je vous lis toujours, et je lis chacun de tes textes. Je suis vraiment heureux pour toi et pour ce que tu vis. Tu sembles définitivement parti dans la stratosphère, c’est génial.
Je suis vraiment content pour toi.Une belle journée à toi.
20 juin 2018 à 10 h 28 min #28648bzoParticipantquinze minutes après ma petite séance,
enfin plutôt ma suite de petites séances,
mon sexe coulait encoreil m’a fait danser entre ses bras,
on a tournoyé, tournoyé, tournoyé,
j’étais liane en mouvement entre ses bras,
toutes mes courbes étaient éveillées, étaient en mouvement
je me laissais guider, il me tenait par la taille,
je n’avais plus qu’à me laisser aller, à me laisser prendrej’étais pris, comme j’étais pris, le rythme était partout en moi,
j’étais pris par la houle,
le plaisir m’a pris dans ses bras,
je me suis laisser aller, j’ai rejeté la tête en arrière
et j’ai gémis, gémis, gémis,
n’ai plus rien fait d’autre que gémir
et me laisser aller au rythme de la houle partout en moi20 juin 2018 à 10 h 33 min #28649bzoParticipantBonjour bzo,
J’interviens peu en ce moment, mais je vous lis toujours, et je lis chacun de tes textes. Je suis vraiment heureux pour toi et pour ce que tu vis. Tu sembles définitivement parti dans la stratosphère, c’est génial.
Je suis vraiment content pour toi.Une belle journée à toi.
viens plus souvent, tu te fais rare. @jieffe
Je ne sais pas si c’est dans la stratosphère que je suis parti
mais je suis parti quelque part, c’est certainmais je ne suis pas encore totalement satisfait,
cependant ce serait indécent de me plaindre,
vu les résultats que je parviens à obtenir -
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