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  • #30682
    bzo
    Participant

    une première séance ce soir, une bonne demie heure

    des moments tellement soyeux, tellement voluptueux,
    je me suis beaucoup caressé,
    mes mains n’arrêtaient pas d’aller et venir,
    dansant sur ma peau, langoureusement explorant chaque centimètre

    mes mains ont dirigé la séance, comme un chef d’orchestre dictant le tempo des bras,
    je l’ai senti au bout d’un moment qu’ils semblaient mener la manœuvre,
    j’avais décidé de ne plus toucher mes parties génitales directement des doigts,
    d’où cette liberté de caresser, d’aller et venir

    j’obtenais les ondes mâles avec les cuisses effleurant, pressant mon entrejambe,
    c’était délicieux, tant de nectar ainsi en moi, en vagues lentes, houle onctueuse
    j’ondulais aussi beaucoup en synchronisation avec mes caresses,
    je me sentais emporté tellement délicatement mais en même temps puissamment,
    quelle ivresse des sens de bouger ainsi, si voluptueusement, si lascivement
    avec toujours ces explosions de douceur dans l’entrejambe
    à chaque fois qu’une contraction remontait en moi
    et que j’effleurais mes parties de la cuisse

    quelles sensations raffinées, c’est de la haute couture décidément ainsi
    sans les mains directement venant sur mes parties génitales,
    juste ces frottement et ces pressions des cuisses,
    les mouvements du corps, mes hanches dansant lascivement
    et puis mes mains caressant, caressant, sonnant la charge joyeuse, la charge soyeuse

    que de sensations délicieuses ainsi, bon dieu,
    c’était du champagne pétillant et doré dans mon corps, cette séance

    #30696
    Epicture
    Participant

    Bonjour @bzo

    donc voilà, tout semble rester complètement sous contrôle chez moi

    Tant mieux. C’est rassurant. Il ne faut pas oublier que je ne suis pas autant avancé que toi et que beneficier de ton temoignage est une chose précieuse.

    Je n’ai pas moi non plus de problèmes particuliers, mais parfois j’ai quand même bien chaud, et ça c’est pas sous mon contrôle.

    Bises et bonnes sessions

    #30812
    bzo
    Participant

    qui est-ce qui est tout nu sous son grand peignoir ample

    qui est-ce qui va avoir très bientôt des mains baladeuses,
    des mains fouilleuses, des mains farfouilleuses

    hé hé, c’est votre serviteur

    quelle journée chargée, pas eu le temps de me chipoter
    sinon quelques minutes le matin avant de partir et galoper toute le temps
    mais là je viens de me terminer de manger,
    attendre un peu
    et puis après le dessert, un feu d’artifice en moi,
    un feu d’artifice de sensations,
    un feu d’artifice des sens

    #30814
    bzo
    Participant

    même pas eu lieu finalement hier soir, j’étais trop fatigué,
    première journée depuis bien longtemps sans séance

    mais ce matin je me suis déjà chipoté délicieusement de longues minutes,
    je sentais la marée du plaisir galoper en moi comme au Mont St-Michel,
    à partir du bassin , vers le haut et vers le bas,
    cela m’emplissait, ma chair était inondée de ces sensations
    de chaleur, de frissons, de nectar caressant onctueusement, chacune de mes cellules

    aller au travail
    mais je vais me tester aujourd’hui, assis à mon bureau
    des contractions
    accompagnées de pressions et de frottements de la main discrètement à travers les vêtements

    on va voir ce que cela va donner

    pas de mouvements du corps par contre et pas de gémissements,
    ce serait immédiatement détecté par mon entourage

    #30815
    Epicture
    Participant

    Moi je fais des exercices de contraction, de plus en plus subtiles, et il me monte des vagues de plaisir qui finissent par des spasmes. Les spasmes sont comme des reactions de blocage plus ou moins volontaires. Il faut donc que je soit prudent, car quand je lit le temoignage de @srephane, je me dis que ça pourrait bien m’échapper. Autour de moi personne ne s’en aperçoit.

    Bises @bzo

    #30883
    bzo
    Participant

    cette séance de trois quart d’heure aura été incroyable de bout en bout

    cela faisait quelques jours que je n’y avais plus été avec la main dans mon anus-pussy,
    là presque tout de suite avec trois doigts bien droits et bien serrés,
    dans ma petite huître bien chaude à la chair tendre et malléable,
    je les ai enfoncé lentement bien droits,
    toute cette viande s’est mis à fondre immédiatement comme du beurre à leur contact,
    à fondre comme du beurre et à devenir des vagues frissonnantes, moutonnantes

    ma croupe était relâchée, je me sentais pénétré par ces doigts,
    mes cuisses venaient presser mes parties
    et une contraction régulièrement se frayait un chemin,
    remontant comme le carrosse du roi parmi la foule en délire,
    divin grouillement,
    mes couilles et mon sexe entre mes cuisses se mettaient à bouger légèrement, à frotter,
    toutes ces ondes péniennes et vibrations de la prostate
    forment bientôt un nectar chaud, caressant qui se répand en moi,
    qui m’emplit

    je bouge peu, je bouge bien, je suis concentré comme un noyau,
    ma chair est concentrée comme un noyau tout en étant totalement relâchée,
    le moindre mouvement de mon bassin fait naître en moi
    des sensations comme des courbes gracieuses, sensuelles
    qui ondulent, dansent

    et puis mes mains tantôt m’enlacent tendrement, pressant mes flancs, pressant mes seins,
    tantôt se mettent à se déplacer lentement,
    suivies sous la peau par un feu de broussaille

    et puis chaque contraction qui en même temps fait bouger mes parties génitales entre mes cuisses,
    c’est à chaque fois une explosion de douceur, de puissance, de grâce en moi,
    tant d’harmonie jouissive à chaque instant,
    ces ondulations partout en moi, courbes langoureuses, sensuelles,
    lascivité de mon bassin, le moindre mouvement
    et c’est comme une fleur de soleil qui vient baiser ma chair,
    des rayons de lumière chaude à ne plus en finir qui se répandent partout

    un pont finit par se former,
    je n’atterris plus, je sens comme un pont en moi,
    une grande ouverture est empruntée par ce pont en son milieu,
    il semble soutenu par rien,
    il semble soutenu par rien d’autre que la lumière,
    je n’atterris plus, c’est un pont vers la lumière,
    soutenu par elle, embrassée par elle,
    le pont semble sortir de moi,
    la lumière crée de la légèreté

    #30885
    bzo
    Participant

    un pont finit par se former,
    je n’atterris plus, je sens comme un pont en moi,
    une grande ouverture est empruntée par ce pont en son milieu,
    il semble soutenu par rien,
    il semble soutenu par rien d’autre que la lumière,
    je n’atterris plus, c’est un pont vers la lumière,
    soutenu par elle, embrassée par elle,
    le pont semble sortir de moi,
    la lumière crée de la légèreté

    ce dernier paragraphe de mon précédent message
    était une tentative de description de moments bien particuliers, de moments précieux
    où après de longues minutes de progression de l’intensité,
    j’atteins une sorte de palier où s’installe comme une sorte de douce extase, de lancinante extase,
    avec une sensation d’onctuosité générale, de langueur sensuelle, dans tout mon être
    avec des passages réguliers des vagues de chaleur, de vagues de frissons

    si cet état perdure, peu à peu je perds complètement conscience de moi,
    il semble ne plus y avoir de parois, de matière, de limites, plus grand chose en fait,
    une lumière ineffable s’installe partout,
    une sensation de légèreté pulsante, vibrante,
    je baigne dans un aquarium de nectar imbibant toutes mes cellules
    et puis cette sensation de pont dans la lumière,
    un pont toute en longueur, aérien, me traversant, semblant suspendu à rien,
    passant par le centre d’une immense ouverture ronde,
    dans le lointain au-delà de l’ouverture, le pont semble disparaître dans un halo de lumière frissonnant

    #30886
    Epicture
    Participant

    Tres cher @bzo

    un pont toute en longueur, aérien, me traversant, semblant suspendu à rien,
    passant par le centre d’une immense ouverture ronde,
    dans le lointain au-delà de l’ouverture, le pont semble disparaître dans un halo de lumière frissonnant

    cette lecture me donne des frissons. Ce sont des choses que l’on peut, sous une autre forme, trouver ailleurs. Mais ecrites par toi à une heure d’intervalle, j’en frissone tellement cest beau. Je ne t’envie pas, car je perçois cela aussi, par petites bribes, qui ne demandent qu’ à grandir. C’est cela que je convoite. Rien que de le savoir m’empli de joie. Savoir que tu es un exemple vivant de cette experience me rempli de joie. Que tu sois baigné de cela me rempli de joie.
    Continue à bien en profiter…

    #30898
    bzo
    Participant

    comme cette chair est tendre, comme cette chair est accueillante,
    comme elle aime mes doigts,
    comme elle aime les sentir s’enfoncer entre ses plis humides,
    ma paume épouse bien sagement la rondeur d’un de mes globes,
    tandis que mes doigts jouent à l’explorateur

    ce qui m’a bouleversé ce soir durant cette divine séance,
    c’était de sentir cette puissance en moi,
    je me sentais vraiment comme un fétu de paille entraîné,
    cette puissance m’entraînait comme un fétu de paille
    mais avec une telle douceur,
    tout le temps il y avait cette douceur sans faille en moi
    en même temps qu’une puissance incroyable,
    c’était totalement bouleversant à ressentir

    je me laissais entraîner en levant toutes mes défenses
    car je sentais que rien ne pouvait m’arriver,
    pas un heurt qui ne soit toutes en rondeurs et en élasticité,
    pas une course folle qui ne soit pas enveloppée dans du duvet,
    quand je dévalais un toboggan, du nectar m’entourait de toutes parts,
    quand un tourbillon m’emportait, de l’onctuosité partout

    le spectre de ce plaisir est tellement vaste,
    un petit mouvement de la cuisse, une contraction
    et la sensation semble tout à fait nouvelle, encore jamais ressentie,
    je me touche du bout des doigts, je laisse courir le bout de mes doigts sur ma peau,
    je bouge un peu le bassin, quelques pressions sur mes parties génitales,
    un doigt s’égare vers mon bas ventre, vient effleurer la tête de mon pénis,
    je suis empli de frissons,
    une grosse vague m’entoure, je me tords de plaisir

    où-t-il mon partenaire, celui qui me fait l’amour comme cela?
    je sens bien sa queue en moi, elle bouge divinement,
    elle frotte dans mes entrailles, monte, monte, s’enfonce toujours plus profondément,
    par moments j’ai l’impression qu’il me remonte jusqu’à dans la bouche,
    c’est un déluge de nectar alors qui explose en moi

    mes mains, mes chers mains,elles m’enlacent tendrement,
    une contraction monte lentement, je descends l’une d’elles ,
    je plante quelques doigts dans mon anus-pussy
    tandis que l’autre vient serrer mon sein,
    une autre contraction maintenant encore plus lente, encore plus dévastatrice,
    je crie de plus en plus fort,
    ce plaisir maintenant est tellement vif dans ma chair, c’est de la folie,
    c’est mieux que la drogue, il n’y a pas un shoot d’héroïne qui peut cela,
    sentir cette incroyable ivresse, cet incroyable bonheur , cette puissante extase,
    partout en nous

    comment arrêter, alors qu’il suffit maintenant d’un léger mouvement du bassin
    ou un simple déplacement de la main
    pour immédiatement me tordre de plaisir pendant de longues secondes?
    il n’y a pas moyen de s’arrêter pour l’instant
    car le simple fait d’essayer d’arrêter,
    m’entraîne dans de nouvelles convulsions de plaisir,
    il va falloir attendre que cela se calme

    #30903
    Envole
    Participant

    Hello @bzo,

    merci encore de partager tous ces moments divins…

    J’ai adoré de nombreux passages, dont celui-ci :

    quelles sensations raffinées, c’est de la haute couture décidément ainsi
    sans les mains directement venant sur mes parties génitales,
    juste ces frottement et ces pressions des cuisses,
    les mouvements du corps, mes hanches dansant lascivement
    et puis mes mains caressant, caressant, sonnant la charge joyeuse, la charge soyeuse

    que de sensations délicieuses ainsi, bon dieu,
    c’était du champagne pétillant et doré dans mon corps, cette séance

    Et puis après…Et bien après, le pont de lumière, le bonheur…
    Oui le plaisir porté à son paroxysme se sublime en bonheur profond, un genre d’état de perfection douce et lumineuse…

    #30906
    bzo
    Participant

    hello @envole

    je sème des petits cailloux colorés sur mon chemin,
    je ramasse des souvenirs de toutes sortes dans ma besace,
    c’est mon trésor, ils portent un peu de ces moments précieux , de ces moments rares,
    on se demande après si on n’a pas rêvé, tellement cela paraît d’un autre monde tout cela,
    un monde sans frontières et sans limites
    qu’avec une formule magique on a invoqué

    mon corps a la formule magique, j’essaie de le laisser faire du mieux que je peux
    et quand j’y arrive bien,
    je m’embrase des pieds à la tête, je brûle comme une flamme vive,
    la vie au fond de nous, un immense réservoir de combustible animal
    hautement inflammable

    #30907
    bzo
    Participant

    ce soir encore splendide séance,
    je pratique moins ces derniers jours,
    j’essaie de concentrer au maximum,
    donc en journée plus de micro-séances au boulot,
    en journée j’oublie complètement que cela existe tout cela et le soir encore
    puis à un moment donné, il y a un petit signal qui m’éveille,
    comme un agent infiltré qui vivait jusque là une vie anonyme, anodine,
    soudain un signal me met en route, je me transforme,
    j’ai été entraîné pour cela par une agence hautement spécialisée, secrète
    je me transforme en bête de luxure sans tabous
    prêt à se tordre de plaisir loin de toutes les normes du plaisir masculin

    il y a un mot que je n’ai pas encore utilisé pour qualifier mes sensations, mon plaisir
    mais qui ce soir s’est imposé à moi comme une évidence,
    c’est le mot de velouteux

    cette caresse velouteuse partout en moi,
    c’est comme si un félin sans forme précise, allait et venait partout,
    se frottait à tous mes organes, à toutes mes cellules,
    un petit mouvement de bassin
    et le voilà qui change de direction,
    un petit frottement de ma cuisse contre une couille,
    le voilà qui avance plus fort, qui change plusieurs fois de direction,
    j’en suis empli de son frottement velouteux,
    du velours de sa fourrure mise en mouvement par des muscles souples, puissants, racés,
    cela n’arrête pas,
    c’est infernalement bon, ma chair est folle de bonheur,
    on a qu’une seule envie, ce serait de rester ainsi pour l’éternité

    j’enfonce mes doigts dans ma petit huître chaude,
    je la gobe vivante, ma petit huître,
    avec un peu de crème pour la rendre légèrement glissante,
    mes doigts vont la chercher, touiller dedans
    tandis que je presse mes couilles entre mes cuisses,
    que d’ondes douces,
    ce sexe quand il est dressé vers l’extérieur, son plaisir est vif, bref et si violent
    mais il est aussi capable de cette extraordinaire douceur qui m’emplit pour l’instant,
    je sens mes couilles déborder de ce miel, de ce nectar vers l’intérieur,
    c’est un flot ininterrompu d’onctueuses sensations qui se répandent de mon bassin

    jour velouteux, moments velouteux,plein de velours derrière mes yeux aussi, mêlés d’étoiles,
    des coulées d’étoiles enrubannées de velours,
    velours se plissant, se déplissant, velours, soie,
    c’est la nuit des tissus précieux, des tissus doux,
    comme ma petite chatte entre mes jambes, ma petit moule,
    fournaise adorée, baiser des cieux

    #30910
    Jieffe
    Participant

    Bonjour Bzo,

    Tout comme Epicture, j’ai beaucoup apprécié ton message. Il m’a fait voyager, et je t’en remercie. Il me fait également écho, il me semble avoir entr’aperçu de façon brève quelque chose qui ressemblerait à ce que ce que tu décris.

    #30912
    bzo
    Participant

    les sensations d’un jour à l’autre, sont tellement variables

    un jour, c’est une extase tout à fait exotique, très éthérée,
    c’est comme si par-dessus ma chair en fête,
    une part de moi-même dérivait pendant ce temps-là, dérivait vers des rivages lointains
    où des sensations tout à fait étonnantes, uniques, vont m’arriver

    l’exemple le plus frappant de ce type de sensations que j’ai eues,
    a été celle de ce pont dans la lumière
    qui m’a habité de longues secondes,
    je l’ai déjà eu plusieurs fois

    et puis un plaisir plus charnel, une ivresse beaucoup plus animale,
    comme hier,
    la chair exulte, la chair est en fête
    mais il n’y a pas en même temps ce que j’ai appelé plus haut,
    une dérive d’une part de moi-même vers des rivages lointains,
    non je reste constamment dans cette chair,
    vivant avec elle au plus près la fête exaltante, la fête bariolée, multicolore,
    avec plein de sensations de danse,
    de flamme dansante et se consumant,
    de courbes soyeuses ondulant lascivement

    #30917
    bzo
    Participant

    on est saisi par cette puissance tellement douce mais tellement douce,
    ou dans l’autre sens,
    cette douceur tellement puissante mais tellement puissante

    difficile d’imaginer sans doute pour une personne
    habituée aux sensations vives, tourbillonnantes, flamboyantes, brèves, d’un sexe en érection,
    ce flot continu d’onctueux, ces sensations langoureuses, calmes, apaisantes, nourrissantes
    que nos parties génitales peuvent déverser vers l’intérieur vers ce féminin en nous
    en conjugaison avec les vibrations issues de la prostate

    ces ondes sexuelles mâles comme si notre sexe était dressé vers l’intérieur,
    tendu vers ce féminin éveillé en nous
    qui va s’en régaler de ce miel maison, de ce bon miel maison

    caresse feutrée de toutes mes cellules à la fois,
    de tout mon être, pas une cellule qui soit oubliée,
    pas un recoin de mon cerveau, pas un recoin de mon esprit,
    tout y passe,
    le velours , le duvet, m’emplissent,
    bougent lentement comme une houle de fond,
    pas juste quelques vaguelettes, non une houle de fond,
    une houle motorisée par le grand océan,
    d’où la sensation de puissance à chaque instant, si irrésistible

    dire que ma chair en est friande, serait faible
    elle en est totalement accroc,
    dès les premiers frissons de cette sublime fourrure m’envahissant,
    me pénétrant de tous côtés, m’emplissant de tous côtés,
    effleurant divinement jusqu’au plus profond de mon être,
    n’oubliant rien, pas un cheveu, pas un ongle, pas un doigt de pied,
    c’est une sensation d’extase qui directement rend folle de bonheur ma chair

    plus tard, à peine plus tard,
    cela va devenir mouvant, de plus en plus caressant,
    cela doit être en fait de la jouissance à peu près constamment,
    je me rends compte
    mais une jouissance calme, houle longue , régulière, puissante
    comme on en trouve au large, dès qu’on s’est éloigné des côtes

    il n’y a qu’à se laisser aller,
    sentir cette houle feutrée passer dans sa chair,
    il n’y a pas besoin de plus,
    un sentiment de plénitude m’envahit,
    se sentir bien à ce point heureux de vivre,
    heureux dans cette chair épanouie,
    ce plaisir mûrit jour après jour en moi
    et moi avec, je rayonne de plus en plus

    #30961
    bzo
    Participant

    ah mes amis, quelle séance encore ce soir,
    une bonne heure, j’ai vraiment cassé la baraque,
    très certainement une de mes meilleures séances à ce jour

    la qualité des sensations était telle, la richesse des sensations était telle,
    tout cela est devenu tellement fiable, tellement réactif au quart de tour,
    c’est désormais comme si j’avais à ma disposition, un clavier avec des centaines de touches
    et je joue dessus, des millions de combinaisons, des nuances à l’infini,
    je contrôle l’intensité, je libère les tonalités, les coloris,
    c’est divin, il n’y a pas d’autre mot

    petit détail technique, je n’utilise même plus de crème pour mon pussy,
    j’aime beaucoup plus sans rien,
    cela racle, cela frotte très fort mais cela me convient ainsi,
    en fait je bouge peu les doigts dedans désormais,
    justement car ainsi à sec il est difficile de bouger
    mais les doigts restent bien prisonniers, sont fort comme retenus
    et tout le reste se met à bouger autour , c’est encore mieux ainsi,
    c’est comme si tout mon cul effectuait une danse du ventre autour de ses doigts,
    comme une strip-teaseuse dans un club qui danse autour d’une barre, cherchant à l’ensorceler

    tout cela m’arrachait de tels cris de plaisir, de tels gémissements en continu,
    les murs sont épais, assez j’espère

    toutes les parties de mon corps participent activement à l’éveil du plaisir,
    même si bien sûr la prostate grâce aux contractions
    et puis mes parties génitales avec les frottements et les pressions des cuisses
    et puis ma main droite ,
    sont les deux principaux pôles, les deux solistes
    mais autour il y a les mouvements de mon corps, en mode liane lascive,
    comme j’aime cela, j’écarte les jambes, je me sens ouvert, je me sens excité,
    j’ai envie de sentir en moi remonter la chose bien dure,
    l’explosion en geysers lents de nectar dans mes entrailles sur son passage
    et puis mes mains qui vont et qui viennent sur ma poitrine,
    comme j’aime me tripoter les seins, les triturer à pleines mains,
    pas juste les tétons, non bien saisir ces deux globes,
    les malaxer, les presser, les frotter, les cajoler

    cette sauvage harmonie, extraordinaire animalité éveillée
    mais aucune sensation violente, toujours cette douceur si puissante qui me rend fou de bonheur,
    à un moment donné, je ne sentais plus du tout mon corps
    mais une aile en mouvement à la place
    et chaque geste que j’effectuais , chaque mouvement, semblait en faire partie,
    c’était sublime comme sensation,
    cela n’a pas duré longtemps mais c’était vraiment beau, surprenant,
    ces derniers temps j’ai des sensations comme cela qui semblent apparaître de nulle part
    comme l’autre jour un pont suspendu dans la lumière
    et aujourd’hui cette sensation d’aile géante se mouvant lentement
    que semblait former mon corps

    j’ai volé pendant de longues secondes, c’était très physique comme sensation,
    l’ensemble de mes mouvements, de mes gestes, de mes actions diverses,
    ce qui était extraordinaire à ressentir,
    c’était leur coordination et le souple et puissant mouvement qui en résultait

    #30962
    bzo
    Participant

    vous avez tous certainement vu déjà un homme-orchestre dans la rue,
    un instrument entre les mains, entre les cuisses des cymbales attachées,
    du bout des pieds, une grosse caisse,
    enfin plein d’instruments de toutes sortes ingénieusement mis en action
    et le tout formant une musique que d’habitude il faut tout un orchestre pour interpréter

    ce matin je me chipotais machinalement au réveil,
    sans trop m’engager, j’étais encore aussi dans les limbes du sommeil
    mais j’avais malgré tout envie de sentir du plaisir couler en moi,
    que le plaisir vienne me cueillir entre les bras de la nuit, prenne le relais

    à un moment donné par jeu, par curiosité, je me suis complètement immobilisé,
    j’étais avec les genoux fortement ramenés vers le ventre,
    ainsi mes parties génitales étaient un peu compressées de tous côtés,
    j’avais mis en route des contractions lentement
    mais rien d’autre ne bougeait
    sinon mes parties génitales légèrement mues, frottées, pressées, ainsi

    le plaisir était là, tout aussi intense que d’habitude, le même type de sensations
    mais cantonnées au bassin, strictement limitées à cette zone,
    cela m’a frappé, ça m’a fait pensé à mes débuts, mes touts débuts
    où aussi il n’y avait que le masseur qui bougeait en moi
    et où le plaisir s’en trouvait ainsi ressenti en une zone très limitée,
    juste au bassin et encore une partie seulement de celui-ci

    après,
    comme dans certains morceaux de musique
    où les divers instruments de musique entrent en scène progressivement l’un après l’autre,
    je recommençais lentement à faire entrer en jeu tous mes autres instruments,
    mouvements divers du corps, à le faire entrer progressivement en mode liane lascive
    et puis les mains , allant et venant partout,
    insistant surtout autour et sur les seins
    mais très régulièrement vagabondant un peu partout,
    la droite assignée à mon bas-ventre, fesses, cuisses, essentiellement,
    la gauche, le haut du corps, les seins, son port d’attache,
    les deux de temps à autre,
    volant entièrement librement un peu partout

    c’était frappant, au fur et à mesure de ce processus,
    tout mon corps redevenait progressivement une chambre de résonance de mon plaisir,
    les sensations qui pendant quelques minutes , ont été cantonnées au bassin,
    avec juste les contractions mais qui mettaient en route ma prostate et mes parties génitales,
    se répandaient maintenant dans tout mon corps

    mieux,
    les mains caressant, le corps ondulant, rajoutaient aux sensations,
    tout mon corps était désormais réceptacle du plaisir
    mais aussi acteur actif, générant des sensations qui venaient se mêler au flot montant du bassin

    homme-orchestre de mon plaisir

    grosses bises et mains baladeuses
    à tous et à toutes

    #30969
    bzo
    Participant

    ces sensations me donne l’impression à chaque instant de faire exploser mes tuyaux,
    une gigantesque caresse qui me traverse de part en part inlassablement

    mon équipage est sur le pont, chacun connait son rôle,
    qu’il est splendide mon voilier, toutes voiles gonflées, fendant les flots

    c’est mystérieux le plaisir,
    c’était pourtant si simple pendant des années,
    on a une quéquette qui durcit entre les jambes,
    à un moment donné, elle va cracher
    et voilà ,c’est bon, on a tiré son coup,
    point à la ligne

    là maintenant, c’est devenu tellement imprévisible, tellement riche,
    j’ondule un peu du bassin, je frotte une jambe contre l’autre
    puis je les écarte lascivement
    tout en effleurant mon sexe du bout des doigts
    tandis que que l’autre main caresse mon sein, mon téton
    et déjà des frissons s’emparent partout de moi
    c’est comme si on tirait un grand tissu de feutre sur toute sa longueur à travers mon corps
    et puis dans mon cerveau aussi, c’est soyeux, mouvant, tout en frôlements, partout

    #30981
    bzo
    Participant

    c’était comme un envahissement,
    comme si une part de ma chair commençait à être envahi pour quelque chose d’une densité phénoménale,
    je sentais d’une part ma chair normale, pas mal enivrée d’un côté
    puis le début d’une morsure sublime dans un bout de moi-même,
    c’était une sensation d’une telle absolue plénitude,
    un bonheur tellement total avait envahi quelques centimètres carrés de ma chair,
    je n’avais pas encore senti cela,
    les autres super O, les super O au masculin
    que j’avais eus par le passé, dévalaient comme une déferlante, un tourbillon,
    emportant tout sur leur passage,
    je tremblais comme une feuille, je convulsais, j’avais la danse de saint-guy,
    ici, c’était comme si ma chair se figeait dans un moment d’éternité,
    un moment d’extase d’une telle densité, d’une telle limpidité
    comme si j’étais envahi par une sève sublime
    qui prenait possession de ma chair,
    que j’en fus désarçonné à chaque fois pour l’instant

    c’est arrivé deux, trois fois, c’était trop pour moi malgré toute mon expérience
    mais depuis je parviens encore plus à me lâcher,
    oh comme j’arrive à me lâcher!
    c’est sublime comme j’arrive à me lâcher, à me laisser aller, à me laisser emporter
    et avec juste quelques gestes, quelques effleurements, je suis déjà tellement loin
    et je parviens à rester longtemps très très loin sans bouger ou à peine

    je me prépare pour ces nouvelles vagues monstrueuses d’un type que je n’ai pas encore connu,
    le mot monstrueuses pourrait sous-entendre une violence
    mais ce fut tout le contraire,
    c’est cette douceur qui est déjà totalement en moi,
    les milles et une variations de ce nectar, de cette onctuosité
    mais à un niveau de densité, à un niveau d’onctuosité,
    tel
    mais tel,
    c’est arrivé il y a des semaines,
    cela n’a duré chaque fois que quelques secondes
    mais je porte encore dans ma chair une trace, leur souvenir

    je m’y prépare définitivement,
    de tout mon être
    je m’y prépare définitivement de tout mon être,
    j’ai goûté du bout du bout du bout de la chair
    à une félicité dont je ne soupçonnais même pas l’existence jusqu’à ce jour
    et ma chair en porte encore la trace des semaines après,
    je la veux partout en moi,
    partout , partout, pour de longues secondes, je la veux en moi,
    qu’elle me pénètre, jusqu’au fond de l’âme
    que je sois pétrifié d’extase et de langueur jusqu’au plus profond de l’être

    #30983
    bzo
    Participant

    je n’ai plus du tout envie de pratiquer en journée,
    même chez moi, j’attends, j’oublie en fait que cela existe complètement
    puis il y a un moment où quelque chose m’allume,
    tout d’un coup ma main se dirige lentement vers mon bas-ventre,
    l’autre vers mon sein,
    je ferme les yeux
    et là en quelques instants, je suis empli de frissons

    j’ai besoin de toujours moins,
    toujours de moins de mouvements, de moins de gestes, de moins de tout
    mais chaque millimètre de déplacement de ma main
    semble avoir toujours plus d’effet,
    chaque millimètre de ma peau parcouru
    semble de plus en plus chargée de sensations, d’émotions

    ma chair semble de plus en plus réactive, de plus en plus prête à m’emmener loin,
    je décolle tellement facilement,
    comme c’est extraordinaire ainsi

    j’ai de moins en moins à faire pour des résultats de plus en plus effectifs,
    mon corps a de moins en moins besoin de moi,
    il me laisse m’en aller, dériver au loin

    ce plaisir est devenu une symphonie sauvage,
    je sens tout un orchestre dans mon sang à l’oeuvre en moi,
    les sensations sont des notes,
    la musique de plus en plus forte,
    son harmonie devient tellement évidente, tellement porteuse,tellement transporteuse,
    par la clef de cette portée, je m’évade,
    vers la terre natale de mon corps

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