Mots-clés : mon amour, plaisir androgyne, prostate
- Ce sujet contient 738 réponses, 14 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
bzo, le il y a 3 années et 9 mois.
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- 3 août 2019 à 16 h 21 min #34454
bzo
Participantet voilà j’ai travaillé pendant trois heures, rivé sur la tâche,
en d’autres mots, je ne me suis pas trop arrêté pour me chipoter, pour m’envoyer en l’air
mais la bibliothèque au moins est sur pieds maintenant,
encore tout un tas de travail de finition qui va lui donner un aspect plus présentable, plus professionnel
et puis surtout le fixer dans le plafond
car il n’est pas contre un mur, il coupe un peu la pièce en deux, adossé à mon large lit
donc si je ne veux pas qu’il reste branlant,
je dois le fixer dans ce plafond en béton armé,
je redoute pas mal cette opération,
elle pourrait tout faire échouer si cela se passe malje me suis envoyé en l’air déjà depuis,
comme c’était délicieux, quatre, cinq minutes, avec un long orgasme au bout,
comme un lent raz de marée d’une incroyable densité de chaleur qui m’est passé lentement dans tout le corps,
cela a bien duré une trentaine de secondes,
j’ai savouré cela jusqu’à la dernière goutteje maîtrise bien désormais mon sujet
et vis des moments incroyables,
vraiment un rêve paradisiaque de vivre de pareils délices dans sa chair,
cette vie sexuellement parlant,
est en train de devenir un palais joyeux plein de rires dont j’explore les innombrables pièces et couloirs
un joyau architectural en liesse, bâti en partant de rien dans le désert qu’était devenu ma sexualité
et je suis tellement excité de tout ce qui m’attend encore,
de toutes ces années où je vais encore pouvoir explorer ce continent inconnu sans limites, en moi3 août 2019 à 21 h 28 min #34455bzo
Participantles séances ou micro-séances
où mes mains n’ont aucun contact avec mes génitaux,
les sommets que j’atteint ainsi, sont de longues, de lentes, extases
et puis la sensation d’être entraîné au loin, vers des rivages exotiques
où je fais un avec les élémentsdélicieuse félicité et volupté sans limites dans la chair très rapidement après avoir démarré,
les sensations restent d’une finesse inouïe tout le long,
de la dentelle à la délicatesse et variété incomparables, tant de détails infimes perçus
et puis une progression d’une parfaite régularité de la tension sexuelle,
un crescendo avec une sensation d’harmonie et d’épanouissement tellement divines,
sensation de jouir souvent, quasiment du début de la séance jusqu’à la fince sont mes séances favorites ainsi
en micro-séance, cependant j’ai mis au point aussi une autre façon de pratiquer
où je m’autorise des contacts réguliers avec mes génitaux avec les doigts,
ce sont des contacts assez brefs, des effleurements, des frottements, des pressions,
éventuellement des caresses
mais encore une fois, ils resteront brefsla clef ici c’est de ne pas s’attarder,
ne pas trop se laisser envahir par la puissance des ondes ainsi générées,
juste de brèves injections,
trouver la juste balance, apporter de l’explosivité, de la verticalité, de la puissance orgasmique
tout en continuant à générer un flux principal basée essentiellement sur la prostate et le reste du corpsne pas se laisser déborder, les contacts des doigts avec les couilles, le pénis,
engendrent vite des ondes qui ne supportent aucune promiscuité, prenant toute la place
et si on laisse faire, on est vite constamment en contact avec ses parties,
cela est plaisant un certain temps,
toute cette puissance injectée, on a l’impression d’exploser à tout instant
mais on se rend compte vite qu’on est dans un cul de sac
même si on peut avoir ainsi quelques d’orgasmes tout à fait délicieux
mais on ne montera jamais aussi haut qu’on le désire vraiment,
on aura toujours un fort regret si on s’est laissé déborder par ce type de contactalors que si on garde le contrôle sur ces ondes ultra-puissantes,
qu’on les injecte avec une relative parcimonie,
permettant une progression en crescendo pas trop altérée de continuer,
on profite de toute l’explosivité de ces ondes, de leur richesse autre, basée sur la puissance mâle
tout en gardant une relative finesse et variété des sensations
et on arrive ainsi à décoller à de merveilleuses hauteurs
avec de longs orgasmes avec une grande qualité à la clefquand tout fonctionne bien pour moi dans ce type de séance,
il m’arrive de rester de longues minutes sans aucun de ces contacts,
ou bien juste effectuer de très légers effleurements
puis soudainement un contact plus appuyé, plus insistant,
on arrive à très bien sentir une fois qu’on commence à avoir l’habitude,
quel quantité de ces ondes il est intéressant d’injecter,
quelle quantité, le flux général de sensations en nous,
peut digérer en une fois sans se laisser déborder4 août 2019 à 11 h 10 min #34459bzo
Participantquelle saine hygiène,
commencer sa journée par un peu de pratiquece matin, une petite demie heure, entamée les yeux à peine ouverts
et je me suis levé en pleine forme, je me sentais bien dans ma peau, bien dans ma chair,
léger, épanoui, prêt à croquer la journéedorénavant, je commencerais mes journées toujours comme cela,
en semaine,avant le boulot, juste dix minutes, un quart d’heure,
les week-end, plus4 août 2019 à 11 h 56 min #34460bzo
Participantmon coin de table,
ah mon coin de table en hêtre massif,comme il est dur, comme il est bon, mon coin de table,
comme il appuie bien là où il faut,
je le sens entrer légèrement en moi
mais avec tout le reste des mouvements de mon bassin
et puis les frotti-frotta de mes couilles avec mes cuisses
il me semble me pénétrer jusqu’au fond de l’âme, ce coin de tableje m’installe dessus et je fais une danse lente, lascive,
je sens sa pointe appuyer sur mon anus-pussy, il entre légèrement,
il entre par infraction, à la limite de la douleur
mais c’est si bon, alors je danse dessus lentement
avec mes cuisses et mes couilles les unes contre les autres, dans un tango langoureuxje me cambre, comme je me cambre, mon coin de table il appuie encore plus,
je le sens entrer toujours plus en moi, c’est douloureux
mais que diable, il faut bien un peu souffrir par moments,
mon buste semble s’élancer vers le haut dans des arabesques sans cesse renouvelées
tellement je me cambre et mon bassin est animé par une houle lascivelascive..
comme j’aime ce mot,
il me suggère la danse, une danse langoureuse de tout mon être,
empli de volupté, empli de félicité,
j’ai l’âme qui déborde de plaisir,
cela dégouline partout, j’en suis empli, comme j’en suis empliah mon bord de table, comme je l’aime, ce bord de table,
on va faire bon ménage, lui et moi4 août 2019 à 13 h 43 min #34462bzo
Participantje suis devenu totalement accroc,
chez moi, je ne fais pratiquement que cela quand je suis tout seul
et comme peu de gens viennent chez moi et que je sors peu,
c’est devenu de loin mon activité principale en-dehors du travailcomment en pourrait-il être autrement
quand il m’est devenu si facile d’obtenir en quelques secondes
un plaisir qui me submerge de la tête aux pieds avec pareille incroyable intensité?
avec une sensation de se faire l’amour devenue tellement incroyablement réaliste?ma chair en extase, traversée d’un carrousel de sensations voluptueuses,
c’est devenu une véritable drogue dure dont je ne peux pas me passer,
je me fais un film érotique dont je suis l’acteur et l’actrice principaux,
nous nous faisons l’amour du matin au soir et du soir au matin
dans toutes les positions, dans tous les coins et recoins de l’appartement,
c’est par moments, sauvage, brutal, brut de décoffrage
et à d’autres, doux, délicat, attentionné et raffiné à l’extrême4 août 2019 à 23 h 52 min #34466bzo
Participantah ce coin de table,
je me suis de nouveau assis dessus, les jambes un peu écartées, les reins bien cambrés,
je l’ai senti presser par derrière contre mon trou-trou, un peu s’enfoncer dedans
mais le coquinou, je me rends compte,
presse en plein d’autres endroits intéressants aussi, comme le périnée, eh oui…
alors quand je fais monter une contraction,
je saute presque jusqu’au plafond, tellement je suis empli directement de frissons
et mon bassin de langueur et de lascivitémon coin de table me procure beaucoup de plaisir,me fait même jouir,
docteur, est-ce qu’il y a quelque chose qui ne va pas avec moi?
euh????je chevauchais donc, il y a quelques instants, mon coin de table,
c’est fou comme le feu s’allume puissamment dans mon bassin,
je prendrais un godemichet en silicone, je n’aurai pas tout le même effet, cela n’a rien à voir,
ce n’est pas une question de s’enfoncer quelque chose bien profond dans le fion,
c’est autre chose icimon féminin parfaitement éveillé fonctionne à la suggestion,
avec les énergies montant à flot de mes abysses,
grâce à la prostate, et aux frottements de mes couilles et de mes cuisses,
avec mon corps ondulant, avec mes caresses
tout cela crée un flux abondant d’ondes
et puis tout un faisceau de gestes et de mouvements suggérant l’acte sexuel entre deux personnesainsi toutes les sensations de la chevauchée naissent dans ma chair
comme si réellement j’accomplissais un actec’est quoi la réalité de ce que l’on vit?
la réalité de ce que l’on vit sexuellement?
elle est tout entièrement en nous, pas dans la bite dure enfoncé dans un vagin ou si peu
nous pouvons la manipuler comme l’on veut,
elle est malléable et s’adapte à nos besoins pour peu qu’on s’en donne les moyens5 août 2019 à 8 h 21 min #34469bzo
Participantme suis offert quelques micro-séances avant de me préparer pour aller au boulot,
je peux me permettre d’arriver en retard, ils ne sont pas regardant tant qu’on n’abuse pasme suis appuyé contre un meuble en hêtre avec de grands surfaces planes verticales
contre lesquelles il y a moyen de bien s’appuyer
puis j’ondule, je presse mes cuisses contre mes couilles autant que la position le permet,
je me désarticule, je me contorsionne, me mets dans toutes sortes de positions bizarres,
je me caresse, je me mets la main aux fesses, dans la fente, y enfonce goulûment deux, trois doigts,
fais monter des contractions, me redresse, ondule, ondule, ondulecomme j’aime tous ces effleurements, tous ces frottements, tant d’infimes détails,
chaque petit mouvement, chaque petit geste, tout a une portée sexuelle, un potentiel sensuel
si on fait bien attention au moindre détail de ce qui se passe,
aux infimes sensations éveillées par le moindre de nos actes,
une véritable symphonie peut se lever ainsi en nous,
portée autant par le minuscule, par le négligeable, par l’infime,
que par les actes majeurs, les acteurs principaux, de notre plaisirenfin tout mon arsenal habituel
sauf qu’à un moment donné, je me suis mis à me frotter langoureusement contre le bois,
avec mon dos, je me suis laissé aller à me frotter les yeux fermés contre le bois,
c’est en même temps râpeux et doux,
je faisais des mouvements lents tout en continuant de me caresser et tout le reste,
c’était délicieux, cela apportait vraiment quelque chose de nouveau, de puissant, au niveaux des sensations,
cette action de se frotter ainsi contre un objetje vais le reproduire plus souvent,
après mes textes d’il y a quelques jours où j’exprimais toute mon excitation
d’être nu parmi les copeaux et la sciure de bois, assis par terre avec les outils, les vis,
à quel point j’aimais sentir leur présence contre ma peau quand je pratiquais,
c’est finalement une étape assez logique que je me mette à me frotter contre des objets,
plus particulièrement sans doute en bois,
celui-ci a un contact vraiment sensuel,
en même temps une douceur quasi de velours et puis un peu râpeux, un peu rugueux, ferme5 août 2019 à 8 h 45 min #34470bzo
Participantbon, j’ai mon coin de table
et désormais j’ai aussi ce meuble contre j’adore me frotter,
je viens encore de le faire,
j’ondulais tout contre, je me frottais lascivement, je me caressais passionnément,
arghh comme c’était bon,
j’en ai encore la tête qui tourne5 août 2019 à 19 h 58 min #34473bzo
Participantencore après, ce matin, durant le petit déjeuner, j’ai continué à expérimenter,
je sens désormais que je peux étendre ma sexualité en des directions tout à fait inattenduesavec tout mon corps devenu tellement réceptif,
avec toute mon animalité prête à tout instant aussi à répondre présent
et aussi avec toutes les énergies que j’ai en moi, à ma disposition désormais à volonté,
je découvre que je peux me procurer des sensations nouvelles, délicieuses
dans des domaines tout à fait inattendus, insolites et très hétéroclitesj’ai relaté hier,
les intenses moments que j’ai vécu en “chevauchant” et en me frottant à mon coin de table,
l’autre jour, j’ai relaté mes micro-séances par terre, parmi mes outils,
ma peau couverte par endroits de sciures, de copeaux de bois,
à quel point le contact de tout cela avec mon corps nu, avec ma peau, m’excitait,
le contact du métal, du bois, même la douleur de la pression d’une vis à un moment donné,
tout cela m’apportait un surcroît étonnant de sensationspas plus tard que ce matin aussi, j’ai raconté cette expérience très insolite, très animale,
de m’être appuyé contre ce meuble en bois massif
puis de m’y être frotté langoureusement,
à quel point cela m’avait excité et apporté des sensations nouvellesje peux avec un peu de retard,relater aussi ce qui s’est passé après durant le petit déjeuner,
assis sur mon tabouret, totalement nu, mâchonnant rêveusement la nourriture,
j’ai eu une soudaine inspiration,
sentant dans ma bouche les goûts divers de la nourriture, perçues par mes papilles,
j’ai croisé les jambes, immédiatement mes cuisses sont venues se serrer contre mes parties,
j’ai commencé à les bouger un peu, provoquant les frottements et les pressions habituelles
qui éveillent tant de volupté dans mon bassin, se répandant rapidement à tout mon corps,
tout en faisant monter aussi quelques contractions,
tout cela très calmement, avec un rythme lent, très posé, sans aucune autre action
pour pouvoir continuer aussi à me concentrer en même temps sur la nourriture dans ma bouche,
les différents goûts qui s’y éveillaient, s’y mélangeaientaprès quelques instants, est arrivé ce que j’espérai,
une sorte d’amalgame avec les ondes sexuelles qui étaient arrivées jusqu’à tout en haut
et puis les goûts des aliments dans la bouche,
tellement sensuels souvent quand on fait bien attention,
quand ce sont des aliments délicieux, gorgés de vie et qu’on aime ingurgitermais là avec les ondes montantes de ma pratique, arrivées jusqu’à dans ma tête,
j’ai senti comme la possibilité d’accomplir bien plus
que juste ressentir la sensualité des goûts des divers aliments,
je suis parvenu à accomplir un amalgame
entre les sensations de la nourriture ingérée,
et puis avec les ondes sexuelles qui s’étaient répandues jusque dans ma bouche,
leur fusion pouvait se faire, créant des sensations tout à fait nouvelles et étonnantescela s’est d’ailleurs vérifier très puissamment directement après avec le jus d’orange,
chaque matin, je me presse un grand verre avec trois, quatre oranges fraîches,
je l’approchais de ma bouche tout en continuant mon petit manège,
quelques instants magnifiques ont suivi
où j’ai senti le goût tellement chargé de lumière des oranges,
devenir totalement sexuel
tandis que le jus descendait vers mes entrailles,
ce fut coloré, vibrant et lumineux à l’extrême comme sensation,
tellement jouissif et exotique une fraction de secondeje vais expérimenter tous azimuts l’extension de ma sexualité
dans des situations insolites, avec des objets du quotidien, de la nourriture ingérée, etcpas m’enfoncer un concombre dans la fion,
j’espère qu’on a compris que ce n’est pas à ce genre de choses que je pense,
je vais faire marcher mon imagination,
je sens que mon corps est prêt, que tout est prêt en fait en moi,
à percevoir tout un potentiel sensuel et même sexuel
qui existe ici bas en dehors de moi, en dehors de mon corps ,
mais aussi en-dehors des objets et des actes habituellement associés à la sexualitépercevoir ce potentiel donc, le mettre au jour et l’injecter avec suc-ès dans ma pratique
pour encore plus élargir le spectre de mes sensations, de la richesse et de la variété des nuances perçues,
aller toujours plus loin, vivre des moments toujours plus intenses
dans le cadre de ma pratiqueétendre donc ma sexualité avec des actes habituellement effectués machinalement dans le quotidien
et des objets aussi issus de celui-ci, insignifiants,
enfin pas du tout associés normalement à la sexualité ,
le goût des aliments mâchés, se frotter contre un meuble,
sentir contre son bassin divers objets en métal , en bois,
les différentes textures, les différentes densités, éveillant toutes sortes de sensations,
contre ma peau durant une micro-séance5 août 2019 à 22 h 37 min #34476bzo
Participantje viens d’effectuer deux micro-séances,
une contre le meuble contre lequel je me frotte
et puis une autre sur mon coin de table favori que je chevauche de plus en plus expertementnon, je n’ai pas rêvé, je suis rassuré,
certes je dois encore bien intégrer ces deux “spécialités” dans ma pratique,
les frottements contre le meuble, sont tellement tellement délicieux,
c’est comme une brusque bouffée sensuelle de l’extérieur,
ce bois, à la fois si dur, si doux et légèrement râpeux, me remplit de frissons,
je commence à bien voir comment il faut faire,
il faut considérer cela comme une caresse, donc dans le courant de l’action,
de temps à autre, je me caresse le sein ou ailleurs
et de temps à autre je me frotte le dos contre ce meubledes brefs mouvements de haut en bas et de bas en haut comme du va et vient sexuel
tout contre le bois de ce meuble, en même temps pressant mes couilles avec mes cuisses
et mes mains allant et venant sur mon corps,
c’est de la pure volupté en vagues denses teintée d’animalité heureuse et sans tabous
argh, j’en frissonne des pieds à la tête, rien que d’y penseret puis mon coin de table, là aussi je découvre tout le potentiel de cette position,
j’ai accomplis dessus toutes sortes de mouvements de va et vient
mais aussi une sorte de mouvement circulaire, tout à fait délicieux comme effet,
je le sens aller et venir en moi dressé, gonflé, dur, dur, dur, immense
pourtant il me pénètre à peine, il presse plutôt toute la région
mais encore une fois la réalité de ce que l’on ressent, la réalité de ce qu’on vit
et puis la réalité physique,
peuvent être totalement différentes,
sont totalement différentes5 août 2019 à 23 h 17 min #34477bzo
Participantmon coin de table,
je viens de passer encore un bon moment dessus,
volcaniquement votre,
je me rends compte , presse surtout mon périnée,
me donne l’impression de masturber mon périnée avec les mouvements de va et vientje sens qu’il y a un contact privilégié avec ma prostate par l’intermédiaire du périnée ainsi,
cela explique la puissante sensation de pénétration
avec la contraction en plus, renforçant,
c’est presque comme avec un masseur mais en mieux,
enfin disons, différent,
ne dénigrons pas,
il y a beaucoup de similitude,
la sensation d’aller cogner la prostate, des vibrations de contact direct,
pas juste par la bande, comme avec la contraction uniquementje suis en plein remue-meninge sexuel,
j’essaie toutes sortes d’endroits dans mon appartement,
par terre, c’est vraiment pas mal,
le seul problème, c’est que quand je suis sur le dos à plat,
avec le fort creux qu’il y a chez au milieu de mon dos,
cela semble adhérer au sol et il se produit un fort effet de succion
et qui va produire un très fort bruit absolument ridicule d’un pet ultra-puissant,
cela empêche vraiment de rester concentré sur le plaisirpar contre j’ai déjà trouvé une autre position tout à fait délicieuse, originale et plein de potentiel,
je l’avais un peu pratiqué par le passé
mais là avec tout ce que j’ai à ma disposition désormais,
j’y découvre un fort potentielje me mets contre mon bureau et je me penche dessus jusqu’à avoir le haut du corps,
couché dessus,
comme si on me prenait par derrière ,
sauf qu’ici c’est moi et moi seul qui me prend
mais on n’est jamais aussi bien pris que par soi-mêmeen l’occurrence ici, mon cul se met à danser en l’air d’une façon tout à fait indécente,
avec les cuisses qui viennent plus ou moins jouer avec mes parties,
la position permet vraiment bien à celles-là d’exprimer leur manègeet puis les bras viennent caresser mes reins, mon bassin , mes fesses,
ma petite raie, s’enfoncer un peu dedans
ou alors je relève un peu mon buste et mes bras vont vers les seins, la poitrine un peu pour changermais l’essentiel ici, ce sont les ronds indécents que je fais avec mon cul en l’air,
l’ivresse que cela provoque ainsi,
avec les cuisses effectuant leur manège habituel avec mes couilles, mon sexeet puis puis, je reproduis des mouvements de va et vient de pénétration,
lentement , imperturbablement, on se sent pris,
c’est tout à fait irrésistible ainsi,
on se sent en rut, on est bien, on plane,
chaque coup dans notre cul, fait bondir notre âme comme si c’était un yo-yo attaché à une ficelle6 août 2019 à 7 h 26 min #34478bzo
Participanttemps de la moisson heureuse, temps de la moisson en fête,
mon corps, mon corps,
nous y sommes arrivés, le pari est gagné,
un plaisir démesuré, à tout instant, en tout lieu, à volontéet parfaitement sous contrôle,
sans aucun risque de débordement non voulu,
je veux dire que cela déborde de tous côtés désormais
mais uniquement quand je veux, uniquement quand je le veux bienil y a une clef à tourner pour que mon moteur se mette en route
et quelques boutons sur lesquels appuyer
mais une fois qu’il est en route, maman, c’est parti, comme c’est parti,
je ne touche plus terre, je ne touche plus terrevive le sexe joyeux, vive la chair en fête,
vive la vie avec ce trésor en soi qui nous donne des ailes,
vive cette magique incandescence dans l’instant6 août 2019 à 7 h 53 min #34479bzo
Participantquel effet délicieux de se frotter en ondulant,
non seulement contre mon meuble en hêtre
mais contre n’importe quel objet, en fait, contre lequel il y a moyen de s’appuyer,
mur, meuble en plastique dans ma salle de bainje commence à onduler doucement contre, descendant et remontant lentement sur mes jambes,
créant une sensation de va et vient lascif de tout le corps,
je croise les bras sur ma poitrine , je me serre un peu, je me frotte la poitrine
et puis bien sûr, mes cuisses et mes parties,
les unes tout contre les autres, tout à leur manège de frotti frotta
tandis que des contractions remontent dans mes entraillesvive le frotti frotta, vive les ondulations, vive la volupté,
vivons bien, vivons empli de lascivité, empli de frissonscomme j’adore me frotter lascivement avec tout mon corps contre n’importe quoi
6 août 2019 à 23 h 10 min #34483bzo
Participantil y a un moment où il y a un déclic qui se fait en moi,
quelque chose devient autonome en moi,
le désir me pilotele désir crée son monde, crée ses gestes, crée ses mouvements,
tout est amalgamé dans un circuit, dans un élan,
mes pensées, mes sens, mes frustrations, mon impatience,
tout cela ne forme plus qu’un flux, un flux en action,
un flux en mouvement vers l’ivresse sans concessionje deviens le corps du désir, je deviens la chair du désir,
il me meut, je ne vis plus qu’au travers lui,
je n’ai plus qu’à me laisser totalement aller, je n’ai plus qu’à me laisser totalement mener,
ne pas intervenir, juste laisser ce corps comme bouger tout seul, quoiqu’il fasse,
aussi maladroit , aussi incompétent ou aussi ineffectif qu’il semble par moments,
la splendeur naît ainsi,
l’instant s’allume ainsi,
des cendres des instants qui sont passésje deviens cette rose sur un tas de fumier, cette rose splendide, pourpre, chair de pétales,
comme j’aime sentir ce rien en moi
et puis soudain de ce néant, comme un brasier, un brasier d’amour se lever dans ma chair,
je m’emporte, je deviens ardent, je deviens luxuriant ,
je suis cette jungle à la faune et à la flore colorées, criardes,
l’amour m’emporte sur ses ailes,
ma chair danse, ma chair chante,
mes caresses font naître des fleurs, des oiseaux,
ma peau est un verger7 août 2019 à 7 h 38 min #34484bzo
Participantj’ai eu ma petite gymnastique sexuelle ce matin au réveil,
une deux, une deux, une deux, on pénètre, on sort, on pénètre, on sort,
on caresse le bras, on caresse le sein, une, deux, une deux,
on pénètre bien à fond, on se retire doucement en remuant, une deux, une deux,
on enfonce les doigts dans le cul, on remue, on contracte, une deux, une deux,
on n’oublie pas de gémir, de râler, une deux, une deux,
voilà voilà on jouit, c’est bon pour le moral, c’est bon pour les muscles, une deux, une deux7 août 2019 à 9 h 03 min #34485bzo
Participantle désir fait de moi son pantin,
mes gestes deviennent parfois grotesques, maladifs, précieux,
à d’autres moments, efféminés à l’extrême,
je deviens une grosse pédale, je me tortille, je gigote et j’aime cela,
me sentir baiser, pénétré,
sentir comme un gros dard bien turgescent, allant et venant en moila honte, l’indécence, n’existent plus,
tout est libre en moi, plus aucun tabou, plus aucune frontière,
le désir m’emmène où il veut,
je me laisse mener dans tous les territoires possibles et imaginables,
j’ai éveillé le féminin
je le laisse entièrement s’exprimer en moi, prendre les commandes de mon corps,
le masculin est là aussi, percutant, abrasif,
en fait je n’ai plus de sexe durant la séance, je suis totalement androgyne, j’ai les deux,
comme j’aime cela, être sans chaînes, sans limitations, totalement entre les mains du désir,
avec une identité sexuelle mouvante, floue, adaptativese laisser mener hors des clous, aller vers l’inconnu,
c’est avant tout un moment d’extrême libération,
tant qu’on ne fait que s’écouter bien gentiment, on se heurte à ses limites comme à des murs,
on rebondit ridiculement, perclus dans notre état d’adulteil faut fracasser des choses en nous, beaucoup de choses en nous
car on n’occupe qu’un tout petit territoire en soi, une petite enclave dans laquelle on vivote,
on a perdu la magie, la puissance de l’imagination
qui permet d’effacer les frontières en un clin d’œille désir ranime la flamme, le désir nous ressuscite, le désir brise les chaînes, le désir agrandit,
le désir nous permet d’occuper plus d’espace en nous un instant,
un moi gonflé au désir comme à l’hélium,
un moi unifié à ses abysses, un moi dopé aux énergies de ses profondeurson a une aura mystérieuse tout autour de nous, tant d’obscurité, tant d’inconnu, nous encerclent,
le désir fait de nous une flèche pourfendant un instant,
injection de ciel lumineux dans tous les recoins poussiéreux,
injection de ciel lumineux dans toutes les crevasses,
sentir à nouveau la vie en nous comme un torrent joyeux,
sentir le bond, sentir la lumière, sentir le ciella volupté comme une main immense, infiniment douce , qui passe en nous, qui apaise l’échine
le fauve enfiévré, maladif ne sort plus trop de sa tanière
mais là il bondit, il rugit, il est toutes dents dehors
une divine et douce sauvagerie l’anime de fond en combleune couche feutrée pour l’âme, avec des draps de soie, avec des draps de lin,
l’instant est incandescent, la jeunesse éternelle du plaisir brille en nous7 août 2019 à 13 h 49 min #34486bzo
Participantassis sur la lunette de toilettes, en train d’uriner
pris d’une soudaine impulsion, je glisse la main sous moi,
je l’inonde d’urine chaude, je la sens dégouliner sur mes doigts,
cela m’excite tellement fort,
je commence à me caresser lentement avec la main humide,
je frôle mon sexe, mes couilles, aux poils collés à la peau
liquide doré que j’ai versé dessus de sous moi,
des gouttes tombent à la queue leu leu,
je lèche mes doigts, ma paume, consciencieusement7 août 2019 à 14 h 46 min #34487bzo
Participantà nouveau dans la sciure et les copeaux de bois
avec mes outils autour de moi,
moi tout nu attentif à mon travail
mais en même temps tellement excité,
la peau de mon corps entièrement nu est devenue tellement réceptive au moindre contact,
rien que d’être assis par terre, de me frotter un peu les fesses contre le sol
et je gémis déjà de plaisirje glisse deux, trois doigts dans ma fente, elle est entourée de copeaux,
j’ai l’odeur du bois fraîchement coupé dans les narines,
je fais des lents mouvements avec mes doigts synchronisés avec des contractions,
comme le plaisir me vient facilement, comme il m’emplit d’une dense chaleur et de frissons,
je me mets à remuer un peu en mode liane lascive assis par terre,
tout se met à bouger en moi, des vagues de volupté se forment,
des arabesques de chaleur voyagentbon, je reprend, je n’avance pas beaucoup avec mon travail
mais je ne me culpabilise plus, cela prendra le temps que cela faudra,
ainsi au moins, avançant paresseusement, j’aime à nouveau travailler de mes mains
et j’obtiens de meilleurs résultats car je parviens à être plus patient et plus attentif
malgré l’excitation qui est partout dans mon corps
et plus particulièrement dans mes couilles
qui semblent être des petites éponges rondes et poilues , dégoulinant d’un nectar délicieux au moindre contactj’ai mes occupations au quotidien
et parallèlement presque en continu, une vie sexuelle qui se déploie7 août 2019 à 15 h 49 min #34488bzo
Participantah, il m’en fait voir de toutes les couleurs, mon coin de table
que j’aime tellement chevaucher, lentement, lascivementmais je n’avance pas beaucoup avec mon travail
et flûte, je m’en fous désormais, cela terminera en son temps et en son heure,
pas me stresser parce que je ne suis plus capable de travail avec l’acharnement d’il y a quelques annéesah mais ce coin de table, quel sensation de pénétration j’ai avec,
vive la nature, vive le bois7 août 2019 à 19 h 46 min #34490bzo
Participantviens de terminer 20 mn sur le vélo d’appartement,
c’est à peu près la seule activité sportive que je peux faire,
le reste que j’aimais tellement, yoga, courir, je peux oublier,
et encore je sens l’inflammation s’installer dans mon genou à nouveau,
peut-être devrais-je arrêteren faisant tourner les pédales,
de temps à autre, je serrais un peu les cuisses, le mouvement devenait plus maladroit
mais les frottements avec mes couilles, provoquaient en moi des ondes délicieuses,
la montée et la descente mécaniques de mes jambes
suscitent un frottement vraiment très agréable,
j’essayais d’y ajouter une petite contraction
mais là c’était un peu trop par rapport à mon activité sur cette sellej’en restais à ces cuisses que je resserrais de temps à autre quelques instants
me laissant envahir ainsi d’une volupté légère comme du duvet
qui se répandait autour de mes parties,
adorables sensations - AuteurArticles
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