Mots-clés : mon amour, plaisir androgyne, prostate
- This topic has 738 réponses, 14 participants, and was last updated il y a 5 years et 1 months by bzo.
-
AuteurArticles
-
28 avril 2019 à 14 h 03 min #33610bzoParticipant
le plaisir est-il une hystérie?
par moments, j’ai vraiment l’impression que c’est cela,
juste cela,
un château de cartes, une construction,
une sorte de partie de ping pong entre notre chair et nous,
cela tient par un fil ténu,
tellement fragile par momentsparfois je tousse et déjà il n’y a plus rien pendant quelques secondes,
pouf, tout s’est envolé, reste qu’un vieux con en train de se toucher, de s’agiter bizarrement,
le charme qui tordait mon corps de plaisir dans tous les sens l’instant d’avant,
le charme qui faisait de moi un roi, un prince dans les cieux,
s’est envolé en fuméetellement ressenti, tellement vécu, pourtant,
tellement plus d’intensité,
tellement plus de sens ressenti dans ce dérèglementceci expliquerait pourquoi certains n’y parviennent pas,
ils envoient les corrects signaux à leur chair,
ou à peu près, rien de bien compliqué ici,
on s’en rend compte plus tard quand on a atteint un stade avancéleur corps voudrait bien s’emballer, celui-ci ne demanderait qu’à décoller, à partir en vrille
mais ils ne se laissent pas faire, ils ne se donnent pas l’autorisation,
en ce sens que quelque part en eux, ils restent une statue de cire,
ils attendent que la fonte des glaces vienne d’elle-même, comme par miracle, deus ex machina,
alors qu’il faut y mettre du sien,
pour que le petit grain de folie fleurisse dans notre chair,
il faut le provoquer, il faut le cajoler, il faut lui ouvrir les bras,
y mettre du sien, inciter, il faut faire un pas ou deuxpour que tout se dérègle en nous, que tout se mette sens dessus sens dessous
notre esprit doit accepter d’être au moins momentanément dépouillé de certaines de ses prérogatives,
il faut abdiquer sa volonté, laisser l’animal s’exprimer en nous,
l’esprit doit faire place à l’instinct, aux pulsions,
il ne faut pas avoir peur du ridicule non plus,
pas hésiter à s’exprimer, à essayer d’exprimer notre désir de plaisir, même maladroitement,
faire fi de tous les tabous, oser s’avancer avec ce corps, s’aventurer avec ce corps, sortir des sentiers battus,
accepter de ne plus régner dessus sur nous,
chercher à provoquer la folie, chercher à provoquer le dérèglement,
inciter notre corps à se libérer de nous,
inciter notre monture sous nous, à galoper de lui-même, sans nous tenant les rennes,
inciter notre monture sous nous à trouver des espaces où il peut galoper librement29 avril 2019 à 23 h 25 min #33622bzoParticipantrevenons à l’essentiel,
l’essentiel, c’est cette tension, cette tension qui fleurit miraculeusement,
soudainement une corne d’abondance,
soudainement du nectar soyeux se déversant,
soudainement des traînées de félicité ineffable,
soudainement des extases comme des vagues traversant au ralenti ma chairma voix s’est faite de cristal, de cristal qui chante,
ma voix s’est fait de cristal qui vibre, de cristal qui frémit,
comme mon être résonne, la corne d’abondance a parlé,
la corne d’abondance a déversé dans ma chair, tout mon être résonne,
ma voix s’est faite de cristal, tout mon être vibre dedans,
tout mon être chante dedans,
un chœur de milliards de cellules, je les entends toutes en même temps,
je les entends à présent toutes en même temps,
c’est comme si tout l’univers résonnait en moichair-univers, chair-firmament, chair voie lactée,
mes cellules, des étoiles brillant parmi l’immensité sans fin, l’obscurité des abysses30 avril 2019 à 7 h 58 min #33623bzoParticipantj’adore cette sensation de chiffonné,
de chair chiffonnée, douce et humide
quand j’enfonce un ou plusieurs doigts dans mon anus-pussychair molle, chair qui se donne, chair qui se donne et qui enveloppe,
qui se donne et qui enveloppe, connectée à tout mon être,
chair vibrante, chair frémissante, chair tempête, chair tempétueuse,
chair aimant, chair attractionschair grotte, chair grotte à explorer, chair à parois, chair à parois gravées,
chair des profondeurs montées tout près de la surface,
chair des grands jours, chair des grandes nuits, chair étoilée, chair trois étoiles
chair intime, intimement contactable, chair de tous les contacts, chair intimement contactée1 mai 2019 à 10 h 43 min #33625bzoParticipanthier soir j’étais bien reposé
mais pour la première fois depuis longtemps,
simplement je n’avais pas envie,
bon je me suis offert quand même quelques minutes ici et là,
5, 6 micro-séances d’une minute en moyenne,
en fait cela m’a suffit, je n’avais pas très faimla qualité des sensations hier soir avait atteint un tel niveau,
j’aimerai pouvoir transmettre une exacte idée de cette notion
de sensations pas très intenses dans l’absolu
mais d’une telle finesse, d’une telle limpidité, d’une telle précision, de nuances tellement exquises
et puis ressenti un peu partout dans le corps, tellement important cela,
là aussi j’aimerai pouvoir donner une idée exacte de cette notion
pour faire comprendre à quel point,
le plaisir ressenti ainsi, est plus satisfaisantc’est comme si une plante dans un pot , était arrosée bien partout,
pas juste dans une zone délimitée,
non toutes ses racines, même les plus reculées,
reçoivent bien à un moment donné, du divin nectar
et pas juste vaguement par capillaritéce n’est pas que le plaisir est ressenti partout en même temps,
dans les moments les plus forts , oui
mais il peut être ressenti n’importe où, en de nombreux endroits en même temps,
une synergie, un réseau,
réseau qui bouge, réseau mouvant, réseau fluctuant, réseau vivant,
réseau qui bat des ailes comme un papillon, réseau qui décolle,
des ramifications vivantes, qui naissent, qui meurent, qui poussent,
qui avancent sinueusementhier soir, le moindre de mes mouvements, le moindre de mes contacts
participait directement à la création du plaisir et directement , instantanément à l’endroit du contact,
dans la partie du corps bougée, dans la partie du corps caressée,
des subtils et puissants accords se créaient,
je bougeais les jambes, les frottant l’une contre l’autre
tout en me caressant le visage, descendant lentement la main, le cou puis la poitrine,
tout en faisant aussi remonter une légère contraction et pressant un peu mes cuisses contre mes couilles
la sensation naissait en même temps dans mon bassin,
je sentais les vibrations de la prostate monter dans la contraction,
qui délivrait aussi une sensation d’être pénétré,
un nuage de nectar voluptueux, soyeux, chaud, frémissant
se dégageait du contact de mes cuisses contre mes couilles
et se répandait dans mon bassin comme un nuage de lait dans du théen même temps depuis les jambes se frottant l’un contre l’autre,
les poils s’entremêlant, allant titiller la jambe opposée
un autre flux de sensations arrivait, montait vers le bassin
tandis que depuis mon visage caressé, puis le cou, puis la poitrine,
un autre flux, flux qui évoluait en fonction de la main,
un autre flux descendaittous ces flux fusionnent rapidement, quasi instantanément,
la notion de temps est difficile à déterminer avec exactitude,
le plaisir le distend, le raccourcit, le rallonge,
tous ces flux semblent former un réseau qui dans la foulée,
commence à irradier à disséminer plus ou moins fort dans toutes les directionsenchaînement délicieux, très fluide, en l’espace de quelques secondes,
il existe un cycle avec une naissance, une ascension puis cela s’estompe et meurt
mais vient déjà la vague suivante,
l’accord de sensations naît de différents flux (c’est ainsi que tout le corps participe)
qui très rapidement se rejoignent,
puis cela se répand un peu de tous les côtés
un peu comme un sapin de Noel qui s’illumine un peu partout, par vagues, aléatoirementsauf que ce n’est pas aléatoire chez moi,
c’est selon les endroits que je caresse, que je bouge,
que je frotte, que je presse, que je contracte,
c’est de l’improvisation de jazz
mais avec des règles à respecter et une technique derrière3 mai 2019 à 7 h 28 min #33627bzoParticipantj’ai pas très faim ces derniers jours,
cependant hier soir avant de dormir, je me suis fait tout de même une petite séance d’une demie heureah mes amis, quels moments bénis des dieux de la luxure,
quels moments sublimes d’abandon,
par abandon j’entends, qu’on s’oublie totalement entre les bras de la volupté,
entre les bras de la félicité
tandis que notre corps officie tout seul, officie sans nousce mécanisme, j’en ai beaucoup parlé il y a quelques mois,
là je suis parvenu à l’appliquer avec encore plus d’efficacité, encore plus optimisé,
mon corps était aux commandes, moi, j’étais paresseusement étalé sur des coussins,
caressé de toutes parts, tripoté de toutes parts, pénétré de toutes parts,
j’étais le point central d’une grosse partouze ,
j’avais vraiment l’impression très puissante d’être en même temps séparé de mon corps
mais en même temps connecté à lui comme jamais auparavant,
connecté à lui par le truchement de canaux perceptifs, de canaux sensibles, comme jamais auparavantles ressources de ce corps ne cesseront jamais de m’étonner, de m’émerveiller,
la partie immergée de l’iceberg, la source,
éblouissants moments, émouvants moments,
ciel de chair, chair de ciel,
instants de ravissement
tous les liens avaient fondus,
complètement descellé3 mai 2019 à 21 h 01 min #33629bzoParticipantarf, comme c’est bon,
la première fois de la journée, à 20h52 mn très exactement,
j’ai soulevé une fesse et ai glissé deux doigts à l’entrée de mon anus-pussy,
j’ai joué un peu dans la raie, les faisant progressivement gagner du terrain,
effectuant des petits mouvements circulaires, frottements, pressions diverses,
avant de les enfoncer bien profondément genre mini-empalement,
le tout bien sûr toujours accompagné de contractions,
pour avoir les ondes de la prostate pour amplifier, développer les sensationsbassin chéri, cornet à sensations voluptueuses,
comme tu t’emplis facilement de toutes ces bonnes ondes soyeuses, chaudes,
je les sens déjà courir aussi dans mes flancs
comme des processions de fourmis d’amour, aguicheuses, douces,
pétillantes, frémissantes, trotteuses, frotteuses, chatouilleuses, titilleuses,
ma chair est envahie par-ci, par-là, de ces ruisselets,de ces petits filets, tellement délicieuxah bon j’arrête, je n’ai pas encore mangé, ni pris ma douche,
après je serai prêt, calme, restauré,
prêt à me faire beaucoup de bien4 mai 2019 à 10 h 39 min #33633bzoParticipantil pleut sur Bruxelles, dehors il fait triste,
c’est plein de gros nuages gris, dehors il fait triste
mais dedans… ah dedans,
dedans çà danse, dedans çà gémit, dedans un corps exulte déjà à 10h du matinah mes amis, vive le libertinage, tout seul ou à plusieurs et à toute heure,
c’est si bon, quand cette chair est enivrée, quand cette chair exulte
et nous avec bien sûr,
ma chair au pays des merveilles, j’ai plein de lapins de toutes les couleurs dans mon chapeauj’ai appris à aimer ce corps, je découvre ses secrets les plus intimes, ils sont innombrables,
toutes ces énergies au fond de nous, ce réservoir, cette nappe phréatique aux pouvoirs envoûtants,
je suis devenu une pompe tellement efficace à les faire monter , à les faire surgirpar moments, j’ai l’impression d’être d’une part une pompe à faire monter ces énergies
et d’autre part, une usine de traitement de celles-ci
car une fois qu’elles sont là à notre disposition, ces énergies éminemment volatiles,
il faut encore en faire quelque chose,
c’est un produit brut, il s’agit de le raffiner,
d’en extraire les infinies nuances possibles, ce kaléidoscope sans fin de nuances possibles ,
d’en révéler toute la délicatesse, toute l’extraordinaire finesse possiblede l’orfèvrerie fine,
ma pratique, c’est devenu de l’orfèvrerie fine la plupart du temps,
bon j’ai mes moments bûcherons avec sa cognée bien dure, frappant de toutes ses forces, ahanant, suant,
régulièrement même, il s’agit d’alterner, d’alterner intelligemment
mais la plupart du temps, c’est de l’orfèvrerie fine,
il y a bien plus de richesse, bien plus de diversité,
bien plus de décollages et de vols différents possiblequelle aubaine, mes amis, quelle aubaine,
la sexualité peut devenir quelque chose de tellement libre,
quelque chose de tellement imaginatif, quelque chose de tellement libérateur,
sans bander, sans accessoires, rien dans les mains, rien dans les poches,
il y a pourtant tout un royaume à la portée de l’intrépide, à la portée du curieux, à la portée du persistant,
tout est là en nous pour faire de nous une boîte à sortilèges ouverteune boîte à sortilèges ouverte dans ma chair,
je la sens constamment au fond de moi, cela me fait comme un nid vibrant doucement,
je n’ai qu’à la solliciter un tout petit peu
et déjà des filets voluptueux s’en évadent, se répandent dans ma chair,
du nectar qui coule dans ma chair,
très vite, du nectar ineffable partout
qui me donne envie de grimper aux rideaux,
qui me donne envie de hurler, tellement c’est bonmieux que la drogue, bien mieux
4 mai 2019 à 11 h 58 min #33643bzoParticipantun grand paradoxe dans notre pratique:
au plus vous contrôlez, au moins vous contrôlezau plus vous contrôlez ce que vous faites,
au moins vous avez de contrôle sur ce que vous faites5 mai 2019 à 14 h 11 min #33649bzoParticipantde retour à la maison après une nuit chez ma mère,
plutôt sage, pouvais pas me laisser aller comme je le fais habituellement,
commencer à gémir, à me lâcher sans faire attentionsuis revenu donc, me suis foutu à poil,
directement les habituels signaux de désir dans ma chair se sont manifestés,
j’ai commencé à me caresser,
rien qu’aux premiers contacts avec ma peau,
ma main qui a lentement, très lentement épousé la peau de mon épaule,
de mon dos puis est revenu vers ma poitrine,
mouvements langoureux, mouvements amoureux,
j’ai joui, ma peau s’est enflammée comme une meule de foin sec,
j’ai senti un feu soyeux se répandre en moi en quelques instants,
j’ai fermé les yeux, c’était aérien, léger,
j’ai senti de la chaleur liquide courir partout en moi
puis une douce explosion derrière mes yeux5 mai 2019 à 23 h 25 min #33656bzoParticipantje n’ai toujours aucune idée de ce que je suis capable de faire,
jusqu’où je suis capable d’aller
mais en tout cas, je suis en route, sans tabou, avide, curieux,
je suis en routeil y a quelques minutes, je me suis étonné mais vraiment étonné,
je n’aurai jamais cru quelques instants avant que j’étais capable de cela,
capable de vivre des moments pareilsce plaisir fait de moi quelqu’un d’autre durant la séance
mais tellement quelqu’un d’autre,
on n’a pas idée tant qu’on n’a pas vécu quelque chose d’un peu similairec’est tellement enivrant de se sentir en même temps homme et en même temps femme,
car les deux en même temps,
c’est l’impression d’appartenir à un nouveau sexe,il y a un sexe sans genre, qui a en même temps les deux genres fondus en un
jusqu’à former un amalgame nouveau
avec des nouvelles sensations, un nouveau plaisir
et un corps vécu autrement6 mai 2019 à 8 h 00 min #33657bzoParticipanthoula, je me relis,
je me prends un peu trop au sérieux, un peu trop excité parfois après l’action,
certes cela a été intense, cela a été sublime
mais ce n’est pas une raison ,
je vais essayer d’y faire attention dorénavant6 mai 2019 à 20 h 43 min #33658bzoParticipantj’écrivais jusqu’ici des choses du genre:
se sentir en même temps homme et en même temps femme durant la séance,
plaisir au féminin, pôle masculin et pôle féminin
mais il est temps d’appeler les choses par leur nom,
il existe un mot précisément pour cela dans la langue française
et désormais je vais l’utiliser car il correspond tellement totalement à ce qui est mon vécu durant la séance,
je pense au mot androgyne,
je me sens androgyne durant l’action, je vis cet état à 100% jusqu’au plus profond de mon êtreje vais être honnête, il n’y a plus grand chose d’autre qui m’intéresse durant la séance,
tellement c’est quelque chose de spécial, tellement on se sent sans aucune entraves,
tellement tout est descellé en nousla dualité masculin-féminin est constamment présente,
dans le moindre geste, la moindre attitude, la moindre sensation, la moindre perception,
je ne connais rien de plus excitant, de plus mystérieux et de plus jouissif
que de vivre cette dualité à pleine puissance à chaque instanttout semble descellé et sans limites,
expérience radicale, expérience totale,
on vit ce corps comme s’il était tout à fait différent à tellement de niveauxon n’est pas loin de se sentir complet, on se sent sur le chemin de la complétude,
et les sensations vont constamment dans ce sens,
elles semblent apporter plus que jamais de la plénitude, de la réunion, de la fusion, de l’euphorie,
avec une infinité de nuances,
en même temps qu’un plaisir physique, un plaisir animalplus besoin de rien d’autre que de vivre cette union
qui se passe en même temps au plus intime de soi-même
et en même temps partout en surface, partout dans les membres, partout dans les organes
pas un micro-gramme de mon être qui n’y participe, qui ne festoie,
qui ne soit remué de fond en combleému jusqu’au plus profond de mon être,
je sens quelque chose de beau, de tellement beau, se jouer en moi,
ému et en rut jusqu’au plus profond de mon être,
je sens quelque chose d’extraordinairement trouble et sensuel, en éveil en moi,
en rut jusqu’au plus profond de mon être,
comme un fourreau de chair palpitant d’excitation, je me sens pénétré de part en part,
je me sens monté intérieurement8 mai 2019 à 1 h 11 min #33664bzoParticipantce corps est déjà un miracle en soi,
on peut être athée et l’admettre sans hésitation,
il est porteur de tant de choses mystérieuses, de tant de zones d’ombremais ce corps est capable d’encore plus de mystère, d’encore plus de choses mystérieuses,
une fois que ces énergies que nous portons en nous,
qu’on y a accède, qu’elles se libèrent, qu’elles jaillissent en nous
des portes sur notre nature profonde s’entrouvrent, tout un opéra,
l’amour étrange que nous portons,
l’amour étrange que nous portonsce que j’aime dans ces moments d’extrême libération, dans ces moments d’extrême liberté,
c’est qu’il n’y a plus de limites, c’est qu’il n’y a plus rien de défini,
qu’on semble accéder à soi-même dans son entièreté,
des miroirs portent la réalité, les faire notre,
le désir comme un chant s’élève de partout,
l’honorer dans notre chair, s’offrir à lui,
lui concocter un scénario splendide8 mai 2019 à 2 h 00 min #33665bzoParticipanten état de grâce sexuelle,
je ne sais pas si ces mots feront sens à quelqu’un d’autre
mais je me sens en état de grâce sexuelle8 mai 2019 à 11 h 15 min #33666bzoParticipantquels moments rares, quels moments précieux d’intimité amoureuse,
dans ma chair, comme deux amants ardents ,
comme deux amants attentionnés, comme deux amants unisle désir m’unit à la vie,
l’épanouissement de celui-ci, m’unit à moi-même et au monde,
quelle merveilleuse paix après la tempête,
la tempête amoureusequelle merveilleuse paix cette chair a à me proposer
des tourbillons m’ont déposé sur cette plaine ,
des tourbillons m’ont fait danser,
la frénésie amoureuse m’a prise dans ses bras,
la frénésie amoureuse m’a fait danser jusqu’aux étoiles8 mai 2019 à 12 h 25 min #33667bzoParticipanton n’est jamais aussi bien servi que par soi-même
je dois être un assez parfait exemple de ce dicton éculé
9 mai 2019 à 7 h 55 min #33685bzoParticipantje me sens comme avoir des super pouvoirs
imaginez un bonhomme dans sa cuisine, il est nu sous son grand peignoir entrouvert,
à un moment il s’arrête dans ses activités de préparation de son petit déjeuner,
il s’adosse à un meuble, sa main se porte ver sa poitrine,
il commence à la descendre lentement, il se caresse, mouvement langoureux,
on le voit pas
mais il effectue aussi des contractions de muscles en-dessous,
du côté de ses organes sexuels, un peu derrière plus précisémenttoute son attitude maintenant exsude la passion,exsude le plaisir,
oh cela semble assez équivoque tout de même,
est-ce bien masculin tout cela?
cette façon de vibrer sur place avec passion,
cette façon de se laisser aller, de s’abandonner,
cette façon de se balancer légèrement, langoureusement sur place,
cette houle lascive qui semble habiter son bassin,
comme il gémit, le bougre,
les traits de son visage reflètent un plaisir intense, un plaisir immenseje me sens comme avoir des super pouvoirs,
des fortunes sont échangées de par le monde à chaque instant
pour quelques bribes, quelques miettes, de plaisir physique,
là, moi, sans personne d’autre, sans aucun accessoire, sans me masturber,
je m’en offre des masses, cela arrive par camions entiers à la queue leu leu,
il y aurait de quoi remplir un paquebot transatlantique géant en fin de journée9 mai 2019 à 15 h 28 min #33688SophiAirParticipant@bzo, merveilleux tes posts du moi de mai… Androgyne, oui. Etre les deux à la fois, morphing permanent de l’un à l’autre, être l’une, puis l’autre ou les deux en même temps. Etre pénétrée, pénétrant (même si pour moi c’est un amant imaginaire qui me prend).
Fellation/cunnilingus, sodomie, pénétration vaginale, point P ou point G, gland ou clito, tout se mêle pour mieux exploser. TNT permanent, être extrêmement inflammable, être pulvérisée et réapparaître, partir en torche sur un bûcher orgasmique…
Tout est possible et toujours plus fort que ce que l’on imagine possible. Le corps qui va toujours plus loin que ce que l’on croyait réalisable.
@bzo, tes paroles me touchent9 mai 2019 à 18 h 50 min #33695bzoParticipant@bzo, tes paroles me touchent
cela me fait très plaisir
Le corps qui va toujours plus loin que ce que l’on croyait réalisable.
tellement vrai,
tellement délicieusement vrai,
tellement merveilleusement vrail’émerveillement sans cesse devant ce que ce corps est capable
une fois qu’on vise la qualité des sensations,
comment ne pas être ébloui
quand tout le corps semble vibrer comme du cristal d’une pureté lumineuseet puis cette dualité masculin-féminin constamment,
c’est tellement incroyable à vivre,
il faut l’avoir vécu, ne fusse que quelques secondes,
ces sensations qui une fraction de seconde semblent mâle
puis dans un enchaînement d’une fluidité parfaite, semblent totalement fémininschangement constant,
on sent les deux en fait constamment,
on ne sait plus vraiment si ce qu’on sent , est masculin ou féminin,
c’est les deux en même tempsbah c’est assez indéfinissable, il faut l’avoir vécu,
la richesse mystérieuse, insondable de ces sensations, tellement ambivalente,
totalement androgyne,
assez parfaite quelque part10 mai 2019 à 7 h 59 min #33696bzoParticipantassis dans mon siège avant d’aller prendre mon petit déjeuner,
je m’offre quelques minutes de volupté, quelques minutes de plaisir,
je croise un bras sur ma poitrine,
elle va se déposer doucement sur l’épaule opposée, pressant au passage mes seins un peu
tandis que l’autre main va se poser sur mon sexe, mes couilles,
s’immobilise sur mon paquet qui se met à vibrer immédiatementje commence à bouger, je me mets en mode liane lascive,
j’ondule,
l’ondulation à l’air de commencer en haut
puis de tournoyer lentement en cercles lascifs vers le bas,
mettant en mouvement progressivement toutes les parties de mon corps,
au passage de mon bassin le feu s’intensifie, l’embrasement se décuple
mes doigts posés sur mes parties génitales restent bien inertes
mais l’effet comme s’ils étaient enfoncés dans une prise électrifiée sexuellement, fonctionne à pleine puissance,
j’ai l’impression d’avoir une petite dynamo entre les jambes
qui génèrent des flots et des flots d’ondes qui se répandent dans mon bassin,
qui se répandent dans tous mes membres,
qui se répandent partoutl’ondulation de tout le corps au passage de la contraction,
elles semblent danser un instant ensemble, onduler l’une contre l’autre,
la contraction semble se dissoudre dans l’ondulation générale
et vice et versa, l’ondulation de l’ensemble venant s’injecter dans la contraction
qui monte dans mes entraillestout bouge en moi, des arabesques sensuelles,
des frissons liquides comme des vers vivant brièvement partout,
je danse sur place , rivé à mon siège,
de la chaleur liquide, des frottements soyeux, fourmillent
la tête tourné vers le côté, elle pivote lentement sur son axe de gauche à droite puis retour,
de temps à autre j’ouvre les yeux
et je regarde cette chair en délire, cette chair embrasée,
comme j’aime la voir cette chair envahie de plaisir,
je referme les paupières,
je plonge, je plonge, à la suite du dauphin,
je saisis son aileron, je me laisse entraîner,
tout danse autour de moi, un nectar voluptueux partout,
je m’enfonce toujours plus profondément11 mai 2019 à 3 h 11 min #33717bzoParticipantje n’ai pas arrêté de toute la soirée de faire des micro-séances,
des dizaines, certaines d’à peine quelques secondes,
ce plaisir est tellement riche, tellement dense, tellement voluptueux,
c’est comme une injection,
une injection qui libère des sensations nageant paresseusement dans ma chairil y a quelques minutes,
je me suis assis nu sur mon coin de table favori,
comme une femme qui a envie de se faire prendre, écartant bien les jambes
pour sentir s’enfoncer autant que possible le coin massif en hêtre,
je me suis cambré, cambré, cambré, autant que je le pouvais pour offrir ma croupe au bois,
rejeté la tête en arrière,
pour bien sentir sa dureté en moi, en recueillir chaque sensation éveillée dans ma chairai commencé à bouger mon bassin avec comme point de pivot ce bois enfoncé en moi,
écartelant mon trou de balle, distendant mon cher anus-pussy,
des petits mouvements de bas en haut et en même temps latéralement, rythmiquement,
une main caressant ma poitrine
tandis que l’autre descendait vers mes parties, plongeant les doigts dans les couilles,
je continuais à bouger ainsi,
cambrant de plus en plus les fesses,
offrir ma croupe au bois, qu’il me déchire, qu’il m’explosemon bassin,
de plus en plus comme un chaudron bouillonnant dont le couvercle sautille,
quelques secondes après sauta définitivement
j’explosais, en rut, incapable de me contenir
ma cervelle comme un bouchon de bouteille de champagne, fit un vol plané à travers la pièce
tandis que je continuais encore un peu à frotter avec frénésie
mon cul contre le coin de table jusqu’à me faire mal
et que ma main toujours pressant mes parties génitales,
semblait fondue à elles, fusionnées à elles,
provoquant dans mon bassin comme un feu d’artifice continuel de filaments de chaleur soyeusepas plus d’une minute
mais cela semblait une éternité,
on plonge dans l’instant, celui semble presque figé, tournant au ralenti,
on descend en apnée dans l’instant,
plus rien d’autre que cette densité de plus en plus voluptueuse,
plus rien d’autre qu’une cathédrale de lumière autour11 mai 2019 à 10 h 57 min #33718bzoParticipantc’est plus fort que moi, au plus de plaisir, au plus je ressens le besoin d’écrire aussi
oh, well…j’ai commencé ma journée comme je l’ai terminée hier tard dans la nuit
ou plutôt dans le petit matin,
mon corps semblait s’être réveillé affamé de caresses, affamé d’ivresse,
ma peau semblait brûlante sous mes doigts, brûlante de désir sous mes doigtsaux premiers mouvements lancinants de mon bassin,
aux roulements de bastingage de mon bassin,
comme il semble lourd, comme il semble chargé, mon bassin,
chargé d’épices sensuelles, d’épices érotiques,
ma chair chauffe, ma chair devient ardente, comme je suis excité,
comme j’ai envie de sentir mes entrailles en feu,
comme j’ai envie de me sentir tout feu, tout flamme,
le bassin ivre dansant lentement, dansant lascivement
tandis que mes mains parcourent mon corps, allumant ma peaucomme mes parties génitales coopèrent divinement, pleinement,
avec ma prostate, ensemble forment une sorte de super dynamo dans mon bassin,
des tas de bonnes ondes montant,
ces couilles sont capable pendant de longues heures de générer un nectar tellement voluptueux,
une chaleur diffuse, soyeuse, frissonnante, en lentes vagues traversant ma chair de part en partje n’ai plus qu’à me laisser entre mes caresses et mon bassin explosant à chaque instant doucement,
je me rends compte qu’il n’arrête pas d’exploser doucement,
un moteur à explosions
tandis que mes mains frottent ma peau, éveillent mes seins sous leurs pressions, sous leurs effleurements,
je les sens comme vibrant, comme deux tambours d’amour vibrant dès qu’effleurés11 mai 2019 à 14 h 09 min #33719bzoParticipantc’est le défilé et la fête de la gay pride cette après-midi dans Bruxelles
cela va sentir la bière et le foutre dans tout l’archi-centre,
la folie colorée dans les ruesbites et chattes, voies séparées
mais délire sensuel à son maximum tout de mêmeje vous aime tous
11 mai 2019 à 15 h 35 min #33720bzoParticipantarf, c’est samedi prochain,
je me suis encore trompé11 mai 2019 à 18 h 00 min #33721bzoParticipantrentrer chez moi, après une longue promenade, visite chez les bouquinistes, courses
me mettre nu, enlever ces vêtements,
sentir ces couilles aller et venir entre les jambes, se frotter aux cuisses
c’est envoyer un signal à mon corps, à ma chair endormie,
on peut y aller, on peut se lâcher, tout peut monter, tout peut se mettre en action,
la communion sensuelle, le déchaînement voluptueux, peut se mettre à tout moment en route12 mai 2019 à 10 h 37 min #33723bzoParticipantquand je me réveille après une nuit de sommeil,
la première chose que je fais, c’est devenu une sorte d’automatisme,
je vais avec deux, trois doigts titiller ma petite raie d’amourje reste quelques instants à l’entrée, frottant, effleurant, farfouillant
puis sans ménagement, je les enfonce bien droits, bien durement,
avec la crème pour soins intimes
dont je m’enduits toujours désormais le soir avant de m’endormir, après mes ébats,
au matin, la teneur est juste parfaite,
on n’a pas du tout la sensation d’une lubrification par des moyens artificiels,
elle semble une humidification naturelle des lieuxles doigts s’enfoncent comme dans du beurre, du beurre d’amour,
la chair est tendre, se donne sans effort, enveloppante, velouteuse,
sensations de plein de plis, de replis, de recoins,
de courbes soyeuses, caressantes qui se révèlent au passagene pas oublier en même temps, parfaitement synchronisée chez moi avec une longue pratique,
la contraction,
venir à la rencontre des doigts avec la contraction,
ainsi ce ne ne sont plus juste des doigts qui s’enfoncent dans un anus
mais une sensation de pénétration dans un anus-pussyles doigts et la contraction fusionnent instantanément,
semblent former un engin glissant lentement dans la chair, se frayant son chemin, remontant,
fouillant les entraillesnotre prostate est vraiment la clef du royaume,
c’est par elle que tout passe, c’est elle qui donne accès à toutes ces énergies en nous,
cet immense réservoir d’énergie qui dort au fond de nous,
pas directement énergie sexuelle,
c’est nous qui allons les transformer en sensations perçues comme érotiques, sexuelles, sensuelles,ce sont des énergies asexuées, en ce sens qu’elles ont les deux sexes possibles,
nous pouvons les ressentir pour ce qu’elles sont,
en même temps mâles et en même temps femelles,
c’est là qu’elles révèlent toute leur richesse, toute leur diversitéun plaisir prostatique “classique”, un plaisir prostatique au masculin,
c’est une fois que c’est bien développé,
un enchaînement d’orgasmes plus ou moins forts
avec ultimement de temps à autre un super O,
c’est au fond en miroir, l’orgasme masculin mais amplifié, démultiplié, enrichi,
et sans érection, sans éjaculationc’est pas mal, pas mal du tout
mais il y a moyen d’aller tellement plus loin
mais tellement,
ce que j’ai appelé le plaisir au féminin, vivre sa séance au féminin
mais que désormais pour être plus complet, plus précis, plus juste,
j’utiliserai des expressions du genre, vivre son androgynie,
un plaisir qui est en même temps au masculin et en même temps au féminin,
vivre tout le spectre possible de la sensation dans l’instantla même sensation peut ainsi se révéler dans toute sa splendeur,
nous livrer tous ses secrets, être perçue sur tout son spectre,
nous révéler toute sa richesse, toute sa complexité délicate,
nous révéler tous ses pouvoirs fusionnant, transporteurs, unificateursle mâle a besoin de l’explosion de l’orgasme
car ces sensations fortes sont cantonnées à son bassin la plupart du temps,
dès lors pour ressentir un peu au-delà,
cela doit exploser le plus fort possible,
ainsi le reste du corps reçoit des miettes durant la déflagrationainsi il peut vivre un peu la sensation d’unité du corps
car au fond c’est de cela dont nous avons le plus besoin,
nous sentir plein, nous sentir entier, nous sentir unmais une fois que notre androgynie se révèlent totalement la séance,
que nous vivons entièrement la séance au masculin et au féminin
les sensations sont perçues dans tout le corps
et la sensation d’unité du corps est constamment là,
c’est ainsi que même les plus légères caresses apportent une satisfaction accrue, décuplée
une sensation de plénitude, de satisfaction, dans tout le corps,
elle résonne partout, est perçue partout,
ce n’est pas juste votre épaule ou votre épaule que vous caressez,
c’est tout votre corps en même temps, vous avez caressé un seul organe, l’organe corpsla notion d’orgasme devient donc secondaire,
puisque même les plus légères sensations délivrent à 100%,
délivrent une partie de ce que l’on peut ressentir durant la jouissance,
cette sensation d’unité du corps, que tout est relié, que c’est plein, que c’est entier,
qu c’est fusionné13 mai 2019 à 23 h 52 min #33734bzoParticipantma séance est devenue un formidable espace de liberté
où je m’affranchis de mon identité sexuelle,
je suis devenu un espace de jeu sur lequel souffle
quelque chose comme un grand désir qui se nourrit de l’énergie de mes abyssesce corps semble réagir comme un corps étranger,
constamment hors des clous,
chaque seconde est devenue une aventure haletante, une communion païenne dans la chairdans l’inconnu de moi, je voyage,
porté par ma chair en transe étrangère14 mai 2019 à 20 h 51 min #33735bzoParticipantma séance est devenue un formidable espace de liberté
je sens le besoin de revenir sur cette notion
car j’ai pris conscience dernièrement à quel point elle a progressé en moi,
à quelle point elle est devenue importantece n’est pas une notion abstraite,
c’est véritablement quelque chose que je ressens physiquement, quelque chose que je ressens dans ma chair,
une sorte d’immense griserie,
un peu, comme j’imagine, ce qu’on doit ressentir quand on saute en parachute,
d’être affranchi de toute une série de lois de la physique qui rattachent notre corps à la terreen occurrence durant ma séance,
toute une série de choses sont totalement descellées en moi désormais
mais alors totalement,
mon identité sexuelle et tout ce qui l’accompagne,
cela fait comme des fondations physiques, un socle qui semble coulé dans du béton en nous
tout d’un coup n’existent plus,
tout une série de règles qui semblent ne plus avoir courscomme avec le saut en parachute, une fois qu’on maîtrise bien,
qu’on n’a plus peur,
de la même façon, une fois qu’on est bien habitué
à ce complet descellement en nous,
qu’on accepte cette totale déstabilisation
là cette liberté peut s’exprimer en toutes ses dimensions,
nous offrant un terrain de jeu sans limites15 mai 2019 à 8 h 54 min #33736matou8313Participant@bzo : je ne participe pas à ces échanges puisque je ne peux plus éprouver ces sensations mais j’admire la description des sensations physiques et surtout psychiques que vous savez transcrire avec tant de précisions et surtout d’images qui parlent à ceux qui ne les éprouvent pas ( ou plus pour moi …) …..Pour illustrer autant de sensations qui vous font souvent évader de votre corps , je vois mal une vidéo même commentée aider davantage à la compréhension des séances …. Filmer en gros plan des visages, des bassins-hanches ,des sphincters , des aneros en “pompage” ( s’il y en a …) lors de la montée de l’excitation ou de l’orgasme ne précisera pas ce que vous éprouvez dans votre corps et votre esprit à ces moments et que votre maîtrise du langage arrive à transcrire …. Enfin c’est mon avis mais peut-être que vous lui associez aussi des talents cinématographiques dont je n’ai pas idée ….Mais ceci supposerait aussi l’intervention d’un cameraman qui ait la même approche que vous pour saisir tous les détails ( comme l’a souligné Andraneros ) préjudiciable peut-être au déroulement de la séance ??? Et ensuite un retour en arrière de votre part pour les commentaires associés à l’image … Enfin vous êtes seul juge bien sur . Message que je fais volontairement ici alors qu’il concerne aussi le sujet “en parlez vous autour de vous ” tout au moins pour les dernières suggestions . Enfin il y a ici un pont entre les deux …
matou831315 mai 2019 à 9 h 08 min #33737bzoParticipantmon être évoluait encore dans du coton, entre les bras du sommeil
mais d’autres bras, masses de chair bien réelles, chargées de vie, chauds, puissants
m’attirèrent à eux doucement, irrésistiblement,
je sentais des mains douces et à la fois avides sur mes épaules
tantôt caressant lentement, tantôt me serrant, cherchant à attirer toujours plus,
à m’envelopper dans une étreinte de chaleur sensuelle et protectriceje me sentais au nid tandis que dans mon bas ventre,
une chaleur liquide se manifestait de plus en plus,
commençant à déborder de mon bassin,
se propageant lentement dans mes jambes, remontant dans mon tronc,
mes cuisses se pressaient lentement contre mes couilles,
les remuant, les frottant, méticuleusement,
de bonnes ondes, de merveilleuses ondes de volupté
tandis que tout mon corps bougeait très lentement, très très lentement ,
en mode liane lascive extra lente,
créant bientôt une houle paresseuse de volupté dans tout mon êtreje baignais dedans, mon petit nid en était inondé,
entre mes propres bras j’étais bercé, trempé de sensualité, d’ivresse douce, cajolante,
des contractions me remontaient dans les entrailles
je les faisais durer, durer, durer,
millimètre par millimètre, la chaleur volcanique gagnait du terrain,
je freinais autant que possible, presque du sur place,
de l’embrasement tournoyant au ralentije glissais trois doigts dans mon anus-pussy, je les enfonçais autant que possible,
quelle douce explosion dans mes entrailles,
je les maintiens bien en place tandis que mon bassin danse autour de cet axe en moi,
l’explosion continue pendant de longues secondes comme un cornet de chaleur incroyablement dense,
je reste ainsi dans une espèce d’extase qui maintenant m’a saisi des pieds à la têtealléluia, la journée commence bien
-
AuteurArticles
- Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.