Mots-clés : énergie sexuelle, plaisir androgyne, prostate
- Ce sujet contient 361 réponses, 5 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
Andraneros, le il y a 3 années.
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- 1 février 2020 à 13 h 07 min #36198
bzo
Participantbon ben c’est assez étonnant
mais le petit incident de ce matin, à savoir cette éjaculation accidentelle lors de la séance
que je relate plus haut,
est en train de bousculer toutes mes idées sur le sujetj’ai toujours affirmé et lu sous la plume d’autres
que pour le type de plaisir solitaire qui nous occupe, essentiellement motorisé par la prostate,
le fait de ne pas éjaculer, permettait d’avoir ses réservoirs d’énergie sexuelle bien emplis
et qu’ainsi notre plaisir était plus intense, plus riche
et c’était vrai à une certaine époque pour moi, je peux l’affirmer,
je m’en souviens bien, c’était bien le cas, ce n’est pas une affirmation faussemais la donne, semble-t-il, désormais, a changé pour moi,
au stade où j’en suis arrivé, aussi bien en aneroless qu’avec le masseur,
avec cet autre moi dans mon corps aux commandes tellement totalement, tellement puissamment,
les ondes que je génère dans le cadre de mes ébats,
les vibrations que je fais monter, dont je me nourris, qui font mes délices,
n’ont plus grand chose à voir avec les énergies sexuelles habituelles de l’homme, liées à son pénis
et diminuant au plus on éjacule, au plus on fait couler sa semenceencore mieux, en fait, maintenant que j’ai expérimenté cela,
je n’ai plus aucune réticence, plus aucune appréhension,
quant à une éventuelle éjaculation
et à ses effets néfastes ultérieurs dans les heures et les jours qui suivent
sur l’intensité de mon ressentije croyais que c’était lié à l’aneroless
mais non, j’ai refait une petite séance de 15mn avec le masseur, même mode opératoire,
va et vient du masseur + cuisses pressant, frottant, ardemment
et c’était tout aussi bon,
aucune baisse d’intensité, même meilleur en fait
puisque je n’ai plus aucune appréhension quant à une éventuelle éjaculation1 février 2020 à 14 h 32 min #36199bzo
Participantje dois dire que je suis vraiment épaté,
en action, je sens mes parties génitales fatiguées, vidées par l’éjaculation
mais malgré tout, la puissance des ondes est là, sans aucune perte,
elles n’ont chez moi donc, vraiment rien à faire, avec mon sexe,
avec la puissance de production habituelle de sensations par làet pourtant c’est bien avec mes couilles et mon sexe qu’une partie de ces ondes dans mon bassin, arrivent
ou plutôt devrais-je écrire,
par la chair ultra-conductrice de celles-ci
mais plus conditionnées par mon identité sexuelle,
par la sexualité par défaut, liée à mon pénis1 février 2020 à 16 h 17 min #36200Andraneros
ModérateurTu nous dis à 10h 19 :
ce matin, j’ai eu un petit accident, (… )
soudain,moment de panique, je sens que je vais éjaculer, (… ) alors je me détends, je me laisse aller pour au moins goutter ces quelques instants d’éruption avec lave blanchâtre
cela faisait au moins deux ans que je n’avais plus éjaculé,
cela a coulé intensément et inhabituellement longtemps,Tu complètes à 10h 57 :
c’est assez étonnant mais tout semble redevenu normal, en fait, il faut encore confirmer avec des moments plus soutenus et plus intenses, pas juste quelques instants à gauche et à droite mais l’éjaculation ne semble pas avoir eu d’effets outre-mesure sur mes sensations d’après ce que j’ai pu constater pour l’instant.Cela a duré juste un bon quart d’heure l’effet
Tu conclues à 13h 07 :
pour le type de plaisir solitaire qui nous occupe, essentiellement motorisé par la prostate, le fait de ne pas éjaculer, permettait d’avoir ses réservoirs d’énergie sexuelle bien emplis et qu’ainsi notre plaisir était plus intense, plus riche et c’était vrai à une certaine époque pour moi, je peux l’affirmer,
Je ne suis pas étonné de l’heureuse surprise que t’apporte ton « accident » matinal. Je me souviens avoir lu que plus longtemps nous restons sans éjaculer, non seulement plus nous accumulons d’énergie sexuelle, mais surtout moins nous en perdons après une éjaculation. Cela signifie qu’un homme, qui sait contrôler le cycle de ses éjaculations et ainsi augmenter son niveau d’énergie sexuelle, peut éjaculer et conserver après la déperdition associée à l’éjaculation un niveau d’énergie sexuelle très supérieur à celui d’un homme « normal ». Son retour à des niveaux très élevés d’énergie sexuelle est donc très rapide.
Ta pratique fait de toi un exemple de ce qu’un homme devient quand il est parvenu à se libérer du besoin d’éjaculer. Tu illustres à ta manière particulière le cheminement que nous relate @epicture dans son fil de discussion « L’énergie sexuelle masculine ».
Bon cheminement @bzo.
1 février 2020 à 18 h 19 min #36201bzo
Participantun homme, qui sait contrôler le cycle de ses éjaculations et ainsi augmenter son niveau d’énergie sexuelle, peut éjaculer et conserver après la déperdition associée à l’éjaculation un niveau d’énergie sexuelle très supérieur à celui d’un homme « normal ». Son retour à des niveaux très élevés d’énergie sexuelle est donc très rapide.
peut-être en effet, c’est l’explication
en tout cas désormais, je ne vais plus chercher spécialement à éviter l’éjaculation.
Je me sens bien, très très bien, cette séance m’a fait du bien, éjaculer m’a fait du bien,
pas tellement pour les quelques secondes d’orgasme sans érection,
c’était très intense mais cela dure tellement peu de temps
que c’est bien peu de choses finalement comparées à tout le reste que j’obtiens durant mes séancesmais surtout un bien-être général dans mon corps,
je crois désormais que ce n’est pas très sain de rester ainsi pendant des mois, des années,
sans se “vidanger”, enfin c’est comme cela que je le ressens pour l’instant,
cela ne me manquait pas, je n’en ressentais pas le besoin pourtantje ne vais plus chercher du tout à contrôler,
je ne vais pas la chercher spécialement, pas du tout même
mais si elle vient durant une séance, je ne vais rien faire pour l’éviter,
juste suivre mon désir, rien que mon désir, tout mon désir
sans tenir compte qu’au passage, il y aurait un petit lâcher de semence1 février 2020 à 23 h 22 min #36202bzo
Participantc’est un moment important ce qui s’est passé pour moi,
je crois qu’il va me permettre de passer au stade suivant
(car il y a toujours un stade suivant, aussi loin qu’on soit )dorénavant l’éjaculation sera intégré dans ma pratique,
à ma façon,
c’est-à-dire ne la recherchant aucunement
mais si elle arrive, je laisserai faire désormais,
si cela doit venir, si cela doit cracher, que cela se passe, que cela arrive,
je sais qu’il n’y aura pas de déperdition d’énergie, d’atténuation de mes sensations ainsi,
au contraire, je serai plus calme, plus relax, ma chair encore plus disponiblesi on n’a pas de rapport sexuel,
l’éjaculation est comme une soupape qui doit relâcher le trop-plein de temps à autre,
me masturber, ne m’intéresse pas,
sans doute il existe des techniques plus élaborées, Mantak Chia, électrostimulation
qui apporte un plaisir nettement plus riche et plus intense
qu’une masturbation basique à la force du poignetmais ces plaisirs ne m’intéressent pas, les plaisirs du pénis en solitaire ne me parlent pas vraiment,
ma pratique me fait goûter à des délices qui me satisfont totalement,
juste désormais cette soupape de sécurité qui lâchera du sperme de temps à autre
pour que les énergies circulent d’une façon encore plus efficace, plus précises,
je le sens déjà maintenant,
non seulement rien n’est atténué
mais c’est encore mieux, c’est plus calme dans ma chair, plus équilibré,
le contact de mes couilles avec les cuisses,
je sens aucune onde pénienne au contact de mes parties, juste ce qui monte de mes profondeurs,
le fait d’avoir lâcher ma bordée,
permet une meilleure circulation des seules ondes qui m’intéressent1 février 2020 à 23 h 45 min #36203bzo
Participantpeut-être certains qui me lisent dans mon fil,
enfin s’il y a seulement quelqu’un à part @andraneros qui me lit
doivent se dire, il fait tout un plat d’une éjaculation
mais quand vous en n’avez plus eu depuis près de deux ans,
c’est un événement, c’est un séisme,
et qui a provoqué de sacrés changements dans mon corpsce corps dont je suis devenu tellement complice,
j’ai une grande oreille comme un radar dirigé constamment vers l’intérieur,
je perçois le moindre changement dans la circulation des énergies
et là beaucoup de choses ont changé depuis ce matin,
très positivement contrairement à ce que je craignais du à ce lâcher de sperme involontaire,
très positivement2 février 2020 à 10 h 46 min #36204bzo
Participantj’ai juste voulu vérifier ce matin mes soupçons concernant la pratique sous la couverture
et en effet durant une séance sur le ventre avec une couverture même légère,
avec une pratique aussi dynamique, beaucoup de mouvements, de gestes, que moi,
on s’en rend pas toujours compte dans le feu de l’action
mais il y a des réguliers frottements, effleurements, de la couverture , sur les parties,
cela peut à la longue contribuer à provoquer une éjaculation non désirée2 février 2020 à 11 h 01 min #36205bzo
Participanttoujours concernant cette histoire d’éjaculation,
dans ce que j’ai écris plus haut,
des choses pourraient être mal interprétées,
je ne pratiquais pas avec l’appréhension d’éjaculer, je n’y pensais pas du tout en fait
je n’étais pas là constamment à me dire, “oh tu dois faire attention pour ne pas …”,
nonjuste que si je commençais à sentir mon sexe se durcir sérieusement et rester dans cet état,
il y avait un petit voyant qui s’allumait dans ma tête
qui me prévenait,
je vérifiais alors mon attitude, ma posture, ce qui pouvait avoir provoqué cette réaction,
la plupart du temps c’est parce que j’effectuais trop de frottements, de pressions , sur les parties,
alors je ralentissais un peu, voire j’arrêtais totalement
si je sentais que j’étais trop engagé dans la voie d’un plaisir pénien qui débouche sur l’éjaculationdonc désormais ce voyant ne fonctionnera plus,
sauf s’il y a des frottements de couverture, par exemple,
ou autre raison externe qui interfèrent
car là c’est juste de la masturbation, ce n’est pas intéressant, enfin cela ne m’intéresse pas
mais si cela vient juste comme cela dans le courant de mon action normal,sans aucune interférence externe,
cela n’allumera plus aucun voyant dans ma tête2 février 2020 à 11 h 53 min #36206bzo
Participantbon, comme je me suis promis dans ce fil-blog de tout écrire le plus honnêtement possible,
je me dois d’admettre à ce stade certaines choses,
quand je ne fais plus attention à ce petit voyant qui se met à clignoter à un moment donné dans ma tête,
cela conduit inévitablement à l’éjaculationainsi je crois que je pratique juste une sorte de variante à la Mantak Chia
avec retardement à l’extrême de l’éjaculation,
exploitant toute une zone d’excitation avec beaucoup de potentiel, ainsije viens de m’offrir une petite séance comme cela au lit, un bon quart tout à fait délicieux
mais à un moment donné, j’avais le petit voyant dans ma tête qui clignotait
et au lieu de faire comme d’habitude,
de ralentir les les pressions et les frottements de mes cuisses
et de mettre plutôt l’accent sur les contractions,
j’ai laissé faire le désir comme je l’avais ditmais c’était tout de même extraordinaire, je sentais bien que l’essentiel des vibrations
était dorénavant produites par mes organes sexuels,
que la prostate avec les contractions, s’effaçait de plus en plus
mais le féminin était tout de même là,
l’autre moi était toujours en action,
le plaisir continuait d’être ressenti puissamment dans tout le corps,
sensations riches, variées,
je continuais en fait, à bien ressentir, avec l’autre moi, féminin,
et quand l’éjaculation est arrivé, à exploser,
c’était comme on éjaculait en moi, c’est comme cela que je l’ai ressenti,
mon bassin se cabrait follement
tandis que je sentais la chaleur irradiante de l’explosion se répandre partout en moij’ai bien senti à partir d’un moment donc ainsi
que c’était la voie de l’éjaculation immanquablement dans laquelle j’étais engagée,
mais voie étirée comme un élastique dans tous les directions, ralentie, exploitée autrement
et donc quand cela arriva, ce fut sans doute le plus délicieux orgasme avec éjaculation que j’ai eu de toute ma vie,
je me tordais dans toutes les directions,
j’avais la sensation que des vagues lentes de lave sortait de mon sexe mi-dur, me montaient au cerveau,
se répandaient dans tout mon corpsje vais tout réévaluer, je vais garder cette pratique,
il n’y a pas de raison de l’éviter,
on verra ce qu’il en ait des réserves d’énergie sexuelle,
j’aviserai s’il y a des problèmes de ce côté-làcependant je vais équilibrer cela par une pratique plus exclusivement prostatique,
avec beaucoup moins, voire pas du tout, de frotti frotta des cuisses et des génitaux,
de la prostate, rien que de la prostate, encore de la prostate, donc, back to basics,
équilibrer cette nouvelle façon de pratiquer,
orientée extraction ondes du pénis avec éjaculation en conclusion éventuellement
par de la prostatepeut-être ainsi je suis en train de mettre quelque chose en place
de plus complet,
qui tient compte encore plus des possibilités de ce corps d’homme
mais aussi de ses nécessités
comme celle d’éjaculer de temps à autre,
j’ai l’intuition que cela peut s’équilibrer tout seul,
que le corps peut gérer tout seul son besoin d’éjaculer
avec cette nouvelle pratique, enfin pas nouvelle
mais en me retenant aucunement,
j’ai senti cela, pour l’instant il y a éjaculation
mais cela ne sera pas forcément le cas dans les jours à venir
quand j’aurai satisfait à cette nécessité3 février 2020 à 18 h 57 min #36300bzo
Participantje suis toujours en train de digérer et de découvrir les implications
de mon changement de position vis à vis de l’éjaculation,
cela m’a emmené à tout remettre en question
et à questionner certaines certitudes dans la théorie de ma pratiqueTa pratique fait de toi un exemple de ce qu’un homme devient quand il est parvenu à se libérer du besoin d’éjaculer.
si il y a quelques jours, cela m’avait sembler une hypothèse plausible,
j’y crois nettement moins après d’attentives observations de ce qui se passe en moi durant la séanceune autre éjaculation depuis et n’ai senti aucune atténuation du niveau de mes énergies,
tout du contraire,
je ne cherche pas à me masturber, je ne cherche pas à éjaculer durant les séances,
cela ne m’intéresse pas outre-mesure,
cependant je crois fermement désormais que même si grâce au stade où j’en suis arrivé dans mon cheminement
et aux particularités de celui-ci,
je ne sens plus aucunement le besoin d’éjaculer,
mon corps a besoin régulièrement de le faire,
c’est malsain et néfaste de rester ainsi de longs mois, voire de longues années sans le faire
sauf sans doute pour certains cas bien particuliers
mais je n’en fais pas partie, cela j’en suis certainje vais laisser mon corps réguler cela tout seul
en continuer de pratiquer de la même manière,
si de par mes nombreux frottements et pressions de ma cuisse,
une excitation pénienne s’installe aussi, avec la conclusion de l’éjaculation,
je ne tenterai rien pour contrôler la chose, bien que j’en sois parfaitement capable
sans ressentir de frustrationmais comme je le sous-entendais plus haut,
je me sens nettement mieux ainsi,
je sens mon corps d’homme plus apaisé ainsi, ayant lâché de la semence deux fois en trois jours,
même on ne recherche pas de plaisir avec cette action,
c’est néanmoins une soupape pour le corps qu’il est nécessaire de laisser s’activer régulièrement ,
j’en suis convaincu désormaiset je ne crains aucune baisse de mes réserves d’énergie sexuelle
car après d’attentives observations, ces trois derniers jours,
j’ai acquis la conviction qu’avec ma façon de pratiquer,
avec ce que j’appelle un autre moi aux commandes, ce moi androgyne
au-delà des frontières de mon identité sexuelle,
ce sont de toutes autres énergies sexuelles qui montent pour m’assurer des moments de délicece n’est pas mon sexe mais la chair de mon sexe,
mon sexe est lié à mon identité sexuelle
et consomme de fortes quantités d’énergies mâles pour fournir l’éjaculation
accompagnée de son orgasme quelques secondes
mais je sens que cela fonctionne avec tout à fait d’autres énergies chez moi
et que comme je l’ai déjà écrit maintes fois,
j’ai un sexe masculin entre les jambes
mais la chair de mon sexe lui n’a pas de genre,
peut avoir les deux
et c’est ainsi que j’ai accès à tout d’autres énergiesceci étant dit, comme je n’éjaculais pas,
les frottements et pressions sur mes parties par les cuisses,
éveillaient aussi plus facilement des sensations péniennes,
des énergies mâles directement liées à mon sexe,
d’où ces éjaculations, la première accidentelle,
probablement due aux frottements du drap sur mes génitaux tandis que je pratiquais sur le dos
et la seconde, parce que j’ai décidé de laisser faire désormais,
si cela doit venir, que cela vienne,
le corps en a besoince que je ressens à présent, après ces deux éjaculations en trois jours,
c’est que quand je frotte avec mes cuisses,
le frotti frotta que j’aime tellement
et que j’alterne, que je mixe avec les contractions , dans le bassin
et aussi le ou les doigts, derrière dans mon anus-pussy,
c’est qu’il y a nettement moins d’ondes péniennes qui s’éveillent, pratiquement plus en fait,
c’est encore plus doux, plus velouteux, si c’est possible,
cela a changé légèrement de nature,
je ne m’en rendais pas compte car j’y étais habitué
mais il y avait toujours une dosse d’ondes péniennes qui venaient se mêler à mes ébats
du fait que je n’éjaculais jamaisà pré&sent que ce n’est plus le cas,
cela a beaucoup diminué, c’est étonnant
et donc dorénavant je laisserai mon corps gérer tout seul les éjaculations
quand le besoin se fera sentir,
cela montera, mon pénis lâchera de la semence,
cela me procurera un moment un peu particulier qu’il n’y a pas à bouder,
ces éjaculations durant ces pratiques basées sur la prostate essentiellement,
sont toujours particulièrement fortes et productrices d’une grande quantité de semence3 février 2020 à 20 h 02 min #36301Andraneros
ModérateurBonsoir @bzo,
Tu me cites :Ta pratique fait de toi un exemple de ce qu’un homme devient quand il est parvenu à se libérer du besoin d’éjaculer.
et tu remarques :
si il y a quelques jours, cela m’avait sembler une hypothèse plausible,j’y crois nettement moins après d’attentives observations de ce qui se passe en moi durant la séance
Je précise que quand j’écris « parvenir à se libérer du besoin d’éjaculer » je n’écris pas du tout « parvenir à ne plus éjaculer ». Éjaculer est une fonction profondément inscrite dans nos gènes pour la reproduction de notre espèce sexuée. Il est normal d’éjaculer. Ce qui est différent pour toi, comme pour nos amis qui sont devenus capables de vivre à volonté des orgasmes qui apportent une satisfaction très supérieure à ceux qui sont associés à l”éjaculation, c’est que tu peux choisir d’éjaculer ou de ne pas le faire sans aucune perte d’intensité de la jouissance dans laquelle tu baignes au quotidien.
Tu n’éjacules plus par besoin de satisfaire ta libido. Tu éjacules quand tu le choisis ou encore mieux peut-être quand ton corps te dit que c’est le moment de le faire.
C’est la cerise sur le gâteau quand tu as déjà mangé tout le gâteau.
Bon cheminement @bzo.
3 février 2020 à 21 h 25 min #36302bzo
ParticipantCe qui est différent pour toi, comme pour nos amis qui sont devenus capables de vivre à volonté des orgasmes qui apportent une satisfaction très supérieure à ceux qui sont associés à l »éjaculation, c’est que tu peux choisir d’éjaculer ou de ne pas le faire sans aucune perte d’intensité de la jouissance dans laquelle tu baignes au quotidien.
Tu n’éjacules plus par besoin de satisfaire ta libido. Tu éjacules quand tu le choisis ou encore mieux peut-être quand ton corps te dit que c’est le moment de le faire.
hum, tu as raison pour cette nuance et sans doute pour l’explication aussi
un accès sans restrictions à mes énergies
explique sans doute la raison pour laquelle ces éjaculations n’ont pas grand effet sur ma libido
et l’intensité de mes sensationsje peux rester sans éjaculer pendant des mois, des années,
sans ressentir aucun besoin de le faire
mais cela ne veut pas dire que c’est une bonne chose de rester ainsi,
je suis même désormais persuadé du contraire
et qu’il est sain de “se vidanger” régulièrementje vais laisser mon corps gérer cela tout seul
en n’intervenant plus d’aucune façon pour contrôler la chose3 février 2020 à 22 h 27 min #36307bzo
Participantdans toutes mes explorations, toutes mes tentatives diverses
depuis que je me suis lancé dans les plaisirs où la prostate a un rôle à jouer,
le seul véritable échec patent que je perçois, que je ressens jusqu’ici dans mon parcours,
c’est de ne pas avoir réussi à intégrer les contacts de la main des parties génitales durant l’actionautant avec les cuisses, pas de problème, c’est tellement délicieux,
je ne saurai m’en passer,
les cuisses semblent être les interlocuteurs naturels de mes parties génitales durant l’action,
autant les contacts des mains ont toujours abouti à un échecsi je m’y essaie, c’est chaque fois le même schéma qui recommence, qui se joue
et qui se termine de la même manière,
à savoir, des premiers contacts splendides, explosifs
mais très rapidement, cela tourne à la déconfiture
malgré toutes sortes de tentatives de perpétuer les premières réussitesc’est explosif mais cela devient vite monocorde, sans réelle progression de la tension sexuelle,
et puis mon moi pesant sort de sa niche sans arrêt, je ne peux plus le contrôler,
il me susurre sans cesse, “va-s-y, touche-les, caresse-les, encore, et encore!”ce type de contact semble rompre chez moi un équilibre subtile,
l’accès sans restriction à mes énergies des profondeurs,
le fait que cela éveille des ondes mâles, massivement mâles directement liées à mon sexe,
je glisse vers un plaisir pénien irrémédiablement
malgré toutes sortes de tentatives d’intégrer4 février 2020 à 0 h 30 min #36308bzo
Participantsublime séance au lit de près d’une heure,
je savais que les bouleversements de ces derniers jours allaient me faire faire un grand pas en avant
et j’ai été servi,
comme j’ai été servi,
ah mes amis, ce qu’il y a moyen de vivre dans cette chair,
ces délires de volupté,
ces orgasmes lents, interminables qui semblent vous soulever de terreje n’ai pas éjaculé cette fois-ci, plusieurs fois j’ai cru que cela allait arriver
mais cela n’est pas arrivé,
au fond ce que je vis à présent, c’est une sorte de Mantak Chia
où l’appareil génital masculin est mis à contribution massivement
mais particularité chez moi,
je le vis du côté entièrement de cet autre moi, ce moi androgyne qui règne chez moi durant les séances,
c’est-à-dire un moi essentiellement féminin
mais avec la dose qu’il faut de masculin, là où il faut
pour bien mettre le feu aux poudresles mots me manquent
mais je crois bien depuis que je pratique en aneroless,
ce fut ma meilleure séance,
j’étais dans un état tellement hors de moi, tellement emporté par le plaisir,
c’est indescriptible,
tout est devenu tellement fou dans ma chair, dans tout mon êtrebref que du bon, il me manquait cela, donner libre cours au potentiel du pénis
mais totalement au service de ce féminin que j’éveille si divinement,
qui m’emporte dans des torrents de volupté irrépressiblescela a totalement fonctionné, aucun problème d’équilibre des énergies,
la synergie était parfaite, je n’avais vraiment plus qu’à me laisser emporter par le désir,
ne plus faire attention à aucun voyant dans ma tête qui s’allumerait,,
si cela bande et si cela finit par cracher , pas de problème,
c’est que le corps en avait besoin, avait besoin d’évacuer un peu par là
mais ça n’est pas arrivé,
ai lâché beaucoup de foutre avant-hier et encore hier une seconde fois,
ceci explique sans doute cela
mais c’était parfait car cela s’étirait en longueur
et montait en puissance comme jusqu’ici je n’avais jamais vécu
si l’on excepte les super O d’une autre période de mon parcoursalléluia, le bzo nouveau est arrivé
et c’est un diablement bon cru!4 février 2020 à 7 h 36 min #36311bzo
Participantle bzo nouveau est arrivé, oui
dans mon bassin, la pleine puissance de la prostate
mais aussi désormais la pleine puissance du pénis et des couilles
pour me motoriser jusqu’au cielmoi, fuel féminin, fuel masculin,
moi full androgyne4 février 2020 à 20 h 59 min #36322bzo
Participantje viens de me commander le Nexus G-Stroker,
je me devais de l’avoir , même si je ne risque pas de trop m’en servir dans un premier temps
mais je me dois de l’avoir dans ma collection,
il y a tellement peu de masseurs là-dehors qui me conviennent
qui correspondent à mes critères,
je n’en connais que deux en fait jusqu’ici,
le Nexus G-Rider et l’Aneros Vice 2celui-ci en tant que successeur du G-Rider, je me devais de le prendre,
encore plus massif, forme légèrement modifiée,
ils semblent avoir nettement améliorer la qualité du moteur et de la panoplie des vibrations proposées,
le G-Rider étant de ce point de vue, certainement un des plus piètres masseurs
que j’ai eu entre les mains et dans le cul,
il n’était vraiment pas difficile de l’améliorercependant ils l’ont rendu imperméable en plus,
ajouté aussi un second moteur qui fait un peu bouger à la base de la hampe
deux petits appendices qui sont sensés exciter l’entrée de l’anus
en effectuant des frottements et des pressions, indépendantes dessusj’utilise jamais le masseur allumé, les vibrations ne m’intéressent pas du tout pour l’instant
mais cela ne veut pas dire que dans un avenir plus ou moins lointain,
ce ne sera pas le casenfin bref, je me devais de le prendre, de l’avoir celui-là
c’est étonnant , les deux masseurs dans ma collection,
je ne parle pas de ceux que j’ai délaissés,
sont des masseurs avec moteurs et panoplie de vibrations
alors que j’aime vraiment pas cela
et qu’il ne me viendrait pas l’idée de les allumer
mais ils ont une forme superbe, qui me convient à merveille, assez proches d’ailleurs
et ce troisième que j’ai commandé, ne déroge pas à la règle5 février 2020 à 0 h 18 min #36324bzo
Participantmoi qui croyait déjà être loin, bien loin, dans mon cheminement
mais je n’en étais qu’aux hors d’oeuvre, en fait,
les plats de résistance,
commencent seulement maintenantdivine séance encore au lit,
ai éjaculé vers la fin, j’avais l’impression de manquer d’air,
tellement le plaisir semblait prendre toute la place,
la jouissance était tellement intense,
elle semblait tellement me pomper toutes mes forces, toutes mes énergies, tous mes muscles,
tout mon être, en fait,
que je n’en avais plus pour respirer,je haletais, je suffoquais,
je n’en avais cure, j’aurai pu rester en apnée comme cela pendant des minutes encore
comme un yogi de la jouissance5 février 2020 à 0 h 48 min #36325bzo
Participantune demie heure est passée depuis l’éjaculation
et je commence déjà à retrouver mes sensationsc’est encore atténué mais encore une autre demie heure
et tout devrait être à nouveau en place5 février 2020 à 1 h 33 min #36326bzo
Participantcette façon tellement totale dans mon bassin désormais,
pleine puissance de la prostate,
pleine puissance des génitaux,
pleine puissance de l’anal (doigts fouinant, explorant dans la fente)
m’a aussi curieusement donné envie de retrouver aussi une pratique uniquement prostatique
pour contrebalanceren aneroless, je ne m’en sens pas capable actuellement,
mes cuisses ont trouvé envie de se refermer sur mes couilles, mon sexe,
de les triturer, de les malaxer,
d’en extraire tout un tas de bonnes ondes de volupté soyeusepar contre avec me masseur, j’ai déjà un peu testé, cela fonctionne nettement mieux,
d’abord sans les cuisses, cela fait comme un vide lugubre dans mon bassin
mais après une courte période d’acclimatation,
le masseur fait monter lentement, plus lentement, la tension sexuelle
mais c’est du full prostate,
cela devient de mieux en mieux,
je dois m’y réhabituer, cela fait pas mal de temps
que je mêle la prostate avec tout le reste en aneroless
pour une pratique globalisante, totalemais j’ai envie pour l’instant de goûter à nouveau à du full prostate aussi
5 février 2020 à 9 h 16 min #36327bzo
Participantj’ai pas pu vérifier plus en avant hier soir si tout était bien revenu après l’éjaculation
car je me suis endormi, évanoui de fatigue
je me couche trop tard trop souvent, 2, 3 heures du matin en semaine, presque tous les jours
et réveil pour aller au boulot à 7
mais ce matin, quelques moments d’action dans le lit sous les draps,
n’ont laissé de place à aucun doute,
tout est bien en place, à 100% disponible,
des énergies cristallines, vibrantes, soyeuse,
comme un essaim d’abeilles prêtes à se répandre dans ma chair au moindre contactquelle splendeur, quelle magie possible en nous,
la sexualité, à nous adultes,
c’est une de nos clefs pour vivre de l’inouï, du sublime,
dépasser nos limites, notre petitesse, découvrir de l’inconnu en soi,
vivre dans sa chair l’intensité, la splendeur, des énergies originelles de la vie
en dépôt en chacun de nous,
enfouies dans nos profondeurs comme un trésor caché, enterré, avant la naissance - AuteurArticles
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