Mots-clés : double, ejaculation, latence, multiples, Orgasmes, période, réfractaire, répétition
- Ce sujet contient 8 réponses, 4 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Hyménée, le il y a 9 années et 2 mois.
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1 juin 2015 à 2 h 06 min #16312HyménéeParticipant
Bonsoir,
La phase après décharge est souvent décrite comme mélancolique : post coïtum animal triste.
Les éjac’ provoquées de l’intérieur par stimulation prostatique montrent qu’on peut les vivre autrement : il y a une vraie plénitude à tendre jusqu’à l’abandon après avoir tant et tant orgasmés. La phase plateau est plutôt euphorique.
Pourtant ce soir, le pur plaisir de se suffire à soi-même ne m’habitait pas : une rencontre et des regards posés avec une belle inconnue ce week-end ravivent les désirs de chaleurs partagées.
Alors, plutôt que de me satisfaire de cette belle décharge habituelle de fin de séance, un nouveau désir a germé soudainement :
Et si je continuais ?
La séance avait été bonne et dans les règles de l’art : pas d’attouchements, les entrailles en fournaise. Le Vice dans la position vibreur la plus basse avait sourdement oeuvré.
Après une courte pause, le désir étant encore là, je me décide à enfourner le Duke, curieux et en même temps chargé d’une évidence : si des orgasmes sans éjaculation arrivent à se déclencher en début de séance, ils doivent pouvoir se déclencher après décharge. 🙂
Surprises : même si les chairs commençaient logiquement à s’assoupir, la furie du Duke fait ses ravages et me revoilà reparti pour un tour, ce coup-ci en me branlant généreusemeent (geste sans préméditation).
Joie ! quelques mini-orgasmes vont se chercher profonds et explosent, alors que je m’astique. Mes caresses n’empêchent pas la quiétude du déroulé, et mon corps est ravi de se voir à nouveau entrepris par la verge.
Joie ! Je me mets à rêver d’un coît endiablé et réalise que je ne perdrai pas vigueur entre ses reins. Le temps psychologique s’est dissous dans la première, et il peut y avoir pure présence jusqu’à la deuxième.
Joie ! Le sublime devient partageable ! Les corps peuvent se briquer à vif sans épanchement fatal ! 🙂
Peut-être l’ai-je trouvé ce week-end la partenaire avec qui ?
Bonne nuit
5 juin 2015 à 18 h 15 min #16333Adam M.Maître des clésSympa comme expérience, à tester, en général, si je termine par une éjaculation, je suis plutôt satisfait et je n’ai jamais essayé de recommencer après l’éjaculation. Voici donc une expérience à tenter (pour la science bien entendu 😉 ).
Merci pour l’info.6 juin 2015 à 15 h 47 min #16335hectorParticipantJ’ai eu un cas similaire avec le drei.
Après qu’il m’ait arraché une éjaculation après de nombreuses vagues de plaisir plus ou moins intense, je l’ai gardé en moi, le laissant oeuvrer encore car, étrangement, le temps que je reprenne mes esprits, les sensations qu’il me procurait ont effacé la période réfractaire. En tout cas, elles m’ont donné envie de continuer.
Et je me suis retrouver après quelques temps à me masturber presque frénétiquement, en tout cas poussé par une incontrôlable envie. Et tout ceci a déclenché une nouvelle éjaculation après quelques vagues de plaisir prostatiques 🙂
C’est vraiment quelque choses de très fort, qui laisse vide, calme et serein.
Je me demande ou n’emmènera le zwei qui restera plus facilement en place que le drei…8 juin 2015 à 21 h 32 min #16348HyménéeParticipantLe Zwei reste en place … une fois qu’il a trouvé sa place. C’est le plus difficile 🙂
Sans l’avoir vécu moi-même, ça doit ressembler à un fist. Une fois en place, le poing ne sort plus mais peut se mouvoir.
Fantasmes, fantasmes
Je vous recommande, Hector, d’y aller mollo avec le Zwei : n’introduire que la moitié lors des premières séances est sûrement une bonne idée. Il doit se désirer, rester à l’écoute de son corps : à un moment, vous verrez, le corps appelle à l’introduction totale. Alors faut pas hésiter et répondre à l’appel comme un seul homme !
Ca me donne envie d’y retourner d’ailleurs. Suis le lapin blanc, comme dit l’autre 🙂
8 juin 2015 à 23 h 23 min #16353hectorParticipantJe sais pas si il va poser problème ou pas, mais je suis de plus en plus détendu lorsqu’il s’agit d’utiliser des toy anaux pour explorer mon plaisir et, par exemple, le drei ou le vice ne me posent plus de problèmes, je n’ai plus besoin de préparation spéciale, juste du lubrifiant, de l’envie et c’est parti 🙂 Bien excité j’arrive à insérer une bonne partie du coté “vaginal” du share aussi, même si il me manque quelques cm pour avoir un deuxième pénis 😉
17 juin 2015 à 12 h 39 min #16386luckyParticipantHi tous,
Quant à l’éjaculation qui entraîne une période réfractaire, chez moi, ça fait belle lurette que ça n’existe pas. Si en fin de séance anerosienne que je pratique parfois avec des aneros, parfois à seulement me caresser les tétons et le reste de mon corps, si en me caressant ( sinon j’y arrive pas ) j’ai une jouissance éjaculatoire, les orgasmes prostatiques sont encore et toujours là. Je me tourne pour dormir et là, j’en ai encore pour une demi-heure au moins à me recroqueviller avec des Ah ahhhhaaa !
J’ai l’impression depuis mes découvertes anerosiennes que mon état naturel est devenu orgasmique ou, si vous préférez, je suis toujours en situation d’orgasme. S’ils ne se déclenchent pas, c’est parce que je suis concentré sur une tâche, une discussion ou autre. Dès lors que je m’étends quelque part les premiers spasmes arrivent. De plus mes tétons sont devenus l’équivalent de clitoris.
C’est d’ailleurs le seul jeu ( caresse des tétons ) qui amuse ma femme et auquel elle s’y prête !A bientôt
Lucky ou Julie : ça dépend !27 juin 2015 à 0 h 01 min #16472HyménéeParticipant… J’ai l’impression depuis mes découvertes anerosiennes que mon état naturel est devenu orgasmique ou, si vous préférez, je suis toujours en situation d’orgasme. S’ils ne se déclenchent pas, c’est parce que je suis concentré sur une tâche, une discussion ou autre …
Je ne sais pas bien si j’aimerais être dans votre situation, @lucky. Ou alors, je m’en fais une idée qui ne doit pas être juste. Ou alors, c’est peut-être que j’aime vivre d’autres états d’être. La quiétude par exemple. Ou les jubilations de l’esprit : se concentrer sur une oeuvre artistique, un livre, faire la cuisine, résoudre un problème professionel difficile …
Et quand mon bassin me prend l’âme et le corps, il reste peu de place pour autre chose … au point où je me demande maintenant s’il y a de la place pour une autre âme, un autre corps.
C’est tellement intense, tellement plein, tellement dingue.
28 juin 2015 à 16 h 29 min #16509luckyParticipantBonjour,
Oui hyménée. Parfois ce n’est pas facile ! C’est présent tout le temps. Il n’y a plus vraiment de quiétude. Et même pour lire, j’ai du mal et pourtant j’adorais ça !
Je vais dans lucky, sa basilique et tout ça tout ça pour raconter un tranche de vie.A plus
Lucky28 juin 2015 à 23 h 11 min #16566 -
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