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  • #23002
    Andraneros
    Participant

    Je profite de ce que @bzo nous dit dans son intervention du 17 mai pour ouvrir un sujet important à lire et à relire par nos amis anéronautes qui commencent leur cheminement. Je cite :

    Je vais évoquer maintenant pour la première et la dernière fois aussi sans doute le fameux super ‘O’. Quoi de plus surfait que ce concept, vous débarquez sur tout forum consacré aux plaisirs de la prostate, partout dans tous les recoins, vous allez entendre chuchoter sur le fameux super ‘O’, super ‘O’ par-ci, super ‘O’ par là.

    Ce serait le graal, la Mecque, le Walhalla, le but ultime, les prostatinologues dissertent à longueur de message dessus mais combien de gens se gâchent leur séance en espérant à tout bout de champ au fond d’eux enfin sentir le fameux super ‘O’ les soulever comme un fétu de paille un jour de bourrasque. Mais cela ne va que freiner leur évolution, éveiller des frustrations.

    Car le fait est que le super orgasme, il n’existe pas, il y a des orgasmes plus ou moins forts un point c’est tout. Au début vous avez des petits orgasmes de quelques secondes, puis ils vont devenir de plus en plus long, au début vous allez les ressentir uniquement dans la zone du bassin, après peu à peu ils vont se répandre dans tout le corps, vous allez commencer à ressentir des tremblements et des contractions involontaires, ceux-ci aussi vont se répandre peu à peu dans tout le corps. Après? Je ne sais pas, j’en suis plus ou moins là, des orgasmes de 5mn pour les plus longs, ressentis dans tout le corps et puis beaucoup de tremblements, ainsi que des contractions plus ou moins fortes et plus ou moins longuement.

    Mais il n’y a pas un moment, une frontière à partir de laquelle votre orgasme devient un super orgasme, pour moi,c’est juste votre petit orgasme du début qui s’est étoffé, enrichi, paré des milles et un atours de la jouissance qui n’a aucune limite, par conséquent votre petit orgasme du début, il va devenir un géant ‘O’ à force de travail.

    Je crois que cela tient avant tout d’un fantasme, le plaisir sexuel avec le pénis, il aboutit à l’apothéose de l’orgasme éjaculatoire, au cours d’une séance prostatique, on est enclin à fantasmer le même genre de cycle où le super ‘O’ tiendrait lieu d’orgasme éjaculatoire. Je crois qu’il faut se débarrasser de ce genre d’attente pour pouvoir progresser, je parle d’expérience, comme tout le monde j’ai eu une période comme cela où j’attendais le messie mais pour moi désormais c’est fini.

    Je complète en citant le traité d’Aneros Session avec un aneros Etape 7 (à la fin) :

    Vous êtes au comble de votre excitation et vous sentez l’orgasme proche. Continuez à vous détendre et n’essayez pas de contracter plus vos sphincters, l’orgasme va se déclencher tout seul du moment que vous êtes détendu. Vous allez alors vivre un moment de pur bonheur. Vous allez ressentir des vagues de plaisirs venant de votre bas ventre et avoir de gros spasmes dans tout le corps. Vous allez littéralement vous faire l’amour à vous même, chaque spasme massant la prostate en faisant glisser l’Aneros et déclenchant un nouveau spasme. Le plaisir durant cet orgasme est très important d’autant plus que l’orgasme peut durer de 30 secondes à 2 minutes. Cet orgasme est appelé Super-O (pour Super Orgasme).

    Je cite la carte au trésor :

    56. Orgasme très fort et inattendu avec convulsions du corps : Super-O

    Je cite enfin le glossaire du tarité d’aneros :

    Super-O
    Super-O est l’abréviation de «Super Orgasme», terme inventé par Brian Mayfield pour qualifier les orgasmes prostatiques. Ces orgasmes sont si puissants qu’ils peuvent projeter l’utilisateur de l’Aneros hors du sens de la réalité pendant quelques secondes, des flashs de couleur peuvent aussi se manifester.
    Un Super-O est un orgasme non éjaculatoire qui peut durer de quelques secondes à plusieurs minutes et dont les vagues de plaisirs prennent source dans la région pelvienne et se développent dans le corps entier par la suite.

    J’ajoute enfin ce que j’ai pu lire et ou expérimenter au cours de mon propre cheminement :
    – 1) Le plaisir perçu est différent et ou plus intense que ce que l’on connaît.
    – 2) Les ondes de plaisir (spasmes) durent plus longtemps que celles de l’orgasme avec éjaculation.
    – 3) Les ondes de plaisir sont plus nombreuses que celles de l’orgasme avec éjaculation.
    – 4) La source du plaisir peut être située plus à l’intérieur de son corps.
    -5 ) La source du plaisir peut être située bien au-delà de la zone périnéale.
    – 6) La source de plaisir peut être multiple, très étendue, voire provenir de tout le corps.
    – 7) L’intensité du plasir peut paraître insupportable.
    – 8) L’intensité du plaisir peut conduire à une modification de l’état de conscience.
    – 9) L’appréciation que nous portons sur nos orgasmes évolue considérablement en fonction du niveau de plaisir enregistré pendant nos sessions.
    Je reviendrais dans une autre intervention pour apporter mes commentaires, mais je vous invite à réagir à ces affirmations et à nous dire ce que vous en pensez, si cette notion vous a porté pendant votre cheminement, si au contraire elle vous a perturbé, si cette question de vocabulaire n’a eu aucun effet dans la progression de vos sessions.

    Merci @bzo pour ta mise au point très utile et bon cheminement à tous.

    #23191
    Garrett
    Participant

    Coucou,

    Pour ma part je dirai que oui, la dénomination du “Super O” pour l’orgasme prostatique comme un climax, m’a plus frustré qu’autre chose. J’ai toujours eu la sensation d’être bloqué plus ou moins au même niveau, très très satisfaisant, mais avec l’espérance de passer un niveau encore au dessus, plus définitif. Et après 3 ans de pratique (sans aneros depuis 2 ans, et je pense que cela a son importance) je n’ai pas la certitude de savoir si le “Super O” existe.

    #23192
    bzo
    Participant

    @Garrett

    il existe et il n’existe pas…
    Je ne conteste pas qu’il existe des orgasmes d’une puissance qui semble venir d’ailleurs,
    J’en ai vécu quelques uns maintenant, donc je parle d’expérience vécue.

    Non, ce qui pose problème avec ce concept de super ‘O’, c’est l’image qui en ai véhiculé
    parmi les adeptes des plaisirs de la prostate, ils attendent qu’à un moment donné, tout d’un coup une baguette magique les effleure et hop le Superman des orgasmes, c’est-à-dire le fameux super O les prennent sous sa cape et hop les voilà partis vers le septième ciel ultime à la vitesse d’une fusée humaine.

    Or ce n’est pas cela mais pas cela du tout, un état de plaisir extrême décrit ici et là, ne peut être atteint que si on pratique sans aucune arrière-pensée de la sorte.
    Comme je l’ai écrit dans mon message initial, c’est le petit orgasme de quelques secondes qu’on a connu à nos début qui peut à peu s’enrichit jusqu’à atteindre des niveaux de plaisir où on perd complètement la tête,
    on arrive un jour, pas l’autre, cela dépend d’un certain nombre de critères.

    Personnellement je crois que si peu de gens finalement atteignent ces niveaux de plaisir,
    c’est que les techniques préconisées pour le massage prostatique sont trop statiques, trop répétitives,
    il faudrait plus de mouvements, plus de variétés dans les postures, plus de frénésie, de passion
    comme je l’ai écrit dans un autre message, le massage prostatique c’est se faire l’amour,
    faire l’amour, ce n’est pas quelqu’un comme une planche sur le dos pendant que quelqu’un d’autre
    dessus le laboure, c’est juste de la procréation ça, l’amour c’est de la fantaisie, de l’imagination, de l’instinct libéré, de l’animalité, de la douceur et de la violence

    #23193
    Andraneros
    Participant

    Bon retour sur le forum Garett. Je suis très heureux de voir que vous continuez à nous suivre malgré un peu plus de deux ans de silence. En relisant vos précédents messages j’avais envie de vous poser dix mille questions sur les effets dans la durée de vos expériences et découvertes. Pour respecter le sujet je me limite au super O’.

    Votre premier message commençait par :

    hé bien je n’ai pas encore eu de super O mais je ressens malgré tout énormément de plaisir durant mes sessions

    Vous ajoutez deux mois après :

    n’ayant pas encore trouvé le point culminant dans mes sessions

    moi qui, n’ai pas encore vécu l’aboutissement dans mes sessions.

    dans ma courte expérience, toujours exempte de climax superOesque,

    Puis trois plus tard :

    Bientôt un an pour moi, et sans aboutissement avec climax (super o). Mais je ne peux pas dire que c’est un échec loin de là. Les autres utilisateurs comprendront évidemment, mais même sans obtenir ce que tout le monde cherche, on arrive à découvrir des sensations merveilleuses.

    Encore un mois plustard :

    Toutes mes sessions sont focalisé sur un fantasme de pénétration et donc d’orgasme ejaculatoire, et n’aboutissent pas a l’orgasme prostatique.

    Un mois plustard :

    J’aimerai partager ma dernière expérience nocturne, qui fut merveilleuse (enfin). J’ai vécus d’intenses vagues de plaisir qui m’ont maintenu éveillé une bonne moitié de la nuit… Mentalement aussi j’étais relâché, et je m’offrai littéralement à l’aneros. Soumis pourrait on dire. Comme une femme dans l’acte sexuel, écartant les jambes et se laissant pénétrer. Je dis ça car après analyse je me sentais petit à petit ressentir du plaisir du fait de cette soumission, passivité extrême du corps. L’anus avait finit par prendre le contrôle du plaisir, et c’est à ce moment que je l’ai bien compris et sentis. D’ailleurs mon sexe avait perdu de son intérêt par la même occasion.

    En janvier 2015 :

    avec 10 – 15 mintues de focalisation érotique et me voilà parti pour de formidables sensations.

    Enfin en mars 2015 :

    Je n’ai pas eu de super O avec convulsion et la totale, mais j’ai eu 2 ou 3 fois, des vagues bloquées sur le mode « plaisir intense de partout » pendant 20, 30 secondes. Je progresse encore,

    Je pratique l’aneros depuis un an et demi, je n’ai pas eu de super O. Mais des sessions qui sont devenues très agréables, et vers le dernier tiers de mon parcours, je pouvais avoir du plaisir à tout les coups.

    Si l’on s’en tient à l’étape 56 de la carte au trésor vous n’avez en effet pas fait l’expérience du super O’. Si au contraire, on élargit cette définition à la manière de celle du glossaire en y ajoutant les étapes 54 et 55 de la carte au trésor je pense que vous avez vécu (et j’espère que vous vivez encore) des expériences de super O’.
    Je vous cite à nouveau :

    J’aimerai partager ma dernière expérience nocturne, qui fut merveilleuse (enfin). J’ai vécus d’intenses vagues de plaisir qui m’ont maintenu éveillé une bonne moitié de la nuit…

    Si cette forme de jouissance n’est pas un super O’, qu’est-ce donc ?

    Le « climax » de l’orgasme centré sur le pénis avec éjaculation vient exclusivement du fait que l’homme jouit très brièvement et que brusquement son désir disparaît en raison de la période réfractaire. L’absence de « climax » du plaisir prostatique vient
    – d’une part du fait que votre jouissance peut se localiser ailleurs que dans le pénis là où vous ne l’attendez pas,
    – et d’autre part que le reflux de la vague de plaisir ne fait pas tomber votre désir.
    Sur ce point je partage donc l’opinion de @bzo.

    C’est aussi pourquoi il est important que celui qui commence son cheminement sépare autant que possible sa pratique prostatique de ses masturbations classiques.

    Le super O’ existe et je suis persuadé que vous en avez fait l’expérience mais que vous n’y croyez pas.

    J’ai toujours eu la sensation d’être bloqué plus ou moins au même niveau, très très satisfaisant, mais avec l’espérance de passer un niveau encore au dessus, plus définitif.

    Mon expérience continue à évoluer au fil des années et aucun niveau n’est définitif. Je suis persuadé qu’il en est de même pour vous. Bon cheminement Garett.

    #23421
    NewGone
    Participant

    Bonjour à tous !

    Ce Super O, il a fait fantasmé tout le monde !sorte de « but à atteindre », frustrant par définition si on n’a pas la sensation de l’avoir atteint un jour…

    Où est la définition , justement ? et je pose la question, par expérience : y a t il une limite au plaisir ?

    Personnellement , je pense que non. On progresse petit à petit, à pas de géant, par période… Peu importe. Mais on progresse. Et cette progression continuelle m’amèneà penser que si on avait aujourd’hui une définition du Super O, on aurait possiblement demain quelqu’un qui parlerait de « Super-Mega O ».

    Voilà qui est réjouissant, non ? RE-JOUISSANT, on pourrait dire..;-)

    #23424
    Andraneros
    Participant

    Bonjour @newgone.

    J’ai séparé la suite de votre message pour créer un nouveau sujet “Chacun sa progression, chacun son rythme” dans lequel j’ai regroupé les échanges concernant votre cheminement original et votre longue expérience.

    Cela permettra de poursuivre avec plus de lisibilité la discussion sur le super O’.

    Bon cheminement @newgone.

    #25423
    Jieffe
    Participant

    Je reprends cette vieille discussion pour te répondre Andraneros:

    je vous invite à réagir à ces affirmations et à nous dire ce que vous en pensez, si cette notion vous a porté pendant votre cheminement,

    Je n’en suis qu’à mes débuts, mais oui, ces affirmations m’aident et me font prendre conscience que petit orgasme (embryonnaire) deviendra grand. Qu’il faut s’attacher à la toute petite étincelle de plaisir, même presque imperceptible, pour la faire grandir. C’est en tout cas la direction que je vais prendre désormais.
    En fait, je ne vais rien faire de plus que de suivre les conseils dispensés le long des discussions de ce forum, mais comme je l’ai déjà exprimé, il faut expérimenter pour mieux l’appréhender.

    #25425
    bzo
    Participant

    arf, tu as fais remonter ce message où je m’insurgeais avec véhémence contre le concept de super O,
    j’étais dans ma phase rebelle

    depuis j’ai évolué, j’admets que le concept de super O fait sens
    dans la mesure où il y a une différence claire entre super O et tout autre type d’orgasme, aussi intense soit-il,
    c’est que le super O va être ressenti dans tout le corps
    alors que tous les autres orgasmes seront ressenti uniquement dans la zone du bassin

    pour moi, c’est le signe clair, précis, sans ambiguïté qui permet de faire la distinction

    le reste , il n’y a pas de règle,
    ce que je ressens souvent durant les super O, c’est une sensation d’extase calme, intemporelle
    après une entrée en matière, une montée de l’intensité brusque et très intense
    avec des frémissements dans tout le corps
    alors que les orgasmes dans le bassin
    qui peuvent être d’une intensité incroyable, sont aussi souvent très violents,
    accompagnés de soubresauts, de tremblements, de convulsions pour les plus extrêmes

    #25426
    Jieffe
    Participant

    Ah mince, ça me paraissait censé ce que tu disais…. 🙂

    #25428
    Jieffe
    Participant

    Et ne disais tu pas

    Et puis je suis tombé sur ce thread sur le forum d’Aneros :
    https://www.aneros.com/community/forum/general-discussion/9695-the-myth-of-super-orgasm
    Le mythe du super orgasme…
    cela m’a complètement libéré, soulagé de lire ce texte.
    Le jour-même j’ai eu plusieurs orgasmes, super O, je ne sais mais ils étaient supers et je faisais O de la bouche, je tremblais des pieds à la tête, j’étais dans la gueule d’un volcan.

    Comme quoi, même si ce n’est pas complètement vrai, ça aide!!!

    #25429
    bzo
    Participant

    ben, je ne renie rien de ce que j’ai écrit,
    ce n’est d’ailleurs pas contradictoire avec ce que j’affirme à présent, il me semble

    ce que j’ai pu constater,
    c’est qu’il existe un type d’orgasme qui est ressenti dans tout le corps,
    contrairement à l’orgasme plus “habituel” qui se ressent dans la zone du bassin,
    j’ai fait l’association de ce type d’orgasme moins courant avec le terme “super O”
    car il me paraissait correspondre

    cela n’enlève rien à ce que j’ai pu écrire,
    les gens se focalisent trop dessus, c’est un plus, la cerise sur la gâteau
    mais on peut avoir d’excellentes séances sans,
    il faudrait faire comme s’il n’existait pas, l’oublier,
    comme cela la surprise serait toujours à son maximum
    quand il nous emporte sur sa vague

    c’est le fruit de la persévérance, de l’obstination durant la séance, d’un bon état d’esprit
    et que toute une autre série de paramètres soient remplis,
    pas de fatigue, en pleine forme, énergie sexuelle à son maximum, beaucoup de temps devant soi, beaucoup d’envie,
    technique de massage au point, bon niveau dans l’art de la jouissance prostatique,
    capacité de total abandon et de relâchement, avec ses instincts aux commandes,
    je crois personnellement qu’on peut parvenir à le reproduire régulièrement dans ces conditions

    #25430
    Jieffe
    Participant

    il faudrait faire comme s’il n’existait pas, l’oublier,

    Oui, c’est comme ça que je l’ai pris, et comme ça que je vais essayer de faire. Je n’ai pas pensé que tu te contredisais, mais que c’est peut-être de cette façon que tu l’as découvert, sans te focaliser dessus et en pensant qu’il n’existait pas. Je vais essayer de considérer comme tu le dis que le Super O n’est autre qu’un orgasme plus fort que les autres.

    d’un bon état d’esprit

    Que veut tu dire?

    pas de fatigue,

    Tu confirmes donc qu’il est préférable de ne pas être trop fatigué? Parce que je me suis rendu compte que le soir quand je me couche je suis crevé, et que la plupart des sessions que je décris ont lieu le matin, au réveil.

    #25432
    bzo
    Participant

    ce que j’ai écris plus haut, c’est par rapport au super O,
    moi je vois cela comme cela, que pour l’atteindre, sauf exceptions,
    toute une série de paramètres doivent être remplis,
    avoir au moins 2h devant soi, être en pleine forme, etc

    d’un bon état d’esprit
    Que veut tu dire?

    être dans de bonnes dispositions, persévérant, pas impatient, n’attendant rien de la séance,
    bonne concentration, plein d’envie

    Tu confirmes donc qu’il est préférable de ne pas être trop fatigué?

    encore une fois je parlais des conditions optimum pour atteindre le super O,
    souvent je me mets au lit , fatigué mais j’ai quand même envie de m’offrir quelques bons moments

    par contre si je veux avoir de bonnes chances d’avoir un super O,
    je commence ma session pas après 10h, pour avoir au moins deux heures devant moi,
    il faut que je ne sente que je suis en plein forme, que j’ai les piles sexuelles bien chargées,
    etc

    #25433
    Jieffe
    Participant

    Merci bzo, ça me sera certainement utile en temps voulu.

    #25439
    Voyageur
    Participant

    Je suis d’accord avec Bzo pour les conditions nécessaires pour atteindre le Super O. A la question existe-t-il ou pas. Question qui n’a pas vraiment d’importance d’ailleurs. J’ai pris la décision qu’il existait. J’ai atteint certains orgasmes qui dépassaient tous les autres en sensation, qui étaient impressionnants, qui faisaient décoller le cerveau dans d’autres sphères, et qui donnaient la sensation d’un énorme shoote d’hormones, comme une drogue merveilleuse et qui vous laissent pantois, essoufflés d’avoir gémi ou hurlé de plaisir.

    #25441
    Andraneros
    Participant

    Cette discussion montre qu’il y a deux catégories de réponses à la question posée par ce sujet.

    La première est apportée par nos amis qui ont fait l’expérience de l’orgasme prostatique. Ils apportent des réponses techniques, sémantiques et expérimentales. Pour celui qui déclenche à volonté des orgasmes prostatiques, la notion de super O’ peut même devenir secondaire et perdre son intérêt.

    La seconde est apportée par les autres qui n’ont pas encore fait cette expérience. Pour eux le fantasme du super 0’ est un puissant générateur d’excitation, de désir. A ce titre c’est un carburant essentiel qui alimente leur cerveau, le moteur de leurs sessions. La difficulté avec ce carburant est de savoir doser son accélération pour avancer doucement sans patiner. Mais il me semble difficile de s’en passer.

    Il faut avoir à l’esprit qu’un débutant qui a bien avancé vit souvent ses premiers orgasmes prostatiques comme des super Os’. Au fil des sessions dans lesquelles il renouvelle de plus en plus facilement cette expérience il en vient à considérer comme normaux ces orgasmes et à considérer comme super Os’ des orgasmes encore plus intenses. Puis il passe dans la première catégorie.

    L’échelle entre les premières étincelles de plaisir et les orgasmes qui vous font basculer dans un autre monde est continu comme le disait @bzo le 5 juin :

    Comme je l’ai écrit dans mon message initial, c’est le petit orgasme de quelques secondes qu’on a connu à nos début qui peut à peu s’enrichit jusqu’à atteindre des niveaux de plaisir où on perd complètement la tête,

    Bon cheminement à tous.

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