Mots-clés : hypnose, multi-orgasme, Relaxation, œil
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12 septembre 2018 à 21 h 13 min #30430bzoParticipant
on peut englober dans le mot fantasme,
ceux formulés consciemment
mais peut-être aussi des choses plus flottant aux limites de la conscience,
voire au-delà
ou encore des fantasmes formulés la veille
que tu aurais oubliés
mais qui là au petit matin, bondiraient de ta mémoire
sans même que tu ais eu le temps d’en prendre consciencePrécédemment je ne sais pas comment je suis arrivé à ‘l’étape’ où je me masse, caresse la jambe et que mes doigts arrivent autour de mon anus. Mais c’est à ce stade qu’il y a eu un Stop, et pourquoi j’ai pensé à toi, à ta pratique.
cela semble conforter ce que j’écris au-dessus,
tu lis mes récits, peut-être t’ont-ils favorablement impressionné
au point de surgir comme cela tout d’un coup et diriger tes actions,
comme un fantasme pour ainsi-dire, informulé sur le moment-même par ta conscience
mais tapi quelque part dans ta mémoirece sont des hypothèses, je ne suis pas un lecteur assidu de Freud,
peut-être même cela n’a rien à voir avec lui,
c’est que dès qu’on place le terme d’inconscient dans une conversation,
on est tenté de se référer à lui13 septembre 2018 à 7 h 52 min #30432EpictureParticipantce sont des hypothèses, je ne suis pas un lecteur assidu de Freud,
peut-être même cela n’a rien à voir avec lui,
c’est que dès qu’on place le terme d’inconscient dans une conversation,
on est tenté de se référer à luiL’inconscient, au sens scientifique n’a pas d’existence réelle. Il y a l’inconscient de Freud, et celui, different, de tous ceux qui en formulé l’existence. Cela dit, on peut raisonnablement affirmer que l’inconscient est une source de causes, qui échappe à la conscience. Donc toute formulation de ces causes ne sont que, et ne peuvent pas être autre chose que des hypothèses.
Ces hypothèses on parfois elles mêmes des effets certains, sur l’esprit et sur le corps.
Bonne continuation a vous deux14 septembre 2018 à 8 h 44 min #30463EnvoleParticipantHello @Ch313,
merci pour tous ces beaux textes, et ces moments uniques que tu nous racontes…
Oui c’est étonnant comme chaque personne vit des choses différentes sur ce chemin du plaisir, avec parfois des recoupements, mais pas au même moment, pas de la même façon…
Merci de m’avoir invitée dans tes aventures, j’en suis flattée 🙂
C’est très étonnant parce que dans le tantra il est dit qu’on peut arriver à avoir une communication spirituelle par delà les distances si on est branché.e.s sur les mêmes vibrations cosmiques…Personnellement je ressens ces vibrations, mais n’ai jamais trouvé personne pour entrer en conversation par ce biais…Peut-être allons-nous nous retrouver un de ces jours en songe… 🙂
Le plus amusant est que nous ne connaissons ni nos visages, ni nos corps, donc ce sont de pures relations d’âme à âme, de ressenti à ressenti, de perception à perception…D’autre part quant à l’inconscient, ça me fait penser à une réflexion très amusante que j’ai lue dans le livre de Toni Bentley sur les plaisirs anaux : selon elle, le sphincter extérieur, c’est la conscience éveillée, parce qu’on peut l’ouvrir et le fermer à volonté. Et le sphincter intérieur, c’est celui de l’inconscient, parce que pour qu’il s’ouvre, il faut être en conditions de détente totale…
Et récemment j’ai vérifié ça : je ressortais les boules de geisha en silicone que j’ai récemment acquises, qui sont assez volumineuses (plus de 4 cm) ; la première en sortant avait fait un peu mal au sphincter intérieur, pour la deuxième je me suis dit que j’allais essayer de faire mieux, et là j’ai pensé à la réflexion de Toni Bentley, j’ai tenté de me détendre totalement, d’être cool jusqu’au fond de mes entrailles…Et c’est sorti comme par enchantement ! L’anneau intérieur s’est gentiment ouvert, de son plein gré…
J’espère que je n’ai pas trop divergé de ton fil avec mes réflexions 🙂
A bientôt, tout le meilleur !!!
Naomi
30 septembre 2018 à 8 h 16 min #30892Ch313ParticipantDans l’expérimentation, l’apprentissage, la recherche de ‘LA’ sensation, cela fait plusieurs fois qu’au milieu de la nuit je m’introduis l’Helix en espérant qu’il se passe ‘quelque chose’.
Je m’endors tranquillement, rapidement sans aucune sensation qui m’inviterai à une ‘séance’.
C’est une pratique que plusieurs ont rapporté voire conseillé dans ce forum.
Laisser le corps seul dans le sommeil appréhender le masseur, réagir, inter-agir avec lui sans aucune intervention de la conscience me parait un objectif intéressant.
Mais au réveil (au bout d’un cycle de sommeil environ deux heures et demi) RIEN…
Je sens qu’il est là mais cela ne déclenche pas de réaction chez moi.
Parfois j’abandonne, parfois j’essaye de provoquer un début de réaction.Ce matin je me lève donc, je m’installe dans mon fauteuil avec plusieurs serviettes…
Dès que je me détends, les spasmes commencent à m’agiter. Une chaleur se diffuse dans mon bassin, je suis déjà ‘partie’.
J’ai la vulve en feu, inondée, les va et vient de mon bassin deviennent puissants…
Les contractions s’amplifient, je me cambre les cuisses largement ouvertes.
Mais dans la jouissance d’une contraction suprême le masseur s’expulse,
Ma main promptement le remet, je jouis, je me répands chaudement sur mon ventre.
Les contractions deviennent violentes, le masseur s’éjecte à nouveau.
Je l’enfonce le plus profondément que je peux, je m’inonde à nouveau.
Totalement cambrée cela coule sur mon ventre, j’étale cette huile de plaisir jusque sur mes seins, les massant, les pincent avec délices.
À nouveau le masseur ressort, je le remets aussitôt, ma main toute huileuse le maintient.
Mes doigts pressent mon anus pour le maintenir en moi.
Mon majeur presse mon périnée, glisse jusqu’à l’anus, lentement en petit ronds écarte le masseur, s’introduit en moi.
Pendant plusieurs minutes il farfouille en moi, je squirte encore et encore…
Je sens mon sphincter aller et venir massant, suçant mon doigt….
je baise mon doigt ! Je fais l’amour à mon doigt Délires total !
Je suis hors conscience, je tremble, je me branle de partout ?
….
Mais le jour se lève, il me faut revenir, j’éponge tout ça avec un plaisir satisfait.
Plus d’une heure un quart d’effervescence, de plaisirs et d’orgasme qui diffuse encore maintenant une douce chaleur dans mon corps.
De l’écrire maintenant provoque encore des vagues de contractions qui ‘mouvent’ le masseur que j’ai gardé en moi et m’agite dans des spasmes incontrôlés.C’est ‘à chaud’, presqu’en direct, je me dépêche de le poster.
À plus, bonne journée….30 septembre 2018 à 8 h 56 min #30893bzoParticipantla nuit je m’introduis l’Helix en espérant qu’il se passe ‘quelque chose’.
C’est une pratique que plusieurs ont rapporté voire conseillé dans ce forum.
Laisser le corps seul dans le sommeil appréhender le masseur, réagir, inter-agir avec lui sans aucune intervention de la conscience me parait un objectif intéressant.
Mais au réveil (au bout d’un cycle de sommeil environ deux heures et demi) RIENje te rassure, tu n’es pas le seul à qui cela ne fait aucun effet, moi non plus.
L’Helix d’une manière générale, manié tel que décrit dans le traité d’Aneros, ne me fait rien.C’est pour cela que j’écris régulièrement, qu’il ne faut s’obstiner avec un seul masseur
si après des mois encore rien ne se passe avec,
un masseur peut faire monter au plafond une personne et n’avoir aucun effet sur une autreMon majeur presse mon périnée, glisse jusqu’à l’anus, lentement en petit ronds écarte le masseur, s’introduit en moi.
…
je baise mon doigt ! Je fais l’amour à mon doigt Délires total !je rapporte aussi que quasi quotidiennement
j’introduis un ou plusieurs doigts dans mon anus-pussy
et la sensation de pénétration est incroyable, délicieuse,
le bout de mes doigts bougeant à l’intérieur,
ce sont mes petites souris d’amour curieuses
qui trottinent dans ma chair chaude, humide, ouverte, avide, gourmande,
combiné au frottements , aux pressions de mes cuisses sur mes parties génitales,
à l’autre main qui caresse ma poitrine,
et puis surtout des contractions qui chez moi mettent en vibration ma prostate
c’est à monter au plafond tellement c’est bonhé hé, @ch313 dans toute sa splendeur,
le masculin et le féminin en nous, quand ils s’unissent, ils forment une fusée,
une fusée joyeuse, heureuse, pétaradante,
que tu chevauches allègrementtu libères toutes les forces mystérieuses en nous,
tu t’ouvres comme une fleur géante à l’air libre,
ta chair est un lit d’amour30 septembre 2018 à 13 h 57 min #30894Ch313ParticipantWahou !
Déjà huit heures sont passées, dans mon fauteuil, je regarde la télé et mon ‘anus-pussy’ (coucou Bzo) m’interpelle encore. Il m’envoie des vagues ‘électriques’ de sensations qui remontent par le plexus.
Jusqu’à ma gorge qui se dilate, mes joues s’enflamment, je me sens rougir jusqu’au yeux.
Des spasmes me secouent, ma compagne qui est à côté est partie rejoindre Morphée.
Les contractions vont et viennent, mes doigts caressent ma vulve et mes seins, j’ai quatre mains.
Ma langue roule ma salive alors que les va et vient de mon pussy s’amplifient.
Mes tempes sont brûlantes, j’ai du mal à dissimuler mes spasmes.
Mon ventre, mon bassin ondulent lentement, langoureusement, mes paupières me ‘piquent’ comme si j’allais pleurer. Je ‘régule’ avec de profondes inspirations longues et discrètes.
Mais je sens que je mouille, mon vaginus masturbe allègrement le sexe qui me pénètre.
Je pleure de félicité. Je masturbe mes seins doucement (discrètement), ma gorge roule mes gémissements inaudibles, les contractions de mon pussy vont et viennent de plus en plus intensément, je me ‘déverse’ dans ma culotte. Avec autant de larmes qui brouillent me yeux.
Ma respiration est courte.
Je sens les vagues pulser dans mon urètre à chaque contraction, de plus en plus tremper ma culotte. J’ai les joues brûlantes.
Je vais au toilettes ‘éponger’ mes débordements, spasmes et contractions diverses m’animent au plus profond de moi. Je me ré-installe dans mon fauteuil. Des vagues de chaleur brûlent ma tête.
Mais la sensation retombe. Elle (ma compagne) s’est réveillée.
Voilà une heure de télé ‘brûlante’ dans un autre monde.
C’est ma vie en direct-live que je vous livre en instantanéMerci Bzo pour tes propos chaleureux
30 septembre 2018 à 18 h 38 min #30897Ch313ParticipantBonjour Épicture,
Plutôt que de donner une référence, un numéro dans une bibliothèque je préfère répondre d’une façon plus détaillée pour répondre à ta curiosité.C’est, je pense, le résultat d’une recherche personnelle. L’objet trouvé peut convenir à une personne et en laisser indifférent dix autres.
Pour moi cela correspond à un épisode de mon cheminement. J’avais déjà trouvé l’Aneros mais je ne ressentais toujours pas de ‘plaisir prostatique’.
C’est sur un des forums de NXPL que j’ai trouvé cette mention de l’aide que pouvait apporter les sons binauraux.
Mes recherches se sont orientées dans plusieurs directions.
J’ai trouvé des morceaux ‘pour’ ma prostate, l’améliorer ?, la soigner, augmenter la production de sperme. Je cherchais à la ressentir.
Une autre piste a été le domaine du ‘Hands Free’ , obtenir des orgasmes, des éjaculations sans stimulation matérielle. Aussi subliminaux concernant les pénétrations (anales entre autre), les plaisirs oraux etc…. Et même les plaisirs féminins.
Aussi j’ai trouvé des morceaux traitant du troisième œil, du Voyage Astral, de la détoxication de la glande pinéale.
J’ai trouvé des morceaux plus zen , de bien être, développer son potentiel amoureux.
Des morceaux tantriques,
Je les ai trouvés sur YouTube et j’en ai téléchargé une trentaine. La plupart ont une durée de trente à quarante cinq minutes, les très courts ne m’ont pas convaincu.
Je me suis fait des ‘sessions’ personnalisées en combinant plusieurs morceaux pour une durée de une heure quarante environ qui me convient bien.De temps à autre je mets les écouteurs, cela m’isole et m’aide dans ma concentration.
Pour cette dernière utilisation j’avais choisi Astral Sex Binaural Beats, Isochronics Tones d’une durée d’une heure. Le morceau a été plus court que ma ‘session’ mais je ne suis pas aperçue quand il s’est terminé.Je n’ai pas retrouvé le morceau exact, il y en a plusieurs centaines quand on fait une recherche sur YouTube. Mais avec les mots-clés choisis on peut trouver son bonheur.
Il faut trouver ‘LE’ morceau qui convient à son oreille, à sa réceptivité mentale, à son attente. Un morceau qui fait effet un jour ne fait pas effet toujours, il n’y a pas de résultat reproductible. J’ai aussi cherché du côté de l’hypnose mais je n’ai pas persévéré.J’espère avoir résolu ce qui t’intrigue, bonne recherche.
À plus1 octobre 2018 à 7 h 55 min #30899Ch313ParticipantÉpicture, j’ai retrouvé le morceau en question:
https://youtu.be/-nfI-J61OH8
Bonne écoute1 octobre 2018 à 9 h 14 min #30900EpictureParticipantMerci ch313 pour tous ces renseignements, et pour le lien. Je vais tester ça ce soir probablement je te dirais des nouvelles.
8 octobre 2018 à 12 h 10 min #30975EpictureParticipantCh313, j’ai suivi les liens que tu m’as laissé sur ton post. Je n’ai pas eu l’occasion de les écouter dans de bonnes conditions si bien qu’il n’ont pas pu produire leurs effets. De plus, la qualité de son sur you-tube est assez moyenne. Je m’en suis rendu compte en allant sur un site dédié (https://www.forcemajeure.com/top-5-meilleures-musiques-binaurales/) où là le son est bien meilleur. Les quelques extraits proposés sont bluffant. Je vais tacher de m’en procurer en haute définition. Ça devrait être sympa.
En parallèle j’ai pu me renseigner un peu sur les questions du cerveau et de la perception. C’est tout à fait passionnant. Notre cerveau à une plasticité étonnante, et pour lui, la réalité est quelque chose de très malléable. Si bien que les phénomènes perceptifs peuvent tout à fait conduire à des hallucinations, sans toutefois considérer que ces hallucinations soit un symptôme de folie, mais une réaction normale du cerveau, pour peu que le mental l’aiguille. Point de sorcellerie la dedans, juste l’utilisation des capacités plastiques de notre cerveau sans substance psychotropes. Phénomènes comparables à ce qui peut se passer au cour de la méditation sans stimulation spécifique autre que la concentration.Je vais tâcher, parmi toute mes activités (passionnantes) de trouver un peu de temps pour creuser la question.
Bon cheminement à toi @ch313
21 octobre 2018 à 8 h 11 min #31301Ch313ParticipantIl est cinq heures. Je déjeune.
L’envie est là, je prends diverses serviettes. Je m’introduis un peu de lubrifiant.
Puis j’introduis le Progasm que j’ai bien enduit et je m’installe dans mon fauteuil.
Position relax, je me détends, mes mains sont lourdes….
Je suis déjà en ‘voyage’. Il faudrait que j’écrive mais pour cela il faudrait que je reprenne mes mains. Je suis à l’extérieur de mes mains, je suis en transe et les spasmes m’agitent rythmant ma respiration.
Je pense aux récents articles d’Adam sur l’hypnose et je m’y reconnais dans les symptômes. J’avais déjà évoqué mes sensations dans mes récits.
Je tente d’éclaircir la situation, c’est comme si j’appartenais à un autre, un autre qui est pourtant moi-même.
Il y a moi Pierre, et pourtant à cet instant je me sens totalement féminine, je suis Pierrette et je m’abandonne totalement aux caresses de mon Pierrot. Ses doigts emmêlent ma touffe, là démêle, une chaleur m’envahit le dos, remonte jusque dans ma nuque.
Mon bassin roule et roule langoureusement à la rencontre de ses doigts
Je gémis, je jouis déjà, j’ai les cuisses qui tremblent et déjà trempées.
Ma respiration est haletante, mes mains tremblent. Mes cuisses tremblent au creux des mes aines. Je me cambre, « Oh oui Pierrot …. » ses doigts glissent entre mes lèvres jusqu’entre mes cuisses qui s’ouvrent totalement lui offrant mon périnée qui se contracte longuement. Je mouille abondamment
Sa main, ma main, glisse à mon anus. Le masseur est presque totalement sorti. Je presse mes doigts pour le réintroduire.
« Baises moi, je te veux en moi . . . » Mon rectum va et vient, se contracte, te masturbe’
Je squirte, me répands abondamment sur mon ventre. Mes doigts trempés glissent dans ma vulve, vont et viennent dans mon vagin. Je ‘m’asperge’ entre les seins jusqu’au cou.
Et cette chaleur qui me pénètre jusqu’au fond de la gorge.
J’explose, je gicle encore, le masseur n’est plus là mais ‘tout’ est dans mon ‘antre’ je n’arrête pas de couler au rythme des spasmes. Mon vagin s’auto-masturbe. Les tremblements s’enchaînent avec les spasmes. Je ne touche plus terre, je me répands dans l’éther en mille étoiles scintillantes.
Mais il est huit heures, ma compagne va se lever alors avec de tendres câlins sur mes seins je me calme. Il faut éponger tout ça, tout ranger et ‘revenir’ à l’instant terrien.
Voilà en direct-live mon réveil ce matin
Bonne journée.22 octobre 2018 à 8 h 04 min #31303bzoParticipanthé hé du classique @ch313
il y a une autre personne fréquentant le forum @pcommep
qui semble un peu fonctionner comme toi,
par certains aspects en tout cas,
cette capacité, semble-t-il, à vivre ses fantasmes dans sa chair
avec une puissance impressionnante, totalebien que ses déclencheurs, soient externes, non pas entièrement mentaux comme chez toi
22 octobre 2018 à 11 h 22 min #31304SophiAirParticipantMmmmmm @ch313, tellement bon de se sentir femme, pénétrée, humide, ouverte. Sentir cette transformation en soi. Le remplacement d’un homme par une femme qui jouit de l’action de son amant. Les ondes de chaleur qui parcourent le corps.@bzo a raison, nous partageons une certaine forme de plaisir. Et le final
Je ne touche plus terre, je me répands dans l’éther en mille étoiles scintillantes.
est tellement évocateur pour moi.
Bons voyages @ch31322 octobre 2018 à 17 h 51 min #31314Ch313ParticipantNous regardons la télé, plutôt je regarde la télé car ma compagne somnole à côté de moi.
Je suis bien détendu. Une inspiration profonde et un spasme lui répond. C’est mon périnée qui se contracte doucement qui m’invite à un laisser allez plus profond. C’est mon diaphragme qui lui répond par plusieurs spasmes. Mais la ‘tension’ monte jusqu’à mes seins, la vague reflue dans ma gorge, ce sont mes joues qui s’enflamment, ma langue qui s’étale, remplit ma bouche.
Mes yeux sont à la limite de pleurer. Je salive beaucoup alors que mon antre pulse doucement, l’un stimulant ou répondant à l’autre. Cette ‘connexion’ se ‘réalise’ de plus en plus souvent, il y a quelques temps cela n’existait pas ou je ne le ressentais pas. Je pense que c’est plutôt ça car quand j’évoque les désirs et plaisirs buccaux dans des des CR précédents je pense maintenant que c’était déjà présent.
Maintenant c’est très fréquent. J’avais aussi évoqué ce canal en parlant de vocalisation je pense que cela va ensemble. Cette ‘libération’ doit sûrement permettre un flux, une circulation d’énergie intense.Pour répondre à Bzo, je m’interroge sur le concept fantasme. Pour moi c’est tellement réel que je pense que ce ne sont pas des fantasmes. D’ailleurs aucun de mes fantasmes ne s’est jamais réalisé dans mes ‘voyages’. Au contraire tout semble ‘s’appuyer’ sur du vécu. Je retrouve avec un plaisir indescriptible mon amante, c’est bien elle, réelle, ce n’est pas une ‘construction’ mentale.
Comme je l’avais déjà exprimé, c’est les associations de mes composants connus et inconnus (inconscients) de façon totalement incontrôlée qui ‘crée’ l’événement que je vis. Comme c’est moi tout ‘entier’ ce n’est pas fantasmatique. Comme c’est MOI, j’ai tous les droits. Impressionnant cette sensation d’appartenir à cet ‘autre’ qui est moi. C’est impossible à décrire, impossible à ‘organiser’, à comprendre dans mon esprit très cartésien.Je reviens sur mon récit précédent.
Cela fait quelques temps que j’ai repris une pratique presque quotidienne après une longue période de ‘repli’. Je ne reviens pas sur les causes.
Au bout de quelques ‘trips’ le niveau de ‘laisser aller’ et de ‘lâcher prise’ est redevenu suffisant pour que je puisse m’abandonner librement, retrouver les plaisirs intenses, le bonheur.
Je me suis dit qu’il fallait retranscrire ce retour.
Mais voilà, j’ai toujours autant de mal à décrire une séance. J’écris trois phrases et je suis en panne de mémoire. La séance ne semble pas s’être imprimée dans ma mémoire.
Alors j’essaye de transcrire pendant que je le vis. C’est compliqué.
Je ‘décolle’ très rapidement et si à ce moment je sens qu’il faut prendre ma tablette la gestion devient délicate.
Il faut que je reprenne le contrôle conscient de mes mains. Mais elle sont lourdes, très lourdes. La décision est difficile. Si je prends ce contrôle, je risque de me déconnecter, de perdre le charme qui agit et j’ai peur que cela me stoppe dans mon envie. En général je cède à cette inquiétude et je poursuis. Mais comme dans mon dernier récit j’ose.
Avec angoisse je prends la tablette, je suis dans une posture délicate. Je dois gérer Pierre qui va faire le scribe sans gêner l’acteur Pierrot ou l’actrice Pierrette. Je suis matériellement seul mais déjà plusieurs à la fois.
Si je me relis, j’ai l’impression de ne pas retranscrire beaucoup de choses. Tout juste quelque phases de mon parcours. Je ne dis rien de la richesse des sensations de chaque seconde.
Comment cela se passe ? Cela revient à la notion de fractionation ou fractionnement mentionnée dans l’article d’Adam. Les phases sont entrecoupées d’instants où j’écris. J’essaye de décrire les sensations, ce qui se passe dans mon corps. Puis je retourne au voyage.
Difficile quand tout à coup je me rends compte que mes doigts sont trempés de rester en voyage et d’autre part chercher la serviette. Mais apparemment j’arrive à ‘ménager la chèvre et le choux’ .
Mais ce récit est très brut il ne transcrit pas toutes les finesses délicieuses qui me parcourent.
Je me relis : Mon vagin s’auto-masturbe ! Je dirais maintenant : une méduse flotte en moi, c’est à cela que ça me fait penser. Mais sur le coup je suis incapable de le traduire poétiquement ou même techniquement comme un ballon qui gonfle et se dégonfle comme une respiration.
J’étais bien trempée, putain que c’est bon, et je ne sais pas le dire !
Les sensations prennent le pouvoir, possession de nouveaux ‘endroits’ de mon corps. La ‘sphère’ génitale a pris du ‘volume’, sûr qu’il y a bien plus.
Je sens que les contractions peuvent venir d’autres muscles, d’un espace plus large, je situerai à la base des reins à une main de la colonne vertébrale, et ça ‘chauffe bien’ là. Je pense à Naomi, j’essaye d’être aussi précis.
Mais si mon anus m’envoie plus de plaisir, ce n’est toujours pas le cas de mon rectum et je ne parle même pas de ma prostate toujours absente de mon univers. Je ne m’en préoccupe pas plus. Ce petit point pour dire où j’en suis et peut-être rassurer eux qui ne la ressentent pas non plus. Le plaisir si intime si fabuleux est quand même au rendez-vous.À plus
22 octobre 2018 à 19 h 38 min #31322bzoParticipantLe plaisir si intime si fabuleux est quand même au rendez-vous.
c’est déjà énorme, cela aide sacrément à traverser les épreuves,
rassasier le corps, lui apporter sa surdose quotidienne de plaisir,
au-delà des moments sublimes vécus,
c’est sous nous, notre chair qui rend plus apte à affronter les problèmesje ne parle même pas de ma prostate toujours absente de mon univers.
n’en sois pas si sûr, je reste persuadé que ta prostate participe pleinement à tes ébats,
j’ai du mal à imaginer comment tu parviendrais à des résultats pareils sans elle,
cela me parait tout à fait impossible,
si je me réfère à mon expériencePour répondre à Bzo, je m’interroge sur le concept fantasme. Pour moi c’est tellement réel que je pense que ce ne sont pas des fantasmes.
qu’est-ce que c’est réel, qu’est qui ne l’est pas?
moi durant mes séances, j’ai totalement la sensation de ressentir au féminin,
j’ai totalement la sensation de faire l’amour,
c’est totalement réel pour moi
et pourtant je suis un homme, je suis tout seul durant mes séancesvivre ses fantasmes dans sa chair, j’écrivais cela
parce que de ce que j’ai compris de ce que tu écrivais, tu semblais imaginer quelque part des sortes de scénarios
et qui s’exécutent , en quelque sorte , immédiatement dans ta chairtu fantasmes ta séance, tu l’imagines et tu l’exécutes en toi, moi c’est le contraire,
j’éteins mon esprit le plus possible, je me mets en mouvement,
je me caresse, je bouge, je manipule mes parties génitales,
je fais monter des contractions, je sens le féminin s’emparer totalement de moi, de mon corps,
et ainsi des sensation naissent à partir de mes actions ,
des sensations de plus en plus extatiques d’ailleurs ces derniers tempset même, si l’excitation monte suffisamment,
celles-ci sont même accompagnées de visions,
j’essaie de trouver un mot juste pour qualifier ce phénomène,
des visions vécues par ma chair, dans ma chair, c’est vraiment spécial,
comme celle d’un pont suspendu dans la lumière
ou celle d’une aile, comme si tout mon corps n’était plus qu’une aile en actionet puis bien sur, la sensation d’un corps de femme,
le bassin, le sexe, les seins, un peu de tout,
variable suivant les moments7 décembre 2018 à 5 h 34 min #31951Ch313ParticipantUne séance inhabituelle.
Ma compagne s’absentent ce matin pour une heure, c’était prévu.
Alors je profite de ce temps de solitude, j’installe quelques serviettes sur le lit et je m’étends après m’être déshabillée. Je pensais risquer un squirte intense !
À peine quelques secondes et dès la première inspiration qu’un spasme me fait sursauter.
Je n’ai pas le temps de me raccrocher à mes pensées que c’est mon corps qui prend le pouvoir, les commandes. Une déferlante de chaleur me parcoure de la tête aux jambes comme une foudre qui me transperce, je me cambre en hurlant, jambes écartées tétanisées, totalement ouverte à la pénétration de mon Pierrot, je crie, je pleure sans qu’aucune cellules de mon corps ou de mon cerveau ne soit capable de résister à cette explosion.
Mon vagin redouble de chaleur, mes lèvres sucent mon amant, je dégouline mes cuisses sont brûlantes. Mon bassin va et vient frénétiquement, saute sur le lit d’une violence qu’il n’a encore jamais connu. J’halète, je crie, j’éructe en puissance. Je ne me connais plus.
Mes cuisses battent l’air, mes genoux se cognent comme pour faire des bravos.
Ma respiration est totalement désordonnée, je m’étouffe, je m’étrangle dans mes cris.
Elle reste bloquée des longues secondes, je suffoque de très longues secondes totalement tétanisée. Le monde tournoie. J’ai pris mon sexe dans ma main, c’est Pierrot que je suis entrain de caresser, longuement pour l’attirer entre mes seins. Je sens sa chaleur et sa montée en jouissance. Je le sens jouir et j’en jouis tout de concert. Alors j’insiste plus frénétiquement et la jouissance recommence encore et encore.
Les spasmes s’enchaînent mon bassin va et vient de plus en plus fort, je n’arrête pas de gémir, mes cuisses et mes jambes tremblent dans des mouvements désordonnés.
Je le dirige entre mes lèvres, sentir son gland glisser , s’enfoncer en moi, je le sens continuer à jouir, à me réchauffer encore davantage. Je deviens brûlante, mon vagin le serre très fort, je sens ses tremblements ses sursauts qui me transpercent. Je me cambre en criant. Ma respiration se bloque jusqu’à l’évanouissement,
C’est la confusion totale.
C’est la fusion ultime, intime, dans une implosion cosmique.
Je retombe complètement désarticulée, désarçonnée, flottant dans l’éther, comme inerte.
Quelques minutes pour que mes esprits reviennent. Je suis totalement épuisée.
Il me faut encore quelques minutes pour que puisse bouger, il est temps de ranger mes affaires. Et je découvre que je n’ai rien mouillé.Ce soir en m’endormant, je sens encore ma chatte chaude comme si ma vulve gardait la mémoire de mon sexe en elle. Je sens mon visage détendu, souriant, celui d’une femme comblée.
Voilà, Pierre vous a conté le dernier voyage de ses amants.
7 décembre 2018 à 7 h 30 min #31952bzoParticipanthé hé, des amants terribles, ardents,
on a l’impression d’être la couche de leurs ébats,
on s’absorbe du moindre de leurs mouvements, du moindre de leurs gestes,
leurs respirations haletantes, leurs gémissements nous imbibent de leur rythme sauvage,
de leur rythme lancinant,
nous vivons leur communion, leur fusion, leur corps à corps, en direct
car notre chair leur appartient, ils s’en sont emparés,
nous ne sommes plus qu’un pantin vibrant, convulsionnant,
animé par le désir, frémissant de tant de bonheurcher @ch313, cela fait plaisir d’avoir de tes nouvelles
et de savoir que ta passion est vivante, vibrante et t’apporte beaucoup d’amour, de transeles amants terribles, que leur union soit sans limites
que tu puisses embrasser le ciel à travers eux,
que tu puisses sentir vibrer le noyau de la terre en toi7 décembre 2018 à 11 h 47 min #31953Ch313ParticipantPetit retour sur ma séance.
Le premier point est le contexte, absolument seul(e), sur le lit.
Je bénéficie d’une totale liberté d’expression corporelle, mouvements, voix, une fenêtre temporelle sûre ce qui n’est pas le cas habituellement. Une absence de contraintes, un environnement où tout est possible.
Ensuite, bien que j’ai l’habitude d’être très rapidement ‘en condition ‘, cette fois j’ai été surprise, totalement dépassée par la rapidité avec laquelle je me suis retrouvée en pleine action.
Dans les premières minutes avant que je ne perde le pouvoir de mon conscient, constatant les expressions de mon corps démesurées, totalement incontrôlables j’ai songé qu’il faudrait que je me filme pour pouvoir me voir, me rassurer sur la réalité de ce qui se passe ; j’ai pensé au désir similaire de Bzo. Mais rien n’étant à portée pour cela et ne voulant pas interrompre mon voyage, j’ai laissé tomber et même l’idée de prendre ma tablette pour retranscrire.
Je reviens sur une constatation que j’avais déjà évoqué concernant le pouvoir de la vocalisation, et la connivence de cette colonne d’air avec les sensations qui se développent. Le corps entre en vibrations conjointes, chaque pulsation amplifie la précédente comme l’effet Lazer. Du sexe à la tête ce ‘tuyau’ résonne amplifiant toutes les sensations et peut-être aussi toutes les réactions musculaires. C’est peut-être une libre circulation des énergies, une sorte de tantrisme sans le savoir, je n’ai aucune connaissance dans ce domaine.
Je me suis entendue hurlant ou gémissant, Pierrot à l’écoute de Pierrette. J’ai entendu ma voix féminine, nature, comme jamais je ne suis entendue.
Aparté : il n’y a pas très longtemps qu’une personne s’est retrouvée embarrassée, me prenant pour une femme au téléphone…
j’ai joui plusieurs fois sous les doigts de Pierrette quand je me masturbais, avec des orgasmes puissants, totalement abandonné au plaisir. En général je pratique cette façon pour finir une séance, mais cette fois cela ne s’arrêtait plus.
Je ne sais pas exactement comment je me suis arrêté. Mais il était temps.
Il m’a fallu plusieurs minutes pour me remettre, la sensation d’être complètement épuisée qui m’ a inquiété dans un premier temps s’est finalement estompée rapidement. J’ai retrouvé mon énergie presque comme si rien ne s’était passé.
Merci Bzo de partager avec ton ‘regard et tes mots’ mes sensations, cela me fais extrêmement plaisir.
À plus7 décembre 2018 à 19 h 14 min #31955bzoParticipantJe bénéficie d’une totale liberté d’expression corporelle, mouvements, voix, une fenêtre temporelle sûre ce qui n’est pas le cas habituellement. Une absence de contraintes, un environnement où tout est possible.
Ensuite, bien que j’ai l’habitude d’être très rapidement ‘en condition ‘, cette fois j’ai été surprise, totalement dépassée par la rapidité avec laquelle je me suis retrouvée en pleine action.être totalement libre de bouger, de gémir et même de hurler comme on veut,
c’est précieux,
le terrain est tout de suite tellement plus favorable pour les ébats,
pour décoller plus vite, plus fort et plus haute reviens sur une constatation que j’avais déjà évoqué concernant le pouvoir de la vocalisation, et la connivence de cette colonne d’air avec les sensations qui se développent. Le corps entre en vibrations
je sens les sons sortir de ma chair,
de ma chair embrasée,
les cris, les râles, les gémissements,
les couinements, les grincements, de plaisir
semblent monter de tout en bas,
depuis la forge surchauffée de mes entrailles
où comme un fer chaud remue en moi, va et vient en moi, enflammant tout sur son passage,
poussant, propulsant vers le haut, toutes ces colombes sonores bien grasses,
elles se précipitent vers ma bouche, elles pénètrent ma cavité buccale,
l’emplissent en tournoyant, se frottent aux muqueuses de ma bouche voluptueusement,
puis s’envolent vers l’extérieur
comme les jets d’une lente éjaculation sonore se dispersant ,
coulant chaudement, volubilement, hors de ma bouche,
venant se poser un instant à mes oreilles,
se frottant quelques instants lubriquement contre mes tympans,
cherchant à pénétrer par ces orifices, cherchant à les déflorer
avant de s’envoler définitivement dans la pièce paresseusementJ’ai entendu ma voix féminine, nature, comme jamais je ne suis entendue.
moi aussi, cela m’arrive très souvent, tout le temps en fait,
c’est très troublant,
en même temps je me dis que je crie et je gémis tellement haut
que mes voisins doivent se dire que je fais l’amour avec quelqu’un,
ils ne s’imaginent certainement pas que c’est moi qui émets ces sonoritésMerci Bzo de partager avec ton ‘regard et tes mots’ mes sensations, cela me fais extrêmement plaisir.
même si nous avons des déclencheurs totalement différents,
même si nous avons pas mal de différences dans nos façons de fonctionner durant la séance,
nos expériences, nos univers, sont tellement proches23 janvier 2019 à 7 h 02 min #32723Ch313ParticipantBonjour à tous les amis prostaunautes,
Avec mes meilleurs vœux d’infinis plaisirs à tous.
Cela fait quelques temps que je n’ai rien transcrit sur les forums, mais je les consulte toujours presque quotidiennement.
Après une interruption pendant les fêtes où nous étions en famille, j’ai repris ma pratique quotidienne.
Pendant cette mise en jachère, je n’ai pas résisté à quelques petites micro-séances très discrètes le matin au réveil avant de me lever.
Je n’ai rien raconté car j’avais l’impression que je n’avais pas de progression sensible qui mérite une intervention.Je suis toujours perplexe, en recherche. Car je suis toujours insensible au niveau prostate.
Et pourtant ’ÇA’ marche très fort’
Si je sollicite mécaniquement ma prostate, je ne ressens rien.
Lors d’une pénétration, avec un (ou plusieurs) doigt ou un gode ou un masseur, je sens au niveau de mon anus cette pénétration mais pas plus loin.
Si je prends une boule, qu’elle soit insérée à un centimètre ou à dix c’est pareil. J’ai vaguement l’impression d’avoir quelque chose en moi mais sans plus.
Pour essayer de réveiller une sensibilité, j’ai tenté de dormir avec un masseur ou un plug. Je reteste régulièrement. Mais je n’obtiens rien. Je m’endors comme si de rien n’était. Au réveil c’est comme si je n’avais rien. J’ai tout autant de sensations sans rien.Pourtant des choses changent, chaque voyage est différent mais je n’ai pas la facilité littéraire de notre ami Bzo pour l’exprimer à chaque fois. Merci à toi.
Les sensations changent.
Ma sphère génitale est devenue beaucoup plus ‘présente’, beaucoup plus accessible, je sens beaucoup plus de choses.
J’ai l’impression que mon périnée est devenu plus important. Est-ce qu’il se développe, je ne saurais le dire. Mais je sens aussi qu’il n’est pas tout seul, qu’il y a d’autres muscles tou proches de chaque côté qui relient au cuisses d’un côté et au bas des reins de l’autre.
Mon pubis ‘prends’ de la consistance, c’est vraiment ma chatte que je sens battre. Et à ce moment, une sensation envahit mes seins.
Mais aussi des sensations buccales se développent, ça c’est vraiment nouveau.
Mes lèvres prennent de la consistance, je sens des fourmillements comme si elle étaient à l’unisson avec ma vulve. Je sens ma langue remplir mon palais, prendre possession de ma bouche comme un sexe jusqu’au fond de ma gorge parfois et en même temps cette langue pénètre mon vagin. Et la tension monte jusqu’à ce que je squirte parfois même abondamment. C’est une jouissance délirante, orgasmique même. Je ‘déjante’ complètement.
J’étale avec mes mains ce liquide huileux sur mon ventre, sur mes seins avec délice.
Je trouve mon sexe en érection. Je le prends à pleine main.
Quel plaisir de le caresser tout humide, glissant dans mes doigts.
Alors que Pierrot continue de me faire jouir, moi Pierrette, je le masturbe frénétiquement.
Et cela dure un moment, je tremble de tout mon corps, jusqu’à l’apothéose.
Quelle délicieuse sensation de me répandre dans ses doigts (et pourtant je n’ai pas d’éjaculation) et cela dure encore
C’est la confusion la plus totale des sens, la fusion de mes ‘êtres’ intimes.Désolé, Pierre n’a pas les mots pour décrire l’extase de Pierrot et de Pierrette.
Bonne journée à tous
23 janvier 2019 à 9 h 21 min #32726bzoParticipantcher @ch313, comme cela fait plaisir de te lire, d’avoir de tes nouvelles
tu es à la recherche physiquement de ta prostate, tu voudrais la sentir
mais la vérité est qu’elle t’a trouvé depuis longtemps,
depuis toujours elle t’accompagne, depuis toujours elle permet ton envol, tes chants, ta dansetu peux être sûr, elle participe pleinement à tes ébats
tes Pierrot et Pierrette, mon pôle masculin et mon pôle féminin, leurs moments sublimes,
leur union, leur communion, leur fusion, leur lutte amoureuse dans notre chair,,
elle n’est possible que grâce à la prostate, je peux te l’assurer,
sans elle, notre corps est un torrent au lit asséchétu cherches à obtenir sans doute une réaction physique à tes contacts,
tu voudrais qu’elle réagisse à tes attouchements
mais elle a tellement l’habitude de fonctionner autrement en toi,
ta pratique si particulière, si singulière, est totalement aneroless,
on pourrait même la qualifier de pratique aneroless ultime, sans aucun déclencheur physiquemais je comprends ce que tu recherches, moi quand je retourne de temps à autre vers une séance avec masseur,
quand le masseur vient cogner en fin de course dans son mouvement contre la paroi,
je sens ma prostate qui se met à vibrer sous la sollicitation,
ma petit pile Wonder des profondeursta pratique est tellement développée, tu as derrière toi des centaines d’heures
où ta prostate a été habituée à réagir quand elle est sollicitée d’une certaine façon,
pour qu’elle commence aussi à réagir à d’autres types de d’incitations, de stimulations,
c’est possible , je crois
mais il faudra du temps, beaucoup de patience, beaucoup de persévérance,
cela peut devenir rapidement un exercice frustrant
car d’un côté tu as tellement facile, tout démarre au quart de tour,
alors que là cela te semble de la pierre,
il faut s’acharner, se faire humble,
accepter d’être à zéro, juste un débutant sur sa ligne de départ,
quand tu y vas avec les doigts ou avec un masseurune fois que cela commencera à se réveiller, à répondre à tes sollicitations,
alors il y aura un moment où cela démarrera en trombe,
tu seras à même de faire bénéficier ce type de stimulation
de toute l’expérience acquise dans ta pratiquecher @ch313, tes textes sont tellement expressifs, reflètent tellement bien ton expérience,
j’espère que tes doutes sur leur qualité,
n’est pas la raison pour laquelle tu n’es pas plus présent par ici,
tu es dans tes textes, ils sont uniques à ce titre,
comme ta façon de pratique est unique, il y a une richesse et une authenticité en eux,
cela, c’est irremplaçable
et cela fait tellement plaisir de lirenos expériences sont tellement proches à bien des égards
Pour essayer de réveiller une sensibilité, j’ai tenté de dormir avec un masseur ou un plug. Je reteste régulièrement. Mais je n’obtiens rien. Je m’endors comme si de rien n’était. Au réveil c’est comme si je n’avais rien. J’ai tout autant de sensations sans rien.
idem plug et compagnie, rien non plus,
je crois fondamentalement que toi et moi, on a besoin pour décoller
de Pierrot et de Pierrette à l’oeuvre, en action,
or avec un plug c’est une autre de type de plaisir, une autre façon de faire,
peut-être qu’avec de la persévéranceMa sphère génitale est devenue beaucoup plus ‘présente’, beaucoup plus accessible, je sens beaucoup plus de choses.
J’ai l’impression que mon périnée est devenu plus important. Est-ce qu’il se développe, je ne saurais le dire. Mais je sens aussi qu’il n’est pas tout seul, qu’il y a d’autres muscles tou proches de chaque côté qui relient au cuisses d’un côté et au bas des reins de l’autre.
Mon pubis ‘prends’ de la consistance, c’est vraiment ma chatte que je sens battre. Et à ce moment, une sensation envahit mes seins.
Mais aussi des sensations buccales se développent, ça c’est vraiment nouveau.
Mes lèvres prennent de la consistance, je sens des fourmillements comme si elle étaient à l’unisson avec ma vulve. Je sens ma langue remplir mon palais, prendre possession de ma bouche comme un sexe jusqu’au fond de ma gorge parfois et en même temps cette langue pénètre mon vagin. Et la tension monte jusqu’à ce que je squirte parfois même abondamment. C’est une jouissance délirante, orgasmique même. Je ‘déjante’ complètement.j’ai tout cela aussi, le pubis , zone de décollage d’un hélicoptère
dont les pales tournoient délicieusement dans mes entrailles,
périnée aussi, la main simplement à plat dessus et puis des contractions avec,
très puissanttout le corps participe, est un organe sexuel, tu l’expérimentes de plus en plus,
une grosse partouze des organes qui copulent entre eux, entremêlés, pêle-mêleJe trouve mon sexe en érection. Je le prends à pleine main.
Quel plaisir de le caresser tout humide, glissant dans mes doigts.cela par contre je n’ai jamais, je n’ai jamais mon sexe en érection
et je ne le fais jamais participer de cette manière aux ébats,
mon expérience m’a apprise qu’après il faut de nombreux jours
pour que la prostate puisse opérer à pleine puissance à nouveau24 janvier 2019 à 7 h 38 min #32736Ch313ParticipantMerci Bzo pour tes propos qui me touchent. Ton éclairage sur mon expérience m’est très profitable, cela me soutient face à mes difficultés avec ma compagne avec qui tout semble bloqué. Le contact d’une autre peau, d’une autre main me manque. Le partage sensuel semble totalement impossible. Le partage ici de nos expériences me réconforte et m’évite la déprime.
Je ne suis pas souvent présent ici, pas parce que je doute de la qualité de mes écrits, mais plus parce que je ne suis pas très à l’aise avec l’écriture. Il me faut du temps.
Aussi je n’avais pas l’impression de progresser et d’avoir rien de nouveau à raconter.
Mais après la quasi abstinence de ces dernières semaines de vacances, en reprenant mes pratiques je me suis rendu compte des changements.Je reviens sur la ‘présence’ de ma sphère génitale qui grandit toujours.
Elle grandit en volume, s’étale dans les fesses en me renvoyant des ondes de chaleur.
Elle s’étale dans le temps, les sensations perdurent, elles me ‘titillent’ de plus en plus souvent.
Dès que je n’ai plus d’attention soutenue, que je n’ai pas d’activité prenante, je ressens ces fourmillements. Une simple instant de détente devant la télé et je me laisse surprendre : ma compagne m’interroge ! Moi aussi j’invoque un hoquet soudain pour la rassurer.
Je me demande si mon périnée se développe avec ma pratique quotidienne et qu’il prend plus de place. C’est un muscle que je sollicite très souvent, de plus en plus, même si c’est tout en douceur que je le contracte en long ou en large. C’est un plaisir délicat, délicieux.
Mais je ne sens pas que cela stimule ma prostate. C’est vrai, je suis toujours à la recherche de sensations à partir de ma prostate. Et pourtant les états orgasmiques ne manquent pas, comment me transmet-elle ces puissantes décharges ?
Pourquoi si j’arrive à sentir si précisément ce muscle, je n’arrive pas à sentir ma prostate ?J’évoque aussi la corrélation des sensations buccales et pubiennes. C’est devenu presque systématique, à chaque sensation d’un côté apparaît des sensations de l’autre. Comme si mes lèvres hautes et basses étaient connectées et se répondent à chaque appel.
Jusqu’à l’extase de ‘m’auto-cunilinguer’ dans un flot débordant. Heureusement que la serviette n’est pas loin.
Mais où est ma prostate ? Quel est son rôle dans cette féminité qui m’envahit ?
Comment cet organe masculin peut-il produire tant de féminin ?
Surtout « à l’insu de mon plein gré » !Quand j’utilise un masseur, bien qu’il ‘navigue’ au gré des contractions, je ne le sens pas aller et venir dans mon rectum ni masser ma prostate. Et pourtant je suis obligé de le tenir pour qu’il ne soit pas éjecté. Ce qui arrive presque chaque fois. Systématiquement quand je squirte je le sens ressortir sous la pression des contractions.
Nouvelle aussi cette masturbation qui n’a plus rien de solitaire. Et qui dure dans une jouissance indescriptible. Habituellement je ne me sollicite pas manuellement mais là je me suis laissé emporter par Pierrette. C’est pas moi qui me caresse, c’est physiquement mes mains mais ce sont celles d’une autre qui agissent. C’est une autre ‘volonté’ qui agit. C’est grisant, envoûtant, ce dédoublement. Qui fait l’amour à qui ? Chacun s’abandonne à l’autre.
Cela dure longtemps alors que dans une masturbation ‘habituelle’ j’obtiens le plaisir éjaculatoire très rapidement ce qui est généralement le but, le plus souvent pour interrompre une session ou alors parfois pour faire ‘retomber la pression’.
Cette expérience est curieuse, totalement à l’opposé des prescriptions du Traité. Ou alors faut-il la ‘réserver’ à un niveau d’initiation inhabituel ? Suis-je en train d’ouvrir une porte dérobée ?À plus, de plaisirs, évidemment !
24 janvier 2019 à 19 h 24 min #32738bzoParticipantmais plus parce que je ne suis pas très à l’aise avec l’écriture. Il me faut du temps.
il ne faut pas croire que mes textes sont des premiers jets écrits en 5 minutes,
je prends aussi souvent beaucoup de temps,
je corrige et encore je corrige avant que le texte final se dégage,
il y a un texte brut et après il faut le polir et encore le polir avant qu’il ne soit lisible,
enfin qu’on a l’intention de pondre autre juste que juste un texte informatif, brut de décoffrage,donc cela prend du temps et des efforts, pas que pour toi
C’est pas moi qui me caresse, c’est physiquement mes mains mais ce sont celles d’une autre qui agissent
oui j’ai cela tout le temps aussi,
c’est quelque chose d’étonnant grâce à la dualité en nous de “Pierrot et de Pierrette”,
on sent les mains de Pierrot allant sur le corps de Pierrette,
on sent le corps de Pierrette se tordre de plaisir sous les mains de Pierrot,
on sent ses mains posés sur notre corps mais qui pour l’instant est le corps de Pierrette,
enfin chez moi, c’est comme cela que cela se passeil y a un jeu de miroir entre le masculin et le féminin qui est absolument extraordinaire,
des mains d’homme qui physiquement sont les nôtres
mais en même temps pour l’instant semblent celles d’un autre (celles de Pierrot)
caressant un corps qui est bien notre corps à nous, homme
mais perçu pour l’instant comme appartenant à une femme (celui de Pierrette)!enfin, tout cela est merveilleusement délicieux et jouissif à vivre
Cette expérience est curieuse, totalement à l’opposé des prescriptions du Traité. Ou alors faut-il la ‘réserver’ à un niveau d’initiation inhabituel ? Suis-je en train d’ouvrir une porte dérobée ?
comme je l’ai déjà souligné plusieurs fois,
on est assez éloigné du traité
mais ce n’est pas grave, le domaine est immense, le domaine est varié,
néanmoins notre pratique a des points communs fondamentaux avec une pratique prostatique classique,
celle entre autres d’impliquer massivement et constamment notre prostate dans nos ébatsquand au contact avec les parties génitales,
je m’en sers aussi comme tu l’as certainement lu,
personnellement jamais aucun geste de la masturbation, jamais d’éjaculation non plus,
je m’en suis déjà expliquémais obtenir des ondes sexuelles mâles, permet à notre pôle masculin (ton Pierrot)
d’être totalement en éveil et participant aux ébats dans ta chairmaintenant il y a la façon de le faire, j’expérimente beaucoup là-dessus,
personnellement je perçois une énorme différence entre les contacts avec les cuisses ou avec les doigts,
pour moi les interlocuteurs naturels de nos parties sont les cuisses,
c’est une danse sensuelle grisante dont j’abuse sans modération durant les séancespar contre pour ce qui est des contacts avec les mains, je suis beaucoup plus prudent,
enfin j’ai déjà beaucoup écrit là-dessus, tu vois sans doute ce que je veux dire,
ceci dit , une personne n’est pas l’autre,
chacun a ses spécificités, une pratique n’est jamais totalement identique à l’autre11 mars 2019 à 7 h 49 min #33230Ch313ParticipantCela fait quelques temps que je ne suis pas intervenu car peu de changement mon évolution.
Mais je suis régulièrement le forum presque quotidiennement. Tout comme je continue ma pratique quasi quotidienne.
Malgré tous mes désirs, toutes mes sollicitations, ma prostate ne veut toujours pas se manifester à mon conscient. Et pourtant j’insiste, peut-être à tort (?). Jusqu’à lors, à la lecture des différents récits sur le forum, je pense comprendre que pour tous, ou presque, c’est leur prostate qui leur ‘parle’ par le langage intime de leurs sensations. Moi je n’ai pas la chance de communiquer avec elle comme si elle était absente. J’ai l’impression de louper quelque chose. Et pourtant les plaisirs ne manquent pas. Si je crois ce que me dit @Bzo, elle fonctionne bien mais aussi je peux penser que tout cela n’arrive que par la seule ‘pensée’ et que peut-être je fais fausse route en voulant (à tout prix ?) ressentir ces sensations.
Je suis pourtant à l’écoute mais rien ne ‘vient’.
J’introduis le masseur sans aucune difficulté, je suis très décontracté.
Je sens bien le passage au niveau de mon anus mais pas plus loin.
J’effectue des contractions volontaires pour faire bouger le masseur dans mon rectum.
Je constate visuellement ou en posant mes doigts dessus que le masseur effectue bien des va et vient.
Je suis sûr qu’avec ces mouvements le masseur frotte bien à l’intérieur et qu’il appuie bien sur ma prostate et que matériellement, physiologiquement il la masse bien. Je sens bien l’appui sur mon périnée
Mais je n’ai aucun retour en sensation interne.
Je varie les contractions, lentes, douces et profondes ou bien rapides et puissantes alternant avec des phases de décontraction. Je peux changer de position, varier la cambrure de mon bassin, ouvrir davantage mes cuisses pour faciliter le mouvement, rien n’y fait. Pourtant parfois des contractions involontaires ponctuent les instants de relaxation.
Cela peut durer largement plus d’une heure. Ou bien si j’introduis le masseur en me couchant, je peux m’endormir en quelques minutes. Au réveil je ne le sens pas immédiatement. Mais je peux reprendre ma quête.
Je peux rompre cet état très simplement en fixant mon attention sur mon pubis.
En quelques secondes je ressens des fourmillements comme s’ils étaient déjà présents mais que je ne les sentais pas. Une boule de chaleur se développe et des spasmes m’envahissent très rapidement.
Je suis déjà en jouissance. Je mouille déjà alors que jusqu’à présent je n’avais eu aucune émission.
J’ai hâte de me faire pénétrer, je me mets à tripoter mes seins.
Ce changement est puissant, violent, je m’abandonne à mon féminin.
Le premier orgasme est déjà là. Je tremble de toute part sans pouvoir contrôler.
Cela dure déjà plus d’une minute. Je suis assise dans mon fauteuil et je continue à écrire sur ma tablette entre les spasmes.
Les va et vient du masseur se font de plus en plus amples. C’est comme si ça n’en finissait pas.
Plus de trois minutes maintenant une détente m’envahit mais les spasmes ne disparaissent pas.
Je les calme par de longues inspirations expiration profondes.
Mais il suffit que j’effleure mes tétons pour que les spasmes et le contractions réapparaissent.
Je suis encore plus ouverte. Je me cambre pour que Pierrot me pénètre à nouveau.
Il accompagne mes contractions involontaires par les frottements de son sexe sur ma vulve qui mouille de plus en plus. (J’ai mis une serviette…)
Mon bassin roule à son rythme. Je serre ses fesses à pleine mains, je l’accompagne doucement en moi.
Mon bassin va et vient au rythme du masseur. Il me masse les seins , titille mes tétons.
Les tremblements reprennent de plus belle. Ma respiration est haletante.
Encore plusieurs minutes d’orgasmes successifs.
Maintenant ce sont de balancements de plus en plus amples de mon bassin qui rythment les contractions.
Il va et vient de plus en plus profondément en moi déclenchant spasmes et tremblements de plus en plus violents en vagues successives, interminables. Plusieurs ascensions s’enchaînent inéluctablement.
Mais il est temps que je m’arrête, ma compagne va se réveiller. Je ne sais pas comment cette limite me rappelle à l’ordre. Mais ça marche je suis bien, calme.
Voilà mon réveil vraiment en direct live que je poste immédiatement.11 mars 2019 à 8 h 33 min #33231bzoParticipantSi je crois ce que me dit @bzo, elle fonctionne bien mais aussi je peux penser que tout cela n’arrive que par la seule ‘pensée’ et que peut-être je fais fausse route en voulant (à tout prix ?) ressentir ces sensations.
cité ainsi, cela peut paraître un peu absurde,
ce que je voulais dire, c’est que pour l’immensité majorité des gens, moi inclus, pour éveiller la prostate,
pour obtenir du plaisir d’elle,
il y a action externe, aussi minime soit-elle,
caresses, contractions, masseur, enfin chacun de nous a ses déclencheurs,
chez certains ils sont réduits à leur strict minimum, ils restent quasi immobiles,
pour d’autres comme moi, tout le corps se met en route,
je me suis habitué à le faire ainsi,
sans doute pourrais-je aussi obtenir des résultats avec des moyens plus minimalistes
mais bon, je me suis conditionné ainsi
et je suis content ainsitoi, tu es la première personne que j’ai croisée qui n’a pas besoin de tout cela,
qui n’a besoin de rien en fait, de rien du tout , il semble,
comme action physique aussi minime soit-elle,
c’est par une action tout entièrement intérieure que tu te mets en route,
pas la pensée-même, bien sûr,
mais tu as directement prise sur tes énergies intérieures, en quelque sorte,
sur ta capacité à te laisser aller, à te laisser emporter,
une capacité maximale de te projeter dans ton corps,
de vivre avec celui-ci sans l’intermédiaire du moi pensantenfin c’est ma théorie te concernant, sur la façon dont tu fonctionnes
et je reste plus persuadé que jamais tu mets ta prostate aussi en route en même temps,
de par mon expérience, je sais à quel point sans les vibrations de la prostate,
rien ne serait possibleen aneroless, moi j’agis aussi indirectement sur la prostate, plus de masseur, plus de contact direct
mais parce qu’avant j’ai fait un an de masseur, que j’ai tout obtenu avec, super O à la pelle, etc,
je sais reconnaître les vibrations de la prostate, quand celle-ci est en actiondonc je sais qu’en aneroless , même si je ne sens plus rien du côté de ma prostate,
je sens qu’elle se met en route, dès que je commence mes contractions
et que ses vibrations se maintiennent tant que je continue régulièrement à en fairepeut-être que cette manière de fonctionner donc,
de déclencher chez toi le plaisir, t’es tellement naturelle, tellement automatique, tellement innée,
qu’il te sera très difficile d’acquérir d’autres façons de la mettre en route,
de l’inciter à se déclenchersans doute il y a moyen
mais c’est une affaire au long cours, au très long cours,
de patience donc, d’énormément de patience et d’accepter de ne rien ressentir,
peut-être des mois à aller la chatouiller, la caresser
avant de commencer à ressentir des résultats11 mars 2019 à 13 h 20 min #33233Ch313ParticipantSalut Bzo, toujours prompt à apporter ton éclairage à la situation.
Merci beaucoup.
Pour synthétiser encore plus, je pourrais dire que je ne communique pas du tout avec ma prostate.
Que ce soit directement ou indirectement en A-less, rien ne se passe.
Par contre il suffit que je porte mon attention à mon pubis, pratiquement instantanément je sens mes attributs féminins et je décolle au quart de tour.
Ma prostate intervient-elle dans ce processus ? Si oui comment ?
Pas physiquement, pas sensoriellement c’est sûr. Peut-être est-ce par un flux d’énergie que je suis incapable de maîtriser, de comprendre, de reconnaître. En cela je n’ai aucune preuve, c’est le pourquoi de ma quête.
C’est parce que je ne le maîtrise pas que mes démarrages sont aussi fulgurants ?
Quel est le lien entre mes transes aussi féminines et ma prostate, organe pourtant masculin ?, je n’arrive pas à me l’expliquer. Quelle est ‘l’action’ qui l’animerait, il n’y a aucune action physique, et interne, je ne sens rien.
Rien ne me dit qu’elle intervient. Je cherche ce qui me permettrai de la reconnaître avec le désir peut-être utopique qu’elle soit ‘mienne’.
À plus11 mars 2019 à 19 h 27 min #33235bzoParticipantSalut Bzo, toujours prompt à apporter ton éclairage à la situation.
le matin avant de partir au boulot, j’ai un peu de temps
et aussi le soir bien sûrPour synthétiser encore plus, je pourrais dire que je ne communique pas du tout avec ma prostate.
je comprends ta frustration entièrement,
cependant cela ne veut pas dire que ta prostate n’est pas en action,
même si tu ne la sens pas du toutmoi je sais que ma prostate se met en action quand je fais mes contractions
parce qu’avant j’ai fait intensément une année, une année et demie de massage prostatique avec masseurmais je n’avais pas eu cette expérience avec un masseur
où à chaque fois que celui-ci venait frotter, presser,
contre la paroi derrière laquelle se trouve la prostate,
cela éveillait à chaque fois des vibrations plaisantes,
des sensations que désormais je reconnais tout de suitemais si plutôt j’ avais fait directement mon parcours en aneroless,
comme on ne sent pas du tout sa prostate,
je ne saurais pas non plus dire quand elle est en action ou pasMa prostate intervient-elle dans ce processus ? Si oui comment ?
Pas physiquement, pas sensoriellement c’est sûr. Peut-être est-ce par un flux d’énergie que je suis incapable de maîtriser, de comprendre, de reconnaîtreprobablement
C’est parce que je ne le maîtrise pas que mes démarrages sont aussi fulgurants ?
tes démarrages sont aussi fulgurants parce que tu es un petit verni
qui a full accès à des forces mystérieuses en nous ,
moi j’y travaille jour près jour, séance après séance,
cela augmente progressivementchez toi, tout est complètement déchaîné, comme cela,
au premier claquement de doigt,
tu es un sacré privilégiécependant il y a un revers à la médaille,
ton accès semble , pour l’instant en tout cas, uniquement avec ces déclencheurs
qui te sont tellement spécifiques,tu aimerais plus appréhender tout cela avec ton corps,
je comprends bien cela,
tu aimerais sentir ta prostate vibrerpeut-être es-tu condamné à ne jamais y arriver,
que c’est un revers de la médaille non négociable
à cette puissance que tu peux éveiller si facilement comme tu le fais depuis toujoursmais ce n’est pas dit, peut-être peux-tu y arriver
mais cela ne sera pas facile comme je l’ai écris plus haut,
il te faudra persévérer pendant des jours, des semaines, peut-être des mois,
sans rien ressentir, patiemment aller solliciter ta prostate
pour qu’elle commence aussi à réagir
comme elle réagit chez monsieur tout le monde
quand on y va avec un masseur ou en anerolessje te conseille en tout cas, comme je conseille à tout débutant dans la pratique du massage prostatique
d’avoir plusieurs masseurs à ta disposition
et d’alterner
pour qu’au moins écarter le risque d’échouer dans ta quête
parce que tu t’évertues jour après jour avec un masseur qui ne te conviens pasQuel est le lien entre mes transes aussi féminines et ma prostate, organe pourtant masculin ?,
la prostate est un des accès au féminin en nous
mais pas la seule, tout le corps en fait est une porte d’accès au féminin en nous
mais il est plus facile d’y accéder par la prostate
ou par nos organes sexuels à condition de les solliciter comme il faut
car la prostate et nos organes sexuels
sont plus immédiatement et plus puissamment génératrices d’ondes sexuellesmais désormais j’en ai la conviction,
aussi bien les ondes sexuelles nées de la prostate que de nos organes sexuelles,
peuvent avoir des caractéristiques mâles ou femelles,
enfin on peut les ressentir ainsiainsi moi, avec le jeu entre mes cuisses et mes parties,
leur frottements, leurs pressions, inlassables durant la séance,
je fais naître une volupté soyeuse, chaude, frissonnantes, qui m’emplit ,
c’est quelque chose que je perçois comme totalement féminin,
faisant totalement partie de mon plaisir au féminin
et pourtant ce sont mes couilles qui produisent cela essentiellementRien ne me dit qu’elle intervient. Je cherche ce qui me permettrai de la reconnaître avec le désir peut-être utopique qu’elle soit ‘mienne’.
je comprends ta frustration,
moi je remets le masseur et je sens directement avec le contact de celui-ci,
ma prostate qui se met à vibrer
et ainsi je sais que même en aneroless, celle ci participe pleinement avec les contractionsje ne sais pas quoi te dire d’autre que je crois que tu peux y arriver,
je n’en suis pas sûr à 100% comme je l’ai écrit plus haut
mais il te faudra beaucoup de patience et d’abnégation
parce que cela sous-entend des heures et des heures de pratique sans ressentir grand chose,
voire rien du tout
pour que ta prostate finalement commence à répondre à tes sollicitations17 mars 2019 à 20 h 46 min #33256AndranerosParticipantma prostate ne veut toujours pas se manifester à mon conscient. (…) je pense comprendre que pour tous, ou presque, c’est leur prostate qui leur ‘parle’ par le langage intime de leurs sensations.Moi je n’ai pas la chance de communiquer avec elle, comme si elle était absente. (…) Et pourtant les plaisirs ne manquent pas. Si je crois ce que me dit @bzo, elle fonctionne bien mais aussi je peux penser que tout cela n’arrive que par la seule ‘pensée’ et que peut-être je fais fausse route en voulant (à tout prix ?) ressentir ces sensations.
Votre réflexion peut en effet paraître étonnante à beaucoup d’entre nous. Mais, si on accepte l’idée que malgré de grandes similitudes de perception et d’évolution de nos sensibilités anales, rectales, prostatiques, périnéales… chacun est différent au départ et dans sa progression, vous représentez un cas particulier de conditionnement (« rewiring ») particulièrement intégré. Si votre « prostate ne se manifeste pas à (votre) conscient », les effets d’une stimulation par la pensée produit les mêmes résultats , comme des pensées fortement érotiques peuvent déclencher, sans besoin de caresses dédiées, excitation, érection et même plus chez de nombreux hommes qui n’ont jamais entendu parler de massage prostatique.
tu as directement prise sur tes énergies intérieures, en quelque sorte, sur ta capacité à te laisser aller, à te laisser emporter, une capacité maximale de te projeter dans ton corps,
de vivre avec celui-ci sans l’intermédiaire du moi pensantC’est ainsi que je comprends moi aussi vote aptitude au plaisir prostatique. @bzo complète:
peut-être que cette manière de fonctionner donc, de déclencher chez toi le plaisir, t’es tellement naturelle, tellement automatique, tellement innée, qu’il te sera très difficile d’acquérir d’autres façons de la mettre en route, de l’inciter à se déclencher
« naturelle », « automatique », « innée », si c’est ainsi il n’y a rien à ajouter, tant pis pour les jaloux, tant mieux pour les autres qui vivent leur propre progression vers l’extase orgasmique sur la seule base de leur ressenti, de leur relâchement physique et mental, de leur abandon de toute volonté de jouir.
Pour répondre à votre dernière question, @ch313 :Quel est le lien entre mes transes aussi féminines et ma prostate, organe pourtant masculin ?, je n’arrive pas à me l’expliquer. Quelle est l’« ’action » qui l’animerait, il n’y a aucune action physique, et interne, je ne sens rien.
Je retourne votre interrogation « Pourquoi vous-autres avez-vous besoin d’un accessoire et d’un rituel de massage pour atteindre ce niveau de transe orgasmique ? ». Le wiki Aneros n’hésite pas à présenter les masseurs prostatiques comme des aides au développement d’une aptitude connue depuis des millénaires et donc accessible aux hommes sans masseur :
La notion d’Orgasmes Multiples Masculins s’enracine dans des pratiques orientales ancestrales telles que le tantra et le tao (voir l’histoire de l’Aneros). L’aneros, bien qu’initialement conçu pour aider les hommes à soigner la santé de leur prostate, s’est avéré très efficace pour accélérer l’apprentissage de cette aptitude. (…) A partir du moment où vous êtes devenus capables d’avoir des orgasmes sans éjaculation il est probable que vous deviendrez capable de les avoir sans Aneros.
Pour synthétiser encore plus, je pourrais dire que je ne communique pas du tout avec ma prostate.
Pouvez-vous envisager que, contrairement à l’écrasante majorité d’entre nous, vous n’avez pas besoin de négocier avec le directeur du personnel pour obtenir les gratifications qui vous récompensent. Vous les voulez, vous les avez parce que vous les méritez… Vous êtes déjà là où nous cherchons tous à aller. Ce qui vous perturbe à la lecture de nos échanges c’est que vous êtes naturellement capable de manipuler cette fameuse « énergie sexuelle » que nous devons découvrir et apprivoiser avec pour certains une grande difficulté à le faire.
@bzo qui est particulièrement avancé dans son cheminement l’explique à mon avis très bien :mais si plutôt j’ avais fait directement mon parcours en aneroless, comme on ne sent pas du tout sa prostate, je ne saurais pas non plus dire quand elle est en action ou pas
tes démarrages sont aussi fulgurants parce que tu es un petit verni qui a full accès à des forces mystérieuses en nous , moi j’y travaille jour près jour, séance après séance, cela augmente progressivementJe partage son point de vue. Bon cheminement @ch313.
20 mars 2019 à 7 h 53 min #33268Ch313ParticipantMerci cher Andraneros pour votre attention à mon cheminement.
Je voudrais présenter ma quête autrement en décrivant mes personnages que j’évoque, invoque parfois.
Pierrette, mon féminin, ‘fonctionne’ très bien. Quelles que soient les stimulations, réelles ou virtuelles, les plaisirs jusqu’aux orgasmes me comblent. J’aime que Pierrot me pénètre. J’aime le sucer. J’aime quand me sodomisant, il masturbe l’intérieur de mon vagin et se masturbe à travers moi, je sens son plaisir simultanément en moi. Car je suis à la fois Pierrette et Pierrot.
Me référant au livre de Mantak Chia que je viens de lire (très rapidement) je dirais que l’énergie qui circule en nous circule entre nous de l’un à l’autre. C’est un nouveau domaine à explorer pour moi.Par contre Pierrot a un problème. Il ‘répond’ à merveille aux stimulations péniennes, réelles ou virtuelles, mais reste indifférent aux stimulations anales.
Je ‘m’imagine’ être en club. Mon partenaire du moment me pénètre. Je le sens frotter mon périnée avec son sexe pour m’exciter, puis s’appuyer sur mon anus, tourner pour le distendre, enfin me pénétrer doucement.
Mais je ne sens pas de progression dans mon intérieur ni ses va et vient. Cela peut durer, le plaisir ne se manifeste pas. Je peux même culpabiliser de lui renvoyer ma frigidité. Mais si un adepte de plan à trois se joint à nous, caresse alors mon sexe, les désirs péniens se développent quasiment instantanément. Il me suce, déclenche immanquablement des orgasmes. Oui, je m’aperçois que je suis devenu ‘homme multi-orgasmique’.
Ceci pour confirmer ton propos du 12 mars dans le sujet « Le traité d’Aneros, LA voie ou UNE voie ? ».
Ma frustration c’est de me sentir incomplet, une partie de moi me manque.Je reviens sur ‘homme multi-orgasmique’ suite à ma lecture du livre de Mantak Chia. Lecture assez rapide : je n’ai pas testé les exercices. Mais j’ai essayé d’intégrer ce que j’en comprends dans ma dernière séance.
Hier matin, je ne me suis pas levé comme d’habitude, je suis resté auprès d’elle.
Elle se réveille. C’est elle qui vient à moi. Après quelques caresses, rapidement elle prend mon sexe dans sa main et commence à me masturber. Je me laisse aller et presque immédiatement les spasmes commencent à m’envahir.
Je pense à la lecture que j’ai faite et j’essaye de matérialiser, visualiser mon énergie dans mon bassin.
Je n’arrive pas vraiment à la sentir ni à à la faire ‘monter’ dans ma colonne vertébrale comme indiqué dans le livre. Pourtant une douce chaleur se répand à l’arrière de mon cerveau.
J’abandonne un peu cette réflexion, je m’abandonne un peu plus à ses stimulations.
Je reste cependant attentif à ce que pourrait être cette énergie mais je sens venir l’orgasme.
J’ai le bassin qui se secoue de toute part, alternant avec de long spasmes qui me soulèvent.
Je respire profondément, je me détends, je reviens à la conscience de ses caresses. Je n’ai pas eu de phase éjaculatoire. Mon bassin continue continue à onduler lascivement. Elle continue à me masturber.
Une vague de chaleur se développe dans mon ventre, j’essaye d’imaginer l’énergie passer par le canal avant sans grand succès. Mais une vague de soubresauts me reprend de plus en plus rapide. J’ai les mollets qui tremblent, tétanisent, j’orgasme à nouveau. Je garde un niveau de contrôle : elle ne veut pas que je crie.
Cela dure quelques minutes avant une nouvelle accalmie. Par de grands mouvements du bassin je glisse sans relâche mon sexe entre ses mains.j’en profite pour stimuler mes tétons.
Une nouvelle vague de contractions me déborde. J’orgasme à nouveau toujours sans phase d’éjaculation.
Cela recommence encore plusieurs fois, je m’abandonne de plus en plus, je ne suis plus capable de conter ni de compter.
Elle arrête ses manipulations, « Il est l’heure de se lever » dit elle. Ce qu’elle fait, me laissant seul, un peu désemparé.
Je me dis je vais me finir en solo en pensant à une éjaculation libératoire.
Je me masturbe alors. Longuement, l’orgasme vient doucement, persiste longuement. Les contractions se font plus profondes. Mais je reviens à une phase de profonde détente sans passer par l’éjaculation.
Je continue de me masturber, une nouvelle phase orgasmique me prend. Toujours sans éjaculation sans pourtant que je veuille la contrôler.
Une troisième fois je m’abandonne à l’orgasme longuement.
J’abandonne l’idée de l’éjaculation comme finalité, je me détends, je me lève enfin pour aller déjeuner.
Je ne me sens pas insatisfait mais plutôt en plénitude. Étonnant !Multi-orgasmique à ce point en tant qu’homme cela ne m’était encore jamais arrivé.
Je n’ai pourtant pas maîtrisé grand-chose, ni me limiter, cela me laisse un peu perplexe.Salut à tous.
29 mars 2019 à 18 h 21 min #33304AndranerosParticipantTu nous dis @ch313 :
Ma frustration c’est de me sentir incomplet, une partie de moi me manque.
Tu nous dis aussi un peu plus loin à la fin de la description de ta magnifique session multi-orgasmique matinale entre les mains de ta femme :
Je ne me sens pas insatisfait mais plutôt en plénitude. Étonnant !
J’ai l’impression:
• que quand tu vis ton fantasme, ton cerveau s’efforce de trouver une forme d’équilibre yin – yang, masculin – féminin sans bien y parvenir, s’efforce de retrouver avec difficulté ce que seraient des sensations féminines et masculines simultanées pour reconstruire l’unité de ton être,
• et que quand tu vis ta jouissance « instinctivement », sans penser à rien d’autre que de la laisser monter, la laisser « te prendre » sans aucune construction intellectuelle, tu es « complet », qu’au milieu de tes orgasmes rien ne te manque.Passer de l’état d’homme masculin sans féminin, mono-orgasmique dont l’orgasme est limité à une toute petite zone, à l’état d’homme masculin et féminin réunifié, multi-orgasmique dont les orgasmes font vibrer tout le corps est un changement particulièrement profond. Il me paraît normal qu’une telle transition soit accompagnée d’un certain inconfort ; cela ne signifie en aucun cas qu’il n’y a pas de progrès.
Pense à la manière dont @bzo travailles et vis la réunification de son masculin et de son féminin, avec enthousiasme et excès, et à la fois avec méthode et patience.
Finalement, même quand on parvient à un stade aussi avancé que le tien, il reste important de savoir vivre sa jouissance dans l’instant sans chercher à la remettre dans un cadre logique, même si c’est celui que tu construis à partie de ton expérience.
Bon cheminement @ch313.
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