Mots-clés : chemin, cheminement, orgasme
- Ce sujet contient 283 réponses, 13 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Andraneros, le il y a 4 années.
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31 août 2018 à 16 h 41 min #30168EpictureParticipant
oui je portais un helix trident.
Et je suis en train de lire ce livre de Mantak Chia. Ce que j’ai lu pour l’instant ne fait pas état de ce que j’ai vécu. Mais il parle beaucoup de l’énergie qui circule en partant du bas de la colonne vertebrale et fait une boucle en passant par le sommet de la tête. Il y a des similitudes avec les ondes vibratoires que je sens remonter le long de ma colonne vertebrale et mes cheveux qui se “dressent”. Mais ca s’arrête là pour l’instant.31 août 2018 à 16 h 50 min #30169EpictureParticipant@andraneros a ecrit :
les masseurs prostatiques sont des clés pour entrer dans l’univers tantrique ou taoïste qui ont l’avantage pour nous occidentaux de fonctionner même si notre culture n’appartient pas à cet univers.
J’ai bien l’impression, malgré mon scepticisme, que c’est bien dans cet univers que je suis en train de glisser !
Bien à vous tous !
6 septembre 2018 à 8 h 31 min #30267EpictureParticipantBonjour à tous !
Encore un magnifique réveil ! À la limite de l’orgasme, sous les caresses de ma femme, sur ma poitrine. Je pense que ma femme aime me sentir défaillir sous ses caresses, même si elle sait que je suis équipé d’un masseur (le petit Péridise en l’occurrence).
Voilà bientôt 15 jours que je n’ai pas éjaculé. Pour moi, c’est un exploit. Mais plus encore, je suis capable de me masturber, et d’interrompre ma masturbation pour ne pas éjaculer. Puis m’endormir comme un bébé. Il y a quelque temps, cela aurait été impossible tant le désir d’en finir ne m’aurait pas laissé dormir. De plus, j’ai transformé ma perception de l’éjaculation, aidé par le livre de Mantak Chia, qui présente cela comme le meilleur moyen d’être vide. Alors que moi je désire être plein, plein de désir et de plaisir, tout le temps, 24/24, plein d’amour et de reconnaissance. Avant, je percevais l’éjaculation comme La finalité de la masturbation, comme le seul moyen d’accès au plaisir. Mais aujourd’hui, tout a changé, il ne fallait qu’un petit coup de pouce. Du coup, la masturbation qui se limite à faire des va et vient avec sa main sur son pénis en érection est une pratique limitée à un tout petit aspect de ce que le corps permet d’obtenir par d’autres moyens, dont le massage prostatique avec ou sans aneros, avec ou sans partenaire, avec ou sans… etc.
Et donc, plus le temps passe (sans éjaculation) plus je ressens mon corps, mon cœur, mon être se remplir.
Bises à tous !6 septembre 2018 à 9 h 38 min #30273JieffeParticipantBonjour Epicture,
Ce sont les effets pour moi du massage prostatique et du plaisir qui en découle. Je ressens la même chose que toi.
En revanche, je n’ai pas compris la même chose que toi au sujet du livre de Mantak. Au contraire, j’ai compris que nous restons plein de désir et plein de forces vives pour le plaisir sans éjaculer.
En tout cas, je suis content pour toi.
6 septembre 2018 à 10 h 11 min #30275EpictureParticipant@Jieffe a ecrit
En revanche, je n’ai pas compris la même chose que toi au sujet du livre de Mantak. Au contraire, j’ai compris que nous restons plein de désir et plein de forces vives pour le plaisir sans éjaculer.
Je me suis sans doute mal exprimé mais nous avons bien compris la même chose !
6 septembre 2018 à 11 h 32 min #30284AndranerosParticipantJe confirme vos deux expériences.
Pendant longtemps la masturbation et l’éjaculation finale m’ont servi de remède pour dormir sans somnifère. Depuis que j’ai entamé mon cheminement je n’en ai plus besoin. L’éjaculation est devenue chez moi une phase mineure de ma vie orgasmique. Il me paraît utile de préciser cependant que mon âge est au moins en partie responsable de cette situation. Cela étant dit je reçois tant de plaisir pendant mes sessions que celui qui est associé à l’éjaculation est devenu accessoire. Avant d’avoir débuté mon cheminement vers la jouissance prostatique, j’avais besoin de mes orgasmes et de la libération que m’apportaient les éjaculations qui les accompagnaient. Je n’en ai tout simplement plus besoin. Et je constate que mon désir est en permanence très élevé, malgré mon âge.Ma femme a aussi mis du temps pour se défaire du besoin de constater ou de percevoir mon éjaculation pour être satisfaite de nos ébats. Quand j’ai commencé à jouir sans éjaculer sous les effets de ses caresses, elle en ressentait une certaine frustration, comme s’il manquait quelques chose à nos ébats. Elle a dû elle aussi changer de paradigme pour comprendre que “j’intériorisais” ma jouissance.
La perception nécessairement éjaculatoire du plaisir masculin est aussi imprégnée chez les femmes bien qu’elles puissent vivre leur propre plaisir de façon très différente.
Je suis heureux de lire que vous votre sensibilité se développe à ce point. Bon cheminement @epicture.
6 septembre 2018 à 12 h 07 min #30287EpictureParticipantMerci @andraneros
Le livre de Mantak chia est une mine d’information et de techniques qui correpondent bien à mon approche.6 septembre 2018 à 20 h 06 min #30310JieffeParticipantJe me suis sans doute mal exprimé mais nous avons bien compris la même chose !
🙂
Et je constate que mon désir est en permanence très élevé, malgré mon âge.
Mantak a donc raison.
elle en ressentait une certaine frustration,
Voilà à mon sens une vraie difficulté. Les femmes si je ne me trompe pas aiment sentir notre éjaculation en elle. Cela participe même si j’ai bien compris quelque fois au basculement de leur plaisir vers l’orgasme, à condition d’être bien coordonnés. Bien sût elles peuvent changer de paradigme et accepter le fait que nous jouissions sans éjaculation. À bien y réfléchir, c’est tout bénéfice pour elles, et cette technique peut les mener elles aussi vers les orgasmes multiples, mais quid de cette sensation qu’elles semblent apprécier, de ressentir les spasmes de notre sexe suivi de l’émission de sperme?
Il faudrait poser la question à une femme dont l’homme est multi orgasmique.La perception nécessairement éjaculatoire du plaisir masculin est aussi imprégnée chez les femmes
Comme quoi elles sont aussi conditionnées que nous…
7 septembre 2018 à 8 h 44 min #30316EpictureParticipantBzo à écrit :
mon sexe est content,
il s’en satisfait, semble-t-il, même s’il n’y a jamais d’éjaculationPour moi, c’est un nouvel écueil.
Je suis resté presque 15 jours sans éjaculer, avec la ferme intention de poursuivre dans cette voie pour préserver la puissance de l’énergie sexuelle en moi. Je la sens, cette énergie, comme une petite flamme, prête à mettre le feu aux poudres dès que les conditions le permettent. Elle est là, constamment, me titille l’anus, le périnée, les testicules. Quand mes éjaculations étaient quotidiennes ou presque, je ne sentais pas cela. Hier, mon niveau d’excitation était maximal, mais sans le désir de me masturber, je voulais sentir en moi l’aneros maximus trident. Je l’avais choisi soigneusement : ni trop gros, ni trop petit, ni trop court : juste comme il fallait pour me faire partir.
Ce fut une succession de vagues langoureuse, ou balancement de lianes lascives comme dit BZO, puis… je ne sais pas ce qui s’est passé, j’ai du m’endormir, toujours est -il que j’ai eu la sensation de me réveiller, 1 h plus tard, avec la sensation d’avoir la prostate en feu. Elle me brulait littéralement, si bien que j’ai eu le réflexe de retirer l’aneros, mais comme ça ne suffisait pas à calmer la sensation de brulure, je suis allé uriner. Cela n’a pas suffi non plus, alors je me suis masturbé (malheureusement) pour éjaculer, pour libérer la pression. La sensation fut très loin du plaisir, ni du soulagement. Mais peu après, disons environ 30 minutes, le feu s’est apaisé, et j’ai pu me rendormir jusqu’au matin.Que s’est -il passé ? Toujours est-il que ce matin, ça va mieux. J’ai encore une petite sensation, de chaleur, mais comme une flamme, prête à mettre le feu au poudre, de nouveau. Rien de comparable à cette sensation de brulure dans l’urètre. Que faire ? Je crains que cela soit le symptôme d’un problème, plus qu’autre chose, ou est-ce simplement mon être qui me joue des tours pour me faire reculer sur mon chemin ?
Je pense que je vais faire comme genesis : une petite pause dans ma pratique. J’étais un peu en mode intensif ces derniers temps. j’ai beaucoup progressé, il faut peut-être laisser un peu de temps à mon corps pour qu’il s’adapte à ces nouvelles sensations.Du coup, Jamais d’éjaculation !!! ??? Tu n’as jamais eu de retour de flammes ? @BZO
Bonne journée à tous !!
7 septembre 2018 à 10 h 41 min #30323bzoParticipantDu coup, Jamais d’éjaculation !!! ??? Tu n’as jamais eu de retour de flammes ? @bzo
alors oui, c’est arrivé une ou deux fois,
c’est uniquement depuis que mon sexe prend part activement quotidiennement à mes séances,
qu’il semble totalement satisfait et repu par ses participations aux ébatsc’est au point que je jette maintenant régulièrement un oeil ou deux
sur des images ou des vidéo pornographiques, je bande mais c’est tout,
je satisfais une envie de voir des corps nus, des ébats, des pines dressées,
des chattes ouvertes, des corps en action, etcje ne ressens pas le besoin d’aller plus loin,
mon sexe semble avoir une dose quotidienne de plaisir qui le satisfait
même s’il n’y a pas d’éjaculationalors qu’avant, même si je parvenais à rester des mois et des mois sans me masturber,
il fallait que je fasse tout de même attention
de ne pas provoquer un désir pénien,
j’évitais les images pornographiques ou trop suggestives,
même dans des films les scènes de sexe, je les évitais,
c’était plus prudent7 septembre 2018 à 11 h 34 min #30324EpictureParticipantmême si je parvenais à rester des mois et des mois sans me masturber,
il fallait que je fasse tout de même attention
de ne pas provoquer un désir pénien,Pourquoi ? Quel était le risque selon toi ?
7 septembre 2018 à 12 h 00 min #30327bzoParticipantben disons, que si on se masturbe,
après on perd de la puissance pendant un bon bout de temps,
le lendemain cela repart
mais on ne retrouvera autant de puissance qu’après quelques semaines,
de mon expérience,
c’est quelque chose que j’ai très précisément perçucependant je crois qu’on est dans une dynamique différente à partir du moment où on est en couple
ou bien qu’on a des relations sexuelles régulières,
c’est pratiquement pas perceptible, cela affecte nettement moins,
du fait qu’on a aussi du plaisir qui rentre, qui passe par les tuyaux
autrement que par la pratique prostatiquej’ai une théorie, elle vaut ce qu’elle vaut
mais je crois que quand on se masturbe,
on dépense beaucoup d’énergie sexuelle dans le vide, sans en recevoir
c’est pour cela que cela prend nettement plus de temps après pour retrouver les mêmes réserves, la même puisance
alors que quand on a des relations sexuelles avec autrui,
on donne, on dépense de l’énergie sexuelle
mais on en reçoit aussi beaucoup,
surtout si la relation est équilibrée, que chacun fait attention à l’autre,
au plaisir de l’autre et non pas au sien,
il n’y a pas cette déperdition d’énergie sexuelle
car on se charge de l’énergie sexuelle de l’autre,
même si on dépense beaucoup de la notrepour aller plus loin, compléter ma théorie,
je dirai que quand je pratique,
j’ai la sensation que mon énergie sexuelle est en boucle, que je la recycle jour après jour,
je la dépense comme si je la donnais à quelqu’un
et je la reçois en retour comme si quelqu’un me la transmettait,
il y a donc mouvement, celle-ci est en action,
celle-ci se reconstitueen tout cas , c’est comme cela que je le ressens,
cela forme une sorte de circuit fermé, autonome,
ma foi , très satisfaisant
car il y a réelle circulation de l’énergie sexuelle,
réel renouvellement de celle-ciet puis par-dessus cela,
il y a évolution, maturation et épanouissement des sensations7 septembre 2018 à 14 h 07 min #30329EpictureParticipantJe ne peux pas valider ta theorie, les relations sexuelles avec ma femme se passent de plus en plus sans éjaculation. Je peux donc de ce point de vue là, preserver mon energie. Quand au transfert d’énergie, j’en sais rien.
Mais n’y a t’il pas un moment où il y a trop de pression énergétique. Ne faut-il pas que cela sorte, d’une maniere ou d’une autre ?
Ne peut-il pas y avoir un laps de temps pendant lequel le novice en la matière se trouve sous pression, car il a su emmagasiner de l’énergie, mais pas su l’utiliser à bon escient ?7 septembre 2018 à 14 h 46 min #30331EpictureParticipantCela dit, je valide que sans éjaculation, il y a accumulation de désir, de puissance, ou d’énergie, bref de quelque chose qui met en ébullition. Prêt à exploser, à décoller, à partir en voyage…
Hier j’étais prêt à 200 %, mais ça devait trop bouillir, il faut que j’apprenne à temporiser, à détendre l’esprit pour qu’il lâche la bride de la machine corporelle. J’ai l’impression que les spasmes dont j’ai parlé il y a quelque temps, sont comme le dit @andraneros, un mouvement réflexe de résistance. Comme si mon corps se cabrait, mais dans une gangue de sangles qui le tiennent en laisse.
Il est instantanément stoppé dans son élan. Depuis que j’ai envisagé cela comme ça, j’ai moins de spasme, et hier midi, alors que je faisais une petite séance de joystick Clear (j’en ai profité que j’étais seul à la maison quelques minutes), ces spasmes étaient comme des ressorts qui se relâchaient brutalement, et me propulsaient vers le plaisir.7 septembre 2018 à 18 h 45 min #30332bzoParticipantQuand au transfert d’énergie, j’en sais rien.
l’échange d’énergie sexuelle, moi j’y crois
quand tu te masturbes, tu te vides de ton sperme,
cela, le stock est reconstitué en quelques heures, quelques jours,
selon ton âge, selon les personnesmais la vraie énergie sexuelle, un fluide plus subtil,
sans doute celui aussi auquel fait référence le tantrisme
celui-là on peut l’échanger de partenaire à partenaire,
pour moiquand tu as fais l’amour, tu as lâché ton sperme
mais tu as fais le plein de l’énergie sexuelle de l’autre,
comme tu lui as transmis la tienne,
c’est , pour moi, cette énergie sexuelle qui compte vraiment,
le stock de sperme est reconstitué assez vite,
l’autre beaucoup plus lentement quand tu te masturbes ,
enfin c’est ma théoriej’ai pu constater qu’après une masturbation,
il fallait beaucoup de temps, au moins une semaine
avant de retrouver la même puissance de sensations,
la même intensité de plaisir dans ma pratique7 septembre 2018 à 20 h 49 min #30333JieffeParticipantBonjour Epicture
Pour moi, c’est un nouvel écueil.
Pas d’accord. Un apprentissage est fait d’essais erreurs, tu le sais bien, et chaque erreur nous fait progresser. Tu as trouvé cette astuce de te masturber pour éteindre le feu, à mon avis tu as bien fait. Il faut trouver l’origine de ce feu. Peut-être est elle effectivement dans une trop grande sollicitation de ta prostate. Tu dors avec tes masseurs, elle est donc sous pression une grande partie de la journée. J’ai relaté il y a peu une sensation de raideur, de durcissement de ma prostate qui n’est plus d’actualité aujourd’hui (espérons que ça dure) après une période de repos, mais ma prostate est à mon sens moins sollicitée que la tienne. Peu importe, essaies une période de repos. Si tu ne constates plus de problème de ce type à nouveau, c’est que tu auras trouvé la cause. Tu sauras quoi faire pour que cela ne se reproduise plus, et tu auras progressé.
Pour moi ce n’est pas un écueil, mais une progression.
Je pense que lors d’un apprentissage, il est préférable bien que souvent décevant de rencontrer un maximum de difficultés. Gérées intelligemment, ces difficultés sont bien plus formatrices qu’un parcours sans embûche.
Ne te flagelles pas avec ça.Pour ce qui est du reste de vôtre discussion, que je trouve fort intéressante, je la relie directement au livre de Mantak Chia. C’est exactement ce que j’en ai compris, bien que je ne perçoive pas vraiment (consciemment) le bénéfice de l’absence d’éjaculation. En ce qui me concerne, j’ai de moins en moins éprouvé le besoin de me masturber. Cela s’est fait très naturellement, mais je serais incapable de dire si j’en retire une plus grande énergie sexuelle.
Certainement, mais je ne pourrais l’affirmer.8 septembre 2018 à 8 h 29 min #30340EpictureParticipantMerci @Jieffe pour tes encouragements. C’est juste que je me pense comme docteur jeckyl et mr hyde, il y en a un qui veut progresser dans le massage prostatique, et l’autre, que je ne vois pas forcement venir et qui invente des stratagemes pour l’en empecher, ou lui faire peur.
Aujourd’hui ca va beaucoup mieux. Je n’ai pas remis de masseur, mais mon corps s’autostimule.
Je suis réveillé comme si j’avais un masseur par des fourmillements dans mon anus, mais sans masseur, ni sensation de brûlure.
Je confirme ce que dit @bzo, c’est au bout de 15 jours que mon energie sexuelle a ete maximum
Bises a tous8 septembre 2018 à 11 h 20 min #30349JieffeParticipantEpicture,
Je suis un incorrigible optimiste, et j’ai tendance à voir toujours le verre à moitié plein. Dans ton cas, tu as fini par craquer au bout de 15 jours, durée qui te paraissait il y a peu inconcevable. Où est l’écueil? Est ce un écueil ou une réussite?
Je te laisse répondre.mon corps s’autostimule.
Je suis réveillé comme si j’avais un masseur par des fourmillements dans mon anus, mais sans masseurExcellentes nouvelles, profites bien de ces sensations.
Je te souhaite un excellent cheminement.
9 septembre 2018 à 12 h 39 min #30369EpictureParticipantMerci pour ton optimisme ! Ca reconforte vraiment. Je n’ai pas a proprement craqué. Je pense avoir fait ce qu’il fallait pour reduire un peu la pression. Je n’en avais pas envie, et je n’ai pas ressenti de plaisir. Mon energie sexuelle a baissé sensiblement, mais je n’ai pas tout libéré. Du coup j’ai assez rapidement retrouvé de bonnes sensations.
J’ai eu peur d’une infection, ou une saloperie de ce genre.
Je vais être plus attentif à la montée de la pression, et tenter de faire circuler mon énergie.
Hier soir ce fut formidable. Je ne me suis pas endormi, avec mon maximus trident, j’étais bercé par une houle de plaisir, avec des vagues incessantes. Et depuis ce matin,je baigne dans une sorte de torpeur éveillée. Je suis baignée de cette energie, comme si la veilleuse de la chaudiere etait constamment allumée, prete a faire partir la machine…
Bises a tous !9 septembre 2018 à 12 h 52 min #30371bzoParticipanthé hé,
que de bonnes choses,
tu trouves ta voie, tu te poses beaucoup de questions, tu te cherches,
tu explores en-dehors des sentiers battus,
cela prend plus de temps
mais cela semble se mettre en place pour toi aussije te souhaite beaucoup de bonnes choses,
de choses douces et riantes dans ta chair, @epicture12 septembre 2018 à 8 h 10 min #30416EpictureParticipantExcellente séance de nouveau cette nuit, avec une nouveauté :
Il semble que ma prostate soit sensible à un moment spécifique : c’est le moment de passage entre la contraction volontaire et le relâchement volontaire. En essayant de maintenir ce moment, même avec une toute petite contraction, et l’énergie sexuelle reconstituée, cela a provoqué des réactions involontaires, musculaires et vibratoires de plaisirs intenses. De plus, alors qu’avant je ressentais les vagues de plaisir partir de mon périnée, et remonter par l’arrière le long de la colonne vertébrale, jusqu’au cerveau, cette nuit, les vagues remontaient aussi par devant, à travers mon abdomen, jusque dans mon cou. Les deux courants vibratoire, par devant et par derrière se mélangeaient par des circuits intermédiaires qui traversaient mon corps d’avant en arrière. Je serais incapable de dire combien de temps cela a duré, je me suis évanoui dans la nuit. Tout ce que je sais, c’est que cela a démarré vers 23 h 0., A 2 h 00, je me suis réveillé, et j’ai ôté mon masseur pour dormir car mon sexe était sous pulsation, il fallait libérer un peu la pression. Et je me suis endormi.
Bien sûr actuellement, alors que je vous écris, mon bassin est toujours le siège de petites vibrations qui n’attendent que d’être réveillées.
Encore une fois, je suis sur un petit nuage. Je ne ressens plus vraiment de fatigue, et peu m’importe ce qui peut se passer dans le monde : advienne que pourra !
Bises à tous !12 septembre 2018 à 9 h 45 min #30417bzoParticipantDe plus, alors qu’avant je ressentais les vagues de plaisir partir de mon périnée, et remonter par l’arrière le long de la colonne vertébrale, jusqu’au cerveau, cette nuit, les vagues remontaient aussi par devant, à travers mon abdomen, jusque dans mon cou. Les deux courants vibratoire, par devant et par derrière se mélangeaient par des circuits intermédiaires qui traversaient mon corps d’avant en arrière.
c’est pour moi signe qu’il y a eu progression dans l’intensité,
garde bien dans ta mémoire comment tu as procédé pour obtenir ces résultats,
c’est une piste à explorer sérieusementbien qu’au moment d’entamer sa séance
mais cela tu le sais aussi bien que moi,
il faut laisser tous
ses espoirs, toutes ses attentes, au vestiaireBien sûr actuellement, alors que je vous écris, mon bassin est toujours le siège de petites vibrations qui n’attendent que d’être réveillées.
Encore une fois, je suis sur un petit nuage. Je ne ressens plus vraiment de fatigue, et peu m’importe ce qui peut se passer dans le monde : advienne que pourraces lendemains euphoriques comme quand on a fait divinement l’amour
avec plein de titillements dans le bassin,
c’est très féminin en fait, ce genre de sensationsje me rappelle une amie il y a quelques années,
je pouvais immédiatement voir sur son visage quand elle avait l’amour la veille
et elle me racontait qu’elle avait aussi tout plein de sensations qui perduraient dans son bassin,
q’elle semblait encore sentir en elle les mouvements de va et vient
et les traces de l’extase physique12 septembre 2018 à 10 h 20 min #30418JieffeParticipantAh ah, ce sont d’excellentes nouvelles Epicture, tu me sembles sur le bon chemin.
Je ne saurais te donner d’autres conseils que ceux que t’a donné Bzo.Encore une fois, je suis sur un petit nuage
Excellentes sensations n’est ce pas??? 🙂
Je suis content pour toi Epicture, tu es vraiment sur le bon chemin. Continues comme ça.
Je te souhaite un excellent cheminement.
14 septembre 2018 à 12 h 25 min #30472AndranerosParticipantBonjour @epicture,
Je viens de relire les derniers messages de ton ( si tu m’autorises à basculer sur le tutoiement) fil de discussion et je constate avec bonheur que ton cheminement produit une transformation à la fois de plus en plus profonde de ton être, selon ce que je comprends, et de plus en plus visible de ton comportement, selon ce que je lis.Au fil de tes sessions et de ce qu’elles te permettent de vivre, tu deviens toi aussi un homme nouveau. Ta relation avec ton corps est de plus en plus modifiée, la perception de ce qu’il te donne est considérablement enrichie, ta relation au monde extérieur se détend. Tu décris ton plaisir avec de plus en plus de précision, à mes yeux cela signifie que tu le vis de plus en plus intensément.
Je reprends une image utilisée par @adam dans l’émission « Les couilles sur la table » consacrée aux orgasmes masculins. Au début du cheminement vers l’orgasme prostatique, les sensations associées au pénis sont le soleil, celles associées à la prostate sont la chandelle. J’ai l’impression que maintenant tu passes nettement dans le camp de ceux qui ont suffisamment progressé pour que l’image s’inverse. Les sensations que t’offre ta prostate deviennent le soleil de ta jouissance et écrasent celles associées à ton pénis.
Mon évolution (sans oublier les effets probables de mon âge) m’a conduit vivre avec ma prostate les effets de toutes les stimulations sexuelles qui auparavant me mettaient en érection et me conduisaient vite, si je ne me « freinais » pas, à l’orgasme et à l’éjaculation. Je ne bascule en mode érection, orgasme et éjaculation que si je le veux. Par défaut, maintenant je suis en mode prostatique, vibrations, plaisir, orgasme. Je ne me « freine » plus, au contraire plus je m’offre plus je jouis, plus je m’offre…
Bon cheminement @epicture.
14 septembre 2018 à 15 h 07 min #30474EpictureParticipantBonjour @andraneros
si tu m’autorises à basculer sur le tutoiement
Oui bien sûr je t’autorise. Je m’étais moi-même il me semble autorisé à le faire.
Les sensations que t’offre ta prostate deviennent le soleil de ta jouissance et écrasent celles associées à ton pénis.
Oui, en effet, je confirme un basculement sur la pratique de la masturbation à visée éjaculatoire, que je ne désire plus, et que je pratique uniquement (depuis 1mois et demi environ) dans un but “régulatoire”. Cependant, alors que les tensions ressenties du fait d’une absence d’éjaculation, étaient vécues comme désagréables, je les vis maintenant comme une source de plaisir. Il y a là une autre forme de basculement : je désire que mon sexe désire, sans vouloir le satisfaire.
C’est très étrange : la stimulation de la base de mon pénis, de mon scrotum et de mes testicules en dehors des sessions de massage prostatique alimente considérablement la sensation vibratoire de mon corps, de façon quasi permanente. Il suffit que je me pose et que je me concentre, sans aucune aide matérielle, et je sens mon corps vibrer. Mais cela ne se traduit pas nécessairement par des sessions de massage prostatique “explosives”. C’est très aléatoire.
Pendant les sessions, je ne stimule plus mon pénis car cela tari cette délicieuse sensation de circulation vibratoire, énergétique, appelons là comme on veut !
De session en session, les ondes vibratoires gagnent du terrain sur mon corps, à tel point qu’elles ne font plus seulement que partir de ma prostate pour remonter vers la tête, elles circulent dans un mouvement difficilement descriptible.Au fil de tes sessions et de ce qu’elles te permettent de vivre, tu deviens toi aussi un homme nouveau.
Oui @andraneros, mais je considère être un homme nouveau depuis le jour où j’ai placé cette électrode sur mon anus pour la première fois, il y a bientôt 2 ans, et depuis, je vais de nouveauté en nouveauté. c’est assez extraordinaire. Nous parlons de cela ici comme si c’était absolument naturel. On en oublierai presque à quel point cela peut être perçu comme une déviance perverse et dangereuse, par de nombreuses personnes ( à commencer par celui que j’étais il y a deux ans).
ta relation au monde extérieur se détend
Je vois ce monde qui tourne autour de moi, comme lancé dans une chute éperdue, et moi, je suis de plus en plus en suspension dans ce tourbillon, tout en étant extraordinairement lucide sur ce que je suis, et la place que j’y occupe. Parfois je croise des gens qui semblent en perdition, j’ai envie de les prendre dans mes bras pour les réconforter, mais ils ne se reconnaissent pas eux même comme perdus : ils sont absolument convaincus d’être dans la bonne direction. Moi je sais qu’il n’y a nulle part où aller, car nous y sommes déjà. Finalement ce monde “bourdonne”, comme il l’a probablement toujours fait.
Bon, me v’là parti dans une tirade philosophique…
Bon cheminement @andraneros, et merci encore…17 septembre 2018 à 9 h 00 min #30511EpictureParticipantRetour sur mon dernier post :
j’ai écrit :
je désire que mon sexe désire, sans vouloir le satisfaire.
En fait c’est plus subtil que ça. Le désir de désirer ne se concentre pas uniquement sur mon sexe. Ce n’est pas que de mon sexe qu’il s’agit, mais de mon corps tout entier. Je perçois de plus en plus mon corps tout entier comme désirant. Et sentir que ce corps, le mien, soit tendu de désir, c’est une sensation que je vis, au jour le jour, comme véritable source de plaisir.
Avant toute stimulation, avant toute vague de plaisir, ou d’orgasme, j’adore sentir mon corps dans cet état de désir permanent, dont “la vibration” est pour moi la meilleure image. Cela est pour moi vraiment nouveau. J’ai modifié la perception que j’avais de mon désir. Il était la manifestation d’une tension anormale et presque source de souffrance, car significatif d’un déséquilibre dans mon être. La masturbation était devenu un moyen de réduire le déséquilibre. Le déséquilibre était source de mal être, que je tentais de “soigner” par toutes sortes de pratiques : recherche de sensations fortes, consommation d’alcool ou de stupéfiants, flirt avec la limite de la légalité, masturbation compulsive, etc… sans jamais dépasser une limite raisonnable.
Aujourd’hui, sentir ce désir, le laisser grandir, le laisser circuler dans mon être, c’est vraiment “un truc de ouf”, c’est jouissif. Et j’y insiste, bien avant toute forme d’orgasme.Cette nouvelle donne, effectivement, fait de moi un homme nouveau.
Je n’ai pas encore pu apprécier toutes les conséquences d’un tel changement, mon corps est encore partiellement dans l’ancien mode de fonctionnement, mais toutes ces pratiques citées plus haut sont vécues avec un gout amer, et n’apportent plus la même satisfaction. C’est comme ça que je m’en suis rendu compte : par l’affaiblissement de la satisfaction recueillie dans ces pratiques, dans la mesure où elles font baisser la tension de mon corps désirant.
Ce n’était pas un objectif que je m’étais fixé. C’est une conséquence de la pratique du massage prostatique, que je constate, après coup, que j’expérimente presque malgré moi.De plus, le massage prostatique, ou le massage pénien non éjaculatoire, ne vise pas l’apaisement, mais l’augmentation de cette sensation si particulière d’état vibratoire généralisé.
Bon cheminement à tous
17 septembre 2018 à 10 h 33 min #30512JieffeParticipantBonjour Epicture,
Ce sont d’excellentes nouvelles que tu nous donne là. Je suis content pour toi.
Le désir de désirer ne se concentre pas uniquement sur mon sexe. Ce n’est pas que de mon sexe qu’il s’agit, mais de mon corps tout entier
Je te comprends tout à fait, et voit tout à fait ce que tu veux dire. C’est une sensation très agréable.
Cette nouvelle donne, effectivement, fait de moi un homme nouveau.
Ce que j’observe au travers des témoignages des uns et des autres, c’est que chacun trouve un peu dans le massage prostatique ce qu’il veut y trouver. C’est une constatation que j’ai faîte récemment, et que je compte approfondir dans l’avenir.
Ce que je constate c’est que tu as trouvé un nouvel équilibre qui te satisfait davantage que ta situation précédente, et c’est déjà énorme.
Je suis vraiment content pour toi Epicture, continues de nous donner des nouvelles, elles font plaisir et sont très intéressantes.Bon cheminement Epiciture.
17 septembre 2018 à 18 h 43 min #30520bzoParticipantmasturbation compulsive,
c’est un cercle vicieux, la masturbation est pauvre,
essayer d’obtenir un soupçon de richesse avec, au-delà du soulagement provisoire de se vider les couilles,
est illusoire
et mène juste à cette escalade absurde que tu décris
où on augmente certains excès juste pour une très très minime intensification du plaisir lors de la masturbationc’est tellement court, le moment d’intensité qu’elle nous offre, la masturbation,
c’est totalement frustrant, totalement vainDe plus, le massage prostatique, ou le massage pénien non éjaculatoire, ne vise pas l’apaisement, mais l’augmentation de cette sensation si particulière d’état vibratoire généralisé.
il y a aussi de l’apaisement,
l’augmentation de cette sensation si particulière d’état vibratoire généralisé, pour reprendre ton expression,
apporte de l’apaisement indirectementcet apaisement non recherché,
est la conséquence d’un état de bien-être rare dans notre être,
un état d’ivresse, de festoiement généralisé tellement intense dans notre chair,
de sensations denses, riches, tellement épanouissantes,
qu’on est habité par une sorte de paix intérieure tout à fait étonnante,
on se sent bien , quelle luxuriance en nous,
moments d’apaisement divin,
on se sent en accord avec nous-même,
moments rares17 septembre 2018 à 20 h 06 min #30523EpictureParticipantcet apaisement non recherché,
est la conséquence d’un état de bien-être rare dans notre être,Que cet appaisement ne soit pas recherché c’est ca qui change tout !
La masturbation ejaculatoire vise plus l’apaisement que le plaisir. En plus c’est un.appaisement qui est tres éphémère, illusoire.
L’apaisement est une conséquence parmi bien dautre chose, parce que le plaisir libère de lobligation de resultat.18 septembre 2018 à 17 h 20 min #30559AndranerosParticipantTu nous disais il y a 4 jours @epicture :
Cependant, alors que les tensions ressenties du fait d’une absence d’éjaculation, étaient vécues comme désagréables, je les vis maintenant comme une source de plaisir. Il y a là une autre forme de basculement : je désire que mon sexe désire, sans vouloir le satisfaire.
Désormais tu gères ta libido pour maintenir ton excitation au plus haut au profit de tes sessions de plaisir prostatique. c’est un changement de paradigme ; tu as bien changé le carburant qui alimente tes sessions après avoir changé le moteur de tes orgasmes en passant du pénis à la prostate.
De session en session, les ondes vibratoires gagnent du terrain sur mon corps, à tel point qu’elles ne font plus seulement que partir de ma prostate pour remonter vers la tête, elles circulent dans un mouvement difficilement descriptible.
Nous prépares-tu une explosion atomique de ta jouissance ?
Tu nous dis hier :Le désir de désirer ne se concentre pas uniquement sur mon sexe. Ce n’est pas que de mon sexe qu’il s’agit, mais de mon corps tout entier. Je perçois de plus en plus mon corps tout entier comme désirant. Et sentir que ce corps, le mien, soit tendu de désir, c’est une sensation que je vis, au jour le jour, comme véritable source de plaisir.
A ton tour tu te réappropries ton corps comme organe de plaisir. C’est ce que je vis en disant que je me réconcilie avec mon corps. L’esprit et le corps sont à nouveau unifiés grâce à l’expérience de notre jouissance prostatique. Sans religion, sans guru, en toute simplicité.
Tu nous disais il y a quatre jours :Je vois ce monde qui tourne autour de moi, comme lancé dans une chute éperdue, et moi, je suis de plus en plus en suspension dans ce tourbillon, tout en étant extraordinairement lucide sur ce que je suis, et la place que j’y occupe.
Je pense en te lisant au commentaire que je fais à @jieffe sur sa perception du temps depuis le début de sa pause orgasmique. (Docteur Who)
Bon cheminement @epicture.
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