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20 sujets de 21 à 40 (sur un total de 189)
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  • #28700
    bzo
    Participant

    Le premier orgasme a été…violent. Quasi immédiat, pas eu besoin de quelconque technique de respiration, contractions ou autres. Non, il est parti direct, accélération tonitruante et dépassement de vitesse. Atomisé que j’étais. La tête enfouie dans l’oreiller pour masquer les gémissements.

    hé hé , me rappelle mon orgasme d’accueil, immédiatement dès que j’insérai le masseur

    le premier contact entre le masseur et ma prostate,
    comme s’ils étaient énormément heureux de se retrouver

    eh ben voilà, maestro,
    un vrai volcan,

    oui pour aller plus loin, il faut que tu puisses te lâcher complètement,
    crier, hurler si l’envie t’en prend,
    et il te prend déjà

    ces sons qui montent de ta chair en fête, il faut les laisser sortir, prochaine étape
    pour goûter encore plus pleinement ce plaisir, ces orgasmes,
    cela participe à monter encore plus haut

    j’adore m’entendre gémir, crier, râler, c’est très excitant,
    il faut pouvoir se lâcher à 100% de ce côté,
    à partir d’un moment pour goûter encore plus pleinement

    animal en rut, animal en chaleur,
    les cris vont baiser ta gorge, tes oreilles en sortant

    #28711
    Epicture
    Participant

    Moi j’en veux bien un peu de ton bonheur. Ce n’est pas que j’en ai besoin, mais comme c’est offert de bon coeur, je le prends avec plaisir.
    Continue comme ça @Jieffe, tu es l’exemple vivant que ce cheminement, malgré les obstacles, vaut la l’effort et la persévérance.

    #28716
    Andraneros
    Modérateur

    C’est fantastique @jieffe. J’ai l’impression que depuis le 11 juin tu es aspiré dans une monstrueuse spirale orgasmique. Tu sembles passer par une phase de progression exponentielle. Je remarque que c’est la deuxième fois que tu utilises l’adjectif « violent » pour décrire tes orgasmes. La première était le 12 juin dans une comparaison. C’est la première fois que tu l’utilises dans une expression absolue. Tu semblais encore sous le coup de l’urgence ce matin pour nous offrir ton témoignage avant même peut-être de finir ton café. Tu as vraiment changé de stature orgasmique !

     Le premier orgasme a été…violent. Quasi immédiat, pas eu besoin de quelconque technique de respiration, contractions ou autres. Non, il est parti direct, accélération tonitruante et dépassement de vitesse. Atomisé que j’étais…

    Tu décris ce moment comme si ton orgasme était déjà en toi avant même la première stimulation. Si cette expérience se reproduisait régulièrement à l’occasion de tes prochaines sessions, ce serait le signe d’une reprogrammation (« rewiring ») très profonde susceptible de te conduire très loin de que tu connais.

    Les orgasmes qui ont suivis… ont été moins intenses, mais très (très) intenses tout de même.

    Si tes orgasmes « très (très) intenses » sont moins intenses que ce que tu as vécu pendant le premier, il était vraiment exceptionnel. Mais j’ai l’impression que tes orgasmes « normaux » qui ont suivi étaient en fait au niveau, voire au dessus, de tes précédents orgasmes « exceptionnels ».

    Je ne sais pas combien il y en a eu, mais ils se sont enchaînés les uns derrière les autres, presque sans temps mort, durant 1h20. Ma plus longue séance à ce jour.
    Ils se sont donc enchaînés sans temps mort, jusqu’à ce qu’ils se calment pour de bon. C’est à ce moment là que j’ai décidé d’arrêter, mais je pense que j’aurais pu continuer.

    Et tu dis que tu aurais pu continuer si tu l’avais voulu ! J’ai l’impression qu’en ce moment tu es en plein conditionnement orgasmique et que la phase d’imprégnation intensive porte ses fruits au-delà même de ce que j’espérais pour toi. C’est fantastique. Je suis vraiment heureux de constater ton bonheur et ta joie.

    Pffff, c’est magique.
    C’est magique.

    Bien sûr ! Mais c’est toi le magicien @jieffe. Tu vis la récompense de ton application et de ta patience.

    Il est possible qu’une telle succession d’orgasmes profonds te fasse travailler des muscles qui n’ont pas (encore) l’habitude de subir de tels efforts, surtout si tu enchaînes les sessions. Il serait donc normal que sentes quelques courbatures sans que cela ne soit le signe d’un problème. Si c’est le cas tout s’efface avec quelques jours de repos. J’ai connu de tels passages et je suis toujours en vie.

    Bon cheminement @jieffe.

    #28730
    Jieffe
    Participant

    Bonjour à tous,

    Oui Epicture, c’est offert de bon cœur, profites 🙂
    Et oui, je te confirme, ça vaut le coup de persévérer.

    @bzo

    crier, hurler si l’envie t’en prend,
    et il te prend déjà

    AH oui, ça me prend déjà. Je l’ai déjà évoqué par le passé, mais là ça se précise, et ça devient de plus en plus difficile à retenir. Le problème est qu’il y a une enfant à la maison, et les cris de jouissance ne me semblent pas appropriés. IL va ma falloir aller dormir à l’hôtel bientôt….

    j’adore m’entendre gémir, crier, râler, c’est très excitant,

    Et bien ça, je ne connais pas encore, mais il est vrai que ces cris restent bloqués dans ma gorge. D’une part cela me demande des efforts et de l’énergie, et cela me demande également de conserver un certain contrôle, alors que je pense qu’il me serait très bénéfique de le perdre complètement, ce contrôle.
    Mais bon, c’est déjà quelque chose à vivre, une grande chance.

    @Andraneros

    tu es aspiré dans une monstrueuse spirale orgasmique. Tu sembles passer par une phase de progression exponentielle

    Je ne sais pas et j’ai toujours la crainte de m’asseoir dans des certitudes par peur de les perdre. Mais oui, on peut dire qu’en ce moment ça marche bien pour moi en ce moment de ce côté là. J’ai l’impression que la progression se fait par à coup. Il me semble franchir un palier, y rester un petit moment, puis franchir de nouveau un palier. C’est un peu de cette façon que je vois ma progression depuis la création de ce journal.
    Mais c’est génial.

    Tu semblais encore sous le coup de l’urgence ce matin pour nous offrir ton témoignage

    Oui, c’est exactement ça 🙂
    Bon, pas pour le café, je n’avais rien pour écrire sous la main, mais dès que ça a été le cas, j’ai pris 2 mn pour vous écrire.

    Tu décris ce moment comme si ton orgasme était déjà en toi avant même la première stimulation

    Je ne sais pas, mais il ne m’a même pas laissé le temps… de rien en fait. Pas de relaxation, pas de respiration, pas de contractions volontaires. Un petit peu effectivement comme si mon corps n’attendait plus que le masseur pour jouir. Avec le recul, cela me fait penser à ces scènes de cinéma dans lesquelles un homme a rendez vous avec une femme, premier rendez vous. il arrive avec des fleurs, pense qu’il va y avoir toute une phase de séduction. IL a peut-être même préparé son discours, et sitôt qu’elle lui ouvre la porte, elle se jette sur lui pour faire l’amour.
    Et bien, c’est un peu ça, il n’y a pas eu de discours hier soir. Viens ici et baise moi…. 🙂
    Hier j’ai écrit que dès mon réveil j’ai eu envie de faire une séance le soir. Cette envie ne m’a pas quitté de la journée. Ceci explique certainement cela.
    Comme j’ai expliqué également mon manque de libido, et son timide retour que je sens poindre, j’ai remarqué que les séances sont bien meilleures lorsque j’ai envie que lorsque je les fais dans un but d’entraînement. Mais ces séances d’entraînement ont été absolument nécessaires, et le seront peut-être encore. Je pense que c’est grâce à elle que ma libido revient, avec elle des séances meilleures et plus fréquentes et donc une meilleure libido.
    Un cercle vertueux en quelque sorte.

    Mais j’ai l’impression que tes orgasmes « normaux » qui ont suivi étaient en fait au niveau, voire au dessus, de tes précédents orgasmes « exceptionnels »

    Oui, sans aucun doute. Au moins autant, sinon plus.
    Une excellent séance, d’une heure vingt sans arrêt… qu’en j’y pense….

    Et tu dis que tu aurais pu continuer si tu l’avais voulu

    Je pense, je n’en suis pas certain, mais j’étais vraiment épuisé, comblé. Tu vois ce que je veux dire? Allongé sur le lit, tentant de reprendre mon souffle, les bras en croix à regarder le plafond et à me demander ce qu’il venait de se passer.

    la phase d’imprégnation intensive porte ses fruits

    Oui, sans aucun doute Andraneros. Je l’ai écrit un peu plus haut. Et je vais conserver ces séances d’entraînement si besoin.

    Il est possible qu’une telle succession d’orgasmes profonds te fasse travailler des muscles qui n’ont pas (encore) l’habitude de subir de tels efforts,

    Oui, ça je te confirme que mes muscles travaillent, et en particulier les abdominaux. Je n’ai pas à me plaindre de ce côté là (je ne dis pas que je suis Schwarzy non plus), mais ça fait un petit moment qu’ils n’ont pas travaillé comme ça. Je connais bien les courbatures, qui surviennent en général 24h après et atteignent leur apothéose après 48h. Mais elles ne m’empêcheront pas de pratiquer si je le souhaite. Je te tiendrai au courant, je trouverai ça drôle.

    Une dernière chose que je n’ai pas précisé, c’est que je n’ai pas eu d’érection pendant les dernières séances (mais j’en ai eu en dehors, rassurez vous!! ). C’est juste une information pour les nouveaux qui passerait par là.

    Je vous remercie pour vos gentils messages, qui me font toujours plaisir. 🙏

    #28733
    bzo
    Participant

    j’adore m’entendre gémir, crier, râler, c’est très excitant,

    Et bien ça, je ne connais pas encore, mais il est vrai que ces cris restent bloqués dans ma gorge. D’une part cela me demande des efforts et de l’énergie, et cela me demande également de conserver un certain contrôle, alors que je pense qu’il me serait très bénéfique de le perdre complètement, ce contrôle.
    Mais bon, c’est déjà quelque chose à vivre, une grande chance.

    c’est parce que tu ne vis pas encore assez dans l’instant ton plaisir,
    tu le reçois trop passivement
    mais c’est une étape,
    une fois que tu y seras plus habitué,
    tu deviendras plus interactif avec lui, plus activement réceptif,
    il ne faut pas confondre avec accueillir passivement le plaisir, l’orgasme,
    ce n’est pas la même chose, en tout cas chez moi,
    s’ouvrir à eux, se laisser aller à son plaisir, c’est être au plus près,
    c’est être interactif avec son plaisir, avec son orgasme

    c’est user ses sens, par exemple:

    voir son plaisir,
    c’est pour cela que j’ouvre régulièrement les yeux,
    pour voir ce corps en action,
    pour voir mes seins agrippés, caressés par mes mains,
    pour voir la houle lascive dans mes hanches,
    pour voir ce corps délirer,
    ce corps habité par le plaisir , en mouvement

    entendre son plaisir,
    c’est écouter au passage les sons qui sortent de notre gorge,
    qui montent de nos entrailles,
    qui expriment le plaisir de notre chair en fête

    tout ce plaisir que tu éprouves dans l’instant,
    il passe aussi dans tes gémissements, tes râles, tes cris, tes halètements,
    les entendre, c’est déguster le plaisir qui les habitent, une seconde fois

    ouvrir les yeux et en même temps les oreilles ponctuellement,
    c’est s’imbiber de tous ces sons exprimant notre plaisir
    et voir quelques instants ce corps en action, ces mains caressant, empoignant, frottant,
    c’est décupler notre plaisir dans l’instant

    cela ne dure pas forcément longtemps,
    en général je n’ouvre les yeux que quelques secondes,
    je suis mes mains sur ma peau, je vois mon bassin bouger
    et déjà je referme les paupières
    pour plonger à la suite de mon plaisir

    les sons, c’est plus automatique, c’est juste une habitude à prendre,
    c’est se rendre compte qu’ils sont là
    et qu’ils expriment notre plaisir, que les entendre c’est entendre notre plaisir en action

    mais il ne faut pas forcer bien sûr, cela viendra
    mais il faut avoir conscience que ce sont des possibilités
    qu’on peut exploiter dans le courant de notre pratique

    c’est devenir de plus en plus sensible aux caresses et aux mouvements aussi
    et plus particulièrement ceux dans le bassin,
    cela veut dire projeter son attention, sa concentration,
    là où cela se passe
    car même si le plaisir est ressenti dans tout le corps,
    il y a toujours un point chaud ou deux, pas plus
    d’où partent les sensations dans le moment,
    bien les identifier, les localiser
    et pouvoir les suivre quand ils se déplacent,
    c’est être au plus prêt de son plaisir
    mais cela viendra aussi, chaque chose en son temps

    s’ouvrir à notre plaisir, ce n’est pas passif en ce sens
    que cela implique une interactivité subtile,
    c’est un mouvement intérieur aussi, par exemple,
    on va à sa rencontre, on se jette dans les bras ,
    on le suit à la trace en nous comme une chienne affamée de plaisir suit son bâtard
    pour qu’il vienne la monter aussi souvent que possible

    mais là aussi, ne t’inquiètes pas, cela viendra au temps voulu,
    c’est une écoute intérieure, je parle d’une écoute intérieure,
    on détecte le plaisir qui s’éveille quelque part en nous
    et on va à sa rencontre, on se jette sur lui comme une groupie

    c’est donc une sorte de réactivité intérieur,
    on démarre au quart de tour,
    avec le plaisir prostatique, il faut être deux,
    ta prostate et toi, c’est une lutte amoureuse,
    le masseur te sert d’intermédiaire
    mais ce n’est pas le seul,
    tu as tes mains, tout ton corps en fait

    ton corps est en même temps réceptacle de ton plaisir
    mais doit devenir de plus en plus acteur aussi de celui-ci

    je t’embrasse et te souhaite tout le plaisir du monde, cher @jieffe

    #28735
    Andraneros
    Modérateur

    Ce soir, @jieffe, ni pression, ni attente, seulement un bon moment de détente, en paix avec toi-même, avec ou sans masseur, avec ou sans orgasme… N’oublie pas l’essentiel.

    Bon cheminement @jieffe.

    #28951
    Jieffe
    Participant

    Bonjour à tous,

    Je donne quelques nouvelles, qui n’en sont pas. Enfin, rien de bien intéressant. Il semblerait que l’ensemble des éléments de la terre et du ciel se sont mis d’accord pour m’empêcher de pratiquer. Rien de grave ni de bien méchant, mais chaque soir de la semaine dernière m’a apporté son lot d’emmerdes pour que je ne puisse pas envisager sereinement de séance. Je pensais en être sorti, et rebelote hier soir, le petit grain de sable qui paralyse la machine.
    Le côté positif de cela, c’est que l’excitation monte.

    bzo, je reprends ton message que tu as posté à mon intention sur la discussion d’Happy Ellis. Je ne tiens pas à squatter son fil.

    Oui, c’est exactement ça. Enfin, pour ce qui me concerne. Ne cherches pas à savoir pourquoi tu cries, pourquoi tu gémis, pourquoi tu bouges comme ça…. Ne cherches même pas à savoir ce que tu fais, si tu bouges, si tu bandes, si tu éjacules…

    cela me fait vraiment plaisir de lire cela sous ta plume, @jieffe,
    tu es vraiment sur la bonne voie et bien engagé, bien loin

    Je te remercie, c’est gentil. Oui, j’ai bien identifié que plus je laisse faire, mieux c’est. Cependant, il y a quelque chose que je n’arrive pas à identifier, que je ne m’explique pas. Lorsque le plaisir arrive, je déconnecte le cerveau, les muscles…etc et passe en pilotage automatique. Les contractions, mouvements, caresses se gèrent tout seul, je n’interviens pas. Mais je pense qu’il me manque une étape. Lorsque le plaisir devient intense, qu’il grandit, il semblerait qu’il subsiste une part de retenue alors que ce n’est absolument pas mon intention, et que je n’en suis absolument pas conscient.
    Pour que les choses soient bien claires, je suis très satisfait de ce que j’ai vécu, et les orgasmes que j’ai connu étaient très intenses, extrêmement bons. Mais je ne sais pas pourquoi, bien que ce soit mon souhait le plus cher, il me semble que je ne parviens pas à un abandon total. C’est assez difficile à transcrire. Pourquoi ai je cette impression, ou cette intuition peut-être?
    Peut-être est ce la peur souvent mentionnée dans les témoignages. Mais consciemment je n’ai aucune crainte, et bien au contraire, je suis prêt à plonger dans l’inconnu.
    Ceci dit, l’inconnu je l’ai connu, une partie tout au moins. Quand on se demande ce qu’il vient de nous arriver, ou que le lendemain on se demande si tout ça était bien réel, c’est bien que nous avons navigué dans des eaux inconnues.
    Et pendant les orgasmes que j’ai connu idem. J’avais vraiment l’impression d’être déconnecté de la réalité, et ce n’est que le lendemain que j’en ai pris conscience, quand j’ai eu du mal à me souvenir des détails de la séance.
    Alors pourquoi ai je cette impression? Pêut-être suis je encore trop attentif à essayer d’observer ce qu’il se passe? Ça n’est pas impossible, une conséquence de la nouveauté qui s’estompera avec la pratique.
    Ça me parle assez. Ce dialogue avec moi même m’a apporté un élément de réponse :), mais j’attends vos avis avec impatiente.

    Oui Andraneros

    N’oublie pas l’essentiel.

    ne pas oublier l’essentiel, mais compte tenu du manque, ça ne va pas être facile!
    Je vais me souvenir de tes mots.

    #28954
    Andraneros
    Modérateur

    Tu nous dis @jieffe :

    Lorsque le plaisir arrive, je déconnecte le cerveau, les muscles…etc et passe en pilotage automatique. Les contractions, mouvements, caresses se gèrent tout seul, je n’interviens pas. Mais je pense qu’il me manque une étape. Lorsque le plaisir devient intense, qu’il grandit, il semblerait qu’il subsiste une part de retenue alors que ce n’est absolument pas mon intention, et que je n’en suis absolument pas conscient.

    Je ne suis pas étonné que tu aies cette impression.

    D’une part, selon la description des conditions dans lesquelles tu fais ta séance de massage prostatique tu manques d’intimité. Tu parviens à prendre le temps sur ton sommeil, mais tu ne peux pas te laisser complètement aller au risque de gémir ou de crier ce qui te vaudrait d’être interrompu aussitôt par toute une famille inquiète, ou jalouse ou simplement mécontente de la gêne que tu crées. Quand tu entres en phase orgasmique, tu parviens maintenant à faire le vide pour que tout le champs de ta conscience soit ouvert à ta jouissance, tout sauf cette contrainte de discrétion.

    D’autre part tu viens a peine de découvrir l’intensité que ta jouissance peut atteindre. En outre nous te disons et tu peux lire par ailleurs que très probablement cette expérience sera encore plus intense bientôt ou un peu plus tard. Indépendamment des conditions mentionnées dans le paragraphe précédent, il me paraît normal que tu sois inconsciemment inquiet de ce qui peut se passer.

    De nombreux débutants beaucoup moins avancés que tu ne l’es se contractent et bloquent la montée de leurs premiers plaisirs prostatiques, qui sont pourtant moins intenses que ce que tu vis. Ils apprennent à se relâcher encore plus et sont récompensés par des plaisirs plus intenses, plus longs, plus étendus.Tu es déjà passé par une telle phase. Tu parviendras à franchir cette barrière quand tu seras prêt. Je n’aie aucun doute à ce sujet.

    il semblerait qu’il subsiste une part de retenue alors que ce n’est absolument pas mon intention, et que je n’en suis absolument pas conscient.

    Tu ne précises pas si cette pensée t’obsède pendant ta session, pendant tes orgasmes, ou bien entre tes orgasmes, quand le délirant Mr Jihyde est aux commandes, ou bien si elle te vient après le dernier orgasme, quand tu redeviens capable de penser en tant que Dr Jiefkyl raisonnable dans sa vie quotidienne en famille et au bureau ?

    Si c’est pendant, reproduis simplement tes séances, en acceptant cette impression comme normale, naturelle. Profite du plaisir que tu mérites, prends l’habitude de jouir en pensant à ce que vis maintenant en comparaison avec ce que tu vivais avant de pratiquer le massage prostatique. Quand ce n’est pas le bon jour, tu fais une simple séance d’entraînement, sans objectif orgasmique. Peu à peu ton cerveau laissera ton corps s’exprimer comme il l’a toujours fait jusqu’à maintenant. C’est une question de temps, de patience et de confiance.

    Si c’est après, c’est une barrière intellectuelle que tu mets en place, peut-être pour justifier ta timidité, une certaine forme de peur, une appréhension des conséquences que cette expérience d’une jouissance aussi intense, aussi profonde, peut avoir sur ta vie dans les prochains mois ou prochaines années. Je perçois cette forme d’inquiétude depuis tes premiers messages. Elle est légitime mais elle ne doit pas te conduire à penser que ton évolution n’aura que des effets négatifs.

    Je te fais une dernière suggestion. Cette pensée ressemble à un nouveau plafond de verre. As-tu imaginé qu’elle te vient, comme celle du plafond de verre, parce que ton corps et ton cerveau te passent le message que bientôt ils seront prêts à t’envoyer, non pas dans la seule stratosphère, mais bien au-delà et que tu dois te préparer à cette idée avec gourmandise pour en tirer tous les bénéfices ?

    Bon cheminement @jieffe.

    #28957
    Jieffe
    Participant

    @andraneros

    Tu as peut-être raison aussi. Le fait que je sois conscient d’être obligé de me contrôler ne doit pas aider.

    il me paraît normal que tu sois inconsciemment inquiet de ce qui peut se passer.

    Je n’en suis alors vraiment pas conscient. J’ai plutôt conscience d’être désireux de le découvrir.

    Tu ne précises pas si cette pensée t’obsède

    Cette pensée, qui n’est qu’une impression, ne m’obsède absolument pas, ni pendant ni après mes séances. C’est simplement un ressenti, dont j’ignore si seulement il est fondé. C’est peut-être tout simplement parce que je découvre, et je pense vraiment qu’avec la pratique cette impression va s’envoler.
    J’ai remarqué une chose dans ce cheminement, c’est qu’à chaque fois que tu fais un pas en avant, tu es tellement émerveillé que tu t’arrêtes là. La fois suivante, tu es moins surpris parce que tu l’as déjà vu, et tu peux avancer un peu plus loin où le phénomène se reproduit.
    C’est un peu comme une petite fille qui adore les poupées, et qui pousse une porte derrière laquelle se trouve un palais rempli de poupées plus belles les unes que les autres. Sitôt la porte passée, elle est subjuguée et émerveillée. Tellement émerveillée qu’elle ne peut plus faire un pas. Une fois la surprise passée, elle peut alors avancer.
    C’est un peu de cette façon que je vois ma progression.

    une certaine forme de peur, une appréhension des conséquences que cette expérience d’une jouissance aussi intense, aussi profonde, peut avoir sur ta vie dans les prochains mois ou prochaines années. Je perçois cette forme d’inquiétude depuis tes premiers messages

    Alors ça ça m’intéresse. C’est curieux que tu es ressenti une forme d’inquiétude, car en fait, je pense que le plaisir prostatique, une fois que j’aurais obtenu plus de consistance dans mes séances, une fois surtout que je l’aurais complètement intégré à ma vie quotidienne, qu’il fera parti de mes journées, ou au moins de mes semaines, ne pourra me transformer si transformation il y a qu’en quelqu’un de meilleur, pour moi et pour les autres. Il occupe déjà beaucoup mes pensées, mais pas suffisamment ma vie.
    J’ai déjà touché du doigt ces sensations suite à mes séances les meilleures. Ça ne perdure pas parce qu’il ne fait pas encore entièrement partie de ma vie, pas complètement, pas totalement. Non, je ne pense pas avoir imaginé que mon évolution ne pourrait avoir que des conséquences négatives. Mais c’est très intéressant, parce que si tu l’as ressenti, c’est que je l’ai exprimé au travers de mes écrits. Il y a alors certainement une piste à creuser.

    As-tu imaginé qu’elle te vient, comme celle du plafond de verre, parce que ton corps et ton cerveau te passent le message que bientôt ils seront prêts à t’envoyer, non pas dans la seule stratosphère, mais bien au-delà et que tu dois te préparer à cette idée avec gourmandise pour en tirer tous les bénéfices ?

    Non, je ne l’avais pas imaginé avant que tu me le suggères, mais cela fait écho en moi. 🙂

    Mais je le répète, mon message ne se voulait pas alarmiste. Cela ne m’obsède pas, vraiment pas. Le message de bzo m’y a fait penser, voilà tout. Disons que pour le moment, je n’ai pas d’inquiétude à ce sujet, mais je ne regrette pas de vous en avoir fait part, tes suggestions et analyses sont très intéressantes, je t’en remercie.

    #28958
    Epicture
    Participant

    J’avais l’intention d’en parler dans mon sujet sur la prostate et philosophie, mais ce que vous dites là m’oblige à insérer dans votre réflexion un élément supplémentaire : La jouissance.

    La jouissance est définie comme un plaisir vécu pleinement, comme un plaisir arrivant à son paroxysme.
    Du coup, si le plaisir est plein, qu’autrement dit il n’y a plus rien à remplir, on sort du domaine du plaisir.
    S’ouvre là alors une béance, un gouffre, entre le plaisir arrivant à son paroxysme, mais encore vécu comme un plaisir, quelque chose de quantifiable, dont on peut dire qu’il est plein, ou vide, ou à moitié, ou pas tout fait, et la jouissance, qui échappe à toute forme de contrôle, de quantification, où l’on ne sait finalement ce que l’on va y rencontrer, ni véritablement ce qu’on y a rencontré.

    Je me réfère là à une conférence que je n’ai pas fini d’écouter de François Jullien intitulée, “Du plaisir à la Jouissance”. C’est d’un haut niveau intellectuel, il faut s’accrocher, mais il y matière à alimenter notre réflexion. Au passage, Ce philosophe est spécialiste des cultures orientales, et en particulier chinoise. Son œuvre est considérable.

    http://www.bnf.fr/fr/evenements_et_culture/anx_conferences_2017/a.c_171206_philosophie.html

    Bon cheminement à vous deux @Jieffe et @andraneros

    #28979
    Jieffe
    Participant

    Bonjour Epicture,

    Pas trop de temps en ce moment (la phrase à la mode) mais j’écouterai la conférence. Ça a l’air très intéressant.

    #29135
    Jieffe
    Participant

    Bonjour à tous,

    Très content ce matin, de retour après 15 jours d’abstinence. Non volontaire, mais c’est comme ça, les aléas de la vie. Me voici donc de retour dans l’arène, et bien décidé à ne plus la quitter.
    Très bonne petite séance hier soir. J’en ai connu des meilleures, mais c’était une excellent remise en jambe. Ouaip, du plaisir à foison, ponctué de quelques mini O’ je dirais.
    Mon Dieu que c’est bon et mon Dieu que ça fait du bien. (Je ne suis pas particulièrement croyant, c’est l’effet superlatif que je recherche).
    Y’a pas à tortiller, on se sent bien le lendemain matin. Heureux, on aime tout le monde. Enfin, c’est mon cas.

    Toujours la même méthode, relaxation rapide et respiration abdominale. Les effets ne se sont pas faits attendre, la séance a démarré sur les chapeaux de roues. C’est d’ailleurs l’erreur que j’ai faite, de ne pas la laisser partir. Je voulais profiter, laisser monter la mayonnaise doucement. J’ai ralenti la montée en puissance, et je pense que je l’ai bloquée. Pas grave, le plaisir a coulé à flots et je pense bien que ce sont des mini O’ que j’ai connu.
    Je me suis aussi doucement caressé ma petite noix d’amour (faut bien commencer 🙂 ) avec quelques contractions, doucement, très doucement, délicatement, subtilement… c’était divin.

    Ah si, une chose: est ce que les Aneros sont testés mécaniquement? Je m’explique, avec la pression (involontaire) que je leur mets parfois, je me demande s’ils vont tenir le choc. Mes sphincters sont surpuissants, et ou les butées cassent, ou je les coupe en deux… 🙂

    Ah, quel plaisir d’y revenir.

    Je vous souhaite à tous un excellent cheminement et tout plein de bonnes choses.

    #29138
    Andraneros
    Modérateur

    Tu me donnes l’impression, @jieffe, que le temps que tu consacres à tes sessions de massage prostatique fait désormais partie de ta vie quotidienne, même si les « aleas de la vie » ne t’offrent pas cette liberté tous les jours. Tu as fait hier cette session, après deux semaines d’interruption, comme si la précédente datait d’avant hier et que tu les enchaînais tout à fait normalement.

    Très bonne petite séance hier soir. J’en ai connu des meilleures, mais c’était une excellent remise en jambe. Ouaip, du plaisir à foison, ponctué de quelques mini O’ je dirais.
    Mon Dieu que c’est bon et mon Dieu que ça fait du bien.

    Je suis très heureux de lire qu’après une interruption aussi longue tu aies pu engager ta session aussi naturellement, apparemment sans appréhension, sans tension, sans hésitation.

    Toujours la même méthode, relaxation rapide et respiration abdominale. Les effets ne se sont pas faits attendre, la séance a démarré sur les chapeaux de roues.

    Tu n’as plus besoin de compter, de décomposer, de forcer ton attention. Tu ne cherches plus ta prostate. Tu ne te poses plus de questions sur les contractions volontaires ou involontaires. Les pièces du puzzle sont en place, les gestes et les positions sont devenus naturels. Quand tu te mets en mode massage prostatique, tu deviens une machine à orgasmes. Comme pour la machine à expresso tu choisis la préparation (le masseur), tu appuies sur le bouton (ta ” petite noix d’amour “) et tu n’as plus qu’à déguster toutes les saveurs qui viennent stimuler tes papilles.

    C’est d’ailleurs l’erreur que j’ai faite, de ne pas la laisser partir. Je voulais profiter, laisser monter la mayonnaise doucement. J’ai ralenti la montée en puissance, et je pense que je l’ai bloquée. Pas grave, le plaisir a coulé à flots et je pense bien que ce sont des mini O’ que j’ai connus.

    C’est l’expérience qui entre. Comme le montre @bzo dans ses messages, tu essaies quelque chose, c’est décevant, tu oublies, c’est bon voire divin, tu l’adoptes. Cette manière de vivre tes moments de plaisir montre que tu as maintenant une belle maîtrise même si tu as encore beaucoup de découvertes à faire.

    Cette jouissance se renouvelle à volonté, si ce n’est pas immédiatement ce sera lors de la session suivante. Tu n’as donc pas besoin de ralentir la montée de ton plaisir. Laisse-toi emporter. La durée de ton plaisir augmentera naturellement, soit le long de ta session, soit au fil de tes sessions. Si tu veux capter les détails de chaque instant, je pense que tu le feras mieux en te laissant emporter qu’en essayant de contrôler. En te relâchant encore plus tu ouvres ton espace corporel et mental à toutes les micro-sensations et tu leur offres la liberté d’occuper le premier plan de ta conscience.

    Je me suis aussi doucement caressé ma petite noix d’amour (faut bien commencer) avec quelques contractions, doucement, très doucement, délicatement, subtilement… c’était divin.

    On va te demander plus de détails. En attendant je ne te dis qu’une seule chose, recommence le plus souvent possible !

    est ce que les Aneros sont testés mécaniquement? Je m’explique, avec la pression (involontaire) que je leur mets parfois, je me demande s’ils vont tenir le choc. Mes sphincters sont surpuissants, et ou les butées cassent, ou je les coupe en deux… 

    As-tu déjà cassé les butées de tes Aneros sous la seule force de tes spincters ? Ça ne m’est jamais arrivé. Le seul bris que j’ai connu est celui de mon premier Prograsm causé par une chute sur un des pieds à roulettes de mon fauteuil de bureau. Je n’ai pas encore lu de messages sur les forums spécialisés concernant un tel accident. Si ton masseur a subi une choc violent, en dehors de tes sessions, je comprends que tu souhaites le changer par précaution, pour le cas où il y aurait une fêlure du plastique.

    Ah, quel plaisir d’y revenir.

    Quel bonheur de te lire ! Bon cheminement @jieffe.

    #29146
    Jieffe
    Participant

    Bonjour Andraneros,

    Tu me donnes l’impression, @jieffe, que le temps que tu consacres à tes sessions de massage prostatique fait désormais partie de ta vie quotidienne

    Et bien en fait, c’est toute la difficulté. En réalité je pense beaucoup au massage prostatique tout au long de mes journées, que je pratique ou non. Mon plus cher désir aujourd’hui est de l’envisager comme quelque chose d’incontournable de mes journées. Ce matin plus que jamais, c’était une évidence pour moi: ce soir et les soirs qui suivront feront l’objet d’une séance. Comme la prière du soir ou l’heure de sport en salle, mais il me faut reconnaître que cette certitude s’estompe avec les tracas quotidiens. Même si cette sensation est toujours présente à l’heure ou j’écris ces lignes, elle est moins prégnante que ce matin. Peut-être reviendra t’elle à son intensité en fin de journée, quand la houle se sera calmée.
    Mais oui c’est mon plus grand désir, ça n’est pas encore totalement le cas mais je pense que ça en prend le chemin.
    C’est tellement bon, ça apaise tellement, ça fait voir les choses du bon côté. On se sent tellement bien le lendemain matin, et ça fait oublier les tracas quotidiens justement.
    Mais pour cela, il faut l’étincelle qui vaincra la fatigue de fin de journée, et j’ai déjà expliqué mes problèmes de libido, qui tend à revenir petit à petit.
    Ce qui est très clair, c’est que ce matin en rangeant mon fatras de la veille, j’étais fermement décidé à recommencer ce soir. Et je le suis toujours, c’est juste un peu moins pressant. Normal me diras tu? Et tu aurais raison!

    Je suis très heureux de lire qu’après une interruption aussi longue tu aies pu engager ta session aussi naturellement, apparemment sans appréhension, sans tension, sans hésitation.

    Ah ben j’en avais bien envie. Ce n’était pas la première fois depuis 15 jours que j’en avais envie, mais c’était la première fois que l’envie était aussi forte. Je n’avais effectivement pas d’appréhension, même si je souhaitais tout de même ressentir du plaisir à minima. Mais je l’ai envisagée comme une séance de relaxation, de détente et de bien être après une journée de travail.
    Tu as tout à fait raison, et j’en prends conscience maintenant (merci 👍), je n’avais aucune appréhension, alors que ça n’a pas toujours été le cas. Diable, je n’avais pas noté ce détail.
    Ni tension ni hésitation non plus. Mais pas d’appréhension. C’est très important, parce que l’appréhension m’a empêché quelque fois de pratiquer, ne le nions pas. La peur de ne rien ressentir, la peur que ça ne fonctionne pas… alors on préfère remettre au lendemain. Mais le lendemain, c’est pareil!!!
    Merci Andraneros d’avoir mis le doigt dessus.

    Tu n’as plus besoin de compter, de décomposer, de forcer ton attention. Tu ne cherches plus ta prostate. Tu ne te poses plus de questions sur les contractions volontaires ou involontaires. Les pièces du puzzle sont en place, les gestes et les positions sont devenus naturels

    Sans forcer mon attention, je reste polarisé sur ma prostate et/ ou mon bas ventre. Mais oui, tout est beaucoup plus naturel. L’étape relaxation par exemple a été complètement squizzée. Je ne dis pas que c’est bien, ni que c’est ce qu’il faut faire, mais c’est comme ça, je n’ai rien géré du tout 🙂

    Tu n’as donc pas besoin de ralentir la montée de ton plaisir.

    En fait ce n’était pas un besoin, mais un désir, comme pour laisser monter doucement la tension. J’aime quand ce genre de plaisir arrive doucement. Et il a déboulé à une telle allure, à peine Lulu installé et une première inspiration, le voilà qui pointe le bout de sa queue fourchue. J’ai voulu le calmer un peu pour profiter calmement de sa venue. Mais tu as raison, j’aurais d le laisser monter, et peut-être que cette arrivée que j’ai jugé tonitruante était une façon polie d’annoncer la tornade qui se préparait. Comme je l’ai calmé, il a baissé d’un cran les curseurs, et de tornade nous sommes passé à tempête de bords de côte. Certainement.
    Je vais suivre tes conseils dans l’avenir, conseils que je connais déjà pourtant…. Mais je ne regrette pas, c’était excellent et comme tu le dis:

    Cette jouissance se renouvelle à volonté, si ce n’est pas immédiatement ce sera lors de la session suivante

    Je me suis aussi doucement caressé ma petite noix d’amour (faut bien commencer) avec quelques contractions, doucement, très doucement, délicatement, subtilement… c’était divin.

    On va te demander plus de détails

    Oh ben tout simplement, avec des contractions anales, rectales et périnéales certainement. J’appliquais doucement le masseur contre ma prostate et le bougeait doucement de façon à ce qu’il la chatouille. Rien de révolutionnaire, mais une recette qui fonctionne plutôt bien.

    As-tu déjà cassé les butées de tes Aneros sous la seule force de tes spincters ?

    C’était surtout une boutade Andraneros, parce que je ne contrôle pas mes sphincters dans les phases orgasmiques. Je les laisse gérer les contractions, en fréquence et en intensité, et par moment, ils pressent vraiment fort. Je ne ressens pas de douleur, mais je sens bien que la pression est forte. Non, je ne crains pas que mes sphincters soient si puissants qu’ils parviennent à rompre un Aneros. Ce serait une première!!! 🙂

    tu as maintenant une belle maîtrise
    Quel bonheur de te lire

    Merci Andraneros, tes messages sont toujours constructifs, rassurants, et font plaisir à lire. Je l’ai déjà dit par le passé, mais j’ai envie de le répéter, merci Andraneros de ta présence, de tes conseils et de ta bienveillance. Tu mets souvent le doigt sur des points qui auraient pu nous échapper, et qui nous font avancer.

    Je te souhaite une excellent journée. À bientôt.

    #29152
    Jieffe
    Participant

    Bonjour à tous,

    Nouvelle petite séance hier soir. Rien d’extraordinaire ni de révolutionnaire, moins intense que la précédente, mais bien agréable. Le plaisir était présent, et peut-être 2 – 3 mini O’, et je suis content.
    Je commence il me semble à gagner en confiance. Je reconnais aujourd’hui avoir eu cette crainte de l’échec qui tend à s’estomper avec les succès divers et variés que j’ai connus. Cette crainte finissait par me persuader que je n’étais pas dans les bonnes conditions, que je ne parviendrais à rien parce que trop fatigué, pas assez excité…etc. En fait toutes ces excuses ne servaient que cette peur de l’échec et de la frustration qui en découle.
    C’est ainsi que je le vois aujourd’hui, et il me semble qu’elle a tendance à disparaître. J’ai l’impression que ma vision de ma pratique est en train de changer, dans le bon sens. Il me semble que je l’envisage avec plus de confiance, et donc plus de sérénité. Je reste cependant confiant qu’il y aura d’autres échecs, mais je ne les aborde pas de la même façon.

    Ce n’est pour le moment qu’une impression, que je confirmerai (j’espère) dans l’avenir.

    Je vous souhaite à tous une excellente journée et tout plein de bonnes choses.

    #29156
    bzo
    Participant

    on ne peut pas tous les jours produire des séances d’exception

    mais au plus ta pratique va acquérir de la consistance,
    au plus tu seras à même de reproduire l’exceptionnel plus systématiquement

    #29158
    Jieffe
    Participant

    Non bien sûr. Ce que j’ai voulu transmettre entre autres dans ce message, c’est que c’est plus facile à accepter au fil du temps et des séances.

    #29166
    Andraneros
    Modérateur

    Nouvelle petite séance hier soir. Rien d’extraordinaire ni de révolutionnaire, moins intense que la précédente, mais bien agréable. Le plaisir était présent, et peut-être 2 – 3 mini O’, et je suis content.

    Qu’aurais-tu dis il y a seulement six mois après une session aussi « tranquille » ?

    Bon cheminement @jieffe.

    #29219
    Jieffe
    Participant

    Bonjour à tous,

    Je viens donner quelques nouvelles.

    @Andraneros

    Qu’aurais-tu dis il y a seulement six mois après une session aussi « tranquille » ?

    Oui, je comprends ce que tu veux dire, et je suis d’accord avec toi, à ceci près que mes sessions ‘tranquilles’ d’aujourd’hui sont bien plus mouvementées que mes sessions tranquilles d’il y a six mois 🙂

    Je continue de pratiquer même si je ne consigne plus ici mes séances. Je n’en fais pas autant que je le souhaite, l’heure tardive du coucher de soleil et les vacances (pour les autres…) me font souvent coucher bien tard, trop tard en tout cas pour envisager une séance sereine, en particulier à cause de mon heure de réveil.
    Mais peu importe, ce n’est que passager, et pour le moment, si les séances ne se ressemblent pas en intensité, et que je n’ai pour le moment par reproduit les quelques superbes séances que j’ai pu décrire, elles ne sont pas pour autant des échecs, loin de là.
    Chacune d’elles pour le moment m’emmènent son lot de plaisir, bien présent, et même des mini O’ dirais je. Je suis donc pleinement satisfait, même si j’ai hâte de revivre le plaisir de quelques unes de mes séances précédentes, et même de le dépasser.
    Il me faut pour cela encore beaucoup travailler le lâcher prise. Je surprends quelque fois des pensées totalement saugrenues dans des moments pendant lesquels le plaisir dévale??? Je travaille à ne pas m’y accrocher, à les laisser partir, mais elles me perturbent tout de même. Ceci dit je progresse, parce qu’elles n’empêchent pas la montée de plaisir, mais je suis certain qu’elles l’empêchent de se développer.
    Il y a encore du travail, mais je suis plein d’enthousiasme et d’envie.
    J’ai tendance à voir aussi mes séances un peu différemment. Je reste prudent la dessus, parce que je l’ai déjà écrit, cette vision s’en est allée, puis revient aujourd’hui. Je les envisage comme des séances de bien être, ou d’entraînement. Si le plaisir vient, c’est tant mieux. S’il ne vient pas, j’aurais tout de même passé un bon moment. C’est dans cet état d’esprit que je m’engage aujourd’hui, mais je ne m’y force pas, il a tendance à s’imposer et je trouve ça plutôt bien.
    Quoi qu’il en soit, mes séances actuelles sont toutes positives, donc forcément je ne peux que les envisager comme des bons moments.
    Une autre chose importante, je l’ai écrit à droite à gauche sur différentes discussions, la crainte d’une séance ‘ratée’ a tendance à disparaître, certainement lié à ce que j’ai écrit plus haut. Je me suis rendu compte que cette crainte m’a empêché quelque fois de pratiquer, sous prétexte d’être persuadé que la séance serait négative, associé à la frustration générée.
    C’est ridicule en fait. Comment peut on savoir si quelque chose est bon, est chaud, est agréable….sans avoir testé?
    Ben oui, mais c’est comme ça!!!

    Bref, voici de mes nouvelles, que je trouve excellentes bien qu’il me reste du chemin à faire. Mais ça aussi c’est une excellente nouvelle.

    Je vous souhaite à tous tout plein de bonnes choses, et d’excellentes découvertes sur le chemin du plaisir prostatique.

    #29225
    Andraneros
    Modérateur

    Je reprends quelques passages de ton dernier message @jieffe :

    mes sessions ‘tranquilles’ d’aujourd’hui sont bien plus mouvementées que mes sessions tranquilles d’il y a six mois

    Chacune d’elles pour le moment m’emmènent son lot de plaisir, bien présent, et même des mini O’ dirais-je. Je suis donc pleinement satisfait, même si j’ai hâte de revivre le plaisir de quelques unes de mes séances précédentes, et même de le dépasser.

    La fréquence et l’intensité du plaisir que tu reçois pendant tes sessions suivent une pente ascendante, irrégulière peut-être mais bien ascendante. Sur une durée de plusieurs mois consécutifs ce n’est pas un hasard. La preuve c’est que maintenant tu écris :

    Quoi qu’il en soit, mes séances actuelles sont toutes positives, donc forcément je ne peux que les envisager comme des bons moments.

    Cet enchaînement a une conséquence psychologique capitale :

    la crainte d’une séance ‘ratée’ a tendance à disparaître, certainement lié à ce que j’ai écrit plus haut. Je me suis rendu compte que cette crainte m’a empêché quelque fois de pratiquer, sous prétexte d’être persuadé que la séance serait négative, associé à la frustration générée.

    Tous les éléments de tes prochains progrès se mettent en place, naturellement, instinctivement. Chacun renforce les autres. Tu n’as plus besoin de te demander comment faire, tu te laisses aller et ça ce fait. Même cette dernière difficulté :

    Il me faut pour cela encore beaucoup travailler le lâcher prise

    est en cours d’effacement. Tu as passé le stade du doute :

    Il y a encore du travail, mais je suis plein d’enthousiasme et d’envie.

    voici de mes nouvelles, que je trouve excellentes bien qu’il me reste du chemin à faire. Mais ça aussi c’est une excellente nouvelle.

    Je suis heureux de constater que maintenant ce sont de vraies sessions de plaisir prostatique qui font partie de ta vie et non plus des sessions de massage laborieux de la prostate. Tu as confiance, tu es patient, tu commences à être récompensé et tu le seras encore plus, bien au-delà de ce que tu reçois déjà.

    Bon cheminement @jieffe.

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