- Ce sujet contient 123 réponses, 29 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par nydor, le il y a 1 mois et 3 semaines.
-
AuteurArticles
-
21 mars 2023 à 0 h 39 min #45747augnatParticipant
Bonsoir,
En ce qui me concerne c’est un truc que je ne ressens que depuis que j’ai réussi à atteindre l’orgasme prostatique, mais c’est quelque chose qui est similaire à ce que tu décris : un frisson, une contraction, quelque chose, qui vient de là, et selon mon état d’esprit je peux trouver ça agréable ou désagréable. Et je sais que si je me concentre sur la sensation en essayant de l’amplifier ça va générer du plaisir. Dans le traité d’Aneros, il parle de l’Aneros qui “glisse sensuellement dans votre anus”, et même si la formulation me dégoûte un peu, il parle en fait, je pense, des contractions que ça provoque, et les sensations de plaisir, voire les orgasmes, peuvent partir de là.
Dans un ordre d’idées un peu similaire, je crois avoir fait le lien entre les spasmes de douleur que je peux ressentir au niveau du bas-ventre face à une situation de stress importante par exemple, et les spasmes de plaisir qu’on peut, donc, se provoquer soi-même. Je crois qu’ils sont plus ou moins de même nature, mais pas de même origine. Et d’ailleurs, depuis que j’ai découvert ce plaisir-là, ces douleurs que je ressens parfois sont comme éteintes, beaucoup plus rares, et de bien moindre intensité. Il est trop tôt pour le dire avec certitude – ça fait moins de trois mois que j’ai découvert ma prostate -, mais j’ai une sorte de conviction que j’ai opéré là une sorte de régulation corporelle.
16 août 2024 à 18 h 19 min #50491nydorParticipantBonjour, de retour après une longue absence.
Je reviens vers vous pour faire un point sur mon expérience commencée il y a 8 ans. Aujourd’hui, je pratique toujours l’orgasme prostatique sans aide externe avec succès et bonheur. Après une période d’addiction qui m’a conduit à perdre progressivement mes sensations, j’ai trouvé un rythme qui m’a permis de retrouver le chemin du plaisir. Je ne suis plus obsédé par la performance et la multiplication des séances comme dans mes premières années. Je m’adonne au plaisir prostatique guidé par mes seules envies du moment. Ainsi, il peut arriver plusieurs semaines sans que je fasse de séance. J’ai acquis une maîtrise technique et une force musculaire du périnée qui me permettent d’espacer les séances sans perte de capacité à atteindre l’orgasme. Je parviens à avoir du plaisir en très peu de temps (plus ou moins une minute) et à enchaîner les orgasmes sans difficulté (un dizaine en une trentaine de minutes). Mon rectum opère comme un organe sexuel qui éveille ma zone prostatique par l’intermédiaire d’un ensemble de contractions volontaires qui déclenchent un cycle de contraction autonomes amenant à des orgasmes puissants et variés. Je parviens en effet à obtenir des contractions internes du rectum par le biais des muscles de mon périnée. Des contractions qui partent de mon anus et remontent vers ma zone prostatique. Après quelques contractions volontaires, j’ai des contractions spontanées internes dans le rectum (indépendamment de l’anus) qui arrivent toutes seules, par vagues, et qui provoquent des orgasmes.
16 août 2024 à 22 h 32 min #50500nydorParticipantDe la même façon mes orgasmes se sont diversifiés. En général, ils se manifestent par une contraction interne associée à des contractions des muscles du bas-ventre qui entraînent des spasmes (des soubresauts du bassin), des contractions des muscles fessiers, des tremblements des muscles fessiers et des jambes, des contractions des pieds, des secousses des épaules, des agitations des mains et des bras… le plus classique étant les mouvements du bassins. Avec cela, je ressens une chaleur qui se propage dans le bassin, descend dans les jambes ou monte dans les reins. Parfois, je parviens à maîtriser l’intensité des spasmes et même à neutraliser tout mouvement, alors l’orgasme est comme un fluide qui se diffuse et qui dure un moment… hors du temps. Ce n’est pas aussi puissant qu’une éjaculation, mais c’est plus satisfaisant ; en fait, c’est incomparable.
17 août 2024 à 14 h 59 min #50517nydorParticipantIl existe 4 positions qui me permettent d’atteindre le plaisir prostatique : sur le dos, jambes relevées ; sur le coté, jambes repliées ; sur les genoux et les coudes ; et sur le ventre.
Sur le dos, il faut pousser les contractions vers le haut (la zone prostatique), ce qui demande davantage d’efforts. J’ai des spasmes, mais les sensations orgasmiques en tant que telles sont moyennes. Sur les genoux, je peux exercer des contractions très fortes qui déclenchent des mouvements d’avant en arrière de mon bassin, mais je dirais que les spasmes ne sont pas forcément représentatifs du plaisir ressenti. Sur le côté, les contractions involontaires sont faciles à obtenir, et les sensations sont très fines et très agréables. La position sur le ventre est celle que je préfère. C’est la position où je maîtrise le mieux mes contractions internes, celle où je ressens le mieux les sensations dans le rectum et la zone prostatique, celle où mes orgasmes sont les plus puissants. En revanche, c’est aussi une position, en raison des frottements de mon sexe sur le matelas, qui peut me donner une érection. Les sensations proviennent alors de la zone prostatique mais également du sexe (par frottement). c’est préjudiciable, car toutes les contractions et tous les mouvements induits augmentent le plaisir au niveau du sexe, ce qui à entraîner en quelques occasions une éjaculation (frustrante en l’espèce). C’est pourquoi, j’ai rapidement fait en sorte d’attendre que mon érection retombe avant de poursuivre ma séance.
-
AuteurArticles
- Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.