Mots-clés : a-less, aneros less, sans masseur
- Ce sujet contient 106 réponses, 23 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
bzo, le il y a 1 mois et 2 semaines.
- AuteurArticles
- 13 octobre 2020 à 12 h 11 min #39096
verlesetoiles
ParticipantBonjour à tous,
Après quelques mois d’absence je découvre avec un grand plaisir ce fil qui est remonté des profondeurs du forum et l’ai parcouru avec attention.
Ce fil a d’autant plus attiré mon attention que, depuis quelques mois, je ne pratique plus avec masseur, hors rapport à deux avec ma femme. Celle-ci vivant une période difficile et étant malgré tout très déstabilisée par ma récente pratique prostatique solitaire (janvier 2020), j’ai proposé de faire une pause dans mes séances solo avec masseur. Ceci a permis d’apaiser ses doutes et ses peurs, le temps que les blessures cicatrisent et qu’elle puisse se reconstruire, que le couple puisse se reconstruire. Cette situation ma aussi poussée à explorer plus consciencieusement la pratique A-less qui me permet d’être plus discret et totalement autonome.
Cette pratique sans masseur a été balbutiante assez longtemps, car je naviguais à vue avec des contractions anales trop appuyée, pas suffisamment en finesse. Les différents témoignages m’ont amené à réévaluer les muscles qui composent le périnée et à en avoir une perception beaucoup plus fine qu’auparavant. A force de jouer avec les différentes sensations, de visualiser des mouvements de caresse de mes muscles sur ma prostate je parviens a déclenché des orgasmes très plaisants. Mes tétons restent de propulseur de plaisir puissant et se combinent avec les différentes contractions que je fais. Je mesure bien que le chemin restant à parcourir est encore important mais cette liberté nouvelle est grisante.
En tout cas merci aux différents intervenants pour leurs partages qui m’ont permis d’initier sérieusement ce chemin.
13 octobre 2020 à 15 h 18 min #39100Andraneros
ModérateurBonjour @verlestoiles,
Il y a presque quatre mois tu écrivais déjà :Les sessions en A-less ne sont pas en reste non plus. Je pratique très régulièrement, le soir, avant de m’endormir, une série de contraction et cela déclenche quasiment systématiquement des petits orgasmes. La tentation de venir stimuler mes tétons est grande, mais je profite de ces sessions pour justement essayer de faire sans et voir ou cela me mène. Dernièrement, en soirée, j’ai démarré une séance en A-less avec l’envie de vivre les mêmes sensations qu’avec un masseur. Cette session fut une belle réussite avec des beaux orgasmes amples et bien étendus sur le corps. [… ] Les deux courbes orgasmiques, celle avec masseur et sans se suivent, sans se rejoindre totalement pour l’instant et poursuivent leur ascension vers les étoiles.
Je suis heureux de lire que, malgré un environnement familial un peu moins favorable, tu continues ton cheminement sans masseur. Est-ce que tu penses que la progression de ton cheminement sans masseur se poursuit, comme tu le notais à l »époque :
Les deux courbes orgasmiques, celle avec masseur et sans se suivent, sans se rejoindre totalement pour l’instant et poursuivent leur ascension vers les étoiles.
La modification des conditions dans lesquelles tu poursuis ton cheminement prostatique ne semble pas affecter tes nouvelles capacités orgasmiques. C’est le signe que la transformation de ta sensualité. est désormais profondément enracinée en toi. C’est magnifique.
J’espère que ta femme, avec ton aide et du temps, va pouvoir effacer les doutes qui la rongent afin de s’ouvrir à son tour à l’idée de développer sa sensualité en toute liberté à tes côtés.
Bon cheminement @verlesetoiles, bon cheminement à ta femme.
11 novembre 2020 à 12 h 28 min #39390Jeanro
ParticipantJe découvre ce forum et suis totalement d’accord avec vous. Celà me conforte dans l’idée que j’avais raison d’abandonner l’Aneros il y a déjà presque 4 ans ! Dommage que je n’ai pas lu votre commentaire dès sa sortie !
Alors d’ou vient que la capacité orgasmique de la prostate soit autant ignorée ou méconnue ? C’est un peu un mystère, car même dans le milieu médical le sujet est assez peu maîtrisé.
Moi aussi celà m’étonne énormément et quand j’en ai parlé à mon médecin j’ai eu un sourire de sa part et j’avais l’impression qu’il me prenait pour un homo qui s’ignore !12 novembre 2020 à 9 h 51 min #39398Andraneros
ModérateurVous nous dites @Jeanro :
Dommage que je n’ai pas lu votre commentaire dès sa sortie !
Il ne faut pas avoir de regrets. L’utilisation d’un masseur peut être une étape très utile, sinon nécessaire pour certains d’entre nous. C’est bien mentionné en clair dans le wiki Aneros où il y a un paragraphe consacré à cet aspect ( » tantric training wheels « ).
Bon cheminement @jeanro.12 novembre 2020 à 10 h 03 min #39400Jeanro
ParticipantBonjour Andraneros,
Merci pour ton commentaire. Je n’ai pas de regrets car cette étape aneros était pour moi indispensable pour progresser.
J’aurais simplement pu aller plus vite pour m’en passer ! Les commentaires sur ce blog notamment de nydor01 et jean74 viennent de me permettre de franchir plus vite un nouveau palier de jouissance et je les en remercie.
A plus, Jean-Robert6 décembre 2020 à 17 h 04 min #39631jean74
ParticipantBonjour à tous !
C’est une nouvelle fois que je lis avec plaisir toutes les découvertes de nos sexplorateurs.
Je voulais vous faire part de mes récentes découvertes.
En effet, mon cheminement semble sans limites.
Récemment j’ai réussi à ne pas éjaculer pendant quasiment 3 semaines, ce qui pour moi constitue un exploit.
Bref, au delà de cette performance, le sujet essentiel a été la démultiplication de mon plaisir prostatique.
À partir d’une semaine d’abstinence, j’ai atteint des possibilités exceptionnelles, littéralement des transes orgasmiques de tout mon corps, comme en apesanteur pendant 10/15 minutes, renouvelable à l envie jusqu’à épuisement.
À partir de cet état, chaque effleurement de la région pénienne devient dangereux, il est donc impératif de bien isoler le plaisir prostatique du plaisir pénien.
Il m est quand même apparu possible de donner un coup de boost en juste poussant mon sexe vers l avant lorsque je suis allongé sur le dos.
Mes tétons sont également des formidables générateurs de plaisir, connectés à ma prostate de manière immédiate au moindre effleurement.
Pour terminer, désormais il m est possible de me donner du plaisir à volonté, par simple relâchement de mon corps, c’est divin !
Sinon, j’ai également appris à prendre le plaisir quand mon corps me le permet, et non pas lorsque je le souhaite.
Concrètement, en général vers 4/5 h du matin je me réveille pour mes besoins nocturnes et là en général je suis surexcité, du coup je me laisse aller jusqu’à mon réveil.
Par contre, le soir, je ne force pas car mon corps n est plus disponible pour ça.
Parfois également pendant ma pause à midi, je m isole et profite d une heure de plaisir.
Voilà, ne rien attendre et ne pas se décourager serait le conseil pour avancer !
Bonne soirée à tous.6 décembre 2020 à 17 h 31 min #39632bzo
ParticipantRécemment j’ai réussi à ne pas éjaculer pendant quasiment 3 semaines, ce qui pour moi constitue un exploit.
Bref, au delà de cette performance, le sujet essentiel a été la démultiplication de mon plaisir prostatique.
À partir d’une semaine d’abstinence, j’ai atteint des possibilités exceptionnelles, littéralement des transes orgasmiques de tout mon corps, comme en apesanteur pendant 10/15 minutes, renouvelable à l envie jusqu’à épuisementhé hé, il a découvert mon secret,
moi, cela fait des mois maintenant, imagine un peu l’accumulation d’énergie,
la moindre petite contraction et je démarre comme une fuséeÀ partir de cet état, chaque effleurement de la région pénienne devient dangereux, il est donc impératif de bien isoler le plaisir prostatique du plaisir pénien.
pas tant que cela, c’est parce que tu n’as pas l’habitude
moi, j’ai l’habitude de frotter, de presser, aussi, mes organes sexuels, avec mes cuisses
pour provoquer un flux commun d’ondes prostatiques et d’ondes génitales
et cela ne me cause pas trop de problème, malgré l’abstinence prolongéeil suffit de garder toujours un bon équilibre entre les deux types d’ondes,
bien favoriser les prostatiques si l’on sent que le plaisir devient trop pénien,
ainsi je contrôle bience que j’évite, par contre, comme la peste,
ce sont les contacts avec la main ou bien regarder du porno,
parce que là, effectivement cela devient vite compliqué,
cela allume quelque chose quelque part et l’on a une envie irrésistible de se vider - AuteurArticles
- Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.