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20 sujets de 41 à 60 (sur un total de 64)
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  • #25064
    Andraneros
    Modérateur

    Votre dernière session @voyageur a deux faces
    face A :

    D’abord j’ai cru que ça n’allait pas fonctionner. Après une heure de plaisirs divers et variés, pas d’orgasme majeur. Je n’étais pas loin d’arrêter

    Face B :

    quand c’est venu, et là !!!!! Non seulement j’ai eu, mais plusieurs orgasmes. Et pas des moindres.

    C’est très intéressant car elle montre très bien en quoi l’orgasme prostatique ne se déclenche pas sur commande, mais ne se produit que quand le corps et l’esprit sont prêts à le recevoir, même chez quelqu’un qui vit maintenant très régulièrement de multiples orgasmes très intenses.

    J’ai deux questions qui intéresseront très fort nos amis qui lisent vos messages pour y puiser des encouragements. En quoi consistent les « plaisirs divers et variés » de la première phase de votre session et en quoi le démarrage des orgasmes de la seconde phase sont différents de ces « petits plaisirs » ?

    Mais j’ai eu l’impression de me baiser.

    C’est une sensation qui est très différente de ce que je ressens. Je ressens un plaisir qui naît de l’intérieur, qui gonfle mais je ne le sens pas venir de « l’extérieur » même quand ma femme intervient. Soit ma reprogrammation est plus cérébrale, soit cet aspect de la féminisation ne fait pas partie de mes fantasmes,soit j’ai un blocage inconscient sur ce point.

    Combien vous faut il de temps en général, maintenant que vous avez de l’expérience, pour atteindre ces orgasmes puissants ?

    Réponse : un certain temps, mon adjudant. C’est très variable selon les sessions, comme le dit @bzo. Il m’arrive rarement de sentir le plaisir monter dès l’insertion. Le plus souvent le plaisir apparaît et monte progressivement en intensité pendant une demie heure ou une heure avant que je ne bascule dans les orgasmes. Le soir très régulièrement je m’endors et me réveille en phase orgasmique deux ou trois heures plus tard avec des cycles de deux o u trois heures qui se répètent jusqu’au matin.

    Bon cheminement @voyageur.

    #25140
    Voyageur
    Participant

    Merci à tous pour vos commentaires. Je vais déjà tenter de répondre à la question d’Andraneros. Qu’est-ce que j’appelle des plaisirs divers et variés ? 🙂
    Pas facile de répondre. Il me semble qu’on peut passer par plein de phases qui donnent beaucoup de plaisir sans pour autant atteindre des orgasmes fulgurants et j’en ai encore fait l’expérience hier soir… Mais j’y reviendrai ensuite…
    Parfois des frissons dans tout le corps, parfois des caresses intérieures qui arrachent des gémissements, parfois l’envie de se caresser sans plus attendre, parfois ça monte, ça monte sans exploser. Ca monte, sans vraiment redescendre. C’est bon. On a envie de crier “ho oui”. C’est chaud. C’est parfois violent. C’est parfois une douce caresse comme si une langue nous fouillait. C’est parfois plus énergique et on dirait qu’un doigt nous explore. Parfois il y a des vagues de chaleur et parfois ce qui ressemble à un silence. Parfois j’ai l’impression que le jouet gonfle en moi, que son érection est plus forte. C’est d’ailleurs souvent à ce moment là que j’attends un point de non retour qui amène à un puissant orgasme. Mais il y a aussi tous ces petits orgasmes de différentes tailles qui nous laissent sans souffle. Il y a ces moments où je dois mordre l’oreiller. Et tous ces instants que j’essaie de décrire ne sont pas forcément des orgasmes sur-puissants, mais un plaisir qui dure et qui dure. Et c’est ce qui rend ce plaisir si prenant, presque addictif. Car on a plus de raison de s’arrêter. Et j’en viens par là à mon expérience d’hier.

    Je m’étais préparé depuis quelques jours à cette soirée. Je savais que je serais seul, pour la soirée et pour la nuit. Et cela faisait longtemps que j’avais envie d’expérimenter une nuit entière. Dormir avec l’Aneros. J’avais évité de me masturber depuis plusieurs jours, tout en maintenant un état érotique. Notamment par des lectures ou des films érotiques. Et voilà la soirée prête. Rien pour m’interrompre. Pas d’urgence à atteindre quoi que ce soit. Vers 23 heures je m’allonge et glisse le jouet en moi. Je donne à peine 5 minutes à mon corps pour se détendre car je sens que je suis déjà prêt. Les premières contractions très légères déclenchent déjà un plaisir magnifique. Ce soir, non seulement ma prostate est très réactive, mais d’autres zones semblent sensibles. Chaque mouvement et chaque contraction déclenche une montée de plaisir. L’orgasme – pas forcément le plus puissant – ne va pas mettre longtemps à venir. Puis je m’amuse comme ça pendant deux bonnes heures. Un bel orgasme va m’emporter puis je me laisserai plonger dans le sommeil.
    Alors, mon conseil, si vous voulez faire l’expérience comme moi de passer une nuit avec l’Aneros, ne prévoyez rien le lendemain 🙂
    Je crois que je dors pendant une heure, mais je sens le plaisir qui est là. Et qui finit par me réveiller. Je n’y tiens plus. Je ne peux plus dormir. Je crois que même si je me suis endormi, une partie de mon corps a continué à jouer. Encore un orgasme. Comme ça, sans prévenir. En pleine nuit. Puis je me rendors. Régulièrement, je suis réveillé par mes propres gémissements. Je crois que toute la nuit j’ai gémi de plaisir. Réveillé tôt, malgré le peu de sommeil. Mon corps a encore envie. Je jouis encore ce matin, deux orgasmes sublimes. Je décide de faire durer le plaisir. Je reste au moins deux heures, sans forcément avoir d’orgasmes, mais à gémir et à me tortiller. C’est trop bon. Il faut se lever, mais qui a dit qu’il fallait retirer l’Aneros ? Je vais faire des courses. Le jouet est en moi. Je me mords parfois les lèvres. Je n’en peux plus. Je reviens au plus vite chez moi. Et je reprends la séance. Voilà plus de 12 heures que je titille ma prostate. Mon corps est en feu. A l’heure où je vous écris, voilà deux heures que j’ai retiré le jouet, mais mon corps ne se calme pas, je crois que je vais y retourner !

    #25141
    Voyageur
    Participant

    Pour bien comprendre ce message, il faut avoir lu le précédent.

    Mon corps est en feu. Je m’allonge. Glisse l’Aneros. Pas de relaxation. Pas de préparation. Je file vers ce qui sera ma meilleure session. Orgasme. 1 – 2 – 3 – 4. Je m’envole. Je cesse de compter les orgasmes. WHOW !!!!!

    #25143
    bzo
    Participant

    héhé, c’est addictif le plaisir prostatique

    une fois qu’on a les bonnes clefs, on ne s’en lasse plus

    #25146
    Andraneros
    Modérateur

    Vous nous disiez le 18 décembre :

    Bientôt je ferai l’expérience de le garder une nuit entière.

    Hé bien, on peut dire que vous l’avez faite cette expérience ! Je ne pensais pas déclencher un tel torrent de jouissance orgasmique en parlant un jour du port de mon masseur pendant mon sommeil. Cette manière de gérer les sessions est rarement mise en avant sur les forums. C’est formidable @voyageur.

    Vous répondez aussi indirectement à une question souvent posée sur la bonne durée d’une session et sur l’évolution de sensations tout au long de la session. Votre témoignage apporte une réponse qui va bien au delà des soixante minutes à deux ou trois heures généralement annoncées. Indépendamment des super Os’ vous venez de faire une super session.

    Bon cheminement @voyageur.

    #25170
    Voyageur
    Participant

    En fait ce qui est de plus en plus agréable, c’est que c’est de plus en plus facile. Je ne suis plus à la recherche de quoi que ce soit en particulier, à part du plaisir. Parfois il passe par de jolis orgasmes et parfois par une tempête. Comme je l’ai déjà dit, c’est à chaque fois différent. Mais surtout de plus en plus facile à déclencher. Hier, après 5 toutes petites minutes de détente, le festival a commencé. Je ne compte plus rien – comme je le faisais au début. Je peux vraiment “faire l’amour”. Je suis très content d’avoir découvert le traité qui m’a permis de commencer et très content d’avoir dépassé le traité pour juste m’éclater. Je reconnais que le chemin a été facile pour moi à la différence de certains, mais je continue comme au début à encourager tout le monde à persévérer, parce que le voyage vaut vraiment le coup d’être vécu. Et oui bzo, je crois que je suis accro. En tout cas, cela s’ajoute à tous les autres plaisirs de la vie sexuelle. Je pense que la nouveauté en fait un terrain de jeu prioritaire en ce moment, mais je souhaite surtout qu’il élargisse la panoplie des possibles. Et c’est vrai que cette capacité de pouvoir jouir plusieurs fois de suite qui semblait le privilège de ces dames ouvre un tout nouveau monde dont il est difficile de se lasser.

    #25173
    Jieffe
    Participant

    En fait ce qui est de plus en plus agréable, c’est que c’est de plus en plus facile.

    Cf ce que je dis dans mon dernier message, et j’y crois.

    Content que tu découvres tout ça Voyageur. Ça fait plaisir et c’est encourageant.

    #25174
    bzo
    Participant

    Et c’est vrai que cette capacité de pouvoir jouir plusieurs fois de suite qui semblait le privilège de ces dames ouvre un tout nouveau monde dont il est difficile de se lasser

    attends, tu n’as encore rien vu,
    au rythme qui est le tien, bientôt arriveront les super O,
    certains d’entre eux, des orgasmes de plusieurs minutes avec tremblements et convulsions de tout le corps

    Ça va secouer comme disent les marins

    #25183
    Voyageur
    Participant

    Ca y est Bzo, je crois que j’y suis – A moins que ça puisse être encore plus puissant. Voici ma séance d’hier ! Ho que c’est bon. Pourquoi ai-je donc mis tant de temps à découvrir ce plaisir ! Que d’heures perdues… Mais bon, je vais rattraper tout ça.

    Hier soir. Deux découvertes…

    Jusqu’à là je n’ai réussi qu’à jouir sur le dos. Les autres positions – sur le côté, sur le ventre apportaient du plaisir, mais jamais d’orgasmes.
    Ayant envie de commencer en douceur, je décide donc de façon inhabituelle de me mettre sur le ventre. Premières sensations, premières chaleurs, ça monte vite, plus vite et plus fort que d’habitude. Ca vient. C’est trop bon. Bang ! Premier orgasme. La première fois que ça m’arrive dans cette position. Et que c’est bon ! Mais ça n’est pas fini. Après l’orgasme, mon corps ne se calme pas, les vagues continuent, ça revient. Ca remonte. Et un second encore plus fort. Puis j’ai cessé de compter. J’ai essayé de ne pas hurler. J’ai enchainé des orgasmes de plus en plus puissants. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, peut être une heure. C’est comme si l’Aneros avait pris l’ascendant sur moi et décidait ce qu’il fallait faire. C’était génial. De la position allongée sur le ventre, mon corps s’offrait de plus en plus. Je me voyais obligé de lever les fesses à chaque nouvel orgasme comme si le jouet voulait plus profondément rentrer en moi. Les voilà donc ces supers O qui s’enchaînent. C’est magique. M’apercevant que je peux jouir dans d’autres positions que sur le dos, je décide d’essayer accroupi. Et bang encore un orgasme. Je me mets à genoux sur un coussin, le haut du corps sur le lit et là je suis littéralement emporté dans un orgasme dont la puissance surpasse tout ce que j’ai pu connaître. Il dure une ou deux minutes m’arrache un cri que j’étouffe dans le drap. Je suis KO. Je m’allonge sur le côté pour reprendre mes esprits, mais là encore le jeu ne s’arrête pas comme ça. Le plaisir remonte et je subis encore un orgasme. Je voudrais presque que ça s’arrête tant mon corps est à bout et en feu. Je me mets sur le dos. Ca revient. Ca remonte encore. Je ne peux même pas arrêter le processus. Il me faudrait enlever ce jouet. Et je vis à nouveau encore un orgasme plus puissant que les autres. Mon corps se soulève. J’ai l’impression que l’Aneros est sorti de moi tant je me suis ouvert. Ca dure. Ca dure. Je m’effondre. Mais un second orgasme vient prendre la relève. Cette fois-ci je suis vaincu. Je finis par m’endormir. J’ai oublié d’enlever l’Aneros. je serai réveillé trois fois dans la nuit par des orgasmes. Quelle aventure ! Tu avais raison bzo.

    En conclusion. Au-delà du plaisir presque inracontable des orgasmes multiples, j’ai aussi découvert que je peux aujourd’hui jouir dans différentes positions. J’ai même pu me masturber sans faire cesser le plaisir – en évitant d’aller jusqu’à l’éjaculation.

    Un grand merci à vous lecteurs, mais aussi au traité de l’Aneros sans qui je n’en serais pas là. Quelle évolution en quelques semaines !

    #25187
    Jieffe
    Participant

    je subis encore un orgasme….

    Quelle description, on sent bien que ça a été presque violent….

    Il me faudrait enlever ce jouet

    Il va falloir inventer un système de sécurité pour retirer le masseur 🙂

    Et ben, ça fait envie! Content pour toi Voyageur. 🙂
    Oui, ça fait vraiment envie.

    #25189
    bzo
    Participant

    Quelle aventure !

    bravo!!!
    tu me rappelles de sacrés souvenirs…

    ces dernières semaines, je me suis surtout appliqué à faire monter aux commandes
    ce que j’appelle “le féminin de nos profondeurs”
    maintenant que le processus est à peu près bouclé,
    il est temps que je me me remette en quête de super O, d’orgasmes qui explosent tout,
    que je m’applique en prenant mon temps et sans plus expérimenter,
    que je me lâche complètement sans m’observer

    avec ce que j’ai en plus désormais avec ce féminin aux commandes,
    une intensité accrue, une diversité complètement renouvelée et enrichie,
    et puis cette sensation si forte, si extraordinaire de faire l’amour durant ma séance,
    je n’ose pas imaginer ce que cela va être
    quand je vais atteindre à nouveau ces sommets que tu as décris dans ton dernier message

    je subis encore un orgasme….

    Quelle description, on sent bien que ça a été presque violent….

    presque?
    tu n’y es pas, cela a surement été très, très violent

    je me souviens quand j’ai été quelques fois dans ces états,
    c’était d’une violence extraordinaire,
    au beau milieu de ces orgasmes ultra-puissants
    j’avais constamment la sensation qu’à peine une cloison très fine me séparait
    d’une douleur tout aussi forte que le plaisir que je ressentais,
    c’était fascinant, je jouissais à en perdre la tête
    et je sentais que je côtoyais à l’effleurer une douleur équivalente

    du coup je comprends mieux les tendances sado-maso,
    où le douleur est supposé se convertir en plaisir quelque part,
    j’arrive à imaginer
    que ce genre de mécanisme puisse opérer après avoir vécu ce que je décris plus haut,
    qu’il y a seulement une frontière ténue entre le plaisir et la douleur

    #25192
    bzo
    Participant

    tiens, une question plus technique, @Voyageur

    tu pratiques les yeux fermés ou les yeux ouverts?

    ou encore est-ce que tu pratiques une forme d’alternance plus ou moins consciente?

    personnellement j’applique une alternance dirigée,
    certains jours cela donne des résultats incomparables
    mais d’autres c’est une catastrophe absolue, tue toute spontanéité dans ma séance

    #25196
    Voyageur
    Participant

    Salut Bzo, pour répondre à ta première question, je pratique essentiellement les yeux fermés ou dans le noir, pour l’instant le reste me déconcentre de la concentration interne du plaisir.
    Je ne suis pas sûr de comprendre ta question sur l’alternance ? Parles tu aussi des yeux ?

    Je partage complètement ce que tu racontes sur la proximité de la douleur. On a l’impression que d’une seconde à l’autre cela pourrait devenir insupportable et douloureux. Comme une dent sur laquelle frappe une fourchette.

    Je me sers d’ailleurs parfois de fantasmes. Et le SM en fait partie. La recherche de la féminité aussi.

    En tout cas, j’adore cette explosion où on perd tout contrôle, toute notion du temps. J’espère y retourner au plus vite. Et j’espère que ce sera au moins aussi intense. Ha… quelle drogue.

    #25198
    bzo
    Participant

    En tout cas, j’adore cette explosion où on perd tout contrôle, toute notion du temps. J’espère y retourner au plus vite. Et j’espère que ce sera au moins aussi intense. Ha… quelle drogue.

    c’est sûr que des orgasmes pareils, une fois qu’on en a vécus,
    on espère qu’une chose, c’est d’en revivre le plus vite possible,
    c’est un peu comme si de la science-fiction devenait réelle,
    on n’avait pas idée qu’on était capable de choses pareilles,
    on est des explorateurs, des aventuriers, on vient de découvrir un nouveau monde

    mine de rien, on vit quelque chose que peu d’hommes vivent,
    sans doute que peu d’hommes sont capables de vivre
    car il faut braver des interdits, des tabous encore bien réels,
    la preuve, certains qui visitent ce forum, sont obligés de le cacher à leurs proches
    et puis tout un travail sur soi-même, accepter de questionner sa masculinité,
    accepter cette part féminine qui peut nous envahir durant la séance

    #25199
    Voyageur
    Participant

    Oui tu as raison sur le tabou dans notre société. Mais en ce qui me concerne, moi avec moi même, je n’ai pas de problème. Après on est dans de l’intime, je ne vais pas forcément le crier sur les toits. 🙂

    Mais on devrait peut être le crier sur les toits !

    #25212
    bzo
    Participant

    Oui tu as raison sur le tabou dans notre société. Mais en ce qui me concerne, moi avec moi même, je n’ai pas de problème. Après on est dans de l’intime, je ne vais pas forcément le crier sur les toits. 🙂

    Mais on devrait peut être le crier sur les toits !

    bon moi, j’habite seul dans mon appartement,
    je pratique donc quand je veux, comme je veux, autant que je veux
    et puis les murs sont épais, donc je peux gémir, crier, râler de plaisir , aussi fort que je veux

    par contre je ne sais pas
    si dans le cadre d’une conversation intime, osée, sur les pratiques sexuelles de chacun
    avec des proches ou des relatifs, voire des collègues de bureau,
    certes conversation hautement improbable mais, imaginons que cela produise,
    et en faisant fi de la pertinence-même de ce genre de révélation,
    je me demande si j’aurai le “courage” de faire mon “coming-out” d’adepte des plaisirs prostatiques

    #25223
    Andraneros
    Modérateur

    Avant même de parler de “plaisir prostatique” et de se faire traiter de pervers sexuel, est-il possible de se présenter en public ou en relative intimité simplement comme un adepte des plaisirs charnels sans se faire aussitôt traiter de maniaque sexuel ?

    Nous constatons aussi la difficulté ,exprimée sur ce forum comme sur d’autres, à ouvrir le dialogue sur ce sujet au sein de nos couples qui, en dehors des cabinets des psi “-chiâtres ou -chologues”, devraient être le lieu privilégié de l’intime.

    C’est tout l’intérêt de l’existence et du développement de ce forum qui présente sous forme tantôt pédagogique tantôt imagée des informations et des témoignages sur des pratiques très anciennes, sources d’un bien meilleur équilibre énergétique de nos organismes que ce que proposent aujourd’hui nos spécialistes de la santé.

    C’est biern de savoir guérir les maladies. Ce serait encore mieux d’accepter ce qui permettrait soit de les éviter soit d’en limiter les effets.

    Bon cheminement à tous.

    #25227
    Voyageur
    Participant

    Bonne année à tous. Merci pour vos messages.

    Le problème de l’intime est qu’il ne suffit pas d’être capable d’en parler. Il faut aussi espérer que ceux qui reçoivent nos paroles sachent recevoir.

    De plus, pour l’instant, j’ai la sensation que ce plaisir est très solitaire. Très intérieur. Je ne suis pas encore passé à l’étape de le partager.

    Je sais que certains le partagent en couple. J’imagine que des hommes se sont aussi amusés – peut être – à le partager ensemble en jouissant côte à côte.

    En tout cas, 2017 aura été pour moi la découverte de ce plaisir. 2018 me réserve donc certainement d’autres surprises.

    #25351
    Voyageur
    Participant

    Contre toute attente:

    J’ai attendu quelques jours avant de reprendre mon récit. Attendu que cela en vaille la peine.

    Contre toute attente la session d’aujourd’hui a été époustouflante. Contre toute attente, car je n’avais pas beaucoup de temps devant moi, et encore moins de temps pour me préparer. Tout au plus 45 minutes à consacrer à mon plaisir.

    Me voilà donc depuis une minute en place, pas eu le temps de me relaxer ou de me concentrer que le plaisir est là et qu’un premier orgasme m’arrache des gémissements. Je vais enchaîner ainsi, sans aucune interruption plus d’une demie heure de plaisir déchaîné. Des orgasmes d’une violence inouie. L’un me fera même perdre l’Aneros (je pensais que ce n’était pas possible ? ! ). Je multiplie les orgasmes qui me secouent, qui me font littéralement hurler, à peine ai-je repris mon souffle qu’une vague de chaleur m’envahit, je perds toute notion de temps et d’espace, puis c’est un autre orgasme violent. C’est dingue. Ca pourrait ne pas s’arrêter. D’ailleurs c’est moi qui ait stoppé la session par épuisement.
    Quel bonheur !

    Je voulais quand même partager deux petites idées que j’ai eu le temps d’expérimenter pendant cette session. La première, que j’avais déjà essayé avec succès lors de séances précédentes est la suivante. Alors que l’orgasme est proche, parfois le corps a tendance à trop se contracter, j’attrape alors mes fesses et les écarte très légèrement. Le plaisir est alors décuplé. Jouant entre la contraction qui fait monter la température et la détente du corps. Je recommande.
    J’ai aussi essayé la chose suivante aujourd’hui. Placez vous sur le dos, les pieds très haut contre le mur, les fesses légèrement relevées. C’était génial. A un moment le plaisir était tel qu’il m’a fallu rabattre les jambes au-dessus de moi et me laisser baiser par le jouet démoniaque.

    Il y a une chose que je trouve géniale avec ces orgasmes prostatiques c’est cette sensation d’avoir un partenaire sexuel. D’être deux. Mais que ce deuxième change de personnalité d’une session à l’autre. Parfois, il est doux et attentionné. Parfois, comme aujourd’hui, il semble vouloir baiser violemment et profondément.

    Voilà, j’espère que votre chemin continue d’avancer. Cette chasse au trésor est décidément sans fin !

    #25371
    bzo
    Participant

    Il y a une chose que je trouve géniale avec ces orgasmes prostatiques c’est cette sensation d’avoir un partenaire sexuel. D’être deux.

    nos parcours, au niveau des sensations, sont très proches, je vois.

    En effet, comme tu dis, c’est vraiment quelque chose de remarquable
    à quel point on a l’impression de faire l’amour avec quelqu’un.
    Mais pour moi ce quelqu’un, c’est nous-même, on se fait l’amour,
    le féminin monte, nous envahit, prend possession de notre corps
    et puis ce qui reste de masculin en nous à ce moment, juste assez, juste ce qu’il faut, baise avec,
    ils se baisent, l’amour à deux tout seul

    la sensation est bluffante et tu va voir, va le devenir de plus en plus,
    d’un réalisme absolument total à partir d’un moment

    quand tu es déjà bien excité, concentre-toi par moments sur la zone autour du masseur,
    tu vas sentir la dualité masculin-féminin à l’oeuvre là, constamment présente
    même si le reste des sensations est totalement féminin désormais chez moi,
    mais là dans cette zone, cette dualité peut se sentir encore,
    la sensation en même temps d’être pénétré et la sensation de pénétrer,
    sensation double et en même temps unique, en totale fusion,
    tu y as à tout moment la sensation de pénétration si caractéristique quand on enfonce son sexe
    et puis cette sensation nouvelle,
    ce plaisir si délicieux et violent de sentir dans sa chair un sexe dur s’enfoncer,
    c’est cela qui est extraordinaire, c’est totalement la même sensation en fait,
    en tout cas dans le massage prostatique

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