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AP41
ParticipantJe suis un homme de 42 ans. J’ai découvert le plaisir prostatique via l’Aneros Eupho (je sais, pas le plus simple pour commencer) il y a 8 ans de cela. J’ai encore le souvenir de mes premières semaines et de la découverte de tous ces merveilleux petits nerfs jusque là trop peu sollicités. Le “rewiring” m’a fait vivre des jours pendant lesquels j’étais à la merci de ma prostate qui me suppliait à chaque instant de la gratifier de nouvelles caresses. Ma collection d’Aneros s’est agrandie depuis. Du métal, quelques moteurs (plus ou moins satisfaisants). Je parviens aussi par auto-suggestion à obtenir des sensations comparables “sans outil”. C’est plus long mais c’est aussi gratifiant… de se dire qu’en fait la zone érogène ultime… c’est notre cerveau.
Tout les hommes qui ignorent ce pan entier de la sexualité masculine manquent vraiment quelque chose. Ce plaisir est profond et sa pratique, surtout solitaire, est bien moins mécanique. Quand le pénis est au centre, on est dans un schéma standard de fantasmes et autres stimulations visuelles. Dans le plaisir prostatique, on est plus dans une forme de méditation… dans laquelle l’anticipation du plaisir est plus excitante que toute image… et dans laquelle la mécanique est bien moins prédictible. Il faut être à l’écoute de ses sensations. Tantôt on est surpris d’un calme plat alors qu’on était très excité, tantôt on est saisi par des séries d’orgasmes qui vont crescendo et qui vous emportent. Je crois que ça donne une idée aussi de ce à quoi peut ressembler le plaisir féminin, en mobilisant tous les sens, en corps tout entier.
AP41
ParticipantMa ludothèque (vous savez, le petit carton planqué avec tous ces trucs vaguement phalloïdes dedans) fait des bruits de boîte à outils quand je la remue, ces dernières temps. Depuis l’Aneros tempo, je suis fan du métal et mon Njoy pure wand (dont le G-Spot metal wand est la copie) est un jouet très particulier. D’abord, ses formes épurées ne font pas immédiatement penser à un jouet sexuel. On pourrait penser à une sculpture moderne. Ensuite son poids qui en fait je crois le seul sextoy contondant. 🙂
Pour ce qui est de l’utilisation, je favorisais initialement la position du chien de fusil. Je maintenais entre mes cuisses une des extrémités (la grosse boule) alors que l’autre était en moi. En me cambrant plus ou moins, je faisais bouger la petite boule en moi. De biens beaux orgasmes à la clés, au point de concurrencer mon fidèle Progasm. Dernièrement, lors d’une session longue et particulièrement chaude, je me suis enhardi et ai entrepris d’insérer la grosse boule en moi. Quand elle a franchi la deuxième barrière et qu’elle s’est installée au plus profond de moi, la sensation était indescriptible… non seulement de remplissage mais aussi du fait que cette sphère diabolique semblait stimuler tous les bons petits nerfs à la fois. Sur le dos cette fois, par contractions je fais bouger la grande boule et je maintiens la petite, qui pointe vers le ciel, entre deux doigts. Merveilleusement délicieux… Depuis je suis fan de la plus massive des extrémités. Elle vous laisse réellement pantelant, en fin de séance.
N’étant pas très sportif je n’ai pas l’infernale endurance de ceux qui vont trembler de plaisir une nuit entière (je suis jaloux)… mais je recommande “chaudement” ce jouet hors du commun.
AP41
ParticipantUtilisateur de jouets conçus pour la stimulation du point P depuis les tous premiers Aneros, j’ai dernièrement fait l’acquisition à quelques semaines d’intervalle d’un Njoy pure wand silver (la grosse boule, une fois apprivoisée, est une usine à orgasmes) et d’un Njoy Pfun plug. J’ai opté pour ce dernier en parcourant précisément ce site. Depuis le très délicat Aneros Tempo, je suis fan des jouets en métal. Si Aneros déclinait en version métal ses Progasm et Eupho, je les achèterais les yeux fermés. Pour ce qui est du Pfun plug, donc, c’est le côté métal et stimulateur prostatique (et pas simple “remplisseur”) qui m’ont incités à l’achat.
En pratique, comme tout jouet métallique, il s’insère très facilement et pas besoin de tonnes de lubrifiant. Sa petite poignée rend possible l’utilisation en étant assis (je l’ai d’ailleurs en moi alors que je tape ce petit commentaire). Sa forme étudiée fait qu’on peut le faire bouger comme un Aneros. Sa finesse à proximité de la poignée fait qu’il reste assez bien en place une fois inséré. Ensuite, d’un utilisateur à l’autre, la forme pourra faire la différence. Si je donne un 5/5 au Prograsm, je mettrais un très honorable 4/5 au Pfun plug, un poil trop incurvé et trop court à mon goût. Il faut dire aussi qu’Aneros proportionne diaboliquement bien ses jouets et que la concurrence a du mal à obtenir des formes aussi efficaces.
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