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  • en réponse à : Désespérer après un an d’utilisation #43833
    Arousal
    Participant

    @Andraneros : oui, probablement que ça participe du lâcher prise.


    @Kas
    : le plaisir prostatique est étrange. Il peut être intense et léger à la fois. Parfois insaisissable. Souvent si irréel qu’après-coup on se demande si on n’a pas rêvé/exagéré ces orgasmes inouïs.

    Et tout est tellement variable… d’une personne à l’autre et même chez la même personne. En ce qui me concerne, à un moment l’abstinence éjaculatoire décuplait mes orgasmes prostatiques, maintenant j’ai plutôt l’impression qu’il vaut mieux que je sois excité mais pas trop. Parfois il vaut mieux que je me mette sur le dos, d’autres sur le ventre. Tel masseur fait des miracles, puis plus rien ou presque, avant de retrouver ses propriétés…

    Bref, tu progresses, et c’est top 🙂

    en réponse à : Chroniques prostatiques #43832
    Arousal
    Participant

    Merci @Andraneros ! Oui on était dans ce registre-là 🙂

    en réponse à : Désespérer après un an d’utilisation #43819
    Arousal
    Participant

    Oui, je remarque aussi ce rapport un peu trouble entre orgasmes et vocalisations… avant j’orgasmais toujours en silence. Les orgasmes prostatiques m’ont fait commencer à vocaliser. Si je m’empêche de vocaliser, ben c’est moins bien. Et oui j’ai aussi l’impression que me mettre à vocaliser volontairement permet de faciliter la montée du plaisir.

    en réponse à : Chroniques prostatiques #43818
    Arousal
    Participant

    Nouveau point d’étape à 1 an du dernier 🙂
    Je peux écrire à peu près la même chose que l’an dernier : séances le plus souvent dans une bonne moyenne mais rarement époustouflantes.
    Depuis quelque temps, sensation d’irritation peu après la mise en place du masseur. Pas insupportable mais un peu ennuyeux, et qui s’estompe assez vite.
    Il semblerait que ce soit le beurre de karité. Je ne sais pas si c’est mon beurre de karité qui n’est plus assez « frais » ou si je fais une sorte d’allergie… Je me résous à faire sans.
    Fidélité absolue à l’Eupho… jusqu’à hier soir.
    Libido assez discrète ces derniers jours, brutalement réveillée hier soir sans raison particulière.
    Tiens, pourquoi pas un massage prostatique ?
    Et l’idée m’a traversé l’esprit de réessayer le Progasm Junior, que je n’ai pas dû ressortir depuis pas loin d’1 an.
    BINGO.
    Dès l’insertion, sensations agréables inhabituelles.
    Et très vite, plaisir prostatique qui monte crescendo. Avec des sensations moins précises, plus « diluées » qu’avec l’Eupho, mais semblant arriver beaucoup plus vite et facilement. Puis les orgasmes intenses et prolongés comme on les aime…
    Et à un moment, d’un coup, un emballement brutal, comme un coup de poing voluptueux dans le bas-ventre qui coupe le souffle et me fait me tortiller, limite convulser.
    Ca faisait longtemps !
    Mais pourquoi j’ai délaissé aussi longtemps les Progasm ???

    en réponse à : Eveil prostatique et perte de contrôle ? #41001
    Arousal
    Participant

    Je ne peux que confirmer les propos d’ @Andraneros .
    J’ai moi-même connu une période similaire d’auto-emballement peu après avoir découvert le plaisir prostatique. Cela n’a pas duré (ce qui est un peu dommage quand même).

    en réponse à : Chroniques prostatiques #41000
    Arousal
    Participant


    @bzo

    qu’utilises-tu comme technique?

    Oh, rien de foufou, des caresses bien placées 🙂 En particulier la couronne du gland et la peau juste en-dessous, correspondant à l’intérieur du prépuce, à l’aide de doigts lubrifiés.
    Mais aussi des massages de la face inférieure du pénis, et des corps caverneux. 🙂
    Par le passé j’aurais eu le choix entre devoir interrompre la stimulation (et donc le plaisir) de plus en plus fréquemment, ou “tout lâcher”… maintenant, même après une semaine de contention, je peux faire durer le plaisir en continu, presque jusqu’à m’en lasser.
    Vais-je résister à l’appel du sexe ce soir ? Probablement pas…

    en réponse à : Initiation au plaisir prostatique #40977
    Arousal
    Participant

    Bon je vais un peu casser l’ambiance mais… à mon avis, sans masseur prostatique, sans possibilité d’être seul en étant sûr de ne pas être dérangé pendant au moins 1 à 2h, ça va être très compliqué.
    Soit l’organisation de ta vie actuelle te le permet, soit il faut peut-être attendre des circonstances plus favorables.

    en réponse à : Chroniques prostatiques #40976
    Arousal
    Participant

    merci @Andraneros !
    Là aussi mon message de l’an dernier reste d’actualité, j’ai en quelque sorte redécouvert mon pénis. Il parvient à me donner des niveaux de plaisir élevés, qui durent, en maintenant la stimulation, sans éjaculer. On doit pouvoir appeler ça de l’edging mais dans edging il y a pour moi la notion d’être tout au bord de l’éjaculation, et là pas du tout.

    en réponse à : Chroniques prostatiques #40973
    Arousal
    Participant

    Un petit coucou presque un an après : peu de changements.
    Des séances prostatiques globalement moins gratifiantes ces derniers mois je dirais, probablement parce que je travaille pas mal, mais toujours fort agréables.
    Le Progasm étant trop gros pour moi, j’ai acheté un Progasm Junior. Pas super concluant, j’en reste à l’Eupho qui reste mon favori.

    en réponse à : Questionnements (peurs) avant de commencer #40972
    Arousal
    Participant

    est-ce qu’on se féminise …?

    Je ne pense pas qu’on se “féminise”, mais peut-être accepte-t-on plus facilement sa part féminine. Peut-être qu’on ose plus explorer des facettes de notre sexualité qu’on avait tendance à laisser dans l’ombre jusque-là. En particulier des aspects qu’on imagine traditionnellement féminins.

    en réponse à : Chroniques prostatiques #37230
    Arousal
    Participant

    Merci @Andraneros ! Oui j’ai l’impression de me réconcilier avec mon pénis 🙂 Nous n’étions pas en froid mais enfin j’avais tendance à le négliger. C’est quand même merveilleux d’avoir deux sources de plaisir aussi intenses et qu’ils puissent finir par se combiner !
    Ahah nous verrons si ma femme remarque quelque chose 🙂 (Comme j’ai déjà dû le mentionner par le passé nos rapports ne sont plus aussi fréquents que par le passé)
    J’ai déjà ressenti quelque chose d’approchant ce que j’ai décrit dans ma publication de ce matin lors d’un rapport sexuel (je pense là encore l’avoir rapporté quelque part ici), il y a quelques mois : un acmé de plaisir inhabituellement long avant l’éjaculation, m’amenant à des vocalises qui ont surpris mon épouse 🙂 C’est comme si j’avais réussi à pirater le fameux point de non-retour, le franchir sans payer le prix d’une éjaculation immédiate qui siffle la fin de la partie.
    Tout cela est très gratifiant. Le plaisir prostatique est une bénédiction pour la libido, j’ai maintenant du plaisir à me sentir excité sexuellement, et à le rester. Non pas que ça me gênait avant mais d’une certaine façon cette excitation « exigeait d’être soulagée ». Un orgasme et c’en était fini pour quelques heures ou jours. Maintenant, pas forcément, je peux jouer avec cette libido élevée pendant des jours…

    en réponse à : Chroniques prostatiques #37226
    Arousal
    Participant

    Après une phase un peu creuse, le plaisir prostatique reprend ses droits, des séances particulièrement gratifiantes ces derniers jours.
    Nouveauté ces derniers temps, je fais rentrer mon pénis dans le jeu. Au début un peu comme un dérivatif quand la séance prostatique était un peu décevante. Mais je me suis aperçu que maintenant m’occuper de mon sexe pouvait relancer la séance au niveau prostatique.
    Et lors de mes dernières séances j’ai en quelque sorte fusionné les deux univers.
    Je débute les séances comme d’habitude c’est-à-dire sans m’occuper du tout de mon pénis. Le plaisir prostatique arrive vite, je gémis longtemps et à plusieurs reprises.
    Je m’occupe alors de mon sexe tendu. C’est je trouve la pression du gland qui est en quelque sorte « reliée » au plaisir prostatique. Je le malaxe entre pouce et index et majeur (lubrifiés ou pas).
    J’obtiens d’abord un plaisir prostatique inhabituel, peut-être pas aussi intense que certains sommets, mais fort agréable quand même.
    Et progressivement, de plus en plus de plaisir, que je ressens comme prostatique mais ressenti au niveau pénien. Et ce plaisir devient aussi pénien sans cesser d’être prostatique, plaisir pénien qui s’intensifie jusqu’à atteindre ce maximum qu’on ressent une seconde avant que l’éjaculation se déclenche… Et reste à ce niveau alors que je continue mes massages du gland, jouissant en gémissant pendant plusieurs dizaines de secondes de cet orgasme mélangé. Au bout d’un moment quand même je sens l’éjaculation se profiler, je suspens un peu la stimulation, pour mieux la reprendre plus tard.
    Fatigué, je rends les armes à près de 2h du matin en laissant s’écouler le flot de semence qui attendait son heure avec impatience.

    en réponse à : Chroniques prostatiques #36395
    Arousal
    Participant

    Merci @Andraneros !
    Une évolution qui nécessite surtout de la patience. Je suis étonné (en fait pas tant que ça 🙂 ) de la capacité du corps à trouver tout seul le fonctionnement des masseurs prostatiques, sans l’intervention de la tête.

    en réponse à : Chroniques prostatiques #36388
    Arousal
    Participant

    Cela fait aujourd’hui deux semaines que tous mes orgasmes ont été prostatiques.
    Le plaisir prostatique en anerosless m’accompagne au quotidien, raccourcissant parfois un peu mes nuits comme ce matin 🙂
    L’appel de l’orgasme pénien n’est finalement pas si fort que cela même si bien sûr mon sexe réagit aux diverses stimulations avec une intensité inhabituelle.

    Arousal
    Participant

    Prends soin de toi, @bzo

    Arousal
    Participant

    En tout cas moi je ne contrôle rien du tout, je ne comprends toujours pas exactement comment ça fonctionne… mais ça marche 🙂

    en réponse à : Chroniques prostatiques #36356
    Arousal
    Participant

    On ne saurait mieux dire @Andraneros !
    Et en ce moment le plaisir est bien là, les “aless” font un joli come-back 🙂

    en réponse à : Chroniques prostatiques #36337
    Arousal
    Participant

    Bonne séquence de séances pleinement satisfaisantes.
    Décidément en ce moment c’est la position allongée sur le ventre qui est la plus favorable, bien que moins confortable.
    Souvent des orgasmes plus « violents » que d’habitude : je sens là-dedans que tout se tend, se contracte, gonfle, et le masseur s’emballe en, hmmm, « défonçant » ma prostate. (Par contraste avec des orgasmes doux où je ne sens pas ou presque pas le masseur bouger)

    en réponse à : Les paradoxes de l’orgasme prostatique #36105
    Arousal
    Participant

    En ce qui me concerne, je n’éprouve jamais le besoin de renouveler mon lubrifiant à base d’eau (ID Glide), même après plusieurs heures. En précisant toutefois que je pratique une lubrifications interne généreuse préalable à l’aide d’une seringue (seringue à médicament buvable), et que je tartine l’Aneros de beurre de karité.

    en réponse à : Liaison dangereuse #36096
    Arousal
    Participant

    Je suis très content de mon Progasm Ice, personnellement 🙂

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