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19 décembre 2018 à 10 h 45 min en réponse à : Savoir lâcher prise ou apprendre à lâcher prise ? #32140ArousalParticipant
C’est vrai que ces sensations sont assez mystérieuses, qu’il faut être initié pour y parvenir, et que l’usage d’une baguette magique est conseillé ! 🙂
ArousalParticipantPas sûr que la marque fasse une grosse différence, mais il me semble avoir vu sur un wiki en anglais qu’ils conseillaient ID Glide (entre autres) comme lubrifiant à l’eau. C’est celui que j’utilise. Avant je prenais le Durex. Honnêtement pas vu de différence notable.
J’avais aussi testé le lubrifiant au silicone, mais j’ai laissé tomber, ça salit pas mal (gras +++) et je n’ai pas trouvé ça mieux que le lubrifiant à l’eau. Mais tout le monde n’a pas le même avis là-dessus je pense.ArousalParticipantBonjour @Pimousse !
En ce qui me concerne, j’ai suivi les conseils d’Adam en commençant par un Aneros Helix classic, et je n’ai pas eu à m’en plaindre 🙂
J’ai par la suite tenté d’autres masseurs (Njoy Pure Wand, Progasm) mais ces derniers temps je reste très fidèle à mon Helix Classic : on ne change pas une équipe qui gagne !ArousalParticipantMerci @lighteningbolto ! Ahah oui, le super-O est presque effrayant, mais j’espère quand même ne pas te décourager à continuer ton chemin, qui semble prometteur ! Ca commence par des petites sensations, des bouffées de picotements prostatiques… Il faut un peu de temps à la prostate pour jouer pleinement son rôle de zone érogène, mais une fois qu’elle a pris le pli… 🙂
ArousalParticipantUne nouvelle séance « wow » hier soir, c’est-à-dire nouvelle meilleure séance de toute ma vie 🙂
Dès la mise en place de l’Aneros le plaisir était au rendez-vous, et l’orgasme est survenu dans les premières minutes.
Il faut dire que ma prostate me titillait et m’envoyait déjà des ondes de plaisir pendant la journée : elle avait déjà commencé depuis des heures.
Un Orgasme interminable. J’ai du mal à évaluer le temps de mes orgasmes d’habitude : pas trop la tête à ça bien sûr, et le fait de regarder l’heure tend parfois à rompre le charme. Mais là j’ai pu : plus de 20 minutes de jouissance en montagnes russes, à me tortiller, à gémir, parfois presque crier, la tête vide de pensées, tout à mon orgasme inouï. Quelques minutes de répit, et c’était reparti.
J’ai pu mettre fin à la séance au bout d’une heure, sans difficulté. Ce qui est très court pour moi : j’ai toutes les peines du monde à arrêter normalement. Soit la séance est relativement décevante et je me dis que peut-être en insistant encore un peu… (si, ça marche quelquefois). Soit elle est très satisfaisante et j’ai du mal à me refuser un « dernier » orgasme… Mais là, j’étais presque rassasié, ma prostate aussi : contrairement à son habitude, elle s’est « éteinte » quand j’ai décidé d’arrêter. Un pas vers sa « domestication » ?ArousalParticipantMerci de tes encouragements @Andraneros ! J’espère que nous sommes de plus en plus nombreux à laisser s’exprimer notre prostate (qui à tant à nous apporter si on apprend à l’écouter) grâce à ce forum !
ArousalParticipantQuelques mots sur ma progression, à près d’un mois de mon dernier message ici. Ce fut un “petit” mois jusqu’à la semaine dernière : assez peu de séances, relativement décevantes.
Mais mercredi dernier, réveil prostatique. Retour des orgasmes maintes fois répétés, à la saveur changeante, d’une très forte intensité tutoyant le super-O !3 décembre 2018 à 9 h 29 min en réponse à : Quels déclencheurs vous ont fait basculer vers le Super O #31893ArousalParticipantDifficile question. Il n’est déjà pas facile de se dire avec certitude « tiens, c’était un super-O ». Comme le rappelle @bzo, c’est une progression. Au début on ne ressent rien ou pas grand chose, puis un petit quelque chose, puis ça grandit, grandit…
On finit par se dire « wow aujourd’hui j’ai joui comme je n’ai jamais joui. Ça devait être un super-O ». Et la séance d’après, ou un peu, ou beaucoup plus tard, c’est encore plus intense.
Ceci dit, il m’est arrivé une fois il y a quelques semaines un orgasme particulièrement brutal qui m’a saisi, coupé la respiration, fait me contracter tout le corps : je me suis dit que c’était ça le super-O… encore une fois. Jusqu’à la prochaine ?
Pour répondre à ta question (y a-t-il un petit quelque chose qui m’a fait basculer ?), peut-être. J’étais dans une phase d’excitation sexuelle assez importante, et j’ai dû pratiquer le massage prostatique quotidiennement pendant une semaine (alors que d’habitude ça tourne autour de 1 à 2 fois par semaine), sans éjaculation pendant cette période.
Il ne faut pas courir après le super-O je pense. L’important c’est d’être présent à son plaisir, et le laisser grandir, quel que soit le nom qu’on lui donne.ArousalParticipantMerci @Andraneros !
En ce moment mes séances sont beaucoup plus espacées ; en effet je m’y consacre tard le soir, donc au détriment de mon sommeil. En ce moment j’éprouve le besoin de privilégier Morphée à Aneros 🙂
Pas de nouveau “vrai super-O” pour l’instant, mais de nombreux orgasmes intenses, prolongés et répétés qui deviennent mon (bien agréable) ordinaire.
J’aime bien l’expression “inquiétude gourmande” face au super-O. Je comparerais ça aussi à celle qu’on peut éprouver en s’installant dans le grand huit quand on n’a pas trop l’habitude 🙂ArousalParticipant@pcommep : oui parfois j’ai un peu comme la sensation de tomber, comme quand le grand 8 se met à plonger, juste avant un orgasme.
Sinon pour décrire ce que j’ai ressenti pendant ce super-O… pas évident… les mots sont difficiles à trouver… déjà je suis brutalement dans un état second, le plaisir prend d’un coup possession directement de ma région pelvienne et indirectement du reste de mon corps. Un plaisir… comment dire… brutal, violent, horrible, épouvantable 🙂 Clairement il y a moyen de tomber dans les pommes si ça se prolonge je pense ! Difficilement soutenable.
En fait si je devais décrire le plaisir prostatique je comparerais ça à l’inverse d’une forte douleur. “Tu t’es déjà écrabouillé le doigt avec un marteau ? Tu te souviens de la douleur ? La même chose en symétrique, côté plaisir”. Enfin ça c’est pour les “maxi-mini-O” ordinaires. Là en super-O on est bien au-delà !ArousalParticipantMon message du 24 (écrit à chaud) reflète assez mal ce que j’ai vécu : mon vrai premier super-O (là, absolument aucun doute), d’une intensité incroyable, presque intolérable, celui où on ne contrôle plus son halètement voire ses cris ni les mouvements de son corps. C’en était presque choquant, j’étais un peu tremblant, un peu comme après avoir vécu un événement traumatisant.
J’ai du mal à concevoir qu’un tel orgasme puisse lui aussi durer plusieurs minutes !ArousalParticipant@aros : génial ! Prends cette séance comme un entraînement, et on se détend +++ 🙂
ArousalParticipantOh le super-O qui m’a pris violemment par surprise il y a quelques minutes !!!
Court (15-20s ?) mais intense ! Je ne me tortillais plus en gémissant, je me tordais et me cabrais en haletant bruyamment…
Bon j’y retourne !ArousalParticipant@pcommep haha 🙂 Je me demande parfois sur tous les hommes que je connais ou que je croise dans la rue, combien sont des initiés, combien passent à côté du plaisir ultime 🙂
ArousalParticipantJ’avoue que je commence à me décourager…Je viens à nouveau de faire une séance, super détendu, les contractions comme il faut, les positions etc mais rien.
Alors en ce qui me concerne, je n’ai jamais fait de contractions volontaires (bon c’est moins vrai au stade où je suis maintenant). J’ai toujours trouvé que c’était complètement contradictoire d’essayer d’avoir une attitude d’écoute passive de son corps et dans le même temps de s’astreindre à ces contractions. Bref je suis adepte du “do nothing” : une fois le masseur en place, je m’allonge, je me détends, je suis à l’écoute de mes sensations, mais je ne “fais” (volontairement j’entends) absolument rien. Il y a des réflexes qui se mettent progressivement en place tout seuls, au bout d’un certain temps.
ArousalParticipantj’adore ces « répliques » du lendemain. Et A-less en plus. Donc pas besoin de se préparer. Elles arrivent n’importe quand, et surtout elles peuvent arriver n’importe où… Tu vas passer une bonne journée.
Oh oui j’ai passé une bonne journée, un bon week-end cette journée a bien commencé elle aussi 🙂 Les A-less sont toujours d’actualité. En fait il me suffit d’être un peu au calme et de me concentrer même assez superficiellement sur ma prostate pour qu’elle réponde ! Et aller bosser avec des orgasmes sur le trajet, ça ensoleille le lundi matin 🙂
Une seule séance avec masseur depuis celle mythique de jeudi, très sympa mais forcément un cran au-dessous ! -
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