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bzoParticipant
jouer à séduire son être intérieur
faire monter le désir dans son propre corps
ce jeu de séduction interne c’est magiquej’aime beaucoup ce que tu as écris là, @modeyin,
oui, on apprend à se séduire, à succomber à soi-même,
on apprend à séduire son corps, à séduire sa chair,
on apprend à s’aimer un peu, passionnément, à la folie, quelques instants,
à gémir et à se pâmer sous ses propres caresses,
à tourner le désir vers soi-mêmepar un jeu de miroirs, on s’enflamme,
on cherche une intimité brûlante avec son propre corps,
on requiert sa complicité de plus en plus grande, de plus en plus totale,
quand je me mets en mode yin, je suis en mode séduction de moi-même,
de moi-même tout entier, sans restrictions et sans tabous,
je me tourne la tête, je me rends fou de désir,
enflamme mes sens avec mes propres mouvements, mes propres gestes,
mon propre contact, ma propre peau, mon propre bassin, mes propres brasse séduire et s’offrir à soi-même tout entier,
jouir ainsi, s’offrant tout entier à soi-même, comme lors d’un acte amoureuxbzoParticipantc’est délicieux, tout cela, n’est pas?
ce corps qui devient de plus en plus complice,
qui réserve de plus en plus de surprisesparfois, il suffit d’un rien,
juste être là, bien dans l’instant, de sentir cette chair pleine de vie
et hop, déjà on est empli de sensations délicieuses
qui semblent arriver toutes seulesvivre l’instant, être juste là
et avoir plein d’envie,
sentir le feu du désir prêt à nous enflammer
et juste se lâcher, se laisser emporter, n’opposer aucune résistancebzoParticipantJe ne comprends pas pourquoi je ressens beaucoup plus de plaisir jusqu’à atteindre l’orgasme sans masseur, alors qu’avec le masseur je ne ressens pas la moindre vague de plaisir !!
la pratique aneroless est plus riche, plus variée,
de plus vastes perspectives aussi, dans la mesure où tu peux mixer ta pratique à ton quotidien,
obtenir des sensations tout en faisant la cuisine, en étant assis devant ton ordinateur,
certains même, assis dans le métro parmi des gens, au bureau, etcalors pourquoi avec le masseur, rien?
c’est juste passager, cela viendra ou reviendra, je parle d’expérience,
pendant des semaines, des mois, je n’ai plus pratiqué avec masseur
pour les raisons que j’explique juste au-dessus
mais le fait est que , même si la pratique avec masseur est plus limitée, moins riche,
elle a tout de même très largement de quoi nous offriril y a des différences intéressantes, des sensations que l’aneroless ne peut nous offrir
grâce à cet objet physique introduit dans l’anus, grâce à un contact physique avec la prostate,
il y a ainsi des sensations propres au masseur qui valent vraiment la peine,
j’ai redécouvert peu à peu cela
et désormais, même si ma pratique aneroless est très largement majoritaire,
il y a tout de même de 10 à 25% de moments avec masseur aussi,
je mixe en fait, durant une même séance, des moments avec , des moments sansalors pourquoi tu ne ressens rien?
la raison est simple, toutes nos pratiques parallèles au plaisir par défaut de nos corps d’homme,
c’est-à-dire juste une introduction du pénis dans un orifice
et puis les va et vient,
dépendent beaucoup de notre ouverture d’esprit, de notre capacité à accepter le plaisir, à nous relâcher, etc,
c’est pour cela d’ailleurs que chez beaucoup de débutants, c’est si erratique, si aléatoire
car cela dépend beaucoup de notre disposition d’esprit,
donc si tu as constaté dans ta chair à quel point l’aneroless était supérieur au masseur,
cela peut très bien s’être transformé en apriori défavorable qui bloque tout pour l’instantcela passera avec le temp
ou pas…
cela dépend de toi, il faut juste accepter le masseur pour ce qu’il peut offrir,
moins certes que l’aneroless,
néanmoins il y a suffisamment de spécificités,
avec, on peut très bien obtenir des chapelets d’orgasmes à la queue leu leu pendant des heures
et puis des super O ,
donc il y a tout de même un énorme potentiel à explorer
à partir du moment où l’on accepte qu’il y a moins de richesses, moins de nuances,
moins de souplesse aussi21 octobre 2020 à 9 h 13 min en réponse à : Mon retour, mon cheminement (qui ressemble aux vôtres) #39134bzoParticipantEn effet, pendant mes sessions, le plaisir est venu assez rapidement mais ce plaisir stagne à un niveau juste en dessous d’un plaisir intense je dirais. Ressentir ce plaisir me donne envie d’en avoir plus
on est comme cela, on en veut toujours plus, notre soif de plaisir est sans fin,
si cela peut te rassurer,
même le jour où tu connaîtras ton premier super O,
après tu en voudras un autre , encore plus long , encore plus intense,
c’est dans la nature du désir, dans ses gênesma main trouva le chemin de mon sexe pour commencer à faire des caresses et à me masturber.
cela par contre, c’est dommage,
il y a des moyens tellement plus efficaces de faire durer et de faire monter le plaisir,
toi qui est un raffiné,
tu devrais essayer juste le travail des cuisses sur tes génitaux,
leur danse lascive tout en frottements, effleurements, pressions diverses et variées,
cela créé une montée graduelle de la tension sexuelle, tout à fait délicieuse
qui finira par une explosion orgasmique comme tu en auras jamais connue jusqu’iciet au fur et à mesure, des nuances de plus en plus riches et variées,
on change de positions un peu, beaucoup, à la folie
tout en laissant les couilles, le sexe et les cuisses, s’entremêler, jouer à frotti frotta
et force-toi à ne jamais laisser intervenir la mainalterne cela aussi constamment avec des contractions
pour que la prostate participe à ces jeux,
tu verras la fusion de plus en plus efficace des ondes génitales et des ondes prostatiques,
c’est tellement délicieuxAllongé sur le canapé, j’ai fermé les yeux et j’ai commencé mes respirations abdominales. Il ne m’aura fallu que quelques minutes pour que les premières vagues pointent leur nez. Ces vagues furent de plus en plus intense et je pense avoir atteint un pic non atteint jusqu’à maintenant. Je continue mon ascension et je sais qu’il me reste encore beaucoup de sommet à gravir.
cela vient très progressivement chez toi mais tu es définitivement sur la bonne voie,
bien sûr, on aimerait que ce soit un feu d’artifice irrésistible à chaque seconde
mais je peux te confirmer qu’il y a un stade
où la sensation de jouissance, devient constante, omniprésente
et où cela peut venir de toutes parts, tout le corps participe,
tout le corps réagit comme un organe sexuel,
patience, patience18 octobre 2020 à 20 h 46 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies II (journal de ma pratique sexuelle et autres) #39128bzoParticipantc’est fini, je n’écrirais plus ici,
cependant si quelqu’un, engagé dans la voie du plaisir en mode yin, le plaisir au féminin,
tombe sur ce fil et qu’il est en quête de conseils, en quête d’explications,
il peut toujours me mettre un message ici,
j’en serai alerté par mail et sera toujours prêt à venir aider de mon mieux
car si cette façon de pratiquer, à partir d’un certain stade,
est ô combien gratifiante, riche, intense, unique,
avant d’y arriver, elle est aussi difficile, très difficile même
mais bon, tout dépend de notre motivation,
de notre volonté à laisser flamber le désir sans limites en nous11 octobre 2020 à 15 h 05 min en réponse à : Ma prostate me donne enfin cet orgasme tant attendu #39076bzoParticipantY a-t-il quelqu’un qui connaisse ce même phénomène étrange?
peut-être en effet, ta prostate a du mal à s’enclencher le matin
mais rien n’est définitif,
si tu forces, t’acharnes plutôt,
elle aura peu à peu la même aura bénéfique qu’en soiréeil n’y a aucune limites nulle part, aucune fatalité,
tu peux rendre ton corps, dans son entièreté, aussi bien avec masseur , qu’aneroless,
à toute heure du jour comme de la nuit, aussi au réveil, que mort de fatigue en fin de soirée,
aussi réactif, aussi généreux, à ton désir, que tu le veuxtout cela dépend de ta volonté d’avoir du plaisir
et des moyens (patience, persévérance, curiosité, audace) que tu investis pour l’obtenir,
rien de plus, rien de moins,
tu peux jouir en aneroless aussi bien au réveil qu’en plein milieu de la nuit11 octobre 2020 à 11 h 29 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies II (journal de ma pratique sexuelle et autres) #39073bzoParticipantje crois que je vais arrêter d’écrire dans ce fil pour un temps,
peut-être définitivements’il est vrai que j’écrivais essentiellement pour mon plaisir parce que j’ai toujours aimé l’écriture,
construire un texte, même de quelques lignes,
c’est un peu comme construire une maison, ou du moins, soyons plus modeste, plus précis aussi,
une cabane, un abri temporaire, dans le cours du temps,
il y a une architecture, en tout cas une sorte de plan général qui se dégage
au fur et à mesure que sortent les mots,
des fondations à peaufiner, des murs à élever, des pièces ou au moins une pièce, où vivre quelque temps, etcces textes me permettait d’allier ma passion pour les mots, les phrases
à une autre passion qui me tient au coeur, aux tripes, au sexe, ces dernières années,
qui m’est devenue chère, vitale, essentielle,
qui me fait progresser, me permettant de me découvrir toujours plus, de m’explorer, de repousser mes limites,
et j’ai la faiblesse de le croire, qui me rend meilleur par bien des aspects
et qui aussi, ne l’oublions, pas, soyons prosaïque,
rassasie ma chair au quotidien, assouvit mes besoins sexuels,
cette pratique que j’ai découverte comme la plupart qui s’égarent par ici, grâce à ce forum,
même si depuis, je me suis éloigné complètement de la façon décrite dans le Traitédonc s’il est vrai que j’écrivais surtout pour moi-même,
néanmoins, j’espérais aussi avoir un dialogue régulier avec des gens ayant le même genre de pratique que moi,
des personnes, disons, visant une sorte de plaisir au féminin dans leur corps,
sensations en mode yin, pour faire court,
pendant certaines périodes, le forum a été fréquenté par quelques autres ainsi motivés et mus
et je pouvais échanger avec eux, j’espérai que cela durerait,
j’ai attendu un bon bout de temps, espérant au moins des visites de temps à autre,
mais nonj’ai l’impression d’être dans un cul de sac désormais par ici,
de lancer mes textes dans le désert,
le vent les emporte, le sable les englouti peu à peu,
aussi malgré la petite satisfaction, bien réelle et qui va me manquer, d’écrire mes petits textes,
je vais mettre en pause, voire stopper définitivementmais je vais continuer à lire tout de même et éventuellement répondre à des messages,
bon en même temps, je ne sais pas si je vais tenir le coup longtemps sans eux (mes textes)
car je me vois mal m’inscrire sur un forum de littérature
et leur balancer mes textes sur ma pratique en solitaire,
on va voir, je ne m’interdis rien,
voir même déjà de pondre à nouveau des messages dans ce fil dans quelques jours,
il faut en tout cas que je vois quelque temps comment cela se passe sansbzoParticipanttant que j’y suis,
c’est peut-être normal, c’est un groupe à part avec des autorisations spéciales
mais sur le Discord, je ne peux pas consulter la rubrique “cinéma”j’ai ce message:
“tu n’as pas la permission de consulter l’historique des messages de #cinéma”bzoParticipantbon..
je me suis fait à nouveau attrapé,
cela arrive moins qu’avant, c’est une question, je crois en fait, de ne pas éditer trop vite,
il doit considérer cela comme du spammais c’est peut-être aussi lié à la quantité de texte qu’on édite,
un croisement entre ces deux paramètresenfin bon, merci d’avance
bzoParticipantau point de devenir capable de jouir rien qu’en y pensant.
mais je crois comprendre ce que tu veux dire
si ce qui m’est venu à l’esprit, correspond bien à ce que tu as voulu dire par là,
je reformulerai de telle manière: je ressens ce que j’ai envie de ressentirtout est possible une fois qu’on a acquis une complicité totale de son corps,
quelque part je lui dis,” je bouge ma main, faire moi ressentir d’une certaine manière ce mouvement”
et si vous êtes suffisamment convaincant avec votre corps, il va vous le faire ressentir
ce que vous avez envie de ressentir
même au centuple en fait
car le corps est d’une générosité aveugleau plus vous êtes convaincant, au plus il va vous le faire ressentir,
je suis à 100% dans ma caresse, dans la contraction, tout mon être s’est glissé dans le mouvement,
je me laisse entraîner tout entier, je suis à 100% emporté,
c’est cela qui convainc le corps de jouer le jeu avec vous
et de vous faire vivre, de vous faire ressentir, une autre réalité sensorielle,
de jouir autrement, avec 100 fois plus de puissance et sans limites dans le tempson pourrait aussi dire que j’imagine avec mon corps mon plaisir,
on collabore instant après instant pour construire les sensations, la jouissance,
on peut imaginer avec sa tête mais on peut aussi imaginer avec son corps,
c’est là que cela devient vraiment intéressant pour des pratiques différentesje suis avec ma cuisse, dans ma cuisse et je lui suggère,
“monsieur cuisse, ressentons maintenant, cela va nous faire du bien à vous comme à moi,
mieux que cela, monsieur cuisse, ressentons différemment, ressentons essentiellement au féminin, voulez-vous,
c’est tellement plus puissant et il y a tellement plus de variété, comme cela,
monsieur cuisse, vous avez cela au fond de vous,
je sais que c’est enfoui au fond de vous, de ressentir comme cela,
on va travailler dans ce sens, vous et moi, jusqu’à le vivre totalement”9 octobre 2020 à 23 h 48 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies II (journal de ma pratique sexuelle et autres) #39063bzoParticipantles postures, les gestes, les mouvements, les contractions, les caresses,
enfin tout quoi, tout ce que l’on fait et ce que l’on ne fait pas,
tout s’ajuste peu à peu de lui-même, si l’on n’y pense plus,
si on se laisse juste entraîner par le désir,
se contente juste de ressentir dans l’instantcependant les lois sont d’airain dans notre chair,
et la révolution est lente, besogneuse, méticuleuse,
pour libérer le désir, pour libérer les énergies en nous,
mais la bonne nouvelle du jour,
c’est que la voie est vraiment enfantine,
il suffit de commettre toutes les erreurs possible et imaginables
et de ne pas avoir peur de les commettre
et de continuer à tracer son chemins’écouter, s’écouter,
l’on est un livre plein de couleurs et d’images à feuilleter, sexuellement,
si on s’écoute bienla sexualité ne devrait être qu’un jeu pour se redécouvrir,
soi-même et les autres,
redécouvrir le miracle que nous portons en nous9 octobre 2020 à 23 h 12 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies II (journal de ma pratique sexuelle et autres) #39062bzoParticipantcette chair a tous les pouvoirs sur cet esprit,
cet esprit a tous les pouvoirs sur cette chairensemble nous délirons,
ensemble, nous vivons l’incandescence du moment,
ensemble, nous sommes une cérémonie vaudou,
un autel sur lequel on sacrifie, un autel sur lequel le sang coule,
tout autour, une danse païenne, un tamtam tellurique,
tout autour, parfum de stupre dans les narines,
taureau!taureau!taureau!9 octobre 2020 à 19 h 49 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies II (journal de ma pratique sexuelle et autres) #39060bzoParticipantenfin seul! des gens toute l’après-midi et en début de soirée, chez moi
bon j’exagère bien sûr, j’aime bien aussi être avec des connaissances,
on bavarde, on rigole, on mange, on discute de tout et de rienmais bon, après quand la porte se referme,
je cours jusqu’à la salle de bain pour me débarrasser de mes vêtements,
nu, seul chez moi, il y a directement comme un déclic un peu partout en moi, des verrous qui sautent,
toute une machinerie, à la fois sophistiquée à l’extrême et animale qui se met en routema chair vibre déjà à chaque pas, mes bijoux de famille frottent doucement contre les cuisses,
je les garde exprès, tout en marchant, un peu serrées, à cet effet,
il faut que je me touche, ma peau le réclame, je frissonne déjà rien qu’à l’idée du contact,
j’ondule un peu lascivement du bassin maintenant tout en marchant,
c’est bon, je suis déjà prêt à décollermon dialogue intime avec mon corps, explorer les allées sombres de cette chair,
religieusement sexuel, sexuellement religieux, tout cela,
il faut que je mette les bouchées double, tant d’heures d’inactivité,
mais non, je plaisante, je ne ne suis pas pressé pour un sou,
au plus cela devient omniprésent en moi, facile, puissant, riche, varié,
au plus je me sens épanoui, rassasié, équilibré, au fil des jours,
juste bien, content de vivre,
adorant, révérant même, cette chair dans laquelle je suis fondu
et qui me livre des trésors tellement inattendus,
je sais que j’ai quelque chose de précieux en moi, quelque chose d’unique,
quelque chose que je découvre au fil des jours et qui me rend meilleurje m’arrête, rejette un peu la tête en arrière tout en fermant les yeux,
c’est bien, tout est encore là, rien ne s’est envolé, la fête peut recommencer,
aller, une contraction, que ma fusée s’arrache,
que je sente sa poussée, les flammes du décollage, partout en moi9 octobre 2020 à 19 h 36 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies II (journal de ma pratique sexuelle et autres) #39059bzoParticipantcela fait maintenant un bout de temps à nouveau que je n’ai plus éjaculé,
mes réservoirs sont plein, plein, plein à craquer,
l’impression pourtant que cela continue de se remplir
malgré qu’il ne semble plus y avoir la place pour une goutte de plus,
c’est comme en fait, s’ils augmentaient de taille ensemble maintenant, contenant et contenu
et qu’ils s’installent un peu partout en moi, là où ils trouvent de la place
(ils en trouvent toujours)résultat, la moindre contraction, le moindre mouvement langoureux dans mon bassin
et je suis directement en roue libre, empli de vibrations puissantes partout,
comme si un de ces réservoirs s’était percé
et s’en échappaient des jets d’énergie pure directement partout dans mon corps9 octobre 2020 à 19 h 31 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies II (journal de ma pratique sexuelle et autres) #39058bzoParticipantau fond, avant même le plaisir,
ce que je recherche avant tout désormais,
c’est cette sensation de communion, de complicité totale, avec mon corps,
de me sentir comme uni à lui, dans un même élan,
de me sentir entier, recomposé,
de me sentir en même temps, ange et animal,
en même temps, masculin et fémininsentir ces flots d’énergies qui montent en soi, qui se répandent
qui finissent en bouquets de sensations ineffables,
ils signifient quelque part avant tout pour moi,
que comme un instrument de musique bien accordé
et en même temps, comme un musicien aux doigts bien exercés,
je parviens à jouer les notes qu’il faut pour faire naître de l’ineffable,
les notes qu’il faut pour me faire vivre des moments d’une intensité unique,
les notes qu’il faut pour parcourir en moi des territoires inconnus
et enfin plus immédiatement, les notes qu’il faut pour transformer,
ma chair en une fête charnelle délicieuse, jouissive continuellement,
il y a comme une extraordinaire sensation d’épanouissement à la clef, ainsi,
en dégustant toutes ces strates qu’on peut percevoir en soibzoParticipantau point de devenir capable de jouir rien qu’en y pensant.
hum…c’est exagéré ça, aussi instantané que ce soit chez moi,
aussi facilement et intensément que cela me vient désormais,
j’ai mes déclencheurs, si je n’effectue aucune contraction,
aucune caresse, aucun mouvement du bassin, enfin rien de mon arsenal habituel,
je pourrais y penser aussi fort que je veux, rien ne se passeraet puis de toutes façons comme je l’ai écrit à maintes reprises,
je pense le moins possible quand je suis en action, les pensées nous coupent de nos sensations,
jettent un voile tout de suite sur notre ressenti, sur ce qui monte comme signaux de notre corpsTu pourras faire » monter » un orgasme en te concentrant sur ce que tu ressens quand il se produit.
par contre, cette expression, j’aime bien, cela correspond bien,
ressentir et se concentrer sur ce que l’on ressent,
tout en se lâchant complètement pour faire monter les énergies,
c’est une recette gagnante, il me semblebzoParticipantpour finir est il deconseillé de toucher sa prostate regulierement en prenant sa douche par exemple.
peuchère, tu touches ta prostate autant que tu veux,
la seule règle, pour moi, c’est que le désir soit làtu peux y aller même 24h sur 24,
au plus tu t’occupes de ta prostate, au plus ta prostate s’occupera de toimoi
mais bon j’ai une autre façon de pratiquer,
j’ai plein de micro-réveils la nuit,
à chaque fois, c’est devenu automatique,
je me caresse un peu, bouge langoureusement et fais monter une contraction
et immédiatement je m’emplis d’ondes délicieuses,
un ou deux gémissement après, je suis déjà rendormi
et cela dix, quinze fois par nuiten journée, en faisant la cuisine, la vaisselle, pendant mon linge,
je n’arrête pas en fait quand je suis tout seul à la maison,
sauf quand je lis,
quand je regarde un film ou une série, je mets en pausetu peux établir un dialogue constant avec ta prostate
mais c’est surtout valable en aneroless,
c’est un des grands avantages,
le plaisir, les sensations deviennent une façon de vivre,
il n’y a plus vraiment de séparation dans le fil du quotidien,
les moments exceptionnels, intenses, du ressenti sexuel
partages le fil du quotidien avec des actes plus prosaïquescela va bien au-delà du sexuel d’ailleurs,
c’est une sorte de dialogue intime, de complicité, avec son corps qui s’établit
qui dépasse le cadre du sexuel,
cela devient tellurique, tantrique, vaudou, enfin tout ce que tu veux, selon ton inclinaison4 octobre 2020 à 9 h 48 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies II (journal de ma pratique sexuelle et autres) #39014bzoParticipantje vais encore revenir sur les différences entre le mode yin et le mode yang,
j’ai bien observé cela ce matin sous les couettes , m’étant réveillé plus tôt
et me suis offert quelques moments délicieux
bien pris la peine aussi d’observer sur ce qui se passait dans mon bassincar oui, c’est avant tout dans le bassin que cela se passe,
le mode yin nait dans le bassin,
c’est une ondulation dansante dans le bassin avant tout,
une ondulation dansante qui est aussi un mouvement d’aller et retour, un va et vient,
un va et vient sinueux qui engage tout là en bas,
vos hanches, vos fesses, la petite crevasse au milieu,
votre cul avec la fente, quoi,
jusqu’aux abdominaux même, par momentsoh, ce n’est pas forcément toujours très visible,
j’ai pu le constater en m’étant filmé longuement dernièrement,
sur l’image, on ne voyait qu’un très léger mouvement en bas la plupart du temps, à peine distinct,
cependant ici ce qui compte, c’est ce que vous ressentez, pas ce qui se voit, ce qui est fait réellement,
mettez-vous cela bien dans la têteun mouvement sinueux, dansant, dans le bassin donc,
les épithètes pour le qualifier, comme cela à brûle-pourpoint, sont langoureux, lascif, lancinant,
pas très original mais pourtant c’est très exactement cela,
une sensation donc, d’ondulation lente, lascive, dansante, dans le bassin
comme des allers et des retours, un va et vient délicieuxen deux temps donc, rythmiquement,
à l’aller, relâchement des muscles du cul tout en écartant légèrement les cuisses
et tendant la croupe un peu vers l’arrière, le tout lentement, en tout cas au début,
une sensation de creux chaud, de vide soyeux, entre les cuisses, s’installe,
une fois que vous êtes en bout du mouvement,
le retour,
celui-ci est entamé par la contraction,
elle démarre très exactement dans l’écart, le vide, entre les cuisses qui s’est créé, l’instant d’avant,
là, la contraction doit naître, s’installer, commencer à pousser, à croître,
comme un piston lent, très lent, très frottant,
essayez de bien sentir millimètre par millimètre, la progression de la contraction entre vos jambes,
comme elle commence à s’élever dans vos entrailles,
comme elle semble prendre de l’expansion en mettant le feu tout autouraller, retour, aller, retour, aller, retour,
danse ondulante, rythmique, qui engage tout le bassin, tout le cul,
tout doit danser lentement, tout doit aller et venir lentement,
comme un roseau dans le vent, vous vous pliez et vous vous redressez,
vous cédez et puis vous regagnez du terrain, vous cédez et puis vous regagnez du terrain,
sentez le rythme, sentez-le envahir toutes vos cellules de sa danse langoureusevous pouvez partir du mouvement de va et vient,
fermez les yeux et commencez avec votre bassin un mouvement de va et vient
comme si vous pénétriez votre compagne ou votre compagnon,
n’imaginez surtout pas, laissez votre imagination et vos fantasmes tranquille,
juste sentez votre corps, sentez votre bassin, faites-le avec votre bassin
et essayez de vous investir autant que possible dans le mouvement comme si vous y étiez,
que votre sexe bien dur entre dans des chairs,
laissez les bras pour l’instant juste immobile, ne participant pas à l’action,
tout se passe, de toutes façons, essentiellement dans le bassinvous allez et vous venez donc, rythmiquement, lascivement, vous avez les yeux fermés,
laissez vous aller, laissez-vous entraîner par le mouvement,
sentez comme il est rythmique, comme il est lancinant, comme il est langoureux,
laissez-vous entraîner par lui, sentez comme vous pénétrez bien, comme vous pénétrez loin,
les chairs en face se donnent, s’ouvrent de plus en plus, enserrent votre sexe,
le pressent, le compressent, voudraient l’avaler, l’engloutir,
comme tout est humide, comme cela glisse bien,
sentez votre petite colonne, comme elle est raide, chaude, vibrante,
sentez bien son mouvement rythmique d’aller et retour, sentez sa raideur délicieuserestez bien concentré sur le bassin, sentez comme vous êtes en érection,
sentez cette érection en vous, bien que probablement votre vrai sexe,
celui qui pend entre vos jambes, reste probablement molle et pendouillant,
sentez comme tout le corps participe au mouvement, comme tout votre être s’engage,
le mouvement, le mouvement lancinant qui vous entraîne de plus en plus,
votre sexe en érection qui monte et qui sort, vous le poussez, vous le sentez pénétrer toujours plusvotre sexe en érection est un pont, un pont immense, il est temps pour vous de l’emprunter,
au bout de votre sexe en érection, il y a une ouverture chaude, accueillante,
installez-vous dedans, sentez comme vous y êtes bien,
sentez le mouvement ici comme on le sent bien aussi, encore mieux en fait, bien mieux,
comme il est encore plus dansant, encore plus langoureux, par ici,
sentez-vous votre bassin, comme il s’ouvre, comme il se donne, comme il est souple,
avec les lents coups de boutoir que vous lui donnez?
sentez-vous comme votre chair est pénétrée , comme c’est irrésistible?
cette petite colonne chaude, dure qui monte dans vos chairs,
comme cela frotte, comme cela enflamme, à chaque millimètre de progressioncherchez le pont en vous dans le mouvement, dans le mouvement lascif et lancinant,
c’est juste votre sexe dur, le pont, vous pouvez l’emprunter pour vous retrouver de l’autre côté,
fermez les yeux et laissez-vous vous entraîner,
patience et s’investir corps et âme dans ce qu’on fait, pas juste du bout des lèvres,
sinon dans un siècle, vous y serez toujourschez moi ce mouvement dans le bassin, il déclenche tout,
le féminin est immédiatement partout en place chez moi,
l’identité sexuelle de mon corps s’efface, je vis mon plaisir au féminin
mais c’est le résultat de mois et de mois de pratique,
cependant à chaque stade, il y a des satisfactionspour passer en mode yang donc,
rien de plus simple, il suffit d’arrêter ce mouvement dansant dans le bassin,
le féminin comme s’évapore en quelques secondes,
après le bassin reste bien statique tandis que les contractions reviennent,
le même jeu en fait, le même type de mouvement chez moi, d’aller et retour,
toutes sortes de variations délicieuses des contractions, des mouvement sinueux, dansants,
changement de rythme, changement de direction, accélérations, ralentissements
mais sans le bassin donc, sans la danse dans le bassin qui déclenche tout le féminin,
le fait monter4 octobre 2020 à 0 h 13 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies II (journal de ma pratique sexuelle et autres) #39013bzoParticipantpas mal occupé aujourd’hui
mais eu le temps tout de même de pratiquer par-ci, par-là,
ai continué à travailler sur ces transitions de mode yin en mode yang,
j’y arrive maintenant sans accroc, tout simplement, en quelques instants,
quand mes cuisses s’écartent des génitaux,
quand il n’y a plus de production d’ondes génitales, uniquement des prostatiques,
quasi automatiquement désormais, je m’immobilise complètement et graduellement passe en mode yang
en effet, il semble plus effectif quand il n’y a plus que des ondes prostatiques seules dans mon bassin,
cela prend une trentaine de secondes pour bien se stabiliser,
pour bien trouver mes repères, le bon rythme de contractions,
m’habituer à mon corps moins réactif pour l’instant, moins vibrant de partout
le féminin semble s’être éteint momentanément dans ma chair,
par contre dès que je me remets en route en mode yin,
il reprend sa place beaucoup plus rapidement, quasi instantanément,
sans doute est-ce une question d’habitudej’aime aussi son côté reposant, au mode yang, je suis immobile ou à peu près,
seules les contractions bougent en moi, tout le reste a arrêté de vibrer, de participer, pour l’instant
à part pour le faisceau d’ondes dans mon bassin qui grossit, qui grossit,
qui monte, qui descend, qui monte,
on dirait une grosse flamme de vibrations à partir de mon bas-ventre, encore un peu incertaine par moments
mais qui danse déjà délicieusement la plupart du temps
et dont je sens déjà tout le potentiel d’orgasmes et de super O
car j’ai reconnu tout de suite ces sensations dans mes souvenirs du temps où je pratiquais avec masseurc’est nouveau et c’est très excitant car je sens ainsi
les orgasmes prostatiques classiques et les super O, à nouveau à ma portée,
en route vers une pratique toujours plus totale, plus englobante, plus épanouissante, plus riche3 octobre 2020 à 12 h 02 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies II (journal de ma pratique sexuelle et autres) #39006bzoParticipantil s’est passé quelque chose de vraiment étonnant hier dans la nuit,
dans ma délicieuse nuit de luxure,
une de plus…
une de plus, incomparable, unique, comme beaucoup d’autres,
une de plus
où j’ai été lâché sans surveillance dans le magasin aux rayons remplis de bonbons,
les délicieux bonbons de la luxure, fourrés de volupté, de jouissance,
au parfum de râles, de gémissements, de cris gras, impudiques, sans retenue, montant des entraillescomme je les croquais, comme je les avalais, comme je m’en empiffrais,
je les faisais tomber, dégringoler en cascade des rayons, je m’en couvrais,
je les lançais à pleines mains à la ronde,
je riais comme un fou de les sentir partout en moi, partout sur moi,
cela dégoulinait de tous les côtés, j’en bavais, je me sentais empli et en même temps désincarné,
je m’étouffais par moments tellement je les engouffrais sans discontinuité
comme avec une pelle et sans prendre la peine de mâcher,
cela baffrait, cela haletait, cela jouissait, cela grognait
mais cela murmurait aussi tendrement dans ma chair,
cela chantait harmonieusement aussi au milieu de toute ce irrésistible élan animal,
de ce rut vertigineux de toutes mes cellules,
un choeur splendide s’élevait en moi, me faisant ressentir toute la luxuriance inouïe de la viebon après cette entrée en matière lyrique à souhait,
revenons au point d’étonnement,
en quelque sorte, tout ce que j’ai écris dans les messages plus haut, jusqu’ici dans ce fil,
n’était plus valable, ne comptait plus trop hier soir par moments,
n’était plus vrai du tout, n’était plus moi durant l’action,
en ce sens, que je suis parvenu à me mettre en mode yang, toujours aneroless bien sûr
mais à fonctionner donc en mode yang, plus uniquement en mode yin
comme c’était le cas systématiquement depuis des années durant la pratiqueainsi en mode yang, avec des sensations extrêmes, paroxystiques, certes
mais dans le prolongement de mon identité sexuelle,
on est beaucoup plus statique, la dynamique est tout à fait différente,
fini le mode liane lascive, les caresses langoureuses, le bassin qui chaloupe,
les coups de griffe comme une panthère de temps à autre,
les mouvements langoureux, la lascivité qui exsude de partout,
c’est nettement plus spartiate en apparencebon différent en fait, j’ai analysé tout cela longuement,
ce matin, me suis beaucoup entraîné, passer constamment du mode yang en mode yin et vice et versa,
bien comprendre ce qui se passe, qu’est-ce qui se met en route d’un côté, plus de l’autre,
bien comprendre ce qui fait l’essence de l’un, l’essence de l’autre
et ma foi, je suis très content de tout ce que j’ai grapillé comme enseignementssuperbes perspectives de l’autre côté aussi, finalement,
bien que je sois un homme, je n’étais trop habitué à fonctionner en mode yang,
n’ayant pas de vie sexuelle active avec partenaire depuis des années,
étant redevenu timide et ignorant comme un puceau,
mais là, cela a été une redécouverte du potentiel prostatique ainsi,
certes je l’ai déjà vécu pleinement, superbement, avec masseur, il y a quelques années,
mais là hier soir c’était aneroless, avec toute ma progression à tous les niveaux depuis,
ma prostate, mes génitaux, devenus tellement tellement réactifs,
les flots d’énergie montant tellement facilement en moi, m’inondant instantanément,
cela fait un monde de différence tout cela
et après des années de plaisir que je qualifie de plaisir au féminin, en mode yin donc,
cela a agi véritablement comme une révélation sur moivivre sa prostate, ses organes génitaux, tout son corps, en mode yin ou en mode yang,
produit des sensations soeurs mais néanmoins tellement différentes dans leur perception,
je travaille désormais pour l’instant, à basculer d’un côté ou de l’autre, de plus en plus efficacement,
voir si c’est possible, si c’est intéressant
ou bien s’il est préférable de rester plutôt en un mode ou en l’autre, durant de plus longues séquences,
voire la séance complète,
s’il y a éventuellement moyen de mixer les deux,
si cela apporte quelque chose ou plutôt les dilue, les atténuela prostate en mode yin, à partir d’un certain stade,
procure essentiellement une sensation de jouissance en continu,
en mode yang, des chapelets d’orgasmes, des super O,
les organes génitaux en mode yin, avec les frottements, les pressions, uniquement des cuisses,
de la volupté, des tonnes de nuances de volupté,
en mode yang, avec la main ou avec des partenaires, well… tous ici connaissent,
le pénis qui durcit, qui pointe vers le haut, comme vibrant fièrement
puis le petit crachat laiteux servi avec son volcan en éruption,
éventuellement avant, avec toutes sortes de techniques plus ou moins avancées
et une volonté de faire durer les choses,
des préliminaires délicieux plus ou moins prolongésj’ai bien analysé les deux dynamiques en moi, ce qui les caractérise,
en mode yin, le déplacement, à tous les échelons, n’importe où dans le corps, avec n’importe quoi,
sa vélocité, sa trajectoire, sont les plus importants,
le rythme, constamment en accélérations, en décélérations, jamais une vitesse simple, linéaire,
pour se déplacer d’un point à un autre, on initie le mouvement
mais comme en se retenant, en se freinant puis en se relâchant,
provoquant ainsi des micro-accélérations, des micro-ralentissements, constamment,
aussi, on ne se rend pas d’un point A à un point B directement,
la distance la plus courte pour le plaisir en mode yin,
c’est la courbe, la sinuosité, l’arabesque, l’ondulation,
pas forcément très marquée, souvent légère, quasi imperceptible même cela peut être,
une fois qu’on a de l’entraînement, cela peut devenir une chorégraphie très fine, très légère,
il est important de comprendre
qu’avec le moindre geste, avec le moindre mouvement, avec le moindre déplacement,
on cherche à se caresser intérieurement, à éveiller en soi des sensations,
bien saisir cela, la finalité du déplacement en mode yin, c’est le déplacement en lui-même avant touten mode yang, non, on déplace le corps pour se mettre dans une autre position,
avec les caresses, on se focalise sur le point de contact avant tout, pas sur le mouvement en soi,
le déplacement n’est jamais linéaire donc en mode yin,
on réagit en courbes, en sinuosités, en arabesques, en ondulations
qui vont fleurir d’un peu partout pour former une sorte de danse intérieure, lascive, langoureuse
quand on apprend à se lâcher, sans aucun tabou,
qu’on ne se sent plus contraint, limité, par les frontières de son identité sexuelle,
il faut pas imaginer ici quelque chose de caricatural,
qu’on devient comme une folle se dandinant de façon efféminée sur son lit,
rien de tout cela, j’ai pu le constater en me filmant longuement ces derniers temps,
il y a une grande différence ici, entre ce que l’on perçoit qu’on fait et ce qui est fait réellement,
cela monte de l’intérieur, tout le féminin, s’empare de nous, joue avec notre corps,
y déployant tout un réseau de sensations
comme une langue étrangère à laquelle il faut s’habituer,
en apprendre les ramifications, les nuances, la grammaire
mais finalement peu de réels signes d’efféminement durant l’action,
j’ai pu le constater avec étonnement même tellement le ressenti est différent,
on se sent totalement femme par moments, un mélange des deux, la plupart du temps
et on croit que cela se voit, que cela peut se constater
mais non pas tellement finalement,
un peu par moments quand mêmeoh, tout n’est pas noir, tout n’est pas blanc, bien sûr,
il y a un peu de l’un dans l’autre et inversément, beaucoup de nuances de gris,
mais c’est la systématicité qui crée une dynamique, soit yin, soit yang,
ainsi j’ai pu constater qu’en mode yin,
mon bassin bougeait toujours un peu, dansait toujours un peu, avec les contractions,
il y avait une sorte de dialogue sensuel entre eux,
alors qu’en mode yang, le bassin ne bouge quasiment pas, c’est vraiment essentiellement la contraction,
même si elle va avoir aussi toutes sortes de mouvement sinueux, de petites accélérations, de ralentissements,
de va et vient lascifs, de brusques changements de direction
mais l’ensemble est plutôt statique, l’attention focalisée sur les contractions
les mains bougeant aussi peu, restant sur place, changeant à peine la pression,
tripotant un peu autour où elles sont posées, la pointe des seins par exemple -
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