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3 juillet 2020 à 22 h 23 min en réponse à : Esquisses, brouillons, pour un futur manuel sur le plaisir en mode yin #37944bzoParticipant
c’est vraiment intéressant
car c’est la première fois que j’expérimente de garder les bras et les mains nettement plus statiques
depuis que je peux injecter à volonté aussi des ondes prostatiques, comme pour les ondes génitales
et je perçois avec tellement d’acuité ainsi,
leur façon différente de fonctionner, de se déplacer, en moiles prostatiques, semblent être des pures énergies des profondeurs,
grâce aux contractions remontant à travers la prostate, sortant d’elle
puis semblant circuler à toute vitesse dans le corps,
poursuivant sur leur lancée, plus ou moins bien, plus ou moins longtemps,
plutôt grâce à des capacités mentales, une fois que la contraction les a catapultée,
capacité de se lâcher, capacité de s’ouvrir, capacité de s’abandonner, capacité de s’offriralors que les ondes génitales, elles semblent imbiber comme une éponge les bijoux de famille
mais de là, il faut les extraire en frottant, pressant, effleurant, cajolant,
le sexe, les couilles, avec les cuisses
et ainsi, ces ondes se transforment en sensations qui se diffusent comme du liquide dense dans de l’eaules mains, les bras, je les garde à nouveau statiques donc,
je prends conscience que leur positionnement par rapport au corps,
affine la posture, la complète en l’enrichissant,
lui faisant acquérir de la richesse dans la perception du mode yin,
dans la perception aussi, des ondes qui circulent en moi, en mode yinla position du corps, sa posture dans l’espace, est tellement importante pour le mode yin,
j’en prends pleinement conscience aussi,
à chaque fois que je change de position
et que je immobilise plus ou moins pour la circulation des ondes prostatiques,
le yin en moi se réajuste par rapport à cette nouvelle position dans l’espace,
plus ou moins rapidement, avec une délicieuse progressivité
si tout va bien, si je lui laisse bien le temps, les deux s’ajustant l’un par rapport à l’autre,
le yin va reprendre possession de mon corps, se mouler dedans, comme dans un gant
tout en changeant imperceptiblement la forme de celui-ci, surtout ma perception de celui-ci,
le corps va refléter de plus en plus le yin qui lui colle de plus en plus désormais par dedansles courbes intérieures, les rondeurs, se dessinent un peu vers l’extérieur
mais ce sont dans mes sens, dans ma perception surtout, qu’elles sont entièrement là,
des arabesques dansantes, le mode liane lascive,
en même temps un corps intérieur et mon corps réel qui semblent fusionner à mi-chemin,
plusieurs strates de corps pour quelques instants,
comme un terreau riche, mouvant, comme en perpétuel réformation,
dans lequel naissent et meurent les sensationsje m’offre à la pénétration des ondes, je m’offre, j’ai une petite fente chaude par en-dessous
je me laisse aller, je me laisse empaler par elles, je m’ouvre, je les enveloppe dans ma chair
elles remontent en moi, en même temps avec puissance et avec douceur,
bientôt elles semblent former un arbre en moi,
elles montent et en même temps se déploient dans toutes les directions,
formant une frondaison bruissante, joyeuse, un instant,
vertige de la lumière, vertige du ciel, vertige des oiseaux,
vertige d’être,
vertige d’être dans de la chair,
vertige d’être dans de la chair en fête3 juillet 2020 à 9 h 13 min en réponse à : Esquisses, brouillons, pour un futur manuel sur le plaisir en mode yin #37939bzoParticipantce que je perçois bien ainsi,
c’est à quel point le plaisir prostatique,
c’est une mise en circulation des énergies, transitant par la prostate,
dans tout le corpsalors que le plaisir avec les ondes génitales en mode yin,
il y a tout un travail tout en frictions, effleurements, mouvements et gestes de toutes sortes
pour transformer ces ondes et les déguster3 juillet 2020 à 8 h 58 min en réponse à : Esquisses, brouillons, pour un futur manuel sur le plaisir en mode yin #37938bzoParticipantdepuis hier soir tard dans la nuit,
je suis en train d’expérimenter sans les mains, sans les bras
ou plutôt ceux-ci faisant partie du corps,
faisant partie, étendant le territoire de celui-civaut la peine de tester pour l’instant j’ai jugé,
laissant ceux-ci inertes, comme s’ils n’existaient pas , séparés du corps,
je semble augmenter la capacité aux vibrations de circuler de façon très intéressantele corps comme entité répondant au travail dans le bassin,
le corps comme entité résonnant, change radicalement ainsi,
peut-être est-ce juste une option, une attitude momentanée selon les moments,
puis les mains, les bras, reprennent une participation plus active,
à voir, j’expérimente3 juillet 2020 à 0 h 52 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #37936bzoParticipantle mode yin,
c’est avant tout vivre une complicité toute particulière, incandescente,
avec son corps,
c’est sentir qu’on vit quelques instants, grâce à cette complicité,
quelque chose de radical, de sans concessions
libérant des ressources qui sont tout au fond de nousc’est vivre par moments
comme une communication directe, vertigineuse, avec ses abysses,
totalement empli de passion et de volupté,
libéré des limites de son identité sexuelle,
juste comme ballotté au gré des ébats entre le pôle masculin et le pôle féminin en nous,
aimanté par le désirle mode yin,
c’est une tentative de vivre une communion totale avec son corpsbzoParticipanthum, excès de vitesse d’édition,
je me suis fait embarquermerci à l’avance de me tirer de ce mauvais pas
2 juillet 2020 à 23 h 00 min en réponse à : Esquisses, brouillons, pour un futur manuel sur le plaisir en mode yin #37932bzoParticipantje dois accepter que ces orgasmes prostatique que j’ai vécu par le passé
et dont la lecture de messages par ici, a éveillé en moi la mélancolie,
sont définitivement derrière moi
et peu probable que j’arriverai jamais à les revivre, en tout cas sous la même formej’ai pris une autre voie radicalement, je vis ce corps durant les séances sur un autre versant,
un versant plus secret, plus tabou mais que notre chair a en elle,
ce mode yin que je suis parvenu à éveiller progressivementcependant désormais je parviens à injecter des doses massives d’ondes prostatiques à volonté,
j’ai déjà vécu des sortes d’orgasmes grâce à elles
mais ils ne sont pas accompagnés de la même explosivité, c’est très différent en fait,
ce sont des sortes de bulles à la densité incroyable qui semblent croître autour de moi
qui rayonnent comme des soleils,
dardant de plus en plus dans toutes les directions les énergies montant en moi
cependant la gestation de cet épisode n’est pas finie,
il y a encore des choses en route,
mais peu probable, encore une fois, qu’elles auront la forme de ces orgasmes que j’ai connusil y a quelques jours quand j’ai intensément expérimenté dans toutes les directions,
j’ai eu le temps au passage d’esquisser une façon de pratiquer aneroless en mode yang,
probablement en persévérant,
je pourrais retrouver des sensations assez proches d’un massage prostatique plus classique
comme ceux dans mon souvenir
mais pour l’instant, cela me semble totalement au-dessus de mes forces,
les deux, trois fois que j’ai essayé,
je n’ai pas résisté bien longtemps avant de me remettre en mode yin,
accepter le vide dans mon bassin durant la pratique plus de quelques minutes, je n’y arrive pas,
j’ai l’impression de suffoquer comme un poisson jeté sur le rivage,
en mode yin, ma chair est tellement facilement, tellement instantanément, envahie
alors qu’avec le mode yang, il faut être patient et attendre, attendre que cela se mette en route,
bon, une fois que ça l’est, ça déménage, ça déménage même sacrément,
avec cette idée en tête obstinément, peut-être y arriverais-je peu à peu si je m’y metsc’est tellement bon d’avoir son corps envahi par cette volupté généré par les génitaux
1 juillet 2020 à 20 h 10 min en réponse à : Esquisses, brouillons, pour un futur manuel sur le plaisir en mode yin #37922bzoParticipantj’écrivais au-dessus que j’essayais de maintenir la balance du côté du prostatique
mais ce n’est plus le cas déjà, je laisse le désir gérer cela,
c’était présomptueux de ma part de vouloir le faireoh j’ai contribué à ma petite révolution de palais,
désormais les ondes prostatiques sont là massivement dans ma pratique,
j’ai expérimenté, j’ai mis au point la technique, toutes sortes de nouvelles contractions,
plein, plein d’ondes prostatiques désormaismais je ne cherche plus à les privilégier, ainsi c’est bien mieux,
ce qu’il y a dans ma chair, cette corne d’abondance sexuelle, à ma disposition,
il faut être malin et juste laisser faire les choses,
ne pas essayer d’imposer quoique ce soit,
aller avec le courant1 juillet 2020 à 11 h 45 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #37919bzoParticipantmatinée sexuelle pour moi,
depuis que je me suis réveillé, je n’ai pas arrêté,
juste un coup de téléphone à mon restaurant favori
pour me réserver un plat du jour et c’est repartimatinée tout en gémissements, en bassin qui danse,
en petit robinet en bas qui fuit sans cesse, de bonheur
et puis tout ce intérieur en flammes, en miel chaud,
en convulsions de plaisir qui se succèdent par vaguesah mon corps, ma chair,
comme l’instant peut devenir ardent,
comme la communion charnelle peut devenir démesurée,
faisant monter jusqu’au ciel1 juillet 2020 à 11 h 10 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #37918bzoParticipantcomme le plaisir envahi facilement ma chair,
cela semble couler soudainement de partout,
je fais eau délicieusement, devient de soie mouvante, chaude,
chaudes caresses partout à l’intérieursensation de sexe partout,
d’odeur sexuelle de tout mon être, partout,
sensation de sexe palpitant, ouvert, humide, prêt à recevoir, prêt à se donner, partout
tout mon être, dressé aussi, dressé aussi, turgescent,
dressé aussi turgescent, ouvert, humide, palpitant, béant, vibrant, prêt à s’emplir
prêt à recevoir, prêt à se donner,
prêt à m’enfoncer en moi-même de tout mon être, prêt à m’emplirraide, turgescent, dressé, de tout mon être, prêt à m’emplir
ouvert, fouillable, tripotable, palpitant, humide, prêt à recevoir, prêt à m’offrir, prêt à m’emplir1 juillet 2020 à 1 h 53 min en réponse à : Esquisses, brouillons, pour un futur manuel sur le plaisir en mode yin #37917bzoParticipantpour ce que je recherche, pour ce que j’espère achever,
un plaisir aneroless en mode yin, penchant nettement du côté de la prostate
et de ce qu’elle peut délivrer dans les moments les plus paroxystiques,
tout en goûtant pleinement aussi aux vagues de volupté
que l’on peut obtenir avec les ondes génitales,
essayant de déguster toute la richesse, sans cesse changeante, de leurs nuances soyeuses,
m’imbibant jusqu’au plus profond de l’âme
de la sensation d’épanouissement et de plénitude dans l’instant
qu’elles peuvent générer dans la chairpour ce faire, il m’apparaît avec de plus en plus d’évidence
qu’une balance délicate est à obtenir dans le bassin en action à tout instant,
en adaptant constamment le dosage des deux types d’ondesil y a une émulation réciproque dans leur interaction
qui résulte en une augmentation rapide et puissante de la tension sexuelle
qui exige d’être à l’écoute plus que jamais des réactions du corps
pour que le flux d’ondes prostatiques ne soit jamais interrompu trop longtemps
mais néanmoins très régulièrement
pour qu’une alternance efficace des ondes puisse avoir lieuon arrête quelques instants la génération d’ondes prostatiques
délai qu’on doit bien apprendre à estimer, de plus en plus spontanément,
pour aller frotter, presser, cajoler, les bijoux de famille, avec les genoux,
avant de reprendre déjà la production d’ondes prostatiques dans le bassinun phénomène que j’ai pu constater qui en même temps brouille les cartes
mais contribue magnifiquement à l’augmentation de la tension sexuelle
c’est qu’à partir d’un moment donné,
l’alternance régulière, rythmique, des ondes d’une sorte puis de l’autre, comme en vagues,
provoque leur renforcement mutuel, toujours plus,
elles semblent toujours plus se mélanger, se dissoudre dans l’une dans l’autre
mais néanmoins, il ne faut jamais oublier d’accorder toujours malgré tout
la prépondérance aux ondes prostatiques,
en renforçant automatiquement leur injection, après une séquence orientée ondes génitales
si on ne veut rester tout de même du côté de la prostate pour atteindre les buts recherchésle flux prostatique dans le contexte d’un mélange de différents types d’ondes,
dans le courant de la séance, des ondes anales venant parfois aussi se mêler à l’action,
doit pouvoir réagir comme un roseau qui penche, qui penche, parfois très fort
mais jamais ne se rompt, toujours se redressebzoParticipantJe ne pense pas qu’il y ait des mauvais muscles à contracter.
A mon avis, tous les muscles de La région (sphincter anal, rectal et muscles PC) participent au développement du plaisir.voilà, très exactement, il n’y a pas de mauvais muscle à contracter,
tant que tu auras ce genre d’idée, @rodward, tu te limiteras drastiquementet aussi tant que tu seras obsédé par les contractions involontaires,
fuck the contractions involontaires,
on peut très bien aller aussi loin qu’il y a moyen sans jamais avoir eu une seule contraction involontaire29 juin 2020 à 21 h 27 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #37913bzoParticipantje ne me lasserais jamais d’écrire sur ces premiers moments de retrouvailles
avec ma chair qui s’enflamme,
soudainement qui s’emplit de sensations délicieuses, de volupté soyeuse,
tout se délie miraculeusement en moi, s’ouvre,
des tas de portes qui semblaient ne même pas exister,
soudainement s’entrebâillent vers des horizons lointains,
une animalité qui ressuscite à chaque fois dans ma chair,
des énergies insoupçonnées qui semblent jaillir de mes abysses comme une fontaine de jouvencemalgré désormais des centaines et des centaines d’heures de vol, de décollages et d’atterrissages
d’instants emplis d’orgasmes, de jouissance, de volupté, de super O, etc,
c’est à chaque fois la même éblouissante et irrésistible impression de vivre un petit miracle,
dans ces premiers moments,
je n’arrive toujours pas y croire tout à fait,
cela me parait toujours trop beau pour être vrai, un instant,
après c’est parti, j’ai décollé, je suis déjà totalement pris par la griseriepeut-être que si j’avais commencé à 20 ans et que j’avais derrière moi des décennies de pratique,
trouverais-je cela tout à fait aller de soi,
mais là, avec derrière moi, +-40 ans de vécu sexuel, somme toute, assez classique,
sans grand relief, ni originalité,
si ce n’est pour quelques partouzes et expériences bisexuelles, dans ma jeunessemais même ces expériences-là, un peu hors du commun,
restent malgré tout dans un cadre bien identifié, connu, balisé,
de libertinage qui existe depuis toujours, sous diverses formes,
pratiqué de-ci, de-là, dans des alcôves discrètes généralement,
rien à voir, mais alors rien à voir, avec ce que je vis à présent,
avec ce plaisir en solitaire vécu comme un art d’aller s’explorer,
un art de résonner comme un instrument de musique entre ses propres doigts,
d’aller extraire de ses abysses des énergies
qui se transforment en bouquets incomparables dans notre chair,
c’est tellement irréellement hors du commun, tellement irréellement riche,
avec parfois des moments d’élans quasi mystiques,
avec toujours des perspectives de luxure sans limites malgré les sommets déjà atteintsd’être capable de me faire l’amour,
réellement capable de vivre tout seul des sensations assimilables à un acte sexuel
de me sentir en même temps homme et femme, entremêlés charnellement,
vivant les sensations des deux sexes
quelques uns, sans doute, auront du mal avec ce genre de mots,
non pas choqués moralement mais auront du mal à ne pas exprimer de l’incrédulité,
auront du mal à croire que c’est possible ce genre d’expériencemais qu’importe, je sais ce que je vis ou du moins ce que je crois vivre,
que ce soit vrai ou juste une histoire montée de toutes pièces par ma libido, qu’importe,
l’important, c’est que la jouissance et la volupté sont bien là, dans ma chair,
que l’exploration, l’aventure, sont bien là
et qu’un épanouissement sans limites, semble de longs moments, s’emparer de tout mon être,
des moments de plénitude, de communion avec moi-même, avec tout, avec rienun feu secret, avec quelque chose de presque sacré et de splendidement sauvage
semble s’être rallumé en moi, m’entraînant vers l’incandescence29 juin 2020 à 1 h 00 min en réponse à : Esquisses, brouillons, pour un futur manuel sur le plaisir en mode yin #37907bzoParticipantje parviens désormais tellement à exploiter chaque geste,
chaque mouvement, chaque position, chaque immobilité
depuis que j’injecte dans ma chair des doses massives d’ondes prostatiques,
elles semblent tout ralentir, tout densifier, désormais,
le moindre micro-mouvement, la peau d’une couille qui se rétracte,
l’effleurement d’un doigt sur la peau,
me font s’envoler comme une fusée,
je n’arrête pas de jouir
et les nuances changent constamment du tout au toutj’ai l’impression de me presser à chaque instant
comme un citron jusqu’à la dernière goutte,
il s’agit juste de ne pas trop bouger à la fois, pas trop de choses à la fois,
pour que cela ne se dilue pas,
garder tout bien concentré, tournoyant lentement,
le volcan ne doit pas entrer en éruption,
juste rester à bouillonner sur place, à digérer de la terre en fusion, à danser sur placeainsi je suis bien ancré entre mes deux ailes géantes battant tranquillement
comme une marmite d’explosifs transportée
comme c’est à fois tellement calme et tellement explosif, tout cela,
tellement doux et tellement brutal,
quel carrousel dans ma chair, mes amis
je n’ai jamais vécu des moments pareils, c’est glorieux29 juin 2020 à 0 h 06 min en réponse à : Esquisses, brouillons, pour un futur manuel sur le plaisir en mode yin #37906bzoParticipantje continue mon apprentissage,
j’arrive désormais à m’installer tranquillement pendant de longues minutes dans un orgasme prostatique,
comme on s’installe dans un nid
mais un nid qui serait dans la bouche d’un volcan en activitéune fois le flux d’ondes prostatiques bien établi dans ma chair,
il s’agit en quelque sorte de le décorer massivement sans cesse d’ondes génitales
sans l’interrompre, sans en perdre le fil
mais lui rajouter toutes sortes de nuances, de colorations
et puis aussi délaisser régulièrement quelques instants le flux prostatique,
passer en full mode liane lascive, goûter un instant aux vagues de volupté dans ma chair
comme on laisserait tomber une assiette
puis qu’on rattraperait avant qu’elle n’ait touché terrepour l’instant encore, cela me donne régulièrement l’impression d’un exercice d’équilibriste,
un peu comme une stéréo d’ondes prostatiques et d’ondes génitales, à régler
tout en créant et écoutant la musique28 juin 2020 à 23 h 42 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #37905bzoParticipantcomme mon sexe est humide, trempé même,
de la tête aux pieds, jusqu’au plus profond de mon être,
comme je suis ouvert, offert, trempé, tremblant, frémissant, gémissantune soupe d’ondes,
une soupe d’ondes chaudes et tournoyantes, dans ma casserole de chair,
une soupe de cristal, une soupe de lumière,
un soupçon de ciel dans cette soupe de cristal, dans cette soupe d’ondes,
comme les moments peuvent devenir divinsen mode yin, en mode océan,
en mode vague après vague, après vague,
en mode goéland, en mode azur,
en mode amour déchaîné, en mode descellé,
en mode communion intime, en mode firmament28 juin 2020 à 20 h 33 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #37904bzoParticipantun des immenses avantages de l’aneroless sur une pratique avec masseur,
c’est qu’elle est totalement malléable, totalement façonnable,
aucun intermédiaire entre notre désir et notre chairau plus vous avancez, au plus vous pouvez mouler jusque dans le moindre détail,
au plus la précision et la variété des nuances semblent sans limites28 juin 2020 à 9 h 04 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #37900bzoParticipanthier soir je n’avais pas trop envie comme je l’écris juste au-dessus,
pas trop envie d’autre chose que juste de ces quelques instants ici et là,
provoqués presque machinalement
qui me font comme des bouffées de plaisir dans ma chairmais j’ai quand même fait une séance au lit,
elle aura été bonne, sans plus, rien de stratosphérique,
rétrospectivement je me rends compte que je me suis forcé, mon corps n’en avait pas envie,
j’aurai du l’écouterenfin c’est du passé, ce matin,
c’est reparti, mes premières “bouffées” de la matinée, semblent prédire un excellent cru aujourd’hui,
je sens ma chair disponible, assoiffée et prête à battre tous les records,
comme d’habitude quoi, en fait,
hier je ne sais pas ce que j’avais, pas trop en forme, peut-être fatigué27 juin 2020 à 23 h 30 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #37899bzoParticipantbon, après ma recette pour maigrir,
revenons-en à nos moutons, à nos petits plaisirssoirée calme pour moi, je regarde des séries, pas beaucoup d’envie ce soir,
cela arrive, rarement mais cela arrive, ça viendra peut-être plus tard dans la nuit,
juste de temps à autre, assez régulièrement en fait,
je serre un peu mes cuisses, j’enserre mes bijoux de famille
et je frotte un peu tout en faisant remonter une contraction,
je ne mets même pas en pause l’épisode que je regarde, juste comme cela en passant,
un peu de soie chaude, voluptueuse, dans mon bassin, quelques instantsc’est l’avantage d’avoir une pratique comme la mienne,
qui est effective dès la première seconde,
enclenche toutes sortes de sensations en moi27 juin 2020 à 10 h 36 min en réponse à : Vivre l’éveil de ses énergies (journal de ma pratique sexuelle et autres) #37895bzoParticipantce que je vais écrire, n’a rien à voir
mais strictement rien à voir avec les sujets qui nous occupent habituellement sur ce forum,
quoique…j’ai commencé à maigrir, à fondre plus exactement,
fondre tranquillement, lentement, surement,
durablementj’adopté la méthode du jeûne intermittent,
le principe est , on ne peut plus simple,
on mange pendant 8h et puis plus pendant 16Donc je prends un repas vers 12h et un autre vers 19h, rien d’autre,
cela convient parfaitement à mon tempérament, que je pourrais résumer
par une expression qui pourrait être ma maxime: “tout ou rien!”,
donc manger de tout, sans se priver
puis plus rien le restant de la journéebon, bien sûr, il ne faut pas exagérer, s’empiffrer pendant 8h non stop,
au début , on mange un peu plus
mais désormais je suis bien habitué et je mange deux repas aux quantités normales
mais je ne me prive de rien, je ne fais attention à rien,
m’autorisant quelques excès quand j’en ai enviele matin, cela devient vraiment facile car tout l’appareil digestif, cette usine immense en nous,
est au repos, l’estomac est complètement vide,
on a même une sensation d’euphorie, de bien-être, c’est vraiment agréable ainsi,
tous ceux qui pratiquent de temps à autre un jeûne,
connaissent cette sensation,
au début le soir, c’était un peu difficile,
surtout que je me couche rarement avant 1 heure du matin,
là l’estomac est en train de terminer de digérer, toute la machinerie tourne encore un peu
mais désormais depuis quelques jours,
même le soir, c’est devenu facilej’ai eu des problèmes de pied, fascia déchiré, épine calcanéenne,
pratiquement plus pu marcher pendant deux mois,
ainsi j’ai perdu tout de même deux kilos
mais dès qu’on peut s’exercer à côté
ou même ne fusse que les déplacements et la dépense d’énergie habituels,
cela va plus vite,
jusqu’à quel point, je ne peux encore dire, cela fait que deux mois et demi mois que je le fais,
j’entre dans mon 6 ème kilo de perduj’ai totalement adopté ce système, il me va comme un gant,
j’ai bien l’intention de le continuer , c’est devenu mon mode d’alimentation,
on se sent vraiment bien,
je suis un migraineux, au début j’ai eu quelques maux de tête dans la matinée
mais plus rien désormais
et quand même ils continueraient, rien de trop grave, en tout cas par rapport à ce que j’ai connu
et le jeu pour moi, en vaut largement la chandelle
et comme je l’ai écris, ils ont totalement disparu depuisbzoParticipantpourrais-je te demander un petit travail d’édition
dans mon dernier message, premier paragraphe,
je n’ai plus pu rajouter un quecar son miel favori n’existe pour un instant que dans les dérèglements les plus intimes provoqués
merci d’avance
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