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20 sujets de 101 à 120 (sur un total de 133)
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  • en réponse à : Mon petit journal #26996
    Ch313
    Participant

    Merci encore Bzo pour tes conseils éclairés.
    Bien sûr, j’ai fureté le web à la recherche d’autres sex-toys.
    Évidemment des plus gros, il y en a pléthore, avec fonction vibreur et même multi-moteurs. Mais je n’ai pas encore franchi le pas. Je continue à m’interroger.

    Il y a le pour. Oui, l’envie de nouvelles expériences, le désir de nouvelles sensations. La constatation technique aussi me ‘motive’ ; la partie réellement insérée de l’Hélix mesure six centimètres alors que mon doigt fait huit centimètres et c’est au bout de mon doigt que je sens ma prostate. C’est donc évident qu’il me faut ‘plus long’. Il me semble aussi que le bras périnéal est finalement trop souple. Le Maximus Trident se rapprocherait plus de mon choix car les objets ayant une base large ne me conviennent pas bien. Ils ne s’insèrent pas ‘à fond’ et ont tendance à ressortir.
    Donc oui à cent pour cent mais il me faut approfondir ma recherche.

    Il y a le contre. La raison me renvoie plein d’arguments.
    D’abord, un flot de sensations nouvelles ne va-t-il pas occulter la recherche du ‘fil’ qui me ‘manque’ et reporter à plus tard cette découverte ?
    Ensuite, à l’étude de mon parcours et à l’observation de mes sensations, je m’aperçoit que ma féminité appelle à la tendresse, la douceur des effleurements qu’ils soient externes ou internes.
    C’est dans les mini contractions que l’éventail de sensations est le plus vaste, le plus précis. Il faudra que je reprenne sur la sensitivité.
    Et dans mon cheminement je n’ai encore jamais senti l’envie de me faire défoncer bestialement. Je ne suis pas encore prête à cette aventure.

    Enfin mon écosystème sexuel n’est pas propice. Je ne peux pas atteindre le maximum, je garde toujours une marge de contrôle. Je n’ai pas encore trouvé de solution.
    Si je devais ouvrir une discussion, ce serait plutôt ‘du déséquilibre du couple’ ou ‘comment faites-vous avec votre partenaire réfractaire’. Mais je n’ai pas de solution à apporter et ce n’est peut-être pas le bon endroit pour une thérapie de couple.
    Je ne savais pas comment m’insérer sur ce forum. Un grand nombre de post m’interpellent. La recherche de ma prostate, aussi la féminité évidemment, mais encore l’auto hypnose et ressources associées ou encore l’apprentissage du débutant.

    J’observe beaucoup ce qui se passe dans ma sphère sexuelle. J’essaye d’aller au plus près de mes sensations, au plus précis de mes endroits.
    Si mon esprit se libère des sollicitations environnementales, instantanément je suis dans cette sphère, et que des ‘contractions’ des mouvements sont bien là. Cette sphère doit être perpétuellement en action.
    Là, je suis concentré sur ce que j’écris, si maintenant je me caresse les tétons, il ne se passe pratiquement rien. Par contre si j’ai le fait ‘le vide’ en moi, que je me coupe de mon environnement, au moindre effleurement j’explose. C’est fulgurant.
    Quand j’insère le masseur, c’est que je suis ‘disposée’ et cela explique que je ‘décolle’ aussi rapidement. C’est mon déclencheur, ma ‘détente’ à ce moment, je n’attends que ‘Ça’ !
    Autrement, je me décontracte, ‘pièce’ par ‘pièce’ (endroit de mon corps) je connecte mon esprit. Je me connecte à mon intimité. Il y a ce ‘tapis roulant’ comme d’autre l’appelle, cette image m’a plu. Il y a ces micro vagues qui vont et viennent, elles sont synchrones à mon rythme cardiaque. Ma respiration est lente et posée. Une mini contraction (comme pour me retenir) à peine quelques secondes qu’un spasme aussitôt l’accompagne.
    J’ai le choix : je contrôle ou je me laisse déborder ? C’est évidemment selon les conditions extérieures que je vais poursuivre.
    C’est évident que cela stimule ma prostate. Mais je ne sens qu’un picotement, pas ‘Ma Glande’.
    Si je laisse aller, j’effleure mes tétons et aussitôt mes jambes partent dans de fols tremblements.
    Là, sur l’heure, je ne peux pas aller plus loin.
    Je suis obligé d’arrêter l’étude et cette discussion.
    Mais à bientôt, c’est sûr.

    en réponse à : Mon petit journal #26984
    Ch313
    Participant

    Débriefing sérieux nécessaire.
    Tout d’abord un merci à Bzo, je voulais le lui dire dans mon post précédent en retour sur la ´sensibilité’. C’est sur ses recommandations que j’ai ´insisté’ à me caresser les tétons.
    Oui je suis face à une profonde contradiction.
    Là, j’ai eu envie en me disant que j’étais très bien disposée pour continuer le voyage.
    Incontestablement l’introduction a déclenché le processus. Mais depuis ma reprise d’activité, j’ai pourtant essayé des tas de choses. Car pourquoi mon doigt ne me fait rien. C’est pour cela aussi que je suis allée en club. J’espérais savoir si le doigt d’un, d’une autre me ferait quelque chose.
    Je ne peux pas compter sur ma compagne. Mais l’expérience ne s’est pas produite.
    J’ai aussi essayé d’autres introductions. Un gode, sans grand effet, le fait que je doives le manipuler constamment ne me convient guère. Les ‘balls’, plaisant mais pas de quoi me faire grimper. J’ai aussi essayé le Bootie le S je le perd, le M me convient beaucoup mieux après une modification de la partie correspondant au sphincter anal, sinon il ressort aussi. Sensations agréables en promenade mais pas très confortable à la maison (assis). J’ai aussi essayé l’œuf vibrant avec pas mal de plaisirs mais je m’en lasse assez vite. Aucuns ne me déclenche les sensations de l’Hélix. C’est pour cela que je m’interrogeais sur la notion d’ancrage.
    Si je fais référence à ma sensation des tétons, je trouve l’analogie dans la douceur de l’effleurement.
    Note au passage, il est onze heures trente et les picotements me titillent encore. Je suis devant une machine à laver (laverie commerciale extérieure) et si je m’y attarde je sens la chaleur monter dans mes seins.
    Il suffit que je m’installe bien au chaud dans la voiture pour que démarre les va et vient dans mon bas ventre. Pu tain de désir ! Je vais en pleurer.
    J’ai perdu le fil de mes pensées. Si je me mets à m’effleurer les seins je suis perdue. J’ai l’impression d’être écarlate. Et pourtant là je n’ai pas de masseur.
    Ha je reprends. Pourquoi toutes ces sensations sans pouvoir identifier mon organe. Bon j’ai quand même du mal à différencier sphincters, anus, rectum, ça se bouscule quelque part.
    Mais il est temps que je récupère mon linge.
    Alors à plus.

    en réponse à : Mon petit journal #26969
    Ch313
    Participant

    Je rêve :
    Je suis étendu sur la plage, un copain (de lycée, mais maintenant nous sommes adultes) est debout devant moi. Il me regarde d’une façon bizarre.
    Il se précipite sur moi, il m’embrasse le genou puis l’intérieur de ma cuisse.
    Je le prends dans mes bras l’attirant très fort. Je le serre très fort pour l’embrasser. Je me réveille à ce moment-là.
    Je me rendors.
    Deux heures trente, je me réveille, j’ai des spasmes dans le bassin. À moins que ce soit les spasmes qui me réveillent.
    Ma respiration est haletante, je tremble de partout. Je pleure, j’ai envie de crier. Non ! Je dois pas réveiller ma compagne !
    Je contrôle, je m’aperçois que je suis en érection. J’ai peur de ‘ruiner’ le lit
    Je me lève, je prends ma tablette, j’écris mais je suis toujours en ‘prise’, en transe,
    Ho Oui ! J’ai envie de faire l’amour. Des larmes coulent. Mes jambes tremblent, mon bassin me secoue.
    Puis accalmie, mon bassin oscille doucement, ma respiration s’est ralentie entrecoupée de longs gémissements. Je me détends, je caresse mes tétons.
    Mon bassin reprend son rythme, en de longues oscillations il prend le contrôle de moi. Je n’arrête pas de gémir sous ses impulsions.
    Je pleure encore, je n’ai jamais senti mon intimité comme ça, je suis complètement trempée entre mes cuisses.
    Fabuleuse envolée, mon corps en total abandon en mon pouvoir.
    C’est la dissociation ? J’écris, je baise, je suis baisée tout à la fois.
    Et ça dure ; il est déjà quatre heures et demi, je suis un peu ‘redescendue’ mais mes jambes tremblent encore.
    Quelques tendres câlins sur mes seins et je repars dans la volupté à offrir ma chatte à ses doigts. Viens ! Mon chéri baises-moi !
    Je suis en érection, et je me sens en moiE. Dans de longues oscillations, je sens mon ventre m’aspirer. Il glisse voluptueusement entre mes lèvres, mon vagin l’accompagne mon bassin, mes cuisses fourmillent de toutes parts. Je suis repartie dans des contractions périnéales frénétiques
    . . . Là je ne sais plus.
    Je suis perdue. Il est presque six heures.
    Je prends mon petit déjeuner. Je suis étrangement bien. Je suis chaude de la tête aux pieds, je me sens tellement femme. Je déguste mes sensations.
    C’est ici et maintenant, en direct. Je n’ai rien fait, juste joué avec mon subconscient ?
    Mais mon intimité sexuelle ‘vibre’ encore. Mon anus, mon rectum ? me picotent. J’ai encore le temps d’essayer un petit massage.
    Je vais chercher l’Anéros, je m’installe. Pas trente seconde que des spasmes me secouent déjà. Des contractions font le va et vient. Je jouis déjà, je tressaute, j’en perds ma respiration. Quelle vague de chaleur m’inonde. Mes jambes tremblent, mes pieds s’entrechoquent, mon diaphragme ‘bombarde’ mon ventre. Je caresse mes tétons, mes seins sont bouillants, brûlants.
    Je m’abandonne dans les spasmes et les gémissements. Les contractions vont et viennent, me massent l’intérieur, des vagues de chaleur fulgurantes me traversent comme des éclairs.
    Puis tout à coup un calme, je me sens comme en lévitation. La chaleur inonde mes jambes et ma tête. De lentes contractions vont et viennent dans mon antre brûlante. Le masseur me ‘picote’. Une ‘langue’ chaude remonte mon périnée. Mon bassin tremble partout. Chaque ‘phase’ m’explose plusieurs dizaines de secondes , cela doit même parfois dépasser la minute.
    Reprise aux picotements, aux va-et-vient, c’est bon. Ho oui ! Encore !
    Et à chaque ‘calme’ ça repart. . . Encore et encore. Dix fois, peut-être plus.
    Sept heures passées : il faut arrêter ce chambardement, cette insomnie d’amour. Ça va craindre pour la journée !
    Débriefing ultra court : Putain mes seins ! Quelle découverte. . .
    Quant à ma prostate. . . Ce sera pour plus tard.
    À plus mes Amours. ( vraiment les miennes intérieures )

    en réponse à : Mon petit journal #26924
    Ch313
    Participant

    Je reviens donc à la question des sensations ou de la sensitivité.
    Au début, je suivais le guide, le Traité : je caressais mes seins mais cela n’avait guère d’effet. Mais me remémorant l’expérience du toucher, je n’ai pas perdu espoir. Je dois pouvoir ‘éduquer, apprivoiser, corriger’ cet état.
    Aussi de temps en temps, j’ai ré-essayé.
    Mais ce n’est qu’au moment où j’ai ‘trouvé’ ma féminité que quelque chose a changé. Je ne sais pas comment cela s’est fait, mais cela continue d’évoluer.
    Aujourd’hui, je les effleure doucement et cela suffit à déclencher une vague de sensations dans mon bas ventre. Cela m’arrive même de le faire pendant que je regarde la télévision. Cela suffit pour démarrer ma ‘séance’ matinale.
    À postériori je me rends compte que je me les tripote pratiquement pendant toute la séance. Séances qui sont de plus en plus fabuleuses.
    Je vole d’orgasme en orgasme entrecoupés de lèchouilles voluptueuses, lesbienne avant tout je me sens. Et quand il me pénètre, j’en veux plus. Ses doigts dans mon vagin en même temps que son sexe me titille mon point G. Il se masturbe en même temps. Je crie encore. Et je la ‘veux’ elle aussi.. Encore plus fort. Pendant qu’elle offre sa vulve à ma langue elle s’occupe de mon clitoris. Elle teste le Womanizer ? Dans élan sublime je me répands , je suis trempée de partout. Et mon vagin masturbe encore mon copain. ‘Je grimpe encore aux rideaux’. L’envolée dure depuis plusieurs minutes. Je gémis, je pleure. Toujours plus haut ! Voilà un jet, puis encore un autre. Et encore, je suis entrain de ‘ruiner’ mon t-shirt. Alors je le prends dans mes mains, je le masturbe, lui aussi a droit au plaisir. Je le suce goulûment. Jusqu’à la jouissance libératrice pour finir la séance et revenir tendrement enlacés à la vie quotidienne. Deux heures de voltiges affriolantes. C’était ce matin, pratiquement ‘en live’.
    Bonne journée

    en réponse à : Mon petit journal #26883
    Ch313
    Participant

    Bzo :
    hello, cela fait plaisir de te lire à nouveau @ch313
    si je comprends bien, tu arrives à des résultats intéressants maintenant avec le masseur?
    parce que il y a quelque temps, ton problème était que tu ne ressentais rien quand tu pratiquais avec un masseur

    Le masseur, je l’utilise de temps en temps. J’ai quelques sensations mais pas avec ma prostate. Si je la touche avec mon doigt, je la sens. Au toucher, je trouve qu’elle a diminué de moitié. J’ai beau la titiller, rien ne se passe. Si je n’ai plus de sperme, c’est peut-être qu’elle n’est plus fonctionnelle. Je n’en ai pas la cause mais je pense que c’est définitif. Je verrai bientôt l’urologue, j’aurai alors des explications.
    Quant à l’usage du masseur, je le prends plutôt comme ‘inducteur’ ou comme ‘ancrage’ car en fait je peux avoir les mêmes sensations sans.
    J’ai maintenant des sensations rectales et anales que je ne connaissais pas, plus sûrement parce que avant je ne m’en souciais guère.
    Il suffit que je leurs accorde quelques secondes d’attention pour les obtenir.
    Une simple contraction anale et je sens mon rectum ‘rouler’ une sorte de petit sac rempli de petites billes. Je pense que c’est ma prostate, que je la sens dans sa ‘consistance’ intérieure alors que mon doigt sent sent sa surface plutôt lisse. Relâchement, puis nouvelles contractions, il ne faut pas bien longtemps pour que l’impression que mon sexe perle d’une goute de désir m’envahisse. Si je persévère, des poussées rectales apparaissent entrecoupées de violentes contractions de mon diaphragme. Et je peux ‘partir’ dans mon ‘voyage’ sexuel.
    Mais non, nous sommes entrain de regarder la télé, ma compagne est à côté de moi, je ne peux pas me dévoiler (pourtant l’envie ne me manque pas) alors dans une simple inspiration profonde, en quelques secondes d’un check-up de relaxation tout mon corps se détend (merci l’Eutonie). Comme si rien ne s’était passé mais une ‘chaleur cosmique’ se dilue en moi.
    Voilà j’ai eu un micro-orgasme je crois. Tout mon art est d’avoir le maximum de sensations sans qu’elle s’en aperçoive. Je le pratique aussi et surtout au coucher, quel délice pour s’abandonner au sommeil.
    À suivre . . .

    en réponse à : Mon petit journal #26875
    Ch313
    Participant

    Bonjour,
    Cela fait quelques temps que je n’ai rien écrit car mon problème est que je n’arrive pas à transcrire ce qui s’est passé dans la ‘séance’ qui s’est passée.
    Comme au ‘sortir’ d’un rêve, ou d’une séance d’hypnose, les ‘souvenirs’ s’estompent rapidement. Je ‘pratique’ tous les jours, avec ou sans masseur, les sensations sont toujours énormes, les ‘orgasmes’ me submergent souvent à répétition.
    Mais hier, j’ai eu la même aventure que Jieffe.
    Un fabuleux voyage dans ma féminité avec plusieurs ‘orgasmes’ m’emmenant au plus profond de mon corps. Je suis bien loin de chercher ma prostate !
    À un moment d’intense jouissance, je ne sais pas comment c’est arrivé, mon sexe a émis un jet qui s’est répandu chaudement sur mon ventre.
    Ai-je éjaculé ?

    Ici maintenant PAUSE ! je n’arrive plus à écrire, mes doigts tremblent, je suis presqu’en train de jouir en vous le racontant. Je vais promener le chien, vider les poubelles.

    Je reviens à mon récit.
    Depuis mon opération, je n’ai plus de sperme. Plus d’émission donc plus d’éjaculation évidemment.
    Mais le plaisir éjaculatoire reste présent. La sensation d’écoulement aussi. Manque la sensation de ce liquide chaud sur mes doigts.
    Mais ce n’est pas celle que j’ai eue cette fois. Je ne me suis pas masturbé.
    J’ai laissé faire, il n’y a eu qu’un jet. Au bout de plusieurs minutes, j’ai constaté que ce n’était pas du sperme, la consistance était plus fluide, il n’y avait pas la couleur laiteuse du sperme. Je dirais que c’était comme un mélange de liquide séminal et d’urine, pratiquement sans odeur.
    Et j’étais toute à moiE. Alors j’ai pensé ‘Éjaculation féminine ?’
    (À la fin de ma séance, je l’ai noté de suite)
    Me voilà encore plus femme que jamais !

    Le plaisir a encore duré longtemps. J’avais inséré le masseur vers quatre heures, ne me rendormant pas, je me suis levé et j’ai déjeuné vers cinq heures et l’aventure a duré jusqu’à huit heures passée.
    Mes séances habituelles au lever durent en général plus d’une heure et demi, souvent plus de deux heures.
    Comme Jieffe, je me contrôle un minimum, je ne suis pas seul non plus et je ne partage pas cet espace intime avec ma compagne.
    Donc le ‘super O’ n’est pas encore envisageable. Je mets entre guillemets le mot orgasme, pour moi, il n’est pas prostatique précisément. (Il est peut-être pas important de savoir d’où il vient comme dit Bzo)
    C’est beaucoup plus ‘large’ comme emprise. Les différentes parties de mon corps ‘vibrent’ de façons différentes qui semblent indépendantes et pourtant ‘de concert’. Pendant que mon bassin ondule d’avant en arrière et que mes jambes tressautent, mon vagin serre très fort par vagues comme pour aspirer le sexe qui me pénètre et des vagues de chaleur me traversent des cuisses au diaphragme. Parfois ma respiration se bloque, je m’étouffe, je ne sais plus comment déglutir, je me mets à éternuer tousser comme si mes poumons allaient exploser ou imploser. Je sais plus.
    Comme je disais qu’il m’était difficile de transcrire ce qui se passe dans mes séances, je reviens sur mes expériences précédentes que j’ai relatées.
    Je les ai écrites totalement ‘dans le feu de l’action’.
    J’étais l’œil derrière la caméra en même temps que j’étais l’actrice ou l’acteur voire les trois ensemble. Le plaisir est probablement pluriel entre le physique et le cérébral. Parfois je me dis qu’il faudrait que je recommence à écrire ‘en direct’. Mais chaque fois j’ai remis à plus tard.
    À plus

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #26682
    Ch313
    Participant

    La peur, voilà bien un sujet intéressant.
    Si je reviens sur mon réveil ce matin,
    Si j’avais été seul je me serrais laisser aller
    Mais il peut y avoir eu peur de ma part.
    Peur de la réveiller en premier, je suis soucieux de son sommeil. Étant en convalescence, elle passe des nuits difficiles.
    Peur de lui faire mal. Je pourrais avoir des mouvements incontrôlés qui, si je la touchais, lui seraient particulièrement douloureux.
    Peur qu’elle s’inquiète, qu’elle-même ai peur. Des tremblements, j’ai déjà eu quand j’ai eu une appendicite, c’était déjà impressionnant, elle a eu peur. Des instants de tétanie pourraient lui faire croire à une épilepsie. Il me paraît impossible de lui faire subir pareille épreuve.

    tu n’as pas peur d’être débordé par la facilité avec laquelle tu parviens à obtenir du plaisir,
    tu n’as pas peur que cela devienne totalement incontrôlé?

    Oui, sûrement. Par exemple le soir, quand je me couche, je ne peux pas me laisser aller. J’ai pourtant beaucoup de sensations qui pourraient me lancer.
    Les envies ne manquent pas mais comme elle est ‘no sexe’ , la situation est particulièrement difficile. Je contrôle mon endormissement.
    Simplement en me promenant, je peux atteindre un niveau intense. Je l’ai déjà vécu (et raconté ici) à la limite de la perte de contrôle.
    Autre situation : en voiture, attendant sur un parking que le linge soit lavé. Un peu de musique (choisie pour), et . . .
    Pour l’instant, j’évite de me laisser aller. Je n’ai pas les conditions idéales.

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #26675
    Ch313
    Participant

    OUPS ! Réveil surprise désastreux
    Ce sont des spasmes de l’abdomen qui me réveillent, il est quatre heures.
    Je suis en érection ; ce qui arrive parfois. Mais jamais avec des spasmes.
    Je suis ‘débordé’ par ce flot de contractions. Je ne veux pas réveiller ma compagne.
    Je tente de prendre contrôle de ma respiration pour me calmer. Sans effet. Je ne sais pas pourquoi cela m’arrive, je n’ai pas de stimulation. Je ne sais pas d’où cela vient. Je ne ‘sors’ pas d’un rêve érotique.
    Une ‘séance’ d’Eutonie me permet de ‘faire la paix’ avec mon corps. Vingt minutes que cela dure. Pour briser le rythme, je me lève, je déjeune.
    Je m’installe dans mon fauteuil, je prends ma tablette. Je transcris . . .
    Il est cinq heures trente, j’ai toujours des spasmes abdominaux.

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #26648
    Ch313
    Participant

    Merci Bzo. Tes réponses confortent mes pensées. Je ‘sais’ quelque part que ‘d’autres choses’ m’attendent. Je n’ai pas de rapport avec d’autres hommes et pourtant j’en ai envie. Peut-être le besoin de me découvrir homme comme je me suis découvert femme. J’ai besoin de trouver la sensation qui liera les deux. Je ‘patauge’ un peu dans mes souhaits.
    L’expérience des massages californiens m’avait beaucoup plu même si à l’époque cela n’avait pas débouché sur une pratique sexuelle.
    Aujourd’hui j’ai envie de me faire câliner. C’est cette envie qui m’a peut-être poussé à la porte d’un club. Car me caresser moi-même ne débouche pas sur la sensation que je crois possible. À un moment, j’ai pensé à l’électrostimulation. Mais je pense qu’elle me priverait de la sensation de la peau contre la peau. La sensation que j’ai eue de la langue sur mon gland, je voudrais l’avoir partout. Soyons fou, jusqu’à ma prostate !
    Bonne journée. . .

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #26646
    Ch313
    Participant

    Des caresses
    Les dernières fois que l’on m’a caressé, c’était aux clubs.
    Lorsque un mec m’a sucé, j’ai beaucoup aimé, j’ai joui.
    Beaucoup plus mentalement que physiquement.
    Curieusement je n’ai pas senti beaucoup.
    J’ai eu plus de sensations quand ma compagne me suçait. Quand une fois exceptionnellement elle a bien voulu me sucer sans capote, je ressentais sa langue sur mon gland, j’en appréciais même la texture, la surface de sa langue. C’était assez voluptueux. Puis il a fallu mettre un préservatif, j’ai fini par éjaculer presque sans plaisir.
    À l’autre club, c’est une femme qui m’a caressé le sexe, puis l’a pris dans sa bouche. C’est plus le fait que ce soit elle qui m’aie voulu, qui m’aie pris, qui m’a procuré du plaisir. Et de la regarder m’a beaucoup excité.
    Ma compagne n’a pratiquement jamais pris d’initiative. Et pratique toujours dans le noir.

    J’aime bien regarder un corps nu surtout femme. Mais ça ne déclenche pas une vague de désirs. Mais le désir de la caresser est bien là. La caresser est un plaisir qui m’excite et qui me fera bander.

    J’ai déjà utilisé différents joujoux, des plus gros sans difficulté . Mais je n’ai pas de rapport avec d’autres hommes.

    en réponse à : Mon petit journal #26636
    Ch313
    Participant

    Bonjour Jieffe,
    Je te souhaite un prompt rétablissement.
    J’ai commencé à lire ton petit journal, intéressé par l’usage d’ nouveau jouet.
    Bzo me conseille aussi le changement.
    Cordialement

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #26630
    Ch313
    Participant

    Réaliser l’homme
    Est ce si important que cela que tu ressentes ta prostate,

    C’est une notion difficile a exprimer. Pour moi c’est d’abord pouvoir ressentir la prostate comme organe. Je peux me l’imaginer, mais ça reste une diapo tout comme je l’ai vue à l’écran.
    Je peux admettre qu’elle travaille et en ressentir des effets. Je sens les résultats mais pas la cause (pas elle en fait). Elle, elle ne me transmet pas les sollicitations physiques, elle ne me dit pas ‘Aie’ ou ‘encore’.
    J’aurais du dire réaliser l’humain, c’est-à-dire l’être complet avec la conjonction du masculin et du féminin. Je veux être moi !

    De l’orgasme
    Certes j’ai quelques orgasmes, je l’admets, depuis peu . Quand des tremblements incontrôlés secouent mes jambe par exemple. Mais pour l’instant cela ne me prend pas le corps tout entier. Tantôt les jambes, tantôt le buste ça navigue. Peut-être serait-ce plusieurs orgasmes ?
    Je n’ai pas assez de recul pour quantifier, qualifier.
    Il y a encore tant ‘d’endroits’ de mon corps qui pourraient y participer.
    Je n’ai encore jamais été dans cet état avec une partenaire. Et pour l’instant, je suis confiné dans ma solitude.

    De la (non) sensibilité ou sensitivité
    D’abord, c’est sûr, je suis pas insensible. J’ai une autre sensibilité.
    Par exemple, une fois, je me suis coupé l’index jusqu’à l’os. Je n’ai pas ressenti de douleur mais j’ai bien senti la lame pénétrer ma chair. Une sensation proche : passer son ongle en appuyant fort dans la paume de la main sans griffer comme si l’ongle devait couper la paume.
    Autre exemple tiré de ma vie professionnelle.
    Pour qualifier un état de surface de pièces usinées on procède avec le toucher par comparaison. On utilise une tablette ressemblant à une tablette de chocolat, chaque pavé a sa surface altérée par des défauts calibrés de cinq microns à cent microns. Très rapidement on est capable d’apprécier le plus fin. D’ailleurs, un simple cheveux -quelques microns- se repère facilement avec le doigt.
    C’est donc le cerveau qui traduit l’influx nerveux en sensation. Peut-être dois-je lui apprendre un nouveau langage. Ou bien une autre piste : une expérience malheureuse m’aurait complètement bloqué ?
    Me toucher, me stimuler, me griffer comme me le susurre Bzo ne provoque pas de sensations supplémentaires. Mais j’ai déjà eu une surprise : dans un état proche de l’orgasme, d’un mouvement involontaire, ma main a effleuré l’intérieur de ma cuisse, j’ai été comme transpercée par une décharge électrique. Fulgurance impossible à décrire. J’ai failli tomber de mon fauteuil.

    Un plus gros masseur ?
    Pour l’instant, je n’éprouve pas le besoin. J’ai déjà essayé, le seul plaisir est de me sentir ‘rempli’, bousculer ma prostate m’a plutôt conduit à des désagréments (saignement). En cette période de convalescence, je ne pense pas retenter ces expériences.

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #26600
    Ch313
    Participant

    honnêtement, tu as essayé combien de fois?
    Et chaque fois sur quelle durée moyenne?

    J’ai l’Aneros depuis 17 mois maintenant, je l’ai utilisé sûrement plus d’une centaine de fois.
    Au début je l’ai utilisé comme l’indiquait le Traité. Deux à trois fois par semaine. Puis insatisfait, j’ai augmenté le rythme. La période où j’utilisais les sons binauriculaires, c’était tous les jours. Enfin, après la révélation du moi féminin, beaucoup moins, j’en avais plus besoin.

    Les premières fois je consacrais une heure environ à mes séances.
    Ensuite, avec l’aide des sons, c’était plutôt deux heures. Je m’étais d’ailleurs constitué des assemblages de une heure quarante cinq environ .
    J’ai essayé diverses façons lues sur le forum. Notamment m’endormir avec dans l’espoir d’un réveil fabuleux. Peine perdue. Aussi le porter dans la journée. Pas mieux, de plus pas confortable.
    J’ai tenté de me faire caresser, masturber par ma compagne.
    « Je me lève » et elle m’abandonne. Le soufflé retombe, l’érection aussi !
    J’ai essayé de faire l’amour aussi.
    « T’as fini ? » La montgolfière se déchire, c’est le crash lamentable !

    Mes séances féminines ont pris de l’ampleur. Elles durent facilement trois heures. J’ai même eu des voyages de cinq heures. De quatre heures du matin à neuf heures.
    Typiquement je me lève entre cinq heures et cinq heures trente. Je déjeune. Puis je m’installe.
    Je termine quand ma compagne se lève, entre huit heures trente et neuf heures. C’est le chien qui me donne le signal, quand il l’entend, il commence à faire la fête dans le séjour. Je termine instantanément comme si je sortais d’un état hypnotique. C’est le pourquoi de mon interrogation sur l’auto hypnose.

    Insister et encore insister.

    Certainement il faut. Mais trouver le bon moyen n’est pas aussi évident que cela.
    Oui je vais continuer, je sens plein d’ « appel » en moi. J’ai réalisé la femme, mais pas encore l’homme !
    L’homme avec qui je pourrais faire l’unité.
    Du travail, que dis-je, de la vie en perspective.

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #26588
    Ch313
    Participant

    À te lire et te relire, Bzo, je souscris à tes propos.
    Oui, ma prostate fonctionne bien. Mais . .
    Oui, mon corps est parfois ‘en orgasme’
    Mais reconnaître un orgasme prostatique, c’est pas encore ça.
    Peut-être me manque-t-il ‘une échelle’ d’appréciation.
    J’ai eu un orgasme, le seul de ma vie, que je reconnais comme tel. Je l’ai vécu en femme. J’ai senti qu’il n’était qu’une porte et que ‘plus’ est possible. Des tas d’endroits de mon corps pourraient y participer.
    Si je devais le qualifier, je dirais que c’est un mini ‘O’.

    De l’usage des mains.
    Oui, c’est un organe doté d’un pouvoir immense.
    Mais je ne l’utilise pas. J’ai pourtant tripoté mes seins comme dans le traité d’Aneros. Sans grand résultat. Si je me masturbe, j’arrive à l’éjaculation, mais sans grand plaisir. C’est pour cela que je cherchais d’autres plaisirs.

    Apprendre à activer cela de l’extérieur.
    Oui, toute ma problématique est là. Mais ça ne marche pas.
    Je ne ressens pas les signaux -matériels, physiques ou même immatériels, psychiques- qui devraient m’interpeler.
    Du ‘psy’.
    Comme tout le monde, j’ai perdu des proches, des amis, des parents et même un enfant. J’ai toujours été incapable d’avoir une larme. La honte que je peux ressentir. Ou la culpabilité, mais de quoi ? De ne rien ressentir ? Dur, vraiment dur.
    Du physique, le matériel.
    Une anecdote :
    Adolescent, au lycée, en cours d’éducation physique j’ai reçu un javelot (de dos) dans la jambe. Je n’ai rien senti, ni choc, ni ‘piqûre’. J’ai senti que quelque chose de chaud coulait dans ma chaussette -comme si on me pissait dessus- . Ce n’est qu’en passant ma main sur ma jambe et constatant qu’elle était pleine de sang que je me suis dit qu’il se passait quelque chose.
    Autre. C’est quand je vois le sang sur la planche ou sur les outils que je m’aperçoit que je me suis coupé. Et parfois, il faut que ce soit les autres qui m’alertent.
    De l’opération de la prostate. Le médecin m’avait prévenu des douleurs postopératoires : quand on urine sur une plaie, ça brûle. J’aurais des antidouleurs. Je n’en ai eu aucun besoin. Il s’entassent dans la pharmacie.

    Oui, c’est là mon problème.
    Je peux tripoter avec mes doigts, un autre truc, vibrant même je ne sens pas. Voilà le dysfonctionnement qui m’importune.

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #26573
    Ch313
    Participant

    Merci Bzo pour ton accompagnement
    Sûrement la reconnaître est la première étape, peut être la plus compliquée.
    L’éduquer, l’amadouer pour qu’elle me transporte sera certainement une étape encore plus longue.
    C’est elle qui me travaille, comment l’apprivoiser? Qu’elle me vienne en pleine conscience.
    Bonne journée

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #26570
    Ch313
    Participant

    Dimanche 11 mars
    Galère
    J’aborde la phase ‘rewiring’ et ‘rewriting’
    Les sensations sont toujours très présentes sans être précises
    Mais quand l’urologue tâte ma prostate, il passe son doigt de droite à gauche, de bas en haut, appuie plus ou moins etc pour faire son diagnostic, je ne sens rien à part que quelque chose est dans mon rectum. C’est là la base de mon problème.
    J’avais donc beau insister à mes débuts, j’étais ‘mal barrée ‘
    Maintenant que c’est bien cicatrisé, comment vais-je reprendre mes essais. Où est le problème ?
    Serais-ce une déficience nerveuse ? Peu probable, la prostate n’est pas un organe réflexe donc s’il y a éjaculation, c’est une commande du cerveau donc il y a connexion. C’est la partie câblage le ‘wiring’ -filerie-.
    Un manque d’influx possible, j’ai une éjaculation faible en puissance.
    Donc une limitation quelque part.
    Ou un blocage ? Là c’est du domaine du ‘rewriting’ Réécrire le logiciel qui ne vas pas. Recréer les ponts qui manquent dans mon subconscient.

    En fait ce vide à combler transposé en vagin à remplir, c’était si facile, trop évident. Mon cerveau me l’a permis. J’ai découvert l’orgasme femme. Je différencie le plaisir la jouissance de l’orgasme.
    De l’homme je n’ai que le plaisir éjaculatoire. Pourquoi n’aurai-je pas accès à l’orgasme masculin ?

    Lundi matin,
    il est trois heures, ma compagne n’arrête pas de me pousser, comme je vais bientôt tomber, je me lève. Je m’installe dans mon fauteuil. Les sensations diffuses ne m’ont pas quitté.
    Allez, je me lance. Il y a longtemps que je n’ai pas utilisé le masseur. Je l’introduit donc doucement. Je mets mes écouteurs et lance une musique que je pense appropriée. Je prends une respiration lente et profonde pour endiguer les premiers spasmes qui secouent mon pubis.
    Un quart d’heure de détente (Ha l’Eutonie a du bon). Les spasmes reviennent au diaphragme entrecoupant ma respiration.
    Maintenant je prends le contrôle de ma respiration, c’est elle qui encadre les spasmes. Je ralentis doucement en approfondissant mes expirations. Mon bassin roule doucement, imperceptiblement d’avant en arrière. Une douce chaleur envahit mon pubis d’une cuisse à l’autre.
    Des spasmes reprennent engendrant des gémissements dans ma gorge. Mon bassin roule plus fort pendant pendant que des contractions venues de je ne sais d’où font aller et venir le masseur. J’ai la bouche grande ouverte avec de longues inspirations. Une langue lèche mon périnée, une langue de braise qui m’arrache doucement de longs râles.
    Il est déjà plus de quatre heures
    Les va et viens du masseur s’amplifient ainsi que les mouvements du bassin qui les accompagnent. Avec parfois des poussées comme pour l’expulser. Je multiplie les mouvements du bassin de droite à gauche.
    Je caresse mes seins doucement, je les effleure, mon bassin s’accélère,
    Le masseur tourne, la poignée masse ma fesse droite, la petite boule ma fesse gauche. Le masseur me masturbe de l’intérieur. Je suis en érection. Je veux être en moi. Viens ! Baises moi ! Le masseur s’échappe, je le remets en place. Maintenant je presse mes tétons en les tordant.
    Mes jambes tremblent, désordonnées. Viens au fond de moi !
    Encore. Encore. Mes tétons sont en feu. Je fais de grands cercles sur mes seins. J’inspire profondément. Je reviens au calme.
    Il est cinq heures.
    Le masseur ressort à nouveau. J’ai envie d’uriner
    Pause.
    J’ai frôlé l’orgasme, mais ce n’est pas encore pour cette fois.
    Et si ma prostate était au travail, je ne l’ai pas encore rencontrée.
    Dommage !

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #26550
    Ch313
    Participant

    Bzo, j’a interrompu pour te lire. . .

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #26548
    Ch313
    Participant

    Je te lis bien. Mais je suis encore en transe.
    Je sens mes cuisses comme si elles avaient doublé de volume.
    Les élancements dans mon pubis n’arrêtent pas. Mes mains tremblent.
    Je vis la jouissance de mon accouchement. Sûr que je vais la chérir.

    Il y a quarante ans j’ai opté pour la contraception par vasectomie. Avec une intime satisfaction je crois que je chérissais déjà la femme que je suis. Ce n’était pas un hasard.
    Je suis encore en larmes.
    Oui je vais passer aux sollicitations physiques. Je sais quels pouvoirs ils ont. Et pour être totalement avec toi, je vais te raconter une anecdote.
    Je suis au boulot. C’est lundi matin, je croise une collègue dans le couloir.
    Je me rappelle son air surprise, elle a pas dit bonjour mais s’est esclaffée :
    Qu’est-ce qui t’es Arrivé! Alors je lui ai raconté mon week-end. Elle était incrédule. Alors je suis ‘passé à la pratique’ J’ai pris sa main dans mes mains, j’ai caressé ses doigts, « whoua » Qu’elle s’est exclamé . . .
    Je sentais que je pouvais l’emmener en transe. STOP. On est dans le couloir, au regard de tous. Mais je me souviens de son regard heureux. Et ses sourires plus tard.
    J’avais passé un week-end de stage de massage californien.
    J’en retiens que oui mon être transparaît et que l’autre le vois.
    Que oui la sollicitation physique (en l’occurgence un massage) peut déclencher une foule de choses. Que j’ai ce pouvoir. Alors je te rejoins dans ton expérience et d’une façon je la partage. Mais je n’ai pas ton lyrisme pour me raconter. Mais j’aime à te lire cher bzo.
    Mes cuisses tremblent encore. Mais ne serait-t-on pas en train de faire l’amour à travers ce fil? Ou je délire !!!
    Ma main tremble pour écrire.
    . . .

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #26542
    Ch313
    Participant

    Grande crise de larmes en me relisant

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #26541
    Ch313
    Participant

    Alors ? C’est mon vagin ? Ou ma prostate ?
    Oui je me suis posé la question la première fois. Ce qui a orienté mon cheminement, c’est que la sensation était externe et ne répondait pas à une attente interne. Mon vécu avec une lesbienne m’ a peut-être aussi inconsciemment influencé. Mais j’ai pas réfléchi. L’angoisse m’a envahi tout d’un coup : étais-je un trans qui s’ignore ? Mais m’abandonner à ma féminité me calmait, me réconfortait même. Passage fabuleux et pourtant si délicat. Les étapes se sont enchaînées d’elles-mêmes, je suis bien.
    J’ai vu mon ostéopathe (juste avant mes expériences en club). Il m’a ‘traité’ ma vessie. En effet, il faut qu’elle se reconfigure que son fonctionnement redevienne efficace.
    Avant il restait jusqu’à un demi litre d’urine dans ma vessie. Maintenant ce vide est à prendre et je le ressens.
    La sensation que quelque chose se passe ne me quitte pas. Pour l’instant je contrôle au maximum car dès que je me relâche les sensations s’amplifient, remontent jusqu’au diaphragme. Les spasmes ne sont pas loin. Ma prostate a toute la place. . .
    Dilemme sur la suite que je vais donner à cet état. Vais-je laisser libre court à mes sensations ou vais-je ressortir l’Aneros du fond du tiroir ? Je ne sais comment m’y prendre, je doute, j’angoisse même.
    Continuer à me laisser faire, rien que d’y penser c’est déjà un déferlement de frissons. Et je sens que ma féminité me submerge. Je suis dans ma zone de confort.
    Ou vais-je provoquer autre chose avec le masseur. Là c’est l’inconnu, j’ai peur. Les conditions environnementales ne me semblent pas propices. Je suis en train de m’inventer des barrières. Je me crispe. Ici et maintenant, je suis en direct
    Ma respiration devient désordonnée, des petits spasmes.
    Mon bassin roule engendrant des vagues de chaleur
    J’halète. De grandes contractions de mon ventre. Mes mains tremblent je n’arrive plus à écrire il faut que je les dissocie.
    La bouche grande ouverte je prends de grande inspirations, j’expire par saccades mes bras appuient très fort sur le fauteuil, ls tétanisent. Je me force à de longues expirations pour me décontracter et l’écrire
    Une vague de chaleur intense sous les côtes. Mon bassin n’arrête plus de rouler, des contractions par saccades lancent comme de grands coups de boutoirs dans mon périnée. Mes épaules tremblent. Je suis au fond de ma gorge je râle je vais crier les larmes coulent. Les grandes poussées reprennent avec les râles. De grosses larmes, je suis toute dans mon esprit. Dans une détente cosmique alors que mon corps explose
    Je m’allonge dans le temps de la félicité. C’est l’. ‘Out of body’
    Instant fabuleux. Je suis avatar à l’exploration de mon corps. Voyage transendal ? Mon dos est brûlant des épaules jusqu’aux fesses et ça descend dans les cuisses. Quel pouvoir de contrôle, mon esprit est là il me permet d’écrire, mon corps est là aussi comme à côté mais j’y suis dedans. J’ai l’impression d’être dans l’éther, je flotte, une onde fluidique envahit mes jambes. Mes pieds flottent. (Tiens je fais de l’Eutonie !)
    Mon bassin est calme, reposée. Une chaleur coule sur mon périnée. Je peux l’accompagner j’en jouis. Du rectum au pubis c’est fournaise, je repart, je décolle. Je me cabre mon ventre va atteindre le ciel. J’arrête pas de gémir. Une tempête dans mon ventre. Ma vulve se contracte, mes lèvres aspirent. Ha Oui Viens Je suis prête. Je te veux. J’halète je tremble de partout. Un quart d’heure que je n’ai pas écrit.
    Mon vagin fait l’amour à ma prostate !!!
    Plus de deux heures que ça dure. Comment je vais m’arrêter ?
    L’angoisse comment je vais vivre la suite ?
    Il faut que je m’arrête, ma compagne va se réveiller, je reprend le contrôle de mon corps. Que je fasse l’unité.
    Comment je vais vivre ça aujourd’hui.
    C’est en direct de mon accouchement

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