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divine_oblivion
ParticipantBravo pour le podcast! Je viens d’écouter, et c’était super d’entendre plus de détails sur ton cheminement à toi, Adam, ainsi que d’entendre le cheminement de qqn qui ressemble à autre chose que le tien. Je crois que je l’ai dit mais j’ai appris sur l’existence d’âneries (auto-correction « d’aneros » mais je laisse, c’est beau) de ton interview sur « les couilles sur la table ». Donc je trouve que le podcast c’est une excellent manière de diffuser ces précieuses informations. Dommage que j’ai raté l’appel, j’aurais bien aimé faire un interview, même si avec mon accent on m’aurait sûrement reconnu de loin (mais bon presque tout le monde que je connais est au courant de mes pratiques, car j’essaie de convaincre à chaque homme d’essayer et à chaque femme hetero d’acheter un jouet pour son mec).
divine_oblivion
ParticipantJe rajoute à l’idée de BZO de se toucher partout, lentement, doucement. Fait l’amour à sa peau des pieds au nez avec ses doigts. Pour ce qui concerne les sensations de plaisir ça aide d’être excité. Comment fais tu pour t’exciter?
divine_oblivion
Participantoui pour moi les sensations sont bien changeantes, comme tu dis, mais aussi ma façon de faire à bien changé avec le temps. quand j’ai commencé, entre mois 3-12, disons, j’ai beaucoup pratiqué le aless, un peu partout. Je le voyais souvent comme une pratique pas sexuelle quand j’étais dehors, à sentir le vent sur mon visage ou les vibrations d’un train qui traversaient mon corps. A la maison c’était sexuel, et je me touché un peu partout sur le corps. Des fois au lit, des fois comme tu dis, en faisant autre chose comme le ménage. J’avais des moments quasi spirituels, des sensations de plaisir localisé (mains, lèvres, etc), des sensations dans mon prostate, et des mélanges… je guidais ou je voulais placer ma concentration, mais je me laisser guider aussi. Et par moment ça arrivait par vague, hors mon contrôle. A cette époque c’était comme tu dis des laboratoires que je faisait.
Vers mois 9 j’ai commencé à pratiquer des fantasmes (!) de sensations, me convaincant que j’étais caressé par mille langues, fouetté, en train de voler ou nager. C’est devenu hyper méditatif, complètement psychédélique (sans aucune drogue), et très fort niveau sensation/orgasmes.
J’ai rencontré ma partenaire à ce moment là et je me suis donné moins de moment seuls ou je dédiés aux recherches. Depuis (ça fait 3 ans que je suis avec elle) je « stagne » dans le sens où je n’ai pas développé ça plus loin tout seul. C’est à dire, je refait tout ce que j’ai décrit ci dessus, mais moins souvent (même pas une fois par jour des fois, tandis qu’au début c’était tout le temps). Mais surtout je ne cherche pas plus loin. J’ai eu une période l’an dernier où je développé mes « hallucinations » les yeux fermé, ce que je trouve très proche au aless, car je plane quand je fait ça mais j’ai arrêté net le jour où j’arrivais plus à dormir a cause des hallucinations incontrôlables. J’ai recommencé récemment a pratiquer ça, mais très doucement.
Donc aujourd’hui oui, aless par ci et par la. Des fois je me caresse, des fois je fais des contractions. Des fois c’est localisé, des fois pas. J’aime beaucoup les caresses pendant des contractions. Des fois ma femme m’attrape dans la maison pour me faire des caresses sur les tétons, le cou, me voir trembler et gémir quelque minutes. Avec le aless je jouis quasi tout de suite, des fois sans cesse pendant quelques minutes, contrairement à mes moments avec jouet ou je peux mettre quelques minutes à me chauffer. C’est probable qu’aujourd’hui je fait bien moins d’exploration que toi quand je fait du aless. je suis souvent un d’une dizaine de chemins déjà bien rodés, du plaisir sur. Quand j’utilise un jouet seul ou pas, il y a beaucoup plus de créativité. D’ailleurs en écrivant ça ça me donne envie de chercher plus loin le aless de nouveau…
je sais pas si j’ai répondu mais ça fait bien d’écrire!
divine_oblivion
ParticipantBonjour. Les réponses aux questions ci dessus seraient tellement personnel pour chaque personne. La seule manière de trouver son bonheur c’est en le découvrant soi même! Ceci dit… tiens:
Quels types de jouets?
5 aneros, plusieurs godes moyens, doigts, njoy wand
Quel lubrifiant?
passage du désir special jouets (le seul qui ne brûle jamais pour moi)
Quel longueur?
…
Quel type de plaisir?
Tres varié. J’ai du mal à le décrire de manière généralisée.
Combien de temps?
45m-2h. aussi des secondes à quelques minutes pour le « aless » spontanée.
Le plaisir vient il au bout d’un long moment de persévérance?
pour moi non, mais la dessus pas de comparaison! On est tous différent. Mais souvent j’ai une monté d’intensité dorgasme, ça devient de mieux en mieux, puis au bout d’un moment ça baisse en sensation.
Quelle position?
plein mais préférence pour la classique sur le cote les genoux pliés ou quatre pattes
Quels mouvements?
Kegels, jeux avec frottage de genoux l’un contre l’autre en cercle très lentement, jeux de tensions musculaires partout.
Interaction avec votre sexe ou non?
Pas exprès mais apprécie quand mon sexe frôle la couette. Si envie je me branle à la fin, mais pas systématiquement.
Pour la fréquence des sessions: en ce moment, seul 1 fois par mois, en couple 2 fois par semaine. En commençant il y a qq années j’étais pas en couple et je faisais 2-3 fois par semaine seul. Plus c’était gâché. Aussi important pour moi, j’aime jouer à partir de 2 jours sans ejaculation, et je fait du edging en amont.
divine_oblivion
ParticipantBzo autant pour moi mais en même temps j’ai lu “cela nous déconnecte de notre corps” et
“il n’y a pas la même qualité, la même sensation de communion avec son corps”
et ça m’a fait tiquer. Évidemment je te laisse dire ce que tu veux par rapport à ton plaisir—c’est exactement ce que je dis, chacun son truc. Mais j’ai donc mal lu apparement!
divine_oblivion
ParticipantTant mieux si tu comprends ce qu’il veut dire. MAIS Je ne nie pas ce que BZO écrit comme expérience pour lui, et je veut bien croire que ça peut s’appliquer à lui, a toi, et même possiblement à tout le monde sauf moi (mais ça pour le coup, c’est pas vrai). Pour moi le problème c’est de dire que ceci ou cela provoque un plaisir de plus haute qualité, peu importe pour qui. C’est comme ci on disait à une femme que l’orgasme vaginal est mieux que l’orgasme clitoridien. Ça crée des dogmes, or la sexualité est une aventure fort personnelle.
divine_oblivion
ParticipantBézolé dzo, je ne suis pas d’accord. J’aurais pas récrit ici, mais tu parle en « nous » comme ci ça s’applique à tout le monde, et tu dis que ta façon de faire te laisse accéder à un plus haute forme de plaisir que ceux qui font autrement, au moins c’est ce que je comprends en le lisant. Et ça me froisse, car on ne peut pas comparer son propre plaisir à ceux des autres. Justement le plaisir qu’on se procure la, c’est unique à chaque individu. Le plaisir qu’on cherche, ça doit être sans compétition avec les autres, sans honte de ne pas faire assez bien, sans l’orgueil de le faire meilleur que les autres.
….
Pour moi le fantasme est la moteur du désir, de l’attirance, de l’excitation. Quand je suis devant une autre personne, on fantasme l’un sur l’autre. Ça nous permets de tomber dans des états hypnotiques, de planer (la je parle de « nous » en tant qu’un partenaire et moi). On crée des faux mondes. On fantasme sur ce qui va se passer, et comme toute bonne pièce de théâtre, on est surpris par la vrai déroulement des choses car ça dépasse nos attentes. On dit mille fois qu’on s’aime, un absurde fantasme de l’amour qui mène directe au paroxysme du plaisir. Des jeux de rôle (donc du fantasme pur) nous laissent voyager dans les corps d’autres et sentir des sensations qu’on aurait pas pu accéder autrement… c’est comme ça que je le ressens au moins (et ma femme aussi).
et tout seul, je fantasme pour faire monter mon excitation. Je me dis des cochonneries tout seul. Je crée des personnages. Mon oreiller devient une amante. J’imagine que la porte s’ouvre et un voisin me trouve les fesses à l’air. Je devient soumis à une domina imaginaire. Et je jouis, putain qu’est-ce que je jouis! Si je pouvais jouir plus fort et plus longtemps ça serait AVC directe.
Bref pour moi le fantasme est intégral à ma sexualité. Donc forcément je tique quand quelqu’un dit que ça amoindrit la qualité du plaisir.
divine_oblivion
ParticipantD’accord. Donc effectivement tu es d’un cote satisfait par elle, de l’autre cote il te faut plus que ce qu’elle puisse te fournir… à toi de voir si ce que tu veux sexuellement est sain par rapport a la relation que tu souhaite avoir avec elle ou avec un possible autre partenaire. Je trouve ça triste de tuer une partie de soi, mais c’est pas inouï. Plein de personne refoulent leurs envies sexuelles et ça leurs fait plus ou moins mal.
moi même pendant longtemps j’avais du mal à rester avec une femme. J’avais envie de goûter des nouvelles chattes tout le temps, de découvrir des nouvelles odeurs, des nouvelles formes. Au bout d’un moment (et au bout de plusieurs dizaines de femmes) j’ai compris que ce comportement n’était pas compatible avec mon envie d’avoir une relation stable avec quelqu’un que j’aime. A force j’ai perdu l’envie de sauter sur chaque femme qui me souriait (j’exagère, mais bon, ça arrivait souvent). Maintenant je n’ai plus d’envie sexuelle avec les personnes que je n’aime pas profondément. Mais il fallait que je vivent mes fantasmes pour apprendre qu’ils étaient pas sain pour moi. Il n’y a pas forcément une leçon dans tout ça…
divine_oblivion
ParticipantEncore une fois je suis d’accord avec toi pour l’histoire de porno. Mais sans savoir plus sur le fantasme, ni son age, expérience sexuelle, sa relation, etc, c’est difficile à dire si le fait de fantasmer est vraiment un problème. Moi je postulais juste que c’est possible que son partenaire n’ait pas le même désir sexuel que lui. Ça arrive tout le temps dans les relations, et c’est dommage, surtout dans des relations fermées. Ça m’est déjà arrivé, et c’est pas quelque chose qu’on remarque au début forcément, car au début c’est souvent le moment de la relation où on fait le plus l’amour. Et on ne sait pas non plus ce qu’elle pense de tout ça. L’attirance sexuelle va dans les deux sens, et l’acte sexuel est une dynamique à deux (ou plusieurs). Donc c’est aussi possible qu’il est moins attiré par elle car elle est moins attirée par lui.
Désolé de proposer que des scénarios un peu tristes, mais la manque de désir doit venir de quelque part, et je trouve ça embêtant de dire qu’il faut supprimer une importante partie de son sous-conscient (le fantasme) pour rendre une relation viable. Enfin j’ai jamais lu ça comme solution de la part d’un sexologue. Mais peut-être j’ai tort!
divine_oblivion
Participant<p class=”p1″><span class=”s1″>Je ne suis pas tout à fait d’accord avec BZO, mais on est tous différent.<span class=”Apple-converted-space”> </span>C’est clair que ta dépendance au porno n’est pas saine. Par contre pour le côté fantasme, pour moi ce n’est aucunement mettre de l’eau dans son vin.<span class=”Apple-converted-space”> </span>Pour moi le fantasme c’est la chose la plus importante pour le les jeux sexuels seul, et ça joue aussi dans moments intimes en couple. Justement c’est ça qui me provoque l’excitation nécessaire de jouir autant que je veux.<span class=”Apple-converted-space”> </span>Ça m’aide à tomber dans des états quasi hypnotique, jusque ce que j’ai l’impression de vivre mon fantasme.<span class=”Apple-converted-space”> </span>Et pour la drogue (même si ici n’est pas sujet, t’en a parlé BZO) je n’y vois pas de mal si ça ne crée pas de dependence et si ça n’est pas d’effets néfastes sur le corps.</span></p>
<p class=”p1″><span class=”s1″>Par rapport à ta copine, c’est très compliqué.<span class=”Apple-converted-space”> </span>Quels sont tes fantasmes? Sont ils des choses que tu pourrais vivre pleinement avec elle?<span class=”Apple-converted-space”> </span>Ou sont ils abstraits? Ou très « porno » ?</span></p>
<p class=”p1″><span class=”s1″>J’ai une opinion sur les relations intimes que certains n’aimeront peut-être pas. Pour moi, si on est avec quelqu’un mais on n’est pas satisfait sexuellement après en avoir parlé, après avoir essayé des choses, et après avoir vu des un.e sexologue (en couple), la solution est claire. Soit on ouvre la relation pour que chacun.e puisse être satisfait.e comme iel veut, et pour ça il faut travailler beaucoup sur le couple. Soit on arrête de voir la personne pour trouver qqn qui nous convient sexuellement (et émotionnellement, bien sûr).</span></p>
<p class=”p1″><span class=”s1″>L’alternative, c’est rester sexuellement frustré dans une relation pendant des mois, des années voir toute sa vie, car plus on avance dans un couple (si on suis le schéma traditionnel, c’est un achat d’un bien immobilier et la naissance des enfants), plus il peut sembler difficile de quitter son partenaire.</span></p>
<p class=”p1″><span class=”s1″>Après c’est ma façon de voir le couple. Certains diront que c’est trop exiger, de trouver dans une seule et même personne un ami fiable ET le meilleur amant de sa vie. Et c’est possible que même si on trouve la personne parfaite, nos désirs changeront au fur et à mesure.<span class=”Apple-converted-space”> </span>Je trouve que c’est très important de se connaître bien soi même pour savoir ce qu’on veut (spoiler: ça peut prendre un moment, moi je me suis découvert pleinement à l’âge de 32 ans avec aneros, après plusieurs relations, et le voyage continue), et de trouver quelqu’un qui a fait un travail sur soi déjà.<span class=”Apple-converted-space”> </span>En couple notre partenaire nous ne doit rien, donc autant trouver quelqu’un qui veut la même chose que nous. Ensuite il faut être ouvert à une possibilité de changement de désirs, et il faut pouvoir en parler, trouver des solutions (ouverture de couple par exemple).<span class=”Apple-converted-space”> </span>Avec ma femme, on est en couple quasi fermé, mais on s’est dit que le jour où ça sera déséquilibré, peut être a cause des hormones, ou maladie, ou que sais je encore, on discutera la possibilité que la personne qui est frustrée sexuellement pourra chercher un ou des partenaires pour combler ses désirs.</span></p>divine_oblivion
ParticipantBzo, je suis d’accord en théorie avec ce que tu écrit, et en plus c’est très beau, mais comme tu dis tu n’as jamais perdu le désir à cause des traitements médicaux. Moi non plus, d’ailleurs. Donc c’est difficile pour nous de vraiment savoir ce que c’est, ce blocage qui transcends même l’envie d’avoir envie.
A noter, il y a des molécules très courantes contre la dépression (les irss et irsn) qui peuvent alterer la sexualité d’une personne à vie, même après l’arrêt de la prise, et pour certains çà mène à une perte totale de libido menant à l’asexualité. A éviter, et à en parler autour de soi car les psychiatres sont pas toujours bien renseignés quand ils les prescrivent.
divine_oblivion
ParticipantJ’ai pris des godes assez grands bien avant d’essayer les stimulateurs prostatiques. Puis au moment où j’ai appris sur les orgasmes prostatique et quand je me suis décidé de l’apprendre, J’ai commencé beaucoup plus petit que ce dont j’avais l’habitude, avec le Hélix, et sans toucher ma bite. Je ne pourrais que recommander le hélix pour tout le monde. Je l’utilise une fois sur deux même si j’ai plein d’autres masseur prostatique de toute taille aujourd’hui.
divine_oblivion
ParticipantMoi encore… je ne sais pas ce que c’est libido spécifiquement pénien… pour moi libido c’est mental. Je dirais qu’un libido freiné à forcément un effet sur chaque aspect de la sexualité, et du coup le prostate aussi. En tout cas sans désir sexuel je vois mal comment atteindre un orgasme prostatique, donc si tu te sens ton désir coupé par le médicament, c’est sûrement ça qui empêche le plaisir en partie. Après j’ai pas eu d’expérience de perdre le libido depuis mon aventure prostatique, donc je pourrais pas dire niveau personnel l’effet que ça a sur moi.
divine_oblivion
ParticipantPardon j’avais pas compris quil s’agit de bêta bloquants. J’en prends ponctuellement pour aller sur scène sans être stressé, et suite à la prise j’ai jamais remarqué un changement de mon fonctionnement sexuel. Je crois pas que j’ai fait une session en solo après une prise, mais j’ai couché avec une partenaire plusieurs fois après des soirées où j’en avais pris, sans effets négatifs sur mon excitation ou sur le plaisir prostatique (mes moments en couple sont remplis d’orgasmes prostatique et autres plaisirs non-ejaculatoires). il y a sûrement une différence entre prise ponctuelle et prise régulière, mais voilà mon expérience.
divine_oblivion
ParticipantBonjour. Pas de médicament de mon côté.
Je suis d’accord que l’idée que vous avait un blocage physiologique peut mener à un blocage mental. Une grande partie de l’orgasme prostatique est du côté mental, donc ça n’aide pas.
Apres si le problème est au niveau de l’excitation/libido, c’est important de le régler, car sans excitation c’est difficile d’avoir du plaisir sexuelle. Est-ce que tu as des problèmes d’excitation par ailleurs dans ta vie sexuelle (masturbation traditionnelle, vie intime avec un partenaire, etc)?
L’orgasme prostatique c’est juste une sorte d’orgasme non génitale. Plein de personnes paralysées en dessous de la ceinture ont découvert comment avoir des orgasmes non génitaux. Donc même si ton prostate fonctionnait différemment à cause du médicament, tu pourrait toujours avoir d’autres sortes d’orgasmes: rectaux, anaux, orgasmes de tétons, de la peau, etc.
25 juillet 2022 à 4 h 58 min en réponse à : utilisation de l’anéros Tempo (ou des peridises…) #44285divine_oblivion
Participantje ne sais pas s’il y a une différence pour d’autres personnes entre l’utilisation du peridise et celle des jouets pour stimuler le prostate directement, mais pour moi c’est pareil. Du calme au lit, de l’excitation, du lubrifiant, des kegels, des auto-caresses, des fantasmes, et c’est parti. Je l’enfonce à des profondeur différentes selon l’envie du moment.
divine_oblivion
Participant<p class=”p1″><span class=”s1″>Super que t’as tant progressé!</span></p>
<p class=”p1″><span class=”s1″>Je suis comme toi, ayant joué pendant des années avec mon cul avec beaucoup de plaisir mais sans avoir d’orgasme prostatique, car j’ignorais l’existence de ce dernier.<span class=”Apple-converted-space”> </span>Un jour par le biais d’Adam j’ai découvert la traité d’aneros, et après 3 ans de vie haute orgasmique depuis la découverte des orgasmes prostatiques, je peux dire qu’il n’y a pas de règles par rapport a la location exacte du « p-spot » et le plaisir qu’on en tire. </span></p>
<p class=”p1″><span class=”s1″>Peut être aujourd’hui tu prends plaisir d’une certaine manière et d’un certain endroit, mais ça peut facilement changer avec le temps.<span class=”Apple-converted-space”> </span>L’orgasme prostatique ouvre la porte à d’autres types dorgasmes: rectal, anal, tétons, peau, etc. Donc c’est possible que d’ici quelques temps tu vas trouver que le Hélix marche hyper bien, justement parce que ça stimule un autre endroit de ton intérieur.<span class=”Apple-converted-space”> </span>Il y a même des jouets aneros qui sont pas censé stimuler le prostate car trop court, mais qui peuvent provoquer des orgasmes aussi bien que les autres: le tempo et les peridises. Et puis les pratiques sans jouets, ben la pour le coup il n’y a même pas question d’endroit spécifique stimulé.</span></p>
<p class=”p1″><span class=”s1″>Donc je suis d’accord qu’il faut essayer plein de jouets pour trouver ceux qui marchent pour toi, mais il faut aussi être ouvert à la possibilité que les jouets qui ne marchent pas sur toi aujourd’hui marcheront peut-être demain!</span></p>30 avril 2022 à 1 h 49 min en réponse à : Pratique anale, prostatique et peur de l’homosexualité #43992divine_oblivion
ParticipantJe suis d’accord avec bzo.
pourquoi avoir peur de tes désirs? Si tu aimes ta femme, et si vous êtes en relation libre si j’ai bien compris, c’est idéal pour découvrir ta sexualité dans toutes ses couleurs. Si bien sûr ta femme accepte que tu voit ailleurs. Il faut juste être sûr de donner suffisamment d’amour à elle, et d’aider à la maison pour pas créer de déséquilibre dans le couple, dans les taches ménagères, temps dédié aux enfants, etc. Quand papa ne fait pas sa partie du boulot dans une famille car il est en train de de faire tailler une pipe au sauna, ça peut créer des problèmes relationnelles. Il y a plein de ressources pour apprendre comment gérer un couple libre, à commencer par « la salope éthique » .
en tout cas tu as l’air d’être attiré par les hommes. Aucun mec hetero que je connaît ira dans un sauna gay. Et ta préférence sexuelle, tu ne pourras pas la changer. Plus tu évites cette étape, plus ça va te tourmenter, et plus vite tu t’accepte, plus vite tu sera heureux. Donc accepte toi pour qui tu es, et découvre toi même. Si tu trouves que tu n’aimes pas les femmes finalement, ou si tu tombes amoureux de quelqu’un d’autre, tu ne perdras pas ton enfant, pourvu que tu as été un bon père. Il y a la garde partager, ou même les familles alternatives, avec trois parents, ou avec un couple qui élève des enfants sous le même toit sans être en couple.
sinon qu’en sait ta femme de tout cela? Tu lui en parles? Elle sait ce que tu ressens, tes peurs, tes désirs, etc?
divine_oblivion
ParticipantJe ne mouille que rarement et tres peu en quantité. Pourtant j’ai énormément de plaisir sexuel dans ma vie, prostatique et autre. Donc je me fait pas de soucis la dessus, car comme les autres disent, c’est probablement génétique. D’ailleurs je ne savait pas réellement ce que c’etait la mouille masculine avant d’échanger avec des gens sur internet sur le sujet du prostate. Je appris à sortir plus de mouille en relâchant certain muscles du bassin pendant le massage prostatique ou pendant la masturbation, mais ça reste des petites quantités. J’ai également une petite ejaculation comparée à d’autres mecs, je crois. Ça fait moins à nettoyer!
Apres, squirter c’est autre chose encore, et j’ai pu le faire plusieurs fois. Mais c’est très particulier, et je ne crois pas que c’est forcément lié à la production du pré-ejaculé. Pour moi ça relève du masochisme tellement c’est intense…
divine_oblivion
ParticipantCette aptitude à vivre, sans aucune stimulation matérielle, des « orgasmes » sans éjaculation ne dépend pas d’un masseur mais correspond à un potentiel disponible dans notre organisme. Je découvre ce potentiel peu à peu et mon expérience me fait penser qu’en effet on devrait pouvoir atteindre les mêmes états sans prostate. La limite de mon hypothèse est que disposant encore de ma prostate, je ne peux rien certifier en ce qui me concerne.
Exacte. Mais sans prostate l’apprentissage reste plus vague. Je sais que ce n’est pas facile pour tout le monde d’apprendre a jouir avec son prostate, mais le fait qu’on a un prostate, qu’il y a un jouet, un methode, des ressources gratuites sur internet, tout cela rends ces orgasmes plus accessible que a travers d’autres methodes orgasmique. Le KSMO c’est hors prix pour quelqu’un qui veut simplement essayer. Le tantrisme, c’est pas pour tout le monde vu que c’est lié avec du mysticisme (peut-etre pas le bon mot), des chakras, etc. Le mindgasm… j’avoue l’avoir pas essayé car je n’en ai pas besoin. Mais de toute façon, etant rewired, je ne peux pas tester d’autres methodes!
Mais, après avoir constaté ma transformation, ma femme s’est engagée à son tour dans une démarche de même nature, développer sa capacité à jouir à volonté pour partager mes « transes orgasmiques », et est parvenue elle aussi à vivre des orgasmes sans stimulation « externes », façon A-less. Son expérience est très personnelle dans la mesure où elle n’a pas suivi une « méthode » particulière. Mais elle illustre que ce que tu dis est tout à fait possible.
Joie! J’aimerais entendre d’autre témoignages de personnes sans prostate qui apprennent a jouir autrement. Ma femme a toujours (depuis son enfance) pu jouir juste en serrant ses muscles du bassin. Ensemble on augmente ses jouissances (de resserrement, clito, vagin, etc) avec des caresses ou autre stimulation sur son corps. Avec le temps, l’association d’extreme plaisir avec les caresses a fait qu’elle jouit aussi des caresses toutes seules. Mais elle n’explore que rarement sans moi, car elle n’en sens pas le besoin.
Il n’y a pas de « jouet miraculeux » ni de « méthode miraculeuse » pour accéder à l’orgasme prostatique et à ses équivalents énergétiques. Il y a au mieux des facilitateurs. Il faut avoir un bon état d’esprit et accepter de renoncer à un réflexe instinctif au profit de la découverte de nouvelles sources de plaisir. Cela demande tout naturellement un certain effort mais il en vaut la peine.
Oui oui et oui. Je suis totalement d’accord.
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