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20 sujets de 81 à 100 (sur un total de 119)
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  • en réponse à : Mon expérience déroutante #19254
    Lerris
    Participant

    Salut,
    Me revoilà avec quelques nouvelles.

    J’ai essayé l’Aneros coupé lorsque je suis assis, ça se porte cependant il y a une petite pression supplémentaire sur le périnée et ça peut irriter. Coucher, c’est mieux tout de même. J’ai fait quelques nuits avec et j’ai obtenu à peu près les mêmes résultats que précédemment. Les meilleurs moments sont sans doute quand les contractions font lentement remonter l’Aneros. A ce moment-là, on sent bien que la prostate est stimulé !

    J’ai peu pratiqué avec les jouets Njoy. Je porte quelques fois le plug, c’est sympa sans être fantastique. La lourdeur de l’objet peut finir par être gênante. J’ai dû utiliser 2 fois le Pure Wand, donc je n’ai pas tellement de recul sur l’objet. Je ne pourrais m’adonner à des séances que lorsque je serais vraiment seul à la maison, donc pas tout de suite.

    Du côté des sensations, en général, j’ai l’impression que je progresse petit à petit. Ma sensibilité se réveille et augmente chaque fois que je fais une séance. Ça se construit avec le temps. En ce moment, je ressens très souvent une sorte de frisson agréable dans le bas du corps : l’arrière des cuisses, les fesses, le périnée…
    Mes tétons sont également de plus en plus sensibles et j’essaye d’orienter la sensation. Je m’explique, plus haut dans le sujet j’ai parlé de mon problème de “deux voies”. Quand je faisais une séance Aneros, si je touchais mes tétons, cela augmentais le plaisir, mais aussi le risque de me contracter et cela finissait généralement par une éjaculation. Donc, durant mes dernières pratiques, je me suis concentré pour me décontracter le plus possible tout en stimulant les tétons. Cela semble marcher car à présent cette stimulation semble s’ajouter à celle de la prostate sans bloquer ma progression vers l’orgasme.

    En parlant d’orgasme, par contre, je ne l’atteins pas forcément, ou pas tout le temps. C’est toujours le même problème, difficile de dire si j’en ai ou pas car je ne sais pas vraiment à quoi m’attendre. Une des sensations que je pense reconnaitre comme telle se manifeste quand je m’endors suite à la relaxation ou que je me réveille la nuit, à ce moment une sensation puissante monte en moi et puis je suis transporté sur un petit nuage avec une sensation de plaisir diffuse. Mais, le reste du temps, ce plaisir diffus n’est pas forcément là. Je pense qu’il est peut-être un peu masqué par les autres sensations qui peuvent être très fortes, agréables, mais pas forcément exactement du plaisir. Comme c’est une sensation assez fragile, je pense qu’on peut facilement passer à côté à cause d’une petite contraction musculaire ou autre.

    Bref, pour finir, j’ai fait l’expérience, une nuit, de sensations extrêmement fortes. J’étais dans un “état second” comme on peut l’être après une fête où on se fait plaisir, où on boit, etc. Ma perception de mes sensations était décuplée. Arès le coucher, mon désir s’est enflammé d’un rien, d’une pensée, j’ai senti la chaleur monter dans mon bas ventre. C’était déjà très puissant. Et puis, j’ai touché mes tétons et là… Indescriptible. Je suis resté fixé pendant de longues minutes, peut-être une heure, je ne redescendais plus, mes doigts s’activaient tous seuls. Pendant une partie du temps, j’étais quasi inconscient, les yeux révulsés, complètement soumis aux sensations. Je précise que je n’avais pas l’Aneros, j’étais “à vide”. Au bout d’un moment, j’ai voulu arrêter car ça devenait épuisant nerveusement, mais je n’y arrivais pas, mon corps faisait ce qu’il voulait. J’ai finis par me lever (en luttant pour y arriver) pour aller dans la salle de bain, et je me suis dit qu’une masturbation traditionnelle (accompagné d’un ou deux doigts là où ça va bien 😀 ) ferait redescendre la pression. L’orgasme a été explosif, heureusement que j’étais assis car je me suis affalé en avant.

    Par la suite, je voulais me lever, mais j’ai senti une baisse de tension arriver (bourdonnement, tête qui tourne, nausée…), je pense que j’aurais pu tomber dans les pommes si je n’avais pas lutté. J’ai attendu un peu et je suis aller me recoucher, les jambes tremblantes. Je me suis allongé sur le côté, ce que je fais quand je veux que mon corps stoppe ses contractions et me laisse dormir. Mais, même là, dans cette position et après éjaculé plus tôt, mon corps ne voulait pas s’arrêter. J’ai du lutter, me décontracter mais en pensant à autre chose pour que ça ne reprenne pas. J’ai finis par m’endormir.

    Très franchement, c’était une expérience assez formidable, mais en même temps ça a un peu dérapé. La puissance et la durée du plaisir peuvent être violente pour le corps. Je pense qu’on peut réellement s’évanouir à force.
    Le fait de ne plus être aux commandes, c’est agréable, mais au bout d’un moment, quand ça ne veut plus s’arrêter, ça peut virer au cauchemars.

    Je me dis que si ce genre d’occasion se représente, en utilisant en supplément l’Aneros, je ne sais pas trop à quoi m’attendre…

    p.s. Désolé pour mes longs pavés de texte, je sais que ça peut être long à lire. Du coup, je ne sais pas si tellement de gens prennent le temps de les parcourir.

    en réponse à : Mon expérience déroutante #18536
    Lerris
    Participant

    Salut, je passe juste pour dire que, si vous n’avez pas de photos, ce n’est pas grave, j’ai déjà fait la modification sur mon Aneros. Et je dois dire que, non seulement c’est beaucoup plus confortable à porter allongé, mais aussi ça marche beaucoup mieux pour moi.
    Je l’ai porté la nuit, et j’avoue ne pas avoir beaucoup dormis. L’Aneros m’a réveillé avec des vagues de plaisir, je le sentais beaucoup plus présent.

    Bref, je pense que je vais pouvoir le porter plus souvent et avec de meilleurs résultats. 😀

    en réponse à : Mon expérience déroutante #18510
    Lerris
    Participant

    Merci pour cette réponse très précise ! J’ai moi-même un modèle Aneros Helix.
    Si je peux abuser encore un peu… Auriez-vous une photo de votre Aneros coupé ? Si ça ne vous dérange pas. Sinon tant pis.

    Je pense qu’effectivement, porter l’Aneros plus souvent pourrait m’aider à mieux progresser. Car il semble bien que chaque séance avec lui (même si elles ont été frustrantes) a été comme un jalon dans ma progression.

    Concernant les modèles Njoy, j’ai acheté un Pure Wand et un Pure Plug large.
    Je ne les ai utilisé qu’une ou deux fois pour l’instant.
    Pour le premier, j’ai fait un essai en bougeant à la main et un essai avec la grande boule coincée entre les jambes, comme j’ai pu le lire sur ce forum. Dans les deux cas, la sensation était agréable. Sans orgasme par contre. Il me faudrait plus de temps pour expérimenter, et de l’intimité.
    Pour le Pure Plug, j’ai hésité avec le modèle 2.0, mais j’ai eu peur que ça ne passe pas. Dommage, je pense, car une fois en place, le modèle large se fait un peu trop oublier. Si je m’assis et que je bouge les hanches, c’est sympa. Sinon, je ne le sens pas assez. De plus, j’ai remarqué qu’il a tendance à tourner.
    Par contre, pour les deux modèles, je dois dire que la matière est vraiment bien. Je n’avais jamais testé le métal, j’avais peur que ce soit trop dur, trop froid, etc. Mais, en vérité, ça se réchauffe très vite et ça ne me fait pas mal. Mieux, la matière est vraiment très douce. J’ai tendance à vite être irrité avec d’autres matières, mais là, c’est comme un nuage. Je peux porter le plug longtemps, sans soucis.

    en réponse à : Mon expérience déroutante #18506
    Lerris
    Participant

    Salutation à tous.

    Suite à mon dernier message, j’ai continué mon petit chemin et j’ai un peu testé des toys de chez Njoy.
    Je n’ai pas eu de nouvel orgasme prostatique depuis, à part hier, qui était une journée bien rempli puisque j’ai tout fait, orgasme du pénis sans les mains, avec les mains, et orgasme prostatique. Le premier avec l’Aneros. Les autres sans.
    Il semble que l’Aneros réveille bien ma prostate et, même si je n’arrive pas à avoir d’orgasme prostatique avec, ma prostate reste sensible, et l’orgasme peut venir après, quand je n’attends rien. (A noter que, même en visualisant, comme j’en parlais plus tôt, je n’arrive plus à atteindre l’orgasme. En réalité, dès que j’ai l’impression d’avoir compris la “technique”, le fait de suivre ce processus fait que ça ne marche pas, car j’attends quelque chose et ça doit me crisper. Et finalement, j’atteins l’orgasme en m’endormant ou me réveillant.)

    Du coup, j’avais envie de porter l’Aneros plus souvent, mais sans forcément faire de séances dédiés et j’aurais besoin d’avis.
    J’ai pu lire que certains coupent la queue de l’Aneros afin de pouvoir le porter assis ou même debout en faisant d’autres activités. Cela me tente car j’aimerais pouvoir l’utiliser quand je suis assis à mon bureau ou quand je veux me détendre dans le canapé ou le hamac, sans forcément avoir à tout préparer et m’enfermer, etc. Bref, le porter comme un plug afin qu’il sensibilise un peu ma prostate.
    Qu’en pensez-vous ? Je sais que cela va mutiler l’Aneros de façon irrémédiable, mais, a priori, cela n’empêche pas son utilisation (d’après les avis que j’ai pu lire). Je sais aussi qu’assis, il sera sans doute moins mobile, surtout si je porte des vêtements, mais, suivant ma position, cela devrait tout de même lui laisser une certaine latitude.
    J’ai l’impression que cela pourrait m’aider à progresser.

    en réponse à : Mon expérience déroutante #18250
    Lerris
    Participant

    Me revoilà, après presque 1 mois d’absence.
    Je vais essayer d’être concis pour raconter ma progression (et je ne vais pas y arriver car on ne peut pas résumer cela en quelques mots).

    Tout d’abord, j’ai presque abandonné l’Aneros. Pour deux raisons, d’abord, je n’ai pas eu tellement d’occasions de m’en servir, par manque de temps, parce que je n’étais pas seul etc. Deuxième raison : j’obtiens de meilleurs résultats sans. Avec l’Aneros, j’ai tendance à prendre le chemin de la crispation, de l’impatience. Le seul fait de me préparer pour l’utiliser, cela me met dans une position d’attente qui ruine tout. L’Aneros aura eu le mérite de m’ouvrir à de nouvelles sensations. Mais, j’ai l’impression que j’ai atteint la limite de ce qu’il pouvait m’apporter.

    Donc j’ai continué mes expériences mais “à vide”.
    Au début, je n’ai pas eu plus de résultats que d’habitude.
    Et puis, un soir, au coucher, j’étais détendu, je n’attendais pas forcément grand chose, mais je me suis mis à visualiser. Cette visualisation, je m’en rend compte, est extrêmement importante dans mon cas. Ce que j’ai visualisé… Est un peu gênant à raconter, mais je crois que ça rejoint pas mal de messages sur ce forum en ce moment. Car j’ai imaginé avoir un vagin et les sensations qui s’y rapporte. Je focalisais sur le plaisir au niveau de mon périnée, cette petite étincelle qui ensuite remonte profondément jusqu’à la prostate et qui allume une sorte de doux incendie au niveau du bas ventre. J’ai visualisé une pénétration et c’est exactement ce que j’ai ressenti, c’était comme si on me possédait, avec des va et vient du périnée (devenu finalement l’entrée du vagin), à la prostate (devenu le point G).
    Et là, assez rapidement finalement, j’ai été envahi par des vagues de plaisir dans tout le corps. C’était doux et très agréable, sans crispation. Je ne sais même pas si c’est un orgasme prostatique, si c’est que l’on doit rechercher comme sensations, mais moi cela me convient, c’est ce que je recherchais en achetant l’Aneros, un plaisir qui m’envahit complètement et qui me fait planer.

    Le problème avec cette expérience, c’est qu’ensuite je me suis endormi et que le lendemain j’avais l’impression d’avoir juste rêvé (j’ai pu lire que beaucoup ressentent la même chose, cette irréalité).
    Durant les jours suivant, j’ai cherché à retrouver ces sensations, mais sans y arriver. En fait, plus j’essayais, plus j’échouais. Je n’atteignais que la crispation et la frustration.
    J’ai même repris l’Aneros pour une petite séance pendant laquelle j’étais vraiment seul, ce qui n’est pas arrivé depuis longtemps. Cependant, même si j’ai eu de bonnes sensations, je n’ai pas retrouvé ce que j’avais ressenti quelques jours auparavant. J’ai finit en utilisant un dildo et en éjaculant. C’était bien, mais ce n’était pas l’orgasme prostatique tant désiré.

    Le lendemain, j’ai tenté une grande partie de la journée de retrouver le bon chemin, en m’enfonçant de plus en plus dans le mauvais. Cela me rappelle une allégorie zen dans laquelle plus la personne cherche l’état l’éveil, plus celui-ci la fuit.

    Le soir du même jour, j’étais juste allongé, je me suis détendu et j’ai atteint un état de relaxation en quelques secondes. Je me suis focalisé sur l’étincelle dans mon périnée, j’ai visualisé comme je l’ai expliqué plus haut, et l’orgasme est arrivé… Et tout cela en seulement quelques minutes.

    En bref, ces sensations, quel que soit leur nom, sont à portée de ma main, mais mon approche est souvent mauvaise. J’espère pouvoir les reproduire de plus en plus souvent jusqu’à pouvoir les retrouver à volonté sans me fourvoyer dans les mêmes impasses que précédemment.

    Ce que je ressentais avant me menait à la crispation et à plus de stress. Alors que ces sensations nouvelles me laissent détendus, mon esprit est alors comme entouré de coton, je suis bien.

    en réponse à : Mon expérience déroutante #18020
    Lerris
    Participant

    Salut et merci pour ton message Lucky.

    Mon problème, tu vois, c’est que les contractions involontaires sont là, faciles à appeler, mais je me suis rendu compte qu’elles m’empêchaient d’elles-même à accéder à l’orgasme prostatique, lorsqu’elles se présentent. Elles me dirigent plutôt vers un orgasme classique éjaculatoire. Ce n’est que la nuit, lorsque je ne ressens pas ces contractions (mais qu’elles se font sans doute tout de même très doucement en profondeur) que j’arrive à un plaisir vraiment différent. Bref, c’est compliqué, pour l’instant c’est un peu une impasse.

    Quand tu mentionnes ton envie “d’être prise”, tu l’indique au féminin parce que tu te considères comme une femme ou parce que tu considères que c’est une envie féminine ?
    C’est juste pour savoir. Cette envie ne m’est pas forcément étrangère et, comme toi je suppose, je regrette quelques fois de ne pas savoir ce que cela fait d’avoir un vrai sexe féminin. L’idéal serait de tout avoir ! 😀

    en réponse à : Mon expérience déroutante #17945
    Lerris
    Participant

    Effectivement, on peut sans doute parler de seuil.
    Pour illustrer ce que je disais plus tôt, et ce que vous confirmez, je me suis couché hier, un peu tendu, et sans doute avec l’attente d’avoir un orgasme pendant la nuit. Et forcément, rien ne s’est passé.
    Au final, cela marche mieux si je n’y pense tout simplement pas. C’est un peu le jeu du chat de la souris et c’est ce qui est vraiment déroutant.

    Concernant les autres jouets, j’aimerais bien, mais je ne suis pas sûr que mon budget me le permette actuellement. Je n’ai trouvé aucun des jouets qui m’intéressent en solde. Par contre, si vous tombez sur une bonne affaire, ça peut m’intéresser (Njoy Pure Plug Large, Pure Wand, Aneros peridise, Aneros Vice…) La difficulté, c’est aussi que je ne suis pas en métropole et que les frais de port sont souvent énormes, quand la boutique daigne envoyer l’objet chez moi, car c’est assez rare.

    en réponse à : Mon expérience déroutante #17929
    Lerris
    Participant

    Salut à tous,

    Je passe juste donner quelques nouvelles.
    Depuis mon dernier message, j’ai un peu décroché de l’Aneros et de l’orgasme prostatique. En fait, c’était devenu un peu fatigant d’être tout le temps en train d’y penser ou d’essayer. J’avais atteint une plus grande sensibilité, notamment au niveau du périnée, de l’anus, mais aussi de la zone située juste sous le coxis. Je sentais également beaucoup plus lorsque ma prostate se réveillait, cela formait comme une pomme dans mon bas ventre.

    Mais, malgré cela, je n’avais pas l’impression d’atteindre véritablement un orgasme prostatique. J’étais très frustré et il m’arrivait encore d’éjaculer alors que ce n’était pas ce que je recherchais. Bref.

    Je n’ai pas réessayé l’Aneros et depuis quelques jours j’y pense vraiment moins. Je me suis un peu détaché de tout ça. Si j’ai envie d’un petit plaisir, alors je me masturbe normalement, au moins j’évite la frustration.

    Ce qui est intéressant, c’est que la nuit ou le matin, quand je suis dans un état semi-conscient, mon corps agit tout seul. Cette nuit, par exemple, j’étais entre l’éveil et le sommeil, et j’ai vraiment senti une onde de chaleur et de plaisir monter, monter, monter, ça ne s’arrêtait jamais. Il n’y a jamais eu d’explosion et donc s’en était à un niveau presque insoutenable. Je crois même avoir inconsciemment essayé de contenir cette vague tellement c’était fort.

    Donc voilà… je sais que cette sensation est possible à atteindre, mais pour l’instant je ne peux la toucher du doigt que lorsque mon esprit est vraiment sur off.

    En fait, du moment où je commence à me concentrer sur les sensations de contraction, que j’accorde mon attention aux sensations “internes”, je sais que c’est perdu. Alors que la nuit, ce que je ressens est plus “extérieur”, c’est difficile à expliquer… Ce sont des sensations “de surface”, des sensations globales, comme si mon corps entier vibrait ou se remplissait de chaleur. Et là, ça marche et je sens que je m’ouvre.

    Du coup, en ce moment, j’essaye simplement de me détendre, sans chercher autre chose. Même si je dois souvent maîtriser ces contractions qui s’imposent à mon esprit. Je me satisfais des sensations nocturnes, je les laisse se développer. Je sais que, si j’arrive à atteindre un état de relaxation vraiment profonde durant la journée, alors je pourrai les reproduire. Ça va sans doute demander du temps.

    en réponse à : Mon expérience déroutante #17815
    Lerris
    Participant

    Joyeux Noël également !

    J’ai tenté une session avec l’Aneros ce matin avec le lubrifiant silicone. Apparemment, je le tolère assez bien (le lubrifiant).

    Je suis partagé sur cette expérience. En effet, je n’ai pas réussi à retrouver l’état de semi-conscience que j’arrive à trouver la nuit, au réveil, ou quand je suis sur le point de m’endormir. Les sensations sont donc plutôt restées au niveau du bas ventre et du périnée, même si j’ai eu quelques vagues de plaisir plus générales. Disons que je me trouvais un peu entre les deux chemins que j’ai décrit plus haut.

    A un certain point, ça n’évoluait plus, alors j’ai décidé de caresser mes tétons. Ça a été comme une décharge électrique et cela a déclenché pas mal de spasmes. Cela m’a dirigé vers le chemin “périnéal” dont je parlais, ce qui semble arriver dès que je touche à mes tétons car cela amplifie le plaisir mais semble provoquer de la tension, des contractions, etc. Du coup, le plaisir profond, prostatique, s’efface quelque peu, et le plaisir du périnée prend le dessus, et finit par envahir ma verge, ce qui provoque l’éjaculation. C’est ce qui est encore arrivé après plusieurs vagues de plaisir tremblantes.

    Je ne sais pas vraiment quoi en penser. Difficile de me diriger sur l’autre chemin sans être en relaxation totale, du coup j’ai tendance à prendre le premier chemin, le seul qui me semble accessible à ce moment-là, un chemin plus facile, qui apporte un orgasme, mais pas celui recherché.

    Notez qu’après cette éjaculation, je n’ai pas retiré l’Aneros, ce que j’aurais fait habituellement car cela a tendance à me gêner une fois que j’ai “conclu”. Non là, je me suis détendu, j’ai apprécié les sensations de détente, et j’ai ressenti quelques vagues de plaisirs supplémentaires. Je pense que, j’aurais peut-être pu me servir de la relaxation de l’orgasme avec éjaculation pour toucher l’orgasme prostatique. Cependant, je commençais à fatiguer, alors j’ai stoppé là.

    Pour conclure, il semble que j’ai du mal à trouver le bon état en journée et avec l’Aneros. Mon corps est sans doute déjà sous tension et, quand je mets l’Aneros et que je me prépare, c’est déjà comme si j’en attendais quelque chose, ce qui brouille le chemin. J’ai plus de facilité quand je suis détendu parce que je vais dormir ou que je viens de me réveiller. Je n’attends rien, cela vient tout seul.

    J’aimerais faire comme vous le décrivez, Andraneros, mais si je stoppe ma relaxation sans Aneros, en journée, pour le mettre en place, je pense que je vais perdre toute ma relaxation… De plus, avec le lubrifiant, je suis obligé de prendre des précautions pour ne pas tacher le lit etc. Bref, ça me demande de mettre le lubrifiant dans la salle de bain, d’essuyer tout surplus, etc. Je ne pense pas que ça aide.

    Je me dis que la solution, c’est sans doute encore une fois une session nocturne qui se manifestera d’elle même si je mets l’Aneros en place avant de dormir et que je me laisse faire. Car, dès que je brusque les choses, que je me prépare, que j’ai des spasmes, des fortes contractions, etc. Tout cela réduit mes efforts à néant.

    Dernier point, je me demande si le fait que mon pénis soit plus sensible ne me dirige pas plus rapidement vers le chemin de l’éjaculation. Je m’explique. Habituellement (avant l’achat de l’Aneros), je me masturbais régulièrement avec éjaculation. Depuis mon achat, je ne me touche presque jamais la verge, je suis déjà bien occupé avec ma prostate. C’est un gros changement. Du coup, mon pénis est plus sensible et peut-être que c’est une partie de l’explication.

    en réponse à : Ma deuxième session avec l'aneros sans résultat #17814
    Lerris
    Participant

    Ça semble être un signe encourageant en effet, même si c’est un peu trop tôt pour tirer des conclusions.
    A mon avis, vous devez vous laisser porter par ces sensations sans trop vous poser de questions et voir ce que votre corps vous offre. Chacun semble réagir différemment et c’est donc à vous de découvrir votre propre cheminement jusqu’à l’orgasme.

    en réponse à : Mon expérience déroutante #17805
    Lerris
    Participant

    Salut, me revoilà.

    Durant ces deux semaines, je n’ai fait aucune session avec l’Aneros.
    Par contre, dès le premier jour, j’ai eu des expériences prostatiques “à vide”, parce que je n’attendais rien sans doute et que cela est donc venu à moi.

    Je vais essayer de faire court.
    Généralement, cela se passe la nuit ou au petit matin.
    Je me détends, je respire profondément par le ventre, et petit à petit je commence à ressentir du plaisir dans le bas ventre. Ensuite, il y a deux chemins.

    Soit je me laisse aller aux contractions involontaires et aux spasmes, et je finis par éjaculer (c’est arrivé deux fois). Le plaisir est concentré surtout au niveau du périnée. A la base, éjaculer n’est pas mon but, mais ça finit par se produire avec les contractions.

    L’autre alternative, c’est quand j’essaye de maîtriser les contractions et les spasmes en me détendant encore plus (généralement parce que j’essaye d’être discret et donc de ne pas faire des bons de partout). A ce moment là, je découvre souvent que ces contractions musculaires cachent une autre sensation. Une sensation profonde, agréable, qui vient sans doute de la prostate. Étrangement, pour que cette sensation enfle, je dois concentrer mon attention sur autre chose, un son extérieur, un chatouillement au niveau de mon visage, etc. Et c’est là que les vagues de plaisirs commencent à monter jusqu’à ma tête. C’est vraiment très agréable.

    Je pense que c’est cette voie que je dois suivre et j’arrive de plus en plus rapidement à atteindre cet état. Certaines fois, je sais que ça ne sera pas possible (trop de fatigue ou un transit perturbé par exemple) et j’abandonne, ce qui me fait penser que j’identifie beaucoup mieux le processus.

    Quand j’arrive à atteindre l’état désiré, je m’aperçois vraiment que je suis détendu car, avant, les bruits extérieurs, les petites démangeaisons sur ma peau, les mouvements de ma compagne dans le lit, tout cela pouvait vraiment me stresser, me perturber. Alors que maintenant, je les accepte et je m’en sers même de support pour déclencher le plaisir.

    Bref, je pense avoir un peu progresser même si je ne pense pas avoir atteint un vrai orgasme prostatique sec. C’est beaucoup plus difficile à atteindre que celui où j’éjacule car il faut vraiment que je sois détendu et que j’évite les spasmes.

    Peut-être que l’Aneros m’aidera à aller un peu plus loin. Je devrais reprendre les sessions sous peu. J’ai acheté un lubrifiant silicone, mais je ne suis pas sûr qu’il me convienne. On verra.

    en réponse à : Ma deuxième session avec l'aneros sans résultat #17804
    Lerris
    Participant

    Salut,

    Personnellement, je pense que cela est difficile de progresser au début en faisant des sessions avec un/une partenaire. Comme l’a dit Andraneros :

    Vous avez cependant parfaitement raison de faire des sessions seul.

    Vous devez accepter l’idée que les sensations qui marquent cette nouvelle forme de plaisir sont extrêmement légères et même difficiles à reconnaître lors de vos premières sessions. C’est pourquoi il est important d’être très détendu et concentré sur ce que vous ressentez autour de votre masseur (être à l’écoute de votre corps).

    Au tout début, les sensations sont vraiment diffuses et vous ne savez vraiment pas à quoi vous attendre, donc la moindre stimulation extérieure peu vous faire sortir de l’état d’esprit qu’il faut pour les percevoir.

    Ensuite, il est généralement conseillé d’éviter d’éjaculer (au début) avec l’Aneros en place. Car votre corps a besoin de bien différencier les sensations que l’Aneros procure. Le risque, c’est peut-être que votre corps prenne toujours ce cheminement, à savoir éjaculer quand l’Aneros fait son effet. Or, ce qui est recherché, c’est un orgasme sec, sans éjaculation.

    Voilà juste mon petit ressenti. J’espère que cela vous sera utile. Bon cheminement à vous !

    en réponse à : Mon expérience déroutante #17676
    Lerris
    Participant

    Vous avez parfaitement raison.
    Mon objectif, à la base, en portant l’Aneros la nuit, c’est que mon corps me réveille de lui-même, et de ressentir de bonnes sensations. Évidemment, je considère que cela permet également d’éveiller progressivement mon corps à ces nouvelles sensations, et donc de progresser petit à petit vers le Super-O.

    Cependant, cette nuit j’attendais clairement que quelque chose arrive, j’étais trop en attente. Je le suis trop en ce moment, de jour comme de nuit, et ça ne fonctionne plus vraiment. Alors que, lorsque j’ai vraiment commencé à progresser, c’est lorsque j’avais lâché prise et m’étais laissé faire.

    Mais, comme j’ai tendance à avoir du mal à lâcher prise, justement, surtout lorsque quelque chose me résiste, le naturel est revenu au galop et me voilà un peu “obsédé” par ma progression. Et donc, je ne progresse plus, voire je régresse.

    C’est pour ça que la pause me fera du bien. Si j’arrive à mettre un peu tout ça de côté et de reprendre les choses plus sainement, ça sera pour le mieux.

    A bientôt !
    Je vais essayer de ne plus repasser d’ici deux semaines. Sinon, je vais avoir du mal à avoir l’esprit vraiment ailleurs.

    en réponse à : Mon expérience déroutante #17673
    Lerris
    Participant

    Bon, je repasse ici avant ma période de “pause” forcée. Durant 2 semaines, je ne pense pas pouvoir faire de sessions avec l’Aneros. Et c’est peut-être une bonne chose.

    Hier, enfin cette nuit, j’ai essayé de porter l’Aneros pour progresser un peu. Ça m’avait bien réussit la première fois, un peu moins la deuxième. Et malheureusement, encore moins pour cette troisième fois.
    Je n’ai pas été réveillé par une vague de plaisir ou de frisson, mais plus par une démangeaison au pied ou une envie d’uriner. Bref, pas le meilleur départ. J’ai tout de même essayé de me détendre et d’attendre les bonnes sensations. Il y en a eu quelques unes, mais moins fortes que ce que j’ai pu ressentir auparavant.

    Je crois que cela a fini par m’énerver un peu de ne pas réussir à atteindre le vrai Super-O. Décompresser 2 semaines ne devrait pas me faire de mal.
    Je ne passerai pas forcément sur le forum d’ici là.

    en réponse à : Mon expérience déroutante #17665
    Lerris
    Participant

    Effectivement, 51 mm c’est assez gros, je n’avais pas vu. Je ne crois pas avoir essayé des objets qui dépassaient les 50 mm, et encore ça demandait un certain “travail”. Par contre, le Njoy Large fait 38 mm, beaucoup moins gros. Dommage qu’il n’y ai pas d’intermédiaire.

    en réponse à : Mon expérience déroutante #17656
    Lerris
    Participant

    Merci !
    Dans un couple, tout changement demande généralement qu’un nouvel équilibre soit trouvé. Pour l’instant, cela n’est pas négatif. Je pense que ça peut très bien se passer. Le plus difficile, c’est peut-être ce manque d’intimité pendant cette période plus ou moins longue. Pas facile de se recentrer et de s’abandonner totalement.

    J’en profite pour donner quelques nouvelles.
    Deux expériences sont notables depuis mon dernier message.

    Le premier, c’est un orgasme du pénis que j’ai eu avant de me coucher. Le plus intense que j’ai jamais vécu. Avant d’acheter l’Aneros, j’avais lu que toucher le pénis désactivait complètement les sensations de la prostate. Mais, pour moi, ce n’est pas tout à fait ce qui se passe. En réalité, alors qu’avant mes sensations étaient focalisées sur le pénis, lors de la stimulation sur celui-ci, les sensations sont maintenant plus profondes. Je sens le plaisir s’exprimer plutôt dans le bas ventre, je sens de fortes contractions et lorsque l’orgasme arrive la montée du plaisir commence au niveau de la prostate, très fort et pendant longtemps, avant de se diriger vers le pénis pour l’exposition. Ensuite, j’ai encore quelques contractions au niveau de la prostate qui me donne du plaisir, pendant plusieurs minutes.

    Suite à cet événement, je me suis endormis et, pendant la nuit, j’ai été réveillé plusieurs fois par des frissons de plaisirs et des contractions involontaires. Des sortes d’échos de l’orgasme. Ou alors simplement mon corps qui en demandait plus.

    Seconde expérience notable, une session d’Aneros nocturne. Ma première expérience avait été assez intense, j’ai donc réitéré. J’ai de nouveau était réveillé par de bonnes sensations, cependant, la session a été moins intéressante, j’ai été moins loin, je dirais. J’étais beaucoup plus conscient et j’ai eu moins de sensations “spirituelles”.

    Je reste, encore une fois, un peu frustré. L’envie me taraude toute la journée, j’ai envie d’atteindre un véritable orgasme prostatique qui me contenterait. Mais, pour l’instant, ce n’est pas tout à fait le cas, même si je progresse.

    J’ai dans l’idée, prochainement, de me procurer certains toys testés sur ce site. Notamment, l’Aneros vice, pour les vibrations, car je pense que ça pourrait être intéressant, ainsi que certains toys métalliques comme le NJoy Pure Plug 2.0 et le PURE Njoy G Spot Metal. J’aimerais quelque chose qui puisse se porter assis ou debout. Bon, avant d’en passer par là et d’investir (c’est pas donné quand même…), je vais approfondir mes sensations avec l’Aneros Helis. L’Aneros Peridise me tente aussi remarquez.

    Bref, pleins de choses à découvrir encore.

    en réponse à : Mon expérience déroutante #17652
    Lerris
    Participant

    Votre désir profond d’un orgasme qui vous submerge est pour l’instant incompatible avec ce que nous pensons savoir de votre vie quotidienne. Pour avancer vous devez donc gérer cette difficulté :

    -1) Lorsque vous engagez une session en manque d’intimité ou de temps, vous ne devriez le faire qu’après avoir accepté que ce ne sera qu’un entraînement, qu’une répétition technique partielle et non un plongeon orgasmique. Vous éviterez ainsi, ou réduirez considérablement la frustration qui vous fait souffrir.

    -2) Quand, dans ces conditions, votre session commence à vous plonger dans un plaisir intense générateur de contractions, de spasmes et de gémissements, concentrez-vous sur l’approfondissement de votre relaxation, chassez, dans la mesure du possible, la moindre sensation de contraction musculaire. Cet exercice pourra vous faire découvrir une forme de jouissance plus proche de la béatitude que des convulsions incontrôlées.

    -3) Planifiez vos sessions en organisant votre emploi du temps pour vous créer des moments qui vous permettront de plonger en toute liberté dans la jouissance aussi profondément que vous le désirez. Une telle organisation demande que vous puissiez parler avec votre femme des progrès fantastiques que vous avez déjà faits dans votre cheminement, que vous la convainquiez, si ce n’est pas déjà fait, que plus vous avancerez plus vous serez proche d’elle.

    En ce qui concerne la première partie, j’essaye effectivement, en ce moment, de ne pas trop attendre de mes sessions, puisque je ne peux pas me lâcher complètement. Je progresse, j’ai de nouvelles sensations. J’en suis heureux. Dans l’avenir, ce socle de sensations devrait me permettre d’aller plus loin, lorsque j’aurais un moment à moi, vraiment seul.

    Par contre, pour la dernière partie, il m’est actuellement impossible de trouver un vrai moment d’intimité complète, avec beaucoup de temps devant moi, pour faire une session approfondie avec l’Aneros. Je ne suis jamais complètement seul chez moi, ou alors très rarement et pas assez longtemps.

    Vous êtes finalement victime de votre succès. En parlant de pudeur je me demandais si en restant en conditions de frustration sans envisager
    -1) un changement important dans votre organisation pour disposer du temps dont vous avez besoin pour votre cheminement,
    -2) une mise en avant de votre nouvelle sensibilité orgasmique qui implique une évolution dans la relation que vous avez avec votre femme
    -3) et donc une modification importante, je suppose, de votre vie familiale,
    vous ne cherchiez pas inconsciemment à ralentir la naissance d’un être que vous sentez très différent de celui que vous êtes actuellement et qui vous dérange.

    Non, là-dessus je ne pense pas. Comme je l’ai expliqué, je ne suis jamais seul à la maison, et ce n’est pas une question d’organisation. De plus, je parle tout de même un peu à ma moitié de ma nouvelle sensibilité, je ne le cache pas. Et enfin, je ne pense pas ralentir le développement d’un “moi différent”. Depuis des années, j’ai plutôt l’impression d’avoir fait l’inverse en m’intéressant à de nombreuses choses différentes et en développant ma sexualité plus loin, je pense, que la plupart des hommes. Cela ne me fait pas peur, au contraire, j’aime la découverte. Par contre, c’est plus difficile de voir que, dans l’œil de la personne que l’on aime, ce changement est déroutant et fait peur. Mais, avec le temps et la communication, la compréhension se fait petit à petit, l’acceptation aussi, enfin je l’espère.

    en réponse à : Mon expérience déroutante #17650
    Lerris
    Participant

    Effectivement, nous avons posté nos messages en même temps !

    Papy6748 : Merci pour vos encouragements. Apparemment, j’ai l’impression d’avoir entamé ma progression jeune par rapport à pas mal d’utilisateur de ce forum. Je me trompe ?
    Ma période de coupure, d’ici quelques jours, me permettra sans doute de me reposer pour repartir sur de meilleurs bases, c’est vrai.

    Andraneros : J’ai l’impression que ma séance nocturne a rendu ma prostate un petit peu plus sensible. J’ai l’impression d’avoir plus de sensations lors de contractions involontaires durant la journée. Quelques fois, ça remonte jusqu’à ma tête.

    Concernant ma pudeur, je me vois mal gigoter dans tous les sens en criant alors que ma femme dors juste à côté…

    en réponse à : Mon expérience déroutante #17645
    Lerris
    Participant

    Me voilà de retour !

    Hier, comme je me suis dis que mon blocage pouvait venir de mon inconscient ou de la crispation/frustration, je me suis dis que j’allai essayer de dormir avec l’Aneros. Ma moitié n’y voyant pas d’inconvénient, j’ai tenté le coup.

    J’avoue qu’au départ, je n’y croyais pas des masses. J’étais un peu patraque au coucher, l’Aneros m’a semblé un peu inconfortable au début et j’ai cru que je n’allai pas pouvoir dormir. Mais, j’ai finis par m’assoupir tout de même.

    Le réveil a été… surprenant. Au beau milieu de la nuit, je reprends à moitié conscience et je sens une vague de chaleur monter des pieds à ma tête, mon cœur s’accélère à m’en faire peur et j’ai une forte érection. A peine le temps de comprendre ce qui se passait que les contractions involontaires avaient commencé leur travail.

    Je ne saurais dire si j’ai atteint l’orgasme tellement les sensations ont été diverses. Et puis, comme j’étais encore à moitié assoupi, c’était presque comme un rêve. Ce fut un mélange de vagues de chaleurs, de plaisir et de sensations comme j’ai pu en avoir d’autres nuits, sans Aneros, comme si je décollais et que je faisais une expérience intérieur étrange.

    Au bout d’un moment, j’ai fini par avoir en envie de me rendormir. Je me suis tourné sur le côté et là… les contractions ont repris de plus belle. J’ai eu de très bonnes sensations avec de nouveau une forte érection.

    Bref, une expérience très plaisante, même si ce matin je suis vraiment fatigué. Ça sera à refaire je pense… Je suis encore tout électrisé.

    Par contre, il faudrait que j’essaye de dormir seul au moins une fois car essayer de ne pas réveiller sa moitié pendant cette expérience, ça n’aide pas vraiment.

    en réponse à : Mon expérience déroutante #17639
    Lerris
    Participant

    Disons que ma frustration est à la hauteur de ma sensibilité. Consciemment et inconsciemment. Ce qui me rend la tâche difficile. Et effectivement, c’est un peu inconfortable comme situation.

    J’espère que les choses vont se passer comme vous le dites.

    Dans quelques semaines, je vais avoir une petite période pendant laquelle je ne vais pas pouvoir utiliser l’Aneros, ni trop pouvoir m’abandonner aux contractions involontaires durant la journée. Cela m’aidera peut-être à passer le cap, en espérant que la frustration ne me rende pas la vie impossible.

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