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20 sujets de 1 à 20 (sur un total de 54)
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  • en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #27785
    logansan
    Participant

    Bonjour @Nydor et @Andraneros, et les autres qui suivent ce sujet

    Je me reconnais dans ce que tu écris @Nydor. En pleine nuit, petit matin, plus que le soir (la fatigue de la journée et la mise en condition de relaxation plus longue…) ma prostate me lance toute seule dans un état de plaisir. Depuis la lecture du post de @Vanyfraiz, je ne pense plus “orgasme” mais “plaisir” d’ailleurs. Je trouve ce terme plus approprié à ce que je vis, l’orgasme, je l’entend comme une finalité, le plaisir que je vis me donne plutôt l’impression de n’avoir jamais de fin, que des pauses, puis ça repart de plus belle…
    Je ne décrirais pas les sensations ressenties, @Nydor le fait très bien, par contre, dans la façon d’y arriver, la méthode diffère un peu :
    – Des contractions périnéales, ou plutôt comme si c’était les muscles tout autour de la prostate, la prostate elle-même, c’est bizarre. Je ressens une circulation sanguine pulsante dans cette zone. Pas forcément besoin de fantasmer pour avoir du plaisir diffus, mais pour monter en puissance…
    – je me tripote les tétons, bam, c’est parti
    – en pensée, j’équipe ma femme, ou une autre (chut !) d’un feeldoe, et je lui offre mes fesses
    – les yeux ouverts/fermés (dédicace @bzo)
    – des mouvements de bassins, je (me) fais l’amour sur une bite imaginée que je crois ressentir
    – et si je peux me lâcher du points de vue gémissements, voix, alors là… je crève le plafond
    le plus dur et de réussir à respirer parfois, mais une pause, et cela repart.

    J’ai souvent une érection pendant ces moments, plus qu’avec un masseur. Et je ressens le fluide prostatique qui passe par mon urètre par moment, comme lors d’une éjaculation, mais moins fort et juste ‘une goutte’.
    Les contractions musculaires involontaires que je ressens dans mon bassins sont diverses : sphincter ouvert/fermé à différents degrés, sensations de poussées (comme aux toilettes, souvent accompagnées de pets, dsl) et périnée saccadé.
    J’ai essayé une position sur le dos, ma bite en semi-érection, coincée entre mes jambes, cela force sur le périnée, c’est intéressant ! D’autant quand je me regarde, il me manque quelque chose hahaha.
    Le plaisir me rempli, me domine, j’ai souvent du mal à m’arrêter, mais je ne peux pas passer la journée au lit !
    Alors soit je stocke l’énergie dans mon nombril après l’avoir fait tournée dans ma tête, soit je termine par une éjaculation en général très forte et puissante.
    Mais l’anerossless ne fonctionne qu’avec une musculature pelvienne assez importante je pense. J’ai vraiment l’impression d’enserrer ma prostate pendant mes contractions. Cette barre ressentie, cette sensation de pénétration ?

    Bon cheminement

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #26691
    logansan
    Participant

    Bonjour Epicture

    Pour répondre à ton premier paragraphe, je ressens moi aussi ce tiraillement, entre excitation,envie d’être submergé, cherchant l’orgasme ultime, l’abandon total, la vision cosmique, l’état conscient-inconscient de diffusion consciente d’être dans l’univers, d’être l’univers,bref, Dieu. Ok, je redescend sur terre, désolé.
    Mais à l’intérieur de moi, je sais que la clé est l’abandon total, et non le désir de quelque chose. Je ne suis pas encore prêt. Et je pense que mes meilleures sessions sont celles où le relâchement mental est le plus présent.
    Du coup, je commence à répondre à ton 2ème paragraphe :
    Au matin (voir mon post ici), allongé au côté de ma chère et tendre, je peux me laisser aller. Elle connait mes pratiques mais ne souhaite pas y participer, me laisse faire. Mais elle prend cela, je suppose pour des étirements matinaux, cela reste discret.
    Par contre, quand je fais mes sessions avec insertion de masseur, qui plus est vibrant… je préfère être seul. D’autant que cela me secoue parfois dans tous les sens, et je me laisse aller à gémir, couiner, feuler, râler, pas encore crier mais peut-être un jour… Comme cela fait partie du phénomène d’abandon mental, de soumission au plaisir, celui-ci devient plus fort. J’ai la chance d’avoir des moments rien qu’à moi dans l’année, heureusement pour moi.
    Donc la clé de la progression est aussi dans cette abandon, ce relâchement, cette soumission à l’instant,, soit dans l’intimité solitaire, soit dans l’acceptation de ta compagne.
    Bon cheminement

    en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #26690
    logansan
    Participant

    Un petit retour participatif parmi vous. Je ne cesse de vous lire, mais je ne rajoute mon ‘grain de sel’ que quand j’en estime une utilité.
    Oui, ces orgasme ‘aneros less’ sont un petit bonheur.
    Pour ma part, au matin, je me réveille avant l’heure grâce au réveil de ma prostate (je suppose que le remplissage de la vessie dans la nuit et la retenue de la miction involontaire et indépendante active les muscles, la circulation sanguine et donc la sensibilité de la zone. Une dose plus élevé de testostérone au petit matin peut en être aussi une des causes, il me semble avoir lu quelque chose à ce propos).
    Je suis détendu, en forme, sans pensées parasite de la journée, puisqu’elle ne fait que commencer et que celles de la veille ont été triées dans la nuit. Et je respire avec le ventre.
    De douces contractions périnéales diffusent une chaleur, du plaisir léger mais très satisfaisant, sans forcément avoir de pensées excitantes, juste vivre l’instant et profiter. Une sensation de bien-être est installée, et quand je veux intensifier le phénomène, je contracte plus ou moins fort le périnée, les sphincters, à tour de rôle, jouant sur l’intensité. Le plaisir devient plus fort, puis me submerge petit à petit sous forme de vague (j’adore comparer le plaisir prostatique à une marée montante, surtout qu’une image mentale de détente pour moi est d’être sur une plage avec le vent, le bruit de la mer montante…).
    Quand le plaisir arrive au maximum de chaque vague, je me laisse submerger par un plaisir qui s’intensifie, qui peut durer quelques secondes, 1 voire 2 minutes, je ne crois pas avoir vécu plus longtemps cet état en continu. La vague se retire et revient, la aussi le temps n’est pas forcément le même. Je ne suis pas forcément excité sexuellement plus que cela. En érection, au repos au niveau de mon sexe, cela dépens, je suis surtout en état relaxé, centré sur les sensations ressenties.
    Puis la mer se retire lentement, l’intensité des vagues diminuent. Puis, bon, il est temps de se lever !
    Je vis cela en général de 30 minutes à 1 heure, quand j’ai le temps de rester au lit, ou que mon corps est suffisamment reposé de sa nuit.
    Si je ne coupe pas ce réveil adorable par une masturbation, je profite de douces et agréables sensations au moins toutes la matinée dans le bas-ventre. Quand la vie me permet d’en profiter bien sûr. Et rien de plus satisfaisant de pouvoir placer une séance aneros (vice, j’adore, en douceur, ou plus dévastateur avec le Hush de Lovense, mais je débute).
    Il m’arrive d’utiliser des techniques tantriques, chinoises… empirique surtout, de respiration et de circulation de l’énergie. Je fais véhiculer l’énergie sexuelle du bassin vers la tête en passant par le dos, les contractions périnéales servant d’impulsions. Je fais tourner l’énergie dans le sens des aiguilles d’une montre sur des multiples de 9 (merci Mantak Chia) puis dans le sens inverse, le même nombre de fois. Puis en collant la langue contre mon palais, je la laisse descendre au niveau de mon nombril, donc par le devant du corps. et là aussi, je la fait tourner selon le même principe ; sens des aiguilles – multiple de 9, puis dans l’autre sens autant de fois. Détendu, relaxé et plein d’énergie pour la journée.
    De plus, je n’ai pas l’impression de progresser avec masseur prostatique (mais je ne me sens pas à plaindre), c’est ma faute, je manque de patience. Donc je profite de mes capacités, et je sais qu’il me reste du chemin à parcourir quand je lis certains d’entre-vous. Mais je n’éprouve pas de jalousie, parfois la frustration de certaines cessions moins fortes, mais nous les vivons tous.
    En tout cas, pour moi, ces états s’atteignent par un abandon, une confiance dans l’état présent, une acceptation de son féminin, d’être surtout pénétré librement. Et si possible en laissant le pénien de côté, là est ma faiblesse je pense.
    Bref, renforcez vos muscles PC par de petits exercices, quand vous y pensez, quand vous avez le temps. Vous saurez les différencier, varier les intensités de contractions, et ils seront libres de se gérer tout seul pour votre plus grand plaisir. A deux ou tout seul.

    en réponse à : Cherche vibromasseur efficace #22711
    logansan
    Participant

    Bonjour

    L’Aneros Vice
    Mais pas forcément avec les vibrations. En tout cas, il FAUT commencer la session sans, il fait très bien le job. Les vibrations sont à mettre pour se finir en toute beauté une fois la prostate au bord de l’implosion ! Pour moi il fait trop de bruit. Mais ce n’est pas les vibrations ! Mais les gémissements que je m’autorise !

    en réponse à : Sexualité sacrée, transe et couple multi-orgasmique #22369
    logansan
    Participant

    Oui Aneveil, livre OVNI, je te rejoint.

    Je n’ai pas parlé en effet du halo doré que nous avons perdu, de cette humanité qui savait faire l’amour, mais ce côté Adam et Eve est en contradiction avec mon système de pensée. J’ai banni de mon résumé les points que tu relèves pour ne garder que le sens que J’en ai retiré.
    Rien n’est une fin en soi, tout est lié, mais en tirer le vrai du faux est un art ! Bref la vérité est partout dans nos croyances mais s’y mêlent des mensonges que l’homme a intégré pour des raison politique, religieuse… pour une emprise de masse.
    Sachons lâcher prise et vivre intensément l’instant présent ! (il faut que je retrouve ce livre SF que j’ai lu dans mon adolescence, d’un homme qui débarque de Mars et fait l’amour divinement, toutes les femmes lui courent après ! ‘l’homme de mars’ me semble-t-il, mais je n’en trouve plus trace)

    Quant à séparer l’orgasme de l’éjaculation, je ne dirais pas que je maîtrise ! Car la moindre stimulation supplémentaire est en mesure de me faire perdre la maitrise de cette technique, alors dans le feu de l’action….

    Je parle aussi de ce que j’ai compris, de façon réfléchie ou intuitive. Moi, je vis le même plaisir orgasmique en retenant l’éjaculation et en massage prostatique (avec ou sans aneros, même si les intensités de plaisir diffèrent). Je compare donc ce que je connais. Les hommes multi-orgasmiques ont appris aussi à retenir leurs éjaculations et donc à vivre des orgasmes répétés, mais ont-ils fait l’expérience d’orgasme prostatique et peuvent-ils donc comparer ? La discussion est ouverte (sourire).
    Et si nous avions des empreintes orgasmiques propres à chacun ? Comment s’y retrouver alors ? Nous pouvons suivre les mêmes chemins et vivre des expériences différentes ! Puisque nous sommes différents. En tout cas je ne suis que sur le chemin, pas au bout, ni au sommet.

    Je prendrais le temps plus tard de suivre tes nouveaux liens.

    Et de partager d’autres réflexions.

    Bon cheminement(s).

    en réponse à : Sexualité sacrée, transe et couple multi-orgasmique #22367
    logansan
    Participant

    Bonjour à toutes et tous.

    Je vais faire remonter cet article !

    Après lecture de Barry Long ‘faire l’amour de manière divine’, j’ai compris que le pénis sait faire le boulot tout seul, donc il faut lâcher prise et vivre l’instant de félicité présent en se déshabillant de ses apprentissages erronés. L’homme doit donner pour être récompenser. Mais la participation de la femme est essentielle aussi bien sûr.

    La lecture de la sexualité masculine de Mantak chia m’ouvre sur une pratique différente.
    Savoir retenir l’éjaculation et la différencier de l’orgasme. Le massage prostatique nous a déjà appris cela. Mais par des contractions, respiration et exercice mental, j’éprouve des orgasmes prostatiques par stimulation du pénis, qui prennent le pas sur l’orgasme pénien éjaculatoire et je peux y retourner de suite.

    Ce livre apprend aussi à faire circuler l’énergie créée par le sexe et d’en profiter/faire profiter sa partenaire.

    Je vous conseille donc fortement la lecture de ce livre (pour ma part j’ai celui sur l’énergie de la femme à lire et j’y reviendrais ici).

    Pour moi, l’homme multi-orgasmique (par rétention de l’éjaculation) vit ses coïts grâce à sa prostate, et se remplit ainsi d’énergie. Le trop-plein, la bonne gestion de l’énergie est satisfaisante, méditative, curative… je m’arrête là pour ma part mais mon voyage n’est pas fini.

    Bonne lecture à vous, que votre chemin soit lumineux.

    Logansan

    en réponse à : Suite de mon parcours #22101
    logansan
    Participant

    Oui Filou, nous sommes de tout coeur avec vous pour vous soutenir.

    Quel que soit notre niveau atteint dans le plaisir prostatique, les points communs (tels que je les vois) sont :
    – réussir le lâcher prise, qui semble bien difficile pour vous
    – ne rien attendre pour atteindre la récompense
    Donc un état d’esprit qui peut être difficile à atteindre. Je n’y arrive pas tout le temps moi-même. Il m’arrive de ne pas dépasser le stade des P-Wave parfois. Tant pis, ce sera meilleurs la prochaine fois.

    Et oui, il vous faut continuer à utiliser ces forums pour vous exprimer, c’est nécessaire à votre cheminement.

    Bien à vous

    en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #22068
    logansan
    Participant

    Bonjour à toute la communauté, et meilleurs vœux pour cette année du renouveau des sensations corporelles !
    Un long silence, mais une lecture assidue des articles et forum.
    J’interviens car je me sens concerné par ce sujet.

    Je me permet de résumer mes différentes interventions sur d’autres sujets, pour introduire ce qui va suivre.

    Hétéro, moyennement actif sexuellement, j’ai toujours su qu’il y avait autre chose que l’orgasme éjaculatoire, mais quoi… Vers la 40aine, à la recherche du point G, je tombe sur le point P… Je finis par me décider d’explorer cela aussi. Cela fait 3 ans maintenant. Ayant déjà appris à respirer, méditer, essayer de connecter mes chakras… L’hélix m’a permis d’évoluer rapidement et de connaitre des P-Wave, petits super O’s ; bref, de bonnes séances prostatiques, et même anales, il y a de bonnes choses à prendre !

    J’ai entrepris régulièrement de faire des exercices de Kegel ou qui y ressemblent, et des sensations A-less sont apparues. Je sais que je ne suis pas au sommet, j’ai encore du chemin à parcourir, mais courage à tous ceux qui sont en dessous de mes sensations. L’abandon de soi et désapprendre les acquis sexuels masculins font partie du processus.

    Concernant ce plaisir et mon mariage, moi aussi ma femme n’est pas à l’aise avec cela. Elle le sait, me laisse faire, mais je reste sur ma faim de ce côté là, pourtant je ne désespère pas.

    Revenons sur le sujet présent.
    Couché sur le dos, respirations profondes par le ventre, bien détendu, je ressens la chaleur d’un petit soleil au niveau de ma prostate. Mon cœur ne bat plus dans ma poitrine mais sous mon sexe.
    Le phénomène est encore plus flagrant au petit matin, si j’ai bien dormi, et cela me réveille même parfois quand instinctivement mon périnée est contracté avec la petite envie d’uriner du matin. Et en terme de détente, rien de mieux, je n’ai pas à faire le vide dans ma tête, la nuit s’en est chargée.

    Alors je peux commencer les contractions musculaires : alternativement, de façon courte (2-5 secondes) je contracte périnée puis sphincter, je relâche l’un pendant que je contracte l’autre, comme si je roulais de l’un au suivant. Même sans pensée sexuelle, le plaisir monte ; P-Wave, relâchement, contractions… et cela monte doucement pour s’amplifier à chaque vague. Avec l’habitude, l’arrivée du plaisir est très “mécanique” mais la montée en puissance nécessite une concentration méditative avec pensées excitantes.

    En général je passe en chien de fusil, je “roule” mes contractions, je rajoute des pensées excitantes, les vagues progressent encore. Le plaisir que je ressens me contracte comme un étirement du corps le matin, les abdos bien durs, voire avec des pets qui en rajoutent en massant ma prostate avant de sortir (désolé mais … ) cela dure parfois 1 minute je pense. Les jambes décalées, bougeant pendant l’orgasme, me permettent de ressentir encore plus de plaisir. Les muscles doivent jouer sur la pression prostatique.

    Je passe sur le ventre, le frottement de mon sexe en érection sur le matelas rajoute à mon plaisir. Et je laisse passer encore 1 ou 2 vagues. Ma tension sexuelle est à son comble en général à ce niveau. Je sais que je peux aller plus loin sans toucher à mon sexe, mais… il est parfois difficile de résister à un final éjaculatoire. Je ne vais pas passer ma journée là dessus quand-même !

    Je me suis permis récemment, lors d’un câlin matinal avec mon épouse, de me laisser aller à un orgasme A-less. Je ne l’ai pas sentie dérangée outre mesure, surprise oui, mais j’ai trouvé cela engageant. Je crois même l’avoir rassurée, elle a du croire à une éjaculation précoce, Hahaha !

    Voilà, c’est assez, pour le moment.
    Bon cheminement.

    Pour ma part, je vais suivre les conseils de lectures qui traitent de l’être “homme-femme”. (Barry Long, tantrisme…)

    en réponse à : Orgasme prostatique par contraction du périnée #17761
    logansan
    Participant

    Oui, comme je l’avais déjà dis ailleurs sur ce forum, j connais cela aussi.
    Vous le décrivez d’ailleurs mieux que je n’aurais pu le faire curioso56.
    Je contracte les mêmes muscles : périnée, cela allume le soleil dans le bas-ventre, et j’obtiens les vagues de plaisirs avec des contractions anales plus ou moins fortes.
    Comme des mouvement de marées, je suis la plage, le plaisir est la mer qui monte. Il y a les vagues qui s’approchent, celles qui mouillent les pieds, et celles qui me recouvrent !
    Cela reste moins fort qu’avec un masseur inséré, mais cela peut monter haut, pas toujours.
    J’ai remarqué être plus réceptif le matin, au réveil. Je pense d’ailleurs que parfois cela me réveille ; j dois contracter involontairement.

    J’ai entendu un médecin parlé de la prostate non pas comme une glande, mais comme un muscle avec des glandes à l’intérieur… pour lui d’ailleurs, la faiblesse de la prostate avec l’âge vient du fait que ce soit un muscle, et que tous les muscles faiblissent en vieillissant. Mais 1 contre tous, qui a raison ? Donc peut-on la contracter ? ou est-ce le fait de contracter la zone qui masse la prostate ? Je ne sais pas mais le plaisir est là.

    Vous n’êtes pas seul. Mais je n’ai pas de meilleures techniques, j’avais essayé les contractions périnéales, puis anales après avoir lu la traduction d’un passage de forum US faite par Andraneros dans je ne sais plus quelle partie du forum. Mais je me sens au même niveau que vous curioso56.

    en réponse à : Suite de mon parcours #17659
    logansan
    Participant

    Sommes nous obligé de nommer la case dans laquelle nous sommes ?
    Hector, je vous comprend et vous rejoint sur vos questionnement, mais je ne cherche pas a me trouver de case, juste à me comprendre et m’accepter, faire tomber mes tabous et préjugés, mais pour dialoguer, il faut nommer les choses…

    Filou, en effet, la masturbation avec une pression sur la prostate peut aider, je suppose que vous avez déjà essayer.
    Sinon je voulais proposer la pause, mais rien ne vous empêche de faire des séances de relaxation, “à vide” dans tous les sens du terme. A voir ce que cela peut donner.

    Voila ma petite aide. Bon courage

    en réponse à : En route vers L'Extase ! #17641
    logansan
    Participant

    Pas toujours possible de poster en ce moment… je me connecte, mais dès que je vais sur un post forum, il me déconnecte…

    Oui, mes problèmes anales sont normalement résolus, la peau reste fine et fragile, mais c’est une zone où nous devons apporter un grand soin !^^
    Mon évolution est lente car je manque de patience, et de temps calme et solitaire. La jouissance est au rendez-vous, mais pas toujours aussi intense, mais j’affine mes ressenti et sensibilité.

    Ma femme sait ce que je fais, mais nos libidos sont un peu désaccordées en ce moment (problèmes de thyroïde, nouveau projet professionnel… et routine à briser !) et elle est bien moins curieuse que moi sur ce genre de sujet.
    Mais je n’ai pas dis mon dernier mot et reconnais ma part dans cette situation (la routine).

    En tout cas cela fait plaisir de voir que je ne suis pas oublier, et vite et bien résumé dans vos quelques lignes 🙂

    A bientôt et merci à tous de vos participations, mesdames vous nous manquez !

    en réponse à : En route vers L'Extase ! #17634
    logansan
    Participant

    Plus de participation depuis un bout, mais je reste un fervent lecteur.
    Pas toujours facile d’avoir des séances régulières et tranquilles, mais … l’apprentissage continu

    Je vous suis et me reconnais dans vos apprentissages.
    Assumer l’anal, ressentir de plus en plus de sensations, de plus en plus fines.
    Mais cette envie de passer à un modèle plus gros, amenant d’autres sensations… (ne pouvant m’offrir un vice en ce moment, je me suis fabriquer un modèle en bois, plus de 3 cm voire près de 4 (recto verso) et je le trouve assez efficace ! mais non vibrant)
    Les sessions ne se ressemblent pas, elles peuvent être moins intenses, puis extatiques… : Se détendre, ne rien attendre que savoir que ça va être bon.
    AU début je me suis laissé piéger par des contractions musculaires involontaires des fessiers, des cuisses. Ce ne sont pas celles là qu’ils faut ! mais les laisser arriver aux sphincters, là tout change ! Détente, ressenti, respiration par le ventre, et ça arrive.
    L’apprentissage continu.
    Bon cheminement à tous.

    en réponse à : Bonne Annéros 2015 #14617
    logansan
    Participant

    Bonne année à vous toutes et tous.
    Je suis Charlie.

    Je reste un lecteur assidu de ce site. Je reste anerosien en faisant des sessions 1 voire 2 fois la semaine, selon mon emploi du temps.
    Mais je n’ai rien de nouveau à rajouter à mes participations précédentes, donc…
    Il est vrai aussi, Andraneros, que vous répondez aussi bien mieux que je ne le pourrais ! Donc merci à vous, merci à NXPL et à tous les lecteurs et participants à ce site.
    Bien amicalement. Pour un monde meilleur.
    Logansan

    en réponse à : L'orgasme total du corps #11500
    logansan
    Participant

    Un beau témoignage très attendu, et très important pour moi (nous). Merci d’avoir fait cet effort pour nous communiquer vos ressentis.

    Vous avez atteint un niveau de complicité que je vous envie, bravo, vivez pleinement !
    Je comprend qu’il puisse s’occuper de vous ensuite. Après une session anérosienne, je me sens plein, zen, serein (et capable d’abattre deux fois plus de travail si la session est le matin).

    Quant à la rareté des sessions communes, peut-être est-ce un bien. La quantité est souvent au détriment de la qualité.

    Je vous souhaite plein de bonheur

    en réponse à : L'orgasme total du corps #11490
    logansan
    Participant

    Je pense qu’Hyménée et Andraneros ont tout dit.
    Quant à moi, je ne me sens pas expert en la matière, mais merci de le dire 🙂 je suis encore en apprentissage. Et autant je peux vivre des choses fortes, autant je sais que je suis encore en chemin.

    Je rejoins Hyménée sur plusieurs points :
    – je crois que nous sommes un : tout est en chacun de nous, mais nous ne savons pas y accéder. Et pourtant, nous sommes fait pour vivre en société. Nous avons encore un long chemin pour parvenir à la plénitude et à la paix.

    – ma femme se contente d’une sexualité classique, mais je ne désespère pas.

    Je n’arrive pas non plus au lâcher prise total, pour autant je n’éprouve pas de peur, peut être sera-t-elle la prochaine étape ?

    Quoiqu’il en soit, j’arrive à un niveau de plaisir qui met au rencard tous les plaisirs solitaires que je connaissais auparavant, mais pour rien au monde je ne me satisferais que de cela : faire l’amour à une femme (donc ma femme) par amour, à l’écoute, prêt à donner comme à recevoir m’est nécessaire.

    Au plaisir pour moi aussi de lire votre chère et tendre, car personnellement, au bout de 2 heures je m’ennuierais (enfin tel que je comprends votre commentaire du 30 avril.

    en réponse à : Massage de l'Aneros sur la prostate #11232
    logansan
    Participant

    Oui, certainement. L’appui me parait nécessaire pour ressentir ces merveilleuses sensations, et les contractions anales permettent de faire glisser l’aneros sur la prostate et donc de ‘forcer’ plus ou moins cet appui. Mais ce n’est que mon analyse.
    L’anerosien est vraiment cérébral, il doit comprendre ! 🙂

    en réponse à : Massage de l'Aneros sur la prostate #11229
    logansan
    Participant

    L’animation ne fait que 2 images…
    Donc peut-être que cet appui se fait, mais je ressens moi aussi un glissement, surtout quand je ne lubrifie pas trop, en fin de session, quand ma prostate gonfle comme un melon (j’espère que ce n’est qu’une impression !! 🙂 )

    en réponse à : Description de l'orgasme prostatique #11038
    logansan
    Participant

    A vous relire, Andraneros, je pense être juste en dessous du super-O, mais est-ce important vu le pied que c’est déjà ? Si c’est encore plus fort tant mieux, mais là c’est déjà formidable !

    Allongé sur le ventre, de bonnes respirations abdominales et un abandon de soi, je fais de légères contractions anales assez longues. La sensation de glissement du hélix se fait sentir, son appui sur la prostate… puis les contractions arrivent et je n’ai plus qu’à essayer de relâcher mon sphincter pour profiter du plaisir qui monte. Un autre membre de cette communauté l’a déjà dit : c’est comme si l’anéros me faisait l’amour tout seul. Je sens son appui saccadé sur ma prostate, la sensation aussi qu’il gonfle dans mon anus, mes fesses tremblent, se lèvent, se rabaissent… mon pénis frotte sur la serviette et mon gland (je suis circoncis) en rajoute à mon plaisir avec des sensations de sortie de sperme (liquide séminale en fait).

    Je m’arrête pour reprendre mon souffle, je respire… et ça repart plus fort encore. 1 bonne heure comme ça, qui m’a donné l’impression d’en vivre 2… avec 7, peut-être 8 vagues, donc j’en déduit que mes vagues durent 5 bonnes minutes…

    La mer avance, se retire, pénètre dans la crique, le flux et le reflux. L’eau, un élément que peu de chose arrête, auquel je m’abandonne. j’offre ma dunette arrière, un seau d’eau mis sur le sable…
    Pardon, mais l’analogie avec la mer est forte, alors quitte à être dans le jeu de mot…

    en réponse à : La meilleure position pour atteindre l'orgasme ? #11037
    logansan
    Participant

    Après plus de 2 mois d’interruption, j’ai fait une séance aujourd’hui.
    J’étais tellement excité mentalement que je n’ai pas pris beaucoup de temps de détente, après préparation de l’anus et insertion, le plaisir est monté assez vite, sur le dos, jambes repliées, pieds sur le lit.
    Après cette première vague de plaisir, je me suis retourné sur le ventre, et je me suis pris 5 ou 6 vagues de plus en plus intenses.
    Je ne sais pas si le frottement du pénis sur la serviette, ou la position qui mentalement impose plus de soumission, mes fesses offertes à la pénétration, ou les 2, mais j’ai pris mon pied plus d’une heure.

    Je ne sais toujours pas s’il s’agit du super-O en plus, car j’ai l’impression qu’il peut y avoir encore plus fort derrière ce plaisir que j’ai ressenti.

    Mais là, aujourd’hui, sur le ventre, j’ai adoré !

    en réponse à : Contre indications médicales #11036
    logansan
    Participant

    3 semaines après l’opération, j’ai craqué. La cicatrisation me parait en bonne voie, les contractions anales ne me font plus mal. J’ai fait une session aujourd’hui. L’opération m’a détendu l’anus, après une bonne préparation, l’hélix est rentré beaucoup plus facilement qu’avant et sans douleur. En même temps, mon anus était hypertonique avant…
    Donc je vais essayer de limiter mes sessions mais… quel pied.

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