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  • en réponse à : Plaisir solitaire, solitude et isolement #36189
    horizon
    Participant

    Voila, bon, beaucoup de choses ont été dites, c’est une belle lecture.
    Je voudrais juste ajouter, meme si ca ne peut pas être vraiment un conseil car c’est un peu tard, que cette phase de solitude est importante à vivre, voire meme assez jeune c’est encore mieux je pense. Déjà la solitude et l’isolement sont très différents, on peut très bien vivre seul (single) et voir plein d’amis, faire des rencontres, voir des gens de tous types et dans toutes situations. Le ‘couple béquille’ qui se base sur une incapacité (sociale, affective, etc.) de l’autre est périlleux. Cette fameuse période de solitude permet d’être et de se développer pleinement, car personne d’autre dans notre intimité n’est là pour remplacer ce qui nous manque vraiment et qui prend du temps à découvrir. D’où la seule solution qui est de se developer soi-meme, sans compter sur un partenaire pour nous rendre la vie plus agréable, un pansement. Une fois cette solitude vécue pleinement, on vit avec pour le reste du temps, meme en couple, meme très bien entouré, mais on se l’est appropriée, c’est notre soi-meme, on est unique donc seul. La solitude c’est effrayant et magnifique. Les partenaires, amoureux, compagnes, copines, etc., pourront toujours répondre à notre manque initial qui se met en place dans l’enfance, mais au final on est dans la solitude la plus totale, belle, libre, incomparable. On n’est personne d’autre que soi-meme, qui prend beaucoup de temps à découvrir et assimiler, n’avons nous pas un part de nous meme qui nous reste inconnue? Et c’est ca je crois au final qui nous fait aimer mieux.

    en réponse à : fatigue ejaculation #36188
    horizon
    Participant

    Le reconditionnement peut en effet complètement changer la perception, le ressenti de l’acte sexuel et en conséquence l’état par la suite dans lequel on se trouve. Et donc pour la question de la ‘fatigue’, cela sera perçu non plus comme un inconvenient mais peut être un effet ultérieur sans trop d’importance. Le choix des mots est important car on parle de la meme chose mais avec un sens différent, et vous voyez comme votre aide m’a fait progresser dans ma réflexion. Avant de passer au reconditionnement, déjà, éviter le rythme ‘tension accumulée par abstinence ou refoulement/ détente décharge’ peut permettre de ne pas avoir à subir un cycle de haut et bas, sur lequel en effet se greffe la notion de fatigue. Oui, aussi penser à son corps et son esprit après l’acte évite les changements d’esprit et d’état trop brutaux. merci pour vos conseils.

    en réponse à : fatigue ejaculation #36168
    horizon
    Participant

    Merci à tous pour vos réponses, assez poussées parfois, très intéressantes. Symbolique, psychique, biologique ou rationnelle, la dépense énergétique perçue après l’ejaculation semble bien particulière à chaque individu. fréquence, plaisir, énergie, je crois au final que chacun finit par connaitre son corps et accepter que la sexualité n’est pas non plus entièrement sous notre contrôle conscient. Je suis peut être parti du mauvais pied en pensant qu’il y avait une recette magique pour faire disparaître quelques ‘désagréments’ (la fatigue temporaire) due au résultat d’un type de plaisir, meme si pas unique bien sur, l’éjaculation.
    Pour répondre aux questions, je suis dans la quarantaine et j’ai découvert que mon rythme naturel ejaculatoire est d’environ 10-15 jours, c’est a dire que si je n’ai pas de relation sexuelle avec d’autres personnes ou masturbatoire, mon psychisme déclenchera par lui meme une éjaculation lors de mon sommeil (ce qu’on appelle un rêve érotique). D’ailleurs c’est assez extraordinaire quand on y pense d’avoir du plaisir sans meme qu’il n’y ait de stimulation extérieure.

    en réponse à : fatigue ejaculation #36152
    horizon
    Participant

    Bonjour,
    Merci d’avoir pris le temps de répondre, je vais ajouter des details à vos remarques.
    Ce phénomène de fatigue dans les heures ou jours qui suivent est courant chez l’homme et je n’ai jamais compris à quoi cela est du. Quand on fait du sport ou des efforts physiques, la fatigue est une des conséquence qui se comprend assez bien, mais comment une perte aussi minime que le liquide séminal engendre t elle une demande de repos de la part de l’organisme? J’ai 40 ans et en général je ne vais pas courir un marathon après une ejaculation (façon de parler). Les lendemains je ne suis pas complement hs mais je sens que j’ai perdu une certaine vigueur, beaucoup moins dynamique.
    Je plaçais cette question dans ce forum car il me semble que la sexualité taoïste aborde la question de l’énergie, gain-perte-entretien.
    Voila, si vous pouvez m’éclairer sur ce sujet je serais reconnaissant.

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