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20 sujets de 21 à 40 (sur un total de 84)
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  • en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #27776
    nydor01
    Participant

    Bonjour@Andraneros

    Je dirais que c’est plutôt une évolution, qui va de pair avec un accroissement des sensations depuis quelques semaines, qui se rapprochent en intensité de l’orgasme éjaculatoire, tout en étant plus diffuses.
    Au cours de mes séances, le plaisir vient très vite, mais pendant un certain temps, il est plus concentré sur la zone prostatique, avec des contractions involontaires perceptibles, qui génèrent des orgasmes, accompagnés de spasmes, très agréables, sans être renversants. Cela peut durer 30 à 60 minutes, puis, j’entre une phase de réaction musculaire différente (pas à chaque fois, mais de plus en plus précise, comme ce matin), une sorte de tétanie orgasmique étendue à l’ensemble du bassin, où les contractions des sphincters disparaissent, et qui me donne l’impression d’être suspendu dans une tension musculaire unique. Cette réaction peut se répéter plusieurs fois avec une intensité croissante. C’est assez impressionnant, parce que j’ai la sensation que mon corps m’échappe, qu’il fonctionne tout seul, en dehors de ma volonté.

    en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #27773
    nydor01
    Participant

    Bonjour à tous,

    Une séance incroyable ce matin. Cela fait deux semaines que je n’ai pas eu de relations sexuelles (disons de sexe avec ma femme), deux semaines sans éjaculation, et chaque contraction intime, la plus infime, déclenche une onde de chaleur dans mes sphincters, et une volée de picotement dans mon périnée. J’ai la sensation que l’ensemble de mon bassin est un réservoir bouillonnant, dont le trop-plein va jaillir de mon sexe. Donc ce matin, j’ai démarrée au quart de tour, en quelques minutes les mini O se succédaient, avec cette impression toujours étrange d’avoir un liquide s’écoulant de mon sexe. Au bout de 30 minutes de plaisirs continus, j’ai fait une petite pause, puis j’ai repris mes contractions, et là, en très peu de temps, je suis entré dans une nouvelle phase de jouissance incroyable qui s’est manifestée de deux façons successives ; une première phase, pendant laquelle mes sphincters m’ont semblé durcir et devenir une sorte de fourreau rigide, puis l’impression d’avoir une barre intérieure, comme si mon pénis se prolongeait en moi, avec cette sensation étrange d’une érection tant externe qu’interne, le tout avec une succession de spasmes… puis une deuxième phase, encore plus orgasmique, avec la sensation que tout mon plancher pelvien s’était raidi, du scrotum au coccyx, comme une crampe, mais une crampe de plaisir, sans contraction des sphincters, une sorte de raideur musculaire, les sphincters comme ouverts, dilatés, et l’ensemble de cette zone irradiant vers le reste du corps, dans un long spasme – mais vraiment long ! – qui m’a laissé pantelant sur mon lit, le souffle coupé !
    Je n’en reviens toujours pas !

    en réponse à : la soi-disant opposition plaisir Féminin / Masculin #27465
    nydor01
    Participant

    Bonjour,

    Personnellement, je ne me sens ni moins masculin ni plus féminin, je me sens totalement masculin, pour la raison toute simple que la prostate étant un organe masculin, je pense accéder à une jouissance donnée par mon corps masculin.

    en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #27375
    nydor01
    Participant

    Bonjour,

    Je n’ai pas fait de session pendant 3 semaines, pour voir si ma capacité à avoir des orgasmes a-less était bien installée.
    Eh bien ! la réponse est oui ! J’étais un peu « rouillé » au niveau des contractions, mais quelques-unes ont suffi pour réveiller ma zone prostatique. Et l’orgasme fut implosif ! Des sensations, des contractions, des torsions du corps et des râles incontrôlés comme jamais, comme si mon corps attendait cela avec impatience et frustration ! Plus que l’entraînement musculaire, je pense que c’est la capacité de projection mentale qui fait la différence, mon esprit est maintenant bien branché sur ma zone prostatique ; il suffit que je me concentre dessus, et quelques contractions musculaires (ou bien des caresses sur mes tétons) sont nécessaires pour que les sensations affluent.

    en réponse à : Contrôle des contractions périnéales et anales #26916
    nydor01
    Participant

    Bonsoir Jeff,

    La description donnée par Monplaisir14000 correspond exactement à la méthode que j’ai utilisée pour éveiller la zone située sur la face interne du rectum. L’image de la balle est très juste. Au début, comme je n’arrivais pas bien à distinguer les muscles de cette zone, j’ai instinctivement commencé à contracter l’anus, puis à l’aide de la respiration profonde à faire remonter cette contraction vers la prostate, méthode qui m’a permis de ressentir progressivement sa présence, et ses contours, identiques à ceux d’une petite « balle ». Le mouvement donne la sensation de faire rouler l’organe. À présent, j’identifie très bien le périnée et les muscles du rectum, les contractions de l’anus me servent surtout à éveiller la zone des sphincters, mais par la suite, je joue essentiellement avec le périnée et le rectum, je parviens à faire faire bouger cette zone d’avant en arrière, davantage avec un mouvement de roulement que par contractions, un « tapis roulant », mais dans les deux sens. Ce mouvement agit en profondeur sur la prostate ou sur la zone périprostatique si l’on préfère. Les sensations se propagent d’ailleurs vers l’avant, sous le scrotum.
    Pour moi aujourd’hui, l’identification du périnée et la faculté de le mettre en mouvement est primordial dans l’accès au plaisir prostatique.

    en réponse à : Équilibre du couple #26905
    nydor01
    Participant

    Bonjour à tous,

    Sur l’éjaculation féminine. Ma femme est devenue femme fontaine après l’accouchement de notre deuxième enfant. Pourquoi à ce moment-là, je ne sais pas ? Avant, je me souviens très bien qu’elle me demandait souvent de cesser mes caresses manuelles sur la zone du point G, car cela lui donnait envie d’uriner. Je pense que la première fois où elle a éjaculé, elle s’est laissé emporter par le désir et le plaisir, oubliant toutes ses réticences. Depuis, elle n’éjacule pas systématiquement, mais toutes les fois où cela se produit, l’excitation et le relâchement (mental et physique) semblent être au maximum.

    en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #26904
    nydor01
    Participant

    @monplaisir14000
    Merci pour vos remarques.
    À propos du « le jet de liquide », j’ai vécu une fois un écoulement abondant d’un liquide que je pense être du liquide séminal en proportion exceptionnelle. Pour vous-même, je me demande s’il ne s’agit pas du même phénomène que celui de l’éjaculation féminine. Une étude récente montrait qu’il devait s’agir d’une urine produite par les reins pendant l’excitation sexuelle. Au moment de l’orgasme, cette urine très « pure », donc transparente et sans odeur spécifique, serait expulsée par relâchement/poussée musculaire. Peut-être que la contiguïté de la vessie avec la prostate entraîne une réaction similaire chez vous.
    Pour le reste, l’orgasme prostatique sans aneros fut chez moi le résultat d’un processus de plusieurs années; il demande patience et persévérance, relâchement et ouverture d’esprit, car c’est un plaisir où la part mentale est primordiale, et il faut considérer que c’est un cheminement qui n’est pas linéaire, où très souvent le plaisir s’intensifie par paliers, entre lesquels on peut avoir le sentiment de stagner ou régresser. En fait, c’est une quête perpétuelle, où l’extase ultime est toujours devant soi.

    en réponse à : Tout sur la prostate sur France inter #26835
    nydor01
    Participant

    @Matt
    Merci pour les articles. Très intéressant.
    j’ai copié un paragraphe du deuxième papier.

    Il ne fait aucun doute que la stimulation de la prostate via le mur rectal peut créer des sensations extatiques exceptionnellement agréables, surpassant souvent celles obtenu à partir de la stimulation du pénis. Cependant, le mécanisme exact par lequel ceux-ci sont induits est incertain, certains suggèrent qu’il est par les nerfs passant le long de la surface externe de la glande (plexus prostatique), d’autres suggèrent que c’est via l’innervation nerveuse de la prostate tandis que d’autres parler d’un «re-câblage» du cerveau nécessaire pour apprécier les effets de la stimulation de l’organe. Ce qui est clair, cependant, c’est la réticence de la communauté scientifique à étudier le phénomène, peut-être parce qu’elle implique le besoin d’insertion et de stimulation rectales. Pourquoi, pour un exemple évident, n’avons-nous pas encore eu d’imagerie cérébrale des orgasmes stimulés par la prostate pour que nous puissions les comparer à des orgasmes péniens? Qui dirigera le défi?

    Comme il est dit, il existe des hypothèses mais pas encore d’explications produites par la communauté scientifique et médicale.
    NB. Le recâblage mental est un élément très convaincant.

    en réponse à : Tout sur la prostate sur France inter #26826
    nydor01
    Participant

    Vos commentaires touchant les sources de l’orgasme « prostatique » me semblent assez justes. Je voudrais prolonger le sujet en évoquant la question des muscles concernés.
    En effet, il apparaît que les manifestations corporelles de l’orgasme « prostatique » soient sensiblement différentes de celles vécues lors d’un orgasme pénien ou éjaculatoire. Les convulsions et tremblements présents durant l’orgasme « prostatique » sont spécifiques. Pour ce qui me concerne, j’ai des spasmes du bassin – des poussées violentes vers l’avant –, des contractions de l’abdomen, que je ne connais pas en éjaculant. De fait, en dehors du périnée, j’aimerais bien savoir quels muscles – apparemment passifs pendant l’éjaculation — les provoquent.

    en réponse à : Tout sur la prostate sur France inter #26822
    nydor01
    Participant

    J’avance une proposition : un orgasme périnéal.

    en réponse à : Tout sur la prostate sur France inter #26821
    nydor01
    Participant

    Mon expérience personnelle me laisse à penser qu’il peut y avoir une explication plausible quant aux origines des sensations ressenties.
    Ainsi, je distingue plusieurs types de sensations que l’on pourrait rattacher soit aux tissus musculaires, soit à la prostate.
    D’un côté, la chaleur qui résulterait d’une action mécanique ou musculaire… Ensuite, les tiraillements, picotements… dont l’origine serait spécifiquement musculaire ou nerveuse si l’on préfère. Enfin, cette sensation très nette de pulsation localisée au niveau de la prostate et qui pourrait bien venir de la prostate elle-même – lorsqu’elle se dilate ?

    Reste cette découverte pour moi : la prostate ne serait le siège d’aucune sensation de volupté. Donc, d’où viennent-elles dans le cas d’un « massage de la prostate » ? Du groupe musculaire et des nerfs qui l’entourent et seulement d’eux.
    Comment se fait-il que dans le cas d’un automassage (aneros-less) les sensations se développent essentiellement dans cette zone ?

    Enfin, si l’orgasme de la prostate n’existe pas en tant que tel, comment nommer l’orgasme que nous ressentons ?!!

    en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #26811
    nydor01
    Participant

    Bonjour,

    Ce matin, j’ai été réveillé par une sensation de chaleur dans mes sphincters. Par réflexe, j’ai fait quelques contractions et la chaleur s’est très vite propagée dans mon bassin et mon bas-ventre ; mais j’ai tout arrêté de crainte de déclencher un orgasme, auquel je me refusais, car ma femme était couchée à mes côtés ! Je me retournais dans un sens et dans l’autre espérant éteindre mes sensations, mais rien à faire, dès que je me posais, le plaisir revenait et s’amplifiait sans que je fasse rien ! J’ai été pris d’une violente érection, une sorte de vibration qui partait de ma prostate parcourait tout mon sexe ; à un moment, j’ai eu l’impression qu’il coulait ! Je me concentrais sur ma respiration, le plaisir se répandait dans mon corps, mais je parvenais à contenir le déclenchement des spasmes. C’était à la fois incroyablement fort et frustrant ! Heureusement, si l’on peut dire, ma femme s’est levée pour se doucher ; alors, je n’ai pas pu résister, j’ai eu un orgasme énorme, à tel point que je me suis retrouvé littéralement avec le corps écartelé, et les muscles tétanisés ! Ce qui me sidère, c’est cette progression vers des orgasmes décuplés, en faisant toujours moins d’effort pour les atteindre !

    en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #26798
    nydor01
    Participant

    Bonjour,
    Décidément, ma prostate me réserve toujours d’heureuses surprises. Depuis quelque temps, je connais un niveau de satisfaction élevé et constant. Je maîtrise de mieux en mieux l’accès au plaisir prostatique, mon degré de sensibilité prostatique s’est développé de telle sorte que je n’ai plus besoin de forcer mes contractions volontaires, qui se situent dorénavant bien davantage au niveau du périnée et du rectum qu’un niveau de l’anus. Je suis comme un musicien qui connaît si bien son instrument, qu’il s’en sert avec autant de délicatesse que de précision. Hier matin, couché seul dans mon lit, avec un peu de temps devant moi, j’ai initié une petite séance dont je n’attendais pas d’étincelles particulières, simplement un peu de plaisir pour attaquer la journée. Après trois orgasmes (agréables, mais pas renversants), je me laissais aller à mes sensations sur le ventre quand j’ai senti – sans effort de ma part – monté un plaisir soudain et d’une force inconnue. Le plaisir s’est manifesté par de puissantes et longues vagues qui irradiaient tout mon corps. Je n’avais jamais vécu un orgasme prostatique comme celui-ci, pour la première fois mes sensations étaient aussi intenses que lors d’une éjaculation, j’avais de longues et violentes poussées du bassin vers l’avant, les bras écartelés par la violence du plaisir, j’ai ressenti une sorte de crépitement voluptueux au bas du dos (jamais ressenti une telle chose !), la chaleur montait par irradiation jusqu’au sommet de mon crâne. Je suis incapable de dire précisément combien de temps cela a durée : un minute, plus (?) ; je n’ai pas plus évalué si j’avais des contractions des sphincters, j’avais plutôt l’impression d’être comme ouvert, avec un bassin entier qui irradiait, j’étais dans un état de semi-conscience, et quand j’ai repris mes esprit, je me suis rendu compte que je ne respirais plus !
    Je pensais avoir déjà connu des Supers O, mais au regard de ce que j’ai vécu hier, je me dis que non ! Ou alors, cela montre qu’il n’y pas de limites à la dimension psychique de l’orgasme (prostatique).

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #26491
    nydor01
    Participant

    Bonjour,

    Les sensations vont se préciser et s’amplifier avec le temps et l’apprentissage. Avec la chaleur viennent les tiraillements et les fourmillements voluptueux. Si les sensations sont moins nettes qu’avec l’Aneros, elles sont assez puissantes pour déclencher des spasmes et des ondes de plaisirs à travers le corps. Et au niveau psychique, c’est incomparable.
    L’approche est double. D’abord mentale : il faut effectuer là aussi un recâblage de la pensée vers la prostate (les caresses sur les mamelons peuvent accélérer le processus). Mais aussi physique, considérer que les sensations peuvent naître tout autour de la prostate et non pas seulement de la paroi rectale (comme avec le masseur). À titre personnel, je commence à avoir des sensations sur le devant de la prostate, sous le scrotum. En ce sens, il me semble que la maîtrise des contractions du périnée joue un rôle plus déterminant que celles des contractions anales ou même rectales (même si dans un premier temps, elles sont importantes, en raison des habitudes prises avec le masseur).
    Bon cheminement…

    en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #26410
    nydor01
    Participant

    C’est à peu de chose près pareil pour moi. Je peux m’arrêter 5 à 10 minutes, une fois que ma prostate est réveillée, elle réagit très vite, notamment par l’intermédiaire des caresses mammaires. Toutefois, je ne veux pas associer systématiquement caresse des mamelons et plaisir prostatique, je ne veux pas créer un lien de dépendance des uns par rapport à l’autre. Donc, j’éveille très souvent ma prostate uniquement par le jeu des contractions musculaires. Les seins, c’est plus dans le cadre d’un petit plaisir immédiat. Ou bien si je veux connaître un orgasme des seins (j’y arrive aussi !).
    Les limites ? Pour l’instant, je ne pense pas encore les connaître, mon plaisir grandit et se diversifie à mesure de mon « cheminement ». Ma découverte de l’orgasme multiple est sans doute le plus épanouissant : je peux avoir 5 à 10 orgasmes sur une séance, à l’issue de laquelle, je conserve toute mon énergie. À côté de cela, évidemment, l’orgasme éjaculatoire me semble un peu limité, bien qu’il soit plus puissant, pour le moment encore.

    en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #26406
    nydor01
    Participant

    @Jean74
    En vous relisant, je me rends compte que moi aussi je ressens des sensations sur l’avant de la prostate, ou la face externe du périnée, sous le scrotum, ce qui est aussi étonnant qu’excitant…
    Je me demande toujours s’il y a un plaisir plus fort à venir, car depuis 1 mois, je connais une progression accélérée dans ce domaine. Tout est plus subtil et plus puissant à la fois.

    en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #26395
    nydor01
    Participant

    Pour reprendre un autre image, la sensation orgasmique seraient comme une corde qui vibre et raisonne.

    en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #26394
    nydor01
    Participant

    Bonjour Jean74,

    Je vais essayer de répondre le plus précisément possible.
    Je vais développer le cas où je suis sur le ventre pour expliquer mes sensations et leurs effets. En fonction, des positions, elles ne sont pas exactement les mêmes, disons que mon cerveau ne les perçoit pas d’une façon identique. Par exemple, si je suis sur les genoux, plus ou moins repliés sur moi, je sens les parois de mon rectum qui se contractent et compriment ma prostate, et j’ai des projections du bassin d’avant en arrière très puissantes.

    Sur le ventre, la première sensation est très localisée, au niveau de la face antérieure du rectum, c’est comme un léger tiraillement voluptueux (ou de légers pics de plaisir, ou des chatouillements) qui s’accompagne d’une sensation de chaleur. À ce stade, j’ai de brefs et brusques spasmes du bassin, parfois un ou deux seulement, suivis d’une sensation de pulsation. Progressivement, les sensations s’amplifient, de même que la fréquence et la durée des spasmes (une succession d’orgasmes en palier), ma respiration s’accélère, devient bruyante.

    Ensuite, les tiraillements, ou vibrations, s’étendent et gagnent en intensité, la chaleur gagne tout mon bassin, je ressens une forte tension qui crée des vagues de plaisirs intenses, lesquelles vagues déclenchent de fortes convulsions. C’est comme si j’avais une pile en moi qui diffuse son énergie rayonnante. Également, parfois, tous les muscles de mon bassin sont comme tétanisés par l’amplification des sensations. Alors, mon bassin se soulève tout seul, et se fige dans un long spasme, ma respiration est coupée (je ne m’entends plus), je pars dans un espèce de bourdonnement général, avec des sons internes, des couleurs… Puis, je suis pris de convulsions de durée variable, et il m’arrive de m’entendre râler. Je rebondis littéralement sur mon lit. Tout mon corps participe, mes jambes, mes bras, sont agités de mouvements désordonnés (je me suis filmé) : c’est assez spectaculaire ! Et je comprends qu’un observateur (femme, compagnon…) puisse être impressionné et dérouté.

    Pour prendre une image, les spasmes seraient comme l’éjaculation (en plus long !) qui suit le plus haut du moment orgasmique. C’est difficile de dire ce qui se passe au niveau rectale ou anal. Disons qu’en fin de convulsion, je sens un relâchement à ce niveau là.

    Dans ces moments-là, mes mamelons sont en érection et ultra sensibles, il suffit que je les effleure et je suis pris de spasmes. Mon plaisir est instantanément relancé.

    À bientôt.

    en réponse à : Mamelons et plaisir prostatique #26388
    nydor01
    Participant

    … par exemple, quand le plaisir prostatique est très fort, mes mamelons sont gonflés et durs, de façon systématique, bien plus que lors d’un plaisir pénien.

    en réponse à : Découverte – 42 ans #26386
    nydor01
    Participant

    Bonsoir,

    À la lecture de nombreux témoignage, je constate un recours aux caresses mammaires très fréquent lors de l’expérience du plaisir prostatique. Je me demande si cette pratique était aussi fréquente avant ou si elle est née, s’est développée avec la découverte du plaisir prostatique. De même la sensibilité mammaire est-elle plus forte après cette découverte ?

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