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20 sujets de 41 à 60 (sur un total de 84)
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  • en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #26385
    nydor01
    Participant

    C’est la première fois que je lis un témoignage qui se rapproche autant de ce que je vis !
    Concernant les seins, je me pose la question suivante : n’est-ce pas l’éveil de la prostate qui engendre une augmentation de la sensibilité des mamelons ? Personnellement, avant mon expérience prostatique, la sensibilité de mes mamelons était moindre, de même que leur taille, qui a augmenté. Mon intérêt pour les caresses mammaires a subitement augmenté avec le plaisir prostatique. J’ai l’impression d’avoir des mamelons féminins (toutes proportions gardées en terme de taille quand même !). Il est vrai aussi que je suis beaucoup moins centré sur mon sexe, et je n’en ressens aucun manque. J’ai toujours de fortes érections, et mes relations sexuelles traditionnelles n’en sont pas affectées. Mais le plaisir prostatique m’apporte quelque chose d’inégalé et, à mon avis, d’inégalable.
    Par quels signes se manifestent le plaisir et l’orgasme ? Avez-vous des spasmes, des tremblements, des gémissements… ?
    Comme vous, je suis étonné du peu de témoignages sur le sujet ? Je dirais presque du peu d’intérêts, même sur ce blog. Pourtant, il me semble que c’est une voie unique et naturelle vers la découverte d’un plaisir incomparable, un trésor caché, ou occulté, là, depuis toujours, en chaque homme. Pour moi ce plaisir porte en soi une révolution dans la sexualité masculine, et le regard que l’homme peut porter sur sa sexualité et celle de la femme.

    en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #26380
    nydor01
    Participant

    @jean74
    Bonjour,
    je me retrouve dans votre témoignage – notamment concernant l’Aneros. Toutefois, je tiens à préciser que je n’ai rien contre son usage, qui est certainement excellent pour découvrir le plaisir prostatique ; simplement, je suis arrivé à un stade où je ne sens plus la nécessité et l’envie de l’utiliser.
    J’utilise aussi des images mentales, comme celle du vagin, ou même de la pénétration, mais c’est plus un jeu qu’un impératif. Par contre, je pense qu’il est essentiel de développer une image mentale, ou une connexion mentale, avec sa prostate, en particulier parce que c’est organe interne et invisible. Je crois que certaines femmes font de même avec leur vagin pour obtenir des orgasmes vaginaux. De la même façon, j’ai développé une connexion sensitive entre mes mamelons et ma prostate, tandis qu’avant c’était mon sexe qui réagissait exclusivement aux caresses sur mes seins.
    Je ne sais pas comment vous procédez au niveau des contractions, utilisez-vous l’anus et le muscle PC, ou simplement le PC ?
    Personnellement, je me sers de moins en moins du muscle anal, le plus souvent pour éveiller la zone, générer de la chaleur, mais une fois fait, je me concentre sur le périnée. Mes contractions sont devenues beaucoup plus subtiles qu’au début, car je parviens à faire jouer les muscles autour de ma prostate au niveau interne. J’ai la sensation parfois de faire rouler ma prostate, donc à générer un effet de massage. Mon approche est devenue la même qu’avec mes mamelons, que je caresse sans aucune violence. Une fois que les sensations sont installées, la prostate fonctionne presque toute seule. Une simple contraction, comme un effleurement, suffit à relancer l’orgasme. Comme vous le dites, le plaisir est long et diffus. La plupart de mes séances durent entre 30 et 60 minutes (mais le temps s’efface alors…).
    Pour les positions, je pratique aussi cet effet ciseaux parce qu’il crée un effet de pression, alors que la position allongée avec une jambe repliée, par effet d’ouverture anale, sollicite davantage l’effort de contraction musculaire.
    À bientôt.

    en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #26343
    nydor01
    Participant

    Je pense que le plaisir prostatique nous conduit vers des territoires de sensations et d’états psychologiques toujours renouvelés. L’orgasme pénien engendre des sensations bien identifiées et finalement sans surprises, même si elles sont puissantes. Alors que le plaisir prostatique, notamment sans aides externes, produit des sensations surprenantes, sans doute en raison de leur répétition, et de l’état de voyages sensoriels dans lesquels elles nous entraînent. Il semble que l’on n’atteigne jamais tout à fait le point ultime, et que ce point ultime recule à mesure que le plaisir se développe. Il n’y a pas de frustration, parce que le plaisir est bien présent, mais une envie joyeuse de s’engager toujours plus dans ce chemin des délices.

    en réponse à : Différence entre orgasme prostatique et anal #26342
    nydor01
    Participant

    J’ajoute qu’il y a un indicateur de chaleur, le plaisir anal engendre une chaleur plus localisée, alors que le plaisir prostatique diffuse une chaleur qui s’étend dans l’ensemble du bassin et parfois au-delà, dans le dos, vers la poitrine.

    en réponse à : Différence entre orgasme prostatique et anal #26326
    nydor01
    Participant

    Non, désolé je l’ai supprimée, c’était pour mieux apprécier visuellement ce que je vivais.

    en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #26325
    nydor01
    Participant

    Bonjour,
    Je reviens pour vous faire part de l’évolution de mon expérience prostatique. L’année dernière, je pensais avoir atteint un sommet dans le plaisir prostatique, je pensais également avoir atteint un stade où je maîtrisais dorénavant ce plaisir, mais je me trompais ! ! !

    J’ai abandonné l’usage de l’aneros, et je pratique exclusivement le plaisir prostatique par contractions musculaires. Mes rares expériences avec Aneros se sont révélées décevantes, j’ai l’impression d’avoir quelque chose en trop – un intrus si l’on peut dire – qui écrase ma prostate et mes sensations, alors que sans Aneros, les sensations sont plus fines et bien plus satisfaisantes. Ma satisfaction tient aussi certainement au fait que mon plaisir est exclusivement autonome et naturel – au sens propre du terme.

    Toutefois, ce plaisir est loin d’être linéaire. Sans doute parce qu’il repose sur une technique spécifique, et un état psychique particulier qui se rapproche à mon sens de celui d’une femme qui connaît des orgasmes vaginaux. De fait, il est inégal au niveau de l’intensité des sensations. Il est parfois ordinaire, décevant ou frustrant, parfois sidérant, d’une intensité folle, et pleinement épanouissant.

    Je suis passé par plusieurs phases depuis un an.
    • Après la découverte du plaisir prostatique sans moyens externes, j’ai connu une période d’euphorie, qui m’a conduit à une addiction négative. Je pratiquais tous les jours, dans une recherche permanente de plaisir continu et sans limites : je voulais toujours plus et toujours plus fort. Résultat, une fatigue musculaire, une sorte de saturation des sensations (au niveau des sphincters) et une atténuation progressive de mon plaisir.
    • Pendant quelques mois (de juillet à septembre), j’ai vécu une période de régression, mon plaisir était rare et insatisfaisant. Je n’arrivais plus à atteindre les sensations que je connaissais au début, et je forçais en vain sur les contractions.
    • Alors, de septembre à décembre j’ai quasiment cessé ma pratique, pensant que j’avais connu une période de plaisir révolue, une expérience unique et terminée.

    Et puis, j’ai changé d’approche tant psychologique que technique.
    D’abord, je ne pratique plus tous les jours, je me laisse guidé par mes désirs. Je peux pratiquer deux à trois fois par semaine – quelquefois à la suite –, ou bien, une seule fois. Je me fie en quelque sorte à l’appel de mon corps.

    Ensuite, j’ai évolué au niveau purement technique. J’ai affiné et modifié mes contractions. Initialement, mon plaisir est revenu avec les caresses sur mes seins. J’ai renforcé la connexion entre mes mamelons et ma prostate, et je me suis rendu compte que je pouvais avoir des sensations prostatiques sans passer par un cycle de contractions annales par exemple. En fait, quand je me caresse mes mamelons, je sens comme un tiraillement interne au niveau prostatique, tiraillement que je renforce par une contraction de la zone périnéale, une contraction que je qualifierai d’interne et qui se propage à l’ensemble des sphincters ; j’ai alors la sensation que mon rectum se tend et se durcit. Je peux ressentir des pulsations sur la face interne du rectum (la prostate).

    Cette approche n’est pas exclusive, ce qui signifie que je ne suis pas obligé de caresser mes mamelons pour parvenir à l’orgasme prostatique ; simplement, elle m’a permis de changer ma technique de contraction.

    Je travaille beaucoup plus en souplesse et en finesse. J’alterne les contractions périnéales et anales, et celles-ci sont plus modérées et moins systématiques qu’initialement. Au niveau du périnée, j’ai une sensibilité musculaire qui s’est développée, mes contractions internes sont plus subtiles, tandis qu’elles me procurent un plaisir accru.

    Je distingue nettement plaisir anal et plaisir prostatique. Je parviens à la jouissance prostatique sans nécessairement passer par le plaisir anal. Ainsi, il m’arrive de ne ressentir que des contractions internes. Parfois, aussi, je ressens comme un durcissement ou une forte tension interne qui déclenche une onde continue de plaisir, laquelle se propage dans mon bassin, et au-delà.

    Globalement, mon plaisir se manifeste moins sous forme de pics que sous forme de plateaux toujours plus élevés. Mes spasmes sont plus longs, et mes phases de tremblements frénétiques moins nombreuses.
    Au niveau des positions, il y a eu également une évolution, alors que j’avais davantage de facilité à atteindre l’orgasme à genoux, replié sur moi, ou sur les dos, les jambes vers la poitrine, j’obtiens des orgasmes plus facilement couché sur le ventre (avec parfois une jambe repliée), ou couché sur le côté, en chien de fusil.

    en réponse à : Différence entre orgasme prostatique et anal #26322
    nydor01
    Participant

    @matou8313… et les autres prostatomanes.

    Je trouve votre description de l’orgasme prostatique excellente. Disons qu’elle est conforme à ce que j’expérimente depuis quelques mois (je vais aborder le sujet d’une façon plus globale sur le post Orgasmes prostatiques sans aides externes).

    Je crois distinguer plus nettement les deux orgasmes, et je peux dire qu’au début de mon expérience j’avais plutôt des orgasmes anaux que prostatiques, je confondais les deux ou je croyais vivre un orgasme prostatique alors qu’il s’agissait d’un orgasme anal.

    L’orgasme anal se produit vraiment (c’est une lapalissade !) sur l’anus interne et externe avec des contractions très fortes et une poussée vers l’extérieure alors que l’orgasme prostatique mobilise les muscles internes avec des spasmes du bas ventre et effectivement un mouvement d’avant en arrière, et au sommet des sensations, une longue poussée vers l’avant très puissante, suivie souvent d’un tremblement incontrôlable du bassin qui peut durer 15 à 30 secondes.

    Je me suis filmé et j’ai bien observé la différence avec les contractions anales, lors d’une éjaculation par exemple, qui montre des contractions continues au niveau de l’anneau externe. Dans le cas du plaisir prostatique, les contractions sont plus visibles au niveau du périnée, et l’anus semble se contracter vers l’intérieur, avec sur la fin un fort relâchement ou poussée anale vers l’extérieur, suivi de quelques contractions au niveau de l’anneau externe, lesquelles contractions sont moins fortes que les contractions internes non visibles (je ne sais pas si je suis bien clair).

    en réponse à : Orgame de la prostate et émission de liquides #26320
    nydor01
    Participant

    Bonjour,
    pour revenir sur cette expérience, elle fut unique, je n’ai plus connu depuis ce type d’émission importante, par contre du liquide séminal qui perle sur le méat urinaire oui, phénomène qui arrive plutôt lorsque j’ai une érection simultanée.

    en réponse à : Orgasme prostatique par contraction du périnée #23251
    nydor01
    Participant

    @Andraneros

    Merci beaucoup pour votre réponse. Et merci d’avoir répertorié les occurrences sur le sujet.
    Je vais essayer d’apporter des commentaires sur les points qui me paraissent essentiels.
    En effet, personne sur ce forum, mais aussi hors forum, à ma connaissance, n’a décrit de méthode complète pour atteindre l’orgasme prostatique sans masseur.
    C’est vraiment, je pense, non pas forcément un sujet tabou, mais un sujet méconnu et très peu maîtrisé. Au sens, à mon avis, où rares sont les personnes qui vivent cette expérience.
    La plupart des interventions sur le sujet relèvent d’un vécu personnel, et les explications données, quoique très intéressantes, sont souvent fragmentaires.
    À côté d’un effort d’analyse du processus, il conviendrait aussi de faire une synthèse des témoignages pour dégager des principes généraux à même de fournir une méthode globale.
    Pour ma part, je crois qu’il y a un préalable incontournable : c’est le renforcement de l’ensemble des muscles qui participent à l’orgasme prostatique (périnée, anus et rectum) ; renforcement qui permet de mieux les identifier et de comprendre le rôle que peut jouer chacun dans le processus menant à l’orgasme prostatique. Parmi ces muscles, le périnée est à mon avis essentiel : de la puissance et de la maîtrise de ses contractions (avant même les contractions annales) dépend l’éveil des sensations internes. C’est lui, et d’abord lui, qui va permettre d’effectuer ce qui se rapproche d’un véritable massage de la prostate.
    Ensuite, l’approche mentale est essentielle : faire l’effort de visualiser sa prostate encourage sa perception sensorielle. Dès lors, la prostate n’est plus un organe caché et inerte, elle devient accessible et sensible…
    Voilà pour ces quelques précisions. La discussion reste ouverte…

    en réponse à : Orgasme prostatique par contraction du périnée #23239
    nydor01
    Participant

    Une fois que l’on a atteint le plaisir prostatique avec une aide externe comme l’Aneros, et qu’on l’on a identifié les mécanismes qui mène à ce plaisir, il me semble naturel de passer à l’étape suivante : l’orgasme prostatique sans accessoires par le moyen des contractions anales et des contractions du périnée. Pour ma part, j’ai abandonné l’utilisation de l’Aneros, et les contraintes de préparation qui vont avec. De fait, je n’en vois plus l’utilité. L’orgasme prostatique par contractions autonomes est une pratique naturelle comme la masturbation, le plaisir obtenu est plus subtile qu’avec l’Aneros, et au niveau mental, je le trouve bien plus satisfaisant.
    C’est vraiment, me semble-t-il, une pratique à faire connaître, de la même manière que les autres méthodes naturelles d’accès à l’orgasme.
    Encore une fois, je suis étonné qu’on parle pas plus (même sur ce blog).

    en réponse à : Émission de liquide #23008
    nydor01
    Participant

    J’ai eu hier ma plus forte expérience d’orgasme prostatique sans masseur.
    J’atteins depuis peu des niveaux de plaisirs insoupçonnés et inconnus jusqu’alors.
    Les sensations sont à la fois plus subtiles et plus intenses, plus diverses également. C’est toute la zone périnéale qui s’embrase en offrant une gamme de sensations de plus en plus riches qui suscitent des flashs ou des images mentales étonnantes.
    Mon plaisir se stabilise sur un plateau (j’imagine comparable dans le principe à celui qu’atteignent les femmes avant et après l’orgasme), à partir duquel je vis une succession de pics orgasmiques, et ce pendant plus d’une demi-heure. Je peux même m’arrêter quelques minutes, il me suffit de quelques contractions volontaires pour atteindre à nouveau ce plateau.

    NB : je suis un peu étonné qu’il n’y ait pas plus de curiosité pour l’orgasme prostatique sans masseur, dans la mesure où c’est un orgasme des plus naturels, sans moyens externes et sans préparation parfois fastidieuse.

    en réponse à : Émission de liquide #22996
    nydor01
    Participant

    Bonjour bzo

    Je ne pourrais pas répondre, je ne sais pas en quoi consiste exactement le « milking ».
    Dans mon cas, je pense, cette émission de liquide est due à l’intensité et la durée du massage interne. Mais j’ignore si le massage en lui-même peut entraîner la sécrétion de liquide en supplément. L’explication ne peut pas être reliée à l’abstinence, car j’avais eu une relation sexuelle deux jours avant. Toujours est-il que la quantité émise m’étonne encore.
    Pour la pratique de l’orgasme prostatique sans masseur, il y aurait beaucoup à en dire.
    Je contracte surtout les muscles PC, le périnée d’abord, que je muscle quotidiennement en m’asseyant sur le bord d’une chaise (les testicules au-dessus du vide si l’on peut dire), les jambes à angles droits, les mains sur les cuisses… Je me suis rendu compte que la force du périnée était primordiale pour accéder à l’orgasme de la prostate. Avant même la séance proprement dite, je fais une série de contractions pour éveiller l’ensemble du plancher pelvien, les sphincters, la prostate.
    Une fois installé, je poursuis mes contractions, en faisant jouer aussi les muscles internes que je perçois plus facilement à présent. J’alterne avec des contractions douces de l’anus. Depuis que j’ai progressé dans cette pratique, le rapport entre contractions anales et périnéales s’est d’ailleurs inversé en faveur des secondes. La force du périnée permet également de soulager l’effort musculaire, je me souviens qu’au début je fatiguais assez vite, et mes sensations s’en trouvaient altérées. Parfois, je caresse mes mamelons, qui sont devenus ultra-sensibles, pour éveiller plus vite encore ma prostate.
    Les sensations arrivent rapidement. Une fois qu’elles sont installées, je réduis la force de mes contractions volontaires, qui peu à peu disparaissent dans le cycle des spasmes pour faire place aux contractions involontaires. Contractions qui touchent davantage le rectum que l’anus.
    Voilà pour un premier topo.

    en réponse à : Vidéos didactiques #22906
    nydor01
    Participant

    Merci pour vos interventions.
    En effet, la vidéo du Japonais est impressionnante, très instructive et très complète au niveau de la gamme des contractions.
    J’ai fait une recherche, et je n’en ai pas trouvé concernant l’orgasme prostatique A-less. Ce qui me laisse à penser que c’est une pratique assez rare et peu maîtrisée.
    Comme je l’ai déjà expliqué sur le forum, c’est une pratique habituelle pour moi, et je n’utilise plus que rarement l’Aneros.
    Je me suis déjà pris en vidéo pour apprécier le résultat au niveau des contractions tant au niveau anal que du plancher pelvien.
    Je n’obtiens pas exactement les mêmes résultats que sur la vidéo du Japonais. À mon sens parce que le plaisir sans Aneros est à la fois plus diffus et plus profond, dans la mesure où il mobilise à mon avis davantage les muscles internes du bas-ventre. En effet, comme il n’y a pas de massage direct sur la prostate, l’effort préalable est davantage musculaire. À cet égard, un entraînement visant au renforcement du périnée est indispensable.
    Je pratique deux types de contractions volontaires :
    – Des contractions fortes et soutenues du périnée, en alternance avec quelques poussées vers le bas. J’ai donc d’un côté une pression et une remontée musculaire vers l’intérieur (effet de fermeture), de l’autre un mouvement d’expulsion (effet d’ouverture). Ces contractions-relâchements ont pour effet de réveiller l’ensemble de la zone du plancher pelvien (sensations de chaleur, picotements, etc.)
    – Des contractions assez douces de l’anus.

    Les effets sont alors les suivants :
    – des contractions involontaires de l’anus, visibles – mais pas autant que sur la vidéo du Japonais –, parfois régulières, parfois irrégulières, qui provoquent souvent des pulsations internes au niveau rectal.
    – des contractions qui partent de l’intérieur, très puissantes, et qui provoquent des spasmes de mon bas ventre tout en soulevant mon bassin. Les effets visibles ne sont pas exactement les mêmes que ceux que l’on peut voir sur la vidéo du Japonais – ou lors d’une éjaculation – avec une suite rapide de contractions de l’anus. Dans mon cas, la contraction mobilise l’ensemble du plancher pelvien, avec fermeture et remontée de l’anus pendant plusieurs secondes, suivi d’un relâchement fort et soudain. Sur mes vidés, on voit nettement que se sont tous les muscles de la zone du périnée, et pas seulement l’anus, qui se contractent.
    J’ai parfois une seule contraction assez longue (plusieurs secondes) qui provoque une suite de spasmes, et parfois plusieurs contractions à la suite de quelques secondes accompagnées de spasmes abdominaux. Au niveau anal, cela donne des contractions visibles moins nombreuses, mais très fortes.

    En espérant avoir été assez clair.

    en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #22154
    nydor01
    Participant

    Bonsoir,
    je relance le sujet sur la ou les méthodes adoptées par ceux qui ont des orgasmes hors Aneros.
    Notamment, quelles contractions ? Anales, périnéales ? À quel rythme ? Avec quelle force ? Associées à la respiration ? Quelle position est la plus efficace ? Combien de temps pour obtenir l’orgasme ou les sensations de plaisirs ? Nature des sensations ? Sont-elles différentes de celles ressenties avec l’Aneros ?

    Me concernant :
    — Contractions anales et périnéales, mais davantage périnéales, associées à des contractions de la partie basse de l’abdomen.
    — Des contractions plutôt courtes (entre 3 à 5 secondes) de force moyenne, 1 contraction pour 3 à 5 inspirations/expirations. Parfois 3 contractions à la suite. Mais je m’adapte aussi à mes sensations. Quand je commence à avoir des contractions involontaires, j’essaye de trouver un équilibre entre contraction/relâchement, ce qui en générale amplifie et accélère les contractions involontaires de l’anus et du rectum. J’ai alors mon périnée qui “tremble” et mon sexe qui “tressaute”.
    — La position la plus efficace : sur le dos, les jambes repliés vers la poitrine, ou bien assis, le dos incliné et les jambes pliées (c’est une position que j’ai initié dans mon bain !), dans ce cas, les sphincters sont déjà “comprimés” et l’action musculaire est rendue plus facile.
    — En général, 10 minutes pour arriver à l’orgasme.
    — Les sensations sont plus douces qu’avec l’Aneros, plus subtiles aussi, même si les spasmes sont quasi équivalents ; ces sensations sont de plus en plus clairement localisées sur l’ensemble de la partie antérieure du rectum, j’ai une impression d’embrasement, ou encore d’un durcissement de l’ensemble de mon rectum.
    J’espère que ces précisions vous seront utiles.
    À bientôt.

    en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #22131
    nydor01
    Participant

    @Lucky
    Bonjour,
    Je réagis sur votre commentaire à propos des seins.
    J’ai moi-même développé ces derniers mois une très grande sensibilité au niveau des mamelons, si bien que je peux parvenir à un orgasme des seins autonome.
    Je peux également connecter mes sensations avec ma sphère génitale et plus particulièrement ma prostate. Comme vous, j’imagine que mes deux tétons sont deux clitoris, mais aussi, que mon anus et mon rectum représentent un vagin, et ma prostate, un point G. Cela m’est venu naturellement comme si le fait de caresser mes seins et de contracter mon périnée, en dehors de toute action et pensée en relation avec mon pénis, me faisait basculer dans une dimension féminine. L’association entre tétons et clitoris se fait maintenant quasi automatiquement, dès que je ferme les yeux. Si je lubrifie mes mamelons, l’identification est encore plus forte. J’ai l’impression que la distance entre mes tétons et ma prostate se réduit, et que tous les trois font partie d’un même espace, un même sexe. Il me semble que mon anus et mon rectum se dilatent et s’échauffe comme un vagin. Ma prostate réagit quasi simultanément avec mes tétons, et l’orgasme vient beaucoup plus vite.
    Je pense qu’il ne faut pas occulter et même tirer profit de cette part féminine qui est en chacun de nous. L’accès au plaisir prostatique en est rendu plus facile.
    À suivre…

    en réponse à : Orgasme prostatique sans aides externes #22066
    nydor01
    Participant

    @diabolo
    Merci pour votre témoignage, très instructif, et qui tranche avec le flou ou l’imprécision que l’on rencontre souvent sur ce thème. Je vais essayer de rebondir dessus en apportant mon propre témoignage.

    Caractéristique des contractions musculaires associées à la respiration : le fait d’expirer en poussant le diaphragme vers le bas fait remonter mécaniquement le plancher pelvien vers le haut. C’est une chose que j’ai apprise en faisant de la respiration profonde, entre le gonflement de l’abdomen à l’inspiration et la poussée vers le bas des muscles abdominaux à l’expiration, j’avais constaté une sorte de poussée inversée des sphincters vers le haut qui générait une sensation agréable sur la paroi antérieure, sans que j’établisse un lien certain avec la prostate.

    Pour moi, concernant les contractions, toute la difficulté a été de reconnaître et de comprendre l’action des muscles du plancher pelvien :
    • Longtemps, je n’ai pas réussi à distinguer le muscle anal et le muscle périnéal, ce qui fait que je contractais toujours l’anus avec le périnée, et non pas l’un indépendamment de l’autre.
    • Aujourd’hui, grâce notamment à la respiration profonde, c’est chose faite, et c’est, pour moi, un passage obligé pour l’accès et la maîtrise de l’orgasme prostatique sans moyens externes.
    • Aujourd’hui, quand je contracte le périnée, je sens très bien le plancher pelvien qui remonte et exerce une poussée (aspiration) des sphincters vers le haut, une poussée qui se conjugue à une contraction des parois anale et rectale qui entrent alors en contact par pression conjointe.
    • Je sens alors très nettement les effets de cette action musculaire sur ma prostate et dans toute la zone : pulsations, vibrations, chaleurs, picotements, etc.

    Personnellement, la durée de contraction est fonction de mes sensations, je peux maintenir l’effort musculaire au-delà de 3 secondes ; par contre dans la phase initiale, mes contractions sont plutôt courtes, ceci afin de ne pas écraser mes sensations et fatiguer mes muscles.

    Quand les petites contractions involontaires dues à l’action périnéale entraînent un battement rythmé de mon pénis, je sais que le déclenchement de l’orgasme est tout proche. Cette phase est déjà jouissive en soi. J’essaye de trouver un équilibre entre contractions involontaires et relâchement pour la faire durer le plus longtemps possible ce qui augmente la force des spasmes de l’orgasme proprement dit. J’ai des spasmes du sphincter qui déclenche des contraction abdominales très fortes, qui peuvent soulever mon bassin de façon rythmique, cela pendant 10 à 30 secondes (je me suis filmé…).

    Je peux atteindre l’orgasme couché les jambes allongées, sur le côté en chien de fusil, les jambes repliées, mais si je veux aller plus vite et plus fort, deux positions ont ma préférence : sur le dos les jambes repliés vers la poitrine et sur les genoux, le buste touchant mes jambes repliées sous moi. Dans ces deux positions, les contractions sont plus sensibles et faciles, le contact entre les muqueuses est quasi automatique.

    Pour l’instant (cela fait quelques mois seulement que je connais l’orgasme selon cette méthode), le plaisir se concentre d’abord au niveau du bassin et de la partie basse de l’abdomen, ce qui me fait dire que je ne suis pas encore parvenu au Super 0, même s’il m’arrive parfois de me sentir partir, avec une impression de décorporation (les yeux révulsés). Ainsi, je ne connais pas cette remontée de sensations vers le haut, par la colonne vertébrale, évoquée parfois.

    Le sujet sur le Super 0 mérite, je pense, un développement particulier. Il dépasse l’approche technique et touche, me semble-t-il, à l’intime de nos convictions, nos croyances, nos peurs, etc.

    Pour ce qui est de parler ou de partager ce plaisir avec autrui, je confirme que c’est compliqué. J’en ai parlé avec ma femme qui est dubitative ou désorientée. Je dois dire que je ne sais pas trop comment m’y prendre pour lui montrer, car, d’une part, les effets de l’orgasme étant spectaculaires, ils peuvent impressionner, d’autre part, c’est une pratique qui peut lui faire sentir qu’elle est inutile !

    Voilà…

    en réponse à : Tétons et orgasme #21166
    nydor01
    Participant

    Bonjour @NXPL,
    Il y a manifestation une forte corrélation entre les deux.
    Chez moi, il y a vraiment deux phénomènes particuliers, à la fois indépendants et reliés entre eux. Ainsi, j’ai des sensations très fortes aux niveaux des tétons, qui aboutissent à un plaisir que je qualifierais d’orgasmique : successions de tiraillements intenses qui font se rétracter mes mamelons et provoquent de fortes contractions abdominales (je n’ai encore jamais lu de témoignages approchants).
    De même les sensations au niveau des seins réveillent ma prostate jusqu’à provoquer des spasmes de plaisir prostatique.

    en réponse à : Plaisir ou réflexe musculaire ? #21147
    nydor01
    Participant

    Je reviens vers vous pour la suite de mon « cheminement ».
    J’ai fait une nouvelle session avec Aneros il y a une semaine.
    À cette occasion, j’ai utilisé du lubrifiant anal bio de Divinextases.
    Les sensations d’inconfort que je ressentais au début de l’insertion de l’aneros
    ont été moins présentes et ont disparu plus rapidement.
    J’ai eu rapidement des vagues orgasmiques, comme les autres fois, et d’intensité équivalentes. Donc, je ne peux pas dire que j’ai atteint le Super O.
    Je pense que cela tient à la façon d’appréhender les spasmes.
    Je pense que ces spasmes sont un signe rassurant de plaisir orgasmique, mais qu’ils peuvent freiner l’accès au Super 0 dans la mesure où la force des contractions conduit à terme à l’écrasement des sensations. De fait, il me semble qu’il faut parvenir à surfer sur le plaisir en repoussant toujours plus loin la survenue des spasmes, et ainsi augmenter progressivement l’intensité de l’orgasme à venir.
    Autrement, je me donne du plaisir prostatique sans Aneros tous les jours.
    Je commence à penser que je deviens un peu esclave de ce plaisir, qui demande toujours à être renouvelé. J’ai noté que j’avais plus souvent envie d’uriner, et la question que je me pose actuellement est de savoir si une stimulation trop fréquente de la prostate ne peut pas engendrer une prostatite.

    en réponse à : 1er bilan après une dizaine de sessions #21122
    nydor01
    Participant

    @fidelio

    Bonsoir. Je viens de lire votre post et j’ai noté avec grand intérêt le lien que vous faites entre tétons et prostate.
    J’ai écrit un post sur ce sujet, et je me demandais si mon expérience était marginale.
    Les témoignages que j’ai pu lire sur l’orgasme des seins en font une faculté donnée aux femmes. Ils soulignent que les caresses des mamelons éveillent la même zone du cerveau que les stimulations du clitoris et du vagin.
    Mais quid des hommes ? Je n’ai rien lu d’approchant sur le plan scientifique. Pourtant, à titre personnel, la stimulation de mes tétons éveille et mon pénis et ma prostate. De même, il me semble que j’atteins une forme de plaisir localisé au niveau des seins que je rapproche d’une expérience orgasmique.
    Je serais heureux que vous puissiez faire partager votre expérience à ce niveau, c’est-à-dire les sensations que vous avez au niveau des seins, et l’éveil de votre prostate consécutive à la caresse de vos tétons.

    en réponse à : Tétons et orgasme #21114
    nydor01
    Participant

    Depuis mon dernier message, j’ai poursuivi le « travail » de mes tétons, chaque jour.
    J’ai maintenant les mamelons très réactifs et saillants (5 mm de large sur 5 mm de haut, à peu près), de petites boules dures et ultra sensibles qui roulent sous mes doigts. Je n’ai plus besoin d’exercer une action forte dessus. De simples effleurements ou de petites caresses vont provoquer de très agréables sensations. Je ressens une chaleur qui s’étend au sein entier, et qui peut monter jusqu’à mon visage. Et lorsque je ne caresse qu’un téton à la fois, les sensations de l’un se communiquent parfois à l’autre. Jatteinds dorénavant un plaisir particulier. Pour cela, je referme mon index et mon pouce sur le téton, et je presse, mais jamais jusqu’à la douleur. J’exerce des pressions différentes en intensité et localisées en différents points du téton (je tourne un peu autour en fait, ou je vais d’un côté à l’autre), ou bien je presse et je relâche alternativement, ce qui accroît davantage les sensations. De plus en plus souvent, ces pressions aboutissent à une sorte de tiraillement vif et aigu, mais jouissif. Je ne peux pas le comparer à une sensation pénienne ou prostatique. Au début, j’en avais un ou deux à la suite, maintenant, ils se succèdent dans la durée. Ils sont si forts, qu’ils me provoquent des contractions abdominales spontanées. Est-ce cela qu’on appelle un orgasme des seins ?

    Mais, comme je l’ai évoqué dans mon premier message, il y a autre chose. Mes tétons sont maintenant totalement connectés à ma prostate. Dès que j’exerce un frottement rapide sur mes tétons, ma prostate se réveille et se met à pulser toute seule dans mon rectum ! C’est vraiment localisé sur la paroi supérieure, je sens distinctement une suite de pulsations rapides qui provoquent un spasme du bas ventre ! Je ne peux pas dire que la sensation soit distinctement jouissive, simplement mon corps réagit spontanément à cette stimulation des seins.
    Et, sans même me caresser les mamelons, si je le veux, j’atteins ensuite bien plus facilement et rapidement un orgasme de la prostate.

    Je suis vraiment curieux de savoir si quelqu’un connaît des sensations similaires, au niveau des seins et de la relation tétons-prostate.

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