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20 sujets de 41 à 60 (sur un total de 161)
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  • en réponse à : Sexualité transgenre #33484
    SophiAir
    Participant

    Merci @julie armande pour ces précisions.
    Je suis entièrement d’accord avec toi. Il y a une différence entre ce que nous vivons, et qui ou ce que nous sommes.
    La sexualité est une partie de nous-même, mais nous ne nous définissons pas seulement par elle.
    Toujours aussi enrichissant ce forum.
    Bons plaisirs à toutes et tous

    en réponse à : Ca marche ! #33465
    SophiAir
    Participant

    @bzo, je comprends ton envie d’oubli et de retrouvaille.
    Cependant, j’adore, pour ma part, baigner dans une espèce de bain électrique permanent, d’ondes environnantes omniprésentes. Mon travail sur l’indétectabilité, et sur la maîtrise de la “brèche” participent de ma prise de plaisir. Ce morphing permanent homme/femme, femme/homme, cette ambigüité de deux êtres, uniques au fond, mais qui se superposent est jouissive en soi. Je n’ai jamais franchi le pas de me vêtir en femme, mais j’imagine très bien la magnifique sensation que doit être de sentir ses cuisses vêtues de bas, se frotter l’une contre l’autre. Mais bon, j’aurais vraiment l’air ridicule, tellement mon physique n’est pas féminin. Ce serait certainement rédhibitoire de me voir dans un miroir… Mais bon, l’imagination sert à ça également, pallier la réalité, parfois pas très belle !
    Bel orgasme cher @bzo, aujourd’hui ou ce soir ;))

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane V (aneroless, âge d'or) #33464
    SophiAir
    Participant

    Oh oui @bzo, quelle est bonne cette transition, quelle est différente cette façon de vivre le plaisir !
    Et comme tu disais sur le fil d’@envole, c’est fou la communion qu’on peut ressentir avec les autres femmes.
    Dommage qu’elles ne témoignent pas plus sur ce forum. Comparer nos expériences serait tellement enrichissant.

    en réponse à : Sexualité transgenre #33463
    SophiAir
    Participant

    @envole, @bzo
    Merci pour ces retours Naomi et bzo

    L’essentiel est le ressenti de chacun.e, et qu’elle ou il soit à l’aise avec ce qu’il ou elle vit

    je ne sais pas, je ne suis pas sûr, c’est quelque chose qui est là tout le temps en moi,
    j’ai la sensation de porter cette sexualité réinventée en moi constamment
    comme une gestation délicieuse

    elle a de l’influence sur elle par les racines

    Je suis entièrement d’accord avec vos deux posts.
    Après tout, il est vrai que, même si les différents genres sont de plus en plus reconnus (même si pas forcément acceptés), il existe, d’évidence, une palette infinie d’intermédiaires. Et je n’ai jamais aimé être coincé dans une case.
    Le tout est d’accepter ces infinies nuances qui circulent en nous, d’accepter cette multiplicité de la personnalité, de se saisir de cette souplesse, pour mieux profiter des cadeaux que nos corps et nos esprits nous réservent.
    Je vous souhaite à toutes les deux, une belle journée orgasmique

    en réponse à : Ca marche ! #33454
    SophiAir
    Participant

    Eh oui, mieux maîtriser de jour en jour, être capable de provoquer les montées de plaisir n’importe où, n’importe quand, jouer avec les limites, aller toujours plus loin et mieux, savoir tout arrêter, ou bien redescendre juste en dessous du point de non retour, si on n’est pas seul, ou mieux encore dans un lieu public… Hummmm ce plaisir d’être indétectable, de prendre son pied au milieu des autres, de sentir une belle secousse juste en regardant un beau mec dans le métro…

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane V (aneroless, âge d'or) #33451
    SophiAir
    Participant

    Ha ha, tout interrompre pour jouir. Je connais ça ! Le souffle court, les jambes qui se dérobent et le regard perdu au loin, dans l’attente de l’extase qui monte.

    en réponse à : Ca marche ! #33450
    SophiAir
    Participant

    @bzo, c’est exactement cela. Je vis entièrement ces situations. Il est évident qu’elles ne sont pas réelles. Pourtant, je les ai tant intégrées que je n’ai plus besoin de les inventer. Je vis ces pénétrations, je vis la présence et la réaction de mon clitoris, je vis ma vulve humide… Bref, je suis nous deux, naturellement, sans effort.

    en réponse à : Ca marche ! #33447
    SophiAir
    Participant

    Oui @bzo, reprogrammation, ouverture de l’esprit pour l’acceptation de cet(te) autre soi-même. Tout cela est bien sûr intérieur. J’ai un physique très masculin dans la vie réelle. Mais, comme je me transforme quand le plaisir se met en marche. Comme je suis douce, ouverte, chaude et humide, quand mon amant me prend, en douceur ou parfois avec force. Comme je fond lorsqu’il me déguste de sa langue et de ses lêvres, lorsqu’il fait monter l’impatience d’être prise et pénétrée par son membre puissant et soyeux. Quelle force que le fantasme, quelle source de plaisir infinie !

    en réponse à : Le traité d’Aneros, LA voie ou UNE voie ? #33433
    SophiAir
    Participant

    Merci @aneveil, je ne savais pas qu’il existait un concept se rapprochant de notre expérience.
    Comme M. Jourdain, je faisais de la prose sans le savoir…
    En nous m’aime… excellent !

    en réponse à : Waouahhhh, incroyable #33430
    SophiAir
    Participant

    Il es taquin aujourd’hui @aneveil ;))
    Pour revenir à l’addiction, est-ce que c’en est une lorsque l’on est constamment dans le plaisir, les ondes, les vibrations. Pas besoin de trouver un dealer, notre corps est le seul pourvoyeur. Tant que cela ne perturbe pas notre vie sociale, amoureuse, amicale, pas d’addiction à mon avis.
    Par contre, une soif constante toujours apaisée, oui. Le désir et la plaisir en même temps…
    Profiter du moindre moment disponible, hummmm. As-tu déjà essayé de provoquer une petite montée lors d’une réunion de travail, en l’arrêtant juste à temps :)) du bonheur pur !
    Allez, bon courage à tous en cet après-midi ensoleillé… au bureau

    en réponse à : Le traité d’Aneros, LA voie ou UNE voie ? #33429
    SophiAir
    Participant

    Salut @aneveil,
    en fait, quand tu dis :

    ne jamais oublier de s’apprécier, de s’aimer, de se désirer, d’aimer son odeur, son corps, de s’envoyer régulièrement de l’auto-empathie de la douceur, du moelleux, des caresses, sans oublier toutes nos différentes parts qui symbolisent aussi les autres, la différence, le monde, l’univers… :-))
    Cela ne permets pas uniquement de jouir plus vite, plus fort, plus longtemps, cela permets surtout d’être dans la relation à soi, de se sentir heureux et en paix après les séances et c’est ce qui m’a longtemps manqué…

    Il s’agit de s’aimer et de se donner du plaisir, aussi intensément que si on était deux dans un seul corps. Se donner le plaisir que l’on donne à l’autre quand on est dans une relation sexuelle classique. Que ce soit l’esprit qui donne du plaisir au corps ou l’inverse, la dualité, même seul, doit être présente. En tout cas, c’est comme ça que le ressens. Mes orgasmes sont toujours provoqués par l’amant imaginaire de la femme que je suis dans ces moments de plaisir intense.
    Je pense que c’est ce que tu décris dans ce passage :

    En ce moment je laisse venir et vivre les fantasmes les plus inavouables, c’est un moteur très puissant à orgasmes, à condition de s’aimer pleinement, d’aimer toutes les parties de soi (la femme, l’homme, l’homosexuel, l’hermaphrodite…) comme on aime et on apprécie celle ou celui avec qui on fait l’amour…

    Des bises

    en réponse à : Ca marche ! #33428
    SophiAir
    Participant

    Coucou @bzo
    quand tu dis :

    oui je suis toujours étonné après t’avoir lu,
    que tu rappelles à quel point tu restes inerte, immobile, durant tes séances,
    j’imaginerais plutôt que tu rues, que tu sois ardent, irréfrénable

    En fait, je ne suis pas si immobile que ça. Certes, je ne me caresse pas systématiquement, parfois, une main qui vient frôler une pointe de sein. Et puis, il y a des mouvements lents du corps, en liane lascive. J’emprunte tes mots. Tu as si bien décrit cette sensualité des vagues du corps.
    Par contre, sur le ventre, ou en position de levrette j’adore jouer avec mon clitoris. C’est ce que je décrivais lorsque j’écrivais :

    lorsque je suis au lit, je joue souvent avec mon clitoris. Mon pénis se rétracte, et je pénètre cette cavité de deux doigts qui jouent avec mon gland. Si je suis sur le ventre, je sens mes propres testicules contre mes doigts, et la double sensation de jouer avec mon clitoris et de sentir les couilles de mon amant

    Et dans ces moments-là, alors que le plaisir monte, cavale, alors que je stimule mon clitoris/gland, deux doigts dans cette cavité créée par mon pénis complètement rétracté sous la peau de mon pubis, malgré cette excitation de cet organe mâle, mon pénis ne réagit pas. Je l’imagine alors tellement comme mon clitoris, que mon corps le ressent ainsi. Du coup, pas d’érection, mais des ondes et des vibrations intenses. Il y a parfois un écoulement de liquide séminal ou même de sperme, mais sans éjaculation. Je mouille, tout simplement, ce qui intensifie le mouvement et la stimulation.
    Par ailleurs, @bzo, et toute la communauté, on parle souvent DU périnée. Mais j’ai souvent la sensation que ce n’est pas UN muscle, mais un ENSEMBLE de muscles, tellement les contractions internes sont mouvantes. Et quand elles sont volontaires, il m’arrive de contracter plus la zone autour de mon anus, ou celle sous l’os pubien. J’adore également provoquer des mouvements de balancier, de droite à gauche et vice versa, en contractant des zones qui se trouvent plus proches de la pliure entre l’aine et la cuisse. Qu’en pensez-vous ? Ressentez-vous cette multiplicité de muscles ?
    A très vite j’espère. Des bises aux prostatonautes.

    en réponse à : Sexualité transgenre #33424
    SophiAir
    Participant

    Bonjour @envole,
    je suis heureux de tes belles découvertes et du réveil de ta prostate. C’est parti pour tout un nouveau monde à découvrir.
    Je suis tellement d’accord avec toi, lorsque tu dis :

    Et évoluant de plus en plus vers là, il se trouve que s’éveille aussi en moi la sensation dans le tout début de mon pénis, l’endroit où les femmes ont leur clitoris, et là j’ai pleinement pris conscience de mon clitoris, et quand tout est connecté, je ressens en moi la femme astrale que je suis vibrer à l’unisson avec le cosmos…C’est fantastique…
    Mais c’est d’une certaine façon tellement fort et plein que je n’éprouve plus le besoin d’en parler à autrui…C’est devenu comme une hygiène de vie, ma vie sexuelle de femme quoi, c’est quotidiennement extraordinaire, et je vais tellement d’émerveillement en émerveillement chaque jour que je n’ai pas le temps de tenir le fil de toutes ces merveilles…

    J’ai également pleinement conscience du rôle de clitoris que joue mon gland, lorsque mon pénis se rétracte ou pas. Je le ressens et le visualise maintenant, en permanence. Il s’éveille au moindre stimuli, c’est délicieux, sa tête lovée entre mes cuisses et son corps vibrant en moi.
    Et par ailleurs, comme tu le dis, la force et la plénitude de mes expériences, font que je les vis plus que je n’en parle. Désolé pour ce manque de partage. Surtout que je continue à lire les posts de chacun.
    Tu m’inspires beaucoup @envole. Même si nos pratiques sont différentes, parce que je n’utilise quasiment plus d’objet, nos expériences se ressemblent. Tu es trans. Je suis cis, mais tellement femme tout de même.
    Des bises affectueuses
    A bientôt.

    en réponse à : Ca marche ! #33422
    SophiAir
    Participant

    Ah, j’oubliais, le Progasm procure, à mon sens, plus une jouissance anale que prostatique.

    en réponse à : Ca marche ! #33420
    SophiAir
    Participant

    Avec ou sans faute, je suis bien d’accord avec toi @aneveil
    Le fantasme et le cerveau jouent un rôle essentiel dans nos voyages.
    Je lisais ton autre post concernant le Progasm, et je reviens sur mon propre post :

    Avec Aneros, je suis un homme, jouissant de ma prostate par mon anus. Anero-less, je suis une femme jouissant de tout mon corps par mon vagin. Toujours aussi troublant cette différence.

    qui, à mon sens, confirme ce que nous disons du fantasme.
    Etant homosexuel et ayant une sexualité homosexuelle, comportant entre autre la pénétration par mon compagnon, le Progasm a une action beaucoup trop proche de la réalité pour me faire décoller comme l’Anero-less. J’adore mas sexualité avec mon compagnon, mais elle est beaucoup plus basée sur l’échange, le partage avec lui, le don de soi à l’autre, l’abandon même et la volonté de lui donner du plaisir à lui. Et du coup, moins auto-centrée, et moins à l’écoute de mon propre corps que dans mes pratiques prostatiques.
    Ceci dit, le Progasm est un sacré marteau-piqueur !!! qui fait très bien l’affaire 😉
    Bons plaisirs à tous et toutes

    en réponse à : Ca marche ! #33415
    SophiAir
    Participant

    @envole, au fait, quelle était ta question au sujet de @libellule78 ?


    @bzo
    , toujours aussi fougueux ;)) J’adore ton enthousiasme et tes descriptions très… organiques.
    Comme nos pratiques sont différentes, et pourtant quel plaisirs nous en obtenons !!!
    Même si je décris ce qui m’arrive de façon assez rationnelle, tout cela me reste pourtant mystérieux. Ce sexe féminin si réel et présent m’étonne toujours. Lorsque je sens les lèvres de mon amant sucer et pincer gentiment mon clitoris, que je sens sa bouche et sa langue déguster ma vulve et son pénis en écarter les lèvres et avancer en moi, c’est tellement vrai.
    Je ne me touche pas comme toi, je suis presque immobile. En revanche, lorsque je suis dans mon lit, que l’orgasme arrive, je me cambre à en déchirer les draps. Mes seins pointent. Je relâche le plus possible les muscles au cœur de mon bassin, et le plaisir m’envahit et me submerge, se calme et revient, encore plus fort, plus haut. Je suis femme dans ces moments là, sans aucun doute. Mais quels questionnements cela provoque…

    en réponse à : Ca marche ! #33413
    SophiAir
    Participant

    Bonjour @envole,
    toujours un plaisir de te lire, même brièvement.
    J’ai lu ton autre post, où tu décris le “réveil” de ta prostate. je te souhaite beaucoup de plaisirs.
    Je m’aperçois que cela fait bien longtemps que je n’ai rien posté moi-même.
    Je n’ai pas eu de bouleversements majeurs ces derniers temps. J’ai la chance de toujours profiter, de plus en plus, et sans cesse, partout, de cette source inépuisable de plaisir(s), en Aneroless.
    En fait, j’approfondis, si je puis dire, ma pratique : déclenchement à volonté, absence de contraction quand je suis chez moi pour atteindre des niveaux de plaisir énorme (comme expliqué au-dessus), ressenti toujours plus présent et “réel” de mon “clitoris”, de mon “vagin”, de mes “lèvres”, prise de plaisir n’importe où en restant discret… Depuis peu, je développe aussi des mouvements de bassin intérieur. C’est à dire que, sans bouger, le mouvement de mes muscles dans toute la partie basse de mon bassin, simule un mouvement de bassin lors d’une relation sexuelle. Et par ailleurs, j’ai réussi à décorréler ma respiration du rythme de la pénétration de mon amant imaginaire. C’est à dire que je peux le sentir me pénétrer à différents rythmes, rapide ou lent, profond ou léger, en gardant une respiration constante. C’est quand même plus confortable…
    Pas une journée sans orgasmeS. Pas un moment inoccupé. Cette femme en moi m’accompagne constamment, profitant de chaque seconde libre pour s’éveiller, jouir, ressentir un plaisir diffus ou intense selon les circonstances et l’environnement, pas un réveil sans jouissance…
    Ah, j’oubliais, lorsque je suis au lit, je joue souvent avec mon clitoris. Mon pénis se rétracte, et je pénètre cette cavité de deux doigts qui jouent avec mon gland. Si je suis sur le ventre, je sens mes propres testicules contre mes doigts, et la double sensation de jouer avec mon clitoris et de sentir les couilles de mon amant, c’est… whouf en l’écrivant j’en suis émue.
    Je t’embrasse, à bientôt

    en réponse à : Orgasme très fort mais étrange dans son fonctionnement? #33220
    SophiAir
    Participant

    Bonjour @envole, je comprends complètement ce que tu racontes :

    oui je pense qu’on peut utiliser son pénis comme un clitoris s’il n’a pas d’érection. Personnellement je le fais quand le pénis est totalement flaccide, à ce moment il se retourne assez facilement sur lui-même, comme une entrée de vagin, et le gland devient comme le bout du clitoris.

    J’avais également décrit ce phénomène il y a quelques mois. Je ne suis pas trans comme toi et @Kayeiina, pourtant nous pouvons ressentir les mêmes choses. Merveilleux !

    Un petit détail oublié de ma séance avec l’Eupho, à un moment j’ai commencé à titiller le frein de mon gland, façon clitoris, c’était très bon. Mon pénis a commencé à se rétracter, jusqu’à entrer sous ma peau. J’ai presser avec mon majeur, et j’ai eu l’impression de doigter mon vagin. Je massais mon périnée « de l’intérieur ». La stimulation de mon clito et de mon vagin m’a fait grimper aux rideau. A la fin de ma séance, je me suis aperçu que du sperme s’était écoulé sans que je m’en rende compte. Whouf, rien que de le raconter me secoue… Dommage que je n’ai pas le temps d’y retourner.

    Cela faisait bien longtemps que je n’avais rien posté. merci de m’en avoir donné l’occasion.
    Bonnes découvertes à tou(te)s

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #32670
    SophiAir
    Participant

    Bonjour @Epicture, encore un pas, une nouvelle étape. Heureux toi !

    Bien sûr, cela s’est passé en A-less, et m’a pris par surprise.

    c’est ce qui est très excitant. Je peux provoquer ce que tu as vécu, mais j’adore aussi lorsque cela arrive tout seul. Bon, dans le métro, ou au bureau, c’est moins facile à gérer qu’en voiture, seul, et forcément, je suis obligé de canaliser pour ne pas hurler en public. Mais quelle puissance, quel bien-être, lorsque ce flot se déclenche et ne demande qu’à augmenter. Lorsque la prostate se manifeste soudainement, comme par un coup au ventre, et répand un fluide volcanique dans le bassin, puis vers tout le corps.
    Profite bien de ta journée, et des “répliques” de ton explosion de ce matin.

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane V (aneroless, âge d'or) #32650
    SophiAir
    Participant

    une drogue miracle non nocive qui me fait grimper aux rideaux en quelques instants

    Une belle drogue, qu’on peut emmener partout avec nous, qui passe tous les portiques, et tous les chiens renifleurs… Que l’on peut prendre n’importe où, n’importe quand !

    @bzo
    , tu as le chic pour trouver des formules.
    Il y avait un autre point auquel j’avais voulu réagir, c’est lorsque tu parlais d’une nouvelle sensation de déchirure. C’est une sensation que je ressens également. Comme un gouffre dans lequel je tombe inexorablement. les premières fois, on se retient tellement c’est surprenant, voire effrayant. Ensuite, se laisser aller est un pied incomparable.

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