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  • en réponse à : Chroniques prostatiques #31165
    SophiAir
    Participant

    @arousal j’adore ces “répliques” du lendemain. Et A-less en plus. Donc pas besoin de se préparer. Elles arrivent n’importe quand, et surtout elles peuvent arriver n’importe où… Tu vas passer une bonne journée.

    en réponse à : les premiers pas de RedG #31164
    SophiAir
    Participant

    @redwitchone Excellent ! Ca va être de mieux en mieux. Respire, respire, respire et ne résiste pas ! Laisse toi aller le plus possible. Les belles séances que tu vas vivre… Bons voyages

    en réponse à : Sexualité transgenre #31130
    SophiAir
    Participant

    @envole chère Noami, quel plaisir de te lire, et de voir que nous partageons des sensations communes.
    Effectivement, les ondes électriques que je ressens commencent comme je l’ai décrit :

    – la sensation d’avoir deux flux électriques entre d’une part, mon pénis et mes testicules, et mes cuisses d’autre part, un peu dans la pliure entre pubis et cuisses, en gros ;

    , mais ensuite, je ressens ce que tu décris :

    Alors pour ce qui est des flux électriques, je vis la même chose, et maintenant ils vont dans tous les sens, entre mes tétons, mon point G (le P renommé dans mon langage trans), mon clitoris (un point situé vers l’endroit où le clitoris est chez les femmes nées femmes, et qui chez moi est très sensible, à la base de la hampe du pénis), mes grandes lèvres (le scrotum), mon vagin intérieur (oui j’ai dans la tête la prédisposition à avoir un vagin, et je ressens un plaisir intérieur très fort dans les cavités situées derrière les parties génitales masculines)…

    La présence si forte de ce clitoris à la base de la hampe, les lèvres et… le vagin ! Je les sens tellement présents, tellement réels quand mon amant imaginaire me pénètre ou me prodigue un cunnilingus. “Et le plaisir très fort dans les cavités derrière les parties génitales masculines.” : oui, ce plaisir tellement différent de celui que je ressens lorsque mon compagnon me pénètre par l’anus. J’ai clairement la sensation que ce sont deux cavités différentes. Ma relation homosexuelle est très masculine, alors que mes voyages prostatiques sont maintenant complètement féminins.
    Et oui, le plaisir se situe plus haut dans le corps, pour moi, plutôt juste en dessous de la zone du nombril. Je pense que c’est ce que tu décris quand tu dis :

    Il y a aussi un endroit assez fort, c’est le devant de l’abdomen, entre le nombril et le clitoris

    Par contre, je vais tester la zone dont tu parles, au-dessus du nombril, qui si je comprends bien se trouve juste en-dessous du plexus solaire ?

    Je comprends mieux ce que tu veux dire pour les sensations dans le cerveau. Je laisse venir ces étoiles dont tu parles. Et comme je l’expliquais dans l’un de mes posts, cela prend souvent la forme d’étoiles qui fusent (l’image du vaisseau spatial…). Cela donne la sensation à la fois d’être projetée et pulvérisée dans l’espace.

    Encore une fois, mille mercis Naomi pour tes témoignages si enrichissants. La femme que tu es, et la femme en moi m’ont l’air d’être tellement proches dans les sensations qu’elles vivent. Et pour moi, c’est une nouveauté que j’ai bonheur à découvrir de plus en plus profondément.
    Au plaisir toujours renouvelé de te lire

    en réponse à : Sexualité transgenre #31129
    SophiAir
    Participant

    @envole Bonjour Naomi,
    c’est fantastique ce que tu écris. Je n’ai pas le temps tout de suite de développer, mais je reviendrai sur ton post. Tellement proche !
    Merci et à très vite

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #31101
    SophiAir
    Participant

    @bzo c’est toyjours tellement un plaisir de te lire. Toujours en progression et toujours bienveillant.
    Je vais m’atteler à ressentir tout cela en moi et pas comme venant de l’extérieur, même si cet être extérieur est bien dans ma tête et pas réel. Mais je me souviens que lorsque j’utilisais mes mains sur mon pénis, il me semblait qu’en me masturbant, en plus du va et vient, une pression s’exerçait vers l’intérieur. Le début des sensations féminines ?
    A bientôt

    en réponse à : Cinq ans d'érotisation avec l'aneros, mais sans plaisir fort #31099
    SophiAir
    Participant

    @bzo et à tous, il y a plusieurs types de posts, ceux un peu plus techniques, qui vont permettre de comprendre pourquoi on est dans une voie sans issue par exemple, et ceux plus basés sur les sensations, les ressentis. Cette deuxième catégorie peut aider à comprendre ce que l’on ressent, à accepter ces nouvelles sensations, parce que partagées par d’autres, à être rassuré aussi, tellement nos nouvelles expériences sont parfois décoiffantes. Dans nos parcours respectifs, il me semble que tout est bon à lire. Pour ma part, le partage, les comparaisons, les expériences de notre communauté de prostatophiles m’ont permis et me permettent d’avancer et de découvrir toujours un peu plus. Et je ne peux que conseiller de lire un max de posts pour s’en enrichir.
    Bises à tous les contributeurs

    en réponse à : Des conseils svp #31094
    SophiAir
    Participant

    Bonjour @aros,
    comme nous dit @andraneros, les conseils ne sont pas simples à donner, car chaque situation est différente. je te dirige quand même vers mon message #31092, où je répondais à @antoine.
    Ce que je trouve de toute façon encourageant, c’est que tu ressentes ces fourmillements. Tout est déjà en place. Le réveil va s’effectuer, mais peut parfois prendre du temps. A mon avis, il ne faut surtout rien attendre d’une séance. Se laisser porter. S’il ne te gène pas, est-ce que tu as déjà essayé de dormir avec ton Aneros ?
    Tiens-nous au courant de tes avancées
    A bientôt, j’en suis sûr

    en réponse à : Journal d'un Prostatomane IV (masseur, aneroless, etc) #31093
    SophiAir
    Participant

    Hey @bzo, c’est tout simplement génial de découvrir que de nouvelles sensations sont toujours possibles.
    Malgré les étapes déjà franchies, les paliers déjà atteints, on découvre encore et toujours de nouveaux territoires.
    Nos pratiques sont différentes, mais en tout cas font intervenir un homme et une femme. Toi, tu réussis à intégrer les deux, comme une seule et même personne fusionnée, l’être fusionné de l’Antiquité, à la fois homme et femme, et qui fut séparé par Zeus. Alors que moi, l’amant de la femme que je deviens est extérieur, et intervient comme un être extérieur qui me fait l’amour, ou d’autres choses très agréables.
    Je ne suis pas sûr de réussir cette fusion, mais je vais essayer. Ca vaut le coup…
    A te lire bientôt

    en réponse à : Cinq ans d'érotisation avec l'aneros, mais sans plaisir fort #31092
    SophiAir
    Participant

    Salut @antoine,
    Je salue ta persévérance et ta patience. Et je comprends ta soif et ton envie.
    Je ne vais pas apporter beaucoup plus que les excellents posts de @bzo et @andraneros. Simplement, insister sur quelques points :
    – laisser faire, lâcher prise total et laisser venir ; c’est tout un travail de perte de contrôle, qui n’est pas habituel chez l’homme. Mais comme tu es déjà sensible ou sensibilisé au plaisir au féminin, ou en tout cas c’est ce que tu recherches, mon expérience personnelle m’a montré que tout a vraiment décollé et a évolué que lorsque je me suis laissé faire par les sensations que je sentais naître, que j’abandonnais ma volonté habituelle de contrôler et de diriger.
    – soumission : oui, il s’agit là d’une soumission à TON corps, à TES sensations. Il n’y a rien là de la soumission que l’on peut souhaiter ou que l’on peut vivre, ou subir parfois dans un rapport homosexuel (je suis homosexuel, je précise). Je dissocie d’ailleurs pour ma part, les séances avec et sans Aneros, qui n’entrent pas dans la même catégorie. Je me sens beaucoup plus homme pénétré avec Aneros (ce qui est plus proche de ma pratique habituelle avec mon compagnon), et beaucoup plus et délicieusement femme sans Aneros, lorsque je sens mon corps se transformer.
    – si des sensations courtes ou furtives sont déjà là, c’est le plus important. Elles ne demandent qu’à se développer.
    Pourquoi ça ne va pas plus loin ? : Est-ce que tu es dans un environnement favorable ? Je veux dire par là, est-ce que ton environnement te permet un relâchement total. Il y a le stress de la vie courante, certes. Mais si tu ne vis pas seul, est-ce que ta partenaire est au courant, est d’accord avec cette pratique ? Est-ce que tes enfants sont dans les parages pendant tes séances ? Le fait d’être sur ces gardes peut être handicapant pour vivre une belle séance satisfaisante.
    Voilà, j’espère pouvoir contribuer par ces quelques mots à une recherche fructueuse de tes plaisirs. Je te souhaite de bons voyages vers les rives orgasmiques.

    en réponse à : Mon petit journal II (rewired) #31089
    SophiAir
    Participant

    Salut @Jieffe,

    Peut-être vais je parvenir à les maitriser, et à décider de celle qui sera à l’honneur en fonction de mes envies du moment… Peut-être encore de celles qui seront à l’honneur…. Je ne sais pas.
    Quoi qu’il en soit, je trouve ce cheminement très intéressant par cette richesse, et puis quelque part, c’est peut-être aussi bien que je ne maitrise pas cette partie. Nous sommes dans le domaine des ressentis, dans le domaine animal aussi quelque part.

    Bien d’accord. On n’est pas obligé de maîtriser. A mon avis, bien au contraire. Se laisser aller aux vagues de plaisirs. A la limite, provoquer de nouvelles sensations par l’imagination. Mais quel bonheur de se laisser aller, de lâcher prise et de s’abandonner.
    Quel plaisir aussi de lire tes progressions et de te voir t’épanouir dans la jouissance de nos nouvelles pratiques.
    Bonne continuation et au plaisir de te lire

    en réponse à : Ca marche ! #31088
    SophiAir
    Participant

    Bonjour à tout(e)s et tous,

    @bzo
    a bien raison quand il dit :

    tout est possible, c’est une question de reprogrammation, de redirection,
    toutes les sensations, tous les plaisirs, nous sont communs,
    il suffit d’aller les chercher en nous,
    là où elles sont enfouies, et les rediriger vers nos organes

    Partant de ce principe que je pratique constamment, j’ai testé quelque chose de nouveau.
    A la base, je suis fan des anulingus que mon compagnon me prodigue. Ca me met en ébullition pour des ébats plus “profonds”. Du coup, je me suis dit que la femme en moi pourrait certainement apprécier un cunnilingus…
    Et bien oui, elle apprécie beaucoup. J’ai donc gentiment dirigé le visage de mon amant imaginaire entre mes jambes. Et là, sa bouche, ses lèvres et sa langue ont pratiqué une dégustation en règle de ma vulve. D’abord un souffle chaud, puis des baisers légers, et enfin la langue qui vient écarter mes lèvres, lécher et pénétrer légèrement mon vagin. Ses lèvres qui pincent mon clitoris, et sa langue qui l’entoure par des tours et détours… Un cunnilingus en règle qui m’a fait vivre des vagues de plaisirs tout en douceur. Sans être pénétré(e), tout en surface. Mes muscles et ma prostate ont réagi de façon bien différente que lorsque je m’imagine pénétré(e). La force incroyable de l’auto-suggestion et de l’imagination !
    Dans des posts précédents, j’avais parlé de mon travail sur “l’indétectabilité”. Du coup, ce plaisir plus léger, en surface, même si très puissant, est encore plus facilement praticable partout.
    Bonne recherche à tout(e)s et tous, et bons plaisirs

    en réponse à : Sexualité transgenre #31086
    SophiAir
    Participant

    Bonjour @Envole, toujours aussi appréciables tes posts.
    Appréciables pour leurs contenus, mais aussi par leur provenance. Tu es la seule à vivre femme, à être femme. Et je me dis que tu es certainement celle qui peut le mieux comprendre ce plaisir au féminin que nous sommes quelques uns à vivre, à ressentir et qui cherchent à le développer.

    Je te rejoins complètement sur la force de l’imagination et du cerveau.
    Je teste de nouvelles choses, petit à petit, et notamment sur mon plaisir féminin, qui forcément ne peut être provoqué que par mes auto-suggestions…
    Mais autant le plaisir se répand dans tout mon corps, y compris jusqu’au cerveau, autant je suis bien incapable d’isoler la partie de mon cerveau impactée. Il faudra donc que je teste ton conseil.
    J’ai beaucoup apprécier également ton post sur les tétons. Depuis, je les masse, les pince, les fait se dresser, réveille leur sensibilité, dès que j’en ai l’occasion, en dehors de mes sessions. Car, de mon côté, j’utilise très rarement mes mains lors de ces sessions. En revanche, il y a beaucoup de sensations et de plaisirs qui passent par là. J’ai notamment souvent l’impression, lors de phases orgasmiques, que du feu liquide est projeté par mes tétons. C’est très puissant.
    Au plaisir de lire bientôt tes avis et conseils si précieux

    en réponse à : Ca marche ! #31071
    SophiAir
    Participant

    Salut @bzo, oui heureusement que je ne travaille pas aujourd’hui… C’est très agréable, mais je me concentre pour me contrôler.
    Un petit détail oublié de ma séance avec l’Eupho, à un moment j’ai commencé à titiller le frein de mon gland, façon clitoris, c’était très bon. Mon pénis a commencé à se rétracter, jusqu’à entrer sous ma peau. J’ai presser avec mon majeur, et j’ai eu l’impression de doigter mon vagin. Je massais mon périnée “de l’intérieur”. La stimulation de mon clito et de mon vagin m’a fait grimper aux rideau. A la fin de ma séance, je me suis aperçu que du sperme s’était écoulé sans que je m’en rende compte. Whouf, rien que de le raconter me secoue… Dommage que je n’ai pas le temps d’y retourner.

    en réponse à : Ca marche ! #31069
    SophiAir
    Participant

    Aujourd’hui, après 1/2 h d’A-less décoiffante, une petite envie de reprendre mon fidèle Eupho. Déjà bien chaud(e), j’ai réagi au quart de tour. Et j’ai allié mes sensations A-less de mon petit vagin de femme et mes sensations Eupho d’anus d’homme pénétré. Bon, 2 h après, je ne m’en remets pas. Les contractions de mon abdomen n’arrêtent pas. J’ai du mal à me concentrer sur une conversation, et des vagues de chaleur circulent dans et sur tout mon corps, au moment où je vous écrit. A refaire donc ! Bises à tous

    en réponse à : Mon bonhomme de chemin #31066
    SophiAir
    Participant

    Salut @Epicture,
    Nos pratiques sont bien différentes. Mais quand tu parles de sensation permanente d’avoir le feu en toi, et de ressentir chaque fibre de ton corps, là on se rejoint. Provoquer à chaque moment des vagues de plaisir et des montées orgasmiques, les stopper (quand je suis en public par exemple) et recommencer encore et encore. Hummmm quel bonheur ! J’ai hâte de lire tes prochains voyages.

    en réponse à : Ca marche ! #31044
    SophiAir
    Participant

    Merci merci @bzo pour ton message. Merci de cette connexion qui nous est commune, connexion avec le monde et l’univers. Se sentir autant ouvert(e) et offert(e) a quelque chose d’universel effectivement. On est au-delà de l’orgasme physique. C’est merveilleux. Et cette communauté de changement, d’évolution, de renaissance au féminin est tellement émouvante. J’aimerais tant que nous soyons plus nombreux(ses) à partager cet état physique et psychique. Je t’embrasse @bzo et je partage notre enthousiasme et notre joie avec toute notre communauté prostatophile.

    en réponse à : Ca marche ! #31038
    SophiAir
    Participant

    Bonjour à tous les prostatophiles,
    un petit point sur mes avancées constantes en A-less.
    Depuis quelques jours, j’ai vraiment l’impression d’avoir trouvé le bouton on/off. A peine installé, je peux déclencher le début du processus. Et le démarrage est beaucoup plus fort. Il n’y a plus les prémices de fourmillements ou de flux qui se dispersent lentement. Aujourd’hui, dès que je commence, c’est comme une implosion dans le bas de l’abdomen, la sensation du dos d’âne ou du manège, mais en beaucoup plus puissant et soudain. Je tombe en moi. Puis, la respiration et mon imagination gèrent la session.
    Le gland du pénis de mon amant imaginaire vient se placer au contact des lèvres de mon vagin. Celui-ci s’humidifie et s’ouvre lentement sur ce gland lisse et chaud. Mes lèvres l’enveloppent. Il s’introduit en moi, lentement. Le pénis est large et écarte mon vagin au fur et à mesure qu’il le pénètre. Simultanément, un bien être se diffuse et enveloppe mon corps, le bien être “velouteux” de bzo (merci bzo pour ce néologisme parfait). Velouteux mais puissant ! Je me sens envahi(e), de plus en plus ouvert(e) et bouleversé(e) de plaisirs.
    Jusqu’à il y a peu, à ce stade, ma respiration accélérait et donnait le rythme de la pénétration de mon être, de plus en plus rapide, et de plus en plus forte et profonde. Lorsque j’y pense aujourd’hui, même si je devenais femme, même si je ressentais de multiples vagues de plaisirs durant ces sessions, celles-ci se déroulaient en fait au masculin. Je veux dire que, certes il y avait des vagues multiples, des aller-retours de plaisir, mais les sessions pointaient toujours vers un but ultime de jouissance.
    Depuis quelques jours, je maîtrise de mieux en mieux ma respiration. Je garde le contrôle du rythme de mon amant imaginaire. Et Dieu que c’est puissant ! Le plaisir se répand, presque palpable, solide. Je vais utiliser des images, peut-être un peu lieu commun, mais je ne sais comment faire autrement :
    Implosion et pulvérisation de mon être, lave se déversant dans mes veines, explosions d’étoiles dans les yeux (l’image du vaisseau spatial passant à la vitesse lumière dans Star Wars), lévitation, perte de soi…
    Et ces diverses sensations se succèdent, recommencent, tournent autour de moi et foncent en moi. Ce n’est plus des vagues de plaisirs, mais des vagues d’orgasmes.
    Malgré l’énergie que ces sessions dégagent et que j’emmagasine, il arrive un moment où je suis épuisé(e), rompu(e), écartelé(e). Je redescends en reprenant une respiration moins profonde. Mon corps s’étire, les sensations reviennent au stade bien être, volupté, douceur, caresses sur ma peau électrique, un bonheur ineffable, avant de plonger dans le sommeil. Les réveils sont ensuite plus doux, et des “répliques” se font sentir pendant plusieurs heures.
    Cela fait maintenant plusieurs sessions où je n’ai plus ce réflexe de caresses puissantes sur mon périnée, plus d’éjaculation. J’ai vraiment l’impression d’avoir passé une nouvelle étape.
    Et à côté de cela, je continue mon travail d'”indétectabilité” pour profiter des sensations de début de session dès que j’ai 30 secondes, à l’extérieur. Très agréable et très satisfaisant. Des minutes d’évasion et d’école buissonnière au milieu de la foule morne…
    J’aimerais tellement que tous les hommes connaissent les bienfaits que peut nous prodiguer notre prostate. Au delà de la partie plaisir, je sens que cela change également mon état d’esprit. En tant qu’homme, j’ai été élevé pour toujours tendre vers un but, un objectif, tout mettre en œuvre pour arriver à atteindre quelque chose. Attitude éjaculatoire. Aujourd’hui, je ressens le besoin de profiter du chemin, de faire des tours et des détours pour tout explorer. Le but reste en tête, mais n’est plus l’objectif. C’est encore un peu vague, mais bien présent.
    A bientôt et au plaisir de vous lire

    en réponse à : les premiers pas de RedG #31010
    SophiAir
    Participant

    Excellent RedG ! Sentir qu’il va se passer qq chose est un très bon premier pas. Tu commences à entendre ce que ton corps ressent et te dit. Reste patient, continue à agir sur ta respiration et la détente. La lumière au bout du tunnel approche ! Bon voyage

    en réponse à : Ca marche ! #30955
    SophiAir
    Participant

    Bonjour à tous,
    ça fait un petit bout de temps que je commente sur d’autres forums, et je m’aperçois que je n’ai pas décrit mes dernières évolutions.
    J’ai retenté quelques séances avec Aneros, qui ont été agréables, mais pas aussi forte que celles aneroless.
    Je travaille beaucoup sur mes sensations féminines, sur ce vagin imaginaire et pourtant tellement présent.
    J’avais posé une question :

    Une petite question concernant ces sessions féminines, il y a toujours deux phénomènes liés :
    – la sensation d’avoir deux flux électriques entre d’une part, mon pénis et mes testicules, et mes cuisses d’autre part, un peu dans la pliure entre pubis et cuisses, en gros ;
    – la sensation d’avoir (j’ai un peu de mal à les situer) des muscles de chaque côté de mon pubis, près de mon bassin, qui m’ouvrent…

    mais malheureusement je n’ai pas eu de retour. Peut-être que personne ne ressent la même chose ?
    En tout cas, histoire de profiter de mes belles sensations le plus possible, je travaille en ce moment à être “indétectable”. Je m’explique : je profite aujourd’hui du moindre petit moment pour me laisser envahir, au bureau, dans le métro, debout à un arrêt de bus… sauf que je ne peux pas me lâcher comme à la maison. J’essaye donc de réguler ma respiration, de maîtriser les vibrations de mon corps, de garder un visage impassible et surtout de ne pas gémir quand je me sens pénétré(e) !
    C’est sûr que je n’atteins pas un degrés de jouissance paroxystique. Mais c’est quand même très, très bon. Et surtout inépuisable.
    Voilà !
    Au plaisir de vous lire. Des bises.

    en réponse à : 4 mois de cheminement #30954
    SophiAir
    Participant

    Je suis heureux pour toi, @genesis.
    Tu abordes les rivages de ta féminité. Ta description de la pénétration de ton fourreau est incroyablement proche de ce que je vis. Sentir ce pénis, vivant, chaud, bougeant au rythme de ma respiration, mu par mon cerveau, pénétrant ce vagin imaginaire, est quelque chose d’exceptionnel.
    J’ai hâte de lire tes prochaines expériences.
    Bons voyages

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