Toutes mes réponses sur les forums

20 sujets de 141 à 160 (sur un total de 161)
  • Auteur
    Articles
  • en réponse à : les premiers pas de RedG #30937
    SophiAir
    Participant

    Salut RedG,
    Au début, il m’arrivait de regarder des vidéos. Mais c’était toujours avant mes sessions, et jamais pendant. Mais, j’ai vite arrêté, car ça avait tendance à m’empêcher de me concentrer sur mes vraies sensations, ce que je ressentais vraiment.
    Pour la position, la plupart du temps je suis allongé sur le côté, légèrement chien de fusil. Mais bon, nous ne sommes pas tous faits pareil, et là encore, essaye plusieurs positions pour trouver celle qui te convient le mieux.
    Le plus important vraiment est de te détendre et de ne rien attendre. Laisse ton corps se découvrir. Petit à petit, il t’enverra des messages, des signaux. Ecoute les, ressens les, mais ne cherche pas à les provoquer. Si tu as commencé la méditation, tu sais combien la respiration est importante. Laisse ta respiration te guider. Et comme pour la méditation, ne cherche pas le résultat, mais le cheminement.
    Courage et patience. Bises

    en réponse à : Mon petit journal II (rewired) #30925
    SophiAir
    Participant

    C’est génial Jieffe ! Oh oui comme c’est bon ces moments de jouissance orgasmique.
    Je vois bien ce que tu veux dire quand tu racontes :

    Et puis dans ces moments là, j’ai l’impression de basculer légèrement en arrière, comme lorsque l’on fait la planche dans l’eau, et aussi que mon corps se soulève. J’ai l’impression que je vais rentrer en lévitation

    Et quand tu dis :

    que ma gorge est toujours serrée, comprimée par ce trop plein de plaisir qui ne peut passer au travers…

    je travaille à éviter cette étape, en m’efforçant de respirer toujours profondément et le plus calmement possible (enfin quand c’est possible justement !)

    Profite bien Jieffe de ces moments de jouissance. A très vite

    en réponse à : les premiers pas de RedG #30924
    SophiAir
    Participant

    Bienvenue RedG dans un nouveau monde de plaisirs !!
    Alors, pour le choix du stimulateur, perso j’ai essayé trois produits Aneros : Helix, Eupho et Progasm. Les trois en modèle basique, en plastique blanc. Je trouve ça plus lisse que les modèles en silicone.
    J’ai débuté avec l’Helix, qui m’a fait “re”connaître mon corps, j’ai continué et eu mes premiers vrais orgasmes avec l’Eupho, et j’ai essayé le Progasm, mais pour l’instant il est beaucoup moins efficace avec moi.
    Enfin, le meilleur stimulateur, de toute façon, se trouve dans ta tête. Les Aneros vont t’aider à découvrir ton corps (si, si, même à 50 ans, on découvre encore ;)), ou des parties de ton corps, ta prostate notamment. Mais ensuite ou simultanément, il te faudra surtout être dans un état d’esprit de disponibilité à la perception des sensations, et d’acceptation de nouveaux plaisirs, d’acceptation d’ouverture de ton corps.
    Bien d’accord avec Jieffe lorsqu’il dit d’aborder tes séances comme des séances de détente, de relaxation, de bien-être. Ne cherche surtout pas à provoquer ou à sentir à tout prix du plaisir et encore moins un orgasme. Surtout que cet orgasme, tu verras, n’a rien à voir avec l’orgasme habituel masculin, comme l’explique Bzo.
    “Ecoute” ou ressens ton corps, respire (super important la respiration), entre en toi, et laisse venir. Surtout laisse venir.
    Voilà, bon cheminement, et bonne éclate.
    A bientôt pour nous livrer tes expériences

    en réponse à : Waouahhhh, incroyable #30625
    SophiAir
    Participant

    Oh oui, le matin au réveil !!! j’adore. Etat de relaxation maximal, et le corps qui se fait plaisir pour bien commencer la journée. Pour peu que mon ami vienne se coller à moi, et là c’est l’extase…

    en réponse à : Mon petit journal II (rewired) #30622
    SophiAir
    Participant

    Salut Jieffe,
    Andraneros disait dans un de ses posts, que l’organe sexuel le plus important est le cerveau. On dirait bien que ton expérience le prouve. La nouvelle configuration chez toi t’empêche manifestement de te libérer l’esprit pour profiter à fond de tes séances.
    Ca m’est arrivé également un jour où j’étais préoccupé par un problème perso. Du coup, j’ai arrêté, un peu déçu. J’ai préféré ne pas insister ce jour-là.
    Patience, patience…

    en réponse à : C'est quoi un orgasme prostatique ? #30576
    SophiAir
    Participant

    Bonjour Epicurien,
    décrire ce que l’on ressent lors d’un orgasme est souvent évoqué au fil des posts de chacun. je vais cependant essayer de te décrire mes expériences.
    Je suis relativement nouveau dans l’orgasme prostatique. Mais, j’ai vécu des évolutions très rapides et surtout, j’ai vu l’apparition de deux types de plaisirs : avec et sans Aneros.
    Avec Aneros (Helyx ou Eupho) : dans les 5mn après introduction, parfois moins, l’aneros commence sa danse, et vient titiller ma prostate.
    Apparaissent alors des fourmillements très localisés (prostate), qui ensuite se diffusent à partir de la prostate de façon horizontale sur toute la largeur du bassin. Des spasmes internes, mais pas violents, sont présents constamment et correspondent avec les mouvements de l’Aneros.
    Parallèlement aux fourmillements ci-dessus, existent également des fourmillements dans la région du périnée et sur le scrotum.
    Des vagues de chaleurs circulent dans toute la zone, le long des cuisses, dans l’abdomen, dans les reins.
    Je ne suis plus sujet aux tremblements que tu décris (normalement, à quelques exceptions près, voir mes posts “Ca marche !). Ils ne sont apparus qu’au tout début de mon expérience. Et depuis leur disparition, j’ai pu mon concentrer beaucoup plus sur mes sensations internes. Ce qui a facilité mon chemin vers l’orgasme.
    Les phénomènes de fourmillements et de chaleur s’intensifient, circulent de plus en plus vite, je me sens sortir de mon corps, et des énergies, je ne sais pas comment les qualifier autrement, explosent dans mon ventre, dans la tête (derrière les yeux plus exactement).
    J’ai tendance à me cambrer fortement. Ma respiration s’accélère.
    Ce n’est pas un phénomène à sens unique. L’intensité monte et descend. Ce qui est étonnant, c’est que le phénomène se répète. Les séances peuvent durer plusieurs heures (de 1 à 3h).
    La séance s’arrête, soit parce que je suis épuisé, on peut le comprendre. Soit parce que j’ai une éjaculation.
    Deux raisons à l’éjaculation (à chaque fois mon pénis reste flaccide) :
    – des orgasmes basés plus sur le plaisir anal, ce qui me rapproche fortement de ma pratique homosexuelle ;
    – une envie irrépressible de masturber mon périnée. Sans volonté de ma part, ma main droite vient se plaquer sur mon pubis (écrasant au passage mon pénis et un ou les deux testicules), et le bout de mon majeur vient frénétiquement masturber mon périnée, façon marteau-piqueur, mais avec une pression plutôt légère. Cela crée un orgasme dû à la prostate je pense, mais l’éjaculation stoppe le processus.
    Les séances se terminant par une éjaculation, même si elles sont plaisantes, ne sont pas les meilleures.
    Voir https://www.nouveauxplaisirs.fr/forums/topic/ca-marche/#post-29839

    Sans Aneros : on arrive là dans un tout autre domaine. Autant l’Aneros a une fonction mécanique, et provoque des réactions (même si le cerveau est mis à contribution), autant l’orgasme sans Aneros, est le fruit de notre organe sexuel le plus gros : le cerveau (merci Andraneros ;)).
    En fait, l’Aneros a réveillé la zone, et m’a fait prendre conscience de cette source de plaisir qu’est la prostate. Et à partir de ce moment, je n’ai cessé d’évoluer vers l’orgasme prostatique sans Aneros.
    A ce jour (tout peut encore changer et évoluer), dès que j’ai un moment, assis ou allongé, je détends mon corps, je pose ma respiration, et tout de suite je ressens :
    – des sensations (difficile à décrire), un peu comme des fourmillements de part et d’autre de mon pubis (du bas de l’abdomen jusqu’au périnée, comme un triangle sans base, pointe vers la bas), à peu près au niveau de la pliure entre pubis et cuisses, comme si ça entourait verticalement mon pénis et mon scrotum ;
    – une sensation d’ouverture qui se situe derrière mon pubis, comme si des muscles qui seraient situés de chaque côté de l’intérieur de mon bassin, à l’horizontale du pubis, écartaient cette zone.
    Ces deux sensations sont déjà très agréables et je peux les provoquer un peu n’importe où et n’importe quand, et m’arrêter à ce stade. Mais si je peux continuer, elles me préparent en fait à la suite.
    Cette prochaine étape va peut-être te paraître ésotérique, mais c’est pourtant ce que je ressens.
    Après l’apparition de ces deux sensations, je sens clairement un sillon se former à peu près au niveau de mon périnée, et un vagin se creuser en moi. Je le sens grandir de mon petit sillon, jusqu’à ma prostate à peu près. Ma respiration s’accélère. Mes cuisses ont tendance à se resserrer et/ou à se croiser. De fortes vagues de chaleur, se diffusent de mon vagin vers l’intérieur de mes cuisses, vers mon abdomen et mon torse, montent jusqu’à mes épaules pour redescendre sur le haut de mes bras. La chaleur s’accumule également sous le haut de mon crâne, même si je n’ai pas chaud au visage. De fortes vagues de plaisir partent également de mon vagin vers mon abdomen, mon thorax, montent à la tête.
    Ma respiration continue à accélérer (à moins que je la contrôle pour calmer les choses), et une sensation de pénétration de mon vagin commence. Cette pénétration se cale sur le rythme de ma respiration. Je sens clairement le gland écarter mes lèvres, puis pénétrer millimètre par millimètre mon vagin jusqu’à entrer entièrement en moi. Ma respiration provoque ensuite les va-et-vient de ce pénis.
    A ce stade, soit je suis dans un lieu public (métro, bureau, parc…) et je stabilise le phénomène. Soit je suis chez moi, et je respire alors par la bouche, je gémis et les choses m’échappent. Si je suis allongé, mon corps entre en vibration, et j’aurais beaucoup de mal à te décrire ce qui se passe ensuite. C’est un peu comme une série d’explosion de lumières derrière les yeux, de vagues de plaisirs énormes qui me submergent. J’aime bien l’image des vagues, parce que c’est vraiment la sensation que le plaisir arrive, recouvre tout, se retire lentement, et revient encore plus fort pour de nouveau tout submerger.
    La suite, je ne sais pas… Ces séances quand je suis allongé(e) dans mon lit peuvent durer également plusieurs heures, comme avec Aneros. Mais je crois que je ne suis pas toujours conscient en fait, parce que j’ai l’impression parfois que ça ne dure que quelques minutes.
    Ma pratique sans Aneros est beaucoup plus puissante et troublante, car elle a fait naître une femme en moi. Et tu peux me croire que je suis vraiment un homme pourtant. Et mon homosexualité n’a rien à voir avec ça. Car ma sexualité avec mon ami est très masculine. Ce n’est pas une sensation de dédoublement. Est-ce que tu connais le morphing, quand une image en remplace insensiblement une autre. Et bien ce serait plutôt ce phénomène. Une femme se substitue à un homme et s’épanouit dans un plaisir incontrôlable.
    J’espère que j’aurai été assez clair, et surtout que le croisement de mes expériences avec d’autres témoignages te permettront d’avance sur ton chemin.
    Bonne route vers l’orgasme, Epicurien

    en réponse à : Je recule #30575
    SophiAir
    Participant

    Bonjour Helixir,
    surtout pas de découragement. Laisse venir. Je suis d’accord avec bzo lorsqu’il dit :

    puis un jour tu es dans de meilleurs dispositions intérieures,
    sans même t’en rendre compte, tu t’ouvres, tu te laisses aller,
    tu te laisses emporter,

    Essaye de ne plus diriger tes séances. Essaye surtout de t’ouvrir, de t’abandonner. Ca demande une bonne dose d’oubli de notre condition masculine, mais à mon sens, c’est la clef.
    As-tu essayé un jour de t’endormir avec un Aneros introduit dans ton anus ? Je ne crois pas l’avoir lu dans ton fil. Tu te prépares comme si tu allais faire une nuit classique, surtout pas pour une séance, et tu laisses les choses faire.

    Bon courage, et comme disait l’autre : « Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage »

    en réponse à : Ca marche ! #30571
    SophiAir
    Participant

    C’est vraiment le fait d’avoir un Aneros dans l’anus qui me fait vivre mon plaisir comme un homme. Et je prends beaucoup de plaisir avec mon anus quand mon ami me fait l’amour et me pénètre. Et ces deux types de plaisirs, même si différents, se rejoignent par leur localisation.

    Bzo, en fait c’est surtout les phrases au-dessus qui étaient importantes dans mon post. Pour moi, la pénétration anale est une pratique masculine que je pratique avec mon compagnon. Par ailleurs, j’ai un Progasm, avec deux butées.
    D’où la différenciation avec mon plaisir féminin qui est beaucoup plus cérébral, puisque mon vagin n’existe pas physiologiquement parlant. Et c’est ce qui était très troublant dans la dernière séance que je décrivais

    Et c’est là que je reviens au début de notre discussion, car pour la première fois, j’ai eu deux gammes de plaisirs simultanément. Celui procuré par les Aneros, très masculin pour moi, avec les mouvements de l’Eupho, les stimulations diverses et variées, les spasmes intérieurs et les fortes vibrations extérieures, et celui très féminin, où je sens clairement mon vagin s’ouvrir à l’invasion d’un beau braquemard, où je sens un épanouissement invasif de ma jouissance.

    Mais comme tu dis, moi aussi, je me sens tellement mieux sans, et tellement plus pénétré profondément.
    A très bientôt

    en réponse à : Ca marche ! #30564
    SophiAir
    Participant

    Bonjour Andraneros, merci de ton message. je suis complètement d’accord. Le principal organe sexuel est certainement le cerveau, encore plus lorsque je me sens femme et sans Aneros.
    Avec un Aneros, il y a une partie mécanique avec les contractions et les différents contacts (anus, rectum, prostate…) qui, comme je le disais, me rapproche de mon plaisir en tant qu’homme avec mon compagnon lors de pénétrations.
    Sans Aneros, la sensation de sentir mon vagin se creuser, de sentir un pénis me pénétrer, sont clairement des “vues de l’esprit”.
    Une petite question concernant ces sessions féminines, il y a toujours deux phénomènes liés :
    – la sensation d’avoir deux flux électriques entre d’une part, mon pénis et mes testicules, et mes cuisses d’autre part, un peu dans la pliure entre pubis et cuisses, en gros ;
    – la sensation d’avoir (j’ai un peu de mal à les situer) des muscles de chaque côté de mon pubis, près de mon bassin, qui m’ouvrent…
    Les deux sensations sont simultanées. Et sont principalement à la base de mes orgasmes féminins.
    As-tu connaissance de quelque chose à ce sujet ?
    Encore merci pour ta lecture si attentive.
    A bientôt

    en réponse à : Ca marche ! #30538
    SophiAir
    Participant

    Salut bzo, et à toute la communauté,
    en fait ce n’est pas une question de taille. C’est vraiment le fait d’avoir un Aneros dans l’anus qui me fait vivre mon plaisir comme un homme. Et je prends beaucoup de plaisir avec mon anus quand mon ami me fait l’amour et me pénètre. Et ces deux types de plaisirs, même si différents, se rejoignent par leur localisation.
    Je ne sais pas si c’est le fruit de notre discussion, mais je vais te raconter ce qui m’est arrivé ce matin.
    Après une nuit agitée, où mon sommeil était entrecoupé de micro-réveils pleins de lascivité, de désir et de plaisirs, la chaleur à l’intérieur des cuisses, les mouvements de “liane” du corps, et de belles sensations de pénétrations par un gros pénis de ma petite chatte, je me réveille à 7 h. Petit déj, toujours à me tortiller sur ma chaise, avec un désir ondulant sur mon corps. Je me maîtrise, termine mon repas. Direction salle de bain, et là nu(e) devant la glace, je cache mes testicules et pénis entre mes cuisses, et un joli petit sillon se forme en bas de mon ventre.
    Je n’y tiens plus. Tant pis si je suis en retard, j’attrape mon Eupho, à peine le temps de le lubrifier et il se retrouve bien au chaud.
    Et c’est là que je reviens au début de notre discussion, car pour la première fois, j’ai eu deux gammes de plaisirs simultanément. Celui procuré par les Aneros, très masculin pour moi, avec les mouvements de l’Eupho, les stimulations diverses et variées, les spasmes intérieurs et les fortes vibrations extérieures, et celui très féminin, où je sens clairement mon vagin s’ouvrir à l’invasion d’un beau braquemard, où je sens un épanouissement invasif de ma jouissance. Ach, c’est vraiment difficile de décrire ces deux sources de plaisir tellement différentes pour moi.
    Toujours est-il que l’Aneros faisant son effet, j’ai réitéré une pratique pour la deuxième fois : ma main droite est venu s’écraser sur mon pubis, et mon majeur a masturbé mon périnée d’un geste hyper rapide, genre marteau-piqueur, mais avec une pression très légère. Et mon sperme s’est écoulé, sans que je bande. Et ça, c’est un truc qui m’arrive quand je me fais prendre, mais sans que j’ai besoin de me masturber. C’est dans ce sens que c’est très masculin.
    Mon plaisir féminin a bien entendu, été stoppé net.
    Cependant, sous la douche, et ensuite dans le métro, quelle merveille d’être envahi(e) de vagues de chaleur, les tétons pointant sous ma chemise. Je me trouvais très désirable. Et je n’étais pas le seul, car il y a eu quelques petits rapprochements insistants de voyageurs, ce qui ne m’arrive pas si souvent. Est-ce que l’on dégagerait des phéromones dans ces moments-là ???
    Bises à tous, et prenez un max de plaisir

    en réponse à : Waouahhhh, incroyable #30537
    SophiAir
    Participant

    Questions pour les plus anciens : peux-t-on devenir accroc de l’aneros ? comment appelle-t-on un drogué à l’aneros ?

    Je rejoins bzo (salut bzo). Pas d’addiction pour moi. Juste une omniprésence de mon corps désir, des vibrations, des ondes, des vagues de chaleur.
    Mais pour moi l’addiction est une maladie qui laisse sans volonté, victime, d’un produit, d’un comportement.
    Ici, j’ai toute ma volonté de profiter de toutes les occasions possibles.
    Par ailleurs, le plaisir que nous prenons, que nous vivons, est à mon sens extrêmement positif, en ce sens qu’il est un grand pourvoyeur d’énergie et de sensations positives. Plus prosaïquement, ça me donne une pêche d’enfer.
    Continue sur ton chemin sans t’inquiéter d’une éventuelle addiction. Tout va bien se passer 😉

    en réponse à : Waouahhhh, incroyable #30529
    SophiAir
    Participant

    Ah bienvenu au club Epicurien. A 52 ans, je vis mon homosexualité avec mon compagnon depuis deux ans.
    Bonheur de l’épanouissement personnel, ou plutôt de sa personne, la découverte des plaisirs multiples et variés.

    en réponse à : L'extase orgasmique profonde de l'homme essentiellement féminine ? #30528
    SophiAir
    Participant

    Je suis bien d’accord Naomi. Nos échanges sont une richesse partagée. Un bel espace de liberté. Continuons tous à écrire en espérant d’être lus par le plus grand nombre, et surtout les débutants.
    Bon plaisir à toutes et tous

    en réponse à : L'extase orgasmique profonde de l'homme essentiellement féminine ? #30509
    SophiAir
    Participant

    Merci beaucoup Andraneros pour ton écoute, et d’avoir remonté ces sujets sur le fait de se sentir femme durant les voyages orgasmiques.
    Merci également à Envole pour la finesse des ses analyses.
    Cela m’aide à m’ouvrir encore plus et à ressentir encore plus profondément.

    en réponse à : Ca marche ! #30501
    SophiAir
    Participant

    Tu as raison bzo. Simplement, c’est tellement nouveau et fort, que cela reste très troublant.
    Peut-être est-ce lié, ce matin, je retente mon helix, et il y a bien une différence. Avec un Aneros dans l’anus, je ne me sens pas femme. Plus proche de l’homme se faisant pénétré. D’ailleurs, ce matin, jouissance très différente, car la séance, après de nombreux tremblements et spasmes, s’est terminée par un spasme énorme, tétanisant, cambré complétement en arrière, jambes tendues, et une éjaculation, alors que je ne bandais pas. Très fort ! Mais moins épanouissant que mes orgasmes de femme.
    Du coup, après déjeuner, je m’installe dans mon canapé, cuisses croisées, et là après 30 secondes, je sens se creuser mon précieux sillon, et un sexe brulant et ferme me pénètre. J’enchaîne les orgasmes. Je me sens humide, remplie. Les va-et-vient de mon étalon sont puissants et profonds. Sa queue élargit les parois de mon vagin, avant de se retirer, et recommencer. Je suis ouverte et les vagues de plaisirs passent les unes par dessus les autres. J’ai arrété pour pouvoir vous écrire. Mais j’y retourne tout de suite. Je vous aime

    en réponse à : Ca marche ! #30492
    SophiAir
    Participant

    Merci beaucoup pour vos messages bzo et andraneros.
    Pour ce qui est de ma relation avec mon partenaire, il sait que j’utilise un aneros. Je lui en ai parlé. J’ai tenté de le convaincre d’essayer, mais il n’est vraiment pas chaud. D’où ma pratique solitaire. Ce qui ne nous empêche pas d’avoir des relations plus classiques.
    Il est vrai qu’il y a des transformations déjà visibles. Même si nous avons des relations d’homme à homme comme j’expliquais dans un post précédent, il est vrai que je me donne encore plus qu’avant, encore plus ouvert. Mais pour le coup je ne mets pas de (e), parce qu’avec lui je me sens homme.
    Si vous connaissez d’autres témoignages de pratiquants se sentant femme dans leurs expériences, je suis preneur. Par curiosité, mais aussi, c’est vrai, pour me rassurer.
    Je vous embrasse

    en réponse à : Waouahhhh, incroyable #30483
    SophiAir
    Participant

    Bienvenu Epicurien99 dans un mmonde avec et sans Aneros.
    J’adore ces orgasmes imprévus et soudains.
    Bon cheminement

    en réponse à : Ca marche ! #30475
    SophiAir
    Participant

    Pour répondre au message d’Andraneros du 28/08 :

    Bonjour @pcommep.
    Grand merci de nous apporter votre témoignage. J’espère que nous aurons l’occasion de lire les conditions dans lesquelles vous avez découvert cette forme de plaisir et les étapes qui ont marqué votre apprentissage et votre premièe expérience de l’orgasme prostatique.
    Bon cheminement @pcommep.

    J’ai connu l’existence des simulateurs prostatiques par une blague salace de collègues, sur une vidéo à ce sujet. Il s’agissait d’une émission matinale je crois où un homme parlait du plaisir qu’il en retirait.
    Peut-être parce que je ressentais déjà des petites choses de ce côté-là, j’ai voulu en savoir plus. C’est là que j’ai découvert le site NXPL. J’ai lu le traité Aneros et j’ai acheté l’Hélix fin 2016, dans la foulée. Les premiers essais n’ont pas été concluants, même si ils n’étaient pas vides de légères sensations. Je manquais souvent de temps, et je pense que j’étais aussi trop tendu. Petit à petit, je me suis détendu. Mais sans jamais arrivé à quelques choses de très fort. Mes séances étaient très espacées. Je suis alors passé à l’Eupho, et comme je l’ai écrit dans mon premier post, c’est là que tout a vraiment commencé. J’ai alterné, en revenant de temps en temps à l’Hélix, avec lequel j’ai eu de très belles sensations, même si différentes.
    Récemment, j’ai également acquis un Progasm, mais pour l’instant, il n’a pas été très efficace avec moi, même parfois douloureux.
    Compte tenu du développement et des proportions que prend ma pratique SANS, j’ai laissé mes joyeux compagnons de côté, pour me concentrer sur cette nouvelle pratique.
    Je n’exclue cependant pas un petit retour de temps en temps, histoire de vérifier si de nouvelles sensations pourraient voir le jour, hé hé !
    A très bientôt

    en réponse à : Ca marche ! #30473
    SophiAir
    Participant

    Bonjour toutes et tous,
    une petite précision concernant le fait de se sentir femme.
    Je suis homosexuel et lorsque mon compagnon me fait l’amour, qu’il me pénètre je ne ressens pas du tout la même chose. Dans ce cas, je me sens homme, pris et comblé par un homme. Le plaisir est intense, mais pas de même nature. J’utilise bien mon anus, et je n’ai pas de doute là-dessus (ce serait difficile de ne pas s’en rendre compte ;)). Ca renforce l’étrangeté de mes nouvelles sensations.
    Après cela, il faut que je vous raconte ce qui m’est arrivé ce matin.
    Vers 6h, mon ami se retourne et se place en cuillère dans mon dos. Ça m’éveille légèrement, je sens la chaleur de son sexe contre mes fesses, de son ventre contre mon dos, et là, sans rien vouloir provoquer, ma respiration s’accélère, l’électricité envahit mon bassin, et pendant une heure, jusqu’à ce que mon réveil sonne, j’ai eu des vagues merveilleuses de plaisir. Parfois douces et “mouvantes”, je ne sais pas comment dire, comme si elles se déplaçaient à travers et autour de mon corps, et parfois intenses et violentes, “spasmiques”, dans mon abdomen, et avec de nouveau, cette claire (ou trouble) sensation de cette vulve qui se forme et qui est pénétrée. Et tout cela en faisant tout pour ne pas réveiller mon compagnon.
    En vous décrivant la scène, mes cuisses se croisent, et il faut que je me contrôle… je suis au bureau !
    Bref, mon réveil sonne, je me lève avec une pêche fantastique (vive les énergies). Avec toujours des petits fourmillements dans le ventre (les fameux papillons ?). Je prépare mon petit déj, m’installe sur le balcon. Et là, à peine assis, bam, une nouvelle vague s’empare de moi. J’en ai presque lâché ma tasse, et réfréner un petit cri. Je pose ma tasse, et je laisse mon corps s’exprimer. Je suis tout(e) retourné(e). Vague après vague, toujours assis(e) sur ma chaise, mes jambes se croisent, se décroisent, mes tétons pointent et j’ai du mal à ne pas me caresser. C’est très fort. Mais progressivement, j’arrive à reprendre le contrôle, je calme ma respiration et termine mon petit déj. Je finis de me préparer et pars prendre le métro.
    Et pour la première fois, le phénomène se reproduit alors que je suis assis dans une rame. Je suis effrayé à l’idée que des personnes se rendent compte de quelque chose. Je ferme les yeux. Après tout, un passager qui dort n’a rien d’exceptionnel, et je cherche à faire en sorte que ma respiration semble régulière. De nouveau, les vagues se succèdent, la femme s’empare de moi. J’ai toujours eu l’habitude de regarder les beaux garçons. Mais ce matin, la vue d’un beau mec est beaucoup plus forte. Il faut refermer les yeux. La claire sensation d’être pris(e). Rester calme. Se laisser aller tout en contrôlant mon aspect. Très difficile, mais apparemment faisable. Même si la femme assise en face de moi a eu un drôle de petit sourire… Est-ce que les “vraies” femmes ont des orgasmes, ou du plaisir comme j’ai pu en avoir ce matin… En tout cas, mon trajet m’a semblé très court et tellement bon.
    Voilà ! Au plaisir de vous lire, et encore merci pour cet espace d’expression. Je ne sais à qui je pourrais raconter ça sinon. Je pense que mon compagnon serait un peu jaloux de ce plaisir sans lui.

    en réponse à : Ca marche ! #30408
    SophiAir
    Participant

    Je copie un commentaire que j’ai écrit sur le forum de ch313, afin d’enrichir mon forum de cette nouvelle expérience :
    Quel plaisir de lire ce forum ch313 !
    J’ai expliqué dans un forum « Ca marche » mon expérience du massage prostatique avec simulateur, et la découverte que le plaisir prostatique peut exister également SANS simulateur.
    Mais effectivement, une des plus belles découvertes, depuis, c’est cette sensation d’être doté d’un vagin, d’être une personne qui s’ouvre et qui accueille en soi. Très étrange sensation de devenir une femme pendant ces « voyages ». Et le travail du cerveau qui fait ressentir la pénétration d’un pénis, comme si les contractions accompagnaient, ou formaient ce pénis pénétrant. Le va-et-vient de ce pénis en moi jusqu’à son éjaculation, qui correspond à mon plaisir interne.
    Moi non plus, je n’ai plus d’érection durant ces expériences. Et pendant la journée, au bureau, ou n’importe où, si je suis assis(e), mes cuisses peuvent se resserrer et se frotter l’une à l’autre, provoquant des ondes de chaleur, et des début de contractions dans mon abdomen, en même temps qu’une sensation d’ouverture de… je ne sais quoi sous mon scrotum. Parfois, l’impression, qu’effectivement des lèvres se forment et que mon vagin se creuse.
    En écrivant ces lignes, je me demande si je reste sain d’esprit tellement cela me semble étrange.
    J’ai hâte de continuer à vous lire, et à trouver d’autres expériences « féminines » comme celles que je vis maintenant.
    L’Aneros, en fait, a été un magnifique déclencheur vers quelque chose d’autre, de plus profond, plus interne. Et oui, même si je suis indubitablement un homme, je me sens tellement femme dans ces moments-là.
    Merci à toutes et tous.

20 sujets de 141 à 160 (sur un total de 161)