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  • en réponse à : Etude orgasme prostatique pour mémoire Universitaire #43667
    Prostacool
    Participant

    Je pense aussi à un autre aspect qui n’est pas du tout abordé : l’apprentissage.

    En effet, il faut savoir que sauf exception, le chemin est relativement long avant d’accéder à ce type d’orgasmes.

    Il y a toute une phase de découverte de sensations nouvelles qui au départ, sont très ténues.

    Le véritable orgasme prostatique peut mettre des semaines, des mois (le plus souvent), voire des années à survenir.

    Certains n’y arrivent jamais. Contrairement à l’orgasme traditionnel, il n’est pas du tout “mécanique”.

    A mon avis, il faudrait revoir votre questionaire que se concentre sur des questions physiologiques un peu secondaires

    et non sur les spécificités de l’orgasme protastique.

    en réponse à : Etude orgasme prostatique pour mémoire Universitaire #43657
    Prostacool
    Participant

    Bonjour,

    J’ai également répondu à votre questionnaire.

    Si je peux me permettre quelques remarques, je trouve qu’il mériterait d’être complété.

    Il omet une des caractéristiques principales de l’orgasme prostatique à savoir son côté non-réfractaire contrairement à l’orgasme éjaculatoire;

    c’est-à-dire la possibilité de le répéter plusieurs fois à la suite.

    La durée de cet orgasme est à considérer car elle peut s’étaler sur plusieurs minutes voire dizaines de minutes (avec des phases plus ou moins intenses).

    La longueur d’une séance et la fréquence pourraient aussi être des éléments intéressants de l’enquête.

    En espérant vous avoir aidée,

    Cordialement

     

    en réponse à : Jusqu’où ? #37246
    Prostacool
    Participant

    Merci @andraneros pour votre réponse.
    Et vous avez cité d’excellentes réflexions d’@epicture qui exprime très bien ce que je ressens instinctivement sans pouvoir le formuler de manière claire.

    en réponse à : Jusqu’où ? #37242
    Prostacool
    Participant

    @bzo Merci pour tes conseils.
    Il est vrai que le A-less ne me tentait pas jusqu’à présent car, comme tu le dis, les sensations sont moindres.
    Mais si ça permet de progresser dans la perception du corps, ça peut être intéressant également.

    en réponse à : Jusqu’où ? #37240
    Prostacool
    Participant

    Merci @andraneros pour votre réponse très complète.
    Je suis bien sûr conscient qu’un certain plafond de plaisir ne peut être dépassé étant données les limites physiologiques et mentales que vous mentionnez à raison.
    Comme je ne pense pas l’avoir encore atteint et que je constate toujours des progrès minimes mais constants, je me posais la question notamment par rapport à des orgasmes étendus au corps dans son entier voire énergétiques comme mentionnés parfois.
    Quand vous dites que vous avez l’impression “d’être l’orgasme”, je pense que vous vivez cette expérience.
    Je ne suis pas très réceptif à ces notions de yin et de yang, contrairement à notre ami @bzo dont la prose m’épate parfois 😉
    Pour les A-less, j’en ai eu assez peu et toujours à la suite d’une session avec Aneros.
    Mais j’ai vraiment le sentiment de n’être pas au bout de mes découvertes…

    en réponse à : Présentation des membres #33272
    Prostacool
    Participant

    Mon apprentissage a été laborieux. Il a commencé il y a trois ans de ça.
    J’ai découvert l’existence du plaisir prostatique sur des forums dont celui-ci et décidé de tenter moi aussi l’expérience en achetant un helix.
    Les débuts ont été excitants mais rapidement contrariés par des problème hémorroïdaires. J’ai alors du espacer les séances de deux semaines parfois.
    Ce qui m’a aussi amener à abandonner les contractions, qui me semblaient de plus contre-indiquées pour les personnes, comme moi, ayant des difficultés à se relaxer. J’ai donc adopté pour le “Do nothing” tel que décrit dans le forum anglophone d’Aneros.
    Comme son nom l’indique (“ne rien faire”), il s’agit de simplement se relaxer, tout en maintenant une certaine excitation (vidéos érotiques par exemple).
    Et d’attendre d’éventuels “signaux” de la prostate. Une caresse des tétons est aussi appréciable. Plus subtile est la caresse, plus grande est l’excitation (enfin, pour moi en tout cas…). C’est d’ailleurs une des clés du plaisir prostatique.
    Bref, dix mois plus tard, j’ai acheté le tapis dont je parlais plus haut. Le but était de soulager des maux de dos.
    Ce genre de tapis déclenche une production d’endorphines par le corps et une grande relaxation.
    En essayant l’Aneros allongé sur ce tapis, j’ai alors réussi à avoir pour la première fois un vrai orgasme prostatique.
    Jusqu’alors, ce n’était que de brèves montées de plaisir.
    Depuis, je commence toujours mes séances avec ce tapis que je retire au bout de 30 ou 40 minutes.
    Mais cette première réussite ne s’est pas renouvelée avant de longs mois.
    J’ai alors acheté des Aneros peridises.
    Le plus petit m’a vraiment aidé même s’il a fallu aussi patienter quelques mois.
    Je me souviens d’une séance durant laquelle j’ai eu une dizaine d’orgasmes en une heure, chacun durant entre 30 et 40 secondes.
    Depuis un an, je suis revenu à l’helix. Je pense qu’au début la pression qu’il exerce était trop importante pour moi et écrasait les sensations.
    Je dirais que trop de sensations tue la sensation et que dans certains cas, plus de subtilité est nécessaire.
    Ainsi que beaucoup de patience…
    Au bout de 3 ans de pratique, je continue de progresser, pas de manière linéaire, mais par à-coups. Et quelquefois des reculs…
    Ce qui est formidable, c’est qu’il peut aussi y avoir des progrès fulgurants.
    Dernièrement, en l’espace de quinze jours, je suis passé d’une durée maximale d’orgasme de 2 minutes (déjà appréciable), à 5 minutes en continue, puis à 10 minutes (je peux facilement vérifier avec l’heure projetée au plafond).
    Et chaque orgasme se répète toutes les 7 à 10 minutes… J’interromps la séance en général au bout d’une 1h30.
    Voilà pour un aperçu de mon expérience.
    Par contre, j’ai constaté des désagréments certains lendemains : comme un état vaguement nauséeux, un léger mal de tête, une fatigue… Quelquefois de légères douleurs aux genoux. Ce n’est pas systématique.
    Est-ce que certains d’entre vous ont aussi ces soucis ?

    en réponse à : Le traité d’Aneros, LA voie ou UNE voie ? #33265
    Prostacool
    Participant

    Amis de la prostate, bonjour,

    Pour ma part, les contractions volontaires telles que préconisées dans le traité ont plutôt été contre-productives.
    Plutôt stressé de nature, j’ai opté pour la méthode dite du “Do nothing” et petit à petit, des progrès sont apparus.
    Par la suite, j’ai découvert un moyen d’atteindre plus facilement l’extase en utilisant pendant les 30 ou 40 premières minutes de la séance, un “tapis de relaxation” de ce type : https://www.tapis-acupression.org
    Il induit une relaxation très profitable et le taux de réussite est beaucoup moins bon quand je ne l’utilise pas.
    Si cela peut aider certains à progresser, j’en serai content.

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