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20 sujets de 1 à 20 (sur un total de 49)
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  • en réponse à : Mon petit journal #25440
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    J’ai l’impression que tu es sur la bonne voie en essayant des choses nouvelles. Moi je n’arrête pas d’essayer des choses nouvelles. Parfois je suis excité et j’ai regardé un porno avant et je sais que j’ai du temps et que je n’ai pas éjaculé depuis deux trois jours. Parfois je sais que je n’ai que 30 minutes et que je suis un peu fatigué. Parfois je commence sur le dos (ce qui est le plus souvent efficace pour moi) et parfois sur le côté, sur le ventre, ou dans le bain. Parfois je ne fais pas de contractions. Parfois je m’amuse à en faire plein de petites rapides. Ou de très lentes et très fortes. Et j’écoute les réactions de mon corps. Mais surtout ce que je découvre c’est que chaque séance est très différente. Ce que tu vis est à chaque fois presque unique. Ne cherche pas à le reproduire. Tu ne le retrouveras probablement pas. Une fois que tu sais ça, c’est moins frustrant et moins stressant. Aborde chaque session comme un nouveau voyage. Et tu ne sais pas où l’avion va te mener. En Italie ? En Chine ? Tu vois ce que je veux dire ? Du coup tu es ouvert aux expériences. Fais confiance à ton corps il saura quoi faire. Essayer de nouvelles positions et contractions me fait penser que tu donnes plus d’amplitudes à ton cerveau pour mieux cartographier cette zone certainement pleine de récepteurs différents. Bon voyage donc.

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    Je suis d’accord avec Bzo pour les conditions nécessaires pour atteindre le Super O. A la question existe-t-il ou pas. Question qui n’a pas vraiment d’importance d’ailleurs. J’ai pris la décision qu’il existait. J’ai atteint certains orgasmes qui dépassaient tous les autres en sensation, qui étaient impressionnants, qui faisaient décoller le cerveau dans d’autres sphères, et qui donnaient la sensation d’un énorme shoote d’hormones, comme une drogue merveilleuse et qui vous laissent pantois, essoufflés d’avoir gémi ou hurlé de plaisir.

    en réponse à : Un message d'encouragement à tous #25438
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    Bonjour Jieffe, merci pour l’intérêt que tu portes à mon témoignage. Il n’y a pas d’autre fil que celui-ci. Je raconte mes débuts ici et nulle part ailleurs. Je ne pratique pas depuis très longtemps. Je ne me souviens plus de la date à laquelle j’ai commencé, il suffit de regarder mon premier message qui correspond à 24-48 heures près à mes débuts. Il y a environ un mois.
    Néanmoins je n’étais étranger au jeu anal avant cela. Et j’avais eu mes expériences. Diverses et variées. En solitaire. Avec des femmes. Avec des hommes. Je suis curieux de nature. Autant tout essayer 🙂
    Difficile de te dire si j’ai eu du plaisir dès le début. Cela dépend ce que tu appelles désir. Il y avait l’excitation de la première fois. D’essayer cet objet nouveau. La sensation du liquide qui lui permet de glisser. Bien sûr il y a eu du plaisir. Mais un autre plaisir. Pas tout de suite d’orgasme. Néanmoins, très vite j’ai détecté ma prostate grâce à ce magique sex toy et put connecter mon cerveau avec cette zone. Je décris les premières fois comme une toute petite lumière au bout d’un tunnel, la difficulté au début de rester concentrer sur cette petite lumière qui fait du bien. La nécessité d’un moment de relaxation, etc… aujourd’hui, il suffit d’insérer l’Aneros pour que le plaisir monte. Cela ne veut pas dire que j’atteins à chaque fois d’immenses orgasmes. Mais orgasmes il y a. Parfois doux, qui s’enchaînent pendant 30 minutes. Parfois dévastateurs pendant une heure. Comparé à ce que je peux ressentir maintenant, je dirais que les plaisirs étaient petits, doux, discrets. Mais à chaque fois un peu plus forts et surprenants. Si tu relis mes témoignages depuis le début sur ce fil, tu verras les détails de l’évolution des sensations. Au début, j’étais trop concentré, trop attentif, un peu stressé que ça ne marche pas, inquiet de ne pas retrouver. En fait, je comprends à quel point, le plus important (pour moi en tout cas) a été d’apprendre à mon cerveau où est la prostate pour qu’il puisse faire ensuite le boulot tout seul. Je ne me pose même plus de questions aujourd’hui si je contracte trop ou pas assez, très vite mon corps sait ce qu’il faut faire pour avoir du plaisir. Cela devient aussi simple que de se masturber finalement. En conclusion, le traité m’a été très utile pour démarrer, et je ne sais pas si j’aurais trouvé le chemin sans lui. Aujourd’hui je n’y pense plus. Je laisse faire au gré du vent et des plaisirs. Appliquer la méthode au pied de la lettre m’a été très utile pour mieux m’en détacher au bout du compte. Finalement ce que j’ai eu à apprendre au tout début, c’est à me connaître, à ce que mon corps accepte cet objet, à savoir me donner du temps en sachant que je ne serais pas dérangé, à ne pas être frustré et à savoir que chaque petit plaisir était déjà un cadeau. Et quand tout ça a été en place la récompense est venue. Si tu as d’autres questions n’hésite pas. J’espère que tu avances bien de ton côté.

    en réponse à : Un message d'encouragement à tous #25437
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    Bzo, effectivement nous avons un parcours très proche. Je continue d’explorer doucement toutes ces sensations tous les jours nouvelles. Quel voyage en tout cas.

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #25369
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    Je ne pense pas que ce soit fake. Et je trouve cela plus troublant que le porno classique. Mais c’est affaire de goût. Une recommandation de vidéo de ton côté sur le même sujet ?

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #25354
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    Petite intervention. Concernant l’orgasme féminin. J’adore ces vidéos que l’on peut voir sur youtube car elles sont décentes et faites par un artiste. Le concept, demander à des femmes de lire un livre, pendant qu’un sex toy qu’on ne voit pas les masturbe. Le combat entre le mental et le plaisir est très troublant. Vous cherchiez des vidéos ? Je vous conseille donc la série Hysterical Literature. Il y en a toute une série. Voici la première.

    en réponse à : Un message d'encouragement à tous #25351
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    Contre toute attente:

    J’ai attendu quelques jours avant de reprendre mon récit. Attendu que cela en vaille la peine.

    Contre toute attente la session d’aujourd’hui a été époustouflante. Contre toute attente, car je n’avais pas beaucoup de temps devant moi, et encore moins de temps pour me préparer. Tout au plus 45 minutes à consacrer à mon plaisir.

    Me voilà donc depuis une minute en place, pas eu le temps de me relaxer ou de me concentrer que le plaisir est là et qu’un premier orgasme m’arrache des gémissements. Je vais enchaîner ainsi, sans aucune interruption plus d’une demie heure de plaisir déchaîné. Des orgasmes d’une violence inouie. L’un me fera même perdre l’Aneros (je pensais que ce n’était pas possible ? ! ). Je multiplie les orgasmes qui me secouent, qui me font littéralement hurler, à peine ai-je repris mon souffle qu’une vague de chaleur m’envahit, je perds toute notion de temps et d’espace, puis c’est un autre orgasme violent. C’est dingue. Ca pourrait ne pas s’arrêter. D’ailleurs c’est moi qui ait stoppé la session par épuisement.
    Quel bonheur !

    Je voulais quand même partager deux petites idées que j’ai eu le temps d’expérimenter pendant cette session. La première, que j’avais déjà essayé avec succès lors de séances précédentes est la suivante. Alors que l’orgasme est proche, parfois le corps a tendance à trop se contracter, j’attrape alors mes fesses et les écarte très légèrement. Le plaisir est alors décuplé. Jouant entre la contraction qui fait monter la température et la détente du corps. Je recommande.
    J’ai aussi essayé la chose suivante aujourd’hui. Placez vous sur le dos, les pieds très haut contre le mur, les fesses légèrement relevées. C’était génial. A un moment le plaisir était tel qu’il m’a fallu rabattre les jambes au-dessus de moi et me laisser baiser par le jouet démoniaque.

    Il y a une chose que je trouve géniale avec ces orgasmes prostatiques c’est cette sensation d’avoir un partenaire sexuel. D’être deux. Mais que ce deuxième change de personnalité d’une session à l’autre. Parfois, il est doux et attentionné. Parfois, comme aujourd’hui, il semble vouloir baiser violemment et profondément.

    Voilà, j’espère que votre chemin continue d’avancer. Cette chasse au trésor est décidément sans fin !

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #25322
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    Je suis un peu moins sévère que toi sur la salle des machines. Effectivement, rien n’est jamais acquis, et le super O et la séance idéale n’est pas forcément au RDV. Mais après quelques semaines, je n’ai plus besoin de passer par la phase de relaxation. Ca démarre tout de suite. J’ai forcément du plaisir. J’ai forcément au moins quelques petits orgasmes. Disons que les machines sont un peu froides ou rouillées parfois, mais je n’ai pas eu d’autodestruction pour l’instant. C’est plutôt une courbe en dent de scie qui ne fait que monter.

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #25228
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    Ce qui me plait en te lisant c’est de découvrir que tu peux encore te faire surprendre. Ce qui me réserve donc de belles aventures en perspective.

    Je comprends de mieux en mieux ce que tu veux dire par féminin/masculin. Et je suis dans des sensations assez similaires.
    Deviendrions nous des sortes d’hermaphrodites ?
    Ou bien la société nous a fait croire qu’il y avait des hommes et des femmes et tout cela n’a en fait pas d’importance…

    En tout cas, il est vrai que quand le plaisir monte, il y a cette sensation chez moi que le jouet grossit, sensation d’érection et qu’il cherche à me pénétrer de plus en plus profondément et qu’une part de moi, cette part que tu appelles féminine se laisse aller à se faire baiser.

    en réponse à : Un message d'encouragement à tous #25227
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    Bonne année à tous. Merci pour vos messages.

    Le problème de l’intime est qu’il ne suffit pas d’être capable d’en parler. Il faut aussi espérer que ceux qui reçoivent nos paroles sachent recevoir.

    De plus, pour l’instant, j’ai la sensation que ce plaisir est très solitaire. Très intérieur. Je ne suis pas encore passé à l’étape de le partager.

    Je sais que certains le partagent en couple. J’imagine que des hommes se sont aussi amusés – peut être – à le partager ensemble en jouissant côte à côte.

    En tout cas, 2017 aura été pour moi la découverte de ce plaisir. 2018 me réserve donc certainement d’autres surprises.

    en réponse à : Un message d'encouragement à tous #25199
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    Oui tu as raison sur le tabou dans notre société. Mais en ce qui me concerne, moi avec moi même, je n’ai pas de problème. Après on est dans de l’intime, je ne vais pas forcément le crier sur les toits. 🙂

    Mais on devrait peut être le crier sur les toits !

    en réponse à : Un message d'encouragement à tous #25196
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    Salut Bzo, pour répondre à ta première question, je pratique essentiellement les yeux fermés ou dans le noir, pour l’instant le reste me déconcentre de la concentration interne du plaisir.
    Je ne suis pas sûr de comprendre ta question sur l’alternance ? Parles tu aussi des yeux ?

    Je partage complètement ce que tu racontes sur la proximité de la douleur. On a l’impression que d’une seconde à l’autre cela pourrait devenir insupportable et douloureux. Comme une dent sur laquelle frappe une fourchette.

    Je me sers d’ailleurs parfois de fantasmes. Et le SM en fait partie. La recherche de la féminité aussi.

    En tout cas, j’adore cette explosion où on perd tout contrôle, toute notion du temps. J’espère y retourner au plus vite. Et j’espère que ce sera au moins aussi intense. Ha… quelle drogue.

    en réponse à : Journal d'un prostatomane II #25185
    Voyageur
    Participant

    J’interviens sur la question que pose Jieffe sur l’orgasme pénien. De mon côté il peut être très varié. Une petite masturbation vite fait, et l’orgasme est comme tu le décris, court et finalement peu intense. Une séance avec une partenaire qui sait faire durer le plaisir, et le corps tout entier peut devenir sensible et l’orgasme très puissant. Je suis donc moins mitigé et sévère que toi sur ce plaisir là. Il peut être génial aussi. Je pense que l’orgasme prostatique offre de nouvelles sensations. Mais en ce qui me concerne, la réaction de la peau par exemple, j’avais déjà connu ça avant de connaître l’orgasme prostatique.

    en réponse à : Mon petit journal #25184
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    Je rejoins complètement ce message d’Andraneros. C’est un peu comme quand on apprend la guitare ou n’importe quoi d’ailleurs. D’abord on galère à poser les doigts, à faire sonner les cordes. Puis ça commence à sonner. Puis on peut enfin s’amuser à enchaîner les accords et à créer de la musique. Voilà ma petite métaphore du jour. Et il est bon ce moment, où on place ses doits sur l’instrument sans même y penser et que la musique jaillit !

    en réponse à : Un message d'encouragement à tous #25183
    Voyageur
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    Ca y est Bzo, je crois que j’y suis – A moins que ça puisse être encore plus puissant. Voici ma séance d’hier ! Ho que c’est bon. Pourquoi ai-je donc mis tant de temps à découvrir ce plaisir ! Que d’heures perdues… Mais bon, je vais rattraper tout ça.

    Hier soir. Deux découvertes…

    Jusqu’à là je n’ai réussi qu’à jouir sur le dos. Les autres positions – sur le côté, sur le ventre apportaient du plaisir, mais jamais d’orgasmes.
    Ayant envie de commencer en douceur, je décide donc de façon inhabituelle de me mettre sur le ventre. Premières sensations, premières chaleurs, ça monte vite, plus vite et plus fort que d’habitude. Ca vient. C’est trop bon. Bang ! Premier orgasme. La première fois que ça m’arrive dans cette position. Et que c’est bon ! Mais ça n’est pas fini. Après l’orgasme, mon corps ne se calme pas, les vagues continuent, ça revient. Ca remonte. Et un second encore plus fort. Puis j’ai cessé de compter. J’ai essayé de ne pas hurler. J’ai enchainé des orgasmes de plus en plus puissants. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, peut être une heure. C’est comme si l’Aneros avait pris l’ascendant sur moi et décidait ce qu’il fallait faire. C’était génial. De la position allongée sur le ventre, mon corps s’offrait de plus en plus. Je me voyais obligé de lever les fesses à chaque nouvel orgasme comme si le jouet voulait plus profondément rentrer en moi. Les voilà donc ces supers O qui s’enchaînent. C’est magique. M’apercevant que je peux jouir dans d’autres positions que sur le dos, je décide d’essayer accroupi. Et bang encore un orgasme. Je me mets à genoux sur un coussin, le haut du corps sur le lit et là je suis littéralement emporté dans un orgasme dont la puissance surpasse tout ce que j’ai pu connaître. Il dure une ou deux minutes m’arrache un cri que j’étouffe dans le drap. Je suis KO. Je m’allonge sur le côté pour reprendre mes esprits, mais là encore le jeu ne s’arrête pas comme ça. Le plaisir remonte et je subis encore un orgasme. Je voudrais presque que ça s’arrête tant mon corps est à bout et en feu. Je me mets sur le dos. Ca revient. Ca remonte encore. Je ne peux même pas arrêter le processus. Il me faudrait enlever ce jouet. Et je vis à nouveau encore un orgasme plus puissant que les autres. Mon corps se soulève. J’ai l’impression que l’Aneros est sorti de moi tant je me suis ouvert. Ca dure. Ca dure. Je m’effondre. Mais un second orgasme vient prendre la relève. Cette fois-ci je suis vaincu. Je finis par m’endormir. J’ai oublié d’enlever l’Aneros. je serai réveillé trois fois dans la nuit par des orgasmes. Quelle aventure ! Tu avais raison bzo.

    En conclusion. Au-delà du plaisir presque inracontable des orgasmes multiples, j’ai aussi découvert que je peux aujourd’hui jouir dans différentes positions. J’ai même pu me masturber sans faire cesser le plaisir – en évitant d’aller jusqu’à l’éjaculation.

    Un grand merci à vous lecteurs, mais aussi au traité de l’Aneros sans qui je n’en serais pas là. Quelle évolution en quelques semaines !

    en réponse à : Mon petit journal #25171
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    Participant

    Bonjour Jieffe, je vois que tu continues et c’est génial et que Lulu va faire un bon compagnon. Je réagis juste sur un point parmi tes derniers messages. J’ai l’impression que cette phase de rewiring est fondamentale. Peu importe la durée, le résultat, le plaisir, tu éduques ton cerveau à reconnaître la zone de plaisir. Je suis aujourd’hui persuadé que c’est le point essentiel et qu’une fois ça réglé, finalement ton corps et ton cerveau sauront quoi faire. En tout cas c’est ce qui m’arrive depuis deux jours. Je ne pense plus aux exercices, aux minutes qu’il faut tenir ou pas tenir. Mon corps et mon cerveau semblent travailler ensemble pour me donner du plaisir sans que j’ai à réfléchir. Comme si dorénavant les connexions étaient faites. C’est pourquoi je t’encourage à continuer ce travail. Même pendant ton sommeil parfois. Petit à petit ton cerveau sera de plus en plus précis. Saura facilement retrouver ce qui lui plait et donc ce qui te plait. Bon voyage donc au pays des plaisirs sensuels

    en réponse à : Un message d'encouragement à tous #25170
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    En fait ce qui est de plus en plus agréable, c’est que c’est de plus en plus facile. Je ne suis plus à la recherche de quoi que ce soit en particulier, à part du plaisir. Parfois il passe par de jolis orgasmes et parfois par une tempête. Comme je l’ai déjà dit, c’est à chaque fois différent. Mais surtout de plus en plus facile à déclencher. Hier, après 5 toutes petites minutes de détente, le festival a commencé. Je ne compte plus rien – comme je le faisais au début. Je peux vraiment “faire l’amour”. Je suis très content d’avoir découvert le traité qui m’a permis de commencer et très content d’avoir dépassé le traité pour juste m’éclater. Je reconnais que le chemin a été facile pour moi à la différence de certains, mais je continue comme au début à encourager tout le monde à persévérer, parce que le voyage vaut vraiment le coup d’être vécu. Et oui bzo, je crois que je suis accro. En tout cas, cela s’ajoute à tous les autres plaisirs de la vie sexuelle. Je pense que la nouveauté en fait un terrain de jeu prioritaire en ce moment, mais je souhaite surtout qu’il élargisse la panoplie des possibles. Et c’est vrai que cette capacité de pouvoir jouir plusieurs fois de suite qui semblait le privilège de ces dames ouvre un tout nouveau monde dont il est difficile de se lasser.

    en réponse à : Un message d'encouragement à tous #25141
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    Pour bien comprendre ce message, il faut avoir lu le précédent.

    Mon corps est en feu. Je m’allonge. Glisse l’Aneros. Pas de relaxation. Pas de préparation. Je file vers ce qui sera ma meilleure session. Orgasme. 1 – 2 – 3 – 4. Je m’envole. Je cesse de compter les orgasmes. WHOW !!!!!

    en réponse à : Un message d'encouragement à tous #25140
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    Merci à tous pour vos commentaires. Je vais déjà tenter de répondre à la question d’Andraneros. Qu’est-ce que j’appelle des plaisirs divers et variés ? 🙂
    Pas facile de répondre. Il me semble qu’on peut passer par plein de phases qui donnent beaucoup de plaisir sans pour autant atteindre des orgasmes fulgurants et j’en ai encore fait l’expérience hier soir… Mais j’y reviendrai ensuite…
    Parfois des frissons dans tout le corps, parfois des caresses intérieures qui arrachent des gémissements, parfois l’envie de se caresser sans plus attendre, parfois ça monte, ça monte sans exploser. Ca monte, sans vraiment redescendre. C’est bon. On a envie de crier “ho oui”. C’est chaud. C’est parfois violent. C’est parfois une douce caresse comme si une langue nous fouillait. C’est parfois plus énergique et on dirait qu’un doigt nous explore. Parfois il y a des vagues de chaleur et parfois ce qui ressemble à un silence. Parfois j’ai l’impression que le jouet gonfle en moi, que son érection est plus forte. C’est d’ailleurs souvent à ce moment là que j’attends un point de non retour qui amène à un puissant orgasme. Mais il y a aussi tous ces petits orgasmes de différentes tailles qui nous laissent sans souffle. Il y a ces moments où je dois mordre l’oreiller. Et tous ces instants que j’essaie de décrire ne sont pas forcément des orgasmes sur-puissants, mais un plaisir qui dure et qui dure. Et c’est ce qui rend ce plaisir si prenant, presque addictif. Car on a plus de raison de s’arrêter. Et j’en viens par là à mon expérience d’hier.

    Je m’étais préparé depuis quelques jours à cette soirée. Je savais que je serais seul, pour la soirée et pour la nuit. Et cela faisait longtemps que j’avais envie d’expérimenter une nuit entière. Dormir avec l’Aneros. J’avais évité de me masturber depuis plusieurs jours, tout en maintenant un état érotique. Notamment par des lectures ou des films érotiques. Et voilà la soirée prête. Rien pour m’interrompre. Pas d’urgence à atteindre quoi que ce soit. Vers 23 heures je m’allonge et glisse le jouet en moi. Je donne à peine 5 minutes à mon corps pour se détendre car je sens que je suis déjà prêt. Les premières contractions très légères déclenchent déjà un plaisir magnifique. Ce soir, non seulement ma prostate est très réactive, mais d’autres zones semblent sensibles. Chaque mouvement et chaque contraction déclenche une montée de plaisir. L’orgasme – pas forcément le plus puissant – ne va pas mettre longtemps à venir. Puis je m’amuse comme ça pendant deux bonnes heures. Un bel orgasme va m’emporter puis je me laisserai plonger dans le sommeil.
    Alors, mon conseil, si vous voulez faire l’expérience comme moi de passer une nuit avec l’Aneros, ne prévoyez rien le lendemain 🙂
    Je crois que je dors pendant une heure, mais je sens le plaisir qui est là. Et qui finit par me réveiller. Je n’y tiens plus. Je ne peux plus dormir. Je crois que même si je me suis endormi, une partie de mon corps a continué à jouer. Encore un orgasme. Comme ça, sans prévenir. En pleine nuit. Puis je me rendors. Régulièrement, je suis réveillé par mes propres gémissements. Je crois que toute la nuit j’ai gémi de plaisir. Réveillé tôt, malgré le peu de sommeil. Mon corps a encore envie. Je jouis encore ce matin, deux orgasmes sublimes. Je décide de faire durer le plaisir. Je reste au moins deux heures, sans forcément avoir d’orgasmes, mais à gémir et à me tortiller. C’est trop bon. Il faut se lever, mais qui a dit qu’il fallait retirer l’Aneros ? Je vais faire des courses. Le jouet est en moi. Je me mords parfois les lèvres. Je n’en peux plus. Je reviens au plus vite chez moi. Et je reprends la séance. Voilà plus de 12 heures que je titille ma prostate. Mon corps est en feu. A l’heure où je vous écris, voilà deux heures que j’ai retiré le jouet, mais mon corps ne se calme pas, je crois que je vais y retourner !

    en réponse à : Question pratico pratique : l’organisation #25059
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    J’imagine qu’il est important de bien laver au savon, ce que je fais dès la séance terminée. Car effectivement, je n’ai pas envie de laisser des bactéries se balader.

    Aujourd’hui, je me suis rendu compte que je hurlais presque au moment de l’orgasme… j’espère que mes murs sont assez épais 🙂

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