Vendredi, j’ai fait la découverte d’un nouveau club libertin plein de promesses : le club Le Taken. Voici mon récit de la description de ces lieux… Laissez-vous envouter ! :
L’entrée est dans les tons noir et or. Très classieux, avec ces miroirs et ses dorures. Dés l’entrée le patron nous mets en garde : “Ce soir, il n’y a pas grand monde car demain sera une grosse soirée”. Nous enquérant aimablement de ce fait, nous décidons tout de même de rester.
Un vestiaire est visible derrière la caisse. Alors les dames laissent paraitre leurs tenues d’apparat un peu moins sages qui étaient, jusqu’à cet instant, dissimulées sous des manteaux plutôt longs. Une fois les vêtements superflus déposés, je m’engage sur un petit escalier en colimaçon qui descend. Mieux vaut prendre son temps pour emprunter ce passage car les marches ne sont pas très larges, surtout en talons-aiguilles et jupe moulante.
Mon regard se pose d’abord sur le bar en bas à gauche éclairé d’une lumière rose et bleue tamisée sous une voute en pierres enchanteresse. Pas de doute possible, voilà un club libertin élégant, sensuel et discret… comme j’aime. Pour les plus gourmands des coupelles de bonbons nous souhaitent la bienvenue, sur une desserte à droite, au pied de l’escalier.
La femme du couple d’amis qui m’accompagne me prend par la main pour me faire visiter ce nouveau lieu de jouissance. L’atmosphère est plutôt fraiche en arrivant vers la piste de danse. Une barre de pole me drague de ses reflets métalliques comme pour m’inciter à l’entreprendre pour une danse langoureuse ou plus physique. Pas trop le temps pour rêvasser sur mes futures acrobaties que la main amie m’attire sous une voute en pierre qui débouche sur un couloir plus étroit. Ça et là des alcôves se dévoilent pourvues de petits canapés moelleux garnis de coussins.
J’avance encore dans ce couloir jusqu’à son extrémité et découvre un grand lit baldaquin trônant au centre d’une pièce carrée. Je laisse ce pacha sur ma gauche et débouche sur un autre couloir qui tourne à angle droit pour laisser apparaitre des grilles… des grilles ? mais pourquoi faire ? Au fur et à mesure que je remonte ce couloir, je devine un coin câlin dissimulé derrière une colonne, sur la gauche.
Au fond à droite de cette pièce fermée par des barreaux telle une cage se trouvent un porte ustensiles. Martinet, cravache, badine… sont ainsi exposés à la libre utilisation des occupants de cette cage de désir et de sensations. La main me tire à nouveau, vers la gauche, c’est alors que je découvre cette petite fenêtre espiègle, placée là pour se délecter du spectacle du couple enfermé dans cette cage de fer.
Après une petite phrase, sur la praticité de cette ouverture au regard de mon affection pour le voyeurisme occasionnel, je repars toujours tirée par cette main amie et tellement douce. Je constate alors que je me trouve de l’autre côté de ce grand lit de plaisir voilé de grands rideaux d’un blanc immaculé. Idéalement situé au milieu de la pièce laissant la possibilité de tourner autour.
Comment alors ne pas laisser à nouveau mon esprit vagabonder vers une possibilité de gang-bang autour de ce lit confortable et accueillant dont je serai le centre de toutes les attentions. La main me tire à nouveau pour boucler la boucle en retrouvant la piste de danse.
Oh que de possibilités dans ces lieux feutrés et sensuels. La soirée ne fait que commencer… En tous cas, les lieux sont accueillants et propres. Gageons qu’avec un peu plus de monde ces lieux offrent de belles opportunités, affaire à suivre…
Bisous les coquins et les coquines ^^
Miss L.